Ventes d'œuvres le 1824.08.31
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- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue Marine. Sur les dunes est St.-Augustin interrogeant un enfant qui verse de l'eau de mer dans un petit puit, le sujet du mistère et de son application; dans le fond de l'autre côté paroît une grande ville. Tableau frais et d'un coloris agréable (Un Inconnu)|Vue Marine. Sur les dunes est St.-Augustin interrogeant un enfant qui verse de l'eau de mer dans un petit puit, le sujet du mistère et de son application; dans le fond de l'autre côté paroît une grande ville. Tableau frais et d'un coloris agréable]] réalisée par Un Inconnu, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [1]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage et vue d'un passage d'Italie, près les Alpes. Tableau qui offre à la vue un cîte très-imposant; orné de très-jolies figures réalisée par Jacques De Heus, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [2]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue du Rhin, avec quantité de fabriques, vaisseaux sur la rivière et une immensité de montagnes sur différens plans, figures etc. etc.; sur le premier plan sont quelques arbres de haute futaie et un voyageur. Le tout d'un pinceau fier et décidé (Salvator Rosa)|Vue du Rhin, avec quantité de fabriques, vaisseaux sur la rivière et une immensité de montagnes sur différens plans, figures etc. etc.; sur le premier plan sont quelques arbres de haute futaie et un voyageur. Le tout d'un pinceau fier et décidé]] réalisée par Salvator Rosa, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [3]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage en partie touffu, l'autre partie en perspective; sur le devant est représenté le Christ avec quelques-uns de ses Disciples et la femme malade de l'Evangile, laquelle obtenoit guérison en touchant le bord de l'habit du Seigneur réalisée par Adam Elshaimer, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [4]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage d'une fraîche matinée; sur le devant à gauche est une forêt sombre avec de hautes futaies; où une diligence est attaquée par des voleurs. Tableau d'une touche fière et décidée réalisée par Un inconnu, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [5]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Partie de Ville au bord de la mer, avec une tour et un phare élévé; à l'avant-plan sont quelques bateaux qui déchargent leurs marchandises, à droite quelques maisons et un terrain champêtre. Tableau d'une touche fière et hardie, et l'ensemble est une composition ample. Marqué P. VH. 1650 (Paul Verneth)|Partie de Ville au bord de la mer, avec une tour et un phare élévé; à l'avant-plan sont quelques bateaux qui déchargent leurs marchandises, à droite quelques maisons et un terrain champêtre. Tableau d'une touche fière et hardie, et l'ensemble est une composition ample. Marqué P. VH. 1650]] réalisée par Paul Verneth, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [6]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Table avec de la Volaille morte, tels qu'épervier et bécasse, des raisins etc. Très-naturellement rendu réalisée par Pierre Voerschee, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [7]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le mont Parnasse. Sur le sommet du mont est le cheval Pégase, frappant le mont de ses arrière-pieds, de quel endroit sort la source; au bas du mont sont les neuf Muses, dont l'une d'eux (la Peinture) est en conversation familière avec l'héros de la peinture de l'école flamande. Tableau assez nettement composé (P.V.L.)|Le mont Parnasse. Sur le sommet du mont est le cheval Pégase, frappant le mont de ses arrière-pieds, de quel endroit sort la source; au bas du mont sont les neuf Muses, dont l'une d'eux (la Peinture) est en conversation familière avec l'héros de la peinture de l'école flamande. Tableau assez nettement composé]] réalisée par P.V.L., vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [8]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Ste. Vierge tenant son divin Enfant débout sur son giron; S. Joseph est à ses côtés; un Ange présente à l'enfant un plat de raisins. Peint d'un pinceau large, d'un coloris brillant, avec beaucoup de grace et fort approchant des ouvrages de son maître Rubens (Jean Van Hoek)|La Ste. Vierge tenant son divin Enfant débout sur son giron; S. Joseph est à ses côtés; un Ange présente à l'enfant un plat de raisins. Peint d'un pinceau large, d'un coloris brillant, avec beaucoup de grace et fort approchant des ouvrages de son maître Rubens]] réalisée par Jean Van Hoek, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [9]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un jeune Gaillard tenant une flute dans la main; il porte un bonnet de peluche fourré d'hermine, interceptant par ce reflet une partie du visage, ce qui rend un effet charmant. Moelleusement peint avec beaucoup de vérité. Ce Tableau fait honneur à l'auteur (Albert Cuyp)|Un jeune Gaillard tenant une flute dans la main; il porte un bonnet de peluche fourré d'hermine, interceptant par ce reflet une partie du visage, ce qui rend un effet charmant. Moelleusement peint avec beaucoup de vérité. Ce Tableau fait honneur à l'auteur]] réalisée par Albert Cuyp, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [10]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme L'assomption de la Ste.-Vierge, entourée d'une multitude d'Esprits célestes qui l'adorent, derrière elle sont quelques Disciples en extase. Peint d'un pinceau large et fondu réalisée par École Bolonaise, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [11]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait de femme, de même qualités et dimension que le précédent réalisée par Un inconnu, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [12]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'homme. Peint en ovale. Quoique ce portrait soit petit, il n'est pas sans mérites réalisée par Un inconnu, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [13]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait très-naturel et bien peint réalisée par Un inconnu, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [14]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'une jeune demoiselle, occupée à mettre un bouquet de fleurs dans un pot. Largement plissé, moelleusement peint et d'un beau fini réalisée par Charles De Moor, chevalier, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [15]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'un jeune seigneur, tenant une grappe de raisins et autres fruits. Moelleusement peint et très-fini réalisée par Charles De Moor, chevalier, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [16]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Pyrame et Thisbé dans un paysage. Pyrame ayant manqué le rendez-vous à la fontaine de Bachhus, se sacrifie pour son amant. Tableau gai et bien rendu réalisée par Gérard Hoet, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [17]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage entrecoupé d'une mare, qui se perd derrière de hautes futaies; sur le devant est assise Diane, revenant de la chasse, quelques Nymphes de sa suite lui font voir du gibier qu'elles viennent de prendre à la chasse; les feuilles des arbres sont artistement traitées et d'une grande vérité (Paul Bril)|Paysage entrecoupé d'une mare, qui se perd derrière de hautes futaies; sur le devant est assise Diane, revenant de la chasse, quelques Nymphes de sa suite lui font voir du gibier qu'elles viennent de prendre à la chasse; les feuilles des arbres sont artistement traitées et d'une grande vérité]] réalisée par Paul Bril, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [18]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Cavallerie française revenant de la poursuite des ennemis, rangée en ordre de bataille au champ des ennemis, où on est occupé à panser les blessés et à dépouiller les morts; à droite sont plusieurs chevaux liés à des arbres; dans le lointain on découvre une immencité de terrain. Tableau qui fait pendant du précédent, également aussi fraix et des meilleures productions de ce maître. Ils sont tous les deux marqués C.B. pincit. Comme ce peintre ne faisoit guère que de petites pièces sur bois, ceux-ci étant plus grands et sur toile, doivent être plus précieux. Ils sont d'une ordonnance capitale. Ces deux Tableaux ont été peint pour le vieux banquier Hamelinck, et ont été acheté à sa vente mortuaire par le possesseur actuel (Charles Brydel)|La Cavallerie française revenant de la poursuite des ennemis, rangée en ordre de bataille au champ des ennemis, où on est occupé à panser les blessés et à dépouiller les morts; à droite sont plusieurs chevaux liés à des arbres; dans le lointain on découvre une immencité de terrain. Tableau qui fait pendant du précédent, également aussi fraix et des meilleures productions de ce maître. Ils sont tous les deux marqués C.B. pincit. Comme ce peintre ne faisoit guère que de petites pièces sur bois, ceux-ci étant plus grands et sur toile, doivent être plus précieux. Ils sont d'une ordonnance capitale. Ces deux Tableaux ont été peint pour le vieux banquier Hamelinck, et ont été acheté à sa vente mortuaire par le possesseur actuel]] réalisée par Charles Brydel, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [19]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Bataille de Sencenaken, qui se passe dans une grande plaine; la ville de Mayence se voit dans le lointain. Ce Tableau est d'une couleur fraiche et d'une touche fière et grasse, comme s'il venoit d'être peint. Ils sont tous les deux marqués C.B. pincit. Comme ce peintre ne faisoit guère que de petites pièces sur bois, ceux-ci étant plus grands et sur toile, doivent être plus précieux. Ils sont d'une ordonnance capitale. Ces deux Tableaux ont été peint pour le vieux banquier Hamelinck, et ont été acheté à sa vente mortuaire par le possesseur actuel (Charles Brydel)|La Bataille de Sencenaken, qui se passe dans une grande plaine; la ville de Mayence se voit dans le lointain. Ce Tableau est d'une couleur fraiche et d'une touche fière et grasse, comme s'il venoit d'être peint. Ils sont tous les deux marqués C.B. pincit. Comme ce peintre ne faisoit guère que de petites pièces sur bois, ceux-ci étant plus grands et sur toile, doivent être plus précieux. Ils sont d'une ordonnance capitale. Ces deux Tableaux ont été peint pour le vieux banquier Hamelinck, et ont été acheté à sa vente mortuaire par le possesseur actuel]] réalisée par Charles Brydel, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [20]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'annonciation de la Ste.-Vierge, qui est assise à une table, couverte d'un tapis, sur laquelle est un pupitre avec un livre ouvert et un bouquet de roses, de tulipes, d'anemoines et autres fleurs; la Ste.-Vierge paroît se soumettre aux volontés qu'en lui annonce. Composition bien conçue, d'un pinceau moelleux et très-caractérisé (Frankaert)|L'annonciation de la Ste.-Vierge, qui est assise à une table, couverte d'un tapis, sur laquelle est un pupitre avec un livre ouvert et un bouquet de roses, de tulipes, d'anemoines et autres fleurs; la Ste.-Vierge paroît se soumettre aux volontés qu'en lui annonce. Composition bien conçue, d'un pinceau moelleux et très-caractérisé]] réalisée par Frankaert, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [21]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Sainte Famille, la Ste.-Vierge tenant son divin Enfant, qui tient une pomme d'un pannier qu'un Ange lui présente, un autre Ange joue de la mandoline. Fond paysage de Breugel réalisée par Sébastien Franck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [22]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'une Vieille, coiffée d'un turban, tenant des lunettes à la main. De même qualité et dimension que le précédent réalisée par Constantin Netscher, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [23]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'un Vieillard, posant la main droite sur un livre, montrant du doigt de la main gauche le symbole qu'il contient. Peint d'un pinceau moelleux et avec beucoup de vérité réalisée par Constantin Netscher, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [24]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Clair-de-lune sur une plage de mer; des pêcheurs vendent leurs poissons; quelques nacelles et une partie de ville se voyent dans le lointain. Jolie pièce, rendue avec beaucoup de vérité réalisée par Eglon Van Der Neer, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [25]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Intérieur. Une femme allaite son enfant, tandis que le mari paroît gronder la servante qui fait l'office; d'autres enfans et ustensiles de ménage forment de ce tableau une composition abondante, dans la manière de son maître Ostade (Corneille Bega)|Un Intérieur. Une femme allaite son enfant, tandis que le mari paroît gronder la servante qui fait l'office; d'autres enfans et ustensiles de ménage forment de ce tableau une composition abondante, dans la manière de son maître Ostade]] réalisée par Corneille Bega, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [26]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Choc de Cavaliers; dans le fond est une forteresse. C'est un bijou et une des meilleures productions de ce maître réalisée par Charles Breydel, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [27]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Les Vierges sages, qui font l'objet de la parabole du Seigneur. Tableau d'une composition ingénieuse, d'un grand fini et d'un mérite peu commun réalisée par Otto Venius, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [28]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Une Adoration des Bergers dans l'étable de Bethléhem. Tableau d'une belle ordonnance, d'une correction de dessin et d'une expression admirable. Bon tableau de ce maître réalisée par Sébastien Bourdon, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [29]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Les attributs de la Passion, contemplés par deux Anges en pleurs, en haut est une groupe d'Anges, portant la Croix en triomphe. Exécuté d'une vérité admirable réalisée par Pierre Van Den Avont, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [30]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'abondance, représentée par une belle femme, sur un plan réculé à droit est Eve sous l'arbre de la science du bien et du mal; à gauche est le Seigneur multipliant les pains; quantité d'autres accessoires relatifs au sujet remplissent ce bijou, qui est d'une exécution très-finie et des meilleures productions de ces fameux maîtres (Breugel)|L'abondance, représentée par une belle femme, sur un plan réculé à droit est Eve sous l'arbre de la science du bien et du mal; à gauche est le Seigneur multipliant les pains; quantité d'autres accessoires relatifs au sujet remplissent ce bijou, qui est d'une exécution très-finie et des meilleures productions de ces fameux maîtres]] réalisée par Breugel, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [31]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Port de mer d'Italie, avec vaisseaux et barques, remplies de figures; sur le devant sont de très-belles figures, et plus avant un grand nombre d'autres etc. etc. Tableau d'un ton chaud, gai et très-fini réalisée par Jean Lingelback, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [32]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme La Ste.-Vierge aux nuës, tenant son divin Enfant debout, trois Anges soutiennent les nues réalisée par École Italienne, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [33]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme La Ste.-Vierge levant un couvert léger pour montrer son Enfant à Ste-Elisabeth. C'est le pendant du no. 151 ci-dessus réalisée par Jérome Franck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [34]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Petit Portrait de Femme réalisée par Un inconnu, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [35]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Saint Christophle portant l'Enfant divin sur un globe; un hermite l'éclaire. Bon Tableau réalisée par Jérome Franck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [36]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Une dame qui donne du bonbon à son perroquet; un garçon est derrière elle, tenant un vers dans la main. Tableau vigoureusement peint, d'une touche grasse et spirituelle réalisée par D. Van Der Sluys, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [37]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Une femme asssise sur un privé, une autre se bouche le nez réalisée par Adrien Ostade, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [38]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Des Hommes qui se battent réalisée par Isaac Ostade, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [39]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Pendant du précédent, du même effet et de même dimension réalisée par Un inconnu, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [40]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage peint d'un pinceau large et d'un ton agréable réalisée par Un inconnu, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [41]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Deux Paysages réalisée par Jean Breugel, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [42]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage d'un ton gai et d'une touche spirituelle, sur le devant est une groupe de beaux arbres légèrement feuilletés; orné de très-jolies figures et de plans réculés, entre lesquels sort une rivière avec bateau, ainsi qu'un pont réalisée par Baut, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [43]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage touffu. A l'écart se réfuge une bande de voleurs de grand chemin; les figures ainsi que les arbres sont de la plus parfaite correction réalisée par Jean Breugel, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [44]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Un amas de Fruits de différentes espèces, tels que pêches, mélons, annanas, etc. etc., quelques grappes de raisins pendent à un arbre. Le tout largement peint réalisée par Jooris Van Son, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [45]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Une table remplie de Fruits, tels que pêches, raisins etc. réalisée par D. De Heem, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [46]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Une jeune Flore assise sous un arbre vert, offrant un bouquet de fleurs à un berger qui lui approche d'un air soumis: dans le fond est un clocher de paroisse. Peint d'un pinceau mâle réalisée par Benjamin Cuyp, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [47]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Loth et ses Filles étant sortis de Sodôme réalisée par D'après Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [48]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Une Conversation entre une assemblée d'hommes et de femmes galantes. Ce tableau approche en quelque sorte aux perfections de l'original, qui est sans contredit un des bons ouvrages de ce maître en ce genre réalisée par D'après Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [49]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Attaque d'un Fort, commandé par le général Malborough; le général est à cheval au premier plan, tandis que ses troupes sont sur des plans éloignés et dans la fumée du canon réalisée par Verschuering, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [50]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Madelaine dans une grotte solitaire, méditant sur la Croix du Seigneur, qu'une troupe d'Anges portent en l'air; quelques rayons célestes environnent la Sainte; elle est à génoux devant un crucifix, à ses pieds est la nourriture qu'elle mangeoit dans sa retraite, sur le devant sont deux lapins. Tableau d'une noble et ingénieuse composition, et qui désigne les idées sublimes de l'auteur (D'après Rubens)|La Madelaine dans une grotte solitaire, méditant sur la Croix du Seigneur, qu'une troupe d'Anges portent en l'air; quelques rayons célestes environnent la Sainte; elle est à génoux devant un crucifix, à ses pieds est la nourriture qu'elle mangeoit dans sa retraite, sur le devant sont deux lapins. Tableau d'une noble et ingénieuse composition, et qui désigne les idées sublimes de l'auteur]] réalisée par D'après Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [51]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Conversation autour d'une table couverte, de la famille et de quelques disciples de son école, tous portraits, que Rubens peignoit ordinairement dans ses compositions de conversation en petit réalisée par D'après Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [52]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Jardin d'amour, en petit, d'après le grand tableau qui en existe réalisée par D'après Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [53]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Pendant du précédent, et de même dimension et perfection réalisée par Larebeke, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [54]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Hameau et terrain brouissailleux, à basse vue, orné sur le devant d'une femme qui trait une vache, deux autres vaches sont couchées. Tableau d'un ton clair et gai, d'un pinceau mou et décidé, et une des meilleures productions de ce peintre réalisée par Larebeke, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [55]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Une Nôce champêtre, où quantité de paysans et paysannes (dit Polder-boeren) se divertissent; les mariés dansent, tandis que d'autres sont à table et font l'amour. Bon tableau, dans la manière de composer de Teniers réalisée par Mense Molenaer, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [56]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Concours ou Pélérinage vers Notre-Dame d'Alsemberge, à quelques lieues de Bruxelles, qui se fait en certain tems de l'année. Une multitude de monde avec des chariots, à cheval et à pied, montent et descendent les montagnes; le cîte est paysage montagneux, garni de beaux arbres. Peint d'un pinceau ferme et décidé (Jean Breugel)|Concours ou Pélérinage vers Notre-Dame d'Alsemberge, à quelques lieues de Bruxelles, qui se fait en certain tems de l'année. Une multitude de monde avec des chariots, à cheval et à pied, montent et descendent les montagnes; le cîte est paysage montagneux, garni de beaux arbres. Peint d'un pinceau ferme et décidé]] réalisée par Jean Breugel, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [57]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Vue pastorale et des Beigneurs. Délicatement peint réalisée par Charles Du Jardin, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [58]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montagneux dans une fraîche matinée, sur le devant sont quelques figures sur un terrain brouissailleux, avec une étoupe d'arbres, plus avant une rivière coulant entre les montagnes et quelques tours. Tableau chaud, bien conçu et du bon tems de ce maître (Jacob Ruysdael)|Paysage montagneux dans une fraîche matinée, sur le devant sont quelques figures sur un terrain brouissailleux, avec une étoupe d'arbres, plus avant une rivière coulant entre les montagnes et quelques tours. Tableau chaud, bien conçu et du bon tems de ce maître]] réalisée par Jacob Ruysdael, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [59]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Deux Aumôniers distribuant du pain à des indigens. Tableau d'un rare mérite, d'un pinceau mou et décidé, et d'une vérité peu commune réalisée par Gonsale, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [60]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Mer calme. Pièce très-jolie réalisée par Guillaume Van De Velde, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [61]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Un homme caressant une jeune femme dans un appartement meublé, avec d'autres figures et accessoires réalisée par Corneille Dusart, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [62]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait du chanoine Potter. La figure est débout, entouré de tous les attributs y relatifs, tels que tableaux, statues, livres, estampes etc., dont ledit chanoine étoit amateur. Peint à Rome, d'un pinceau large, vigoureux et vrai réalisée par Carlo Daubrun, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [63]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Pendant du Tableau précédent réalisée par Adam Elshaimer, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [64]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage avec Figures réalisée par Adam Elshaimer, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [65]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Attaque ou Bataille très-opiniâtre entre cavallerie et infanterie réalisée par Bourguignon, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [66]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Deux jeunes Seigneurs dans une niche, cherchant à ratrapper leurs oiseaux qui se sont échappés dans les chèvres-feuilles d'alentour réalisée par D'après Meiris, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [67]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Venus et Adonis dans un Paysage, avec accessoires. Vigoureusement peint réalisée par D'après Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [68]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Tabagie réalisée par Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [69]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'une Côte maritime réalisée par Jan Van Goyen, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [70]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Deux Personnes; homme et femme, faisant l'amour réalisée par Christophe Van Der Laenen, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [71]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Un Hiver réalisée par Herseque, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [72]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Bambochade réalisée par Pierre Van Laer, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [73]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage avec Figures. Dans la manière de Teniers réalisée par Donkers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [74]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Pendant du Tableau précédent réalisée par Adam Elshaimer, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [75]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage avec Figures réalisée par Adam Elshaimer, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [76]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Le Martyre de St. Laurent. Vigoureusement peint, d'une touche spirituelle et vraie réalisée par Corneille Schut, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [77]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage pastoral. Délicatement peint réalisée par Dirck Van Den Bergen ou dans sa manière, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [78]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Un Christ en Croix entre les deux larrons. Pièce très-pathétique réalisée par A. Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [79]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Le Christ en Croix. Petite pièce, mais d'un vrai mérite réalisée par A. Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [80]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Une Foire d'Italie, où des marchands se rafraîchissent devant des pavillons, avec beaucoup d'accessoires. Vigoureusement peint réalisée par Henri Mommers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [81]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Bataille terrible devant une défense de pont. Supérieurement peint réalisée par Palamedes Stevens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [82]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Un Monsieur jouant du violon dans son appartement avec accessoires. Bien peint réalisée par Henri Limbourg, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [83]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme L'adoration des Bergers. Chaudement peint réalisée par Sébastien Bourdon, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [84]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage et vue d'une Métairie. Une couleur excellente et une belle exécution rendent ce tableau précieux réalisée par Nicolas Molenaer, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [85]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Des Bohémiens au devant d'un faubourg, occupés de différentes actions, dont une femme qui allaite son enfant. Largement peint, d'une belle touche et bon tableau de ce maître réalisée par Thomas Wyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [86]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage montagneux avec figures de Teniers. Une couleur chaude et des touches ingénieuses rendent ce tableau très-piquant réalisée par Glauber, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [87]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Ruine traitée d'une manière pittoresque est d'une belle touche réalisée par Van Der Hulst, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [88]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Une famille célébrant la fête des Rois dans un appartement. Pièce gaie, délicatement peinte et finie réalisée par Adrien Ostade, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [89]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. Sur le devant est une partie de bruyère des environs de Breda; sur une élévation plantée de gros arbres est un gardien, réposant sur un bâton et couvert d'un chapeau de Frise, qui garde un troupeau de bestiaux, tels que vaches, boeufs, moutons et chèvres, une des chèvres pisse, un bouc et une vache sont couchés. Le tout forme un ensemble digne de ce maître rénommé (Paul Potter)|Paysage. Sur le devant est une partie de bruyère des environs de Breda; sur une élévation plantée de gros arbres est un gardien, réposant sur un bâton et couvert d'un chapeau de Frise, qui garde un troupeau de bestiaux, tels que vaches, boeufs, moutons et chèvres, une des chèvres pisse, un bouc et une vache sont couchés. Le tout forme un ensemble digne de ce maître rénommé]] réalisée par Paul Potter, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [90]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Saint Pierre en douleur, ayant les mains jointes; expression sublime; singulièrement plissé. Peint d'un stile grandiose réalisée par André Del Sarto, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [91]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'une sainte Colombe, regardant vers les Cieux, elle a les deux mains croisées sur sa poitrine. Vigoureusement peint réalisée par Claude Reni, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [92]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage, plage ou port d'Italie, avec un haut phare et vaisseaux qui déchargent leurs marchandises et ballots; les figures sont en grande occupation; l'air chaud réalisée par Van Der Kabel, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [93]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue du Rhin. On découvre dans le lointain un pays montagneux et vers la rivière différentes fabriques; le devant est une terrasse sablonneuse qui se perd derrière un pont; sur le rivage se voit un quai et beaucoup d'autres accessoires; le tout orné de figures, barque etc. Pièce capitale (Albert Kuyp)|Vue du Rhin. On découvre dans le lointain un pays montagneux et vers la rivière différentes fabriques; le devant est une terrasse sablonneuse qui se perd derrière un pont; sur le rivage se voit un quai et beaucoup d'autres accessoires; le tout orné de figures, barque etc. Pièce capitale]] réalisée par Albert Kuyp, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [94]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage et vue du Faubourg ou Rempart d'une ville, qui se découvre en partie par un moulin à vent, avec un pont et une allée d'arbres, dans laquelle on découvre quelques figures; au devant est un chemin montant et sablonneux, avec quelques figures à pied et à cheval, qui se perd derrière des verdures et grands arbres; les figures sont d'Adrien van de Velde. Le tout est traité avec grand stile, et en général une bonne pièce de maître (Mynder Hobema)|Paysage et vue du Faubourg ou Rempart d'une ville, qui se découvre en partie par un moulin à vent, avec un pont et une allée d'arbres, dans laquelle on découvre quelques figures; au devant est un chemin montant et sablonneux, avec quelques figures à pied et à cheval, qui se perd derrière des verdures et grands arbres; les figures sont d'Adrien van de Velde. Le tout est traité avec grand stile, et en général une bonne pièce de maître]] réalisée par Mynder Hobema, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [95]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme La Nôce de Cana en Gallilée. Riche composition réalisée par Jérome Franck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [96]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage et figures représentant St.-Jan baptisant notre Seigneur dans le Jourdain, accompagné de deux Anges réalisée par Adam Elshaimer, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [97]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Joseph emprisonné en Egypte, expliquant les songes du boulanger et de l'échanson, avec ses accessoires. Tableau dans la manière de son maître Rembrant réalisée par Gerbrant Van den Eeckhaut, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [98]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Un Chimiste dans son laboratoire, avec quantité d'objets apprêtés et autres accessoires. Tableau assez unique et qui a bien des mérites réalisée par Gerard Dauw, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [99]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Carton de Fleurs, entrelassés de fruits, d'une singulière beauté. Corneille Schut a peint dans le médaillon un St.-Charles Borromée, tenant en main un crucifix réalisée par Daniel Zegers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [100]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Porpre Portrait du peintre, occupé à peindre, ayant en mains palette et pinceaux; noblement traité réalisée par Adrien Van Der Werf, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [101]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Chasse au Cerf dans un paysage montagneux. Riche composition et une des pièces capitales de ce maître, contenant cinq chevaux au premier plan et plusieurs autres sur des plans éloignés, avec une multitude d'accessoires. Il paroît que c'est un des tableaux qui ont été peints pour Mr. de Witt, marchand de tableaux, puisqu'il est étonnant qu'un pièce aussi capitale n'est pas signée. Ce tableau a été en considération et connu depuis plus de cent ans dans une famille noble de Gand, de laquelle le possesseur actuel a toujours désiré l'acheter, mais il n'a pu se le procurer qu'après le décès du dernier possesseur (Philippe Wauwermans)|Chasse au Cerf dans un paysage montagneux. Riche composition et une des pièces capitales de ce maître, contenant cinq chevaux au premier plan et plusieurs autres sur des plans éloignés, avec une multitude d'accessoires. Il paroît que c'est un des tableaux qui ont été peints pour Mr. de Witt, marchand de tableaux, puisqu'il est étonnant qu'un pièce aussi capitale n'est pas signée. Ce tableau a été en considération et connu depuis plus de cent ans dans une famille noble de Gand, de laquelle le possesseur actuel a toujours désiré l'acheter, mais il n'a pu se le procurer qu'après le décès du dernier possesseur]] réalisée par Philippe Wauwermans, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [102]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Un Pape en méditation devant un crucifix; il paroît être ému de quelques catastrophes de l'Eglise. Peint grandiosement réalisée par Paul Veronese, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [103]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Vue Marine avec le port et la ville de Negapatnam dans les Indes. Tableau peint à vue d'oiseau, tout-à-fait unique. Bois d'acajou d'une pièce réalisée par Corneille Vroom, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [104]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Saint Joseph élevé au Ciel, entouré d'Esprits célestes réalisée par Corneille Schut, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [105]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Un Hiver avec quantité de petites figres, traineaux etc. sur la glace; sur l'avant-plan sont quelques autres figures réalisée par Jacques Ruysdael, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [106]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Christ après sa Résurrection, corrigeant Thomas de ses incrédulités, en lui faisant mettre les doigts dans ses plaies en présence de quelques Disciples; le Christ est plus que de demi-figure naturelle; les draperies sont très-largement plissées et l'expression est conforme au sujet (Salvater Rosa)|Le Christ après sa Résurrection, corrigeant Thomas de ses incrédulités, en lui faisant mettre les doigts dans ses plaies en présence de quelques Disciples; le Christ est plus que de demi-figure naturelle; les draperies sont très-largement plissées et l'expression est conforme au sujet]] réalisée par Salvater Rosa, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [107]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Diane surprise au bain; au premier plan sont des Nymphes devant un mont sombre, leurs chiens et beaucoup de gibier mort. Tableau assez capital et du beau de ce maître réalisée par Corneille Poelenbourg, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [108]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Fable poëtique chantée par Virgile, où il se plaint de la chute d'Adonis, montrant à Vénus, qui descend des nues, ses restes mortelles réalisée par Nicolas Poussin, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [109]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage clair, quoiqu'en partie boisé; sur le premier plan est une vache chassant une autre; plus avant sont quelques autres figures, vaches, etc.; à gauche coule une rivière entre des arbrisseaux réalisée par Pynacker, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [110]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Bataille de Cavaliers; sur le devant sont quelques blessés. Pièce la plus capitale, la mieux conservée et la plus finie qu'on ait jamais rencontrée de cet artiste, sublime dans ce genre réalisée par Palamede, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [111]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Devant un monument d'arcade est le Christ entouré, de ses Disciples, qui renvoie estropié le faux estropié envoyé par les pharisées juifs pour demander au Christ sa guérison et pour tromper ainsi le Seigneur en lui imputant de faux miracles; une foule d'autres juifs paroissent attentifs à l'action, parmi lesquels sont quelques pharisées. Tableau assez imposant, (Richard Van Orley)|Devant un monument d'arcade est le Christ entouré, de ses Disciples, qui renvoie estropié le faux estropié envoyé par les pharisées juifs pour demander au Christ sa guérison et pour tromper ainsi le Seigneur en lui imputant de faux miracles; une foule d'autres juifs paroissent attentifs à l'action, parmi lesquels sont quelques pharisées. Tableau assez imposant,]] réalisée par Richard Van Orley, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [112]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue locale d'une Brasserie, reconnaissable aux apprêts des tonneaux, épuisoir etc. etc., entourée d'arbres, sur le devant sont deux femmes qui font le lessive et quelques autres figures, des cuves, chaudrons, plats d'étain, un chien, mouton et autres accessoires. Tableau reconnu par ses attraits, graces, vérités et simplicité (Adrien Ostade)|Vue locale d'une Brasserie, reconnaissable aux apprêts des tonneaux, épuisoir etc. etc., entourée d'arbres, sur le devant sont deux femmes qui font le lessive et quelques autres figures, des cuves, chaudrons, plats d'étain, un chien, mouton et autres accessoires. Tableau reconnu par ses attraits, graces, vérités et simplicité]] réalisée par Adrien Ostade, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [113]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage ouvert et vue de la Bruyère de Lyons en France, orné d'une diligence remplie de voyageurs et attelée de trois chevaux, descendant les montagneuses bruyères; la diligence paroît être suivie de deux vagabonds à cheval; sur le devant est encore un voiturier avec sa charette chargée, attelée d'un cheval blanc; dans le fond est un village et quelques petites figures. Bonne pièce de ces deux peintres (Momper)|Paysage ouvert et vue de la Bruyère de Lyons en France, orné d'une diligence remplie de voyageurs et attelée de trois chevaux, descendant les montagneuses bruyères; la diligence paroît être suivie de deux vagabonds à cheval; sur le devant est encore un voiturier avec sa charette chargée, attelée d'un cheval blanc; dans le fond est un village et quelques petites figures. Bonne pièce de ces deux peintres]] réalisée par Momper, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [114]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur un fond grisâtre et boisé se trouvent trois enfans savoyards, frères et soeur, dont le plus avancé est une fille avec un panier rempli de raisins et autres fruits à laquelle un quatrième garçon mendiant vient demander avec un air gratieux une grappe de raisins, qu'elle paroît lui accorder avec une mine compatissante, un des frères paroit lui dire donnez à ce pauvre une grappe. La phisionomie de chaque enfant est si naturelle et si vraie, qu'on croit les entendre parler de bouche et de coeur. Peint d'une manière tout-a-fait propre et conforme à l'histoire reconnue de ce fameux peintre (Sebastiaen Morillo)|Sur un fond grisâtre et boisé se trouvent trois enfans savoyards, frères et soeur, dont le plus avancé est une fille avec un panier rempli de raisins et autres fruits à laquelle un quatrième garçon mendiant vient demander avec un air gratieux une grappe de raisins, qu'elle paroît lui accorder avec une mine compatissante, un des frères paroit lui dire donnez à ce pauvre une grappe. La phisionomie de chaque enfant est si naturelle et si vraie, qu'on croit les entendre parler de bouche et de coeur. Peint d'une manière tout-a-fait propre et conforme à l'histoire reconnue de ce fameux peintre]] réalisée par Sebastiaen Morillo, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [115]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Sainte Cécile touchant la mandoline; à côté d'elle se voit en partie son épinette, son manteau est à plis très-larges, un chien dort à ses pieds. Elle est posée devant un fond obscur à colonnes réalisée par Gerard Lairesse, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [116]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La tentation de Job, composée de trois figures. Job est assis sur un fumier appuyé sur un genou, le regard tourné vers le ciel, dans un état très-pitoyable, il est à demi couvert d'un manteau rouge, derrière lui est sa femme semblant lui faire des reproches, et Satan, à figure humaine monstrueuse, lui tient de l'une main la barbe et dans l'autre quelques serpents. Figures de grandeur naturelle, pinceau large, fier et moelleux, et la carnation très-vraie (Lucas Jordaens)|La tentation de Job, composée de trois figures. Job est assis sur un fumier appuyé sur un genou, le regard tourné vers le ciel, dans un état très-pitoyable, il est à demi couvert d'un manteau rouge, derrière lui est sa femme semblant lui faire des reproches, et Satan, à figure humaine monstrueuse, lui tient de l'une main la barbe et dans l'autre quelques serpents. Figures de grandeur naturelle, pinceau large, fier et moelleux, et la carnation très-vraie]] réalisée par Lucas Jordaens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [117]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des Ruines aux environs et faubourg de Rome, et vue sur quelques places publiques, avec des voyageurs des deux sexes à pied et montés sur des mulets, chargés de marchandises, derrière les ruines sont quelques arbrisseaux et dans le lointain des montagnes; sur le devant se voient encore quelques débris de batimens à collonades. Composition riche et ingénieuse, bien dessinée, legèrement peinte et colloriée (Charles Dujardin)|Des Ruines aux environs et faubourg de Rome, et vue sur quelques places publiques, avec des voyageurs des deux sexes à pied et montés sur des mulets, chargés de marchandises, derrière les ruines sont quelques arbrisseaux et dans le lointain des montagnes; sur le devant se voient encore quelques débris de batimens à collonades. Composition riche et ingénieuse, bien dessinée, legèrement peinte et colloriée]] réalisée par Charles Dujardin, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [118]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Hiver, d'un détail presqu'infini, sur un plan avancé est une paroisse avec une abbaye et beaucoup de maisons, qui paroît être celle d'Eenaeme près d'Audenaerde, avec une perspective ou point de vue; le devant est un terrain aride avec de grands arbres, par opposition au reste, qui est tout clair; il est orné d'un chasseur avec ses chiens, de voyageurs à pied et à cheval, et d'une voiture attelée de trois chevaux; le tout au plus naturel (Herseque)|Un Hiver, d'un détail presqu'infini, sur un plan avancé est une paroisse avec une abbaye et beaucoup de maisons, qui paroît être celle d'Eenaeme près d'Audenaerde, avec une perspective ou point de vue; le devant est un terrain aride avec de grands arbres, par opposition au reste, qui est tout clair; il est orné d'un chasseur avec ses chiens, de voyageurs à pied et à cheval, et d'une voiture attelée de trois chevaux; le tout au plus naturel]] réalisée par Herseque, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [119]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Un chasseur dans un paysage, sonnant de la corne; un autre chasseur revenant à cheval avec un cerf, des chiens etc. etc. derrière lui. Bon tableau de ce maître réalisée par Abraham Hondius, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [120]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Famille paysanne au tour d'une table, disant la bénédicité, près d'eux est un enfant au berceau avec un chat; dans le coin est un tas de légumes, une brouette et autres ustensiles de ménage. Tableau d'une fonte de couleurs admirable et d'une grande vérité (Van Herp)|Famille paysanne au tour d'une table, disant la bénédicité, près d'eux est un enfant au berceau avec un chat; dans le coin est un tas de légumes, une brouette et autres ustensiles de ménage. Tableau d'une fonte de couleurs admirable et d'une grande vérité]] réalisée par Van Herp, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [121]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Petite Eglise catholique, ornée d'une quantité de belles figures, de tableaux, statues etc. etc. Les figures sont de Gremmer. Bonne petite pièce réalisée par Gremmer, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [122]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Sainte Agnès tenant la palme de sa victoire, elle est assise près d'un agneau, son attribut. Peint d'un pinceau large et vigoureux avec bien de grace et verité réalisée par Le Guide, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [123]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Attalante poursuivant le Sanglier, assisté de Méleagre et d'autres assistans, dont un est terrassé et mortellement blessé, ainsi qu'un chien, plusieurs autres chiens poursuivent le Sanglier, un des combattans sonne de la trompe. Paysage partie boisé. Bon tableau (Simon Floquet)|Attalante poursuivant le Sanglier, assisté de Méleagre et d'autres assistans, dont un est terrassé et mortellement blessé, ainsi qu'un chien, plusieurs autres chiens poursuivent le Sanglier, un des combattans sonne de la trompe. Paysage partie boisé. Bon tableau]] réalisée par Simon Floquet, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [124]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Notre Seigneur entre les deux larrons; à droite sur le devant est la garde à cheval, à gauche les bourreaux jouant aux déz, un peu plus loin sont la S. Marie et S. Jean. Tableau bien expressif, bien groupé, bien peint et d'une riche composition (Sebastien Franck)|Notre Seigneur entre les deux larrons; à droite sur le devant est la garde à cheval, à gauche les bourreaux jouant aux déz, un peu plus loin sont la S. Marie et S. Jean. Tableau bien expressif, bien groupé, bien peint et d'une riche composition]] réalisée par Sebastien Franck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [125]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un Clocher d'Eglise et Village; sur une plaine bien ouverte est un drôle, monté sur une chaise, chantant et vendant des chansons, entouré d'une quantité d'auditeurs; on voit parci-parlà d'autres figures en toutes sortes d'actions; le lieu paroît une place de divertissement. Tableau dans la manière de Teniers, qui a plusieurs fois passé pour tel et dont il a bien les mérites (Droogsloot)|Vue d'un Clocher d'Eglise et Village; sur une plaine bien ouverte est un drôle, monté sur une chaise, chantant et vendant des chansons, entouré d'une quantité d'auditeurs; on voit parci-parlà d'autres figures en toutes sortes d'actions; le lieu paroît une place de divertissement. Tableau dans la manière de Teniers, qui a plusieurs fois passé pour tel et dont il a bien les mérites]] réalisée par Droogsloot, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [126]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'antre de Vulcain, lequel est assis à bras croisés auprès de quelques cuirasses, quand Tétis vient lui ordonner de forger des armes pour se venger de l'affront qu'elle vient d'essuyer, montrant du doigt l'adultère de Jupiter et Sémélé, plus loin sont les Cyclopes en action (Ernest Ditrichi)|L'antre de Vulcain, lequel est assis à bras croisés auprès de quelques cuirasses, quand Tétis vient lui ordonner de forger des armes pour se venger de l'affront qu'elle vient d'essuyer, montrant du doigt l'adultère de Jupiter et Sémélé, plus loin sont les Cyclopes en action]] réalisée par Ernest Ditrichi, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [127]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Madelaine pleurante, regardant en haut vers quelques rayons de lumière, tenant un crucifix de la main droite et la gauche sur sa poitrine, devant elle est une tête de mort et un livre ouvert. Les draperies sont artistement plissées, son regard et noblement conçu et délicatement peint (Cleef, surnommé Zotte Cleef)|La Madelaine pleurante, regardant en haut vers quelques rayons de lumière, tenant un crucifix de la main droite et la gauche sur sa poitrine, devant elle est une tête de mort et un livre ouvert. Les draperies sont artistement plissées, son regard et noblement conçu et délicatement peint]] réalisée par Cleef, surnommé Zotte Cleef, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [128]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Un original tenant un morceau de glace dont il paroît s'avoir être blessé le doigt réalisée par Joseph Crasbeek, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [129]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Madelaine regardant au ciel; elle tient d'une main ses cheveux sur la poitrine; devant et à côté d'elle est une tête de mort, un livre ouvert et son ampoule; elle est jusqu'aux génoux et de grandeur naturelle. Tableau d'un effet bien frappant (Jacomo Corregio)|La Madelaine regardant au ciel; elle tient d'une main ses cheveux sur la poitrine; devant et à côté d'elle est une tête de mort, un livre ouvert et son ampoule; elle est jusqu'aux génoux et de grandeur naturelle. Tableau d'un effet bien frappant]] réalisée par Jacomo Corregio, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [130]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge au lapin blanc. La Vierge est assise se réposant et tenant son Enfant endormi sur son giron; au-dessus de l'Enfant est un Ange qui l'admire à côté le lapin qui fait de même. C'est un morceau d'une grande finesse et perfection, et peut passer pour une esquisse terminée du grand tableau. L'estampe, gravée par Buydle, y est jointe (Antonio Corregio)|La Vierge au lapin blanc. La Vierge est assise se réposant et tenant son Enfant endormi sur son giron; au-dessus de l'Enfant est un Ange qui l'admire à côté le lapin qui fait de même. C'est un morceau d'une grande finesse et perfection, et peut passer pour une esquisse terminée du grand tableau. L'estampe, gravée par Buydle, y est jointe]] réalisée par Antonio Corregio, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [131]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les frères de Joseph surpris de l'ordre de mettre un goblet d'or dans le sac de Benjamin et de les laisser partir, tandis que Joseph les faisoit suivre. C'est justement le moment de leur confusion que le peintre a voulu représenter; c'est une riche composition, prise au sortir de l'Egypte, devant un rocher escarpé et percé, ce qui est d'un bon effet au tableau, qui a beaucoup de chaleur et de vérité. Peint dans la manière de son maître Rembrand (Salmon De Bray)|Les frères de Joseph surpris de l'ordre de mettre un goblet d'or dans le sac de Benjamin et de les laisser partir, tandis que Joseph les faisoit suivre. C'est justement le moment de leur confusion que le peintre a voulu représenter; c'est une riche composition, prise au sortir de l'Egypte, devant un rocher escarpé et percé, ce qui est d'un bon effet au tableau, qui a beaucoup de chaleur et de vérité. Peint dans la manière de son maître Rembrand]] réalisée par Salmon De Bray, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [132]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Bordel. Autour d'une table sont assis des gaillards avec des femmes dans des actions peu décentes. Tableau peint d'un grand stile réalisée par Brackenbourg, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [133]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage Judaîque avec une grande cabane; sur le permier plan est un pâtre assis, gardant ses chèvres, des plantes et des broussailles; au deuxième plan une femme nettoyant un chaudron et quelques autres ustensiles; plus éloigné Tobie conduit par l'Ange, précédé de son chien. Tableau clair et très-agréable (Abraham Blommaert)|Paysage Judaîque avec une grande cabane; sur le permier plan est un pâtre assis, gardant ses chèvres, des plantes et des broussailles; au deuxième plan une femme nettoyant un chaudron et quelques autres ustensiles; plus éloigné Tobie conduit par l'Ange, précédé de son chien. Tableau clair et très-agréable]] réalisée par Abraham Blommaert, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [134]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme L'étable de Bethléhem ou l'adoration des Bergers. Composition de sept figures avec accessoires. Tableau d'un pinceau moelleux réalisée par Jacques Bassan, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [135]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montagneux et très-chaud, de part et d'autre sont de grands arbres, une femme passe à pieds nus un courant d'eau, elle conduit un mulet chargé, un chien passe également le courant pour gagner un chemin qui se perd derrière les montagnes, par où une autre femme descend également, monté sur un mulet, accompagné d'un garçon et d'un pâtre conduisant un troupeau de moutons et chèvres etc. etc. Les figures et bestiaux sont de Berchem. Tableau capital (Jean Both)|Paysage montagneux et très-chaud, de part et d'autre sont de grands arbres, une femme passe à pieds nus un courant d'eau, elle conduit un mulet chargé, un chien passe également le courant pour gagner un chemin qui se perd derrière les montagnes, par où une autre femme descend également, monté sur un mulet, accompagné d'un garçon et d'un pâtre conduisant un troupeau de moutons et chèvres etc. etc. Les figures et bestiaux sont de Berchem. Tableau capital]] réalisée par Jean Both, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [136]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau connu sous le proverbe flamand: Zoo d'oude zongen zoo piepen de jonge (comme les vieux chantent se meuvent les jeunes). Riche composition; les hommes, les femmes, les enfans et les vieillards ont chaqu'un leur vrai caractère conforme au proverbe; c'est une pièce imposante et très-commique (Jacques Jordaens)|Tableau connu sous le proverbe flamand: Zoo d'oude zongen zoo piepen de jonge (comme les vieux chantent se meuvent les jeunes). Riche composition; les hommes, les femmes, les enfans et les vieillards ont chaqu'un leur vrai caractère conforme au proverbe; c'est une pièce imposante et très-commique]] réalisée par Jacques Jordaens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [137]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Foire italienne. Sur une place publique, devant des ruines est une foule de monde de différentes nations, tant hommes que femmes, des marchands, des étrangers, des paysans, des nègres, des vaches, boeufs, cheveaux, anes, mulets, veaux, cochons, chèvres, moutons, chiens etc. etc., tous dans des actions différentes. D'autres peintres étoient guère en état de faire de pareilles compositions et d'arranger chaque objet à sa place convenable, sans confusion, aussi est-ce une de ses meilleures productions et faite avec hardiesse et facilité, bien dessinée et peinte (Pieter Van Bredael)|Une Foire italienne. Sur une place publique, devant des ruines est une foule de monde de différentes nations, tant hommes que femmes, des marchands, des étrangers, des paysans, des nègres, des vaches, boeufs, cheveaux, anes, mulets, veaux, cochons, chèvres, moutons, chiens etc. etc., tous dans des actions différentes. D'autres peintres étoient guère en état de faire de pareilles compositions et d'arranger chaque objet à sa place convenable, sans confusion, aussi est-ce une de ses meilleures productions et faite avec hardiesse et facilité, bien dessinée et peinte]] réalisée par Pieter Van Bredael, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [138]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Notre Seigneur à table chez Simon avec quelques-uns de ses disciples, la Madelaine pleurante à ses génoux, lavant avec ses larmes les pieds du Seigneur, qu'elle baise avec la plus grande douleur et dans une position répentante et humiliée; le Seigneur paroît adresser quelques réproches à son disciple Judas, les autres convives paroissent les uns indignés et les autres surpris. Cette composition est fort caractérisée et indique par les mines le fond des coeurs. Tableau imposant, qui a souvent passé chez quelques amateurs pour une production de Rubens (Bronckhorst, dit lange Jan)|Notre Seigneur à table chez Simon avec quelques-uns de ses disciples, la Madelaine pleurante à ses génoux, lavant avec ses larmes les pieds du Seigneur, qu'elle baise avec la plus grande douleur et dans une position répentante et humiliée; le Seigneur paroît adresser quelques réproches à son disciple Judas, les autres convives paroissent les uns indignés et les autres surpris. Cette composition est fort caractérisée et indique par les mines le fond des coeurs. Tableau imposant, qui a souvent passé chez quelques amateurs pour une production de Rubens]] réalisée par Bronckhorst, dit lange Jan, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [139]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage d'une variété frappante. Sur le devant à droite sont des montagnes et bosquets, à gauche sont des bois épais, sur le devant de grands arbres, des plantes de ronces etc. etc., richement orné d'une fête de Bacchus, de Silvins, de Satyres et de Bacchantes; plus loin dans un bosquet on découvre un temple et statue de Vénus, avec des Satyres et des Bacchantes qui y chéminent. Les figures sont de Rubens, de la plus ingénieuse composition, gaie et imposante, et l'ensemble est un tableau très-capital (Jacques Artois)|Paysage d'une variété frappante. Sur le devant à droite sont des montagnes et bosquets, à gauche sont des bois épais, sur le devant de grands arbres, des plantes de ronces etc. etc., richement orné d'une fête de Bacchus, de Silvins, de Satyres et de Bacchantes; plus loin dans un bosquet on découvre un temple et statue de Vénus, avec des Satyres et des Bacchantes qui y chéminent. Les figures sont de Rubens, de la plus ingénieuse composition, gaie et imposante, et l'ensemble est un tableau très-capital]] réalisée par Jacques Artois, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [140]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montagneux, orné sur un plan sablonneux d'un cavalier à cheval et d'une dame descendue de son cheval blanc, de deux domestiques et trois chiens, un mulet chargé de marchandises, conduit par un garçon avec son chien, de plus est à côté un troupeau de cinq vaches, conduites par leur pâtre, qui montent derrière une colline, sur le devant un autre pâtre boit de l'eau d'une écaille qu'il a pris dans un courant; la terrasse est sablonneuse avec des broussailles; c'est un soleil couchant, qui rend tous les objets chauds et brillans, et qui sont fait d'une légèreté facile (Nicolas Berchem)|Paysage montagneux, orné sur un plan sablonneux d'un cavalier à cheval et d'une dame descendue de son cheval blanc, de deux domestiques et trois chiens, un mulet chargé de marchandises, conduit par un garçon avec son chien, de plus est à côté un troupeau de cinq vaches, conduites par leur pâtre, qui montent derrière une colline, sur le devant un autre pâtre boit de l'eau d'une écaille qu'il a pris dans un courant; la terrasse est sablonneuse avec des broussailles; c'est un soleil couchant, qui rend tous les objets chauds et brillans, et qui sont fait d'une légèreté facile]] réalisée par Nicolas Berchem, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [141]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le fameux Paysage orné de la fable des amours de Pâris et d'Enone, avec leurs suites et troupeaux de vaches, chèvres et moutons, qu'on mène à boire à la fontaine des amours; les figures au nombre de sept, d'un peu moins que grandeur naturelle, ne doivent pas cèder en grace ni en fierté de touches aux bonnes productions de Rubens et de van Dyck. Le fond est boisé avec bout d'air. Les règles des arts y sont très-bien observées. Ce tableau est aussi sans cadre ainsi que quelques pièces de Rubens et de van Dyck, puisqu'ils demandent un cadre qui peut-être placé dans les galéries des ducs ou souverains (Nicolas Berchem)|Le fameux Paysage orné de la fable des amours de Pâris et d'Enone, avec leurs suites et troupeaux de vaches, chèvres et moutons, qu'on mène à boire à la fontaine des amours; les figures au nombre de sept, d'un peu moins que grandeur naturelle, ne doivent pas cèder en grace ni en fierté de touches aux bonnes productions de Rubens et de van Dyck. Le fond est boisé avec bout d'air. Les règles des arts y sont très-bien observées. Ce tableau est aussi sans cadre ainsi que quelques pièces de Rubens et de van Dyck, puisqu'ils demandent un cadre qui peut-être placé dans les galéries des ducs ou souverains]] réalisée par Nicolas Berchem, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [142]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les sept Oeuvres de Miséricorde, postiche dans la manière de Rubens. Tableau dans lequel Teniers a pleinement montré que c'étoit sans fondement qu'on lui reprochoit de peindre ses figures trop courtes et sans proportion, ce qu'il fesoit bien et avec connoissance en peignant des paysans, puisque leurs convenances l'exigoit, mais quand il a peint des sujets nobles, il savoit tourner les mains à l'exigence des objets, comme il a fait dans cette précieuse pièce, où les figures sont toutes nobles et d'une entière proportion (David Teniers)|Les sept Oeuvres de Miséricorde, postiche dans la manière de Rubens. Tableau dans lequel Teniers a pleinement montré que c'étoit sans fondement qu'on lui reprochoit de peindre ses figures trop courtes et sans proportion, ce qu'il fesoit bien et avec connoissance en peignant des paysans, puisque leurs convenances l'exigoit, mais quand il a peint des sujets nobles, il savoit tourner les mains à l'exigence des objets, comme il a fait dans cette précieuse pièce, où les figures sont toutes nobles et d'une entière proportion]] réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [143]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage. Devant une maison est une groupe de paysans; sur un plan reculé se voit la maison de campagne de Teniers. Vigoureusement peint réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [144]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Bassecour de paysan. Une femme cherche les puches de son chat. On y voit aussi des ustensiles de cuisine etc. etc. Vigoureusement peint réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [145]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Tabagie réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [146]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage, partie fond boisé, devant lequel un prêtre Franciscain dit la messe dans une cabane couverte de paille, avec beaucoup d'assistans en action de vénération, au milieu est une belle perspective réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [147]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Tentation de St.-Antoine, avec plusieurs spectres devant sa demeure dans une grotte. Très-fini réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [148]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Corps-de-garde; sur le devant un amas d'armures, tambour, casques, plumes etc. etc., dans le fond une groupe de paysans fument et disputent. Pièce qui n'est pas sans mérite réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [149]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue du mont Cénis dans les Alpes, habité des pères Franciscains; entre l'ouverture du mont sort une cascade, de jolies figures Récolets, des cabanes etc. ornent ce joli tableau; le fond est paysage. Pièce de mérite non-commune. Bois d'une seule pièce (David Teniers)|Vue du mont Cénis dans les Alpes, habité des pères Franciscains; entre l'ouverture du mont sort une cascade, de jolies figures Récolets, des cabanes etc. ornent ce joli tableau; le fond est paysage. Pièce de mérite non-commune. Bois d'une seule pièce]] réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [150]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Bassecour de Vivandier, avec un amas d'outils, vanne, tonneaux, corbeilles, cruche au lait, des concombres, etc. etc.; une femme portant sous le bras gauche un plat et à la main droite un sceau, suivie de son enfant; une chèvre et des moutons font une groupe à côté avec d'autres accessoires. Vigoureusement peint (David Teniers)|Bassecour de Vivandier, avec un amas d'outils, vanne, tonneaux, corbeilles, cruche au lait, des concombres, etc. etc.; une femme portant sous le bras gauche un plat et à la main droite un sceau, suivie de son enfant; une chèvre et des moutons font une groupe à côté avec d'autres accessoires. Vigoureusement peint]] réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [151]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Fête flamande et autres accessoires. Il existe de ce tableau une estampe, gravée par ...... Cette pièce est très-claire et gaie. Marqué D. Teniers 1648 réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [152]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage et métairie, sur le devant deux voyageurs en conversation, une femme qui tire de l'eau et autres accessoires. Bien peint réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [153]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage et vue d'un Terrein arride où coule une rivière, sur le devant est un homme parlant à une femme assise, d'autres figures y voyagent; on découvre dans la perspective un pater avec ses moutons réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [154]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage avec de petites figures jouant aux boules et autres amusemens, devant un cabarêt. Tableau gaie et bien conçu réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [155]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Conversation devant une maison champêtre ou quelques paysans boivent et fument, dont un lache l'eau contre le paravant; au premier plan sont quelques pouilles et ustensiles, dans le fond un bout de paysage réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [156]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre Divertissement Villageois, devant une cloison de planches de maison est un joueur de musette avec nombre de figures d'hommes et de femmes que se divertissent en diverses actions; sur le devant sont quelques meubles, un chaudron et autres potquarries, et un chien. Tableau gaie et spirituel (David Teniers)|Autre Divertissement Villageois, devant une cloison de planches de maison est un joueur de musette avec nombre de figures d'hommes et de femmes que se divertissent en diverses actions; sur le devant sont quelques meubles, un chaudron et autres potquarries, et un chien. Tableau gaie et spirituel]] réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [157]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Autre Divertissement rustique devant un cabarêt, avec quantité de figures, d'environ la même grandeur et même action que le précédent réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [158]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Divertissement rustique, vulgairement dit Boerekermis, qui se présente devant ou en la cour d'un cabarêt, où quantité d'hommes et de femmes sur le premier plan, et beaucoup d'autres au second plan, se divertissent à différentes actions, soit à jouer, à danser, à boire et manger, à fumer et discourir, et devant différentes groupes, tellement distribuées, qu'on les croit se promener aux alentours sans y être génés; c'est un paysage ouvert avec un grand arbre et quelques bois-taillis au premier plan, derrière une mare d'eau, au côté gauche est une grange avec un amas de foin, devant lesquels sont des femmes occupées à récurer leurs meubles de cuisine, qui quelquefois font les principaux objets des tableaux de ce maître; celui-ci paraît un chef-d'oeuvre, tant il a voulu le rendre vigoureux en expressions et mouvemens, enfin c'est un vrai chef-d'oeuvre de ce maître renommé, qui se soutient lui-même, et porte le nom de Verkens-kermis, puisqu'il y a un porc sur le premier plan (David Teniers)|Divertissement rustique, vulgairement dit Boerekermis, qui se présente devant ou en la cour d'un cabarêt, où quantité d'hommes et de femmes sur le premier plan, et beaucoup d'autres au second plan, se divertissent à différentes actions, soit à jouer, à danser, à boire et manger, à fumer et discourir, et devant différentes groupes, tellement distribuées, qu'on les croit se promener aux alentours sans y être génés; c'est un paysage ouvert avec un grand arbre et quelques bois-taillis au premier plan, derrière une mare d'eau, au côté gauche est une grange avec un amas de foin, devant lesquels sont des femmes occupées à récurer leurs meubles de cuisine, qui quelquefois font les principaux objets des tableaux de ce maître; celui-ci paraît un chef-d'oeuvre, tant il a voulu le rendre vigoureux en expressions et mouvemens, enfin c'est un vrai chef-d'oeuvre de ce maître renommé, qui se soutient lui-même, et porte le nom de Verkens-kermis, puisqu'il y a un porc sur le premier plan]] réalisée par David Teniers, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [159]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme La Madelaine dans une grotte, contenplante, avec un crucifix en main réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [160]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Christ en Croix, offrant son ame à son Père céleste (agonissant). On prétend que c'est le Christ que les Augustins d'Anvers ont exiges avant de vouloir payer leur engagement de leur pièce d'autel à van Dyck, et que ce dernier leur a octroyé. S'il n'est pas le même il peut avoir autant de perfections et mérites (Antoine Van Dyck)|Un Christ en Croix, offrant son ame à son Père céleste (agonissant). On prétend que c'est le Christ que les Augustins d'Anvers ont exiges avant de vouloir payer leur engagement de leur pièce d'autel à van Dyck, et que ce dernier leur a octroyé. S'il n'est pas le même il peut avoir autant de perfections et mérites]] réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [161]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'un Magistrat, habillé en noir avec un rabat au col, d'une noble phisionomie; peint en médaillon, encadré en quarré réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [162]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait de Marie Ruten, fille de milord Ruten, femme d'Antoine van Dyck, en buste, tenant son évantail avec la bourse, décrite dans l'histoire de la vie d'Antoine van Dyck réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [163]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme La prise de Samson par les Filistins, après avoir confessé à Dalila que ces forces consistoient en ses cheveux, et qu'elle lui avoit coupés pendant son sommeil; composition de huit figures, pièce d'une expression peu commune réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [164]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le couronnement et la risée de notre Seigneur. Pendant qu'un des bourreaux le ménace de coups de soufflet, un deuxième lui présente le jong pour sceptre, à côté est St.-Pierre en triste contemplation, de l'autre côté Pilate, tenant le bâton de commande. Tableau très-caractérisé et pathétique; fond d'intérieur, éclairé par une fenêtre sombre et cintrée en haut; composition de sept figures. Ce tableau peut servir pour un petit autel. L'estampe gravée par C. Caille, y est jointe (Antoine Van Dyck)|Le couronnement et la risée de notre Seigneur. Pendant qu'un des bourreaux le ménace de coups de soufflet, un deuxième lui présente le jong pour sceptre, à côté est St.-Pierre en triste contemplation, de l'autre côté Pilate, tenant le bâton de commande. Tableau très-caractérisé et pathétique; fond d'intérieur, éclairé par une fenêtre sombre et cintrée en haut; composition de sept figures. Ce tableau peut servir pour un petit autel. L'estampe gravée par C. Caille, y est jointe]] réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [165]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'une Dame à mi-corps, tenant un évantail dans sa main droite; vigoureusement peint; c'est une personne d'un embonpoint remarquable réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [166]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Ste.-Vierge tenant son divin Enfant sur son giron en le regardant aimablement comme l'Enfant regarde sa Mère de même, en levant sa main vers elle, donnant des marques de ses tendres amours; à côté Ste.-Catherine en prosternation; la Vierge porte une tunique januâtre et un manteau bleu foncé; fond partie colonnade, partie bout d'air. Tableau de mérite distingué comme le précédent. L'estampe de ce Tableau existe également, mais on n'a pu se la procurer (Antoine Van Dyck)|La Ste.-Vierge tenant son divin Enfant sur son giron en le regardant aimablement comme l'Enfant regarde sa Mère de même, en levant sa main vers elle, donnant des marques de ses tendres amours; à côté Ste.-Catherine en prosternation; la Vierge porte une tunique januâtre et un manteau bleu foncé; fond partie colonnade, partie bout d'air. Tableau de mérite distingué comme le précédent. L'estampe de ce Tableau existe également, mais on n'a pu se la procurer]] réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [167]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Ste.-Vierge tenant son divin Enfant couché, dormant sur son giron, la tête doucement baissée vers lui, St.-Joseph en admiration derrière elle; le fond est bocagé avec bout d'air; la Vierge porte une tunique rouge et un manteau bleu foncé. Tableau qui distingue les mérites de son auteur, comme toutes les autres de ses productions. L'estampe par ......, y est jointe (Antoine Van Dyck)|La Ste.-Vierge tenant son divin Enfant couché, dormant sur son giron, la tête doucement baissée vers lui, St.-Joseph en admiration derrière elle; le fond est bocagé avec bout d'air; la Vierge porte une tunique rouge et un manteau bleu foncé. Tableau qui distingue les mérites de son auteur, comme toutes les autres de ses productions. L'estampe par ......, y est jointe]] réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [168]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Ste.-Vierge aux nues, tenant son divin Enfant debout sur son giron, et un pied sur le globe, à côté de la Vierge deux Anges, l'un à droite jouant de la mandoline, l'autre à gauche jouant du violon; la phisionomie de la Vierge est prise d'une personne au naturel et comme celle des Anges, d'une noblesse toute divine, le fond est un Ciel doré entouré de nues dispersées. L'estampe par Witdoek, y est jointe (Antoine Van Dyck)|La Ste.-Vierge aux nues, tenant son divin Enfant debout sur son giron, et un pied sur le globe, à côté de la Vierge deux Anges, l'un à droite jouant de la mandoline, l'autre à gauche jouant du violon; la phisionomie de la Vierge est prise d'une personne au naturel et comme celle des Anges, d'une noblesse toute divine, le fond est un Ciel doré entouré de nues dispersées. L'estampe par Witdoek, y est jointe]] réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [169]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Christ mort sur le giron de la Vierge, soutenu par St.-Jean, pendant que la Madelaine et Marie Jacome en vénération embaument le corps du Seigneur, St.-Joseph d'Arimati en position de vénération tient la couronne d'épines; dans le fond sont d'autres Disciples occupés à apprêter le sépulcre pour l'inhumation du corps du Seigneur; sur le devant sont le bassin avec le saint Sang, des éponges, les cious, marteau et pincettes; tout dans une grotte sombre et bout d'air vers une soirée. L'étoffe du manteau de la Madelaine est un draps d'or de Turquie florangé, comme celle qu'elle portoit au bas de la Croix, et même contour du jet des plis, très-connoissable (Antoine Van Dyck)|Le Christ mort sur le giron de la Vierge, soutenu par St.-Jean, pendant que la Madelaine et Marie Jacome en vénération embaument le corps du Seigneur, St.-Joseph d'Arimati en position de vénération tient la couronne d'épines; dans le fond sont d'autres Disciples occupés à apprêter le sépulcre pour l'inhumation du corps du Seigneur; sur le devant sont le bassin avec le saint Sang, des éponges, les cious, marteau et pincettes; tout dans une grotte sombre et bout d'air vers une soirée. L'étoffe du manteau de la Madelaine est un draps d'or de Turquie florangé, comme celle qu'elle portoit au bas de la Croix, et même contour du jet des plis, très-connoissable]] réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [170]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Notre Seigneur crucifié, la Ste.-Vierge et St. Jean à côté de lui, dans une douleur extrême, au moment où le Seigneur a recommandé la Vierge à St. Jean pour mère etc., la Madelaine à genoux en embrassant les pieds du Seigneur, la garde de l'autre côté du Calvaire partant toute effrayée. Pièce très-patétique et qui peut servir pour pièce d'autel. Il seroit innutile de vouloir décrire la perfection de l'art, du génie et autres qualités des tableaux de ce maître, ainsi que de ceux de Rubens, puisque leurs noms suffisent et indiquent mieux les mérites de leurs productions qu'aucune louange; d'ailleurs on pourroit remplir des volumes entiers à les décrire, ce qui ne conviendroit pas ici, et il nous manqueroit trop d'éloquence pour le faire en règle (Antoine Van Dyck)|Notre Seigneur crucifié, la Ste.-Vierge et St. Jean à côté de lui, dans une douleur extrême, au moment où le Seigneur a recommandé la Vierge à St. Jean pour mère etc., la Madelaine à genoux en embrassant les pieds du Seigneur, la garde de l'autre côté du Calvaire partant toute effrayée. Pièce très-patétique et qui peut servir pour pièce d'autel. Il seroit innutile de vouloir décrire la perfection de l'art, du génie et autres qualités des tableaux de ce maître, ainsi que de ceux de Rubens, puisque leurs noms suffisent et indiquent mieux les mérites de leurs productions qu'aucune louange; d'ailleurs on pourroit remplir des volumes entiers à les décrire, ce qui ne conviendroit pas ici, et il nous manqueroit trop d'éloquence pour le faire en règle]] réalisée par Antoine Van Dyck, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [171]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'enfant Bacchus porté en triomphe par six Génies, garçons et filles, dont un génie lui porte une poignée de raisins; un garçon joue de la flute; Bacchus lève le bras en l'air, tenant un goblet d'or; à leurs pieds sont des couronnes de fleurs et branches de réjouissances. On auroit bien de la peine pour décrire en faits d'arts les mérites de ce petit bijou. Le fonden est boisé, avec un bout d'air. Le possesseur de ce grand nombre de Chefs-d'oeuvre des célèbres Rubens, van Dyck, Teniers etc., croit devoir entrer en quelques explications de la manière qu'il a su se procurer ce précieux dépôt. Plusieurs riches particuliers et couvent avoient fait peindre par ces artistes plusieurs tableaux, dont le mérite ne fut pour ainsi dire plus relevé, depuis que ceux des particuliers étaient par suite de succession, passés en tant de mains différentes, dont plusieurs n'avoient ni goût ni connaissance des tableaux, ainsi il n'est pas étonnant qu'aucun catalogue n'en a fait mention jusqu'à ce jour. La révolution française, dont les ravages s'étendirent dans ce pays, fit un bouleversement général dans toutes les classes de la société. Les couvents furent supprimés et leurs effets vendus à l'encau, les arts négligés ou du moins peu recherchés. C'est de ce moment que le propriétaire a licitement profité pour former cette collection; ses connaissances acquises par de longues études et expériences, ainsi que ses moyens, lui ont beaucoup facilité la découverte et l'acquisition de ces tableaux, ayant été presque toujours demandé dans les mortuaires ou autres maisons particulières où ils s'en trouvaient à vendre. Il n'est dont pas étonnant que peu de ces Chefs-d'oeuvre ont échappés à ses recherches dans les villes principales de la Flandre, puisqu'il a eu presque toujours le premier choix, et étant connu comme acquéreur, on venoit lui offrir les pièces qu'on supposait de quelques mérites et de quelque prix, dont bien des possesseurs furent contraints de se défaire par la malheureuse circonstance de ce temps. Le commerce de tableaux ayant été en cette ville peu suivi, les amateurs étrangers y ont fait peu de recherches pour se procurer des pièces de mérite, tandis qu'à Anvers, Bruxelles et Amsterdam, les meilleurs ouvrages de nos grands peintres ont été acquis pour l'Angleterre, la Russie et l'Allemagne (Rubens)|L'enfant Bacchus porté en triomphe par six Génies, garçons et filles, dont un génie lui porte une poignée de raisins; un garçon joue de la flute; Bacchus lève le bras en l'air, tenant un goblet d'or; à leurs pieds sont des couronnes de fleurs et branches de réjouissances. On auroit bien de la peine pour décrire en faits d'arts les mérites de ce petit bijou. Le fonden est boisé, avec un bout d'air. Le possesseur de ce grand nombre de Chefs-d'oeuvre des célèbres Rubens, van Dyck, Teniers etc., croit devoir entrer en quelques explications de la manière qu'il a su se procurer ce précieux dépôt. Plusieurs riches particuliers et couvent avoient fait peindre par ces artistes plusieurs tableaux, dont le mérite ne fut pour ainsi dire plus relevé, depuis que ceux des particuliers étaient par suite de succession, passés en tant de mains différentes, dont plusieurs n'avoient ni goût ni connaissance des tableaux, ainsi il n'est pas étonnant qu'aucun catalogue n'en a fait mention jusqu'à ce jour. La révolution française, dont les ravages s'étendirent dans ce pays, fit un bouleversement général dans toutes les classes de la société. Les couvents furent supprimés et leurs effets vendus à l'encau, les arts négligés ou du moins peu recherchés. C'est de ce moment que le propriétaire a licitement profité pour former cette collection; ses connaissances acquises par de longues études et expériences, ainsi que ses moyens, lui ont beaucoup facilité la découverte et l'acquisition de ces tableaux, ayant été presque toujours demandé dans les mortuaires ou autres maisons particulières où ils s'en trouvaient à vendre. Il n'est dont pas étonnant que peu de ces Chefs-d'oeuvre ont échappés à ses recherches dans les villes principales de la Flandre, puisqu'il a eu presque toujours le premier choix, et étant connu comme acquéreur, on venoit lui offrir les pièces qu'on supposait de quelques mérites et de quelque prix, dont bien des possesseurs furent contraints de se défaire par la malheureuse circonstance de ce temps. Le commerce de tableaux ayant été en cette ville peu suivi, les amateurs étrangers y ont fait peu de recherches pour se procurer des pièces de mérite, tandis qu'à Anvers, Bruxelles et Amsterdam, les meilleurs ouvrages de nos grands peintres ont été acquis pour l'Angleterre, la Russie et l'Allemagne]] réalisée par Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [172]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Bacchanale. Bacchus assis à terre sur une drapperie rouge, soutenu par un Satyre, est couronné de pamphres, dont il tient une grappe dans la main gauche, et de la main droite un goblet rempli de vin rouge, qu'un autre Satyre verse d'une cruche qu'il tient des deux mains; un autre Satyre verse hors d'un sac de cuir dans un goblet qu'un jeune Satyre tient en main du vin du Rhin; avec quelques autres jeunes Satyres, la composition forme une groupe de sept, un tigre vient les accompagner; un grand bassin, une grande cruche et une corbeille renversée près d'un tas de raisins et de fruits, remplissent l'avant-plan; sur un plan reculé est élevé un Thermes entouré des génies, le tout sur un fond boisé et bout d'air. Composition gaie, abondante et du premier génie (Rubens)|Bacchanale. Bacchus assis à terre sur une drapperie rouge, soutenu par un Satyre, est couronné de pamphres, dont il tient une grappe dans la main gauche, et de la main droite un goblet rempli de vin rouge, qu'un autre Satyre verse d'une cruche qu'il tient des deux mains; un autre Satyre verse hors d'un sac de cuir dans un goblet qu'un jeune Satyre tient en main du vin du Rhin; avec quelques autres jeunes Satyres, la composition forme une groupe de sept, un tigre vient les accompagner; un grand bassin, une grande cruche et une corbeille renversée près d'un tas de raisins et de fruits, remplissent l'avant-plan; sur un plan reculé est élevé un Thermes entouré des génies, le tout sur un fond boisé et bout d'air. Composition gaie, abondante et du premier génie]] réalisée par Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [173]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Vieille, tenant une corbeille au bras droit, cachant la lumière d'un bout de chandelle qu'elle tient en main gauche, à laquelle un garçon de bonne mine et en regardant la vieille en riant, vient allumer un autre bout de chandelle; fait embl`ematique, d'une manière extraordinaire d'opérer, d'une vérité frappante et d'un ton tout à fait unique; éclairé par la chandelle. (Kerstligt). L'estampe gravée par Bolswert, y est jointe. Il paroît que Rubens qui estimoit les ouvrages d'Hondorst, a voulu comme l'histoire dit faire quelque chose dans son genre. Ce tableau passeroit pour tel si l'estampe par Rubens n'en existoit pas. La susdite histoire rapporte que l'immortel Rubens contrefaisoit tous les peintres de son tems qui avoient de vrais talens et étoient en vogue, comme de Breugel dans ses Paysages, de Snyers dans ses Batailles, de Neefs dans ses Églises, de vander Laanen dans ses Conversations, de Rottenhamer dans ses Figures et Génies nus, de van Balen de même, et de quelques autres, dont il a voulu peindre des piéces dans leur genre, mais toujours beaucoup mieux, et qui ont quelquefois été vendus pour être de ces maîtres et payés chers par l'ignorance des mauvais connoisseurs (Rubens)|Une Vieille, tenant une corbeille au bras droit, cachant la lumière d'un bout de chandelle qu'elle tient en main gauche, à laquelle un garçon de bonne mine et en regardant la vieille en riant, vient allumer un autre bout de chandelle; fait embl`ematique, d'une manière extraordinaire d'opérer, d'une vérité frappante et d'un ton tout à fait unique; éclairé par la chandelle. (Kerstligt). L'estampe gravée par Bolswert, y est jointe. Il paroît que Rubens qui estimoit les ouvrages d'Hondorst, a voulu comme l'histoire dit faire quelque chose dans son genre. Ce tableau passeroit pour tel si l'estampe par Rubens n'en existoit pas. La susdite histoire rapporte que l'immortel Rubens contrefaisoit tous les peintres de son tems qui avoient de vrais talens et étoient en vogue, comme de Breugel dans ses Paysages, de Snyers dans ses Batailles, de Neefs dans ses Églises, de vander Laanen dans ses Conversations, de Rottenhamer dans ses Figures et Génies nus, de van Balen de même, et de quelques autres, dont il a voulu peindre des piéces dans leur genre, mais toujours beaucoup mieux, et qui ont quelquefois été vendus pour être de ces maîtres et payés chers par l'ignorance des mauvais connoisseurs]] réalisée par Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [174]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Madelaine mourante, devant une espèce de cabane, assistée de deux Anges, figures un peu moins que de grandeur naturelle; la vérité et l'expression de l'agonissante, ainsi que celles des Anges, sont si naturelles, qu'on soupçonneroit que l'auteur a été témoin de l'action, dont personne hors Rubens n'étoit capable, tels que le brillant coloris, le transparant et toutes autres perfections qui s'unissent. L'estampe gravée par Baillieu, y est jointe (Rubens)|La Madelaine mourante, devant une espèce de cabane, assistée de deux Anges, figures un peu moins que de grandeur naturelle; la vérité et l'expression de l'agonissante, ainsi que celles des Anges, sont si naturelles, qu'on soupçonneroit que l'auteur a été témoin de l'action, dont personne hors Rubens n'étoit capable, tels que le brillant coloris, le transparant et toutes autres perfections qui s'unissent. L'estampe gravée par Baillieu, y est jointe]] réalisée par Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [175]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Bataille sur une grande plaine, où l'action et la fureur sont des plus terribles, l'animosité et la rage sont peints sur chaque visage, et l'abandon à la mort s'apperçoit de toutes parts; les touches fières et le feu qui y règne ne se rencontrent qu'aux ouvrages de ce fameux peintre; aucun peintre après lui n'a pu en faire de pareils qu'avec peine; chaque objet ne consiste que d'une seule touche de pinceau (Rubens)|Une Bataille sur une grande plaine, où l'action et la fureur sont des plus terribles, l'animosité et la rage sont peints sur chaque visage, et l'abandon à la mort s'apperçoit de toutes parts; les touches fières et le feu qui y règne ne se rencontrent qu'aux ouvrages de ce fameux peintre; aucun peintre après lui n'a pu en faire de pareils qu'avec peine; chaque objet ne consiste que d'une seule touche de pinceau]] réalisée par Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [176]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sainte Famille devant un fond de balustrade et partie bout de paysage, la S.te-Vierge assise donne la mamelle à son divin Enfant, que S.te Elisabeth regarde avec bien de la satisfaction, derrière est le petit St.-Jean, qui tient par la main droite le pied du petit Jésus en le baisant, et de la gauche son mouton; St.-Joseph est derrière eux en contemplation; le sentoge de la Vierge est un rouge foncé et manteau verdâtre, legèrement peint. L'estampe gravée par Wittdoek, y est jointe (Rubens)|Sainte Famille devant un fond de balustrade et partie bout de paysage, la S.te-Vierge assise donne la mamelle à son divin Enfant, que S.te Elisabeth regarde avec bien de la satisfaction, derrière est le petit St.-Jean, qui tient par la main droite le pied du petit Jésus en le baisant, et de la gauche son mouton; St.-Joseph est derrière eux en contemplation; le sentoge de la Vierge est un rouge foncé et manteau verdâtre, legèrement peint. L'estampe gravée par Wittdoek, y est jointe]] réalisée par Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [177]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le martyre de St.-Liévin, on diroit une exquise; mais elle est toute aussi finie que la pièce d'autel des Ex-Jésuites de Gand, maintenant au Musée à Bruxelles, qui a été faite avant cela, pour faire voir auxdits pères son effet; la tradition dit qu'elle a été faite à l'hôtel du Cerf à Gand, ce qu'on peut croire mais pas prouver, et qui est très-indifférent pour la pièce. Sur le devant est le Saint, à qui on a cruellement ôté sa langue, il est soutenu par sa barbe d'un de ses bourreaux, pendant que l'autre, encore le couteau dans la bouche, le tient par son cinturon; les gardes, tant à cheval qu'à pied, sont renversés ou dans la plus grande épouvante du foudre qui leur est lancé par des Anges, pendant que d'autres Anges portent la couronne et la palme du martyre; l'aspect est terrible et fait dans la manière ordinaire de ses pièces d'église; il ne seroit pas mauvais d'observer ici que St.-Liévin étoit anglais natif et venu dans la Flandre pour nous apporter la vérité évangelique et dompter le paganisme, pour lequel il a souffert le martyre (Rubens)|Le martyre de St.-Liévin, on diroit une exquise; mais elle est toute aussi finie que la pièce d'autel des Ex-Jésuites de Gand, maintenant au Musée à Bruxelles, qui a été faite avant cela, pour faire voir auxdits pères son effet; la tradition dit qu'elle a été faite à l'hôtel du Cerf à Gand, ce qu'on peut croire mais pas prouver, et qui est très-indifférent pour la pièce. Sur le devant est le Saint, à qui on a cruellement ôté sa langue, il est soutenu par sa barbe d'un de ses bourreaux, pendant que l'autre, encore le couteau dans la bouche, le tient par son cinturon; les gardes, tant à cheval qu'à pied, sont renversés ou dans la plus grande épouvante du foudre qui leur est lancé par des Anges, pendant que d'autres Anges portent la couronne et la palme du martyre; l'aspect est terrible et fait dans la manière ordinaire de ses pièces d'église; il ne seroit pas mauvais d'observer ici que St.-Liévin étoit anglais natif et venu dans la Flandre pour nous apporter la vérité évangelique et dompter le paganisme, pour lequel il a souffert le martyre]] réalisée par Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [178]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Silène endormi, reposant sur un tigre; derrière lui est une bacchante pressant des raisins dans un écueil que Bacchus avale à pleine gorge; à côté de lui est une table remplie de toutes sortes de vases et de goblets divers de nacre, de porcelaine et d'or; cette pièce pleine de vigueur est une alégorie sur l'ivrognerie (Rubens)|Silène endormi, reposant sur un tigre; derrière lui est une bacchante pressant des raisins dans un écueil que Bacchus avale à pleine gorge; à côté de lui est une table remplie de toutes sortes de vases et de goblets divers de nacre, de porcelaine et d'or; cette pièce pleine de vigueur est une alégorie sur l'ivrognerie]] réalisée par Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [179]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur de l'église de St.-Pierre à Rome. Comme ce monument passe avec raison pour une des sept merveilles du monde, ceci doit passer pour une, et même peut-être seule merveille dans l'art; on ne sait par où commencer les détails de son merveilleux; quoique cet artiste étoit sublime architecte, il lui falloit une conception divine pour former une telle multitude de détails sans aucune confusion ou sans avoir péché contre les règles; la grandiose, l'hardiesse du pinceau, le lointain, la clair obscur, ainsi que les riches ornemens des figures, font un harmonieux ensemble, tout-à-fait unique. La dame avec son page est très-reconnoissable, femme de Rubens (Rubens)|L'intérieur de l'église de St.-Pierre à Rome. Comme ce monument passe avec raison pour une des sept merveilles du monde, ceci doit passer pour une, et même peut-être seule merveille dans l'art; on ne sait par où commencer les détails de son merveilleux; quoique cet artiste étoit sublime architecte, il lui falloit une conception divine pour former une telle multitude de détails sans aucune confusion ou sans avoir péché contre les règles; la grandiose, l'hardiesse du pinceau, le lointain, la clair obscur, ainsi que les riches ornemens des figures, font un harmonieux ensemble, tout-à-fait unique. La dame avec son page est très-reconnoissable, femme de Rubens]] réalisée par Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [180]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Entrevue de Didon et d'Enée, après le débarquement du dernier dans le port de Carthagène; la scène se passe devant un palais somptueux, où la reine, suivie de sa cour, le reçoit; il faut que Rubens ait pris plaisir à représenter ses amis dans ses grandes compositions, car ses trois femmes, avec sa soeur-noire derrière eux, y sont placées pour dames d'honneur à la suite de la princesse; beaucoup d'autres objets assez intéressants remplissent ce tableau, qui est d'un brillant coloris et d'une perfection digne du fameux Rubens (Rubens)|Entrevue de Didon et d'Enée, après le débarquement du dernier dans le port de Carthagène; la scène se passe devant un palais somptueux, où la reine, suivie de sa cour, le reçoit; il faut que Rubens ait pris plaisir à représenter ses amis dans ses grandes compositions, car ses trois femmes, avec sa soeur-noire derrière eux, y sont placées pour dames d'honneur à la suite de la princesse; beaucoup d'autres objets assez intéressants remplissent ce tableau, qui est d'un brillant coloris et d'une perfection digne du fameux Rubens]] réalisée par Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [181]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Conversation de la famille et de quelques-uns des disciples de l'artiste, en son domicile; toutes les figures sont des portraits; une partie joue aux cartes, d'autres sont spectateurs; l'artiste se trouve à côté de son épouse en robe de chambre commune, comme étant chez lui; le portrait de van Dyck prédomine à cette scène avec quelques attributs y relatifs, dont l'histoire fait mention; pièce assez reconnue, d'un coloris brillant et d'une vérité et perfection seduisante (P.P. Rubens)|Conversation de la famille et de quelques-uns des disciples de l'artiste, en son domicile; toutes les figures sont des portraits; une partie joue aux cartes, d'autres sont spectateurs; l'artiste se trouve à côté de son épouse en robe de chambre commune, comme étant chez lui; le portrait de van Dyck prédomine à cette scène avec quelques attributs y relatifs, dont l'histoire fait mention; pièce assez reconnue, d'un coloris brillant et d'une vérité et perfection seduisante]] réalisée par P.P. Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [182]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'archiduc Fernand, prince-cardinal, gouverneur des Pays-Bas, à cheval, en cuirasse, le bâton de gouverneur en main, avec l'emblème de son bon gouvernement, représenté par un miroir pendu à un arbre; figure de grandeur naturelle, grande pièce et unique dans son genre. L'estampe en existe, mais on en ignore l'auteur (P.P. Rubens)|L'archiduc Fernand, prince-cardinal, gouverneur des Pays-Bas, à cheval, en cuirasse, le bâton de gouverneur en main, avec l'emblème de son bon gouvernement, représenté par un miroir pendu à un arbre; figure de grandeur naturelle, grande pièce et unique dans son genre. L'estampe en existe, mais on en ignore l'auteur]] réalisée par P.P. Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [183]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Bacchus en belle humeur, reposant sur un tigre, et soutenu par une bacchante, un Silvin lui verse du nectar, pendant qu'un autre Silvin, couronné de feuilles de vigne, embrasse une bacchante; sur une élévation reculée préside le dieu Pan, entouré d'autres bacchantes et satyres, en faisant un concert; à côté de Bacchus est une jeune bacchante qui allaite son jeune enfant; plusieurs jeunes satyres remplissent le tableau, qui est un vrai chef-d'oeuvre du fameux Rubens, dans son grand ton en fait de fables, le tout devant un cîte bocageux. Pièce ingénieuse, spirituelle et gaie (P.P. Rubens)|Bacchus en belle humeur, reposant sur un tigre, et soutenu par une bacchante, un Silvin lui verse du nectar, pendant qu'un autre Silvin, couronné de feuilles de vigne, embrasse une bacchante; sur une élévation reculée préside le dieu Pan, entouré d'autres bacchantes et satyres, en faisant un concert; à côté de Bacchus est une jeune bacchante qui allaite son jeune enfant; plusieurs jeunes satyres remplissent le tableau, qui est un vrai chef-d'oeuvre du fameux Rubens, dans son grand ton en fait de fables, le tout devant un cîte bocageux. Pièce ingénieuse, spirituelle et gaie]] réalisée par P.P. Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [184]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'arche de Noë; le devant est un terrein sablonneux, devant un paysage boisé, à côté de masses montagneuses et sablonneuses se trouvent de fortes ruines, et l'Arche à laquelle chéminent une innombrable multitude d'animaux de tout genre des quatre parties du monde, ainsi que toutes sortes d'oiseaux dans l'air; les avants-plans sont munis des bêtes des plus familières et des plus intéressantes, avec la famille de Noë, qui consiste en huit figures d'hommes et de femmes, qui sont très-occupés à soigner les nécessaires. Noë est monté sur un chameau, couvert d'un tapis d'Inde; bref, le détail va à l'infini, les arbres et le tout sont d'un ton chaud et agréable, touches fermes et spiritueles, l'ensemble une production sublime, au-dessus de tout ce qu'on peut exprimer ou jamais rencontrer, enfin c'est une progige de l'art (P.P. Rubens)|L'arche de Noë; le devant est un terrein sablonneux, devant un paysage boisé, à côté de masses montagneuses et sablonneuses se trouvent de fortes ruines, et l'Arche à laquelle chéminent une innombrable multitude d'animaux de tout genre des quatre parties du monde, ainsi que toutes sortes d'oiseaux dans l'air; les avants-plans sont munis des bêtes des plus familières et des plus intéressantes, avec la famille de Noë, qui consiste en huit figures d'hommes et de femmes, qui sont très-occupés à soigner les nécessaires. Noë est monté sur un chameau, couvert d'un tapis d'Inde; bref, le détail va à l'infini, les arbres et le tout sont d'un ton chaud et agréable, touches fermes et spiritueles, l'ensemble une production sublime, au-dessus de tout ce qu'on peut exprimer ou jamais rencontrer, enfin c'est une progige de l'art]] réalisée par P.P. Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [185]
- 1824.08.31/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La nôce de Tétis, ou Festin des Dieux de la fable; ordonnance capitale de 28 figures, avec leurs attributs et accessoires; pièce incomparable, tant pour la composition que pour la grace, noblesse, dessins et coloris, et l'ensemble, de sorte qu'on peut, sans exagération, le présenter comme des meilleures productions et chefs-d'oeuvre de cet incomparable artiste; il surpasse tout ce qu'on en peut dire, et mérite une des premières places dans une galerie d'un souverain. La description de chaque objet exigerait des feuilles entières. La scène se présente sur un terrein sablonneux et fond bocageux; les figures sont un peu moins que de grandeur naturelle (P.P. Rubens)|La nôce de Tétis, ou Festin des Dieux de la fable; ordonnance capitale de 28 figures, avec leurs attributs et accessoires; pièce incomparable, tant pour la composition que pour la grace, noblesse, dessins et coloris, et l'ensemble, de sorte qu'on peut, sans exagération, le présenter comme des meilleures productions et chefs-d'oeuvre de cet incomparable artiste; il surpasse tout ce qu'on en peut dire, et mérite une des premières places dans une galerie d'un souverain. La description de chaque objet exigerait des feuilles entières. La scène se présente sur un terrein sablonneux et fond bocageux; les figures sont un peu moins que de grandeur naturelle]] réalisée par P.P. Rubens, vendue par van Langenhaeke de Wedergraet. [186]