Ventes d'œuvres le 1819.12.27

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  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Groupe considérable de fleurs dans un vase posé sur une table de marbre, au bord de laquelle sont placés des raisins et des pêches. Dans ce genre séduisant, même le plus grand peintre a besoin, pour la fraîcheur de la teinte, de la fracheur de l'âge ; et si, avec les années, il croit trouver un dédommagement dans le plus minutieux fini que le froit accompagne, lui seul ne s'aperçoit pas que c'est aux dépens de la vie de la couleur et même de la vie de l'exécution. M. Vandael, le plus habile fleuriste du jour, n'a, selon nous, produit rien de plus parfait, et loin de le céder à Vanhuysum, nous ne connaissons que ce tableau, dans son genre, qui, rappele sans cesse vers lui avec un charme nouveau, tel qu'on l'éprouverait devant un tableau de sentiment et d'expression  ; en un mot, nous le croyons digne d'orner le cabinet d'un souverain. (Vandael (Mr.))|Groupe considérable de fleurs dans un vase posé sur une table de marbre, au bord de laquelle sont placés des raisins et des pêches. Dans ce genre séduisant, même le plus grand peintre a besoin, pour la fraîcheur de la teinte, de la fracheur de l'âge ; et si, avec les années, il croit trouver un dédommagement dans le plus minutieux fini que le froit accompagne, lui seul ne s'aperçoit pas que c'est aux dépens de la vie de la couleur et même de la vie de l'exécution. M. Vandael, le plus habile fleuriste du jour, n'a, selon nous, produit rien de plus parfait, et loin de le céder à Vanhuysum, nous ne connaissons que ce tableau, dans son genre, qui, rappele sans cesse vers lui avec un charme nouveau, tel qu'on l'éprouverait devant un tableau de sentiment et d'expression  ; en un mot, nous le croyons digne d'orner le cabinet d'un souverain.]] réalisée par Vandael (Mr.), vendue par Didot, achetée par Simon rue des vieux Augustins au prix de 1160 fl. [5]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux soldats cuirassés causent au pied d'un rocher, derrière lequel on voit un fleuve se précipiter en cascades. M. Vien qui, le premier a indiqué la roule du bon goût aux peintres d'histoire, a peint aussi avec succès des paysages dans la manière de Salvator. (Vien, français)|Deux soldats cuirassés causent au pied d'un rocher, derrière lequel on voit un fleuve se précipiter en cascades. M. Vien qui, le premier a indiqué la roule du bon goût aux peintres d'histoire, a peint aussi avec succès des paysages dans la manière de Salvator.]] réalisée par Vien, français, vendue par Didot, achetée par Durand Duclos au prix de 21 fl. [8]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une villageoise, un paquet sur la tête, cause avec un jeune homme qui se repose à l'ombre de plusieurs grands arbres, au pied desquels coule une rivière ; sur l'autre rive sont des fabriques, et plus loin une vaste plaine bornée à l'horizon par de hautes montagnes. (Vanloo (Mr. César) français)|Une villageoise, un paquet sur la tête, cause avec un jeune homme qui se repose à l'ombre de plusieurs grands arbres, au pied desquels coule une rivière ; sur l'autre rive sont des fabriques, et plus loin une vaste plaine bornée à l'horizon par de hautes montagnes.]] réalisée par Vanloo (Mr. César) français, vendue par Didot, achetée par Simon rue des vieux Augustins au prix de 92.95 fl. [10]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Télémaque en capitivité. Le fils d'Ulysse, esclave dans le désert d'Oasis, enseigne aux bergers à jouer de la flûte en présence et d'après le conseil du sage Termosiris, prêtre d'Apollon. De hautes et arides montagnes terminent à droite les fonds de cette intéressante composition ; à gauche la vue s'étend sur une immense plaine, où l'on aperçoit des piramides. Pour sentir le mérite de ce délicieux tableau, il ne faut que le comparer au passage du poëme où l'artiste a pris son sujet. C'est la même richesse de style, la même délicatesse et la même élégance. Quant aux effets pittoresques, personne ne les entend mieux que M. Vallin, et n'execute avec plus de goût que lui. (Vallin (Mr.) français)|Télémaque en capitivité. Le fils d'Ulysse, esclave dans le désert d'Oasis, enseigne aux bergers à jouer de la flûte en présence et d'après le conseil du sage Termosiris, prêtre d'Apollon. De hautes et arides montagnes terminent à droite les fonds de cette intéressante composition ; à gauche la vue s'étend sur une immense plaine, où l'on aperçoit des piramides. Pour sentir le mérite de ce délicieux tableau, il ne faut que le comparer au passage du poëme où l'artiste a pris son sujet. C'est la même richesse de style, la même délicatesse et la même élégance. Quant aux effets pittoresques, personne ne les entend mieux que M. Vallin, et n'execute avec plus de goût que lui.]] réalisée par Vallin (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Varroc au prix de 601 fl. [15]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sans douleur! Un opérateur, monté sur des tréteaux, où il exerce publiquement son art, montre une dent qu'il vient d'arracher avec la pointe d'un sabre, et dit avec assurance aux spectateurs, sans dolore, Messieurs, sans dolore. Cependant le patient, dont il vient d'ébranler la machoire, dit par ses grimaces et ses horribles contorsions ; avec douleur, avec grande douleur. Ces deux tableaux tiendront toujours un rang distingué parmi les meilleurs ouvrages de M. Taunay. (Taunay (Mr.) français)|Sans douleur! Un opérateur, monté sur des tréteaux, où il exerce publiquement son art, montre une dent qu'il vient d'arracher avec la pointe d'un sabre, et dit avec assurance aux spectateurs, sans dolore, Messieurs, sans dolore. Cependant le patient, dont il vient d'ébranler la machoire, dit par ses grimaces et ses horribles contorsions ; avec douleur, avec grande douleur. Ces deux tableaux tiendront toujours un rang distingué parmi les meilleurs ouvrages de M. Taunay.]] réalisée par Taunay (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Henry au prix de 680 fl. [17]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Arlequin baigneur. Des bateleurs ayant pour théatre une grande tente dressée à l'extrêmité d'une place publique, se sont approchés d'une fontaine où des femmes puisaient de l'eau. L'un d'eux, vêtu en arlequin, s'est couché à plat-ventre sur le haut de la fontaine ; et les mains devant le tuyau, il en fait jaillir l'eau sur une vieille femme qui s'enfuit avec humeur. Cette espiéglerie excite la risée des compagnons d'Arlequin, et de beaucoup d'autres personnages. Il serait difficile de rien imaginer de plus plaisant, et plus difficile encore de le rendre avec autant d'esprit. Ces deux tableaux tiendront toujours un rang distingué parmi les meilleurs ouvrages de M. Taunay. (Taunay (Mr.) français)|Arlequin baigneur. Des bateleurs ayant pour théatre une grande tente dressée à l'extrêmité d'une place publique, se sont approchés d'une fontaine où des femmes puisaient de l'eau. L'un d'eux, vêtu en arlequin, s'est couché à plat-ventre sur le haut de la fontaine ; et les mains devant le tuyau, il en fait jaillir l'eau sur une vieille femme qui s'enfuit avec humeur. Cette espiéglerie excite la risée des compagnons d'Arlequin, et de beaucoup d'autres personnages. Il serait difficile de rien imaginer de plus plaisant, et plus difficile encore de le rendre avec autant d'esprit. Ces deux tableaux tiendront toujours un rang distingué parmi les meilleurs ouvrages de M. Taunay.]] réalisée par Taunay (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Varroc au prix de 700 fl. [18]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La chasse au cerf. Quatre chasseurs, une femme et trois hommes, montés sur d'élégans chevaux, et suivis d'une meute de chiens, galopent à travers une prairie pour croiser un cerf qui s'est élancé dans une rivière. D'autres chasseurs pressent l'animal et le réduisent aux abois. (Swebach, dit Fontaines, (Mr.) français)|La chasse au cerf. Quatre chasseurs, une femme et trois hommes, montés sur d'élégans chevaux, et suivis d'une meute de chiens, galopent à travers une prairie pour croiser un cerf qui s'est élancé dans une rivière. D'autres chasseurs pressent l'animal et le réduisent aux abois.]] réalisée par Swebach, dit Fontaines, (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Dusommerard rue de Ménars au prix de 290 fl. [21]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Halte de Militaires. Auprès d'une cantine, un officier à cheval, sur le point de partir, rend à la cantinière le verre qu'il vient de vider ; sur un plan plus éloigné on apperçoit d'autres militaires qui viennent au camp. On y compte un vingtaine de figures. Tableau parfait ainsi que le suivant. (Roehn (Mr. A.) 1818, français)|Halte de Militaires. Auprès d'une cantine, un officier à cheval, sur le point de partir, rend à la cantinière le verre qu'il vient de vider ; sur un plan plus éloigné on apperçoit d'autres militaires qui viennent au camp. On y compte un vingtaine de figures. Tableau parfait ainsi que le suivant.]] réalisée par Roehn (Mr. A.) 1818, français, vendue par Didot, achetée par Varroc au prix de 331 fl. [24]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'auberge italienne. Tandis que le maître de l'auberge est occupé à servir un cavalier resté en selle, un autre militaire, assis à une petite table, s'entretient avec une servante qui est debout devant lui. Près d'eux est une femme donnant le sein à un enfant ; plus loin se reposent d'autres personnages. Déjà M. Pérignon, par ses deux tableaux d'histoire, exposés au salon, avait fait preuve d'un talent recommandable. Elève de M. Giraudet, il ne peut que lui faire honneur. (Pérignon (Mr.) français)|L'auberge italienne. Tandis que le maître de l'auberge est occupé à servir un cavalier resté en selle, un autre militaire, assis à une petite table, s'entretient avec une servante qui est debout devant lui. Près d'eux est une femme donnant le sein à un enfant ; plus loin se reposent d'autres personnages. Déjà M. Pérignon, par ses deux tableaux d'histoire, exposés au salon, avait fait preuve d'un talent recommandable. Elève de M. Giraudet, il ne peut que lui faire honneur.]] réalisée par Pérignon (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Tardieu au prix de 282 fl. [26]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de l'entrée de la cour et de la grande salle de l'hôtel de Bullion, peinte d'après nature avec le plus grand soin. Les figures sont de M. X. Leprince ; parmi ces figures, on remarque celle d'un amateur, accompagnant une dame. (Henry (Jules) français)|Vue de l'entrée de la cour et de la grande salle de l'hôtel de Bullion, peinte d'après nature avec le plus grand soin. Les figures sont de M. X. Leprince ; parmi ces figures, on remarque celle d'un amateur, accompagnant une dame.]] réalisée par Henry (Jules) français, vendue par Didot, achetée par Simon rue des vieux Augustins au prix de 213 fl. [35]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un mari, jaloux de sa femme, s'avance un poignard à la main, pour en frapper un jeune homme qui accompagne son chant sur la guittare ; le fond du tableau représente un palais, au milieu d'un paysage, peint par Lallemant. Ce tableau peut faire pendant au petit tableau de M. Senave, intitulé la Blanchisseuse. (Demarne)|Un mari, jaloux de sa femme, s'avance un poignard à la main, pour en frapper un jeune homme qui accompagne son chant sur la guittare ; le fond du tableau représente un palais, au milieu d'un paysage, peint par Lallemant. Ce tableau peut faire pendant au petit tableau de M. Senave, intitulé la Blanchisseuse.]] réalisée par Demarne, vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 27 fl. [45]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Passage du gué. Un petit garçon et une petite fille montés sur un cheval blanc, chassent devant eux, au milieu d'un gué, une vache, une chèvre et un mouton. De l'autre côté du gué, une paysanne conduit un âne. C'est le pendant du précédent tableau. (Demarne (Mr.))|Le Passage du gué. Un petit garçon et une petite fille montés sur un cheval blanc, chassent devant eux, au milieu d'un gué, une vache, une chèvre et un mouton. De l'autre côté du gué, une paysanne conduit un âne. C'est le pendant du précédent tableau.]] réalisée par Demarne (Mr.), vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 160 fl. [46]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jeux d'enfans. Au pied d'un arbre, un jeune garçon fait le coup de tête avec une chèvre blanche ; une petite fille est auprès et retient un chien qui veut se mettre de la partie. Derrière la chèvre est une vache qui rumine. Nous ne croyons pas possible d'avoir un échantillon plus parfait du maître. (Demarne (Mr.))|Jeux d'enfans. Au pied d'un arbre, un jeune garçon fait le coup de tête avec une chèvre blanche ; une petite fille est auprès et retient un chien qui veut se mettre de la partie. Derrière la chèvre est une vache qui rumine. Nous ne croyons pas possible d'avoir un échantillon plus parfait du maître.]] réalisée par Demarne (Mr.), vendue par Didot, achetée par Gérard rue de la Michaudière au prix de 268 fl. [47]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Quenouille enlevée. La fileuse dont on a pris la quenouille, est une jeune paysanne chargée de garder un troupeau ; et le voleur, après lequel on la voit courir, est un jeune et grand garçon, qui ne voudra rien rendre si on ne lui donne en échange un ou deux baisers. Cette petite scène se passe dans une prairie, et amuse une autre femme qui est assise au pied d'un saule décrépit. Une fontaine, une rangée de grands arbres, et plus de vingt animaux de différentes espèces, ornent toutes les parties de ce tableau, l'un des plus parfaits du maître. (Demarne (Mr.) français)|La Quenouille enlevée. La fileuse dont on a pris la quenouille, est une jeune paysanne chargée de garder un troupeau ; et le voleur, après lequel on la voit courir, est un jeune et grand garçon, qui ne voudra rien rendre si on ne lui donne en échange un ou deux baisers. Cette petite scène se passe dans une prairie, et amuse une autre femme qui est assise au pied d'un saule décrépit. Une fontaine, une rangée de grands arbres, et plus de vingt animaux de différentes espèces, ornent toutes les parties de ce tableau, l'un des plus parfaits du maître.]] réalisée par Demarne (Mr.) français, vendue par Didot, achetée par Varroc au prix de 1205 fl. [48]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le bon Ménage. Une famille de villageois composée de huit figures principales, parmi lesquelles on remarque le mari appuyé sur la chaise de sa femme. Le grandpère joue avec un de ses petits-enfants, qu'il tient sur ses genoux. Dans le fond d'une autre chambre, on aperçoit une vieille femme contre une cheminée, et une autre qui balaye. M. Debucourt est le Téniers français. (Debucourt (Mr.))|Le bon Ménage. Une famille de villageois composée de huit figures principales, parmi lesquelles on remarque le mari appuyé sur la chaise de sa femme. Le grandpère joue avec un de ses petits-enfants, qu'il tient sur ses genoux. Dans le fond d'une autre chambre, on aperçoit une vieille femme contre une cheminée, et une autre qui balaye. M. Debucourt est le Téniers français.]] réalisée par Debucourt (Mr.), vendue par Didot, achetée par Lalande rue des Gravillers au prix de 201 fl. [49]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Ecurie. Un âne, attaché près de la porte qui est ouverte, paraît triste d'être éloigné du ratelier. Ce tableau a été peint d'après nature en Italie. Voici à quel heureux hasard il doit sa naissance. David était pensionnaire de l'académie de Rome, quand Vien en était le directeur. A cette époque s'y trouvait aussi Valenlenciennes sic ; ce dernier sortait un jour avec David pour faire, d'après nature, une étude de paysage. En chemin, une averse les surprend ; ils se réfugient dans une écurie voisine ; et comme la pluie paraissait devoir durer long-tems, David prit ses pinceaux, et tandis que Valenciennes peignait une étude de pluie, il se mit à peindre l'appartement qui le mettait à l'abri, et l'hôte qui l'habitait. Cette étude fut, peu de momens après, montrée à M. Vien, qui en fut ravi. Nous tenons ces détails d'un artiste qui tient aujourd'hui un premier rang dans la peinture. (David (Mr.))|L'Ecurie. Un âne, attaché près de la porte qui est ouverte, paraît triste d'être éloigné du ratelier. Ce tableau a été peint d'après nature en Italie. Voici à quel heureux hasard il doit sa naissance. David était pensionnaire de l'académie de Rome, quand Vien en était le directeur. A cette époque s'y trouvait aussi Valenlenciennes sic ; ce dernier sortait un jour avec David pour faire, d'après nature, une étude de paysage. En chemin, une averse les surprend ; ils se réfugient dans une écurie voisine ; et comme la pluie paraissait devoir durer long-tems, David prit ses pinceaux, et tandis que Valenciennes peignait une étude de pluie, il se mit à peindre l'appartement qui le mettait à l'abri, et l'hôte qui l'habitait. Cette étude fut, peu de momens après, montrée à M. Vien, qui en fut ravi. Nous tenons ces détails d'un artiste qui tient aujourd'hui un premier rang dans la peinture.]] réalisée par David (Mr.), vendue par Didot, achetée par Simon rue des vieux Augustins au prix de 135 fl. [50]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de Forêt. Tableau peint d'après nature dans le bois de Boulogne, près de la marre d'Auteuil. M. Swébach y a peint une chasse au cerf. Ce paysagiste, le plus vrai de toute l'Ecole, nous parait s'être surpassé dans ce tableau, que nous regardons comme son chef-d'oeuvre. (Bruandet (Léazar))|Intérieur de Forêt. Tableau peint d'après nature dans le bois de Boulogne, près de la marre d'Auteuil. M. Swébach y a peint une chasse au cerf. Ce paysagiste, le plus vrai de toute l'Ecole, nous parait s'être surpassé dans ce tableau, que nous regardons comme son chef-d'oeuvre.]] réalisée par Bruandet (Léazar), vendue par Didot, achetée par Sallé au prix de 177.05 fl. [55]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Amant Musicien. Un jeune homme joue un air tendre pour sa maîtresse, qu'il ne soupçonne pas être aussi près de lui : elle est cachée derrière un arbre ; et son amie, qui est auprès d'elle, dérange une branche pour découvrir l'amant. Les ouvrages de ce peintre portent toujours l'empreinte d'un talent très-agréable. (Boilly (Mr.))|L'Amant Musicien. Un jeune homme joue un air tendre pour sa maîtresse, qu'il ne soupçonne pas être aussi près de lui : elle est cachée derrière un arbre ; et son amie, qui est auprès d'elle, dérange une branche pour découvrir l'amant. Les ouvrages de ce peintre portent toujours l'empreinte d'un talent très-agréable.]] réalisée par Boilly (Mr.), vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 50.05 fl. [57]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Amant Poête. Dans un parc, un amant, assis au pied de la statue d'Apollon, déclame des vers qu'il vient de composer pour sa maîtresse : celle-ci, accompagnée d'une jeune amie, est près de son amant, derrière un buisson, et l'écoute sans en être vue. (Boilly (Mr.))|L'Amant Poête. Dans un parc, un amant, assis au pied de la statue d'Apollon, déclame des vers qu'il vient de composer pour sa maîtresse : celle-ci, accompagnée d'une jeune amie, est près de son amant, derrière un buisson, et l'écoute sans en être vue.]] réalisée par Boilly (Mr.), vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 50 fl. [58]
  • 1819.12.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Pâturage. Deux vaches, une rousse et une blanche, sont sur le devant du tableau. Tout près de la rousse est un enfant couché sur l'herbe, et qui regarde un un sic garçon et une petite fille qui se disputent la possession d'un oiseau. M. Berré marche de succès en succès. (Berré (Mr.))|Le Pâturage. Deux vaches, une rousse et une blanche, sont sur le devant du tableau. Tout près de la rousse est un enfant couché sur l'herbe, et qui regarde un un sic garçon et une petite fille qui se disputent la possession d'un oiseau. M. Berré marche de succès en succès.]] réalisée par Berré (Mr.), vendue par Didot, achetée par Berthon Je au prix de 144 fl. [61]