Ventes d'œuvres le 1820.05.08

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  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Nous intitulerons ce tableau le Champ de blé, parce qu'une grande étendue de la partie droite du paysage en est couverte, et vient aboutir à un chemin sur lequel on rencontre une chapelle de construction gothique, et ombragée d'un haut chêne, un abreuvoir où sont des paysans et paysannes, un pâtre conduisant deux vaches, un grand charriot, équipage ou convoi rustique, des troncs d'arbre coupés et mille autres accessoires qui offrent une variété piquante. Les lointains sont mêlés de fabriques et rivières dont les plans s'étendant à perte de vue ne laissent pas au spectateur un seul endroit où son oeil n'ait un nouvel objet à découvrir. (M. Demarne)|Nous intitulerons ce tableau le Champ de blé, parce qu'une grande étendue de la partie droite du paysage en est couverte, et vient aboutir à un chemin sur lequel on rencontre une chapelle de construction gothique, et ombragée d'un haut chêne, un abreuvoir où sont des paysans et paysannes, un pâtre conduisant deux vaches, un grand charriot, équipage ou convoi rustique, des troncs d'arbre coupés et mille autres accessoires qui offrent une variété piquante. Les lointains sont mêlés de fabriques et rivières dont les plans s'étendant à perte de vue ne laissent pas au spectateur un seul endroit où son oeil n'ait un nouvel objet à découvrir.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varoque au prix de 472 fl. [8]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Duguesclin se faisant lire les exploits des héros français ; il est distrait de cette occupation par une lettre que vient de lui remettre un soldat-trompette ; la dame de ses pensée, la main appuyée sur l'épaule du vaillant chevalier, semble le considérer attentivement ; dans cet intervalle une servante officieuse un jeune garçon qui joue du tambour ; l'intérieur où est représentée cette scène composée de sept personnages, est meublé d'une infinité d'objets qui forment d'heureux et brillans accessoires. (M. Demarne)|Duguesclin se faisant lire les exploits des héros français ; il est distrait de cette occupation par une lettre que vient de lui remettre un soldat-trompette ; la dame de ses pensée, la main appuyée sur l'épaule du vaillant chevalier, semble le considérer attentivement ; dans cet intervalle une servante officieuse un jeune garçon qui joue du tambour ; l'intérieur où est représentée cette scène composée de sept personnages, est meublé d'une infinité d'objets qui forment d'heureux et brillans accessoires.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varoque, achetée par Simari au prix de 499 fl. [9]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur une plage des côtes de la Normandie, des marchands de poissons y sont arrêtés pour embarquer leur pêche dans une charette d'où sortent plusieurs voyageurs. Un militaire indique par son geste l'arrivée d'un batteau que l'on découvre en pleine mer ; différens groupes d'hommes, de femmes et d'enfans offrent des situatins variées et d'un heureux naturel. Autre tableau de forme en travers comme le précédent,.. (M. Demarne)|Sur une plage des côtes de la Normandie, des marchands de poissons y sont arrêtés pour embarquer leur pêche dans une charette d'où sortent plusieurs voyageurs. Un militaire indique par son geste l'arrivée d'un batteau que l'on découvre en pleine mer ; différens groupes d'hommes, de femmes et d'enfans offrent des situatins variées et d'un heureux naturel. Autre tableau de forme en travers comme le précédent,..]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varoque, achetée par Rolland au prix de 425 fl. [11]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre tableau de forme en travers comme le précédent, offrant également la vue des bords de la mer, prise sur les côtes de la Normandie ; on y distingue un groupe assez nombreux de pêcheurs occupés à décharger d'une barque le poisson qu'elle contient. (M. Demarne)|Autre tableau de forme en travers comme le précédent, offrant également la vue des bords de la mer, prise sur les côtes de la Normandie ; on y distingue un groupe assez nombreux de pêcheurs occupés à décharger d'une barque le poisson qu'elle contient.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varoque au prix de 400 fl. [12]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jeune villageoise, montée sur son âne et traversant une rivière `gué avec un troupeau de vaches, chèvres et moutons. Ce tableau fait pendant à une bergère filant sa quenouille auprès de son betail qui paît dans une prairie. Tous deux, sous ce même numéro, seront divisés. (M. Demarne)|Jeune villageoise, montée sur son âne et traversant une rivière `gué avec un troupeau de vaches, chèvres et moutons. Ce tableau fait pendant à une bergère filant sa quenouille auprès de son betail qui paît dans une prairie. Tous deux, sous ce même numéro, seront divisés.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varoque, achetée par Simari au prix de 296 fl. [13]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Canal, composition d'une grande étendue dont la vue perspective se porte à plus de trois lieues de distance ; à la gauche du spectateur est une scène vivante qui ne peut qu'occuper long-tems les regards. Une ferme, située au bord du Canal, forme un port où déberquent des bateaux chargés de marchandises. Des cavaliers, des paysans avec leur bagage, des hommes de peine qui brouettent leurs tonneaux, et des voyageurs de tout les environs, forment l'assemblage le plus récréatif ; tous sont protégés des ardeurs du soleil par des massifs d'arbres d'une structure imposante et qui se détachent sur un ciel paré des plus beaux nuages. (M. Demarne)|Le Canal, composition d'une grande étendue dont la vue perspective se porte à plus de trois lieues de distance ; à la gauche du spectateur est une scène vivante qui ne peut qu'occuper long-tems les regards. Une ferme, située au bord du Canal, forme un port où déberquent des bateaux chargés de marchandises. Des cavaliers, des paysans avec leur bagage, des hommes de peine qui brouettent leurs tonneaux, et des voyageurs de tout les environs, forment l'assemblage le plus récréatif ; tous sont protégés des ardeurs du soleil par des massifs d'arbres d'une structure imposante et qui se détachent sur un ciel paré des plus beaux nuages.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varoque, achetée par Odiot au prix de 1750 fl. [15]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le peintre, pour donner plus d'effet à son tableau et porter plus au loin la vue du spectateur, a couronné le haut de sa composition d'une masse de rochers sous lesquels des marchandes de poissons forment un groupe de huit à dix personnes qui concluent entre eux leur marché. (M. Demarne)|Le peintre, pour donner plus d'effet à son tableau et porter plus au loin la vue du spectateur, a couronné le haut de sa composition d'une masse de rochers sous lesquels des marchandes de poissons forment un groupe de huit à dix personnes qui concluent entre eux leur marché.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varoque, achetée par Simari au prix de 297 fl. [16]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jeunes époux à genoux devant une chapelle, reçoivent la bénédiction nuptale d'un vénérable pasteur en présence d'un nombreux concours d'assistans ; tous les personnages qui forment cette religieuse assemlée semblent pénétrés d'un saint respect. Cette auguste cérémonie, qui se passe dans une campagne en plein air, offre le tableau le plus touchant de la décence, de la candeur et de la piété conjugale. (M. Mallet)|Deux jeunes époux à genoux devant une chapelle, reçoivent la bénédiction nuptale d'un vénérable pasteur en présence d'un nombreux concours d'assistans ; tous les personnages qui forment cette religieuse assemlée semblent pénétrés d'un saint respect. Cette auguste cérémonie, qui se passe dans une campagne en plein air, offre le tableau le plus touchant de la décence, de la candeur et de la piété conjugale.]] réalisée par M. Mallet, vendue par Varoque. [17]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage dont le site est des plus heureusement varié ; à la gauche du spectateur est une rivière traversée par un pont : les bords s'étendent jusqu'à la lisière d'un bois, près duquel des moutons, des chèvres et des boucs trouvent un frais pâturage ; un berger, gardien de ce troupeau, semble s'entretenir avec une jeune fille, en caressant son chien. Toute la partie droite offre des bouquets d'arbres qui se détachent sur un ciel chaud et nuageux. Des plantes aquatiques, des herbes et des fleurs forment, sur le devant de ce tableau, de brillans accessoires qui ne nuisent point au repos dont l'oeil a besoin pour admirer la vérité et la belle exécution des animaux qui l'enrichissent. (M. Oméganck)|Paysage dont le site est des plus heureusement varié ; à la gauche du spectateur est une rivière traversée par un pont : les bords s'étendent jusqu'à la lisière d'un bois, près duquel des moutons, des chèvres et des boucs trouvent un frais pâturage ; un berger, gardien de ce troupeau, semble s'entretenir avec une jeune fille, en caressant son chien. Toute la partie droite offre des bouquets d'arbres qui se détachent sur un ciel chaud et nuageux. Des plantes aquatiques, des herbes et des fleurs forment, sur le devant de ce tableau, de brillans accessoires qui ne nuisent point au repos dont l'oeil a besoin pour admirer la vérité et la belle exécution des animaux qui l'enrichissent.]] réalisée par M. Oméganck, vendue par Varoque au prix de 1299 fl. [18]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jeunes dames viennent consulter une magicienne ; l'une des deux, sur laquelle l'adroite enchanteresse étend sa magique baguette, semble, quoique d'un air pensif, prêter une morne attention à ses ridicules discours ; un jeune cavalier tapis sous un rideau, observe la durée de l'expérience et le travail de la vieille sybille. (M. Laurent)|Deux jeunes dames viennent consulter une magicienne ; l'une des deux, sur laquelle l'adroite enchanteresse étend sa magique baguette, semble, quoique d'un air pensif, prêter une morne attention à ses ridicules discours ; un jeune cavalier tapis sous un rideau, observe la durée de l'expérience et le travail de la vieille sybille.]] réalisée par M. Laurent, vendue par Varoque. [21]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jeune page vu jusqu'à mi-corps, dans l'embrâsure d'une fenêtre ; il est entouré d'une cuirasse, d'un bouclier et d'autres armures ; il porte la main sur son épée et semble se disposer à châtier un méchant épervier qui vient de lui ravir sa colombe ; les fonds sur lesquels se détache cette figure indiquent une salle remplie d'armures. (M. Laurent)|Jeune page vu jusqu'à mi-corps, dans l'embrâsure d'une fenêtre ; il est entouré d'une cuirasse, d'un bouclier et d'autres armures ; il porte la main sur son épée et semble se disposer à châtier un méchant épervier qui vient de lui ravir sa colombe ; les fonds sur lesquels se détache cette figure indiquent une salle remplie d'armures.]] réalisée par M. Laurent, vendue par Varoque. [22]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage du plus bel aspect représenté par un effet de soleil ; on y remarque des palais de l'architecture la plus élégante, des jardins et des terrasses ornés de statues et de fontaines. Sur le premier plan et dans le milieu de la composition on distingue deux figures ajustées de draperies, et sur un plan plus éloigné des nymphes et des bergers forment des danses. (M. Letellier)|Paysage du plus bel aspect représenté par un effet de soleil ; on y remarque des palais de l'architecture la plus élégante, des jardins et des terrasses ornés de statues et de fontaines. Sur le premier plan et dans le milieu de la composition on distingue deux figures ajustées de draperies, et sur un plan plus éloigné des nymphes et des bergers forment des danses.]] réalisée par M. Letellier, vendue par Varoque, achetée par Streicker au prix de 380 fl. [27]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune dame montée sur un mulet et accompagnée d'un voyageur piéton, rencontre une jeune fille qui conduit deux vaches et un mouton. Cette scène se passe sur un chemin qui conduit à une lisière de bois et de montagnes qui forment le fond de ce paysage agreste. (M. Hyppolite Lecomte)|Une jeune dame montée sur un mulet et accompagnée d'un voyageur piéton, rencontre une jeune fille qui conduit deux vaches et un mouton. Cette scène se passe sur un chemin qui conduit à une lisière de bois et de montagnes qui forment le fond de ce paysage agreste.]] réalisée par M. Hyppolite Lecomte, vendue par Varoque, achetée par Didot au prix de 153 fl. [28]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage exposé au Salon de 1817. La vue d'après nature représente une partie du village de Ville-d'Avray, route de Versailles. Le milieu du chemin, éclairé d'un grand rayon de soleil qui vient frapper sur le mur d'un jardin, est couvert de villageois et d'animaux domestiques. (M. Langlacé)|Paysage exposé au Salon de 1817. La vue d'après nature représente une partie du village de Ville-d'Avray, route de Versailles. Le milieu du chemin, éclairé d'un grand rayon de soleil qui vient frapper sur le mur d'un jardin, est couvert de villageois et d'animaux domestiques.]] réalisée par M. Langlacé, vendue par Varoque au prix de 405 fl. [29]
  • 1820.05.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Buste d'une jeune fille respirant une rose ; elle a la tête inclinée sur l'épaule gauche, et sa chevelure bouclée tombe sur une gaze négligeamment ajustée. Dans cette jolie production de cette artiste, on remarque la fraîcheur et suavité de tons que nous admirons dans les ouvrages de Greuze dont elle s'est long-tems inspirée. (Mlle. Le Doux)|Buste d'une jeune fille respirant une rose ; elle a la tête inclinée sur l'épaule gauche, et sa chevelure bouclée tombe sur une gaze négligeamment ajustée. Dans cette jolie production de cette artiste, on remarque la fraîcheur et suavité de tons que nous admirons dans les ouvrages de Greuze dont elle s'est long-tems inspirée.]] réalisée par Mlle. Le Doux, vendue par Varoque au prix de 81 fl. [36]