Ventes d'œuvres le 1820.12.04

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  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage avec incendie et coup de vent. Une ville située à mi-côté d'une montagne est la proie des flammes ; un de ses habitans s'en éloigne et descend par un chemin au bas duquel d'autres hommes se reposent près d'une rivière. Au pied de la montagne, est un torrent entretenu par un lac ; au-delà est une plaine terminée par une longue chaîne de montagnes. (Guaspre (Gasparo Dughet, dit le))|Paysage avec incendie et coup de vent. Une ville située à mi-côté d'une montagne est la proie des flammes ; un de ses habitans s'en éloigne et descend par un chemin au bas duquel d'autres hommes se reposent près d'une rivière. Au pied de la montagne, est un torrent entretenu par un lac ; au-delà est une plaine terminée par une longue chaîne de montagnes.]] réalisée par Guaspre (Gasparo Dughet, dit le), vendue par Dufresne, achetée par Dubois au prix de 75.5 fl. [67]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cupidon, couché dans un lit et dormant d'un profond sommeil, est accompagné de deux de ses frères, dont l'un tient un papillon qu'il fait voltiger, tandis que l'autre s'amuse à faire des bulles de savon. Ces deux tableaux sont entourés de fleurs exécutées par Mario da Fiori. On pourrait, avec quelque vraisemblance, supposer que l'auteur de ces deux tableaux a voulu nous y offrir, dans le premier, l'amour jouissant en paix d'un bonheur fondé sur d'innocens plaisirs ; dans l'autre, l'amour jaloux et se livrant aux fureurs que lui inspire un rival. (Maratti (Carlo))|Cupidon, couché dans un lit et dormant d'un profond sommeil, est accompagné de deux de ses frères, dont l'un tient un papillon qu'il fait voltiger, tandis que l'autre s'amuse à faire des bulles de savon. Ces deux tableaux sont entourés de fleurs exécutées par Mario da Fiori. On pourrait, avec quelque vraisemblance, supposer que l'auteur de ces deux tableaux a voulu nous y offrir, dans le premier, l'amour jouissant en paix d'un bonheur fondé sur d'innocens plaisirs ; dans l'autre, l'amour jaloux et se livrant aux fureurs que lui inspire un rival.]] réalisée par Maratti (Carlo), vendue par Dufresne au prix de 36 fl. [69]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cupidon, furieux, saisit un de ses frères par les ailes et le menace de son brandon. Ces deux tableaux sont entourés de fleurs exécutées par Mario da Fiori. On pourrait, avec quelque vraisemblance, supposer que l'auteur de ces deux tableaux a voulu nous y offrir, dans le premier, l'amour jouissant en paix d'un bonheur fondé sur d'innocens plaisirs ; dans l'autre, l'amour jaloux et se livrant aux fureurs que lui inspire un rival. (Maratti (Carlo))|Cupidon, furieux, saisit un de ses frères par les ailes et le menace de son brandon. Ces deux tableaux sont entourés de fleurs exécutées par Mario da Fiori. On pourrait, avec quelque vraisemblance, supposer que l'auteur de ces deux tableaux a voulu nous y offrir, dans le premier, l'amour jouissant en paix d'un bonheur fondé sur d'innocens plaisirs ; dans l'autre, l'amour jaloux et se livrant aux fureurs que lui inspire un rival.]] réalisée par Maratti (Carlo), vendue par Dufresne au prix de 36 fl. [70]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une petite fille, ayant un panier au bras, s'afflige de l'ordre qui lui est donné par sa mère, d'aller à l'école. Un autre enfant s'amuse avec un tambour. Dans une salle voisine, une femme devant son miroir, est occupée de sa toilette. - L'effet de ce petit tableau rappelle les ouvrages de P. de Hoge. (Berckheyden (Job))|Une petite fille, ayant un panier au bras, s'afflige de l'ordre qui lui est donné par sa mère, d'aller à l'école. Un autre enfant s'amuse avec un tambour. Dans une salle voisine, une femme devant son miroir, est occupée de sa toilette. - L'effet de ce petit tableau rappelle les ouvrages de P. de Hoge.]] réalisée par Berckheyden (Job), vendue par Dufresne au prix de 17 fl. [73]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Montés sur des tréteaux, dans une place publique, deux charlatans sont occupés l'un à montrer la dextérité avec laquelle il arrache une dent, l'autre à déteiller les merveilles, sans nombre, que son baume a la vertu d'opérer ; avec eux est un pierrot qui, par ses grimaces, soutient l'attention de la foule de spectateurs qui les entoure. On voit sur la même place plusieurs marchands, et entr'autres une jeune femme offrant des oranges à un cavalier. (Berkheyden (Gerrit))|Montés sur des tréteaux, dans une place publique, deux charlatans sont occupés l'un à montrer la dextérité avec laquelle il arrache une dent, l'autre à déteiller les merveilles, sans nombre, que son baume a la vertu d'opérer ; avec eux est un pierrot qui, par ses grimaces, soutient l'attention de la foule de spectateurs qui les entoure. On voit sur la même place plusieurs marchands, et entr'autres une jeune femme offrant des oranges à un cavalier.]] réalisée par Berkheyden (Gerrit), vendue par Dufresne au prix de 99 fl. [74]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage fait à l'imitation de ceux de Wouwermans. Sur le devant un petit jardin, clos d'une haie de paille, borde un chemin qui aboutit à un double pont de bois. Vers le second plan est l'habitation couverte de chaume d'une famille de paysans. Dans le lointain, on remarque une grande plaine et des dunes frappées d'un coup de soleil. (Dietrick (Willem Esnest))|Paysage fait à l'imitation de ceux de Wouwermans. Sur le devant un petit jardin, clos d'une haie de paille, borde un chemin qui aboutit à un double pont de bois. Vers le second plan est l'habitation couverte de chaume d'une famille de paysans. Dans le lointain, on remarque une grande plaine et des dunes frappées d'un coup de soleil.]] réalisée par Dietrick (Willem Esnest), vendue par Dufresne, achetée par Bertrand au prix de 102 fl. [79]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage enrichi de monumens d'architecture. A l'avant-scène, divers personnages, gens de distinction, se promènent sous les murs d'un parc, où l'on entre par un magnifique escalier. Le fond du tableau se compose d'une grande étendue de mer et d'un port où l'on remarque un vaisseau. Les principales masses y sont en opposition avec celles du précédent tableau auquel il sert de pendant ; (Ferg (Paulus))|Paysage enrichi de monumens d'architecture. A l'avant-scène, divers personnages, gens de distinction, se promènent sous les murs d'un parc, où l'on entre par un magnifique escalier. Le fond du tableau se compose d'une grande étendue de mer et d'un port où l'on remarque un vaisseau. Les principales masses y sont en opposition avec celles du précédent tableau auquel il sert de pendant ;]] réalisée par Ferg (Paulus), vendue par Dufresne. [81]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de cour avec effet de soleil. En avant, est une grande porte cintrée d'où sort une domestique portant un seau d'eau ; dans le fond, deux hommes causent ensemble près d'une autre porte ouverte et donnant sur une avenue d'arbres. (Laenen (Van))|Intérieur de cour avec effet de soleil. En avant, est une grande porte cintrée d'où sort une domestique portant un seau d'eau ; dans le fond, deux hommes causent ensemble près d'une autre porte ouverte et donnant sur une avenue d'arbres.]] réalisée par Laenen (Van), vendue par Dufresne. [85]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint-Laurent, livré à ses bourreaux, et déjà sur le bord du gril destiné à son martyre, ferme courageusement l'oreille aux exlortations d'un prêtre payen, qui lui montre une statue de Jupiter ; le préfet de Rome, accompagné des gens du peuple, est présent à ce supplice barbare qu'il a lui-même ordonné. (Uliet (Jean Géorges Van))|Saint-Laurent, livré à ses bourreaux, et déjà sur le bord du gril destiné à son martyre, ferme courageusement l'oreille aux exlortations d'un prêtre payen, qui lui montre une statue de Jupiter ; le préfet de Rome, accompagné des gens du peuple, est présent à ce supplice barbare qu'il a lui-même ordonné.]] réalisée par Uliet (Jean Géorges Van), vendue par Dufresne. [90]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de l'embouchure du Zuyderzée ; à l'horizon, on aperçoit les principaux édifices de la ville de Texel ; beaucoup en-deçà, plusieurs navires sont à l'ancre ; sur le premier plan, une barque est échouée à l'extrémité d'une jettée. (Wliger (Simon de))|Vue de l'embouchure du Zuyderzée ; à l'horizon, on aperçoit les principaux édifices de la ville de Texel ; beaucoup en-deçà, plusieurs navires sont à l'ancre ; sur le premier plan, une barque est échouée à l'extrémité d'une jettée.]] réalisée par Wliger (Simon de), vendue par Dufresne au prix de 20.5 fl. [91]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans la cour d'une auberge d'Italie, deux servantes sont occupées, l'une à éplucher des carottes, l'autre à laver de la vaisselle dans une auge à côté d'un puits ; derrière celle-ci, se présente un valet chargé d'une corbeille ; près de la première est un enfantqui s'amuse à lui dérober ses légumes. Diverses provisions, et quelques ustensiles de ménage sont à terre, auprès du puits. (Wick (Thomas))|Dans la cour d'une auberge d'Italie, deux servantes sont occupées, l'une à éplucher des carottes, l'autre à laver de la vaisselle dans une auge à côté d'un puits ; derrière celle-ci, se présente un valet chargé d'une corbeille ; près de la première est un enfantqui s'amuse à lui dérober ses légumes. Diverses provisions, et quelques ustensiles de ménage sont à terre, auprès du puits.]] réalisée par Wick (Thomas), vendue par Dufresne. [92]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre scène pastorale. Elle offre, dans une composition tout à fait différente, les mêmes objets que le tableau précédent. C'est aussi la même grandeur. Un pâtre gardant un troupeau de vaches et de brebis, est assis à côté d'une villageoise, et cause avec elle. Aux pieds de la femme est un enfant qui caresse un agneau. (Xavery)|Autre scène pastorale. Elle offre, dans une composition tout à fait différente, les mêmes objets que le tableau précédent. C'est aussi la même grandeur. Un pâtre gardant un troupeau de vaches et de brebis, est assis à côté d'une villageoise, et cause avec elle. Aux pieds de la femme est un enfant qui caresse un agneau.]] réalisée par Xavery, vendue par Dufresne, achetée par Dubois au prix de 75.5 fl. [95]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune demoiselle ayant un porte-feuille sur ses genoux, taille un crayon pour dessiner d'après des plâtres. Elle est coiffée d'un grand chapeau de paille, et porte ses regards sur le spectateur ; à sa droite est une autre jeune fille. (Boilly (M.))|Une jeune demoiselle ayant un porte-feuille sur ses genoux, taille un crayon pour dessiner d'après des plâtres. Elle est coiffée d'un grand chapeau de paille, et porte ses regards sur le spectateur ; à sa droite est une autre jeune fille.]] réalisée par Boilly (M.), vendue par Henry, achetée par Koeninc au prix de 51 fl. [99]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Charles-Edouard Stuart, roi d'Angleterre, caché dans les ruines d'un ancien couvent, est frappé d'un bruit qui l'effraye, et se dispose à fuir. On sait que ce malheureux prince, dont la tête était mise à prix par Cromwel, n'échappa aux poursuites de cet usurpateur qu'en se sauvant à travers cent périls et toujours caché sous quelque déguisement. (Bouton (M.))|Charles-Edouard Stuart, roi d'Angleterre, caché dans les ruines d'un ancien couvent, est frappé d'un bruit qui l'effraye, et se dispose à fuir. On sait que ce malheureux prince, dont la tête était mise à prix par Cromwel, n'échappa aux poursuites de cet usurpateur qu'en se sauvant à travers cent périls et toujours caché sous quelque déguisement.]] réalisée par Bouton (M.), vendue par Dufresne, achetée par Durand au prix de 455 fl. [102]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. On remarque, à gauche, dans un petit champ en herbe, deux villageois et différens animaux domestiques ; au-delà, un berger conduisant un troupeau de brebis descend d'un colline où croissent, épars, quelques chênes et pins ; à gauche, d'autres pâtres gardent du bétail dans une prairie entrecoupée de ruisseaux, et terminée par une montagne couverte de pâturage. (Bruandet (Léasar))|Paysage. On remarque, à gauche, dans un petit champ en herbe, deux villageois et différens animaux domestiques ; au-delà, un berger conduisant un troupeau de brebis descend d'un colline où croissent, épars, quelques chênes et pins ; à gauche, d'autres pâtres gardent du bétail dans une prairie entrecoupée de ruisseaux, et terminée par une montagne couverte de pâturage.]] réalisée par Bruandet (Léasar), vendue par Dufresne au prix de 110 fl. [103]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montagneux, vu le matin par un tems de pluie. Devant ce tableau, vingt plans liés l'un à l'autre par une vapeur bleuâtre, s'y déroulent, pour ainsi dire, sous les yeux du spectateur, et lui offrent toutes les beautés d'un riche climat. Ici, les eaux bouillonnantes d'un torrent se précipitent parmi des rochers, sous un pont construit à mi-côté de montagne. Au delà, c'est un moulin à vent situé sur un plateau, où des villageois sont occupés à décharger une charrette remplie de sacs de blé. Plus loin, sur la crête de la montagne, ce sont des terres labourées, ou promettant d'heureuses moissons. D'un autre côté, la vue plongeant dans une profonde vallée, peut y suivre, jusques dans un extrême lointain, les nombreux détours d'un fleuve, tantôt bordé de prairies, tantôt resserré par de fertiles côteau. Partout, enfin, s'offre une agréable variété d'objets qu'il serait trop long de détailler. (Demarne (M.))|Paysage montagneux, vu le matin par un tems de pluie. Devant ce tableau, vingt plans liés l'un à l'autre par une vapeur bleuâtre, s'y déroulent, pour ainsi dire, sous les yeux du spectateur, et lui offrent toutes les beautés d'un riche climat. Ici, les eaux bouillonnantes d'un torrent se précipitent parmi des rochers, sous un pont construit à mi-côté de montagne. Au delà, c'est un moulin à vent situé sur un plateau, où des villageois sont occupés à décharger une charrette remplie de sacs de blé. Plus loin, sur la crête de la montagne, ce sont des terres labourées, ou promettant d'heureuses moissons. D'un autre côté, la vue plongeant dans une profonde vallée, peut y suivre, jusques dans un extrême lointain, les nombreux détours d'un fleuve, tantôt bordé de prairies, tantôt resserré par de fertiles côteau. Partout, enfin, s'offre une agréable variété d'objets qu'il serait trop long de détailler.]] réalisée par Demarne (M.), vendue par Dufresne au prix de 500 fl. [111]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une blanchisserie. Un pré où des morceaux de toile sont étendus, forme en partie le devant du tableau. A gauche, une rivière et de grands arbres, bordent ce pré ; à droite, il est fermé par un mur qui le sépare d'un large chemin. Au-delà, est l'habitation des blanchisseurs. Dans cet endroit, des villageois sont arrêtés à côté d'une charrette ; deux autres, à cheval, passent dans le chemin et conduisent des bestiaux. (Demarne (M.))|Vue d'une blanchisserie. Un pré où des morceaux de toile sont étendus, forme en partie le devant du tableau. A gauche, une rivière et de grands arbres, bordent ce pré ; à droite, il est fermé par un mur qui le sépare d'un large chemin. Au-delà, est l'habitation des blanchisseurs. Dans cet endroit, des villageois sont arrêtés à côté d'une charrette ; deux autres, à cheval, passent dans le chemin et conduisent des bestiaux.]] réalisée par Demarne (M.), vendue par Dufresne. [112]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une femme, le casque en tête, chante dans un corps-de-garde, la valeur et la gloire des enfans de Mars. Deux soldats l'écoutent avec attention, l'un assis, tenant une hallebarde et coiffé d'un chapeau à panache ; l'autre, debout, la main sur le pommeau de son épée, et couvert d'un casque, d'une cuirasse et de cuissards. (Demarne (M.))|Une femme, le casque en tête, chante dans un corps-de-garde, la valeur et la gloire des enfans de Mars. Deux soldats l'écoutent avec attention, l'un assis, tenant une hallebarde et coiffé d'un chapeau à panache ; l'autre, debout, la main sur le pommeau de son épée, et couvert d'un casque, d'une cuirasse et de cuissards.]] réalisée par Demarne (M.), vendue par Dufresne au prix de 121 fl. [113]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des soldats, se reposant avec une vivandière, au milieu d'un chemin, sur le devant d'un paysage aride et découvert. L'un d'eux, à cheval, porte en croupe un petit garçon ; la femme tient un autre enfant dans ses bras. A quelques pas, près des murs d'un édifice ruiné, trois chevaux sont attelés à l'affut d'un canon. (Duplessis (M.))|Des soldats, se reposant avec une vivandière, au milieu d'un chemin, sur le devant d'un paysage aride et découvert. L'un d'eux, à cheval, porte en croupe un petit garçon ; la femme tient un autre enfant dans ses bras. A quelques pas, près des murs d'un édifice ruiné, trois chevaux sont attelés à l'affut d'un canon.]] réalisée par Duplessis (M.), vendue par Dufresne au prix de 41.5 fl. [117]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une des portes de Lille, prise en dedans des murs de la ville. A cette porte aboutit une rue large et bien pavée, bordée, à main gauche, par deux maisons que sépare une seconde rue ; à main droite, par une rangée de trois autres maisons, dont une est habitée par un maréchal ferrant. Entre les personnages qui enrichissent ce tableau, on remarque un mari complaisant, donnant le bras à sa femme, et un décrotteur qui nettoie les bottes d'un jeune élégant. (Golvin (M.L.))|Vue d'une des portes de Lille, prise en dedans des murs de la ville. A cette porte aboutit une rue large et bien pavée, bordée, à main gauche, par deux maisons que sépare une seconde rue ; à main droite, par une rangée de trois autres maisons, dont une est habitée par un maréchal ferrant. Entre les personnages qui enrichissent ce tableau, on remarque un mari complaisant, donnant le bras à sa femme, et un décrotteur qui nettoie les bottes d'un jeune élégant.]] réalisée par Golvin (M.L.), vendue par Dufresne, achetée par Henry au prix de 33 fl. [121]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue prise dans les campagnes d'Italie. Sur le premier plan, au pied des ruines d'un ancien temple, assez semblable à celui du soleil, sont réunies de jeunes bergères qui gardent leurs troupeaux. Une d'elles, assise sur le gazon à côté d'une de ses compagnes, offre une poignée d'herbes à un mouton chéri, ce qui occupe l'attention d'une troisième, qui est appuyée sur le dos d'un boeuf. Deux autres, à peu de distance, semblent considérer une statue que le tems a respectée, et qui est debout sur une espèce d'autel entouré de broussailles. A droite, vers le troisième plan, un monastère et plusieus autres édifices, sont situés sur le revers d'une colline qui les dérobe en partie à la vue. Au-delà, s'étend un vaste pays, couvert de montagnes. Ce tableau est pendant du précédent. (Houel)|Vue prise dans les campagnes d'Italie. Sur le premier plan, au pied des ruines d'un ancien temple, assez semblable à celui du soleil, sont réunies de jeunes bergères qui gardent leurs troupeaux. Une d'elles, assise sur le gazon à côté d'une de ses compagnes, offre une poignée d'herbes à un mouton chéri, ce qui occupe l'attention d'une troisième, qui est appuyée sur le dos d'un boeuf. Deux autres, à peu de distance, semblent considérer une statue que le tems a respectée, et qui est debout sur une espèce d'autel entouré de broussailles. A droite, vers le troisième plan, un monastère et plusieus autres édifices, sont situés sur le revers d'une colline qui les dérobe en partie à la vue. Au-delà, s'étend un vaste pays, couvert de montagnes. Ce tableau est pendant du précédent.]] réalisée par Houel, vendue par Dufresne au prix de 201 fl. [123]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre vue d'Italie. A l'extrémité du premier plan, s'élèvent les antiques ruines du temple de la Concorde, auxquelles sont attenantes plusieurs maisons d'une construction moderne. A gauche, entre ces ruines et celles du temple de Jupiter-Stator, s'offre un agréable lointain, où l'un aperçoit des bergers qui s'amusent à danser. A droite, de grands arbres situés au pied d'une colline ombragent un large chemin, sur lequel est un muletier conduisant deux bêtes de somme, et causant avec une jeune italienne, montée sur un cheval. T. h. 22, l. 34. - Ce tableau est le pendant du précédent. (Houel)|Autre vue d'Italie. A l'extrémité du premier plan, s'élèvent les antiques ruines du temple de la Concorde, auxquelles sont attenantes plusieurs maisons d'une construction moderne. A gauche, entre ces ruines et celles du temple de Jupiter-Stator, s'offre un agréable lointain, où l'un aperçoit des bergers qui s'amusent à danser. A droite, de grands arbres situés au pied d'une colline ombragent un large chemin, sur lequel est un muletier conduisant deux bêtes de somme, et causant avec une jeune italienne, montée sur un cheval. T. h. 22, l. 34. - Ce tableau est le pendant du précédent.]] réalisée par Houel, vendue par Dufresne au prix de 200 fl. [124]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une plage sablonneuse, au milieu de laquelle s'élève une grande tour fortifiée, où l'on accède par un pont ; à gauche, sur le rivage, une femme s'avance avec un panier sur la tête, et passe à côté de trois matelots qui font la conversation. Tout près de ces derniers, cherche crabes au bord de l'eau. Un peu plus loin, à main droite, deux pêcheurs attendent la marée, pour remettre leur barque à flot. Plusieurs chaloupes sont échouées au pied de la tour ; et là sont encore d'autres personnages. B. h. 23, l. 32. - Monsieur Hue, pour racheter la simplicité de cette composition, par la richesse du coloris, l'a représentée au soleil couchant. Cet astre, placé derrière un nuage au centre du tableau, semble, en imprimant à l'air la couleur de ses derniers rayons, lui communiquer en même temps sa chaleur ; l'on dirait même que les eaux, en reproduisant sa lumière, la divisent à l'infini, et la rendent mobile comme elles. (Hue (M.))|Vue d'une plage sablonneuse, au milieu de laquelle s'élève une grande tour fortifiée, où l'on accède par un pont ; à gauche, sur le rivage, une femme s'avance avec un panier sur la tête, et passe à côté de trois matelots qui font la conversation. Tout près de ces derniers, cherche crabes au bord de l'eau. Un peu plus loin, à main droite, deux pêcheurs attendent la marée, pour remettre leur barque à flot. Plusieurs chaloupes sont échouées au pied de la tour ; et là sont encore d'autres personnages. B. h. 23, l. 32. - Monsieur Hue, pour racheter la simplicité de cette composition, par la richesse du coloris, l'a représentée au soleil couchant. Cet astre, placé derrière un nuage au centre du tableau, semble, en imprimant à l'air la couleur de ses derniers rayons, lui communiquer en même temps sa chaleur ; l'on dirait même que les eaux, en reproduisant sa lumière, la divisent à l'infini, et la rendent mobile comme elles.]] réalisée par Hue (M.), vendue par Dufresne, achetée par Hazard au prix de 500 fl. [126]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue prise sur le bord de la mer, au moment d'un brouillard. A gauche s'élève une côte escarpée, au pied de laquelle est un rocher percé, et formant une espèce d'arcade. A droite est un vaisseau à l'ancre, et en deça une galère amarrée au rivage. Sur le premier plan, deux hommes pêchent à la ligne, un autre tire un filet de l'eau. (Lacroix)|Vue prise sur le bord de la mer, au moment d'un brouillard. A gauche s'élève une côte escarpée, au pied de laquelle est un rocher percé, et formant une espèce d'arcade. A droite est un vaisseau à l'ancre, et en deça une galère amarrée au rivage. Sur le premier plan, deux hommes pêchent à la ligne, un autre tire un filet de l'eau.]] réalisée par Lacroix, vendue par Dufresne, achetée par Meunier au prix de 69.5 fl. [127]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue prise dans l'intérieur de ville de Bordeaux. De dessous une voûte sombre et dépendante des ruines du Palais-Gallien, l'oeil se porte sur une rue où plusieurs maisons nouvellement bâties, sont frappées des rayons du soleil. Deux hommes passent dans cette rue ; un troisième est assis la voûte. (Leblanc (M.))|Vue prise dans l'intérieur de ville de Bordeaux. De dessous une voûte sombre et dépendante des ruines du Palais-Gallien, l'oeil se porte sur une rue où plusieurs maisons nouvellement bâties, sont frappées des rayons du soleil. Deux hommes passent dans cette rue ; un troisième est assis la voûte.]] réalisée par Leblanc (M.), vendue par Dufresne, achetée par Dubois au prix de 150 fl. [133]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une paysanne à cheval, au milieu d'un chemin, paraît faire des questions à un bouvier qui passe à côté d'elle, et conduit une paire de boeufs. Un autre homme, ayant un petit sac sur le dos, se repose sur une borne. Le costume de ces personnages est celui des paysans d'Italie. La couleur du tableau est celle d'une soirée d'été. (Le Comte (M. Hypolite))|Une paysanne à cheval, au milieu d'un chemin, paraît faire des questions à un bouvier qui passe à côté d'elle, et conduit une paire de boeufs. Un autre homme, ayant un petit sac sur le dos, se repose sur une borne. Le costume de ces personnages est celui des paysans d'Italie. La couleur du tableau est celle d'une soirée d'été.]] réalisée par Le Comte (M. Hypolite), vendue par Dufresne au prix de 140 fl. [135]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une paysanne dans son ménage, vient de d'endormir en filant sa quenouille. Des légumes pittoresquement groupés avec une hotte, un panier, un baquet et un chaudron, enrichissent le devant du tableau. B. h. 9., l. 12. - Nous avons promis de nous abstenir d'éloges ; mais qui, au lieu de trouver mauvais que nous manquions à notre parole, ne sera pas charmé de nous entendre dire, à l'occasion de mademoiselle Jenny le Grand, que la vérité, l'harmonie, l'effet, la délicatesse du pinceau, sont toujours les caractères distinctifs de ses aimables productions. (Le Grand (Madem. Jenny))|Une paysanne dans son ménage, vient de d'endormir en filant sa quenouille. Des légumes pittoresquement groupés avec une hotte, un panier, un baquet et un chaudron, enrichissent le devant du tableau. B. h. 9., l. 12. - Nous avons promis de nous abstenir d'éloges ; mais qui, au lieu de trouver mauvais que nous manquions à notre parole, ne sera pas charmé de nous entendre dire, à l'occasion de mademoiselle Jenny le Grand, que la vérité, l'harmonie, l'effet, la délicatesse du pinceau, sont toujours les caractères distinctifs de ses aimables productions.]] réalisée par Le Grand (Madem. Jenny), vendue par Dufresne, achetée par Couturier au prix de 200 fl. [136]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Marine avec effet de soleil levant. A gauche, en deçà d'une ville, des pêcheurs tirent leurs filets hors de l'eau. A l'avant-scène, cinq matelots descendus d'une chaloupe sur un rocher presquà fleur d'eau, y attendent le moment de se rembarquer. (Manglard (Adrien))|Marine avec effet de soleil levant. A gauche, en deçà d'une ville, des pêcheurs tirent leurs filets hors de l'eau. A l'avant-scène, cinq matelots descendus d'une chaloupe sur un rocher presquà fleur d'eau, y attendent le moment de se rembarquer.]] réalisée par Manglard (Adrien), vendue par Dufresne, achetée par Dubois au prix de 15.2 fl. [141]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Près d'un bassin placé dans un bosquet, une jeune femme, dépouillée de tous ses vêtemens et prête à se baigner, fixe ses regards sur un miroir, et, malgré son air de modestie, paraît avoir quelque plaisir à s'y contempler. Derrière elle est sa gouvernante qui tire un rideau devant une arcadee. Des fleurs, un vase où brûlent des parfums, embaument l'air que respire cette belle ; à ses pieds est une guitare destinée à charmer ses loisirs. (Pérignon (M.))|Près d'un bassin placé dans un bosquet, une jeune femme, dépouillée de tous ses vêtemens et prête à se baigner, fixe ses regards sur un miroir, et, malgré son air de modestie, paraît avoir quelque plaisir à s'y contempler. Derrière elle est sa gouvernante qui tire un rideau devant une arcadee. Des fleurs, un vase où brûlent des parfums, embaument l'air que respire cette belle ; à ses pieds est une guitare destinée à charmer ses loisirs.]] réalisée par Pérignon (M.), vendue par Dufresne au prix de 145 fl. [144]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage où l'on voit, à droite, une rivière, dont les deux bords sont couverts d'arbres ; à gauche, un chemin tortueux à l'extrémité duquel s'offre une échappée de vues. Parmi les personnages qui enrichissent différens plans de ce tableau, se trouvent un homme chargé de bois, et un pêcheur portant son filet. (Salmon (M.A.G.))|Paysage où l'on voit, à droite, une rivière, dont les deux bords sont couverts d'arbres ; à gauche, un chemin tortueux à l'extrémité duquel s'offre une échappée de vues. Parmi les personnages qui enrichissent différens plans de ce tableau, se trouvent un homme chargé de bois, et un pêcheur portant son filet.]] réalisée par Salmon (M.A.G.), vendue par Dufresne, achetée par Henry au prix de 25 fl. [149]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. Les lointains se composent des cîmes de plusieurs monts que la vapeur de l'atmosphère dérobe par degrés à la vue. Sur le premier plan, à gauche, une rivière formant des cascades, coule le long d'un bois épais, au-delà duquel s'élève une montagne couronnée de fabriques. A droite, est un chemin tournant et pratiqué sur un terrain en pente, où des arbres touffus entretiennent une continuelle fraîcheur ; là, deux bergers se font leurs adieux. (Vander Burck)|Paysage. Les lointains se composent des cîmes de plusieurs monts que la vapeur de l'atmosphère dérobe par degrés à la vue. Sur le premier plan, à gauche, une rivière formant des cascades, coule le long d'un bois épais, au-delà duquel s'élève une montagne couronnée de fabriques. A droite, est un chemin tournant et pratiqué sur un terrain en pente, où des arbres touffus entretiennent une continuelle fraîcheur ; là, deux bergers se font leurs adieux.]] réalisée par Vander Burck, vendue par Dufresne, achetée par Jousseraud au prix de 150 fl. [158]
  • 1820.12.04/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une femme dans son ménage, avec sa mère et trois enfans. Tandis qu'elle allaite le plus jeune, et qu'une autre petite fille d'environ cinq ans, fait son déjeûné, l'aîné, un livre sous le bras et un panier à la main, reçoit, les larmes aux yeux, l'ordre que lui donne sa grand-maman d'aller à l'école. (artiste anonyme)|Une femme dans son ménage, avec sa mère et trois enfans. Tandis qu'elle allaite le plus jeune, et qu'une autre petite fille d'environ cinq ans, fait son déjeûné, l'aîné, un livre sous le bras et un panier à la main, reçoit, les larmes aux yeux, l'ordre que lui donne sa grand-maman d'aller à l'école.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Dufresne, achetée par Sallé au prix de 140 fl. [164]