Ventes d'œuvres le 1820.11.20

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  • 1820.11.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Génie des Arts ; cette figure, d'un coloris vigoureux et d'un dessin correct, est entièrement nue. Elle semble par son mouvement, autant que par son regard, protéger tous les arts dont les différens attributs l'environnent. (Carrache (Annibal Carracci))|Le Génie des Arts ; cette figure, d'un coloris vigoureux et d'un dessin correct, est entièrement nue. Elle semble par son mouvement, autant que par son regard, protéger tous les arts dont les différens attributs l'environnent.]] réalisée par Carrache (Annibal Carracci), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Marte au prix de 241 fl. [11]
  • 1820.11.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Site montueux d'Italie, occupé au milieu, par les ruines d'un ancien monument, avec fond d'arbres sur la droite et lointains de montagnes du côté opposé. Le premier plan est enrichi de figures, sujet du repos de la Ste.-Famille en Egypte. Ces figures sont attribuées au pinceau de J. Stella. (Courtois (Jacques) dit le Bourguignon)|Site montueux d'Italie, occupé au milieu, par les ruines d'un ancien monument, avec fond d'arbres sur la droite et lointains de montagnes du côté opposé. Le premier plan est enrichi de figures, sujet du repos de la Ste.-Famille en Egypte. Ces figures sont attribuées au pinceau de J. Stella.]] réalisée par Courtois (Jacques) dit le Bourguignon, vendue par Quintin Craufurd, achetée par Sinet au prix de 107 fl. [12]
  • 1820.11.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Son portrait. Il s'est représenté à mi-corps, dans un costume d'artiste. Sa tête inclinée du côté gauche, et dont le regard est tourné vers le spectateur, est ajustée de long cheveux qui retombent en boucles sur ses épaules. Morceau curieux pouvant faire suite aux portraits des peintres de l'ancienne école française. (Boullongne (Louis))|Son portrait. Il s'est représenté à mi-corps, dans un costume d'artiste. Sa tête inclinée du côté gauche, et dont le regard est tourné vers le spectateur, est ajustée de long cheveux qui retombent en boucles sur ses épaules. Morceau curieux pouvant faire suite aux portraits des peintres de l'ancienne école française.]] réalisée par Boullongne (Louis), vendue par Quintin Craufurd au prix de 31.5 fl. [16]
  • 1820.11.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Princesse d'Espagne représentée debout jusqu'aux genoux, dans un riche vêtement d'étoffe de velours noir rehaussé d'agraffes, chaîne et boutons en pierres précieuses de différentes couleurs. Sa tête, vue presque de face, est ornée de cheveux bruns et de bijoux pareils à ceux de sa robe. Cette figure se détache en vigueur sur un fond de rideau rouge qui laisse à découvert, sur la droite, le lointain d'une ville. (Cruz (Jean Pentoja de la))|Princesse d'Espagne représentée debout jusqu'aux genoux, dans un riche vêtement d'étoffe de velours noir rehaussé d'agraffes, chaîne et boutons en pierres précieuses de différentes couleurs. Sa tête, vue presque de face, est ornée de cheveux bruns et de bijoux pareils à ceux de sa robe. Cette figure se détache en vigueur sur un fond de rideau rouge qui laisse à découvert, sur la droite, le lointain d'une ville.]] réalisée par Cruz (Jean Pentoja de la), vendue par Quintin Craufurd au prix de 48 fl. [17]
  • 1820.11.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La marquisse de Fosseuse Montmorenci, les mains jointes et représentée jusqu'à mi-corps dans une embrâsure de fenêtre ovale ; elle est ajustée d'un voile qui tourne autour de sa poitrine et retombe sur une robe d'étoffe rosâtre. (Champaigne (Philippe de))|La marquisse de Fosseuse Montmorenci, les mains jointes et représentée jusqu'à mi-corps dans une embrâsure de fenêtre ovale ; elle est ajustée d'un voile qui tourne autour de sa poitrine et retombe sur une robe d'étoffe rosâtre.]] réalisée par Champaigne (Philippe de), vendue par Quintin Craufurd au prix de 62 fl. [18]
  • 1820.11.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Marie-Adélaïde de Savoie, femme du duc de Bourgogne, avec ses trois enfans. Elle est représentée assise sous un vestibule d'architecture, vêtue d'une robe à corps de satin blanc, à fleurs d'or, recouverte en partie d'un manteau de velours bleu bordé d'un galon d'or ; le plus âgé de ses enfans est à sa droite, debout, dans un costume romain et tenant une lance ; un autre sur ses genoux avance les bras pour prendre une couronne de fleurs que tient sa mère ; le troisième représenté en Amour, voltige au-dessus de leur tête en jetant des fleurs. Tableau d'une exécution soignée et d'une couleur séduisante. (Mignard (Pierre))|Marie-Adélaïde de Savoie, femme du duc de Bourgogne, avec ses trois enfans. Elle est représentée assise sous un vestibule d'architecture, vêtue d'une robe à corps de satin blanc, à fleurs d'or, recouverte en partie d'un manteau de velours bleu bordé d'un galon d'or ; le plus âgé de ses enfans est à sa droite, debout, dans un costume romain et tenant une lance ; un autre sur ses genoux avance les bras pour prendre une couronne de fleurs que tient sa mère ; le troisième représenté en Amour, voltige au-dessus de leur tête en jetant des fleurs. Tableau d'une exécution soignée et d'une couleur séduisante.]] réalisée par Mignard (Pierre), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Couturier au prix de 127 fl. [24]
  • 1820.11.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de mademoiselle Michel-Julie-Françoise d'Esparbez de Lussan d'Aubeterre de Jouzac, comtesse de Tillères ; représentée assise sur un sopha, vêtue d'une pelisse d'étoffe bleue garnie de fourrure ; la tête presque de face, avec cheveux courts relevés sur le front et poudrés. (Nattier (Jean Marc))|Le portrait de mademoiselle Michel-Julie-Françoise d'Esparbez de Lussan d'Aubeterre de Jouzac, comtesse de Tillères ; représentée assise sur un sopha, vêtue d'une pelisse d'étoffe bleue garnie de fourrure ; la tête presque de face, avec cheveux courts relevés sur le front et poudrés.]] réalisée par Nattier (Jean Marc), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Léhu au prix de 25 fl. [27]
  • 1820.11.20/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait présumé celui de madame de Motteville, morte en 1689, à 74 ans ; elle est peinte jusqu'au buste, la poitrine découverte, le col entouré d'un collier de perles semblables à l'ornement de ses cheveux qui sont tressés en boucles et dont une partie lui tombe sur les épaules. Portrait recommandable par la finesse des teintes comme par le large de l'exécution. (artiste anonyme)|Portrait présumé celui de madame de Motteville, morte en 1689, à 74 ans ; elle est peinte jusqu'au buste, la poitrine découverte, le col entouré d'un collier de perles semblables à l'ornement de ses cheveux qui sont tressés en boucles et dont une partie lui tombe sur les épaules. Portrait recommandable par la finesse des teintes comme par le large de l'exécution.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quintin Craufurd, achetée par Meunier au prix de 32.5 fl. [38]
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