Ventes d'œuvres le 1826.04.17

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  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Cêne d'après le Valentin; cette copie de la plus belle exécution offre une aisance et une facilité de pinceau qui semblent annoncer plutôt une production de l'imagination, qu'une imitation; cette copie a été faite à Rome; on ne peut croire en la voyant qu'elle ne soit aussi parfaite que l'original; c'est une chose curieuse et remarquable qu'une copie de main de maître, surtout quand elle est aussi belle et aussi achevée que l'est celle-ci. (Louis David)|La Cêne d'après le Valentin; cette copie de la plus belle exécution offre une aisance et une facilité de pinceau qui semblent annoncer plutôt une production de l'imagination, qu'une imitation; cette copie a été faite à Rome; on ne peut croire en la voyant qu'elle ne soit aussi parfaite que l'original; c'est une chose curieuse et remarquable qu'une copie de main de maître, surtout quand elle est aussi belle et aussi achevée que l'est celle-ci.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David. [1]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de madame Trudaine, en pied, ébauche. Elle est représentée assise, la tête est de trois quarts et coiffée de longs cheveux noirs; une robe noire, un fichu blanc et une ceinture bleue composent l'ajustement et font valoir le coloris de la figure qui se détache d'une manière ferme sur un fond rouge. (Louis David)|Portrait de madame Trudaine, en pied, ébauche. Elle est représentée assise, la tête est de trois quarts et coiffée de longs cheveux noirs; une robe noire, un fichu blanc et une ceinture bleue composent l'ajustement et font valoir le coloris de la figure qui se détache d'une manière ferme sur un fond rouge.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David. [5]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de M. Joubert, receveur général des états du Languedoc et qui a été un des premiers fondateurs de l'ouvrage si connu de la galerie de Florence. Il est représenté assis; son habit noir et sa coiffure à la mode du temps, son indiqués avec une naïveté parfaite; cette ébauche est remarquable par la manière savante avec laquelle le grand maître a indiqué l'ensemble et les détails. (Louis David)|Portrait de M. Joubert, receveur général des états du Languedoc et qui a été un des premiers fondateurs de l'ouvrage si connu de la galerie de Florence. Il est représenté assis; son habit noir et sa coiffure à la mode du temps, son indiqués avec une naïveté parfaite; cette ébauche est remarquable par la manière savante avec laquelle le grand maître a indiqué l'ensemble et les détails.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David au prix de 123 fl. [6]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de madame Pastoret, en pied et composé, ébauche. Elle est assise près du berceau de son enfant. Cette ébauche complète et très-avancée a tout le mérite que l'on peut apprécier dans ce genre de peinture; elle brille par la grâce du dessin par la précision dans l'indication des détails et par un ensemble parfait. (Louis David)|Portrait de madame Pastoret, en pied et composé, ébauche. Elle est assise près du berceau de son enfant. Cette ébauche complète et très-avancée a tout le mérite que l'on peut apprécier dans ce genre de peinture; elle brille par la grâce du dessin par la précision dans l'indication des détails et par un ensemble parfait.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David au prix de 410[?] fl. [11]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait ébauché de madame Recamier. Elle est représentée assise sur un lit de repos à l'antique, la tête de trois quarts, est tournée avec grâce vers le spectateur; elle est coiffée en cheveux, ajustée d'une robe blanche. L'abandon de la pose, l'élégance de l'ajustement et surtout les charmes de la figure et l'exactitude de la ressemblance, donnent un grand prix à cette ébauche; elle pourrait par l'art avec lequel elle est disposée, soutenir la comparaison avec les ouvrages les plus soignés et les plus avancés. (Louis David)|Portrait ébauché de madame Recamier. Elle est représentée assise sur un lit de repos à l'antique, la tête de trois quarts, est tournée avec grâce vers le spectateur; elle est coiffée en cheveux, ajustée d'une robe blanche. L'abandon de la pose, l'élégance de l'ajustement et surtout les charmes de la figure et l'exactitude de la ressemblance, donnent un grand prix à cette ébauche; elle pourrait par l'art avec lequel elle est disposée, soutenir la comparaison avec les ouvrages les plus soignés et les plus avancés.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David, achetée par [[Mm Recamier [illegible]]] au prix de 6,180 fl. [12]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un carton extrait de la composition du serment du jeu de Paume, où les études nues des principales figures sont au trait et légèrement massées d'une teinte égale; quatre têtes sont peintes, celles de Mirabeau, Barnave, Dubois de Crancé, et du père Gérard. Ce carton tracé à grands traits à la manière des grands maîtres, est un morceau d'école où la science du dessin de David se montre tout entière. Le reste de la toile sur laquelle se trouvent quelques indications, a été séparé avec le plus grand soin et sera livré à l'acquéreur qui pourra facilement la remettre dans son état primitif. (Louis David)|Un carton extrait de la composition du serment du jeu de Paume, où les études nues des principales figures sont au trait et légèrement massées d'une teinte égale; quatre têtes sont peintes, celles de Mirabeau, Barnave, Dubois de Crancé, et du père Gérard. Ce carton tracé à grands traits à la manière des grands maîtres, est un morceau d'école où la science du dessin de David se montre tout entière. Le reste de la toile sur laquelle se trouvent quelques indications, a été séparé avec le plus grand soin et sera livré à l'acquéreur qui pourra facilement la remettre dans son état primitif.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David. [15]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La mort du jeune Barra; ébauche; cette étude nue est d'un sentiment de forme admirable, la tête pleine d'expression, excite l'intérêt qu'inspirent la grâce et les charmes de la jeunesse, à leurs derniers moments. Le reste du tableau n'est qu'un léger frolis. (Louis David)|La mort du jeune Barra; ébauche; cette étude nue est d'un sentiment de forme admirable, la tête pleine d'expression, excite l'intérêt qu'inspirent la grâce et les charmes de la jeunesse, à leurs derniers moments. Le reste du tableau n'est qu'un léger frolis.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David, achetée par [[M[illegible]]] au prix de 4,700 fl. [16]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Michel le Pelletier, ex-conventionnel, sur son lit de mort; le torse nu laisse voir sa blessure dans le côté, et se détache sur des linges blancs, rendus de manière à faire illusion et qui produisent, comme dans le tableau précédent, un effet large et frappant. L'artiste a placé au-dessus de l'ex-conventionnel, un sabre suspendu à un crin, comme l'épée de Damoclès. Ces deux tableaux exécutés dans la plus grande force du talent de M. David, et d'une perfection extraordinaire dans toutes les parties, présentent le caractère de vérité austère d'une scène tragique de Schakespeare, et ne peuvent manquer de produire un grand effet sur ceux qui cherchent les sensations fortes. Ils n'ont point vu le jour depuis long-temps, et ne seront point exposées. Les personnes qui voudraient avoir des renseignemens sur ces deux ouvrages, pourtront s'adresser à M. David fils, rue Cadet, no 11. (Louis David)|Michel le Pelletier, ex-conventionnel, sur son lit de mort; le torse nu laisse voir sa blessure dans le côté, et se détache sur des linges blancs, rendus de manière à faire illusion et qui produisent, comme dans le tableau précédent, un effet large et frappant. L'artiste a placé au-dessus de l'ex-conventionnel, un sabre suspendu à un crin, comme l'épée de Damoclès. Ces deux tableaux exécutés dans la plus grande force du talent de M. David, et d'une perfection extraordinaire dans toutes les parties, présentent le caractère de vérité austère d'une scène tragique de Schakespeare, et ne peuvent manquer de produire un grand effet sur ceux qui cherchent les sensations fortes. Ils n'ont point vu le jour depuis long-temps, et ne seront point exposées. Les personnes qui voudraient avoir des renseignemens sur ces deux ouvrages, pourtront s'adresser à M. David fils, rue Cadet, no 11.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David au prix de 100,000 fl. [17]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Marat, ex-conventionnel, assassiné dans sa baignoire; il est représenté au moment où il expire, le corps et la tête renversés, un des bras tombant, l'autre tenant encore un écrit. On aperçoit à terre le couteau dont il a été frappé, le jour qui glisse sur la figure et laisse dans l'ombre la poitrine où l'on voit sa bessure, éclaire tous les accessoires d'une lumière pâle qui accompagne parfaitement la teinte de la mort répandue sur les carnations. Près de la baignoire on voit pour tout meuble, une table rustique où sont une écritoire et quelques papiers. Les personnes qui voudraient avoir des renseignemens sur ces deux ouvrages, pourront s'adresser à M. David fils, rue Cadet no 11. (Louis David)|Marat, ex-conventionnel, assassiné dans sa baignoire; il est représenté au moment où il expire, le corps et la tête renversés, un des bras tombant, l'autre tenant encore un écrit. On aperçoit à terre le couteau dont il a été frappé, le jour qui glisse sur la figure et laisse dans l'ombre la poitrine où l'on voit sa bessure, éclaire tous les accessoires d'une lumière pâle qui accompagne parfaitement la teinte de la mort répandue sur les carnations. Près de la baignoire on voit pour tout meuble, une table rustique où sont une écritoire et quelques papiers. Les personnes qui voudraient avoir des renseignemens sur ces deux ouvrages, pourront s'adresser à M. David fils, rue Cadet no 11.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David. [18]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre portrait de Napoléon, représenté également debout et en habits impériaux, mais différent dans le mouvement, notamment dans celui de la tête. Ce précieux tableau est terminé dans tous ses détails; la tête pleine d'expression est d'un pinceau suave et d'une couleur brillante. (Louis David)|Un autre portrait de Napoléon, représenté également debout et en habits impériaux, mais différent dans le mouvement, notamment dans celui de la tête. Ce précieux tableau est terminé dans tous ses détails; la tête pleine d'expression est d'un pinceau suave et d'une couleur brillante.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David au prix de 2,201 fl. [20]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de Napoléon en habits impériaux; il est représenté debout et est entouré d'accessoires et de riches draperies brodées d'or, qui donnent à ce tableau un aspect brillant et une force de ton extraordinaires; la tête est exécutée avec le plus grand soin. (Louis David)|Portrait de Napoléon en habits impériaux; il est représenté debout et est entouré d'accessoires et de riches draperies brodées d'or, qui donnent à ce tableau un aspect brillant et une force de ton extraordinaires; la tête est exécutée avec le plus grand soin.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David. [21]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Bonaparte, premier consul, franchissant le mont Saint-Bernard; il indique les montagnes qui restent à parcourir. Les noms d'Annibal et de Charlemagne sont tracés sur les rochers. On remarque dans l'éloignement les soldats et l'artillerie. Ce portrait équestre, traité dans le style historique, est aussi remarquable par la composition où brille tout le génie de l'artiste, que par la beauté de l'exécution. (Louis David)|Bonaparte, premier consul, franchissant le mont Saint-Bernard; il indique les montagnes qui restent à parcourir. Les noms d'Annibal et de Charlemagne sont tracés sur les rochers. On remarque dans l'éloignement les soldats et l'artillerie. Ce portrait équestre, traité dans le style historique, est aussi remarquable par la composition où brille tout le génie de l'artiste, que par la beauté de l'exécution.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David au prix de [illeg] 140[?] ou [illeg] 130 fl. [22]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Romulus, d'après le tableau des Sabines. Cette belle étude est groupée avec deux figures représentant des guerriers morts, et se détache sur un fond indiquant une fortification à demi-bâtie. Les parties que M. David a ajoutées à cette étude la composent d'une manière nouvelle, et en font un tableau original. (Louis David)|Romulus, d'après le tableau des Sabines. Cette belle étude est groupée avec deux figures représentant des guerriers morts, et se détache sur un fond indiquant une fortification à demi-bâtie. Les parties que M. David a ajoutées à cette étude la composent d'une manière nouvelle, et en font un tableau original.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David au prix de 4,360 fl. [23]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Appelles peignant Campaspe devant Alexandre; ébauche avancée, composition de trois figures. Le peintre d'Alexandre-le-Grand est assis devant le tableau où il trace les charmes et la pose gracieuse qu'offre à ses regards la belle Campaspe, tandis que l'illustre conquérant, oubliant son rang dans l'atelier de son peintre favori, examine avec attention l'artiste et le modèle, et semble deviner les sentiments qui les animent. Ces figures sont entourées d'accessoires qui forment des lignes heureuses et variées, et présetent un ensemble parfait. Cette ébauche, où tout décèle le grand maître, est déjà vigoureuse et colorée, et traitée de manière à pouvoire prendre place dans une belle collection. (Louis David)|Appelles peignant Campaspe devant Alexandre; ébauche avancée, composition de trois figures. Le peintre d'Alexandre-le-Grand est assis devant le tableau où il trace les charmes et la pose gracieuse qu'offre à ses regards la belle Campaspe, tandis que l'illustre conquérant, oubliant son rang dans l'atelier de son peintre favori, examine avec attention l'artiste et le modèle, et semble deviner les sentiments qui les animent. Ces figures sont entourées d'accessoires qui forment des lignes heureuses et variées, et présetent un ensemble parfait. Cette ébauche, où tout décèle le grand maître, est déjà vigoureuse et colorée, et traitée de manière à pouvoire prendre place dans une belle collection.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David. [24]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Andromaque pleurant Hector. Tableau de réception à l'Académie. Dans une des salles du palais de Priam, le corps d'Hector est placé sur un lit funèbre; sa tête est couronné de lauriers, ses armes sont près de lui; Andromaque, éplorée, prévoit dans la mort de son époux les désastres d'Illion et la perte prochaine de son fils Astyanax, qu'elle presse dans ses bras; un riche candelabresic, qui rend une lumière pâle, des branches de cyprès, répandues à terre, accompagnent cette scène de deuil. Ce tableau, du style sévère que demandait un sujet aussi noble et aussi touchant, est remarquable par le pathétique des expressions et par la belle exécution qui distinguait déjà le talent de M. David à cette époque; cette production date de 1783. (Louis David)|Andromaque pleurant Hector. Tableau de réception à l'Académie. Dans une des salles du palais de Priam, le corps d'Hector est placé sur un lit funèbre; sa tête est couronné de lauriers, ses armes sont près de lui; Andromaque, éplorée, prévoit dans la mort de son époux les désastres d'Illion et la perte prochaine de son fils Astyanax, qu'elle presse dans ses bras; un riche candelabresic, qui rend une lumière pâle, des branches de cyprès, répandues à terre, accompagnent cette scène de deuil. Ce tableau, du style sévère que demandait un sujet aussi noble et aussi touchant, est remarquable par le pathétique des expressions et par la belle exécution qui distinguait déjà le talent de M. David à cette époque; cette production date de 1783.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David. [25]
  • 1826.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Mars désarmé par Vénus et les Grâces; composition de six figures. Mars est asiis, il dépose ses armes, tandis que l'Amour, en souriant, détache ses cothurnes. Vénus va placer sur sa tête une couronne de roses; les Grâces lui ont déjà ôté son casque, son bouclier, son arc et son carquois; l'une d'elles verse le nectar qu'elle va présenter au dieu de la guerre. Un temple d'ordre corinthien sert de fond et se détache sur l'azur du ciel, dont les nuages légers entournent toutes les figures et les enveloppent d'une vapeur douce qui en fait ressortir la couleur brillante. Dans ce tableau, du style le plus élevé, l'artiste transporte le spectateur dans le séjour des dieux d'Homère; la noblesse des formes, la délicatesse du coloris, le charme du pinceau, l'élégance des accessoires, tout est réuni pour séduire et faire illusion. (Louis David)|Mars désarmé par Vénus et les Grâces; composition de six figures. Mars est asiis, il dépose ses armes, tandis que l'Amour, en souriant, détache ses cothurnes. Vénus va placer sur sa tête une couronne de roses; les Grâces lui ont déjà ôté son casque, son bouclier, son arc et son carquois; l'une d'elles verse le nectar qu'elle va présenter au dieu de la guerre. Un temple d'ordre corinthien sert de fond et se détache sur l'azur du ciel, dont les nuages légers entournent toutes les figures et les enveloppent d'une vapeur douce qui en fait ressortir la couleur brillante. Dans ce tableau, du style le plus élevé, l'artiste transporte le spectateur dans le séjour des dieux d'Homère; la noblesse des formes, la délicatesse du coloris, le charme du pinceau, l'élégance des accessoires, tout est réuni pour séduire et faire illusion.]] réalisée par Louis David, vendue par Louis David. [26]
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