Ventes d'œuvres le 1820.11.21

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  • 1820.11.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vénus de grandeur naturelle et entièrement nue, est couchée sur de riches draperies où elle s'est endormie ; l'Amour qui, pendant son sommeil s'est paré des bracelets de sa mère, et a ajusté sa tête de son schall, se regarde dans un miroir ; deux colombes qui se becquent sont sur le devant, à droite de la composition. Tableau d'un beau pinceau, d'une couleur suave et d'un bel aspect. Le fond offre un site d'Italie, planté d'arbres et terminé par un lointain de montagnes. (Canlassi (Guide) de Casteldurante, dit Cagnacci)|Vénus de grandeur naturelle et entièrement nue, est couchée sur de riches draperies où elle s'est endormie ; l'Amour qui, pendant son sommeil s'est paré des bracelets de sa mère, et a ajusté sa tête de son schall, se regarde dans un miroir ; deux colombes qui se becquent sont sur le devant, à droite de la composition. Tableau d'un beau pinceau, d'une couleur suave et d'un bel aspect. Le fond offre un site d'Italie, planté d'arbres et terminé par un lointain de montagnes.]] réalisée par Canlassi (Guide) de Casteldurante, dit Cagnacci, vendue par Quintin Craufurd au prix de 1400 fl. [1]
  • 1820.11.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet d'Hérodias tenant devant elle, dans un plat d'étain, le tête de Saint-Jean ; près de cette femme est un vieillard appuyé, dont l'expression annonce la tristesse ; à la droite de la composition est la suivante d'Hérodias, et du côté opposé est un bourreau. Toutes les figures de cette scène, éclairées à la lueur d'un flambeau, se détachent sur un fond de draperie verdâtre. Ce tableau, remis en état, offrira nombre de beautés sous le rapport de la couleur et du pinceau. (Corado (Charles))|Le sujet d'Hérodias tenant devant elle, dans un plat d'étain, le tête de Saint-Jean ; près de cette femme est un vieillard appuyé, dont l'expression annonce la tristesse ; à la droite de la composition est la suivante d'Hérodias, et du côté opposé est un bourreau. Toutes les figures de cette scène, éclairées à la lueur d'un flambeau, se détachent sur un fond de draperie verdâtre. Ce tableau, remis en état, offrira nombre de beautés sous le rapport de la couleur et du pinceau.]] réalisée par Corado (Charles), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Caylard au prix de 51 fl. [3]
  • 1820.11.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Sainte Famille ; la Vierge assise a sur ses gennoux l'Enfant-Jésus, et Ste.-Anne qui tient le petit St.-Jean regarde St.-Joseph assis derrière la Vierge. Ce sujet est entouré d'une guirlande de fleurs qui se détachent sur un fond d'or. Tableau d'après Andrea del Sarte. (Andrea del Sarte)|Une Sainte Famille ; la Vierge assise a sur ses gennoux l'Enfant-Jésus, et Ste.-Anne qui tient le petit St.-Jean regarde St.-Joseph assis derrière la Vierge. Ce sujet est entouré d'une guirlande de fleurs qui se détachent sur un fond d'or. Tableau d'après Andrea del Sarte.]] réalisée par Andrea del Sarte, vendue par Quintin Craufurd, achetée par Sinet au prix de 185 fl. [5]
  • 1820.11.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Anne de Gonzague, princesse Palatine, fille de Charles, duc de Nevers, depuis duc de Mantoue, morte à Paris en 1684, à 68 ans. Elle est représentée jusqu'aux genoux, tenant une couronne de fleurs, et dans le costume élégant d'une robe d'étoffe bleue attachée sur le devant par des perles, avec dessus de satin gris à manches courtes rehaussées de fleurs ; sa tête tournée de trois quarts, est ajustée de cheveux blonds bouclés sur le front, et d'un large voile de gaze jaunâtre dont elle tient un bout de la main gauche ; cette figure gracieuse ressort en vigueur sur un fond d'arbres indiquant l'entrée d'un parc. (Champaigne (Philippe de))|Anne de Gonzague, princesse Palatine, fille de Charles, duc de Nevers, depuis duc de Mantoue, morte à Paris en 1684, à 68 ans. Elle est représentée jusqu'aux genoux, tenant une couronne de fleurs, et dans le costume élégant d'une robe d'étoffe bleue attachée sur le devant par des perles, avec dessus de satin gris à manches courtes rehaussées de fleurs ; sa tête tournée de trois quarts, est ajustée de cheveux blonds bouclés sur le front, et d'un large voile de gaze jaunâtre dont elle tient un bout de la main gauche ; cette figure gracieuse ressort en vigueur sur un fond d'arbres indiquant l'entrée d'un parc.]] réalisée par Champaigne (Philippe de), vendue par Quintin Craufurd au prix de 100 fl. [12]
  • 1820.11.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une suite de sept portraits à mi-corps ; savoir, celui de mad. la duchesse de Vantadour, la duchesse de Nemours, la duchesse de la Trémouille, la comtesse de Soissons, mademoiselle d'Aumale, Henriette de France, reine d'Angleterre, et Françoise de Narbonne, duchesse d'Angoulême. (Ducuyer)|Une suite de sept portraits à mi-corps ; savoir, celui de mad. la duchesse de Vantadour, la duchesse de Nemours, la duchesse de la Trémouille, la comtesse de Soissons, mademoiselle d'Aumale, Henriette de France, reine d'Angleterre, et Françoise de Narbonne, duchesse d'Angoulême.]] réalisée par Ducuyer, vendue par Quintin Craufurd, achetée par Hazart au prix de 504 fl. [13]
  • 1820.11.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Charles IX représenté plus qu'à mi-corps dans un riche costume de guerrier, ajusté d'un petit manteau noir, la main gauche appuyée sur le pommeau de son épée. La tête, presque de face, est couverte d'une toque noire ornée d'une plume blanche, il paraît être dans l'attitude de la réflexion. (Clouet (François) dit Janet)|Charles IX représenté plus qu'à mi-corps dans un riche costume de guerrier, ajusté d'un petit manteau noir, la main gauche appuyée sur le pommeau de son épée. La tête, presque de face, est couverte d'une toque noire ornée d'une plume blanche, il paraît être dans l'attitude de la réflexion.]] réalisée par Clouet (François) dit Janet, vendue par Quintin Craufurd, achetée par Hazard au prix de 61 fl. [17]
  • 1820.11.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Mademoiselle de Fontange, morte le 28 juin 1681. Elle est représentée le col nu, la tête un peu inclinée sur l'épaule droite, et coiffée de cheveux blonds bouclés. Quelques renseignemens indiquent qu'elle fut peinte en 1680, un an avant sa mort. (Mignard (Pierre))|Mademoiselle de Fontange, morte le 28 juin 1681. Elle est représentée le col nu, la tête un peu inclinée sur l'épaule droite, et coiffée de cheveux blonds bouclés. Quelques renseignemens indiquent qu'elle fut peinte en 1680, un an avant sa mort.]] réalisée par Mignard (Pierre), vendue par Quintin Craufurd au prix de 219 fl. [20]
  • 1820.11.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Mademoiselle de Guiche, princesse de Monaco, vêtue d'une robe de satin blanc et d'un manteau d'étoffe cramoisie doublé en vert, est représentée assise au pied d'un rocher, sur lequel se détache sa tête ornée de cheveux blonds retroussés et attachés par un ruban bleu. L'oeil du spectateur se porte à gauche sur un lontain de cascades. Portrait soigné dans ses détails et d'une couleur séduisante. (Mignard (Pierre))|Mademoiselle de Guiche, princesse de Monaco, vêtue d'une robe de satin blanc et d'un manteau d'étoffe cramoisie doublé en vert, est représentée assise au pied d'un rocher, sur lequel se détache sa tête ornée de cheveux blonds retroussés et attachés par un ruban bleu. L'oeil du spectateur se porte à gauche sur un lontain de cascades. Portrait soigné dans ses détails et d'une couleur séduisante.]] réalisée par Mignard (Pierre), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Sinet au prix de 120 fl. [22]
  • 1820.11.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Madame la marquise de Rambouillet, vue à mi-corps près l'appui d'une croisée, dans un riche vêtement de velours bleu ; la poitrine entièrement nue ; la tête tournée de trois quarts, se détache sur une draperie fond or, qui laisse à découvert sur la droite, un bout de ciel. (artiste anonyme)|Madame la marquise de Rambouillet, vue à mi-corps près l'appui d'une croisée, dans un riche vêtement de velours bleu ; la poitrine entièrement nue ; la tête tournée de trois quarts, se détache sur une draperie fond or, qui laisse à découvert sur la droite, un bout de ciel.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quintin Craufurd au prix de 48 fl. [31]
  • 1820.11.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le marquis d'Argens, mort en 1771, à 67 ans, représenté à mi-corps, la tête de trois quarts, avec longue chevelure qui lui descend sur les épaules. Portrait aussi recommandable par le large et la fermeté de l'exécution que par la force du coloris. (artiste anonyme)|Le marquis d'Argens, mort en 1771, à 67 ans, représenté à mi-corps, la tête de trois quarts, avec longue chevelure qui lui descend sur les épaules. Portrait aussi recommandable par le large et la fermeté de l'exécution que par la force du coloris.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quintin Craufurd au prix de 25.5 fl. [33]
  • 1820.11.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le père Quesnel, la tête presque de face et tournée vers le spectateur, est assis près d'une table recouverte d'un tapis de velours bleu ; il a la main droite posée sur le livre de Saint-Paul, à la première épître, et tient un petit crucifix ; il semble par son geste de la main gauche indiquer le Sauveur du monde. (artiste anonyme)|Le père Quesnel, la tête presque de face et tournée vers le spectateur, est assis près d'une table recouverte d'un tapis de velours bleu ; il a la main droite posée sur le livre de Saint-Paul, à la première épître, et tient un petit crucifix ; il semble par son geste de la main gauche indiquer le Sauveur du monde.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quintin Craufurd au prix de 24 fl. [34]