Ventes d'œuvres le 1819.12.27
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- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un tableau dans le Goût de Mr Senave réalisée par Mr Senave, vendue par [[H[enry]]] au prix de 12 fl. [1]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un Paysage de Mr Swagers réalisée par Mr Swagers, vendue par Didot, achetée par Berthon Jeune rue de Seine no. 6 au prix de 16 10 fl. [2]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Quatre Etudes de Paysage sur toile réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Didot, achetée par Paillet rue grange Batelière no. 24 au prix de 6 55 fl. [3]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Amphitrite sur les eaux. Ce petit tableau qu'on prendrait pour un Carrache, est un charmant échantillon du fondateur de l'ancienne école française ; il est gravé. réalisée par Vouet (Simon), vendue par Didot, achetée par Lugagne au prix de 20.5 fl. [4]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Groupe considérable de fleurs dans un vase posé sur une table de marbre, au bord de laquelle sont placés des raisins et des pêches. Dans ce genre séduisant, même le plus grand peintre a besoin, pour la fraîcheur de la teinte, de la fracheur de l'âge ; et si, avec les années, il croit trouver un dédommagement dans le plus minutieux fini que le froit accompagne, lui seul ne s'aperçoit pas que c'est aux dépens de la vie de la couleur et même de la vie de l'exécution. M. Vandael, le plus habile fleuriste du jour, n'a, selon nous, produit rien de plus parfait, et loin de le céder à Vanhuysum, nous ne connaissons que ce tableau, dans son genre, qui, rappele sans cesse vers lui avec un charme nouveau, tel qu'on l'éprouverait devant un tableau de sentiment et d'expression ; en un mot, nous le croyons digne d'orner le cabinet d'un souverain. (Vandael (Mr.))|Groupe considérable de fleurs dans un vase posé sur une table de marbre, au bord de laquelle sont placés des raisins et des pêches. Dans ce genre séduisant, même le plus grand peintre a besoin, pour la fraîcheur de la teinte, de la fracheur de l'âge ; et si, avec les années, il croit trouver un dédommagement dans le plus minutieux fini que le froit accompagne, lui seul ne s'aperçoit pas que c'est aux dépens de la vie de la couleur et même de la vie de l'exécution. M. Vandael, le plus habile fleuriste du jour, n'a, selon nous, produit rien de plus parfait, et loin de le céder à Vanhuysum, nous ne connaissons que ce tableau, dans son genre, qui, rappele sans cesse vers lui avec un charme nouveau, tel qu'on l'éprouverait devant un tableau de sentiment et d'expression ; en un mot, nous le croyons digne d'orner le cabinet d'un souverain.]] réalisée par Vandael (Mr.), vendue par Didot, achetée par Simon rue des vieux Augustins au prix de 1160 fl. [5]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Site montagneux traversé par une rivière : sur le bord, sont plusieurs figures, au nombre desquelles on remarque une femme montée sur un âne et causant avec un voyageur. réalisée par Valenciennes, français, vendue par Didot, achetée par Paillet au prix de 22.95 fl. [6]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage au soleil couchant, avec cascades, fabriques et sujet de figures représentant une offrande au dieu Pan par de jeunes-filles. réalisée par Valenciennes, français, vendue par Didot, achetée par Dubois rue de la Vrillère au prix de 50 fl. [7]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux soldats cuirassés causent au pied d'un rocher, derrière lequel on voit un fleuve se précipiter en cascades. M. Vien qui, le premier a indiqué la roule du bon goût aux peintres d'histoire, a peint aussi avec succès des paysages dans la manière de Salvator. (Vien, français)|Deux soldats cuirassés causent au pied d'un rocher, derrière lequel on voit un fleuve se précipiter en cascades. M. Vien qui, le premier a indiqué la roule du bon goût aux peintres d'histoire, a peint aussi avec succès des paysages dans la manière de Salvator.]] réalisée par Vien, français, vendue par Didot, achetée par Durand Duclos au prix de 21 fl. [8]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage dans la manière de Francisque Milé. réalisée par Vincent (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 16 fl. [9]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une villageoise, un paquet sur la tête, cause avec un jeune homme qui se repose à l'ombre de plusieurs grands arbres, au pied desquels coule une rivière ; sur l'autre rive sont des fabriques, et plus loin une vaste plaine bornée à l'horizon par de hautes montagnes. (Vanloo (Mr. César) français)|Une villageoise, un paquet sur la tête, cause avec un jeune homme qui se repose à l'ombre de plusieurs grands arbres, au pied desquels coule une rivière ; sur l'autre rive sont des fabriques, et plus loin une vaste plaine bornée à l'horizon par de hautes montagnes.]] réalisée par Vanloo (Mr. César) français, vendue par Didot, achetée par Simon rue des vieux Augustins au prix de 92.95 fl. [10]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage. Une rivière coule entre des arbres et des rochers, dont l'un est surmonté d'un petit temple en ruines, on y voit un vieillard parlant à deux jeunes filles. réalisée par Vanloo (Mr. César) français, vendue par Didot, achetée par Tardieu rue des Bourdonnois au prix de 75.05 fl. [11]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'Automne. Il est personnifié par une femme converte d'une peau de tigre, et dont la tête est ceinte d'une couronne de pampre et de raisins. réalisée par Vallin (Mr.), vendue par Didot, achetée par Rey au prix de 71 fl. [12]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Le Printems. Cette saison est caracterisée par une jeune femme vue en buste et couronnée de fleurs. réalisée par Vallin (Mr.), vendue par Didot, achetée par Rey au prix de 71 fl. [13]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Les Baigneuses. Dans un fond de paysage traversé par une rivière, des baigneuses jouent dans l'eau ; auprès de la statue de Cléopatre ; d'autres se reposent sur le gazon. réalisée par Vallin (Mr.), vendue par Didot, achetée par Hénin rue neuve des Mathurins no 68 au prix de 89.05 fl. [14]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Télémaque en capitivité. Le fils d'Ulysse, esclave dans le désert d'Oasis, enseigne aux bergers à jouer de la flûte en présence et d'après le conseil du sage Termosiris, prêtre d'Apollon. De hautes et arides montagnes terminent à droite les fonds de cette intéressante composition ; à gauche la vue s'étend sur une immense plaine, où l'on aperçoit des piramides. Pour sentir le mérite de ce délicieux tableau, il ne faut que le comparer au passage du poëme où l'artiste a pris son sujet. C'est la même richesse de style, la même délicatesse et la même élégance. Quant aux effets pittoresques, personne ne les entend mieux que M. Vallin, et n'execute avec plus de goût que lui. (Vallin (Mr.) français)|Télémaque en capitivité. Le fils d'Ulysse, esclave dans le désert d'Oasis, enseigne aux bergers à jouer de la flûte en présence et d'après le conseil du sage Termosiris, prêtre d'Apollon. De hautes et arides montagnes terminent à droite les fonds de cette intéressante composition ; à gauche la vue s'étend sur une immense plaine, où l'on aperçoit des piramides. Pour sentir le mérite de ce délicieux tableau, il ne faut que le comparer au passage du poëme où l'artiste a pris son sujet. C'est la même richesse de style, la même délicatesse et la même élégance. Quant aux effets pittoresques, personne ne les entend mieux que M. Vallin, et n'execute avec plus de goût que lui.]] réalisée par Vallin (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Varroc au prix de 601 fl. [15]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Scène pastorale. Deux jeunes bergères présentent, à un agneau chéri, des plantes qu'elles ont cueillies exprès pour lui. réalisée par Théaulon, français, vendue par Didot au prix de 72 fl. [16]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sans douleur! Un opérateur, monté sur des tréteaux, où il exerce publiquement son art, montre une dent qu'il vient d'arracher avec la pointe d'un sabre, et dit avec assurance aux spectateurs, sans dolore, Messieurs, sans dolore. Cependant le patient, dont il vient d'ébranler la machoire, dit par ses grimaces et ses horribles contorsions ; avec douleur, avec grande douleur. Ces deux tableaux tiendront toujours un rang distingué parmi les meilleurs ouvrages de M. Taunay. (Taunay (Mr.) français)|Sans douleur! Un opérateur, monté sur des tréteaux, où il exerce publiquement son art, montre une dent qu'il vient d'arracher avec la pointe d'un sabre, et dit avec assurance aux spectateurs, sans dolore, Messieurs, sans dolore. Cependant le patient, dont il vient d'ébranler la machoire, dit par ses grimaces et ses horribles contorsions ; avec douleur, avec grande douleur. Ces deux tableaux tiendront toujours un rang distingué parmi les meilleurs ouvrages de M. Taunay.]] réalisée par Taunay (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Henry au prix de 680 fl. [17]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Arlequin baigneur. Des bateleurs ayant pour théatre une grande tente dressée à l'extrêmité d'une place publique, se sont approchés d'une fontaine où des femmes puisaient de l'eau. L'un d'eux, vêtu en arlequin, s'est couché à plat-ventre sur le haut de la fontaine ; et les mains devant le tuyau, il en fait jaillir l'eau sur une vieille femme qui s'enfuit avec humeur. Cette espiéglerie excite la risée des compagnons d'Arlequin, et de beaucoup d'autres personnages. Il serait difficile de rien imaginer de plus plaisant, et plus difficile encore de le rendre avec autant d'esprit. Ces deux tableaux tiendront toujours un rang distingué parmi les meilleurs ouvrages de M. Taunay. (Taunay (Mr.) français)|Arlequin baigneur. Des bateleurs ayant pour théatre une grande tente dressée à l'extrêmité d'une place publique, se sont approchés d'une fontaine où des femmes puisaient de l'eau. L'un d'eux, vêtu en arlequin, s'est couché à plat-ventre sur le haut de la fontaine ; et les mains devant le tuyau, il en fait jaillir l'eau sur une vieille femme qui s'enfuit avec humeur. Cette espiéglerie excite la risée des compagnons d'Arlequin, et de beaucoup d'autres personnages. Il serait difficile de rien imaginer de plus plaisant, et plus difficile encore de le rendre avec autant d'esprit. Ces deux tableaux tiendront toujours un rang distingué parmi les meilleurs ouvrages de M. Taunay.]] réalisée par Taunay (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Varroc au prix de 700 fl. [18]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Transport de Bagages. On y remarque entr'autres, deux mulets chargés de bagages et conduits par deux valets qu'accompagne une vivandière. réalisée par Swebach, dit Fontaines, (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Hazard rue de Cléry au prix de 181 fl. [19]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Convoi Militaire. Il passe dans un défilé de rochers, et descend d'une montagne dans une riche plaine qui s'étend à perte de vue. Des officiers inspecteurs sont arrêtés pour le voir défiler. réalisée par Swebach, dit Fontaines, (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Varroc rue du gros Chenet au prix de 180 fl. [20]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La chasse au cerf. Quatre chasseurs, une femme et trois hommes, montés sur d'élégans chevaux, et suivis d'une meute de chiens, galopent à travers une prairie pour croiser un cerf qui s'est élancé dans une rivière. D'autres chasseurs pressent l'animal et le réduisent aux abois. (Swebach, dit Fontaines, (Mr.) français)|La chasse au cerf. Quatre chasseurs, une femme et trois hommes, montés sur d'élégans chevaux, et suivis d'une meute de chiens, galopent à travers une prairie pour croiser un cerf qui s'est élancé dans une rivière. D'autres chasseurs pressent l'animal et le réduisent aux abois.]] réalisée par Swebach, dit Fontaines, (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Dusommerard rue de Ménars au prix de 290 fl. [21]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Blanchisseuse. Une villagoise sic dans son ménage est occupée à savonner, et fait faire l'aumône à un vieillarfd par un de ses enfans. réalisée par Senave (Mr.) flamand, vendue par Didot, achetée par Sallé au prix de 46.05 fl. [22]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Le ménage rustique. Tandis que le maître de la maison est occupé à boire avec un de ses voisins, la femme entourée de ses enfans en bas âge, est occupée à raccommoder leurs vêtemens. réalisée par Senave (Mr.) flamand, vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 90 fl. [23]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Halte de Militaires. Auprès d'une cantine, un officier à cheval, sur le point de partir, rend à la cantinière le verre qu'il vient de vider ; sur un plan plus éloigné on apperçoit d'autres militaires qui viennent au camp. On y compte un vingtaine de figures. Tableau parfait ainsi que le suivant. (Roehn (Mr. A.) 1818, français)|Halte de Militaires. Auprès d'une cantine, un officier à cheval, sur le point de partir, rend à la cantinière le verre qu'il vient de vider ; sur un plan plus éloigné on apperçoit d'autres militaires qui viennent au camp. On y compte un vingtaine de figures. Tableau parfait ainsi que le suivant.]] réalisée par Roehn (Mr. A.) 1818, français, vendue par Didot, achetée par Varroc au prix de 331 fl. [24]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Sainte Famille aux Anges. Ce tableau qui, dans le cabinet de l'ancien propriétaire, passait pour être du Poussin, nous paraît être de Nicolas Loir, le meilleur traducteur de ce peintre. réalisée par Poussin (d'après N.), vendue par Didot, achetée par Laneuville rue St Marc au prix de 100 fl. [25]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'auberge italienne. Tandis que le maître de l'auberge est occupé à servir un cavalier resté en selle, un autre militaire, assis à une petite table, s'entretient avec une servante qui est debout devant lui. Près d'eux est une femme donnant le sein à un enfant ; plus loin se reposent d'autres personnages. Déjà M. Pérignon, par ses deux tableaux d'histoire, exposés au salon, avait fait preuve d'un talent recommandable. Elève de M. Giraudet, il ne peut que lui faire honneur. (Pérignon (Mr.) français)|L'auberge italienne. Tandis que le maître de l'auberge est occupé à servir un cavalier resté en selle, un autre militaire, assis à une petite table, s'entretient avec une servante qui est debout devant lui. Près d'eux est une femme donnant le sein à un enfant ; plus loin se reposent d'autres personnages. Déjà M. Pérignon, par ses deux tableaux d'histoire, exposés au salon, avait fait preuve d'un talent recommandable. Elève de M. Giraudet, il ne peut que lui faire honneur.]] réalisée par Pérignon (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Tardieu au prix de 282 fl. [26]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage. Au pied d'une colline surmontée de ruines et de chaumières, coule une rivière où des pêcheurs s'amusent à tendre leurs hameçons. réalisée par Nivard, français, vendue par Didot, achetée par Tardieu au prix de 43.1 fl. [27]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue prise sous les murs d'une ville de guerre, quelques momens avant le coucher du soleil. Une charette attelée de boeufs, traverse un pont sur le devant du tableau ; dans le fond est une montagne couverte de fortifications. réalisée par Michallon (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Henry au prix de 140 fl. [28]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'Heureux Ménage. Devenue épouse et mère, elle présente à son mari le premier fruit de leur hymen et le gage de leur mutuel amour. réalisée par Mallet (Mr.), vendue par Didot, achetée par Sallé au prix de 124.05 fl. [29]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Confidence. Une jeune personne, sur le point de se marier, témoigne quelques inquiétudes à son amie, qui prend à tâche de la rassurer. réalisée par Mallet ( Mr.), vendue par Didot, achetée par Lévy rue de la Vrillère au prix de 121 fl. [30]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage représente au soleil couchant, et enrichi de figures peintes par M. Duval. réalisée par La Roserie (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Mayer rue Thévenot au prix de 14.05 fl. [31]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Sur le devant d'un paysage, une villageoise accompagnée d'un petit garçon, conduit une vache et un troupeau de brebis. réalisée par Leprince (Mr. Léopold) français, vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 37 fl. [32]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des villageois, l'un à cheval, les autres en charrette, se croisent au bord d'une rivière, qu'ils vont passer à gué, avec un troupeau de gros et menu bétail. Le paysage est par M. Naudou. réalisée par Leprince (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Roque, Médecin au prix de 49 fl. [33]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La pêche. Un jeune homme est occupé à donner à une jeune fille le poisson, que deux de leurs camarades viennent de pêcher. Ce tableau est gravé. réalisée par Lancret, vendue par Didot, achetée par Mounet au prix de 21.5 fl. [34]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de l'entrée de la cour et de la grande salle de l'hôtel de Bullion, peinte d'après nature avec le plus grand soin. Les figures sont de M. X. Leprince ; parmi ces figures, on remarque celle d'un amateur, accompagnant une dame. (Henry (Jules) français)|Vue de l'entrée de la cour et de la grande salle de l'hôtel de Bullion, peinte d'après nature avec le plus grand soin. Les figures sont de M. X. Leprince ; parmi ces figures, on remarque celle d'un amateur, accompagnant une dame.]] réalisée par Henry (Jules) français, vendue par Didot, achetée par Simon rue des vieux Augustins au prix de 213 fl. [35]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage très-agréable où l'on remarque une tente militaire, des charriots chargés de bagages et plusieurs cavaliers. réalisée par Duplessis (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Pérignon rue Montmartre au prix de 62 fl. [36]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue prise à l'entrée des Apennins. On y remarque des bergers gardant un troupeau dans un pâturage. Les figures sont de M. Duval. réalisée par Dunouy (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Paillet au prix de 41 fl. [37]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue des environs de la Chartreuse de ...., en Italie. Etude d'après nature, avec figures, de M. Duval. réalisée par Dunouy (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Simon rue des vieux Augustins au prix de 90 fl. [38]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage baigné par une rivière, sur le bord de laquelle est un pêcheur. réalisée par Dufrenne (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Paillet au prix de 25.5 fl. [39]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des militaires se reposant sur le devant d'un paysage, à peu de distance d'un camp. réalisée par Dufrenne (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 35 fl. [40]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Meditation. Deux capucins dans l'un des escaliers de leur couvent, sont plongés dans la lecture et dans la méditation. réalisée par Dufrenne (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Paillet au prix de 40 fl. [41]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Prière. Un moine bénéditin priant devant une statue de la Vierge, dans une chapelle souterraine. réalisée par Dufrenne (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Paillet au prix de 44.95 fl. [42]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Intérieur de forêt, divisée par un chemin, où l'on voit plusieurs voyageurs. Ce tableau a l'aspect agréable d'un Bruandet. réalisée par Dufrenne (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 29 fl. [43]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un jeune pâtre voyant deux taureaux se menacer de la corne, frappe sur l'un d'eux à coups de bâton pour lui faire quitter la partie. réalisée par Deroy, de Bruxelles (Mr.) flamand, vendue par Didot, achetée par P Simary au prix de 28 fl. [44]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un mari, jaloux de sa femme, s'avance un poignard à la main, pour en frapper un jeune homme qui accompagne son chant sur la guittare ; le fond du tableau représente un palais, au milieu d'un paysage, peint par Lallemant. Ce tableau peut faire pendant au petit tableau de M. Senave, intitulé la Blanchisseuse. (Demarne)|Un mari, jaloux de sa femme, s'avance un poignard à la main, pour en frapper un jeune homme qui accompagne son chant sur la guittare ; le fond du tableau représente un palais, au milieu d'un paysage, peint par Lallemant. Ce tableau peut faire pendant au petit tableau de M. Senave, intitulé la Blanchisseuse.]] réalisée par Demarne, vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 27 fl. [45]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Passage du gué. Un petit garçon et une petite fille montés sur un cheval blanc, chassent devant eux, au milieu d'un gué, une vache, une chèvre et un mouton. De l'autre côté du gué, une paysanne conduit un âne. C'est le pendant du précédent tableau. (Demarne (Mr.))|Le Passage du gué. Un petit garçon et une petite fille montés sur un cheval blanc, chassent devant eux, au milieu d'un gué, une vache, une chèvre et un mouton. De l'autre côté du gué, une paysanne conduit un âne. C'est le pendant du précédent tableau.]] réalisée par Demarne (Mr.), vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 160 fl. [46]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jeux d'enfans. Au pied d'un arbre, un jeune garçon fait le coup de tête avec une chèvre blanche ; une petite fille est auprès et retient un chien qui veut se mettre de la partie. Derrière la chèvre est une vache qui rumine. Nous ne croyons pas possible d'avoir un échantillon plus parfait du maître. (Demarne (Mr.))|Jeux d'enfans. Au pied d'un arbre, un jeune garçon fait le coup de tête avec une chèvre blanche ; une petite fille est auprès et retient un chien qui veut se mettre de la partie. Derrière la chèvre est une vache qui rumine. Nous ne croyons pas possible d'avoir un échantillon plus parfait du maître.]] réalisée par Demarne (Mr.), vendue par Didot, achetée par Gérard rue de la Michaudière au prix de 268 fl. [47]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Quenouille enlevée. La fileuse dont on a pris la quenouille, est une jeune paysanne chargée de garder un troupeau ; et le voleur, après lequel on la voit courir, est un jeune et grand garçon, qui ne voudra rien rendre si on ne lui donne en échange un ou deux baisers. Cette petite scène se passe dans une prairie, et amuse une autre femme qui est assise au pied d'un saule décrépit. Une fontaine, une rangée de grands arbres, et plus de vingt animaux de différentes espèces, ornent toutes les parties de ce tableau, l'un des plus parfaits du maître. (Demarne (Mr.) français)|La Quenouille enlevée. La fileuse dont on a pris la quenouille, est une jeune paysanne chargée de garder un troupeau ; et le voleur, après lequel on la voit courir, est un jeune et grand garçon, qui ne voudra rien rendre si on ne lui donne en échange un ou deux baisers. Cette petite scène se passe dans une prairie, et amuse une autre femme qui est assise au pied d'un saule décrépit. Une fontaine, une rangée de grands arbres, et plus de vingt animaux de différentes espèces, ornent toutes les parties de ce tableau, l'un des plus parfaits du maître.]] réalisée par Demarne (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Varroc au prix de 1205 fl. [48]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le bon Ménage. Une famille de villageois composée de huit figures principales, parmi lesquelles on remarque le mari appuyé sur la chaise de sa femme. Le grandpère joue avec un de ses petits-enfants, qu'il tient sur ses genoux. Dans le fond d'une autre chambre, on aperçoit une vieille femme contre une cheminée, et une autre qui balaye. M. Debucourt est le Téniers français. (Debucourt (Mr.))|Le bon Ménage. Une famille de villageois composée de huit figures principales, parmi lesquelles on remarque le mari appuyé sur la chaise de sa femme. Le grandpère joue avec un de ses petits-enfants, qu'il tient sur ses genoux. Dans le fond d'une autre chambre, on aperçoit une vieille femme contre une cheminée, et une autre qui balaye. M. Debucourt est le Téniers français.]] réalisée par Debucourt (Mr.), vendue par Didot, achetée par Lalande rue des Gravillers au prix de 201 fl. [49]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Ecurie. Un âne, attaché près de la porte qui est ouverte, paraît triste d'être éloigné du ratelier. Ce tableau a été peint d'après nature en Italie. Voici à quel heureux hasard il doit sa naissance. David était pensionnaire de l'académie de Rome, quand Vien en était le directeur. A cette époque s'y trouvait aussi Valenlenciennes sic ; ce dernier sortait un jour avec David pour faire, d'après nature, une étude de paysage. En chemin, une averse les surprend ; ils se réfugient dans une écurie voisine ; et comme la pluie paraissait devoir durer long-tems, David prit ses pinceaux, et tandis que Valenciennes peignait une étude de pluie, il se mit à peindre l'appartement qui le mettait à l'abri, et l'hôte qui l'habitait. Cette étude fut, peu de momens après, montrée à M. Vien, qui en fut ravi. Nous tenons ces détails d'un artiste qui tient aujourd'hui un premier rang dans la peinture. (David (Mr.))|L'Ecurie. Un âne, attaché près de la porte qui est ouverte, paraît triste d'être éloigné du ratelier. Ce tableau a été peint d'après nature en Italie. Voici à quel heureux hasard il doit sa naissance. David était pensionnaire de l'académie de Rome, quand Vien en était le directeur. A cette époque s'y trouvait aussi Valenlenciennes sic ; ce dernier sortait un jour avec David pour faire, d'après nature, une étude de paysage. En chemin, une averse les surprend ; ils se réfugient dans une écurie voisine ; et comme la pluie paraissait devoir durer long-tems, David prit ses pinceaux, et tandis que Valenciennes peignait une étude de pluie, il se mit à peindre l'appartement qui le mettait à l'abri, et l'hôte qui l'habitait. Cette étude fut, peu de momens après, montrée à M. Vien, qui en fut ravi. Nous tenons ces détails d'un artiste qui tient aujourd'hui un premier rang dans la peinture.]] réalisée par David (Mr.), vendue par Didot, achetée par Simon rue des vieux Augustins au prix de 135 fl. [50]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage. Au premier plan, un chevrier traverse un pont construit sur des rochers. réalisée par Courtois, français, vendue par Didot, achetée par Lugagne au prix de 9.15 fl. [51]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage avec rochers et rivière sur le premier plan. L'une des deux figures, sur le devant, excite un chien à courir après un oiseau. réalisée par Crépin, vendue par Didot, achetée par Lugagne rue Thiroux au prix de 14.5 fl. [52]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Une brebis, une chèvre et un chevreau. L'artiste les a représentés sur le devant d'un pâturage, à peu de distance d'une habitation de paysan. Les tableaux de ce peintre sont souvent confondus avec ceux d'Ommégank. réalisée par Carpenteyro (Mr,) flamand, vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 65.1 fl. [53]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux chèvres et une brebis se reposant sur le devant d'un paysage. réalisée par Carpenteyro (Mr,) flamand, vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 65.1 fl. [54]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de Forêt. Tableau peint d'après nature dans le bois de Boulogne, près de la marre d'Auteuil. M. Swébach y a peint une chasse au cerf. Ce paysagiste, le plus vrai de toute l'Ecole, nous parait s'être surpassé dans ce tableau, que nous regardons comme son chef-d'oeuvre. (Bruandet (Léazar))|Intérieur de Forêt. Tableau peint d'après nature dans le bois de Boulogne, près de la marre d'Auteuil. M. Swébach y a peint une chasse au cerf. Ce paysagiste, le plus vrai de toute l'Ecole, nous parait s'être surpassé dans ce tableau, que nous regardons comme son chef-d'oeuvre.]] réalisée par Bruandet (Léazar), vendue par Didot, achetée par Sallé au prix de 177.05 fl. [55]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux petits paysages d'un ton frais ; dans l'un on remarque, près d'une cascade, un pâtre qui chasse un troupeau devant lui ; dans l'autre, un voyageur parle à une femme assise sur le bord du chemin. réalisée par Bourdon, français, vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 32.05 fl. [56]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Amant Musicien. Un jeune homme joue un air tendre pour sa maîtresse, qu'il ne soupçonne pas être aussi près de lui : elle est cachée derrière un arbre ; et son amie, qui est auprès d'elle, dérange une branche pour découvrir l'amant. Les ouvrages de ce peintre portent toujours l'empreinte d'un talent très-agréable. (Boilly (Mr.))|L'Amant Musicien. Un jeune homme joue un air tendre pour sa maîtresse, qu'il ne soupçonne pas être aussi près de lui : elle est cachée derrière un arbre ; et son amie, qui est auprès d'elle, dérange une branche pour découvrir l'amant. Les ouvrages de ce peintre portent toujours l'empreinte d'un talent très-agréable.]] réalisée par Boilly (Mr.), vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 50.05 fl. [57]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Amant Poête. Dans un parc, un amant, assis au pied de la statue d'Apollon, déclame des vers qu'il vient de composer pour sa maîtresse : celle-ci, accompagnée d'une jeune amie, est près de son amant, derrière un buisson, et l'écoute sans en être vue. (Boilly (Mr.))|L'Amant Poête. Dans un parc, un amant, assis au pied de la statue d'Apollon, déclame des vers qu'il vient de composer pour sa maîtresse : celle-ci, accompagnée d'une jeune amie, est près de son amant, derrière un buisson, et l'écoute sans en être vue.]] réalisée par Boilly (Mr.), vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 50 fl. [58]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Promenade sur l'Eau. Un terrain sablonneux est entouré de rivières ; dans une barque on remarque plusieurs personners faisant de la musique. réalisée par Boissieu (Mr.), vendue par Didot, achetée par Dusommerard au prix de 270 fl. [59]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'Entrée d'un Parc. Sur le chemin on voit une femme montée sur un âne et conduisant une vache ; au premier plan, un homme endormi est gardé par son chien. réalisée par Boissieu (Mr.), vendue par Didot, achetée par Dusommerard au prix de 270 fl. [60]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Pâturage. Deux vaches, une rousse et une blanche, sont sur le devant du tableau. Tout près de la rousse est un enfant couché sur l'herbe, et qui regarde un un sic garçon et une petite fille qui se disputent la possession d'un oiseau. M. Berré marche de succès en succès. (Berré (Mr.))|Le Pâturage. Deux vaches, une rousse et une blanche, sont sur le devant du tableau. Tout près de la rousse est un enfant couché sur l'herbe, et qui regarde un un sic garçon et une petite fille qui se disputent la possession d'un oiseau. M. Berré marche de succès en succès.]] réalisée par Berré (Mr.), vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 144 fl. [61]
- 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Prairie. On remarque dans ce paysage trois enfans, une cigogne et deux vaches, dont une se frottant contre un saule dépouillé d'une grande partie de ses rameaux. réalisée par Berré (Mr.), vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 144.05 fl. [62]