Ventes d'œuvres le 1819.04.20

De Wikipast
Aller à la navigation Aller à la recherche
  • 1819.04.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux richement composés, dans le goût de Pierre de Laar; l'un offre plusieurs paysans et quelques animaux pres d'une fontaine; dans l'autre, on remarque plusieurs figures, dont une est un berger conduisant un troupeau de différens animaux. Morceaux vigoureux d'effet. (Goebauw. (Antoine))|Deux tableaux richement composés, dans le goût de Pierre de Laar; l'un offre plusieurs paysans et quelques animaux pres d'une fontaine; dans l'autre, on remarque plusieurs figures, dont une est un berger conduisant un troupeau de différens animaux. Morceaux vigoureux d'effet.]] réalisée par Goebauw. (Antoine), vendue par Jean Frederic Guillaume de Sahuguet d'Amarzit, comte d'Espagnac, achetée par Lafontaine rue Traversiere St Honoré No.38 au prix de 109 fl. [84]
  • 1819.04.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un effet de lumière représentant Notre-Seigneur arrêté dans le jardin des Oliviers. Plusieurs lumières répandues dans toute la composition donnent à ce tableau un effet piquant: les expressions sont variées et les tons de draperies brillans (Dans le goût de Zuccharo)|Un effet de lumière représentant Notre-Seigneur arrêté dans le jardin des Oliviers. Plusieurs lumières répandues dans toute la composition donnent à ce tableau un effet piquant: les expressions sont variées et les tons de draperies brillans]] réalisée par Dans le goût de Zuccharo, vendue par Jean Frederic Guillaume de Sahuguet d'Amarzit, comte d'Espagnac, achetée par Hazard au prix de 94 fl. [94]
  • 1819.04.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Martyre de Sainte-Catherine. Elle est vue à mi-corps; ses yeux sont tournés vers le ciel, ses deux mains sont sur sa poitrine, sa tête est plein d'expressions. Le moment que le Peintre a représenté est celui du miracle que le ciel fait en faveur de la Sainte, en brisant les instruments de son supplice. (Luini. (Bernard))|Le Martyre de Sainte-Catherine. Elle est vue à mi-corps; ses yeux sont tournés vers le ciel, ses deux mains sont sur sa poitrine, sa tête est plein d'expressions. Le moment que le Peintre a représenté est celui du miracle que le ciel fait en faveur de la Sainte, en brisant les instruments de son supplice.]] réalisée par Luini. (Bernard), vendue par Jean Frederic Guillaume de Sahuguet d'Amarzit, comte d'Espagnac, achetée par Lamy rue de Grenelle St Honoré hotel du Empereur au prix de 802 fl. [97]
  • 1819.04.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage pris à l'effet d'un soleil couchant. Vers la gauche, on remarque une masse d'arbres d'un ton vigoureux et d'un beau feuillé. Du côté opposé, des ruines dont les débris indiquent encore un arc de triomphe. Sur le plan éloigné, on remarque un aqueduc. Les fonds sont terminés par des montagnes. En avant, on remarque encore, sur un terrain orné de plantes et de fleurs, plusieurs figures et quelques animaux. Une couleur suave et dorée règne dans ce tableau, dans lequel Courtois a imité le ton aérien de Claude le Lorrain. (Courtois. (Jacques))|Un paysage pris à l'effet d'un soleil couchant. Vers la gauche, on remarque une masse d'arbres d'un ton vigoureux et d'un beau feuillé. Du côté opposé, des ruines dont les débris indiquent encore un arc de triomphe. Sur le plan éloigné, on remarque un aqueduc. Les fonds sont terminés par des montagnes. En avant, on remarque encore, sur un terrain orné de plantes et de fleurs, plusieurs figures et quelques animaux. Une couleur suave et dorée règne dans ce tableau, dans lequel Courtois a imité le ton aérien de Claude le Lorrain.]] réalisée par Courtois. (Jacques), vendue par Jean Frederic Guillaume de Sahuguet d'Amarzit, comte d'Espagnac, achetée par Paillet au prix de 456 fl. [98]
  • 1819.04.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un excellent tableau d'une touche ferme et facile, représentant les portraits d'un homme et d'une femme. Leurs ajustements noirs, rehaussés par des fraises blanches, font ressortir la fraîcheur des carnations. Ces deux figures se détachent en partie sur des colonnes et sur un rideau qui laisse apercevoir un échappé de paysage. On remarque entre autres accessoires un singe et une table couverte d'un tapis et d'une lettre. (Vos. (Simon de))|Un excellent tableau d'une touche ferme et facile, représentant les portraits d'un homme et d'une femme. Leurs ajustements noirs, rehaussés par des fraises blanches, font ressortir la fraîcheur des carnations. Ces deux figures se détachent en partie sur des colonnes et sur un rideau qui laisse apercevoir un échappé de paysage. On remarque entre autres accessoires un singe et une table couverte d'un tapis et d'une lettre.]] réalisée par Vos. (Simon de), vendue par Jean Frederic Guillaume de Sahuguet d'Amarzit, comte d'Espagnac, achetée par Henry au prix de 300 fl. [99]
  • 1819.04.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La reine Marie de Médicis, épouse de Henri IV représentée en pied sous l'emblème de Cybèle. Elle est couronnée par deux génies, que l'on voit dans le haut du tableau; l'un dans le clair et l'autre en partie dans la demi-teinte, forment une belle opposition. Elle est assise sur des fragments d'architecture; d'une main elle tient un caducée surmonté d'une fleur de lis, de l'autre la balance de la Justice et une corne d'abondance, d'où sortent des fruits qui sont de la plus belle touche de Sneyders. Elle foule aux pieds des armes, symbole de la guerre. Sur le globe du monde qui est près d'elle, on remarque l'Italie et la France. Elle est ajustée des plus riches étoffes, variées de ton et enrichies de perles et d'ornemens: sa poitrine est en partie découverte. Cette belle figure, éclatante de couleur, se détache sur un ciel d'un ton à la fois brillant et harmonieux. Si ce peintre fut extraordinaire sous le rapport de la fraîcheur et du briliant de la couleur, il le fut aussi dans ses compositions grandes et riches. Les accessoires, qu'il savait placer dans ses moindres sujets, prouvent sa vaste érudition et la connaissance de tous les moyens qui pouvaient faire briller l'allégorie: dans ce portrait, il en a su introduire toute la richesse, et par ce moyen parler à l'esprit en flattant les yeux. (Rubens. (Pierre-Paul))|La reine Marie de Médicis, épouse de Henri IV représentée en pied sous l'emblème de Cybèle. Elle est couronnée par deux génies, que l'on voit dans le haut du tableau; l'un dans le clair et l'autre en partie dans la demi-teinte, forment une belle opposition. Elle est assise sur des fragments d'architecture; d'une main elle tient un caducée surmonté d'une fleur de lis, de l'autre la balance de la Justice et une corne d'abondance, d'où sortent des fruits qui sont de la plus belle touche de Sneyders. Elle foule aux pieds des armes, symbole de la guerre. Sur le globe du monde qui est près d'elle, on remarque l'Italie et la France. Elle est ajustée des plus riches étoffes, variées de ton et enrichies de perles et d'ornemens: sa poitrine est en partie découverte. Cette belle figure, éclatante de couleur, se détache sur un ciel d'un ton à la fois brillant et harmonieux. Si ce peintre fut extraordinaire sous le rapport de la fraîcheur et du briliant de la couleur, il le fut aussi dans ses compositions grandes et riches. Les accessoires, qu'il savait placer dans ses moindres sujets, prouvent sa vaste érudition et la connaissance de tous les moyens qui pouvaient faire briller l'allégorie: dans ce portrait, il en a su introduire toute la richesse, et par ce moyen parler à l'esprit en flattant les yeux.]] réalisée par Rubens. (Pierre-Paul), vendue par Jean Frederic Guillaume de Sahuguet d'Amarzit, comte d'Espagnac, achetée par Henry Boulevard poissonniere No au prix de 5005 fl. [101]