Ventes d'œuvres le 1820.11.24

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  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait à mi-corps d'une jeune femme ; sa tête tournée de trois quarts, est couverte d'un voile qui découvre une partie de sa chevelure et retombe sur ses épaules. Cette figure, du plus beau caractère, se fait remarquer par une exécution qui ne le cède en rien à la couleur. (Luini (Bernard))|Portrait à mi-corps d'une jeune femme ; sa tête tournée de trois quarts, est couverte d'un voile qui découvre une partie de sa chevelure et retombe sur ses épaules. Cette figure, du plus beau caractère, se fait remarquer par une exécution qui ne le cède en rien à la couleur.]] réalisée par Luini (Bernard), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Sinet au prix de 46 fl. [54]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un religieux dans l'habit de St.-François, représenté debout jusqu'aux genoux, tient de la main droite un lys et de l'autre un livre sur lequel est placé l'Enfant-Jésus qui a le regard élevé vers lui. Ce tableau, d'une grande vérité de nature, est aussi d'une couleur admirable ; plusieurs connaisseurs le donnent à Alonzo Cano ; d'autres le regardent comme étant de Murillo dans la manière du Ribera. (Murillo, ou plutôt Estéban Murillo (Bertholomé))|Un religieux dans l'habit de St.-François, représenté debout jusqu'aux genoux, tient de la main droite un lys et de l'autre un livre sur lequel est placé l'Enfant-Jésus qui a le regard élevé vers lui. Ce tableau, d'une grande vérité de nature, est aussi d'une couleur admirable ; plusieurs connaisseurs le donnent à Alonzo Cano ; d'autres le regardent comme étant de Murillo dans la manière du Ribera.]] réalisée par Murillo, ou plutôt Estéban Murillo (Bertholomé), vendue par Quintin Craufurd au prix de 400 fl. [56]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux sujets allégoriques ; dans l'un, Thétis sur une conque tient une draperie qui lui sert de voile ; dans l'autre, Junon sur son char plane dans les airs. Ces tableaux, très-agréables de composition et dont les racourcis dans les figures sur le devant sont de la plus grande hardiesse, nous paraissent les premières pensées de sujets plus grands, peints en plafond. (Maratta (Carlo))|Deux sujets allégoriques ; dans l'un, Thétis sur une conque tient une draperie qui lui sert de voile ; dans l'autre, Junon sur son char plane dans les airs. Ces tableaux, très-agréables de composition et dont les racourcis dans les figures sur le devant sont de la plus grande hardiesse, nous paraissent les premières pensées de sujets plus grands, peints en plafond.]] réalisée par Maratta (Carlo), vendue par Quintin Craufurd au prix de 80.5 fl. [57]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les Chevaliers dannois dans les jardins d'Armide, sont arrêtés et surpris à la vue de plusieurs nymphes couchées auprès d'une fontaine où elles viennent de se baigner. Au milieu est une table de marbre chargée de différens fruits. Un lion rugissant occupe le premier plan à droite de la composition ; cette scène se passe dans le fond d'un vaste bosquet où l'art le dispute à la nature. Ce tableau, l'un des plus importans de F. le Moine, est trop connu pour entrer dans un plus long détail sur son mérite du côté de l'art. (Moine (François le))|Les Chevaliers dannois dans les jardins d'Armide, sont arrêtés et surpris à la vue de plusieurs nymphes couchées auprès d'une fontaine où elles viennent de se baigner. Au milieu est une table de marbre chargée de différens fruits. Un lion rugissant occupe le premier plan à droite de la composition ; cette scène se passe dans le fond d'un vaste bosquet où l'art le dispute à la nature. Ce tableau, l'un des plus importans de F. le Moine, est trop connu pour entrer dans un plus long détail sur son mérite du côté de l'art.]] réalisée par Moine (François le), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Sinet au prix de 292 fl. [58]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de M. du Verger, abbé de Saint-Cyran, peint en 1646. Il est représenté à mi-corps, vêtu d'une aube garnie de dentelles ; sa tête, vue de trois quarts, est couverte d'une large callotte noire qui laisse son front entièrement à découvert. On peut classer ce morceau au nombre des meilleurs portraits de ce peintre. Le beau modèle de la tête répond à la fermeté de l'exécution ainsi qu'à la vérité du coloris. (Champaigne (Philippe de))|Le portrait de M. du Verger, abbé de Saint-Cyran, peint en 1646. Il est représenté à mi-corps, vêtu d'une aube garnie de dentelles ; sa tête, vue de trois quarts, est couverte d'une large callotte noire qui laisse son front entièrement à découvert. On peut classer ce morceau au nombre des meilleurs portraits de ce peintre. Le beau modèle de la tête répond à la fermeté de l'exécution ainsi qu'à la vérité du coloris.]] réalisée par Champaigne (Philippe de), vendue par Quintin Craufurd au prix de 220 fl. [60]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jean, comte de Nassau, représenté en pieds, debout, de grandeur naturelle et cuirassé, tient d'une main son bâton de commandement, et l'autre appuyée sur la visière de son casque. Sa tête, presque de face, est ajustée de cheveux courts, et à son col pend l'ordre de la toison d'or. Très-beau portrait dont l'extrême finesse et le précieux de l'exécution lui assignent une place distinguée parmi les morceaux classiques de galerie. (Dick (Antoine Van))|Jean, comte de Nassau, représenté en pieds, debout, de grandeur naturelle et cuirassé, tient d'une main son bâton de commandement, et l'autre appuyée sur la visière de son casque. Sa tête, presque de face, est ajustée de cheveux courts, et à son col pend l'ordre de la toison d'or. Très-beau portrait dont l'extrême finesse et le précieux de l'exécution lui assignent une place distinguée parmi les morceaux classiques de galerie.]] réalisée par Dick (Antoine Van), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Hazard au prix de 415 fl. [61]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jeune princesse présumée être de la maison de Tolède, représentée jusqu'aux genoux et vêtue d'une robe fond or à fleurs d'argent ; sa tête, presque de face, est ajustée d'une large collerette de dentelle qui remonte par derrière et touche à sa chevelure, ornée d'une espèce de couronne en perles. On observe que cette femme porte l'ordre de Notre-Dame de Lorette. (Petrus Gusman (faciebat Alboe anno 1593))|Jeune princesse présumée être de la maison de Tolède, représentée jusqu'aux genoux et vêtue d'une robe fond or à fleurs d'argent ; sa tête, presque de face, est ajustée d'une large collerette de dentelle qui remonte par derrière et touche à sa chevelure, ornée d'une espèce de couronne en perles. On observe que cette femme porte l'ordre de Notre-Dame de Lorette.]] réalisée par Petrus Gusman (faciebat Alboe anno 1593), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Marthe au prix de 86 fl. [62]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de M. de Chevert qui, de simple soldat dans le régiment de Beaune, s'est élevé au grade de lieutenant-général des armées du Roi, et est mort en 1769, maréchal de France, chevalier de l'ordre de l'Aigle blanc de Pologne, commandeur, grand croix de l'ordre de Saint-Louis, gouverneur de Givet et de Charlemont, etc. Il est représenté à mi-corps, la tête presque de face, et décoré de tous ses ordres. (Hiscbein)|Portrait de M. de Chevert qui, de simple soldat dans le régiment de Beaune, s'est élevé au grade de lieutenant-général des armées du Roi, et est mort en 1769, maréchal de France, chevalier de l'ordre de l'Aigle blanc de Pologne, commandeur, grand croix de l'ordre de Saint-Louis, gouverneur de Givet et de Charlemont, etc. Il est représenté à mi-corps, la tête presque de face, et décoré de tous ses ordres.]] réalisée par Hiscbein, vendue par Quintin Craufurd, achetée par Marte au prix de 22.5 fl. [63]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait vu jusqu'aux genoux, du Grand Condé dans un âge avancé ; sa tête, presque face, est ornée de longs cheveux bruns qui retombent sur ses épaules et accompagnent le cordon bleu dont il est décoré ; le bras gauche appuyé sur son casque ; il tient de l'autre le bâton de maréchal. Morceau d'une grande force de couleur, d'une exécution large et facile. (Lely (Pierre))|Portrait vu jusqu'aux genoux, du Grand Condé dans un âge avancé ; sa tête, presque face, est ornée de longs cheveux bruns qui retombent sur ses épaules et accompagnent le cordon bleu dont il est décoré ; le bras gauche appuyé sur son casque ; il tient de l'autre le bâton de maréchal. Morceau d'une grande force de couleur, d'une exécution large et facile.]] réalisée par Lely (Pierre), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Bertaut au prix de 96 fl. [64]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de madame la duchesse de la Vallière, dans l'année 1673, année qui précéda celle de son entrée aux Carmélites. Elle représentée assise, dans la plus riche parure, se dépouillant de ses ornemens et venant de briser un collier de perles, dont plusieurs tombent à terre. Le caractère de sa figure annonce le repentir et le dessein qu'elle a pris de fuire le monde. Ce morceau qui se recommande déjà sous le rapport de l'art, acquiert encore plus de prix quand on songe combien sont rares les portraits de cet intéressant personnage. (Mignard (Pierre))|Le portrait de madame la duchesse de la Vallière, dans l'année 1673, année qui précéda celle de son entrée aux Carmélites. Elle représentée assise, dans la plus riche parure, se dépouillant de ses ornemens et venant de briser un collier de perles, dont plusieurs tombent à terre. Le caractère de sa figure annonce le repentir et le dessein qu'elle a pris de fuire le monde. Ce morceau qui se recommande déjà sous le rapport de l'art, acquiert encore plus de prix quand on songe combien sont rares les portraits de cet intéressant personnage.]] réalisée par Mignard (Pierre), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Daval au prix de 900 fl. [65]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Mademoiselle de Blois, née en 1666, et le comte de Vermandois, né en 1667. Ils sont représentés l'un et l'autre assis sur une draperie, à l'ombre d'un bouquet d'arbres, et jouant avec un mouton qu'ils veulent enchaîner de fleurs. Un coloris d'une fraicheur admirable, des carnations vraies, une touche légère et facile se font remarquer dans cette production. (Mignard (Pierre))|Mademoiselle de Blois, née en 1666, et le comte de Vermandois, né en 1667. Ils sont représentés l'un et l'autre assis sur une draperie, à l'ombre d'un bouquet d'arbres, et jouant avec un mouton qu'ils veulent enchaîner de fleurs. Un coloris d'une fraicheur admirable, des carnations vraies, une touche légère et facile se font remarquer dans cette production.]] réalisée par Mignard (Pierre), vendue par Quintin Craufurd au prix de 131 fl. [66]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La comtesse de Grancey, morte en 1708. Elle est peinte assise, dans un costume négligé et galant qui découvre entièrement son épaule droite ; son bras gauche appuyé sur un coussin de velours cramoisi, lui donne l'attitude de la réflexion, et sa tête, vue presque de face, est ajustée de jolis cheveux tombant en boucles sur le front. (Mignard (Pierre))|La comtesse de Grancey, morte en 1708. Elle est peinte assise, dans un costume négligé et galant qui découvre entièrement son épaule droite ; son bras gauche appuyé sur un coussin de velours cramoisi, lui donne l'attitude de la réflexion, et sa tête, vue presque de face, est ajustée de jolis cheveux tombant en boucles sur le front.]] réalisée par Mignard (Pierre), vendue par Quintin Craufurd au prix de 56 fl. [68]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Antoine Coiffier d'Effiat, maréchal de France, père du marquis de Cinq-Mars ; il est représenté jusqu'aux genoux, dans un riche habillement militaire d'étoffe à fleurs, ayant un baudrier brodé en or par-dessus ; la main gauche appuyée sur son casque, et tenant de la droite le bâton de maréchal de France. Portrait d'une belle couleur et précieux dans les détails. (Le Nain)|Antoine Coiffier d'Effiat, maréchal de France, père du marquis de Cinq-Mars ; il est représenté jusqu'aux genoux, dans un riche habillement militaire d'étoffe à fleurs, ayant un baudrier brodé en or par-dessus ; la main gauche appuyée sur son casque, et tenant de la droite le bâton de maréchal de France. Portrait d'une belle couleur et précieux dans les détails.]] réalisée par Le Nain, vendue par Quintin Craufurd, achetée par Paillet au prix de 72 fl. [70]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Diane-Louise, princesse de Conti, fille de Philippe II, duc d'Orléans ; elle est représentée en vestale, tenant de la main droite le vase où brûle encore le feu sacré. Portrait dont la tête est de l'expression la plus agréable. (Nattier (Jean Marc))|Diane-Louise, princesse de Conti, fille de Philippe II, duc d'Orléans ; elle est représentée en vestale, tenant de la main droite le vase où brûle encore le feu sacré. Portrait dont la tête est de l'expression la plus agréable.]] réalisée par Nattier (Jean Marc), vendue par Quintin Craufurd au prix de 100 fl. [71]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Henri Ier., duc de Guise, de grandeur naturelle dans le costume du temps ; la tête presque de face, portant cheveux courts, petites moustaches, barbe grise ; il appuye la main droite sur une table couverte d'un velours cramoisi, et tient l'autre sur sa hanche ; un dogue est à ses pieds ; une ample draperie de velours sur laquelle se détache toute la figure, et son chapeau orné d'un velours enrichi de diamans, forment les seuls accesssoires de ce leur vérité et la beauté de leur couleur. (Porbus (François))|Henri Ier., duc de Guise, de grandeur naturelle dans le costume du temps ; la tête presque de face, portant cheveux courts, petites moustaches, barbe grise ; il appuye la main droite sur une table couverte d'un velours cramoisi, et tient l'autre sur sa hanche ; un dogue est à ses pieds ; une ample draperie de velours sur laquelle se détache toute la figure, et son chapeau orné d'un velours enrichi de diamans, forment les seuls accesssoires de ce leur vérité et la beauté de leur couleur.]] réalisée par Porbus (François), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Jarman au prix de 521 fl. [73]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Guillaume de Lamoignon, debout, dans son costume de garde des sceaux, la tête de trois quarts, ajustée d'une ample perruque ; il relève sa robe de la main gauche, et a la droite appuyée sur la caisse des sceaux. Cette belle figure se détache sur un fond d'architecture. (Rigaud (Hyacinthe))|Guillaume de Lamoignon, debout, dans son costume de garde des sceaux, la tête de trois quarts, ajustée d'une ample perruque ; il relève sa robe de la main gauche, et a la droite appuyée sur la caisse des sceaux. Cette belle figure se détache sur un fond d'architecture.]] réalisée par Rigaud (Hyacinthe), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Paillet au prix de 81 fl. [74]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Charles-Gaspard Dodun, marquis d'Herbault, commandeur et grand trésorier, contrôleur général des finances de France, représenté assis devant un bureau, et prêt à signer un papier ; il est vu dans le costume de la magistrature, décoré du cordon bleu. Ce portrait, du plus beau faire de ce célèbre peintre, a été gravé par Drevet. (Rigaud (Hyacinthe))|Charles-Gaspard Dodun, marquis d'Herbault, commandeur et grand trésorier, contrôleur général des finances de France, représenté assis devant un bureau, et prêt à signer un papier ; il est vu dans le costume de la magistrature, décoré du cordon bleu. Ce portrait, du plus beau faire de ce célèbre peintre, a été gravé par Drevet.]] réalisée par Rigaud (Hyacinthe), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Bénard au prix de 200 fl. [75]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de Philippe, duc d'Orléans, représenté debout sur un terrain en avant d'une plaine où l'on distingue l'attaque d'un fort ; il est peint dans le costume de colonel de hussards, et décoré du cordon bleu. Toute la figure se détache en vigueur sur un fond de ciel nuageux ; à droite de la composition, on distingue dans le lointain un escadron de hussards qui va joindre l'armée. Portrait d'une touche fcile et peu terminé, mais d'une grande ressemblance. Il a été fait pour mad. la duchesse d'Orléans, d'après le grand portrait qui se trouve au palais du Roi d'Angleterre. (Reynolds (Le chevalier))|Le portrait de Philippe, duc d'Orléans, représenté debout sur un terrain en avant d'une plaine où l'on distingue l'attaque d'un fort ; il est peint dans le costume de colonel de hussards, et décoré du cordon bleu. Toute la figure se détache en vigueur sur un fond de ciel nuageux ; à droite de la composition, on distingue dans le lointain un escadron de hussards qui va joindre l'armée. Portrait d'une touche fcile et peu terminé, mais d'une grande ressemblance. Il a été fait pour mad. la duchesse d'Orléans, d'après le grand portrait qui se trouve au palais du Roi d'Angleterre.]] réalisée par Reynolds (Le chevalier), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Couturier au prix de 73 fl. [79]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[François Ier, vu jusqu'au buste, la tête de face, couverte d'une toque noire enrichie de pierreries et surmontée d'un panache blenc. Ce petit morceau, d'une recherche d'exécution admirable et d'une belle fonte de couleur, rappelle, pour la ressemblance comme pour le ton, le beau portrait qui est au Musée. (Titien (Ticiano-Vecelli))|François Ier, vu jusqu'au buste, la tête de face, couverte d'une toque noire enrichie de pierreries et surmontée d'un panache blenc. Ce petit morceau, d'une recherche d'exécution admirable et d'une belle fonte de couleur, rappelle, pour la ressemblance comme pour le ton, le beau portrait qui est au Musée.]] réalisée par Titien (Ticiano-Vecelli), vendue par Quintin Craufurd au prix de 434 fl. [80]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Henri III de Bourbon, prince de Condé ; il est représenté debout, couvert d'une cuirasse par dessus laquelle est son écharpe blanche ; il tient de la main droite, qui est gantée, son bâton de commandement ; derrière lui est un jeune page qui tient son casque et le regarde. (artiste anonyme)|Henri III de Bourbon, prince de Condé ; il est représenté debout, couvert d'une cuirasse par dessus laquelle est son écharpe blanche ; il tient de la main droite, qui est gantée, son bâton de commandement ; derrière lui est un jeune page qui tient son casque et le regarde.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quintin Craufurd, achetée par Hazart au prix de 71 fl. [82]
  • 1820.11.24/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Madame la duchesse de Foix, morte en 1710, âgée de 55 ans ; elle est vue à mi-corps dans un jardin, et portant une gerbe de blé ; sa tête tournée de trois quarts, ressort en vigueur sur un fond d'arbres ; la gauche du tableau offre le lointain d'un village. (artiste anonyme)|Madame la duchesse de Foix, morte en 1710, âgée de 55 ans ; elle est vue à mi-corps dans un jardin, et portant une gerbe de blé ; sa tête tournée de trois quarts, ressort en vigueur sur un fond d'arbres ; la gauche du tableau offre le lointain d'un village.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quintin Craufurd au prix de 100 fl. [84]