Ventes d'œuvres le 1819.07.14
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- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux. Dans l'un sont représentés des monumens remarquables de l'architecture romaine, restes des plus beaux temples et édifices publics, parmi lesquels se voit la colonne Trajane: le terrain est rempli de décombres et débris d'architecture. Le peintre, pour animer la scène, a choisi un trait de l'histoire romaine qui rappelle un grand souvenir ; on voit l'intrépide Curtius à cheval et tout armé s'élancer dans un gouffre brulant, pour sauver sa patrie ; plusieurs assistans effrayés de sa témérité, admirent son noble dévouement. Dans l'autre sont également représentés les restes des temples et palais magnifiques dont Rome autrefois avait droit de s'enorgeuillir ; on y voit aussi la pyramide qui servait de tombeau à Cajus Cestius, et le temple de la Sybille Tyburtine ; le terrain est rempli de tombeaux et fragmens d'architecture et de sculpture. Pour animer la scène, le peintre y rappelle un sujet historique qu fait voir que les hommes finissent de détruire ce que le tems a respecté ; on y voit un général ordonner d'ouvrir les tombeaux pour y découvrir des trésors, il est entouré de plusieurs guerriers et autres personnages. Les monumens d'architecture sont rendus avec élégance, d'une couleur agréable et fraîche, les figures sont bien dessinées et bien drapées, la touche est moelleuse et ferme, l'effet brillant. Tout annonce que J. Paul Panini était dans sa plus grande force. Toile. haut. 99, larg. 133. Ces deux tableaux seront présentés séparement et ensuite accumulés pour être adjugés aux plus offrants (Jean-Paul Panini)|Deux tableaux. Dans l'un sont représentés des monumens remarquables de l'architecture romaine, restes des plus beaux temples et édifices publics, parmi lesquels se voit la colonne Trajane: le terrain est rempli de décombres et débris d'architecture. Le peintre, pour animer la scène, a choisi un trait de l'histoire romaine qui rappelle un grand souvenir ; on voit l'intrépide Curtius à cheval et tout armé s'élancer dans un gouffre brulant, pour sauver sa patrie ; plusieurs assistans effrayés de sa témérité, admirent son noble dévouement. Dans l'autre sont également représentés les restes des temples et palais magnifiques dont Rome autrefois avait droit de s'enorgeuillir ; on y voit aussi la pyramide qui servait de tombeau à Cajus Cestius, et le temple de la Sybille Tyburtine ; le terrain est rempli de tombeaux et fragmens d'architecture et de sculpture. Pour animer la scène, le peintre y rappelle un sujet historique qu fait voir que les hommes finissent de détruire ce que le tems a respecté ; on y voit un général ordonner d'ouvrir les tombeaux pour y découvrir des trésors, il est entouré de plusieurs guerriers et autres personnages. Les monumens d'architecture sont rendus avec élégance, d'une couleur agréable et fraîche, les figures sont bien dessinées et bien drapées, la touche est moelleuse et ferme, l'effet brillant. Tout annonce que J. Paul Panini était dans sa plus grande force. Toile. haut. 99, larg. 133. Ces deux tableaux seront présentés séparement et ensuite accumulés pour être adjugés aux plus offrants]] réalisée par Jean-Paul Panini, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 604 fl. [1]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Copie du tableau précédent Paysage montagneux et boisé, avec figures et animaux ; dans le milieu coule une belle rivière, qui en serpentant se perd dans le lointain ; sur le devant est un groupe de trois peupliers très-élevés sous lesquels broutent trois chèvres dont le conducteur est assis sur une motte de terre pour se délasser ; à la droite au pied de hauts rochers taillés à pic, descend un troupeau de trois vaches dont une est montée par une femme, un conducteur en avant et un autre derrière ; plus loin un homme accompagne un âne chargé ; le lointain au-delà de la rivière, est d'une grande étendue et très-varié. Ce tableau est traité dans un ton clair et argentin, d'un pinceau délicat et d'une touche ferme, le coloris est brillant et très-agréable, l'effet naturel (Laerebeke)|Copie du tableau précédent Paysage montagneux et boisé, avec figures et animaux ; dans le milieu coule une belle rivière, qui en serpentant se perd dans le lointain ; sur le devant est un groupe de trois peupliers très-élevés sous lesquels broutent trois chèvres dont le conducteur est assis sur une motte de terre pour se délasser ; à la droite au pied de hauts rochers taillés à pic, descend un troupeau de trois vaches dont une est montée par une femme, un conducteur en avant et un autre derrière ; plus loin un homme accompagne un âne chargé ; le lointain au-delà de la rivière, est d'une grande étendue et très-varié. Ce tableau est traité dans un ton clair et argentin, d'un pinceau délicat et d'une touche ferme, le coloris est brillant et très-agréable, l'effet naturel]] réalisée par Laerebeke, vendue par François Huyttens, achetée par Rob vanden Berghe au prix de 46 fl. [2]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montagneux et boisé, avec figures et animaux ; dans le milieu coule une belle rivière, qui en serpentant se perd dans le lointain ; sur le devant est un groupe de trois peupliers très-élevés sous lesquels broutent trois chèvres dont le conducteur est assis sur une motte de terre pour se délasser ; à la droite au pied de hauts rochers taillés à pic, descend un troupeau de trois vaches dont une est montée par une femme, un conducteur en avant et un autre derrière ; plus loin un homme accompagne un âne chargé ; le lointain au-delà de la rivière, est d'une grande étendue et très-varié. Ce tableau est traité dans un ton clair et argentin, d'un pinceau délicat et d'une touche ferme, le coloris est brillant et très-agréable, l'effet naturel (Nic. Berchem)|Paysage montagneux et boisé, avec figures et animaux ; dans le milieu coule une belle rivière, qui en serpentant se perd dans le lointain ; sur le devant est un groupe de trois peupliers très-élevés sous lesquels broutent trois chèvres dont le conducteur est assis sur une motte de terre pour se délasser ; à la droite au pied de hauts rochers taillés à pic, descend un troupeau de trois vaches dont une est montée par une femme, un conducteur en avant et un autre derrière ; plus loin un homme accompagne un âne chargé ; le lointain au-delà de la rivière, est d'une grande étendue et très-varié. Ce tableau est traité dans un ton clair et argentin, d'un pinceau délicat et d'une touche ferme, le coloris est brillant et très-agréable, l'effet naturel]] réalisée par Nic. Berchem, vendue par François Huyttens, achetée par Van Rotterdam au prix de 600 fl. [3]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montagneux et boisé avec figures: un pont de pierres, construit sur une rivière, qui est glacée, et qui coule dans une vallée, sépare un grand village en deux parties ; la campagne et les montagnes qui terminent l'horison, sont couvertes de neige. Touche ferme, effet naturel (Lucas Van Uden)|Paysage montagneux et boisé avec figures: un pont de pierres, construit sur une rivière, qui est glacée, et qui coule dans une vallée, sépare un grand village en deux parties ; la campagne et les montagnes qui terminent l'horison, sont couvertes de neige. Touche ferme, effet naturel]] réalisée par Lucas Van Uden, vendue par François Huyttens, achetée par Krayter au prix de 41 fl. [4]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage boisé et montagneux: sur le devant des deux côtés d'un chemin de terre est un berger accompagné de son chien gardant un troupeau de moutons, de chèvres et de boucs dont une partie repose, l'autre partie broute près d'une habitation ruinée adossée contre une montagne ; dans un plan éloigné sur la même route est une femme conduisant deux ânes chargés de panniers et de sacs. Les animaux au nombre de 23 sont bien dessinés et la variété de leurs attitudes très-naturelle, la laine des moutons et les poils des boucs imitent si parfaitement la belle nature qu'on est tenté d'y mettre la main ; le coloris est frais, brillant et vigoureux, et rempli de chaleur ; la touche légère des arbres, arbrisseaux et plantes est vraie et ferme, et le ton très poreux règne dans les lointains, l'ensemble est très-harmonieux, et l'effet grâcieux: c'est une des belles productions de cet artiste admirable. Ce tableau est conservé dans une caisse qui ferme à clef (B.P. Ommeganck, 1797)|Paysage boisé et montagneux: sur le devant des deux côtés d'un chemin de terre est un berger accompagné de son chien gardant un troupeau de moutons, de chèvres et de boucs dont une partie repose, l'autre partie broute près d'une habitation ruinée adossée contre une montagne ; dans un plan éloigné sur la même route est une femme conduisant deux ânes chargés de panniers et de sacs. Les animaux au nombre de 23 sont bien dessinés et la variété de leurs attitudes très-naturelle, la laine des moutons et les poils des boucs imitent si parfaitement la belle nature qu'on est tenté d'y mettre la main ; le coloris est frais, brillant et vigoureux, et rempli de chaleur ; la touche légère des arbres, arbrisseaux et plantes est vraie et ferme, et le ton très poreux règne dans les lointains, l'ensemble est très-harmonieux, et l'effet grâcieux: c'est une des belles productions de cet artiste admirable. Ce tableau est conservé dans une caisse qui ferme à clef]] réalisée par B.P. Ommeganck, 1797, vendue par François Huyttens, achetée par Huyttens Sonnestraet au prix de 1710 fl. [5]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau représentant toutes sortes de jeux, de divertissemens et d'amusemens parmi les gens de campagne pendant les kermesses, les foires publiques, processions, et autres fêtes semblables ; le tout traité dans le style le plus grotesque et le plus gai ; peint d'ailleurs d'une manière très-agréable, bien colorié et parfaitement conservé (P. Breughel)|Tableau représentant toutes sortes de jeux, de divertissemens et d'amusemens parmi les gens de campagne pendant les kermesses, les foires publiques, processions, et autres fêtes semblables ; le tout traité dans le style le plus grotesque et le plus gai ; peint d'ailleurs d'une manière très-agréable, bien colorié et parfaitement conservé]] réalisée par P. Breughel, vendue par François Huyttens au prix de 106 fl. [6]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Bouquet de fleurs dans un vase bleu posé sur une table de marbre ; le fond présente un paysage. Peint à l'huile sur verre réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 34 fl. [7]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Les Israëlites ayant passé la mer rouge, sont témoins de la destruction de l'armée de Pharaon que les eaux engloutissent, en punition de la témérité d'avoir voulu les poursuivre dans leur traversée miraculeuse réalisée par Van Herp, vendue par François Huyttens, achetée par Leyns au prix de 9.50 fl. [8]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Grand paysage boisé et montagneux, avec figures réalisée par Huysmans, vendue par François Huyttens, achetée par Schits au prix de 12 fl. [9]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Paix tenant une branche d'olivier dans la main, accompagnée du Tems, terrasse le Dieu de la guerre et foule les monstres de la discorde ; l'Abondance verse les fruits de sa corne et tient une coupe de vin de l'autre main ; Mercure lui montre les progrès du commerce, fruit d'une paix durable (Cleef)|La Paix tenant une branche d'olivier dans la main, accompagnée du Tems, terrasse le Dieu de la guerre et foule les monstres de la discorde ; l'Abondance verse les fruits de sa corne et tient une coupe de vin de l'autre main ; Mercure lui montre les progrès du commerce, fruit d'une paix durable]] réalisée par Cleef, vendue par François Huyttens, achetée par Schits au prix de 17.50 fl. [10]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le troisième des fruits et des fleurs réalisée par Adrien Van Utrecht, vendue par François Huyttens, achetée par Leyns au prix de 6.50 fl. [11]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le second des legumes et du poisson réalisée par Adrien Van Utrecht, vendue par François Huyttens, achetée par Leyns au prix de 6.50 fl. [12]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Trois tableaux dont le premier représente du gibier réalisée par Adrien Van Utrecht, vendue par François Huyttens, achetée par Leyns au prix de 6.50 fl. [13]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une cuisine, où sont étalées toutes sortes de provisions de bouche ; la cuisinière tient en main un gros poisson qu'elle montre en riant à un homme qui vuide une corbeille remplie de viandes réalisée par Nicolas Roose, vendue par François Huyttens, achetée par Lens au prix de 6 fl. [14]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une cuisine remplie de toutes sortes de grands et petits poissons, peints d'après nature d'une vérité frappante réalisée par Adrien Van Utrecht, vendue par François Huyttens, achetée par Franck Abielstraet au prix de 6.50 fl. [15]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux canards et deux petits oiseaux morts suspendus à la muraille, ainsi qu'une petite cage, une gibecière et un étui à poudre réalisée par Helman, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 1.75 fl. [16]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Rebecca après avoir donné à boire à Eliezer, est reconnue par ce fidèle serviteur d'Abraham, être celle que Dieu avait destinée pour femme à son jeune maître Isaac, et voulant la remercier il lui donne des bracelets et des pendans d'oreilles d'or, en lui demandant l'hospitalité pour lui et sa suite. Figures de grandeur naturelle (Cleef)|Rebecca après avoir donné à boire à Eliezer, est reconnue par ce fidèle serviteur d'Abraham, être celle que Dieu avait destinée pour femme à son jeune maître Isaac, et voulant la remercier il lui donne des bracelets et des pendans d'oreilles d'or, en lui demandant l'hospitalité pour lui et sa suite. Figures de grandeur naturelle]] réalisée par Cleef, vendue par François Huyttens, achetée par Kerkhove au prix de 8 fl. [17]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un philosophe assis autour d'un monceau de têtes de morts, montrant à un guerrier à cheval une de ces têtes pour lui donner à connaître la vanité des choses mondaines réalisée par Nicolas Roose, vendue par François Huyttens au prix de 4 fl. [18]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Guirlande de toutes sortes de fleurs à l'entour d'une niche dans laquelle est la statue de la Vierge avec l'enfant Jésus et le petit Saint-Jean réalisée par Morel, vendue par François Huyttens, achetée par Schellink au prix de 0.25 fl. [19]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Du gibier mort suspendu à un arbre et répandu par terre réalisée par A. De Grief, vendue par François Huyttens, achetée par Engelsman au prix de 1 fl. [20]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage boisé et montagneux avec figures et animaux réalisée par Pynacker, vendue par François Huyttens, achetée par de Cauwer au prix de 22 fl. [21]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue du Belvedere, maison de plaisance et jardins de l'évêque Triest, situé hors de la ville sur le bord de la Lys près de l'église d'Ackergem ; on connaît maintenant cet endroit sous le nom de Belle-fidèle (corruption de Belvedere) ; dans le lointain est la ville de Gand: l'évêque Triest en habit violet, promène dans le jardin. Le paysage est de Lucas Van Uden, les figures de P. Hals (Lucas Van Uden)|Vue du Belvedere, maison de plaisance et jardins de l'évêque Triest, situé hors de la ville sur le bord de la Lys près de l'église d'Ackergem ; on connaît maintenant cet endroit sous le nom de Belle-fidèle (corruption de Belvedere) ; dans le lointain est la ville de Gand: l'évêque Triest en habit violet, promène dans le jardin. Le paysage est de Lucas Van Uden, les figures de P. Hals]] réalisée par Lucas Van Uden, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 18 fl. [22]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Combat pour la défense de Calloo près d'Anvers, contre les troupes de Nassau réalisée par Gaspar Van Eyck, vendue par François Huyttens, achetée par Wyse au prix de 3 fl. [23]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Réunion de la Ste-Famille, la Vierge, l'enfant Jésus, St-Jean Baptiste, St-Joseph, Ste-Anne et St-Joachim, dans un paysage ; le petit St-Jean offre à la Vierge une grappe de raisins qu'elle accepte. Figures de grandeur naturelle réalisée par Vermandel, vendue par François Huyttens, achetée par de Noter Slypstraet au prix de 10 fl. [24]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue du couvent et de l'église des récollets à Gand situés sur le bord de la Lys, entre deux ponts de pierres d'un côté, et de l'autre côté donnant sur la rue des champs ; en face de la chapelle des bateliers et de la rue du soleil (artiste anonyme)|Vue du couvent et de l'église des récollets à Gand situés sur le bord de la Lys, entre deux ponts de pierres d'un côté, et de l'autre côté donnant sur la rue des champs ; en face de la chapelle des bateliers et de la rue du soleil]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Huyttens Charles au prix de 50 fl. [25]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'un ancien château situé dans une vaste plaine, entouré d'eau et d'arbres, avec figures et animaux réalisée par Lucas Van Uden, vendue par François Huyttens, achetée par Schits au prix de 4 fl. [26]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Bouquet de fleurs dans un vase posé sur une table de pierre, dans un paysage réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Wyse au prix de 1.50 fl. [27]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Enée ayant mis ses vaissaux en sûreté, curieux de savoir dans quels lieux les vents l'on jetté, est descendu à terre accompagné seulement d'Achate, et marchant dans une vaste forêt est arrêté par Vénus, cachée sous la figure d'une Nymphe chasseresse munie d'un arc et d'un carquois, qui leur demande d'où ils viennent et où ils ont intention d'aller: c'est ce momnet que le peintre a représenté ; les figures sont demi-grandeur de nature (Joseph Paelink)|Enée ayant mis ses vaissaux en sûreté, curieux de savoir dans quels lieux les vents l'on jetté, est descendu à terre accompagné seulement d'Achate, et marchant dans une vaste forêt est arrêté par Vénus, cachée sous la figure d'une Nymphe chasseresse munie d'un arc et d'un carquois, qui leur demande d'où ils viennent et où ils ont intention d'aller: c'est ce momnet que le peintre a représenté ; les figures sont demi-grandeur de nature]] réalisée par Joseph Paelink, vendue par François Huyttens, achetée par De Cauwer ainé Cammerstraet au prix de 102 fl. [28]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[La grande foire et marché aux bêtes de Tervure, peint d'après nature. On y voit un grand nombre de boeufs, vaches et taureaux, de moutons, agneaux, brebis, chèvres, boucs, cochons, ânes, chevaux, avec leurs conducteurs, et autres figures ; la place est entourée de maisons et de la grande église ; dans le fond on aperçoit l'ancien château du Prince Charles de Lorraine. Les figures, animaux, arbres et le payasage sont peints par M. de Roy ; l'église et autres bâtimens sont de M. Van Assche (J.B. De Roy)|La grande foire et marché aux bêtes de Tervure, peint d'après nature. On y voit un grand nombre de boeufs, vaches et taureaux, de moutons, agneaux, brebis, chèvres, boucs, cochons, ânes, chevaux, avec leurs conducteurs, et autres figures ; la place est entourée de maisons et de la grande église ; dans le fond on aperçoit l'ancien château du Prince Charles de Lorraine. Les figures, animaux, arbres et le payasage sont peints par M. de Roy ; l'église et autres bâtimens sont de M. Van Assche]] réalisée par J.B. De Roy, vendue par François Huyttens, achetée par DeRoy à Bruxelles frere du peintre au prix de 1100 fl. [29]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de la chapelle et de la maison dite haute au village de Boisfort, située sur le bord de la rivière, avec figures et animaux: cette maison servait de logement à Teniers, à Artois, et à d'autres peintres renommés quand ils étudiaient la nature dans ce village pittoresque ; elle sert d'auberge aux habitans de Bruxelles dans leurs parties de plaisir après la promenade. Tableau agréable et d'une belle couleur (H. Van Assche, 1809)|Vue de la chapelle et de la maison dite haute au village de Boisfort, située sur le bord de la rivière, avec figures et animaux: cette maison servait de logement à Teniers, à Artois, et à d'autres peintres renommés quand ils étudiaient la nature dans ce village pittoresque ; elle sert d'auberge aux habitans de Bruxelles dans leurs parties de plaisir après la promenade. Tableau agréable et d'une belle couleur]] réalisée par H. Van Assche, 1809, vendue par François Huyttens, achetée par Leo Huyttens au prix de 422 fl. [30]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue de l'intérieur de l'église cathédrale de S. Bavon à Gand prise de la petite nef à droite avec une partie de la grande nef, exactement copiée d'après nature avec tous ses détails, et ornée de plusieurs figures réalisée par P.F. De Noter, 27 Juin 1817, vendue par François Huyttens, achetée par de Loos à Zele au prix de 202 fl. [31]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur du vestibule souterrain du château St-Ange à Rome peint d'après nature. L'artiste l'a enrichi d'un épisode historique en y plaçant la belle Cenci, condamnée à perdre la tête pour paricide, sous le pontificat de Paul V., qu'on voit marcher lentement au supplice précédée par les confrères de la miséricorde, tenant des cierges allumées ; l'infortunèe en habit fort simple, la tête penchée sur un crucifix, marche entre deux soldats. Tableau très-intéressant et bien exécuté (Ferdinand-Marie Delvaux, 1812)|L'intérieur du vestibule souterrain du château St-Ange à Rome peint d'après nature. L'artiste l'a enrichi d'un épisode historique en y plaçant la belle Cenci, condamnée à perdre la tête pour paricide, sous le pontificat de Paul V., qu'on voit marcher lentement au supplice précédée par les confrères de la miséricorde, tenant des cierges allumées ; l'infortunèe en habit fort simple, la tête penchée sur un crucifix, marche entre deux soldats. Tableau très-intéressant et bien exécuté]] réalisée par Ferdinand-Marie Delvaux, 1812, vendue par François Huyttens, achetée par Huyttens Sonnestraete au prix de 106 fl. [32]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux canards sauvages morts, suspendus à la muraille et un alcyon posé sur une table de marbre où le peintre a encore placé un nid d'oiseaux contenant trois petits, le tout fidèlement copié d'après nature réalisée par J. Berré, 1802, vendue par François Huyttens, achetée par [[Leo Huyttens by[..] deNoter]] au prix de 106 fl. [33]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une mer calme, où l'on voit un vaisseau de guerre, une frégate et plusieurs barques réalisée par J.N. Koekkoek, 1811, vendue par François Huyttens, achetée par Schryver Brugge au prix de 40 fl. [34]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge avec l'enfant Jésus devant qui s'agenouille le petit S. Jean ; figures de grandeur naturelle réalisée par C. Cels, vendue par François Huyttens, achetée par Leo Huyttens au prix de 80 fl. [35]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Jésus-Christ à table avec les disciples d'Emaüs dans le moment qu'il rompt le pain ; demi-figures de grandeur naturelle réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 10 fl. [36]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'un ancien château ruiné en deçà de l'Escaut ; on voit dans le lointain la ville d'Anvers. La prairie est couverte de vaches, de moutons, de chevaux et de figures réalisée par Le Brun, 1789, vendue par François Huyttens, achetée par van Huffel au prix de 74 fl. [37]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux vues souterraines, peintes d'après nature à Rome réalisée par Ferdinand-Marie Delvaux, vendue par François Huyttens, achetée par Schryver au prix de 37 fl. [38]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'amour rémouleur assis sur le bord d'une fontaine où il est occupé à aiguiser une flèche tandis qu'un autre enfant lui jette de l'eau pour le tourmenter réalisée par J. François, vendue par François Huyttens, achetée par Huyttens Sonnestraet au prix de 130 fl. [39]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La Ste-Vierge avec l'enfant Jésus sur ses genoux réalisée par J. François, vendue par François Huyttens, achetée par Leo Huyttens au prix de 60 fl. [40]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La sainte-Vierge fiancée à St. Joseph. Copie d'après Rubens réalisée par J. Beschey, 1733, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 98 fl. [41]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue de l'Escaut, éclairée par la lune avec figures et barquettes ; sur le devant est un groupe de paysans qui s'échauffent près d'un grand feu. Effet piquant et naturel réalisée par P. Regemoorter, vendue par François Huyttens, achetée par Leyns au prix de 41 fl. [42]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Etude d'une grappe de raisins rouges ; peint sur papier réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Papeleu au prix de 3.50 fl. [43]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue de la porte aux chaudrons (dite Ketelpoorte) à Gand, et vue de Cuyp-gat. Deux tableaux réalisée par J. Trachez, 1775 et 1777, vendue par François Huyttens, achetée par Ch Huyttens Onderberghe au prix de 50 [or] 53 fl. [44]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue du pont aux herbes et du pont de St-Michel dans la ville de Gand, avec figures et bateaux réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Van Loo au prix de 6.50 fl. [45]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La Madonne avec l'enfant Jésus dans ses bras ; et St. Joseph avec l'enfant Jésus. Deux tableaux peints sur Toile réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Breyn au prix de 2 fl. [46]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme St.-Jean Baptiste prêchant dans le désert la venue du Messie à une nombreuse assemblée d'auditeurs réalisée par Cleef, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 1 fl. [47]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'un port-de-mer, avec figures et animaux réalisée par Minderhout, vendue par François Huyttens, achetée par Mahy autre au prix de 60 fl. [48]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'intérieur d'une maison rustique, où deux personnes sont occupées du soin du ménage ; sur le devant sont étalés plusieurs ustensiles de cuisine, de légumes, etc. réalisée par Marqué P.V.L., vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 14 fl. [49]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue prise dans les montagnes de la Suisse, avec figures réalisée par Momper, vendue par François Huyttens, achetée par Cauwer au prix de 1.25 fl. [50]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme De paysans qui se rendent au marché avec leurs bestiaux réalisée par Tilborch, vendue par François Huyttens, achetée par Huyttens Pekelharing au prix de 12 fl. [51]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages boisés avec figures et animaux réalisée par Schoovaert, vendue par François Huyttens, achetée par Williams au prix de 40 fl. [52]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux dont l'un représente une compagnie qui joue aux cartes, l'autre qui se divertit en faisant de la musique. Composition agréable, figures bien variées et très-animées, coloris vigoureux, bonne harmonie réalisée par J.R. Brakenburg, vendue par François Huyttens, achetée par Huyttens Sonnestraete au prix de 502 fl. [53]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Compagnie choisie de l'un et de l'autre sexe réunie dans un vaste salon pour se divertir au jeu, à faire de la musique, et s'amuser à boire et à manger. Le peintre a mis une grande variété dans les attitudes des figures, ainsi que dans le costume de leur habillement qui est très-remarquable par sa richesse et sa bizarerie (V. Van Delen 1628)|Compagnie choisie de l'un et de l'autre sexe réunie dans un vaste salon pour se divertir au jeu, à faire de la musique, et s'amuser à boire et à manger. Le peintre a mis une grande variété dans les attitudes des figures, ainsi que dans le costume de leur habillement qui est très-remarquable par sa richesse et sa bizarerie]] réalisée par V. Van Delen 1628, vendue par François Huyttens, achetée par Chantrell Brugge au prix de 140 fl. [54]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les sept oeuvres de miséricorde ; composition ingénieuse et touchante, savamment variée ; les figures sont dessinées correctement, les airs des têtes très-expressifs, les accessoires traités avec art: un beau coloris, une touche vigoureuse et une parfaite harmonie, en font une des plus belles productions de ce maître (F. Franck, 1667)|Les sept oeuvres de miséricorde ; composition ingénieuse et touchante, savamment variée ; les figures sont dessinées correctement, les airs des têtes très-expressifs, les accessoires traités avec art: un beau coloris, une touche vigoureuse et une parfaite harmonie, en font une des plus belles productions de ce maître]] réalisée par F. Franck, 1667, vendue par François Huyttens, achetée par vanden Berghe Nieulant au prix de 101 fl. [55]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage montagneux avec figures et animaux réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Schiets au prix de 40 fl. [56]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme S. Jean tenant un calice en main. Buste de grandeur naturelle réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 6 fl. [57]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue du jardin d'une maison de campagne, dans lequel se promènent plusieurs personnages ; on y voit rassemblé une quantité de légumes et plusieurs oiseaux domestiques. Peint d'un touche large et hardie, les deux figures sur le premier plan sont de portraits bien exécutés (P. Ghys)|Vue du jardin d'une maison de campagne, dans lequel se promènent plusieurs personnages ; on y voit rassemblé une quantité de légumes et plusieurs oiseaux domestiques. Peint d'un touche large et hardie, les deux figures sur le premier plan sont de portraits bien exécutés]] réalisée par P. Ghys, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 104 fl. [58]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait de grandeur naturelle d'un enfant sous la figure de l'amour, accompagné de trois autres enfans qui le parent d'une guirlande de fleurs. Les fleurs sont peintes avec beaucoup d'art ainsi que les insectes réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Kerkhove au prix de 12 fl. [59]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Guirlande de fleurs à l'entour d'une niche, dans laquelle est posé le buste d'une femme réalisée par François Eykens, vendue par François Huyttens, achetée par Kerkhove au prix de 7 fl. [60]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Festin rustique en plein air réalisée par G. Tilborch, vendue par François Huyttens, achetée par Schryver Brugge au prix de 50 fl. [61]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Camp de cavalerie. Riche composition avec grand nombre de chevaux ; couleur brillante, effet imposant réalisée par Manière de Ph. Wauwermans, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 100 fl. [62]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Tableau de cheminé, représentant une fontaine dans un jardin réalisée par Le Plat, vendue par François Huyttens, achetée par Berghe au prix de 0.50 fl. [63]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage montagneux avec figures réalisée par Manière de Brauwer, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 30 fl. [64]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Assomption de la Ste Vierge en présence des douze Apôtres réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par [[vander Defseke [?] Tenick [?]]] au prix de 5.50 fl. [65]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'une grande étendue de pays sur le cours du Rhin, avec figures. L'exécution en est belle, la touche légère, la couleur agréable réalisée par H. Saftleeven, 1651, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 80 fl. [66]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le portrait de grandeur naturelle de Jean Steen levant un pot de bierre en l'air et articulant les mots suivants écrits sur un paravant: Qui bene bibit bene dormit, qui bene dormit non peccat, ergo bibamus et nos saluamus. 1663 réalisée par J. Steen, vendue par François Huyttens, achetée par Leo Huyttens au prix de 25 fl. [67]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Cinq personnes à une fenêtre ouverte, écoutent la lecture d'une nouvelle qu'un d'eux est occupé à lire réalisée par J. Steen, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 55 fl. [68]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue dans les montagnes de la Suisse, avec figures: sur le devant un prêtre dit la messe dans une grotte, que plusieurs assistans à genoux entendent réalisée par Momper, vendue par François Huyttens, achetée par Beyart Veltstr au prix de 10.50 fl. [69]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage boisé avec figures réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par van Belle au prix de 10 fl. [70]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux: l'un représente l'atelier d'un peintre, l'autre celui d'un sculpteur réalisée par B.V. Bosch, 1704, vendue par François Huyttens, achetée par Lerberghe au prix de 28 fl. [71]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Des pêcheurs tirant leur filet sur le bord de la rivière réalisée par Ph. Wauwermans, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 128 fl. [72]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Tabagie réalisée par Marqué Daniel Boone, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 59 fl. [73]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage boisé et montagneux où l'on voit sur le devant deux vaches, un boeuf et trois agneaux. Tableau agréable pour la couleur, ton chaud, effet piquant réalisée par N. Berchem, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 182 fl. [74]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montagneux: sur le devant est un homme assis sur un cheval blanc adressant la parole à un paysan assis par terre à côté de sa femme qui tient un enfant endormi entre ses bras, un chien est couché à leurs pieds. Il règne dans ce joli tableau une bonne harmonie, la touche en est délicate et la couleur agréable (P. Wouwermans)|Paysage montagneux: sur le devant est un homme assis sur un cheval blanc adressant la parole à un paysan assis par terre à côté de sa femme qui tient un enfant endormi entre ses bras, un chien est couché à leurs pieds. Il règne dans ce joli tableau une bonne harmonie, la touche en est délicate et la couleur agréable]] réalisée par P. Wouwermans, vendue par François Huyttens, achetée par Schryver tot Brugge au prix de 65 fl. [75]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Joueur de vielle qui amuse un groupe d'enfans et autres personnes rassemblées devant une habitation rustique. Tableau gracieux d'un ton doré et d'un effet piquant réalisée par J. Van Ostade, vendue par François Huyttens, achetée par van Rotterdam au prix de 400 fl. [76]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Charlatan faisant une opération au pied d'un paysan. L'expression de douleur dans le paysan et l'attention dans l'opérateur sont remarquables réalisée par Marqué P.R., vendue par François Huyttens, achetée par Rob vden Berghe au prix de 17 fl. [77]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un charlatan qui arrache de dents à un paysan, d'après Brauwer réalisée par Brauwer, vendue par François Huyttens, achetée par De Noter Slypstraete au prix de 51 fl. [78]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Tabagie, d'après D. Teniers réalisée par D. Teniers, vendue par François Huyttens, achetée par Schryver te Brugge au prix de 10 fl. [79]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Buste d'un vieillard coiffé d'un turban réalisée par Gerbrant Vanden Eeckhout, vendue par François Huyttens, achetée par Schryver te Brugge au prix de 12 fl. [80]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Marie-Magdelaine expirante soutenue par deux anges, dans le désert. Copie d'après le tableau de P. P. Rubens qui était dans l'église de Récollets à Gand réalisée par P.P. Rubens, vendue par François Huyttens, achetée par van Huffel au prix de 1 fl. [81]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un homme est assis à côté d'une femme mulâtre qu'il caresse sous le menton, un autre homme est à la porte en attitude d'uriner: une image collée sur la muraille représente la Fortune versant à boire dans une coupe que tiennent deux enfans, tous trois sont posés sur un globe, on lit au bas une légende de 33 lettres initiales (artiste anonyme)|Un homme est assis à côté d'une femme mulâtre qu'il caresse sous le menton, un autre homme est à la porte en attitude d'uriner: une image collée sur la muraille représente la Fortune versant à boire dans une coupe que tiennent deux enfans, tous trois sont posés sur un globe, on lit au bas une légende de 33 lettres initiales]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Schryver te Brugge au prix de 12 fl. [82]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage montagneux et boisé avec figures: sur le devant est une auberge située au pied d'une montagne près d'un ruisseau réalisée par G.V.S., vendue par François Huyttens, achetée par Rob vden Berghe au prix de 19 fl. [83]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage boisé avec figures: le milieu du tableau est coupé par des étangs et le lointain présente plusieurs clochers de village réalisée par Denis V. Alsloot, 1618, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 7.75 fl. [84]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Port-de-mer italien avec un grand nombre de figures. Composition riche et très-variée réalisée par Goubau, 1664, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 40 fl. [85]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage boisé, orné de figures réalisée par Jacques Artois, vendue par François Huyttens, achetée par [[Rottier Vowtleye [?]]] au prix de 30 fl. [86]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Bas-relief imitant le bronze représentant des enfans jouant avec une chèvre réalisée par Versporten, 1725, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 3 fl. [87]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La Sainte Famille avec le petit S. Jean accompagné de son agneau et un autre enfant portant une corbeille de fleurs, dans un joli paysage réalisée par Thys, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 10 fl. [88]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Groupe de raisins blancs et rouges et deux pêches réalisée par G. De Coninck, vendue par François Huyttens, achetée par Lerberghe au prix de 16 fl. [89]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Marie-Magdelaine dans une grotte méditant sur la mort réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par van Belle au prix de 6 fl. [90]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux marines: eaux calmes avec barques et barquettes réalisée par C. J. Schoeff, 1659, vendue par François Huyttens, achetée par Beyaert Veldstr au prix de 17 fl. [91]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Martyre de S. Jacques apôtre décapité. Copie d'après l'esquisse du grand tableau du maître-autel de l'église de S. Jacques à Gand réalisée par D'après Bronchorst, dit Lange Jan, vendue par François Huyttens, achetée par de Noter Slypstraet au prix de 6 fl. [92]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux: dont l'un représente où Jésus-Christ portant sa croix est rencontré par Véronique ; l'autre où il est porté au tombeau accompagné des saintes femmes réalisée par Pastiches de D. Teniers, vendue par François Huyttens, achetée par de Noter Slypstraet au prix de 24 fl. [93]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus-Christ descendu de la croix est porté au tombeau par Joseph d'Arimathie et Nicodeme, accompagnés des Saintes Vierges ; la Mère du Sauveur en soulevant le voile qui couvrait le visage de son fils, exhale sa profonde douleur à la vue d'un si triste spectacle, la Magdelaine fondant en pleurs et S. Jean sont navrés de la même douleur ; figures de grandeur naturelle jusqu'au dessous des genoux. L'expression dans les têtes est touchante, le pinceau hardi, la manière large, le coloris frais et brillant, et l'effet imposant (P. P. Rubens)|Jésus-Christ descendu de la croix est porté au tombeau par Joseph d'Arimathie et Nicodeme, accompagnés des Saintes Vierges ; la Mère du Sauveur en soulevant le voile qui couvrait le visage de son fils, exhale sa profonde douleur à la vue d'un si triste spectacle, la Magdelaine fondant en pleurs et S. Jean sont navrés de la même douleur ; figures de grandeur naturelle jusqu'au dessous des genoux. L'expression dans les têtes est touchante, le pinceau hardi, la manière large, le coloris frais et brillant, et l'effet imposant]] réalisée par P. P. Rubens, vendue par François Huyttens, achetée par Huyttens Sonnestraete au prix de 320 fl. [94]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Trois bouquets de fleurs dans de vases de cristal et de fayence, sur une table de bois réalisée par Feyt, vendue par François Huyttens, achetée par van Grootven au prix de 2.50 fl. [95]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'homme tenant une lettre adressée à Gio Batta Cottano. Buste de grandeur naturelle avec deux mains ; bien colorié réalisée par École Italienne, vendue par François Huyttens, achetée par [[Vanden Berghe Hoogp[oort]]] au prix de 54 fl. [96]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage boisé avec figures: sur le devant près d'une mare, des chasseurs à cheval s'arrêtent pour reposer. Couleur naturelle, touche hardie, harmonie parfaite réalisée par Salomon Ruysdael, 1659, vendue par François Huyttens, achetée par Lichtervelde au prix de 51 fl. [97]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus-Christ arrivé au Calvaire est maltraité et dépouillé de ses habits pour l'attacher à la croix ; une foule de soldats et curieux l'accompagnent, les deux larrons sont du nombre ; dans le fond on aperçoit la ville de Jérusalem. Riche composition et très-variée (D. F. Franck)|Jésus-Christ arrivé au Calvaire est maltraité et dépouillé de ses habits pour l'attacher à la croix ; une foule de soldats et curieux l'accompagnent, les deux larrons sont du nombre ; dans le fond on aperçoit la ville de Jérusalem. Riche composition et très-variée]] réalisée par D. F. Franck, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 34 fl. [98]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'intérieur d'une grande église catholique avec beaucoup de figures réalisée par Peeter Neefs, 1653, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 200 fl. [99]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le repos de Balthasar environné d'une cour brillante. Le présomptueux monarque se trouble à l'apparition d'une main qui écrit sur la muraille ces mots: MANE, TECHEL, PHARES ; les convives partagent son anxiété et sont remplis d'étonnement. Composition riche, ton chaud, coloris vigoureux: c'est une des bonnes productions de ce maître (D. T. Franck)|Le repos de Balthasar environné d'une cour brillante. Le présomptueux monarque se trouble à l'apparition d'une main qui écrit sur la muraille ces mots: MANE, TECHEL, PHARES ; les convives partagent son anxiété et sont remplis d'étonnement. Composition riche, ton chaud, coloris vigoureux: c'est une des bonnes productions de ce maître]] réalisée par D. T. Franck, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 62 fl. [100]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage montagneux et boisé, avec figures et animaux ; on y voit un troupeau de vaches, chèvres et brebis gardé par un pâtre et deux femmes réalisée par Dirk Vanden Berghen, vendue par François Huyttens, achetée par Leo Huyttens au prix de 272 fl. [101]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de l'entrée d'une forêt avec figures ; dans le fond on aperçoit le clocher d'un village et autres maisons. Les arbres sont traités largement, les accessoires ainsi que les figures bien coloriés, le ton vigoureux et l'harmonie parfaite (Adrian Verboom)|Vue de l'entrée d'une forêt avec figures ; dans le fond on aperçoit le clocher d'un village et autres maisons. Les arbres sont traités largement, les accessoires ainsi que les figures bien coloriés, le ton vigoureux et l'harmonie parfaite]] réalisée par Adrian Verboom, vendue par François Huyttens, achetée par Mahy autre au prix de 160 fl. [102]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages montagneux et boisés, avec figures: dans l'un on voit de pêcheurs occupés à débarquer leur poisson ; dans l'autre, des paysans conduisant leurs troupeaux au marché voisin réalisée par Schoovaert, vendue par François Huyttens, achetée par Loos Calvermarkt au prix de 35 fl. [103]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux sites romantiques de l'Arcadie, ornés de figures réalisée par Glauber, vendue par François Huyttens, achetée par de Noter au prix de 74 fl. [104]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux vues sur le Rhin avec grand nombre de figures. Riche composition, touche spirituelle, ton argentin et vaporeux, perspective aérienne bien observée, effet charmant réalisée par C. Breydel, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 150 fl. [105]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux représentant une quantité de gibier mort, partie épars par terre, partie suspendu à de branches d'arbres et gardé par des chiens. Le peintre a placé Diane avec ses nymphes près d'une fontaine goutant les douceurs du repos après les fatigues de la chasse (A. D. Grief)|Deux tableaux représentant une quantité de gibier mort, partie épars par terre, partie suspendu à de branches d'arbres et gardé par des chiens. Le peintre a placé Diane avec ses nymphes près d'une fontaine goutant les douceurs du repos après les fatigues de la chasse]] réalisée par A. D. Grief, vendue par François Huyttens, achetée par Mahy autre au prix de 40 fl. [106]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages boisés, avec ruines et figures réalisée par Manière de Schoovaert, vendue par François Huyttens, achetée par [[Cauwer angridf...[?]]] au prix de 1.75 fl. [107]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux représentant du gibier mort étendu par terre au pied d'un arbre, et gardé par un chien réalisée par A. D. Grief, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 41 fl. [108]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Table de marbre sur laquelle sont placées des raisins blancs et rouges, des abricots, des cerises, des mures, des marrons, une figue, un pain blanc, une huître, un plat d'étain, un gobelet d'or. Le tout fidèlement copié d'après nature, et bien colorié (P. De Heem)|Table de marbre sur laquelle sont placées des raisins blancs et rouges, des abricots, des cerises, des mures, des marrons, une figue, un pain blanc, une huître, un plat d'étain, un gobelet d'or. Le tout fidèlement copié d'après nature, et bien colorié]] réalisée par P. De Heem, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 8.50 fl. [109]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Palais en perspective du côté des jardins, avec plusieurs figures réalisée par Errenbergh, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 17.50 fl. [110]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le petit S. Jean dans une grotte, qu'un groupe d'anges, sortant des nuages, vient visiter dans sa solitude réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par [[Fohers [?]]] au prix de 3.25 fl. [111]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages: dans un desquels on voit un camp de cavalerie ; dans l'autre une attaque meurtrière de cavaliers réalisée par P. V. Blomme, alias, Standaert, 1716 et 1717, vendue par François Huyttens, achetée par Mahy autre au prix de 17.50 fl. [112]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montagneux et boisé, avec figures ; sur le devant est un orme majestueux éclairé des rayons d'un soleil ardent ; près de-là une mare sur le bord de laquelle se trouve un taureau, éclairé de même, au-delà dans la montagne se voit un chemin qu'une femme assise sur un âne descend, suivie d'un berger conduisant trois moutons, à droite est une plaine couverte d'arbustes ; l'air est rempli de vapeurs brûlantes qui annoncent une belle journée d'été. Ton chaud, couleur vigoureuse, effet frappant (Adam Pynaker)|Paysage montagneux et boisé, avec figures ; sur le devant est un orme majestueux éclairé des rayons d'un soleil ardent ; près de-là une mare sur le bord de laquelle se trouve un taureau, éclairé de même, au-delà dans la montagne se voit un chemin qu'une femme assise sur un âne descend, suivie d'un berger conduisant trois moutons, à droite est une plaine couverte d'arbustes ; l'air est rempli de vapeurs brûlantes qui annoncent une belle journée d'été. Ton chaud, couleur vigoureuse, effet frappant]] réalisée par Adam Pynaker, vendue par François Huyttens, achetée par Leo Huyttens au prix de 242 fl. [113]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme St. Pierre fondant en pleurs pour avoir rénié son maître ; demi-figure de grandeur naturelle réalisée par D'après Spagnolet, vendue par François Huyttens, achetée par Langenhaek au prix de 14 fl. [114]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux esquisses représentant la chasse au sanglier par des chiens réalisée par Sneyers, vendue par François Huyttens, achetée par Rob vden Berghe au prix de 6.25 fl. [115]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le jugement de Midas ; la scène se passe dans une forêt antique réalisée par Keerinckx, vendue par François Huyttens, achetée par Mahy autre au prix de 13 fl. [116]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages: dans l'un est endormi un berger près de son troupeau de brebis et de vaches, dans l'autre un pâtre cherche de puces à son chien réalisée par Abraham Teniers, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 50 fl. [117]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage montagneux et boisé avec figures ; on y voit un château situé sur la pente d'une colline réalisée par Manière de L. Van Uden, vendue par François Huyttens, achetée par de Schryver, Brugge au prix de 12 fl. [118]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'intérieur d'une église catholique, où l'on voit un prêtre célébrer le saint sacrifice de la messe que plusieurs assistans entendent avec dévotion réalisée par P. Neefs, vendue par François Huyttens, achetée par Rob van den Berghe Nieulant au prix de 100 fl. [119]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'intérieur d'une prison où le peintre a placé St. Pierre qu'un ange vient délivrer, tandis que les gardiens sont endormis réalisée par P. Neefs, vendue par François Huyttens, achetée par Antheunis au prix de 41 fl. [120]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages avec figures réalisée par J. De Beckers, 1744, vendue par François Huyttens, achetée par Rob vden Berghe au prix de 35 fl. [121]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'intérieur d'une maison rustique, où, sur le devant, on voit plusieurs ustensiles de menage artistement imités d'après nature ; dans le fond deux paysans sont assis près du feu et s'occupent à fumer réalisée par Mathieu Van Helmont, vendue par François Huyttens, achetée par Schiets au prix de 13 fl. [122]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un cabinet de tableaux, de statues, d'objets d'histoire naturelle, de raretés et d'une infinité de curiosités. L'artiste pour donner de l'importance à cette espèce de musée y a bizarrement introduit les dames de la cour de Lycomède, parmi lesquelles est Achille caché sous l'habit de fille ; Ulysse qui se trouve aussi dans ce musée à la recherche d'Achille, le reconnait dans le moment qu'il choisit une épée et un bouclier au lieu de bijoux (Franck)|Vue d'un cabinet de tableaux, de statues, d'objets d'histoire naturelle, de raretés et d'une infinité de curiosités. L'artiste pour donner de l'importance à cette espèce de musée y a bizarrement introduit les dames de la cour de Lycomède, parmi lesquelles est Achille caché sous l'habit de fille ; Ulysse qui se trouve aussi dans ce musée à la recherche d'Achille, le reconnait dans le moment qu'il choisit une épée et un bouclier au lieu de bijoux]] réalisée par Franck, vendue par François Huyttens, achetée par de Noter au prix de 21 fl. [123]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue très-étendue dans les montagnes de la Suisse ; sur le devant on voit des voyageurs en voiture et à cheval attaqués par des brigands réalisée par Momper, vendue par François Huyttens, achetée par Rottiers au prix de 23 fl. [124]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages boisés avec figures et animaux réalisée par Lucas Van Uden, vendue par François Huyttens, achetée par van Huffel au prix de 51 fl. [125]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux représentant des chocs de cavalerie réalisée par Breydel, vendue par François Huyttens, achetée par Schryver Brugge au prix de 33 fl. [126]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Jésus-Christ mourant sur la croix accompagné de la Sainte Vierge, St. Jean et Marie Magdelaine ; les soldats accourrent sur le Calvaire effrayés par les prodiges qui s'opèrent dans l'air ; dans le fond on voit la ville de Jérusalem réalisée par G. Mostaert, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 30 fl. [127]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Célébration d'un festin de nôces: on y danse au son du violon et de la cornemuse, tandis que d'autres convives s'égaient à table ; la bonne humeur et la joie y président. Bon coloris; bel effet réalisée par G. Lundius, vendue par François Huyttens, achetée par van Huffel au prix de 58 fl. [128]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'une immense étendue de pays situé sur le Rhin ; on aperçoit dans les lointains plusieurs villes, châteaux, églises, sur les bords de cette belle rivière. Le peintre a orné ce joli tableau des figures et animaux réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 21 fl. [129]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Bustes d'un vieillard et d'une jeune femme. Deux tableaux réalisée par P. Strick, vendue par François Huyttens, achetée par Leo Huyttens au prix de 19 fl. [130]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux représentant des chocs de cavalerie réalisée par Breydel, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 16 fl. [131]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue du couvent des chartreux dans le Bois, situé dans une belle plaine couverte d'arbres, avec figures. Le peintre a choisi un horsion très-élevé réalisée par Lucas Van Uden, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 40 fl. [132]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le marché aux poissons d'une ville hollandaise avec beaucoup de figures. Composition riche et bien traitée ; la perspective linéaire et aérienne y est bien observée, la touche en est ferme et le coloris vigoureux réalisée par Cornelis Dusart, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 304 fl. [133]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une maison rustique dans laquelle, d'un côté on voit suspendu un cochon gras, prêt à être dépécé ; la tête est posée sur un billot ; de l'autre côté, est un groupe de paysans qui se portent mutuellement des toasts en signe de joye du produit qui doit résulter pour le maître de la maison de la vente du cochon, comme aussi des jouissances gastriques qu'ils se promettent de ses débris. Dans le fond, la menagère prépare des saucisses. Deux poules et un chat rodent sur le plancher. Les objets morts imitent parfaitement la nature et sont traités d'une manière large et bien coloriés. L'ensemble en est très-harmonieux (P. Bloot)|L'intérieur d'une maison rustique dans laquelle, d'un côté on voit suspendu un cochon gras, prêt à être dépécé ; la tête est posée sur un billot ; de l'autre côté, est un groupe de paysans qui se portent mutuellement des toasts en signe de joye du produit qui doit résulter pour le maître de la maison de la vente du cochon, comme aussi des jouissances gastriques qu'ils se promettent de ses débris. Dans le fond, la menagère prépare des saucisses. Deux poules et un chat rodent sur le plancher. Les objets morts imitent parfaitement la nature et sont traités d'une manière large et bien coloriés. L'ensemble en est très-harmonieux]] réalisée par P. Bloot, vendue par François Huyttens, achetée par Huyttens au prix de 200 fl. [134]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une habitation rustique où l'on voit sur le devant une quantité d'ustensiles de menage et de légumes, une cornemuse, une brouette, et autres objets, peints d'après nature d'une vérité frappante ; au second plan la menagère est assise auprès du feu accompagnée de deux enfans (Manière de Zorg)|L'intérieur d'une habitation rustique où l'on voit sur le devant une quantité d'ustensiles de menage et de légumes, une cornemuse, une brouette, et autres objets, peints d'après nature d'une vérité frappante ; au second plan la menagère est assise auprès du feu accompagnée de deux enfans]] réalisée par Manière de Zorg, vendue par François Huyttens, achetée par Schryver tot Brugge au prix de 18 fl. [135]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'une mer agitée, avec vaisseaux et barques ; on voit sur le bord de la mer une fanal, et une lmultitude de personnes sur le rivage réalisée par Bonav. Peeters, 1645, vendue par François Huyttens, achetée par Rottier au prix de 25 fl. [136]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Les sept vierges sages avec leurs lampes allumées devant la demeure du seigneur où elles sont invitées d'entrer ; trois anges du haut du ciel répandent des fleurs sur elles réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Volkaert te Brugge au prix de 14 fl. [137]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Danse de l'ours entouré de plusieurs spectateurs devant une maison de campagne réalisée par P. V. Blomme, alias, Standaert, vendue par François Huyttens, achetée par Rob vanden Berghe au prix de 31 fl. [138]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Campement de cavaliers hongrois dans un village réalisée par P. V. Blomme, alias, Standaert, vendue par François Huyttens, achetée par Weys au prix de 5 fl. [139]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un bouquet de fleurs dans un vase de cristal réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Porré au prix de 3.25 fl. [140]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une sainte famille dans un paysage, accompagnée de trois anges, dont deux font de la musique et le troisième tient un pannier de fruits réalisée par Franck, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 32 fl. [141]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Tabagie où des paysans font aussi de la musique réalisée par Marqué Cuyp, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 30 fl. [142]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux représentant des chocs de cavalerie en rase campagne et dans un défilé. Le peintre a mis beaucoup d'animosité dans les combattants et varié les groupes avec beaucoup d'art ; la touche en est ferme et la couleur agréable (J. Breda, 1744)|Deux tableaux représentant des chocs de cavalerie en rase campagne et dans un défilé. Le peintre a mis beaucoup d'animosité dans les combattants et varié les groupes avec beaucoup d'art ; la touche en est ferme et la couleur agréable]] réalisée par J. Breda, 1744, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 51 fl. [143]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Mater dolorosa ; forme ovale, sous glace réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Dellafaille au prix de 4.50 fl. [144]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Jésus-Christ en croix réalisée par D'après Rubbens, vendue par François Huyttens, achetée par Huyttens vndenberghe au prix de 12 fl. [145]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Groupe de paysans buvant à la porte d'un cabarêt, un vieillard les amuse au son d'une vielle ; le paysage offre des habitations rustiques disséminées sur les bords d'une rivière. Composition naturelle, traitée agréablement réalisée par Isaac Van Ostade, vendue par François Huyttens, achetée par Huyttens Sonnestraete au prix de 162 fl. [146]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Tabagie ; sur le premier plan est un homme assis, le verre en main cajolant une femme qui, pour plaire, essaie de fumer ; dans le fond est un groupe de fumeurs et de joueurs aux cartes réalisée par Marqué David Teniers, vendue par François Huyttens, achetée par Cauwer Kamerstraet au prix de 47 fl. [147]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage montagneux et boisé, donnant vue sur la mer ; orné de figures et animaux réalisée par L. Van Uden, vendue par François Huyttens, achetée par Volkaert Bruges au prix de 38 fl. [148]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Autre guirlande de fleurs servant d'ornement à une niche dans laquelle est peinte l'image de la Ste Vierge avec l'enfant Jésus. Les fleurs et les papillons sont traités avec beaucoup d'art réalisée par N. V. Veerendael, 1669, vendue par François Huyttens, achetée par van Kerkhove au prix de 32 fl. [149]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Guirlande de fleurs autour d'une niche, composée de tout ce que Flore a de plus riche ; la beauté des fleurs est admirable, leur fraîcheur égale celle de la nature. Toile. haut. 112, larg. 87 cent. Ce tableau est conservé dans une caisse à deux battans, et posé sur trois pieds en guise de chevalet (N. V. Veerendael)|Guirlande de fleurs autour d'une niche, composée de tout ce que Flore a de plus riche ; la beauté des fleurs est admirable, leur fraîcheur égale celle de la nature. Toile. haut. 112, larg. 87 cent. Ce tableau est conservé dans une caisse à deux battans, et posé sur trois pieds en guise de chevalet]] réalisée par N. V. Veerendael, vendue par François Huyttens, achetée par Leo Huyttens au prix de 140 fl. [150]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Combat acharné de deux coqs pour des poules qui, spectatrices, semblent attendre l'issue du combat ; figures de grandeur naturelle. Pinceau hardi, coloris vigoureux réalisée par F. Sneyers, vendue par François Huyttens, achetée par de Noter Slypstsraet au prix de 10.50 fl. [151]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Bas-relief imitant le bronze antique, représentant deux femmes, dont l'une tient une coupe à la main ; deux enfans dansent au son du triangle qu'un troisième frappe ; deux autres s'amusent avec une couronne de fleurs. Peint sur marbre blanc réalisée par Sauvage, vendue par François Huyttens, achetée par Leo Huyttens au prix de 74 fl. [152]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Fête villageoise en plein air et sous des tentes, près de la demeure du seigneur du village ; on y voit des groupes qui dansent, qui boivent, mangent, jouent, tandis que de ménétriers raclent du violon et de la basse. Composition gaie et bien variée, touche ferme, bon effet (G. Tilbourch)|Fête villageoise en plein air et sous des tentes, près de la demeure du seigneur du village ; on y voit des groupes qui dansent, qui boivent, mangent, jouent, tandis que de ménétriers raclent du violon et de la basse. Composition gaie et bien variée, touche ferme, bon effet]] réalisée par G. Tilbourch, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 101 fl. [153]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Compagnie de buveurs à table ; l'hôte tient en main un pot de bierre, de l'autre côté une servante apporte deux poissons frais, dans le fond une autre servante soigne le pot au feu. Grande vérité dans la pose des figures qui ont l'air d'être des portraits ; coloris vigoureux, effet harmonieux (P. Koninck)|Compagnie de buveurs à table ; l'hôte tient en main un pot de bierre, de l'autre côté une servante apporte deux poissons frais, dans le fond une autre servante soigne le pot au feu. Grande vérité dans la pose des figures qui ont l'air d'être des portraits ; coloris vigoureux, effet harmonieux]] réalisée par P. Koninck, vendue par François Huyttens, achetée par Clauter Coupure au prix de 130 fl. [154]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'un corps-de-garde où l'on voit d'un côté des militaires jouer et fumer avec des paysans, de l'autre côté un amas de cuirasses, épées, fusils, sabres, tambour, drapeau, piques, etc. Ton doré, touche délicate mais ferme (David Teniers)|L'intérieur d'un corps-de-garde où l'on voit d'un côté des militaires jouer et fumer avec des paysans, de l'autre côté un amas de cuirasses, épées, fusils, sabres, tambour, drapeau, piques, etc. Ton doré, touche délicate mais ferme]] réalisée par David Teniers, vendue par François Huyttens, achetée par Van Huffel au prix de 102 fl. [155]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage coupé d'une rivière, sur le bord de laquelle on voit toutes sortes de poissons qu'on apporte continuellement dans des barques ; un jeune homme paye le poisson qu'il a marchandé ; le lointain présente une ville située de l'autre côté de la rivière. Bon dessin, coloris frais et agréable, grande vérité dans l'imitation des poissons ; c'est une belle production de ce maître (J. Breugel 1641)|Paysage coupé d'une rivière, sur le bord de laquelle on voit toutes sortes de poissons qu'on apporte continuellement dans des barques ; un jeune homme paye le poisson qu'il a marchandé ; le lointain présente une ville située de l'autre côté de la rivière. Bon dessin, coloris frais et agréable, grande vérité dans l'imitation des poissons ; c'est une belle production de ce maître]] réalisée par J. Breugel 1641, vendue par François Huyttens, achetée par R vden Berghe au prix de 28 fl. [156]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux représentant des ports de mer du Levant, ornés de vaisseaux et de nombreuses figures réalisée par L. Smout, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 45 fl. [157]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Groupe de fruits, pêches, raisins, melons et prunes sur une table où se trouve aussi une assiette d'étain, une conque marine et un papillon réalisée par J. De Heem, vendue par François Huyttens, achetée par Volkaert Brugge au prix de 16 fl. [158]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage montagneux et boisé, avec figures et fabriques. Le peintre y a figuré St.-Jean prêchant la venue du Messie à un nombreux auditoire réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 4.50 fl. [159]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Fête villageoise réalisée par Manière de D. Teniers, vendue par François Huyttens, achetée par de Noter au prix de 3.75 fl. [160]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux vues de la ville de Gand du côté des remparts, donnant sur les prairies dites muynck-meerschen derrière l'abbaye de St.-Pierre ; on y voit un camp militaire réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Dellafaille au prix de 18 fl. [161]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux: vues d'une ruine, avec figures et un lointain réalisée par J. D. Bekkers, vendue par François Huyttens, achetée par Volkaert, te Brugge au prix de 6.25 fl. [162]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le bon Samaritain versant de l'huile sur les plaies d'un blessé ; demi-figures grandeur de forte nature réalisée par Janssens (le vieux), vendue par François Huyttens, achetée par Bordeaux au prix de 25 fl. [163]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage montagneux et boisé, coupé d'une rivière qui tombe sur le devant en cascade ; on y voit plusieurs habitations et figures réalisée par Lucas Van Uden, vendue par François Huyttens, achetée par J B de Noter au prix de 26 fl. [164]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'une vieille femme avec un chapeau sur sa tête réalisée par D'après Schalken, vendue par François Huyttens, achetée par Krauter, Coupure au prix de 20 fl. [165]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue perspective d'une colonnade élevée sur une terrasse, de laquelle on jouit d'un lointain à perte de vue ; on y remarque un groupe de trois personnes. Touche ferme, effet brillant réalisée par Dirk Van Deelen, 1656, vendue par François Huyttens, achetée par Santrel au prix de 29 fl. [166]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux représentant toutes sortes d'oiseaux, dans un paysage réalisée par J.V. Kessel, vendue par François Huyttens, achetée par [[vden Berghe Hoogp[oort]]] au prix de 42 fl. [167]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Douze tableaux représentant les douze mois de l'année. Ordonnance spirituelle, touche fine, couleur agréable réalisée par Sneyers (le vieux), vendue par François Huyttens, achetée par Santrel Bruges au prix de 60 fl. [168]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Les sept oeuvres de miséricorde, dans un paysage orné d'une belle église et de plusieurs habitations. Belle composition, manière large, ton argentin réalisée par F. Franck, vendue par François Huyttens, achetée par van Belle au prix de 25 fl. [169]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux représentant du gibier mort et quelque attirail de chasse, gardés par des chiens, dans un paysage boisé et orné de fragmens d'architecture ; dans le lointain on voit des chasseurs ; l'horison est terminé par des montagnes. Touche ferme, ton doré (A. D. Gryef)|Deux tableaux représentant du gibier mort et quelque attirail de chasse, gardés par des chiens, dans un paysage boisé et orné de fragmens d'architecture ; dans le lointain on voit des chasseurs ; l'horison est terminé par des montagnes. Touche ferme, ton doré]] réalisée par A. D. Gryef, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 101 fl. [170]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une femme assise avec son enfant sur ses genoux prenant une figue qu'un autre enfant lui présente ; sur le devant est un berceau et deux pigeons ; le fond est un paysage. Les figures sont de grandeur naturelle. C'est une copie d'après un peintre espagnol (artiste anonyme)|Une femme assise avec son enfant sur ses genoux prenant une figue qu'un autre enfant lui présente ; sur le devant est un berceau et deux pigeons ; le fond est un paysage. Les figures sont de grandeur naturelle. C'est une copie d'après un peintre espagnol]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par de Noter au prix de 31 fl. [171]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Pendant. Trois pigeons dont un qui couve des oeufs réalisée par G. Vermoelen, fecit Rome 1797, vendue par François Huyttens, achetée par [[vden Berghe Hoogp[oort]]] au prix de 26 fl. [172]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un coq et une poule gissans par terre, de grandeur naturelle réalisée par De Conink, vendue par François Huyttens, achetée par [[vden Berghe Hoogp[oort]]] au prix de 26 fl. [173]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Magdelaine dans une grotte déplorant les égaremens de sa vie passée ; elle appuie la main droite sur une tête de mort ; on voit près d'elle un collier de perles orné d'un médaillon représentant le portrait d'un homme. Demi-figure de grandeur naturelle. Le fond est un paysage (artiste anonyme)|Magdelaine dans une grotte déplorant les égaremens de sa vie passée ; elle appuie la main droite sur une tête de mort ; on voit près d'elle un collier de perles orné d'un médaillon représentant le portrait d'un homme. Demi-figure de grandeur naturelle. Le fond est un paysage]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 24 fl. [174]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La Madonne avec l'enfant Jésus et S. Jean dans un paysage réalisée par Cleef, vendue par François Huyttens, achetée par Weys au prix de 2.50 fl. [175]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[J. C. descendu de la croix qu'on porte au tombeau accompagné des trois Maries, de S. Jean, de Joseph d'Arimathie et de Nicodeme tenant dans ses mains la couronne d'épines. Vigoureux de couleur et bien dessiné ; les auréoles sont peintes en or (F. Francken)|J. C. descendu de la croix qu'on porte au tombeau accompagné des trois Maries, de S. Jean, de Joseph d'Arimathie et de Nicodeme tenant dans ses mains la couronne d'épines. Vigoureux de couleur et bien dessiné ; les auréoles sont peintes en or]] réalisée par F. Francken, vendue par François Huyttens, achetée par Moyson au prix de 50 fl. [176]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage: sur le devant duquel est un chemin public à côté d'une terrasse sablonneuse, orné de figures et animaux: effet harmonieux réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par François Huyttens, achetée par Willems au prix de 77 fl. [177]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages boisés et montagneux avec figures, animaux et fabriques: touche légère, couleur agréable réalisée par Marqué AE. N., vendue par François Huyttens, achetée par Rob vden Berghe, Nieuland au prix de 20 fl. [178]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage boisé avec animaux et figures: sur le devant un pâtre gardant deux vaches, trois brebis et une chèvre: ton moëlleux, effet piquant réalisée par Dirck Vanden Berghe, vendue par François Huyttens, achetée par Van Huffel au prix de 41 fl. [179]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le buveur. Tableau d'un effet savant réalisée par Léonard Bramer, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 16 fl. [180]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Les amusemens de Bacchus. La belle ordonnance de ce tableau, la richesse des grouppes en font une production capitale réalisée par Rottenhamer, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 40 fl. [181]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un paysage rocailleux orné de figures. Ce tableau d'un genre extraordinaire prouve à quel point ce maître a rendu en habile homme tout ce que la nature lui a offert réalisée par David Teniers, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 120 fl. [182]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'entrée d'une ville ; sur le devant on voit des figures du plus précieux fini par Lengelbach. Ce taleau sic, dont l'effet est vif, pent être considéré comme un des plus beaux tableaux sortis du pinceau de ce maître réalisée par Regnier De Vries, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 75 fl. [183]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Susanne au bain. Tableau d'une touche facile et rempli de grace réalisée par Brakenbourg, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 70 fl. [184]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Notre-Seigneur sur le mont Tabor. On reconnaît dans ce tableau le soin précieux qu'il s'est plû à mettre dans ses ouvrages réalisée par Garro Fallo, école de Ferrari, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 100 fl. [185]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un tableau capital des plus précieux, représentant David et Abigaïl. Riche composition de plus de cent figures. Ouvrage fort rare à rencontrer réalisée par Hugues Vander Goes, élève de Van Eyck, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 30 fl. [186]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Les ruines d'anciens monumens ; sur le devant on voit un pâtre et des vaches. Tableau piquant de ce maître réalisée par Charles Dujardin, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 40 fl. [187]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un paysage, où l'on voit sur la droite une ferme, sur le devant un pâtre et des bestiaux: le tout d'un ton lumineux et de l'effet le plus piquant réalisée par Pierre Molyn, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Lerberge au prix de 15.50 fl. [188]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le thésauriseur. Ce tableau d'une couleur ferme et vigoureuse, est digne de son maître Adr. Brauwer réalisée par Joseph Van Craesbeke, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par [[Hebbely [?]]] au prix de 3 fl. [189]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un paysage montagneux, à gauche s'élève un rocher couronné de broussailles, au bas l'on voit une femme assise et différentes vaches, plus loin sont des cavaliers. Ce tableau est d'un des plus parfait de ce maître réalisée par Minderhaudt, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par v Berg au prix de 5.50 fl. [190]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Dans un beau paysage un homme et une femme, suivi de leur chien, cherchent à se mettre à l'abri d'un orage qui est prêt à éclater: sur le second plan est un pâtre avec son troupeau de moutons et son chien. Tableau bien peint réalisée par David Teniers, Père, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 18 fl. [191]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le tombeau des époux. Ce précieux tableau, de l'école de P. P. Rubens, est d'une touche et d'une fraîcheur de couleur admirables réalisée par Van Tulde, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 20 fl. [192]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La descente de Croix, sur un fond doré. D'un grand fini et bien conservé réalisée par Quinte Masseys, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 48 fl. [193]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Andromède enchaînée à un rocher, et menacée d'un monstre marin, est délivrée par Persée. Belle pièce d'une grande fraîcheur réalisée par Michel Coxhi, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 20 fl. [194]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Samson assis sur le devant d'un beau paysage. Tableau précieux de cet artiste réalisée par Octavio Van Veen, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 20 fl. [195]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un jeune homme jouant du tambour, dans un beau paysage: d'un beau fini et d'une grande vérité et expression réalisée par Gilles Tilbourg, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 50 fl. [196]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une vieille femme assise près d'un rouet et dévidant sa bobine réalisée par David Teniers, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 20 fl. [197]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un groupe de cinq figures dans l'intérieur d'une maison, s'amusant à boire et à fumer réalisée par Jean Steen, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 79 fl. [198]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Joli et riant paysage, orné de plusieurs figures et bestiaux: d'un beau fini réalisée par Gilles Neyts, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 70 fl. [199]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un lièvre, admirablement peint, suspendu à un tronc d'arbre, dans un beau paysage ; sur le devant se trouve un oiseau mort réalisée par Klevenberg, de Louvain, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 75 fl. [200]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La bataille d'Audenarde, commandée par le maréchal de Turenne. Tableau d'une brillante couleur et d'un grand mouvement d'action ; l'un des plus beaux de ce maître réalisée par J. Van Huchtenbourg, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 120 fl. [201]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Danse de paysans devant une maison champêtre. Joli petit tableau, d'une riante exécution réalisée par Coene, de Bruxelles, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 59 fl. [202]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'adoration des mages. Riche et belle composition de ce célèbre peintre, rival et contemporain de Buenarota réalisée par Baccia Bandinelli, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 150 fl. [203]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Des fleurs et des fruits dans un vase, avec quelques insectes. Au bas se trouvent un lézard et des coquillages, d'un admirable fini et d'une superbe exécution réalisée par F. Vander Ast, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 70 fl. [204]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'adoration des mages réalisée par Séb. Franck, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Van Thighem au prix de 3 fl. [205]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une sainte famille. Très-bien peint réalisée par Jean Abach, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Van Thighem au prix de 4 fl. [206]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un cavalier caressant une dame réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Van Thighem au prix de 42 fl. [207]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une tête d'étude réalisée par Gaspard De Craeyer, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Van Thighem au prix de 5 fl. [208]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Plusieurs cavaliers et dames à table réalisée par Copie d'après Vander Laenen, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Van Thighem au prix de 41 fl. [209]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une kermesse de village réalisée par Breughel, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Van Thighem au prix de 10 fl. [210]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un militaire dans un appartement réalisée par Palamedes, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Van Thighem au prix de 77 fl. [211]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Son pendant. Un idem intérieur réalisée par D. Ryckaert Le Vieux, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Van Thighem au prix de 6 1/2 fl. [212]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un intérieur. Bien peint réalisée par D. Ryckaert Le Vieux, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 12.50 fl. [213]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un intérieur réalisée par Copie d'après Teniers, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Van Thighem au prix de 12 1/2 fl. [214]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un riche dans son cabinet où la mort lui apprend de s'apprêter à quitter ses richesses réalisée par Sébastien Franck, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Wijs au prix de 16 1/2 fl. [215]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Son pendant. Un paysage où plusieurs cavaliers et dames descendent d'une voiture réalisée par J. B. Vander Laenen, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par V Tehem au prix de 30 fl. [216]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une composition de sept figures à table et jouent aux cartes. Du meilleur tems de ce maître réalisée par J. B. Vander Laenen, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par V Tehem au prix de 43 fl. [217]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une chapelle dont le fond représente la Vierge et l'enfant Jésus sur ses genoux ; sur le battant gauche une sainte avec un livre en main, sur le battant droit se trouve une dévote, appuyant ses mains sur la tête d'un jeune homme réalisée par Jean Van Eyck, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 600 fl. [218]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Ce tableau, d'une riche composition, représente la nativité ; l'ensemble forme une magie par les variations et les vérités qu'il représente réalisée par Pierre Candi, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Chanoin au prix de 84 fl. [219]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un clair de lune ; sur le devant du tableau est un homme à cheval dans un abreuvoir. Très-bien exécuté réalisée par Lucas Van Uden, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par V Berge au prix de 25 fl. [220]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Diogène, avec sa lanterne, cherche un honnête homme. Ce tableau a un très-bon ton de couleur, ce qui le fait présumer du Titien lui-même réalisée par École de Titien, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 26 fl. [221]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une jeune femme portant sa main droite vers deux colombes, son bras gauche élevé est entouré de deux serpents ; dans le fond vers la gauche du tableau est un sujet allégorique. Ce tableau est très-bien colorié réalisée par Flore Franck, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 20 fl. [222]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le portrait d'un jeune homme tenant sa main gauche dans son habit ; dans la manière d'A. van Dyck. C'est un beau tableau réalisée par Godefroy Schalcke, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 21 fl. [223]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une danse de paysans ; sur le premier plan se trouvé sic varié, sur le second plan par des moisonneurs qui coupent le grain. C'est un agréable tableau, qui a servi de modèle pour les tapisseries qui ont été fabriquées d'après lui réalisée par David Teniers, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 50 fl. [224]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge et l'enfant Jésus. Ce tableau est d'un grand fini et ne laisse rien à désirer dans son agréable composition réalisée par Richard Van Orley, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 40 fl. [225]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un lièvre suspendu à un tronc d'arbre, entouré de toutes sortes d'attirail pour la chasse. Ce tableau est bien velouté réalisée par Pierre Boel, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 44 fl. [226]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le portrait d'une jeune dame en grand costume, avec deux mains ornées de chaînes en or. Le fini en est comme de Van Dyck réalisée par Simon De Vos, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 24 fl. [227]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le mariage de Vénus et de Bacchus. Beau tableau de ce maître, orné de quantité de figures analogues réalisée par Pépin Martin, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par De Nette au prix de 18 fl. [228]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'enfant Jésus assis sur les genoux de la Vierge ; sur la droite du tableau est un beau paysage. Les ouvrages de cet artiste figurent à côté de ceux de Rubbens et Van Dyck réalisée par Pierre Van Lint, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par V Berge au prix de 51 fl. [229]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente le château St.-Alban sur le chemin conduisant de Bruxelles à l'église de Laecken ; sur le devant est un peintre qui prend le dessin dudit château: ce tableau est en outre orné de quantité de choses agréables (Jacques Van Artois)|Ce tableau représente le château St.-Alban sur le chemin conduisant de Bruxelles à l'église de Laecken ; sur le devant est un peintre qui prend le dessin dudit château: ce tableau est en outre orné de quantité de choses agréables]] réalisée par Jacques Van Artois, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 29 fl. [230]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Saint François fixant les yeux vers le ciel réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 29 fl. [231]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le portrait d'un homme appuyant sa main droite sur sa poitrine, ayant sur le bras gauche une marque distinguée réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 12 fl. [232]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le port d'Amsterdam, avec plusieurs vaisseaux. Tableau capital de ce peintre réalisée par Minderhout, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [233]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les cinq sens, représenté par autant de figures. Ce tableau capital est incontestablement le plus beau que ce grand peintre a produit: la couleur est vraie et pleine de force ; les expressions des têtes sont justes ; le dessin en est grand et correct ; la composition est animée et naturel, et les accessoires sont d'une vérité illusoire: enfin, d'un commun aveu sic des grands connaisseurs, ce tableau est reconnu pour son chef-d'oeuvre (Théodore Rombout)|Les cinq sens, représenté par autant de figures. Ce tableau capital est incontestablement le plus beau que ce grand peintre a produit: la couleur est vraie et pleine de force ; les expressions des têtes sont justes ; le dessin en est grand et correct ; la composition est animée et naturel, et les accessoires sont d'une vérité illusoire: enfin, d'un commun aveu sic des grands connaisseurs, ce tableau est reconnu pour son chef-d'oeuvre]] réalisée par Théodore Rombout, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [234]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La sainte Vierge et l'enfant Jésus réalisée par D'après Van Dyck, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 2 fl. [235]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Tableau très-bien peint réalisée par Antique, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 3 1/2 fl. [236]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un petit portrait réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [237]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un lion réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [238]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Cinq idem tableaux, même grandeur réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 1 fl. [239]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Six tableaux, même grandeur réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 3 1/2 fl. [240]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux fumeurs réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 1 1/2 fl. [241]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une poule avec ses petits poulets, coqs, etc. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 1 1/2 fl. [242]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un veau tué réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par V Berge au prix de 0.80 fl. [243]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'homme réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 1 3/4 fl. [244]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Des fruits et oiseaux, etc. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [245]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage, chasse de Diane réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 2 fl. [246]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un hiver, forme ronde réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [247]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La nativité de Jésus, forme ronde réalisée par D'après Van Dyck, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Lerberge au prix de 3 1/4 fl. [248]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une descente de Croix, forme ronde réalisée par D'après Van Dyck, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Lerberge au prix de 12 fl. [249]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'élevation de la Croix, forme ronde réalisée par D'après Van Dyck, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 5 fl. [250]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'Anne Bolaine réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 2 fl. [251]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Grand paysage réalisée par Vadder, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 3 fl. [252]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'homme. Très-bien peint réalisée par Thyssens, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Cauwer au prix de 5 fl. [253]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'homme réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 1 fl. [254]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Marie-Thérèse réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Wallé au prix de 6 3/4 fl. [255]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Joseph II réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par Wallé au prix de 6 3/4 fl. [256]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'un évêque réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [257]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'homme réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 4 1/2 fl. [258]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portraits de deux enfans réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 5 1/2 fl. [259]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux coqs, poulets etc. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 1 1/4 fl. [260]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un dito Portrait d'homme réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 2 fl. [261]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'homme réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 2 fl. [262]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Chasse aux lions réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 2 fl. [263]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait de femme, forme ovale réalisée par Van Cleef, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 4 1/2 fl. [264]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue de mer, bataille navale. Même grandeur réalisée par J. Willarts, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 15 1/2 fl. [265]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue de mer avec plusieurs vaisseaux. Même grandeur réalisée par J. Willarts, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 15 1/2 fl. [266]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue de mer réalisée par J. Willarts, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 15 1/2 fl. [267]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Le parradis sic terrestre réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 15 1/2 fl. [268]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un banc sur lequel sont placés différentes sortes de poissons réalisée par A. Van Uytrecht, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe au prix de 4 fl. [269]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'homme avec une tête de mort réalisée par Manière d'Olbien, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe, achetée par V Belle au prix de 3 1/2 fl. [270]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une table sur laquelle sont placés de vases, assiettes, etc. réalisée par Héda, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [271]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'une jeune femme. Ce portrait est d'une pureté de couleur et d'un fini admirable réalisée par De Vos, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [272]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux intérieurs de Temples réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [273]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La descente de Croix réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [274]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'adoration des mages. Ce tableau passe aux yeux des connaisseurs pour un de ses chefs-d'oeuvres réalisée par Poelenbourg, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [275]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Des nymphes aux bains ; elles sont sur le devant d'un paysage, qui est orné de ruines et d'architecture. Jamais Poelenbourg n'a fait un plus joli tableau réalisée par Poelenbourg, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [276]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La nativité de notre Seigneur. Ce tableau est agréablement peint ; il y règne une belle harmonie: les anges sont d'une touche finie et bien dessinés réalisée par Poelenbourg, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [277]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Trois portraits représentant le mari, la femme et leur enfant. La peinture est d'une belle exécution réalisée par Manière de Pourbus, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [278]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme La tentation de saint Antoine. La composition de ce tableau est riche, et la peinture d'une transparence admirable réalisée par David Teniers, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [279]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une cuisinière réalisée par D'après Teniers, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [280]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Notre Seigneur devant Pilate réalisée par J. Francken, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [281]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Une guirlande de fleurs, au milieu est la sainte Magdelaine réalisée par Manière de Segers, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [282]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme L'enfant Jésus réalisée par J. Francken, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [283]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un portrait de femme. Même grandeur réalisée par H. Blommaert, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [284]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux portraits, faisant pendant. Même grandeur réalisée par H. Blommaert, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [285]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Deux portraits, faisant pendant. Le portrait de l'homme est d'une exécution remarquable réalisée par H. Blommaert, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [286]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Un seigneur avec son fermier qui tient son cheval: les portraits sont d'une très-bonne exécution réalisée par A. Van Naulaand, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [287]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Grand paysage montagneux réalisée par W. Degheyn, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [288]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait de Ph. Triest, par le même G. Segers, de grandeur naturelle réalisée par G. Segers, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [289]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait de l'évêque Triest, de grandeur naturelle réalisée par G. Segers, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [290]
- 1819.07.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'Italie, devant laquelle est représentée une grande foire: l'architecture est très-bien peinte réalisée par P. Van Bredael, vendue par Vicomte Séb. De Sousberghe. [291]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau représentant la Charité, attribué à Philippe ou à Antoine Lesueur ; sur toile. Ce Tableau, pour être inférieur aux trois précédens, n'en est pas moins gracieux et bien exécuté. Il a toujours figuré à côté des autres, et nous pensons qu'il n'y pas déplacé. (Philippe Lesueur)|Tableau représentant la Charité, attribué à Philippe ou à Antoine Lesueur ; sur toile. Ce Tableau, pour être inférieur aux trois précédens, n'en est pas moins gracieux et bien exécuté. Il a toujours figuré à côté des autres, et nous pensons qu'il n'y pas déplacé.]] réalisée par Philippe Lesueur, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [292]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableaux par Eustache Lesueur, représentant la Foi, l'Espérance et l'Eucharistie ; sur toile. Eustache Lesueur, l'un des plus grands peintres dont la France puisse s'honorer, et, le seul, peut-être, qui fit entrer dans ses tableaux la noble simplicité, le sentiment et les grâces majestueuses qui font le principal caractère de Raphaël, Lesueur, disons-nous, nous a laissé dans ces trois morceaux de magnifiques échantillons de son admirable talent. L'excellence du dessin, la franchise et la fraîcheur du pinceau, le bon goût des draperies, la vérité des expressions, tout atteste ici que cet illustre artiste sut atteindre au sublime de l'art. Si les tableaux de religion les plus tristes et les plus austères, plaisent toujours aux connaisseurs quand ils sont exécutés par d'habiles maîtres, quel amour ne doit-on pas avoir pour ceux-ci qui représentent de jeunes et belles vierges remplies de grâces ! Quel est le coeur qui serait insensible à tant de charmes ? Quel est l'idolâtre qui ne se ferait pas chrétien pour adorer tant d'appas ? Mais aussi, comme tout a son mauvais côté, quel est le chrétien que tant d'attraits ne rendraient pas idolâtre. (Eustache Lesueur)|Tableaux par Eustache Lesueur, représentant la Foi, l'Espérance et l'Eucharistie ; sur toile. Eustache Lesueur, l'un des plus grands peintres dont la France puisse s'honorer, et, le seul, peut-être, qui fit entrer dans ses tableaux la noble simplicité, le sentiment et les grâces majestueuses qui font le principal caractère de Raphaël, Lesueur, disons-nous, nous a laissé dans ces trois morceaux de magnifiques échantillons de son admirable talent. L'excellence du dessin, la franchise et la fraîcheur du pinceau, le bon goût des draperies, la vérité des expressions, tout atteste ici que cet illustre artiste sut atteindre au sublime de l'art. Si les tableaux de religion les plus tristes et les plus austères, plaisent toujours aux connaisseurs quand ils sont exécutés par d'habiles maîtres, quel amour ne doit-on pas avoir pour ceux-ci qui représentent de jeunes et belles vierges remplies de grâces ! Quel est le coeur qui serait insensible à tant de charmes ? Quel est l'idolâtre qui ne se ferait pas chrétien pour adorer tant d'appas ? Mais aussi, comme tout a son mauvais côté, quel est le chrétien que tant d'attraits ne rendraient pas idolâtre.]] réalisée par Eustache Lesueur, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [293]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableaux par Eustache Lesueur, représentant la Foi, l'Espérance et l'Eucharistie ; sur toile. Eustache Lesueur, l'un des plus grands peintres dont la France puisse s'honorer, et, le seul, peut-être, qui fit entrer dans ses tableaux la noble simplicité, le sentiment et les grâces majestueuses qui font le principal caractère de Raphaël, Lesueur, disons-nous, nous a laissé dans ces trois morceaux de magnifiques échantillons de son admirable talent. L'excellence du dessin, la franchise et la fraîcheur du pinceau, le bon goût des draperies, la vérité des expressions, tout atteste ici que cet illustre artiste sut atteindre su sublime de l'art. Si les tableaux de religion les plus tristes et les plus austères, plaisent toujours aux connaisseurs quand ils sont exécutés par d'habiles maîtres, quel amour ne doit-on pas avoir pour ceux-ci qui représentent de jeunes et belles vierges remplies de grâces ! Quel est le ceur qui serait insensible à tant de charmes ? Quel est l'idolâtre qui ne se ferait pas chrétien pour adorer tant d'appas ? Mais aussi, comme tout a son mauvais côté, quel est le chrétien que tant d'attraits ne rendraient pas idolâtre. (Eustache Lesueur)|Tableaux par Eustache Lesueur, représentant la Foi, l'Espérance et l'Eucharistie ; sur toile. Eustache Lesueur, l'un des plus grands peintres dont la France puisse s'honorer, et, le seul, peut-être, qui fit entrer dans ses tableaux la noble simplicité, le sentiment et les grâces majestueuses qui font le principal caractère de Raphaël, Lesueur, disons-nous, nous a laissé dans ces trois morceaux de magnifiques échantillons de son admirable talent. L'excellence du dessin, la franchise et la fraîcheur du pinceau, le bon goût des draperies, la vérité des expressions, tout atteste ici que cet illustre artiste sut atteindre su sublime de l'art. Si les tableaux de religion les plus tristes et les plus austères, plaisent toujours aux connaisseurs quand ils sont exécutés par d'habiles maîtres, quel amour ne doit-on pas avoir pour ceux-ci qui représentent de jeunes et belles vierges remplies de grâces ! Quel est le ceur qui serait insensible à tant de charmes ? Quel est l'idolâtre qui ne se ferait pas chrétien pour adorer tant d'appas ? Mais aussi, comme tout a son mauvais côté, quel est le chrétien que tant d'attraits ne rendraient pas idolâtre.]] réalisée par Eustache Lesueur, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [294]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableaux par Eustache Lesueur, représentant la Foi, l'Espérance et l'Eucharistie ; sur toile. Eustache Lesueur, l'un des plus grands peintres dont la France puisse s'honorer, et, le seul, peut-être, qui fit entrer dans ses tableaux la noble simplicité, le sentiment et les grâces majestueuses qui font le principal caractère de Raphaël, Lesueur, disons-nous, nous a laissé dans ces trois morceaux de magnifiques échantillons de son admirable talent. L'excellence du dessin, la franchise et la fraîcheur du pinceau, le bon goût des draperies, la vérité des expressions, tout atteste ici que cet illustre artiste sut atteindre au sublime de l'art. Si les tableaux de religion les plus tristes et les plus austères, plaisent toujours aux connaisseurs quand ils sont exécutés par d'habiles maîtres, quel amour ne doit-on pas avoir pour ceux-ci qui représentent de jeunes et belles vierges remplies de grâces ! Quel est le coeur qui serait insensible à tant de charmes ? Quel est l'idolâtre qui ne se ferait pas chrétien pour adorer tant d'appas ? Mais aussi, comme tout a son mauvais côté, quel est le chrétien que tant d'attraits ne rendraient pas idolâtre. (Eustache Lesueur)|Tableaux par Eustache Lesueur, représentant la Foi, l'Espérance et l'Eucharistie ; sur toile. Eustache Lesueur, l'un des plus grands peintres dont la France puisse s'honorer, et, le seul, peut-être, qui fit entrer dans ses tableaux la noble simplicité, le sentiment et les grâces majestueuses qui font le principal caractère de Raphaël, Lesueur, disons-nous, nous a laissé dans ces trois morceaux de magnifiques échantillons de son admirable talent. L'excellence du dessin, la franchise et la fraîcheur du pinceau, le bon goût des draperies, la vérité des expressions, tout atteste ici que cet illustre artiste sut atteindre au sublime de l'art. Si les tableaux de religion les plus tristes et les plus austères, plaisent toujours aux connaisseurs quand ils sont exécutés par d'habiles maîtres, quel amour ne doit-on pas avoir pour ceux-ci qui représentent de jeunes et belles vierges remplies de grâces ! Quel est le coeur qui serait insensible à tant de charmes ? Quel est l'idolâtre qui ne se ferait pas chrétien pour adorer tant d'appas ? Mais aussi, comme tout a son mauvais côté, quel est le chrétien que tant d'attraits ne rendraient pas idolâtre.]] réalisée par Eustache Lesueur, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [295]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau par Ribera, dit l'Espagnolet ; sur toile. Suivant la gravure de ce Tableau, qui existe dans les oeuvres de l'Espagnolet à la Bibliothèque royale, cet artiste paraît avoir eu l'intention de représenter Diogène tenant sa lanterne. Cependant nous sommes obligés de convenir que l'expression dure et même féroce du personnage, annonce plutôt un brigand de la Siera Morena qui éclaire sa démarche nocturne, que la physionimie que l'imagination se crée du philosophe de Sinope. Au reste, quelle qu'ait été l'intention de l'Espagnolet, son Tableau n'en est pas moins d'une grande beauté. Fermeté de pinceau, vigueur de coloris, expression terrible et pleine d'énergie, tout ce qui caractérise le précieux talent de Ribera, se trouve réuni dans cet ouvrage, vraiment digne de figurer parmi les premiers chefs-d'oeuvre de l'art. (Ribera, dit l'Espagnolet)|Tableau par Ribera, dit l'Espagnolet ; sur toile. Suivant la gravure de ce Tableau, qui existe dans les oeuvres de l'Espagnolet à la Bibliothèque royale, cet artiste paraît avoir eu l'intention de représenter Diogène tenant sa lanterne. Cependant nous sommes obligés de convenir que l'expression dure et même féroce du personnage, annonce plutôt un brigand de la Siera Morena qui éclaire sa démarche nocturne, que la physionimie que l'imagination se crée du philosophe de Sinope. Au reste, quelle qu'ait été l'intention de l'Espagnolet, son Tableau n'en est pas moins d'une grande beauté. Fermeté de pinceau, vigueur de coloris, expression terrible et pleine d'énergie, tout ce qui caractérise le précieux talent de Ribera, se trouve réuni dans cet ouvrage, vraiment digne de figurer parmi les premiers chefs-d'oeuvre de l'art.]] réalisée par Ribera, dit l'Espagnolet, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [296]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau dont le sujet est la Multiplication des Pains ; par Jacques Stella ; sur toile. Ce Tableau, d'un des plus habiles peintres français, est très bien composé et d'un beau ton de couleurs. Le bon goût de dessin que l'on y remarque et l'expression des têtes en général, prouvent que Stella, qui s'appliqua particulièrement à étudier l'antique, sut aussi profiter des conseils que lui donna le célèbre Poussin son ami. Ce précieux Tableau a long-temps fait partie d'une des plus riches galeries de Florence. (Jacques Stella)|Tableau dont le sujet est la Multiplication des Pains ; par Jacques Stella ; sur toile. Ce Tableau, d'un des plus habiles peintres français, est très bien composé et d'un beau ton de couleurs. Le bon goût de dessin que l'on y remarque et l'expression des têtes en général, prouvent que Stella, qui s'appliqua particulièrement à étudier l'antique, sut aussi profiter des conseils que lui donna le célèbre Poussin son ami. Ce précieux Tableau a long-temps fait partie d'une des plus riches galeries de Florence.]] réalisée par Jacques Stella, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [297]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Par le Dominiquin ; larg. 74 pouc. haut. 60 pouc. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand goût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus rare, de plus étonnant : c'est le sublime du grandiose allié à la grâce la plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées et travaillées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammé par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, exécuté avec une hardiesse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspective, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans leur genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'église de Saint-Pierre de Rome, et ont, depuis leur existence, constamment servi de modèles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette Métropole des arts. Un grand nombre de graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parce que des productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connue, portent avec elles leur acte de maissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, ont fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quittée l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts*. *renvoi : Nous devons faire remarquer que le Tableau, no 23, par le Dominiquin, a été restauré avec le plus grand soin par un artiste français. (Dominiquin)|Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Par le Dominiquin ; larg. 74 pouc. haut. 60 pouc. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand goût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus rare, de plus étonnant : c'est le sublime du grandiose allié à la grâce la plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées et travaillées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammé par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, exécuté avec une hardiesse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspective, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans leur genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'église de Saint-Pierre de Rome, et ont, depuis leur existence, constamment servi de modèles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette Métropole des arts. Un grand nombre de graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parce que des productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connue, portent avec elles leur acte de maissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, ont fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quittée l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts*. *renvoi : Nous devons faire remarquer que le Tableau, no 23, par le Dominiquin, a été restauré avec le plus grand soin par un artiste français.]] réalisée par Dominiquin, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [298]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Par le Corrège ; larg. 64 pouces, hauteur 40 pouces. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand goût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus rare, de plus étonnant : c'est le sublime du grandiose allié à la grâce la plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées et travaillées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammé par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, exécuté avec une hardiesse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspectivive, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'église de Saint-Pierre de Rome, et ont, depuis leur existence, constamment servi de modèles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette Métropole des arts. Un grand nombre des graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parce que des productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connues, portent avec elles leur acte de naissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, ont fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quitté l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts. (Corrège)|Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Par le Corrège ; larg. 64 pouces, hauteur 40 pouces. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand goût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus rare, de plus étonnant : c'est le sublime du grandiose allié à la grâce la plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées et travaillées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammé par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, exécuté avec une hardiesse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspectivive, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'église de Saint-Pierre de Rome, et ont, depuis leur existence, constamment servi de modèles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette Métropole des arts. Un grand nombre des graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parce que des productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connues, portent avec elles leur acte de naissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, ont fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quitté l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts.]] réalisée par Corrège, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [299]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Par le Corrège ; larg. 64 po. hauteur 49 pouc. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand goût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus rare, de plus étonnant : c'est le sublime du grandiose allié à la grâce la plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées et travaillées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammé par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, exécuté avec une hardiesse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspective, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans leur genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'église de Saint-Pierre de Rome, et ont, depuis leur existence, constamment servi de modèles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette Métropole des arts. Un grand nombre de graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parce que des productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connues, portent avec elles leur acte de naissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, ont fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quitté l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts. (Corrège)|Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Par le Corrège ; larg. 64 po. hauteur 49 pouc. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand goût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus rare, de plus étonnant : c'est le sublime du grandiose allié à la grâce la plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées et travaillées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammé par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, exécuté avec une hardiesse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspective, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans leur genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'église de Saint-Pierre de Rome, et ont, depuis leur existence, constamment servi de modèles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette Métropole des arts. Un grand nombre de graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parce que des productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connues, portent avec elles leur acte de naissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, ont fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quitté l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts.]] réalisée par Corrège, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [300]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Par Corrège ; larg. 64 po. hauteur 49 pouc. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand goût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus rare, de plus étonnant : c'est le sublime du grandiose allié à la grâce la plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées et travaillées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammé par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, exécuté avec une hardiesse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspective, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans leur genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'église de Saint-Pierre de Rome, et ont, depuis leur existence, constamment servi de modèles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette métropole des arts. Un grand nombre de graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parce que des productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connues, portent avec elles leur acte de naissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, on fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quitté l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts. (Corrège)|Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Par Corrège ; larg. 64 po. hauteur 49 pouc. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand goût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus rare, de plus étonnant : c'est le sublime du grandiose allié à la grâce la plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées et travaillées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammé par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, exécuté avec une hardiesse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspective, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans leur genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'église de Saint-Pierre de Rome, et ont, depuis leur existence, constamment servi de modèles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette métropole des arts. Un grand nombre de graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parce que des productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connues, portent avec elles leur acte de naissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, on fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quitté l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts.]] réalisée par Corrège, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [301]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Par l'Albane ; larg. 57 pouc. haut. 28 pouc. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand goût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus rare, de plus étonnant : c'est le sublime du grandiose allié à la grâce la plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammée par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, éxécuté avec une hardiesse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspective, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans leur genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'eglise de Saint-Pierre de Rome, et ont, depuis leur existence, constamment servi de modèles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette Métropole des arts. Un grand nombre des graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parcque les productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connues, portent avec elles leur acte de naissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, ont fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quitté l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts. (Albane)|Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Par l'Albane ; larg. 57 pouc. haut. 28 pouc. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand goût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus rare, de plus étonnant : c'est le sublime du grandiose allié à la grâce la plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammée par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, éxécuté avec une hardiesse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspective, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans leur genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'eglise de Saint-Pierre de Rome, et ont, depuis leur existence, constamment servi de modèles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette Métropole des arts. Un grand nombre des graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parcque les productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connues, portent avec elles leur acte de naissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, ont fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quitté l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts.]] réalisée par Albane, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [302]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Nos 18 et 19. Par l'Albane ; larg. 57 pouc. haut. 28 pouc. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand doût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées et travaillées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammé par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, exécuté avec une hardieusse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspective, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans leur genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'eglise de Saint-Pierre de Rome, en ont, depuis leur existence, constamment servi de modêles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette Métropole des arts. Un grand nombre des graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parce que des productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connues, portent avec elles leur acte de naissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, ont fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quitté l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts. (Albane)|Tableaux des têtes colossales de chérubins, sur toile. Nos 18 et 19. Par l'Albane ; larg. 57 pouc. haut. 28 pouc. Indépendamment du pinceau frais et gracieux de l'Albane, du coloris enchanteur du Corrège, et du grand doût de dessin du Dominiquin, on distingue encore dans ces six chefs-d'oeuvre quelque chose de plus séduisante. Ce ne sont point des productions étudiées et travaillées avec plus ou moins de peine, ce sont des éclairs rapides du génie enflammé par son sujet ; c'est le fruit d'un instant d'inspiration divine, exécuté avec une hardieusse et une perfection au-dessus de tout éloge. En effet, que de vérité ! que de charme ! que d'expression ! Peut-on se lasser de voir et d'admirer ces têtes vraiment angéliques ? Et ne semble-t-il pas qu'elles vont se détacher de la toile pour aller rejoindre leur céleste demeure ? Ce que nous avons surtout remarqué de plus savant dans ces belles peintures, c'est que, placées à une certaine distance, ainsi qu'elles doivent être vues, elles acquièrent, par l'effet de leur coloris et de la perspective, une plus grande douceur d'expression et un charme vraiment inexprimable. Enfin, ces peintures, uniques dans leur genre, ont été exécutées en mosaïque dans l'eglise de Saint-Pierre de Rome, en ont, depuis leur existence, constamment servi de modêles aux artistes de toutes les nations qui sont allés se perfectionner dans cette Métropole des arts. Un grand nombre des graveurs ont également été jaloux d'exercer leur burin à les représenter. Nous n'avons pas cru qu'il fût nécessaire de nous procurer quelques-unes de ces gravures, parce que des productions d'un aussi grand mérite et aussi généralement connues, portent avec elles leur acte de naissance et parlent suffisamment en leur faveur. Nous possédons seulement deux petites de ces gravures, et si nous les exposons à la vente c'est sans aucune prétention. Tels sont les magnifiques Tableaux des têtes colossales de Chérubins qui, pendant plus de deux siècles, ont fait l'ornement des Palais de Monte Cavallo et du Vatican, et qui, par suite de circonstances extraordinaires, ont quitté l'ancienne capitale du monde pour aller probablement enrichir l'habitation ou le Musée de quelque Souverain ami et juste appréciateur des arts.]] réalisée par Albane, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [303]
- 1819.07.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Tableaux de forme ronde, de 42 pouces de diamètre, peints à fresque. L'un représente la Charité composée de quatre figures, l'autre la Sainte-Famille, savoir : la Sainte-Vierge, Saint-Joseph, l'Enfant Jésus et le Petit Saint-Jean. L'extrême difficulté, ou, pour mieux dire, l'impossibilité de trouver dans le commerce des productions de ce genre, fait ici le moindre mérite de ces fresques : c'est la composition, la correction du dessin, leur belle exécution et leur conservation, qui font leur mérite réel, et qui les rendent vraiment dignes d'être comptées parmi les plus étonnantes productions des arts. Les Artistes sont partagés sur le nom de l'auteur de ces fresques : les uns les attribuent au Corrège, et les autres veulent qu'elles soient du Guide. Cette alternative, également honorable pour ces deux grands peintres, fait aussi l'éloge des morceaux que nous examinons. Cependant, s'il nous était permis, dans cette incertitude, de dire notre avis, nous balancerions plutôt à croire qu'ils sont l'ouvrage du Guide. Au surplus, nous laissons aux Amateurs éclairés à décider la question. Mais, ce que nous pouvons affirmer, c'est que nous ne connaissons en Europe aucun Musée, aucun Cabinet qui possédent des fresques qui soient, comme celles-ci, détachées de toute l'épaisseur de l'enduit, aussi bien conservées, et sans aucune espèce de restauration. Il est essentiel de faire remarquer que ces fresques, qui ont été appliquées avec beaucoup de soin sur des paneaux d'osier, peuvent être transportées partout sans inconvénient. (le Guide)|Deux Tableaux de forme ronde, de 42 pouces de diamètre, peints à fresque. L'un représente la Charité composée de quatre figures, l'autre la Sainte-Famille, savoir : la Sainte-Vierge, Saint-Joseph, l'Enfant Jésus et le Petit Saint-Jean. L'extrême difficulté, ou, pour mieux dire, l'impossibilité de trouver dans le commerce des productions de ce genre, fait ici le moindre mérite de ces fresques : c'est la composition, la correction du dessin, leur belle exécution et leur conservation, qui font leur mérite réel, et qui les rendent vraiment dignes d'être comptées parmi les plus étonnantes productions des arts. Les Artistes sont partagés sur le nom de l'auteur de ces fresques : les uns les attribuent au Corrège, et les autres veulent qu'elles soient du Guide. Cette alternative, également honorable pour ces deux grands peintres, fait aussi l'éloge des morceaux que nous examinons. Cependant, s'il nous était permis, dans cette incertitude, de dire notre avis, nous balancerions plutôt à croire qu'ils sont l'ouvrage du Guide. Au surplus, nous laissons aux Amateurs éclairés à décider la question. Mais, ce que nous pouvons affirmer, c'est que nous ne connaissons en Europe aucun Musée, aucun Cabinet qui possédent des fresques qui soient, comme celles-ci, détachées de toute l'épaisseur de l'enduit, aussi bien conservées, et sans aucune espèce de restauration. Il est essentiel de faire remarquer que ces fresques, qui ont été appliquées avec beaucoup de soin sur des paneaux d'osier, peuvent être transportées partout sans inconvénient.]] réalisée par le Guide, vendue par Louis Ventenati de Pomposi. [304]