Ventes d'œuvres le 1820.11.25

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  • 1820.11.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un génie ailé, les genoux en terre, porte sur la tête un médaillon entouré d'une guirlande de laurier, et dans lequel est représenté le buste de Louis XIV ; trois autres petits génies voltigent de chaque côté de ce portrait et aident à le soutenir. Ce groupe se détache sur un fond de rideau qui découvre, à la gauche des spectateurs, un site montagneux. (Lebrun (Charles))|Un génie ailé, les genoux en terre, porte sur la tête un médaillon entouré d'une guirlande de laurier, et dans lequel est représenté le buste de Louis XIV ; trois autres petits génies voltigent de chaque côté de ce portrait et aident à le soutenir. Ce groupe se détache sur un fond de rideau qui découvre, à la gauche des spectateurs, un site montagneux.]] réalisée par Lebrun (Charles), vendue par Quintin Craufurd au prix de 40.5 fl. [35]
  • 1820.11.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Arthémise, représentée assise, dans le plus riche vêtement ; elle tient embrassée l'urne contenant les cendres de son époux. Tableau d'un pinceau précieux, et dont tous les détails sont rendus avec cette finesse d'exécution qui distingue les ouvrages de cette première Ecole. (Lucas de Leyde)|Arthémise, représentée assise, dans le plus riche vêtement ; elle tient embrassée l'urne contenant les cendres de son époux. Tableau d'un pinceau précieux, et dont tous les détails sont rendus avec cette finesse d'exécution qui distingue les ouvrages de cette première Ecole.]] réalisée par Lucas de Leyde, vendue par Quintin Craufurd au prix de 370 fl. [36]
  • 1820.11.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le vicomte de Turenne, dans un vêtement d'étoffe jaunâtre, le haut du corps couvert d'une cuirasse ; il s'appuye de la main droite sur son bâton de maréchal de France ; sa tête presque de face, est ornée de longs cheveux gris qui descendent sur ses épaules et accompagnent un large collet de dentelle : cette figure se détache entièrement sur un fond de draperie en opposition à un bout de ciel nuageux. Portrait d'une frappante ressemblance, et dont la couleur ainsi que l'exécution ne laissent rien à désirer. Ce morceau qui sort de l'hôtel de Bouillon, y était regardé comme un des plus beaux de ce peintre. (Champaigne (Philippe de))|Le vicomte de Turenne, dans un vêtement d'étoffe jaunâtre, le haut du corps couvert d'une cuirasse ; il s'appuye de la main droite sur son bâton de maréchal de France ; sa tête presque de face, est ornée de longs cheveux gris qui descendent sur ses épaules et accompagnent un large collet de dentelle : cette figure se détache entièrement sur un fond de draperie en opposition à un bout de ciel nuageux. Portrait d'une frappante ressemblance, et dont la couleur ainsi que l'exécution ne laissent rien à désirer. Ce morceau qui sort de l'hôtel de Bouillon, y était regardé comme un des plus beaux de ce peintre.]] réalisée par Champaigne (Philippe de), vendue par Quintin Craufurd au prix de 260 fl. [38]
  • 1820.11.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait d'un homme de robe, vu à mi-corps, la tête placée de trois quarts et ajustée de longs cheveux bruns qui lui descendent sur les épaules ; cette figure, d'une carnation animée, présente la plus grande facilité d'exécution. (Hals (François))|Portrait d'un homme de robe, vu à mi-corps, la tête placée de trois quarts et ajustée de longs cheveux bruns qui lui descendent sur les épaules ; cette figure, d'une carnation animée, présente la plus grande facilité d'exécution.]] réalisée par Hals (François), vendue par Quintin Craufurd au prix de 37 fl. [39]
  • 1820.11.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jean de Labruyère, mort en 1699, à 55 ans. Il est représenté à mi-corps, près d'une table, la tête appuyée sur sa main gauche, et tenant sa plume de la droite ; il semble réfléchir à la sentence (ci-après) qu'il vient d'écrire : " Le contraire des bruits qui courent des affaires ou des personnes, est souvent la réalité." (Largillière (Nicolas))|Jean de Labruyère, mort en 1699, à 55 ans. Il est représenté à mi-corps, près d'une table, la tête appuyée sur sa main gauche, et tenant sa plume de la droite ; il semble réfléchir à la sentence (ci-après) qu'il vient d'écrire : " Le contraire des bruits qui courent des affaires ou des personnes, est souvent la réalité."]] réalisée par Largillière (Nicolas), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Montmerquier au prix de 242 fl. [41]
  • 1820.11.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de Charles Ier. décoré de ses ordres ; il est vu jusqu'aux genoux, la main droite appuyée sur une table et tenant ses gants de l'autre ; sa tête, placée de trois quarts, est ajustée de longs cheveux qui tombent sur ses épaules et ressortent sur une large collerette de dentelle qui accompagne un manteau de velours noir. Tableau dont le faire et la couleur peuvent rivaliser avec les ouvrages de Vandyck. (Lely (Pierre))|Le portrait de Charles Ier. décoré de ses ordres ; il est vu jusqu'aux genoux, la main droite appuyée sur une table et tenant ses gants de l'autre ; sa tête, placée de trois quarts, est ajustée de longs cheveux qui tombent sur ses épaules et ressortent sur une large collerette de dentelle qui accompagne un manteau de velours noir. Tableau dont le faire et la couleur peuvent rivaliser avec les ouvrages de Vandyck.]] réalisée par Lely (Pierre), vendue par Quintin Craufurd au prix de 750 fl. [42]
  • 1820.11.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Henriette, reine d'Angleterre, femme de Charles Ier., dans un costume d'étoffe blanche plissée, enrichie d'un collier de pierres précieuses formant chaîne ; la tête nue et coiffée de cheveux bouclés. Portrait d'une grande délicatesse de touche et d'un ton très argentin. (Lely (Pierre))|Henriette, reine d'Angleterre, femme de Charles Ier., dans un costume d'étoffe blanche plissée, enrichie d'un collier de pierres précieuses formant chaîne ; la tête nue et coiffée de cheveux bouclés. Portrait d'une grande délicatesse de touche et d'un ton très argentin.]] réalisée par Lely (Pierre), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Hazard au prix de 260 fl. [43]
  • 1820.11.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Madame de Montespagn, dans un bosquet, assise sur le gazon et le coude appuyé sur un coussin de velours cramoisi ; cette belle figure ressort dans l'effet le plus brillant de coloris, sur le fond d'un rideau de la plus riche étoffe, broché en or. Les fleurs de toutes espèces qu'elle vient de cueillir ajoutent au brillant de cette composition, terminée par un lointain de rivière et de montagnes couronnées de diverses constructions indiquant un palais. (Mignard (Pierre))|Madame de Montespagn, dans un bosquet, assise sur le gazon et le coude appuyé sur un coussin de velours cramoisi ; cette belle figure ressort dans l'effet le plus brillant de coloris, sur le fond d'un rideau de la plus riche étoffe, broché en or. Les fleurs de toutes espèces qu'elle vient de cueillir ajoutent au brillant de cette composition, terminée par un lointain de rivière et de montagnes couronnées de diverses constructions indiquant un palais.]] réalisée par Mignard (Pierre), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Paillet au prix de 499 fl. [44]
  • 1820.11.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait d'une noble Vénitienne, vue plus qu'à mi-corps, les bras en avant, tenant de la main droite une chaîne de différentes pierres fines qui lui ceint le bas de la taille ; elle est dans un vêtement noir avec collerette de mousseline brodée en or, fraise de dentelle. (Moro (Antoine))|Portrait d'une noble Vénitienne, vue plus qu'à mi-corps, les bras en avant, tenant de la main droite une chaîne de différentes pierres fines qui lui ceint le bas de la taille ; elle est dans un vêtement noir avec collerette de mousseline brodée en or, fraise de dentelle.]] réalisée par Moro (Antoine), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Psimari au prix de 102 fl. [45]
  • 1820.11.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de Philippe d'Orléans, régent de France ; il est en grand costume, debout, près d'une table couverte d'un tapis de velours violet, et ayant la main droite appuyée sur de larges tablettes ; le fond d'architecture sur lequel se détache ce personnage, indique l'intérieur d'un palais. Portrait intéressant par le prince qu'il représente et le mérite de l'exécution. (Rigaud (Hyacinthe))|Portrait de Philippe d'Orléans, régent de France ; il est en grand costume, debout, près d'une table couverte d'un tapis de velours violet, et ayant la main droite appuyée sur de larges tablettes ; le fond d'architecture sur lequel se détache ce personnage, indique l'intérieur d'un palais. Portrait intéressant par le prince qu'il représente et le mérite de l'exécution.]] réalisée par Rigaud (Hyacinthe), vendue par Quintin Craufurd au prix de 287 fl. [46]
  • 1820.11.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Charles de Matignon, comte de Gacé, tué au combat de Sénef en 1674, à l'âge de 33 ans ; second fils de François de Matignon, comte de Thorigny, gouverneur de Cherbourg, Granville, Saint-Lo, etc., etc. ; il est peint debout, la tête presque de face, couverte d'une toque noire ornée de plumes rouges, et ajustée de longs cheveux qui tombent sur ses épaules et viennent accompagner les manches de son vêtement ; il porte une cuirasse, et des gantelets, et s'appuie sur une canne. (Rigaud (Hyacinthe))|Charles de Matignon, comte de Gacé, tué au combat de Sénef en 1674, à l'âge de 33 ans ; second fils de François de Matignon, comte de Thorigny, gouverneur de Cherbourg, Granville, Saint-Lo, etc., etc. ; il est peint debout, la tête presque de face, couverte d'une toque noire ornée de plumes rouges, et ajustée de longs cheveux qui tombent sur ses épaules et viennent accompagner les manches de son vêtement ; il porte une cuirasse, et des gantelets, et s'appuie sur une canne.]] réalisée par Rigaud (Hyacinthe), vendue par Quintin Craufurd au prix de 66 fl. [47]