Ventes d'œuvres le 1820.10.30

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  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau est le plus capital et le mieux ordonné que nous ayons vu de ce maître. Une grande quantité et variété dans les arbres qui tous portent, et par le feuillé, et par la couleur, le caractère propre à chacun. Une fête au dieu Bacchus enrichit cette composition par la danse et les buveurs. On y remarque encore le vieux Silène, que de jeunes faunes portent en triomphe. Cet ouvrage, mieux bordé, peut tenir un rang dans un cabinet, comme il peut aussi servir d'étude aux artistes. (Bot)|Ce tableau est le plus capital et le mieux ordonné que nous ayons vu de ce maître. Une grande quantité et variété dans les arbres qui tous portent, et par le feuillé, et par la couleur, le caractère propre à chacun. Une fête au dieu Bacchus enrichit cette composition par la danse et les buveurs. On y remarque encore le vieux Silène, que de jeunes faunes portent en triomphe. Cet ouvrage, mieux bordé, peut tenir un rang dans un cabinet, comme il peut aussi servir d'étude aux artistes.]] réalisée par Bot, achetée par Elie au prix de 15.95 fl. [26]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sujet allégorique du tems de la ligne, offre une réunion d'un grand nombre de cardinaux et de moines. Au milieu on en remarque un ayant le masque levé, tenant d'une main une double croix, et il est armé de l'autre d'un poignard et d'une torche ardente, et comme un furieux prêchant l'assassinat et l'incendie. Divers objets servants à l'intelligence de l'allégorie sont épars ça et là. Cet ouvrage peut intéresser sous les rapports de l'histoire. (Hallé)|Sujet allégorique du tems de la ligne, offre une réunion d'un grand nombre de cardinaux et de moines. Au milieu on en remarque un ayant le masque levé, tenant d'une main une double croix, et il est armé de l'autre d'un poignard et d'une torche ardente, et comme un furieux prêchant l'assassinat et l'incendie. Divers objets servants à l'intelligence de l'allégorie sont épars ça et là. Cet ouvrage peut intéresser sous les rapports de l'histoire.]] réalisée par Hallé au prix de 55.5 fl. [27]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Minerve irritée contre Médus d'avoir profané son temple, métamorphosa ses cheveux en serpens, et donna à sa tête la vertu de changer en pierres tous ceux qui la regarderaient. Le moment que le peintre a choisi est celui où Persée poursuit cette Gorgone et lui tranche la tête. (Guerchin)|Minerve irritée contre Médus d'avoir profané son temple, métamorphosa ses cheveux en serpens, et donna à sa tête la vertu de changer en pierres tous ceux qui la regarderaient. Le moment que le peintre a choisi est celui où Persée poursuit cette Gorgone et lui tranche la tête.]] réalisée par Guerchin au prix de 15 fl. [28]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Après s'être distrait avec sa harpe, qu'il vient de placer près de la table sur laquelle est posé son turban, le roi David a pris un livre pieu sur lequel il médite. Ce tableau d'un très-bel aspect, et d'une exécution large et ferme, pourrait soutenir le voisinage d'un Rembrandt. (Dietrichi)|Après s'être distrait avec sa harpe, qu'il vient de placer près de la table sur laquelle est posé son turban, le roi David a pris un livre pieu sur lequel il médite. Ce tableau d'un très-bel aspect, et d'une exécution large et ferme, pourrait soutenir le voisinage d'un Rembrandt.]] réalisée par Dietrichi, achetée par Elie au prix de 200 fl. [29]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Il faut s'inspirer des ouvrages des grands maîtres et ne pas les imiter. C'est le précepte que Mr Senave a mis en pratique, et que ses nombreuses productions attestent, qui toutes se ressentent de l'influence d'ostade sur lui. Devant la porte d'une hôtellerie se trouve réunie une famille de paysans ; un vieillard, assis au milieu d'eux, paraît être l'objet des rasades qu'on verse ; cependant, dans le lointain, on fait sortir le bétail de l'étable pour le conduire aux champs. (Mr Senave)|Il faut s'inspirer des ouvrages des grands maîtres et ne pas les imiter. C'est le précepte que Mr Senave a mis en pratique, et que ses nombreuses productions attestent, qui toutes se ressentent de l'influence d'ostade sur lui. Devant la porte d'une hôtellerie se trouve réunie une famille de paysans ; un vieillard, assis au milieu d'eux, paraît être l'objet des rasades qu'on verse ; cependant, dans le lointain, on fait sortir le bétail de l'étable pour le conduire aux champs.]] réalisée par Mr Senave au prix de 60 fl. [36]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Accablée par fatigue et par la pénitence, la Madeleine nue à mi-corps, vient de s'assoir au pied du rocher devant lequel, il y a peu d'instants, elle était à genoux et en prières. Elle tient dans sa main une tête de mort, objet de ses méditations ; et de sa tête, couchée sur ce rocher, descend en ondulant une belle chevelure blonde qui couvre légèrement son sein et ses épaules : ses yeux en pleurs sont tournés vers le ciel, dont elle implore la miséricorde. Une simple croix en bois, un livre de piété, un vase, quelques légumes grossiers, et les instruments de sa peinture, sont maintenant ses modestes ornements et sa frugale nourriture. Dans cet ouvrage, Mr Fabre paraît n'avoir rien négligé pour séduire et pour entraîner vers la belle pénitente qu'il nous représente. Des formes heureuses, l'élégance des contours, la plus touchante expression, auxquels le site encore où il l'a placée prête mille attraits. On est porté à croire que l'artiste n'avait point le dessein de convertir le spectateur par ce tableau. (Mr Fabre)|Accablée par fatigue et par la pénitence, la Madeleine nue à mi-corps, vient de s'assoir au pied du rocher devant lequel, il y a peu d'instants, elle était à genoux et en prières. Elle tient dans sa main une tête de mort, objet de ses méditations ; et de sa tête, couchée sur ce rocher, descend en ondulant une belle chevelure blonde qui couvre légèrement son sein et ses épaules : ses yeux en pleurs sont tournés vers le ciel, dont elle implore la miséricorde. Une simple croix en bois, un livre de piété, un vase, quelques légumes grossiers, et les instruments de sa peinture, sont maintenant ses modestes ornements et sa frugale nourriture. Dans cet ouvrage, Mr Fabre paraît n'avoir rien négligé pour séduire et pour entraîner vers la belle pénitente qu'il nous représente. Des formes heureuses, l'élégance des contours, la plus touchante expression, auxquels le site encore où il l'a placée prête mille attraits. On est porté à croire que l'artiste n'avait point le dessein de convertir le spectateur par ce tableau.]] réalisée par Mr Fabre au prix de 154 fl. [42]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Parmi les peintres français de l'école nouvelle, qui ont brisé les pinceaux gothiques et de mauvais goût des Pierres, des Boucher et des Vanloo, qui ont régénéré l'art et illustré leur patrie par de nobles travaux, nous avons à regretter que la mort en ait enlevé quelques-uns prématurément (MMrs Drouet et Goffier), et que d'autres se soient fixés à l'étranger : de ce nombre est Mr Fabre, qui, depuis longues années, réside à Rome, et dont les ouvrages sont fort rares en France ; et nous devons aux soins et à la persévérance d'un amateur français les deux tableaux que nous allons décrire, et qui ont, en quelque sorte, été enlevés d'assaut du chevalet de l'artiste, comme Mr Fabre lui-même vient soudain, et quelques heures avant la fin du jour, de m'enlever et me transporter au milieu des riantes campagnes de l'Arcadie, au moment où les satyres Chronis et Muasile, à l'entrée d'une grotte creusée dans un énorme rocher, enchaînent avec des guirlandes de fleurs le vieux Silène couché sur un tertre, étendu ivre et endormi sur une draperie de pourpre ; pour se mêler à leurs jeux, je vois de l'autre côté Eglé accourir à dmi-nue, quittant ses roseaux, son manteau et sa cruche ; cachant des mûres sous sa draperie blanche, dont elle va barbouiller le visage du vieux compagnon de Bacchus. Un bocage frais et solitaire, tapissé par une pelouse verte et odorante ; une colline près de laquelle on entend le doux murmure d'une chute d'eau ; un temple sur la hauteur et des rochers à pic ferment le théâtre de ces jeux badins. (Mr Fabre)|Parmi les peintres français de l'école nouvelle, qui ont brisé les pinceaux gothiques et de mauvais goût des Pierres, des Boucher et des Vanloo, qui ont régénéré l'art et illustré leur patrie par de nobles travaux, nous avons à regretter que la mort en ait enlevé quelques-uns prématurément (MMrs Drouet et Goffier), et que d'autres se soient fixés à l'étranger : de ce nombre est Mr Fabre, qui, depuis longues années, réside à Rome, et dont les ouvrages sont fort rares en France ; et nous devons aux soins et à la persévérance d'un amateur français les deux tableaux que nous allons décrire, et qui ont, en quelque sorte, été enlevés d'assaut du chevalet de l'artiste, comme Mr Fabre lui-même vient soudain, et quelques heures avant la fin du jour, de m'enlever et me transporter au milieu des riantes campagnes de l'Arcadie, au moment où les satyres Chronis et Muasile, à l'entrée d'une grotte creusée dans un énorme rocher, enchaînent avec des guirlandes de fleurs le vieux Silène couché sur un tertre, étendu ivre et endormi sur une draperie de pourpre ; pour se mêler à leurs jeux, je vois de l'autre côté Eglé accourir à dmi-nue, quittant ses roseaux, son manteau et sa cruche ; cachant des mûres sous sa draperie blanche, dont elle va barbouiller le visage du vieux compagnon de Bacchus. Un bocage frais et solitaire, tapissé par une pelouse verte et odorante ; une colline près de laquelle on entend le doux murmure d'une chute d'eau ; un temple sur la hauteur et des rochers à pic ferment le théâtre de ces jeux badins.]] réalisée par Mr Fabre au prix de 200 fl. [43]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage montueux dans le style de Berghems : au milieu est une femme occupée à traire une vache ; eux autres sont couchèes là auprès : plus loin on voit un berger assis à terre ; un enfant, chassant un bouc devant lui, occupe la gauche du tableau. (Solmaker)|Un paysage montueux dans le style de Berghems : au milieu est une femme occupée à traire une vache ; eux autres sont couchèes là auprès : plus loin on voit un berger assis à terre ; un enfant, chassant un bouc devant lui, occupe la gauche du tableau.]] réalisée par Solmaker au prix de 32.05 fl. [52]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une fête flamande anime ici toute l'étendue de la toile ; le plaisir de la danse et celui de la table répandent la joie et la gaîté sur tous les personnages. Il est fâcheux que cette copie, d'une touche libre et spirituelle, faite par une main exercée, ait été peinte sur une toile d'une mauvaise impression : ayant beaucoup d'affinité avec le maître dans le sentiment du pinceau, elle en aurait eu aussi dans le coloris. (Teniers (copie d'après))|Une fête flamande anime ici toute l'étendue de la toile ; le plaisir de la danse et celui de la table répandent la joie et la gaîté sur tous les personnages. Il est fâcheux que cette copie, d'une touche libre et spirituelle, faite par une main exercée, ait été peinte sur une toile d'une mauvaise impression : ayant beaucoup d'affinité avec le maître dans le sentiment du pinceau, elle en aurait eu aussi dans le coloris.]] réalisée par Teniers (copie d'après) au prix de 70 fl. [63]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Au milieu d'une chambre basse sont réunis divers personnages ; à droite un boucher s'entretient avec un sien voisin qui paraît lui marchander un porc qu'il vient de tuer : là auprès, sa femme épluche des légumes, et deux enfants, dont l'un souffle dans une vessie que le plus jeune cherche à saisir. (S. Horemans)|Au milieu d'une chambre basse sont réunis divers personnages ; à droite un boucher s'entretient avec un sien voisin qui paraît lui marchander un porc qu'il vient de tuer : là auprès, sa femme épluche des légumes, et deux enfants, dont l'un souffle dans une vessie que le plus jeune cherche à saisir.]] réalisée par S. Horemans au prix de 30.05 fl. [64]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux faisant pendants ; l'un offre le moment où Judith se saisit du coutelas d'Holopherne, et profitant de son sommeil, lui tranche la tête. Cette scène sanglante, éclairée par la vieille servante de Judith, se passe sous la tente du général des Assyriens. L'autre représente le sujet du sacrifice d'Abraham : le patriarche, armé du couteau fatal, et pour obéir aux ordres du Seigneur, allait trancher les jours d'Isaac, quand soudain un ange apparaît, et arrête son bras prêt à frapper son fils unique. Ces deux sujets pathétiques, d'un brillant ton de couleur, sont à la fois vigoureux et harmonieux. (Conca)|Deux tableaux faisant pendants ; l'un offre le moment où Judith se saisit du coutelas d'Holopherne, et profitant de son sommeil, lui tranche la tête. Cette scène sanglante, éclairée par la vieille servante de Judith, se passe sous la tente du général des Assyriens. L'autre représente le sujet du sacrifice d'Abraham : le patriarche, armé du couteau fatal, et pour obéir aux ordres du Seigneur, allait trancher les jours d'Isaac, quand soudain un ange apparaît, et arrête son bras prêt à frapper son fils unique. Ces deux sujets pathétiques, d'un brillant ton de couleur, sont à la fois vigoureux et harmonieux.]] réalisée par Conca au prix de 50 fl. [65]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Justement irrité contre le peuple d'Israël, qui, se prosternant, adore le veau d'or, Moïse brise les tables de la Loi qu'il tient dans se mains. Un beau dessin, des draperies d'un grand style caractérisent cet ouvrage du disciple de Daniel de Valem. (Mr Alberti)|Justement irrité contre le peuple d'Israël, qui, se prosternant, adore le veau d'or, Moïse brise les tables de la Loi qu'il tient dans se mains. Un beau dessin, des draperies d'un grand style caractérisent cet ouvrage du disciple de Daniel de Valem.]] réalisée par Mr Alberti au prix de 81 fl. [76]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cet ouvrage, connu sous la dénomination du bouffon des chasseurs, offre une composition capitale, et représente un départ pour la chasse ; un palfernier sonnant de la trompette, avertit du moment du départ pour lequel chacun se dispose ; un grand nombre de personnages, de chevaux et de chiens animent cette vaste composition dont le fond, enrichi de paysages et de fabriques, ajoute encore un grand intérêt au sujet. Peu de copies sont traitées avec cette liberté dans la touche et la fermeté du pinceau, ce qui nous porte à croire qu'elle a été faite par Perrié sous les yeux de son frère. (Pierre Wouvermans (d'après Philippe))|Cet ouvrage, connu sous la dénomination du bouffon des chasseurs, offre une composition capitale, et représente un départ pour la chasse ; un palfernier sonnant de la trompette, avertit du moment du départ pour lequel chacun se dispose ; un grand nombre de personnages, de chevaux et de chiens animent cette vaste composition dont le fond, enrichi de paysages et de fabriques, ajoute encore un grand intérêt au sujet. Peu de copies sont traitées avec cette liberté dans la touche et la fermeté du pinceau, ce qui nous porte à croire qu'elle a été faite par Perrié sous les yeux de son frère.]] réalisée par Pierre Wouvermans (d'après Philippe) au prix de 400 fl. [77]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue du Rhin. Au milieu s'élève trois arbres groupés ensemble ; à gauche, on voit de hautes montagnes au pied desquelles est une habitation et quelques personnages, et le lointain, est enrichi par un grand nombre de villages bâtis sur des presqu'îles. (Verburg)|Point de vue du Rhin. Au milieu s'élève trois arbres groupés ensemble ; à gauche, on voit de hautes montagnes au pied desquelles est une habitation et quelques personnages, et le lointain, est enrichi par un grand nombre de villages bâtis sur des presqu'îles.]] réalisée par Verburg au prix de 41 fl. [78]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un chien de chasse, seul et sans témoin, alléché par l'odorat d'un lièvre et d'une perdrix, s'en approche, la flaire, la convoitise et pense déjà en faire sa proie ; un portique d'un bon goût, auquel se marie de belles plantes, sert de fond au sujet. La nature, en répandant ses faveurs sur un petit nombre d'hommes qu'elle affectionne, n'a point cependant circonscrit ni fixé de limite au génie, et chacun, en parcourant une route différente, peut atteindre la perfection dans son art. Ainsi, malgré les maîtres célèbres, Rubens, Sucyders, Veninx, ses devanciers dans la carrière, Mr Van Straten a su emporter les suffrages des connaisseurs par l'ouvrage que nous décrivons, qui faisait partie de la collection du roi de Hollande, et a été payé 5,000 florins dans le temps. (Van Straten (d'Amsterdam))|Un chien de chasse, seul et sans témoin, alléché par l'odorat d'un lièvre et d'une perdrix, s'en approche, la flaire, la convoitise et pense déjà en faire sa proie ; un portique d'un bon goût, auquel se marie de belles plantes, sert de fond au sujet. La nature, en répandant ses faveurs sur un petit nombre d'hommes qu'elle affectionne, n'a point cependant circonscrit ni fixé de limite au génie, et chacun, en parcourant une route différente, peut atteindre la perfection dans son art. Ainsi, malgré les maîtres célèbres, Rubens, Sucyders, Veninx, ses devanciers dans la carrière, Mr Van Straten a su emporter les suffrages des connaisseurs par l'ouvrage que nous décrivons, qui faisait partie de la collection du roi de Hollande, et a été payé 5,000 florins dans le temps.]] réalisée par Van Straten (d'Amsterdam) au prix de 500 fl. [79]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Derrière un terrain montueux on voit un berger et sa femme conduisant un troupeau de vaches et de moutons ; à droite est un bouquet d'arbres, vers la gauche et dans le lointain, on distingue une rivière sur laquelle se promène une barque sous voile. (Cuip)|Derrière un terrain montueux on voit un berger et sa femme conduisant un troupeau de vaches et de moutons ; à droite est un bouquet d'arbres, vers la gauche et dans le lointain, on distingue une rivière sur laquelle se promène une barque sous voile.]] réalisée par Cuip au prix de 166 fl. [81]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans l'intérieur d'une chambre basse on voit une mère de famille assise, occupée à moudre du café ; elle épie le plus jeune de ses fils qui n'étudie qu'en pleurant la leçon qu'il doit apprendre, tandis que l'autre se dispose à partir pour l'école. Plusieurs accessoires de ménage sont épars çà et là, et remplissent la composition. (Jonkins (d'Utrecht))|Dans l'intérieur d'une chambre basse on voit une mère de famille assise, occupée à moudre du café ; elle épie le plus jeune de ses fils qui n'étudie qu'en pleurant la leçon qu'il doit apprendre, tandis que l'autre se dispose à partir pour l'école. Plusieurs accessoires de ménage sont épars çà et là, et remplissent la composition.]] réalisée par Jonkins (d'Utrecht) au prix de 70.05 fl. [83]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre Portrait d'un grand personnage habillé d'une robe de chambre ; il est placé devant une table de toilette avec un miroir, tenant un peigne dans sa main. ... Pour n'être pas des pinceuses de guitare ou des conteurs de fleurettes, ces portraits n'en sont pas moins recommandables par leur qualité sous les rapports de l'art. (Terburg)|Autre Portrait d'un grand personnage habillé d'une robe de chambre ; il est placé devant une table de toilette avec un miroir, tenant un peigne dans sa main. ... Pour n'être pas des pinceuses de guitare ou des conteurs de fleurettes, ces portraits n'en sont pas moins recommandables par leur qualité sous les rapports de l'art.]] réalisée par Terburg au prix de 35.05 fl. [85]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le pendant du précédent. Il représente le portrait d'une femme également vu en pied et debout, s'appuyant sur un fauteuil. ... Pour n'être pas des pinceuses de guitare ou des conteurs de fleurettes, ces portraits n'en sont pas moins recommandables par leur qualité sous les rapports de l'art. (Terburg)|Le pendant du précédent. Il représente le portrait d'une femme également vu en pied et debout, s'appuyant sur un fauteuil. ... Pour n'être pas des pinceuses de guitare ou des conteurs de fleurettes, ces portraits n'en sont pas moins recommandables par leur qualité sous les rapports de l'art.]] réalisée par Terburg, achetée par Durand au prix de 120.05 fl. [86]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait d'un bourguemestre vu en pied devant une table couverte d'un tapis violet, sur laquelle on remarque son chapeau. ... Pour n'être pas des pinceuses de guitare ou des conteurs de fleurettes, ces portraits n'en sont pas moins recommandables par leur qualité sous les rapports de l'art. (Terburg)|Portrait d'un bourguemestre vu en pied devant une table couverte d'un tapis violet, sur laquelle on remarque son chapeau. ... Pour n'être pas des pinceuses de guitare ou des conteurs de fleurettes, ces portraits n'en sont pas moins recommandables par leur qualité sous les rapports de l'art.]] réalisée par Terburg, achetée par Durand au prix de 120.05 fl. [87]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre vue prise de la tour de la monnaie et de Boubleustraat, près l'amstal ; l'hôpital est le bâtiment principal qui borde la rivière ; ces deux tableaux, reconnus pour être les plus capitaux de l'auteur, ont été faits en 1782 pour le Stathouder, dont les armes se trouvent placées sur le haut du palais. Ces productions, pleines de vérité et de précision, peuvent, dans un cabinet d'ouvrages modernes, tenir lieu de Vander Heydens. (Ouwater (d'Amsterdam))|Autre vue prise de la tour de la monnaie et de Boubleustraat, près l'amstal ; l'hôpital est le bâtiment principal qui borde la rivière ; ces deux tableaux, reconnus pour être les plus capitaux de l'auteur, ont été faits en 1782 pour le Stathouder, dont les armes se trouvent placées sur le haut du palais. Ces productions, pleines de vérité et de précision, peuvent, dans un cabinet d'ouvrages modernes, tenir lieu de Vander Heydens.]] réalisée par Ouwater (d'Amsterdam) au prix de 400 fl. [88]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un canal situé derrière le palais du Roi. Sur la gauche, à la suite d'une longue file de maisons, on distingue l'hôtel de la poste aux lettres ; plusieurs personnages enrichissent cet ouvrage. ... ces deux tableaux, reconnus pour être les plus capitaux de l'auteur, ont été faits en 1782 pour le Stathouder, dont les armes se trouvent placées sur le haut du palais. Ces productions, pleines de vérité et de précision, peuvent, dans un cabinet d'ouvrages modernes, tenir lieu de Vander Heydens. (Ouwater (d'Amsterdam))|Vue d'un canal situé derrière le palais du Roi. Sur la gauche, à la suite d'une longue file de maisons, on distingue l'hôtel de la poste aux lettres ; plusieurs personnages enrichissent cet ouvrage. ... ces deux tableaux, reconnus pour être les plus capitaux de l'auteur, ont été faits en 1782 pour le Stathouder, dont les armes se trouvent placées sur le haut du palais. Ces productions, pleines de vérité et de précision, peuvent, dans un cabinet d'ouvrages modernes, tenir lieu de Vander Heydens.]] réalisée par Ouwater (d'Amsterdam) au prix de 400 fl. [89]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans la réunion des personnages que le peintre a représentés dans ce tableau, composé d'un vieillard et d'un jeune garçon tenant des verres de vin, d'une femme tenant du raisin, et d'un enfant, nous supposons que ce sont les quatre âges qu'il a voulu représenter. (Hugtervelt)|Dans la réunion des personnages que le peintre a représentés dans ce tableau, composé d'un vieillard et d'un jeune garçon tenant des verres de vin, d'une femme tenant du raisin, et d'un enfant, nous supposons que ce sont les quatre âges qu'il a voulu représenter.]] réalisée par Hugtervelt, vendue par Ch Elie au prix de 28 fl. [106]
  • 1820.10.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Homme vu dans l'embrâsure d'une fenêtre ; il est ajusté d'un vêtement de satin et coiffé d'une toque rouge à plumes ; l'extérieur de cette fenêtre est décoré d'une vigne et de différents accessoires, tels que pot de fleurs, tapis, cage à oiseau et bas-relief. Ce tableau nous paraît être l'essai d'un artiste de nos jours, d'après différentes compositions de Miéris et Gérard Douw. (Signé Miéris)|Homme vu dans l'embrâsure d'une fenêtre ; il est ajusté d'un vêtement de satin et coiffé d'une toque rouge à plumes ; l'extérieur de cette fenêtre est décoré d'une vigne et de différents accessoires, tels que pot de fleurs, tapis, cage à oiseau et bas-relief. Ce tableau nous paraît être l'essai d'un artiste de nos jours, d'après différentes compositions de Miéris et Gérard Douw.]] réalisée par Signé Miéris, vendue par Mr Deloffre, achetée par Tardieu au prix de 240 fl. [134]