Ventes d'œuvres le 1820.12.26

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  • 1820.12.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente un taureau conduit par un pätre ; sur le second plan on aperçoit une paysanne montée sur un âne, et les devans sont enrichis par differens animaux de basse cour. Pour nous épargner le soin de décrire les qualités de ce beau tableau, nous dirons que le Gouvernement l'avait désigné pour etre acheté en 1814, mais les événemens de 1815 en ont arrêté l'exécution. (M. Berré)|Ce tableau représente un taureau conduit par un pätre ; sur le second plan on aperçoit une paysanne montée sur un âne, et les devans sont enrichis par differens animaux de basse cour. Pour nous épargner le soin de décrire les qualités de ce beau tableau, nous dirons que le Gouvernement l'avait désigné pour etre acheté en 1814, mais les événemens de 1815 en ont arrêté l'exécution.]] réalisée par M. Berré, vendue par Durand Duclos. [1]
  • 1820.12.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La lionne et ses lionceaux, et la panterre caressant ses petits. Mr Berré a su nous représenter ces animaux dans une situation intéressante. Ces tableaux sont de la plus grande vérité et très-terminés, et je ne connais pas de rival que ce peintre puisse redouter. Nous espérons que le public verra ses productions avec le plus grand intérêt. Ces tableaux ont fait accorder à l'auteur trois médailles d'or de première classe. (M. Berré)|La lionne et ses lionceaux, et la panterre caressant ses petits. Mr Berré a su nous représenter ces animaux dans une situation intéressante. Ces tableaux sont de la plus grande vérité et très-terminés, et je ne connais pas de rival que ce peintre puisse redouter. Nous espérons que le public verra ses productions avec le plus grand intérêt. Ces tableaux ont fait accorder à l'auteur trois médailles d'or de première classe.]] réalisée par M. Berré, vendue par Durand Duclos. [49]
  • 1820.12.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau dans le style de Paul Potter : Un jeune garçon, assis sur son âne, buvant sur le bord d'une rivière ; sur la gauche, une jeune paysanne se lavant les pieds le regarde en souriant. Ce tableau est d'une charmante couleur et d'une exécution précieuse. (Mr Berré (École de))|Tableau dans le style de Paul Potter : Un jeune garçon, assis sur son âne, buvant sur le bord d'une rivière ; sur la gauche, une jeune paysanne se lavant les pieds le regarde en souriant. Ce tableau est d'une charmante couleur et d'une exécution précieuse.]] réalisée par Mr Berré (École de), vendue par Durand Duclos au prix de 73 [ou] 79 fl. [61]
  • 1820.12.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux têtes faisant pendant, homme et femme ; l'homme tient un verre à la main, et la femme une fleur. Quand on a nommé Miéris on n'a pas besoin de s'étendre sur les qualités qui caractérisent ce maître, on sait qu'il est vrai, fin d'exécution et d'une belle couleur. (Miéris)|Deux têtes faisant pendant, homme et femme ; l'homme tient un verre à la main, et la femme une fleur. Quand on a nommé Miéris on n'a pas besoin de s'étendre sur les qualités qui caractérisent ce maître, on sait qu'il est vrai, fin d'exécution et d'une belle couleur.]] réalisée par Miéris, vendue par Durand Duclos au prix de 60 fl. [77]
  • 1820.12.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente un St.-Sébastien percé de flèches. Le Saint paraît souffrir avec beaucoup de résignation ; sa pose est noble, fière, sa tête pleine de vie et d'expression. Ce tableau est généralement d'une très-belle couleur. (Morillos, peintre espagnol)|Ce tableau représente un St.-Sébastien percé de flèches. Le Saint paraît souffrir avec beaucoup de résignation ; sa pose est noble, fière, sa tête pleine de vie et d'expression. Ce tableau est généralement d'une très-belle couleur.]] réalisée par Morillos, peintre espagnol, vendue par [[[Durand Duclos]]], achetée par Durand au prix de 41 fl. [85]
  • 1820.12.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de Charles XII, roi de Suède ; il est ajusté d'une cuirasse et d'un manteau royal. Ce portrait est très-ressemblant à tous ceux que l'on connait : en observant sa physionomie on croit voir ce guerrier qui avait en lui de quoi faire trois grands hommes, et qui s'est perdu par sa témérité. (Par un Peintre Suédois)|Portrait de Charles XII, roi de Suède ; il est ajusté d'une cuirasse et d'un manteau royal. Ce portrait est très-ressemblant à tous ceux que l'on connait : en observant sa physionomie on croit voir ce guerrier qui avait en lui de quoi faire trois grands hommes, et qui s'est perdu par sa témérité.]] réalisée par Par un Peintre Suédois, vendue par Durand Duclos au prix de 49 fl. [101]
  • 1820.12.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau a été fait dans les derniers temps de ce maître ; il représente une marine d'une composition très-riche en détails et parfaitement entendue pour les plans ; il est éclairé par un soleil du matin, des figures de pêcheurs enrichissent les premiers plans. (Vernet (Attribué à))|Ce tableau a été fait dans les derniers temps de ce maître ; il représente une marine d'une composition très-riche en détails et parfaitement entendue pour les plans ; il est éclairé par un soleil du matin, des figures de pêcheurs enrichissent les premiers plans.]] réalisée par Vernet (Attribué à), vendue par Durand Duclos, achetée par Mallet au prix de 27.05 [ou] 52.05 fl. [105]
  • 1820.12.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Très-beau paysage éclairé par un soleil couchant ; sur la droite du tableau se trouve une masse de rochers dans le style de Salvator ; la gauche du tableau offre au spectateur une très-belle campagne. Le peintre a pensé que ce paysage convenait à un sujet historique, et il a enrichi son tableau d'un épisode de Bélisaire conduit par un jeune garçon. La réputation de Drolling nous épargne le soin de décrire les qualités de ce tableau. (Drolling)|Très-beau paysage éclairé par un soleil couchant ; sur la droite du tableau se trouve une masse de rochers dans le style de Salvator ; la gauche du tableau offre au spectateur une très-belle campagne. Le peintre a pensé que ce paysage convenait à un sujet historique, et il a enrichi son tableau d'un épisode de Bélisaire conduit par un jeune garçon. La réputation de Drolling nous épargne le soin de décrire les qualités de ce tableau.]] réalisée par Drolling, vendue par Durand Duclos au prix de 160 fl. [108]
  • 1820.12.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau, des plus jolis de ce maître, représente un soleil couchant ; sur la droite on aperçoit un château fort construit sur des rochers ; sur la gauche l'oeil se plaît à parcourir les lointains dans le genre de Claude le Lorrain : les devans sont enrichis par quelques jolies figures de pêcheurs. (Lantara)|Ce tableau, des plus jolis de ce maître, représente un soleil couchant ; sur la droite on aperçoit un château fort construit sur des rochers ; sur la gauche l'oeil se plaît à parcourir les lointains dans le genre de Claude le Lorrain : les devans sont enrichis par quelques jolies figures de pêcheurs.]] réalisée par Lantara, vendue par Durand Duclos au prix de 181.05 fl. [111]
  • 1820.12.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Christ aux Anges. Le Christ élève ses yeux au Ciel ; il va mourir pour les pêcheurs, et déjà les anges recueillent son sang ; composition sublime et digne du Poussin, couleur brillante et vigoureuse, telles sont les qualités qui frappent et séduisent aussitôt ; mais ce beau tableau gagne beaucoup à être analisé. Karel Dujardin resta à Rome depuis 1672 à 1678 ; mort à Venise en 1678. A Rome il s'attacha d'abord à l'histoire sainte, et fit un Crucifix accompagné de plusieurs figures dont les expressions et les lumières étaient surprenantes (c'est celui que nous offfrons au public). Son goût dominant fut cependant pour les bambochades et les scènes pastorales. On parle encore d'un crucifiement de N. S. J.-C., avec un grand nombre de figures bien dessinées et bien coloriées, qui était à Amsterdam dans la famille Kromhaut (actuellement au Musée). Vie des peintres, par Mr d'Argenville. (Dujardin (Karel))|Christ aux Anges. Le Christ élève ses yeux au Ciel ; il va mourir pour les pêcheurs, et déjà les anges recueillent son sang ; composition sublime et digne du Poussin, couleur brillante et vigoureuse, telles sont les qualités qui frappent et séduisent aussitôt ; mais ce beau tableau gagne beaucoup à être analisé. Karel Dujardin resta à Rome depuis 1672 à 1678 ; mort à Venise en 1678. A Rome il s'attacha d'abord à l'histoire sainte, et fit un Crucifix accompagné de plusieurs figures dont les expressions et les lumières étaient surprenantes (c'est celui que nous offfrons au public). Son goût dominant fut cependant pour les bambochades et les scènes pastorales. On parle encore d'un crucifiement de N. S. J.-C., avec un grand nombre de figures bien dessinées et bien coloriées, qui était à Amsterdam dans la famille Kromhaut (actuellement au Musée). Vie des peintres, par Mr d'Argenville.]] réalisée par Dujardin (Karel), vendue par [[[Durand Duclos]]], achetée par Durand au prix de 305 fl. [114]