Ventes d'œuvres le 1837.08.09
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- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme La Cananienne au pied de Jesus-Christ réalisée par Inconnu, vendue par Stevens, achetée par [[Yzerman [?]]] au prix de 17 fl. [1]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Au bord d'une rivière on voit des cavaliers; les petites figures sont spirituellement touchées, le paysage se termine par une chaîne de montagnes réalisée par Zoeder, vendue par Stevens, achetée par Mayien au prix de 36 fl. [2]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Dans un paysage montagneux et entrecoupé d'une large rivière, on voit un conducteur de troupeau réalisée par Zoeder, vendue par Stevens, achetée par Mayien au prix de 36 fl. [3]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage avec figures et Animaux. Au bord d'une petite mare, s'elevent majestueusement des grandes touffes d'arbres d'espèces différentes; au fond sont des fabriques; une grande étendue de pays dans laquelle serpente une rivière, sur l'avant plan deux enfants montrent à leur mère un nid d'oiseau, et à gauche trois vaches dans une prairie. Ce tableau est d'une exécution facile et d'une couleur très argentine (Zwaenevelt (Herman Van))|Paysage avec figures et Animaux. Au bord d'une petite mare, s'elevent majestueusement des grandes touffes d'arbres d'espèces différentes; au fond sont des fabriques; une grande étendue de pays dans laquelle serpente une rivière, sur l'avant plan deux enfants montrent à leur mère un nid d'oiseau, et à gauche trois vaches dans une prairie. Ce tableau est d'une exécution facile et d'une couleur très argentine]] réalisée par Zwaenevelt (Herman Van), vendue par Stevens, achetée par Tencé au prix de 410 fl. [4]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Marine calme dans le goût de W. Vandevelde, on y voit plusieurs navires en rade, sur le devant est une terasse bordée de roseaux et ornée de jolies figures réalisée par Xavary (F.), vendue par Stevens, achetée par Verlat au prix de 58 fl. [5]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Dans la manière de Cuyp. Sur une terasse raboteuse et fortement éclairée par le soleil, un vacher chasse son troupeau vers une ferme qui se voit à gauche, entourée d'arbres. Ce tableau et largement traité réalisée par Wulfart, vendue par Stevens, achetée par Van Gameren au prix de 40 fl. [6]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Un cavalier monté sur un cheval blanc s'arêté devant une chaumière, cédant aux instances d'une malheureuse femme demandant l'aumone; sur le devant est un puit près duquel on voit des poulets réalisée par Weininx (J.B.), vendue par Stevens, achetée par Van Callenbergh au prix de 50 [or] 60 fl. [7]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage avec figures. Au bord d'un lac sur une terasse élevée on voit des touffes d'arbres d'une exécution magnifique; des chasseurs avec leurs chevaux et chiens, y font une halte; l'un d'eux vient de décharger son fusil; un chien à la nage lui apporte le gibier; dans le lointain est un pâtre gardant son troupeau; il est difficile à décrire la perfection de cette oeuvre qui est d'une finesse admirable (W. SL. P. (signé))|Paysage avec figures. Au bord d'un lac sur une terasse élevée on voit des touffes d'arbres d'une exécution magnifique; des chasseurs avec leurs chevaux et chiens, y font une halte; l'un d'eux vient de décharger son fusil; un chien à la nage lui apporte le gibier; dans le lointain est un pâtre gardant son troupeau; il est difficile à décrire la perfection de cette oeuvre qui est d'une finesse admirable]] réalisée par W. SL. P. (signé), vendue par Stevens, achetée par Tencé au prix de 180 fl. [8]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage agreste on voit les restes d'un temple magnifique; sur l'avant scène des fragments de vases, statues, bas-reliefs etc.; entremêlés de plantes sauvages, d'une exécution admirable; on y voit plusieurs personnes en repos; tous ses détails sont éclairés par des rayons d'un soleil vif et piquant (Withoes)|Dans un paysage agreste on voit les restes d'un temple magnifique; sur l'avant scène des fragments de vases, statues, bas-reliefs etc.; entremêlés de plantes sauvages, d'une exécution admirable; on y voit plusieurs personnes en repos; tous ses détails sont éclairés par des rayons d'un soleil vif et piquant]] réalisée par Withoes, vendue par Stevens, achetée par Van Callenbergh au prix de 55 fl. [9]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Sur une large terasse, près de laquelle coule une petite rivière, plusieurs personnes sont en repos; une autre, montée sur un mulet, continue sa marche réalisée par Wyck (Thomas), vendue par Stevens, achetée par Mayien au prix de 42 fl. [10]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montagneux. Sur un ciel piquant de lumière se découpe un paysage d'une composition des plus agréables; à gauche du tableau on voit sur le premier plan un groupe d'arbres, dont le feuillage est d'une grande légerité; à la droite s'élevent des hauts rochers; sur l'avant plan, des arbres croissent au detour d'un grand chemin, où on voit un homme conduisant deux mulets chargés (Wils)|Paysage montagneux. Sur un ciel piquant de lumière se découpe un paysage d'une composition des plus agréables; à gauche du tableau on voit sur le premier plan un groupe d'arbres, dont le feuillage est d'une grande légerité; à la droite s'élevent des hauts rochers; sur l'avant plan, des arbres croissent au detour d'un grand chemin, où on voit un homme conduisant deux mulets chargés]] réalisée par Wils, vendue par Stevens, achetée par Gruyter au prix de 390 fl. [11]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[A droite sur une terasse sablonneuse couronnée par une touffe d'arbres et broussailles, un homme est en repos; une femme conduit son âne chargé par le dètroit d'un chemin; plus loin on voit encore deux cavaliers et un piéton; ce paysage se termine par un lointain montagneux; le ton général de ce tableu est chaud, vigoureux et transparent; s'il n'offre pas ce fini précieux des deux précédents, il compense par une manière large et hardie (Weynants (Jean))|A droite sur une terasse sablonneuse couronnée par une touffe d'arbres et broussailles, un homme est en repos; une femme conduit son âne chargé par le dètroit d'un chemin; plus loin on voit encore deux cavaliers et un piéton; ce paysage se termine par un lointain montagneux; le ton général de ce tableu est chaud, vigoureux et transparent; s'il n'offre pas ce fini précieux des deux précédents, il compense par une manière large et hardie]] réalisée par Weynants (Jean), vendue par Stevens, achetée par Tencé au prix de 90 fl. [12]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce petit bijou, qu'on doit regarder comme un des plus fins ouvrages de ce maître, est d'une rare perfection; sur une terasse sabloneuse et au milieu du tableau, s'éleve une grande masse d'arbres et de broussailles; au bord de ce tertre, coule une rivière; un vieux tronc d'arbre et des broussailles sur l'avant plan, servant de reposoir. Au milieu du chemin on voit un homme monté sur un cheval blanc; près de lui marchent deux autres personnes; plus avant une femme assise est en conversation avec un voyageur; la terasse sablonneuse et le feuillage sont touchés de la manière la plus savante (Weynants (Jean))|Ce petit bijou, qu'on doit regarder comme un des plus fins ouvrages de ce maître, est d'une rare perfection; sur une terasse sabloneuse et au milieu du tableau, s'éleve une grande masse d'arbres et de broussailles; au bord de ce tertre, coule une rivière; un vieux tronc d'arbre et des broussailles sur l'avant plan, servant de reposoir. Au milieu du chemin on voit un homme monté sur un cheval blanc; près de lui marchent deux autres personnes; plus avant une femme assise est en conversation avec un voyageur; la terasse sablonneuse et le feuillage sont touchés de la manière la plus savante]] réalisée par Weynants (Jean), vendue par Stevens, achetée par Gruyter au prix de 145 fl. [13]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Au detour d'un chemin sablonneux s'élève un grand arbre déployant ses branches sauvages; au dessous on voit une dame montée sur un cheval blanc; à côté d'elle est un seigneur richement vêtu; sur le premier plan est assis sur le gazon, un chasseur avec ses chiens; plus loin on voit une voiture attelée de deux chevaux, et dans le lointain qui est montagneux, on remarque deux voyageurs. Ce petit tableau est peint d'une manière large et soigné (Weynants (Jean))|Au detour d'un chemin sablonneux s'élève un grand arbre déployant ses branches sauvages; au dessous on voit une dame montée sur un cheval blanc; à côté d'elle est un seigneur richement vêtu; sur le premier plan est assis sur le gazon, un chasseur avec ses chiens; plus loin on voit une voiture attelée de deux chevaux, et dans le lointain qui est montagneux, on remarque deux voyageurs. Ce petit tableau est peint d'une manière large et soigné]] réalisée par Weynants (Jean), vendue par Stevens, achetée par Wuyts au prix de 190 fl. [14]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'apparition de l'ange aux bergers. Devant une chaumière des bergers et bergères se reposent; plusieurs d'entreux sont surpris d'étonnement à la vue d'une gloire céleste qui leur aparaît; un cheval blanc, vu par derrière, est effrayé; des vaches et un âne reposent sur le gazon; il est à regreter que cette belle composition ait tant souffert (Wouwermans (Pierre))|L'apparition de l'ange aux bergers. Devant une chaumière des bergers et bergères se reposent; plusieurs d'entreux sont surpris d'étonnement à la vue d'une gloire céleste qui leur aparaît; un cheval blanc, vu par derrière, est effrayé; des vaches et un âne reposent sur le gazon; il est à regreter que cette belle composition ait tant souffert]] réalisée par Wouwermans (Pierre), vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 65 fl. [15]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Retour de la chasse aux Faucons. A gauche, l'avant plan est occupé par une architecture de laquelle s'éleve une fontaine d'une structure riche et élegante; les chasseurs desaltèrent leurs chevaux; plusieurs d'entreux détachent leurs chiens fatigués de courir le gibier. Cette petite grisaille est pleine de finesse et de tact (Wouwermans (Pierre))|Retour de la chasse aux Faucons. A gauche, l'avant plan est occupé par une architecture de laquelle s'éleve une fontaine d'une structure riche et élegante; les chasseurs desaltèrent leurs chevaux; plusieurs d'entreux détachent leurs chiens fatigués de courir le gibier. Cette petite grisaille est pleine de finesse et de tact]] réalisée par Wouwermans (Pierre), vendue par Stevens, achetée par Steyaert au prix de 60 fl. [16]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Bataille. Sur le devant est un groupe de cavalerie, defendant leur porte drapeau, qui se trouve attaqué de tout côté; un nègre, monté sur un coursier blanc, s'y lance à toute bride et se jette au milieu de la mêlée; quelques victimes sont déja sur le terrain; à droite, au second plan, on voit des fantassins, qui defendent avec acharnement l'approche d'un fort. Les figures sont parfaitement en mouvement et dessinées avec correction, et la couleur excellente, doit le mettre au rang des meilleurs productions de ce maître (Wouwermans (Pierre))|Bataille. Sur le devant est un groupe de cavalerie, defendant leur porte drapeau, qui se trouve attaqué de tout côté; un nègre, monté sur un coursier blanc, s'y lance à toute bride et se jette au milieu de la mêlée; quelques victimes sont déja sur le terrain; à droite, au second plan, on voit des fantassins, qui defendent avec acharnement l'approche d'un fort. Les figures sont parfaitement en mouvement et dessinées avec correction, et la couleur excellente, doit le mettre au rang des meilleurs productions de ce maître]] réalisée par Wouwermans (Pierre), vendue par Stevens, achetée par Tencé au prix de 320 fl. [17]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur une terasse parsemée de verdure, un cavalier descendu de sa blanche monture, fait une halte; il tient de la main gauche le bel animal par les brides, caresse de l'autre main un chien levrier; près de ce groupe est un second chien en repos; le lointain se termine par une chaîne de montagnes, au bas desquelles on distingue deux autres cavaliers, précédés d'un chien. Quoique bien inférieur au précédent ce petit cadre renferme des grandes beautés (Wouwermans (Philippe))|Sur une terasse parsemée de verdure, un cavalier descendu de sa blanche monture, fait une halte; il tient de la main gauche le bel animal par les brides, caresse de l'autre main un chien levrier; près de ce groupe est un second chien en repos; le lointain se termine par une chaîne de montagnes, au bas desquelles on distingue deux autres cavaliers, précédés d'un chien. Quoique bien inférieur au précédent ce petit cadre renferme des grandes beautés]] réalisée par Wouwermans (Philippe), vendue par Stevens, achetée par Dupier au prix de 200 [or] 210 fl. [18]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce magnifique tableau, connu par les amateurs pour un chef-d'oeuvre de ce grand maître, représente un hiver; sur le premier plan à gauche, est une terasse couverte de neige, dominée par une architecture en ruine, devant laquelle est dressée une tente; un homme s'occupe à équiper sa blanche haridelle; l'animal ressort d'un fond obscur; un autre cheval de couleur brune, reçoit d'un palfrenier une botte de foin; au milieu du tableau, et sur le second plan, est un cheval richement arnaché et attelé à un traineau, dans lequel est assise une dame travestie, conduite par un cavalier en habit rouge; des enfants s'amusent ça et là sur la glace; l'oeil se promène et se perd dans un immense horizon, devant lequel on distingue l'intérieur d'un village. Les nombreuses figures, touchées avec esprit et groupées avec art, sont parfaitement ajustées et d'un mouvement vrai et naturel. On admire dans ce beau tableau toutes les grandes qualités de l'artiste; les chevaux choisis dans la plus belle nature, sont dessinés avec une iréprochable correction et peints avec vigueur; le précieux fini, la couleur locale et harmonieuse, un ensemble parfait du clair obscur, repandu sur ce bel ouvrage, peuvent le faire considerer comme ce qui est sorti de plus merveilleux du pinceau de ce peintre, dont les productions sont recherchées avec tant d'avidité (Wouwermans (Philippe))|Ce magnifique tableau, connu par les amateurs pour un chef-d'oeuvre de ce grand maître, représente un hiver; sur le premier plan à gauche, est une terasse couverte de neige, dominée par une architecture en ruine, devant laquelle est dressée une tente; un homme s'occupe à équiper sa blanche haridelle; l'animal ressort d'un fond obscur; un autre cheval de couleur brune, reçoit d'un palfrenier une botte de foin; au milieu du tableau, et sur le second plan, est un cheval richement arnaché et attelé à un traineau, dans lequel est assise une dame travestie, conduite par un cavalier en habit rouge; des enfants s'amusent ça et là sur la glace; l'oeil se promène et se perd dans un immense horizon, devant lequel on distingue l'intérieur d'un village. Les nombreuses figures, touchées avec esprit et groupées avec art, sont parfaitement ajustées et d'un mouvement vrai et naturel. On admire dans ce beau tableau toutes les grandes qualités de l'artiste; les chevaux choisis dans la plus belle nature, sont dessinés avec une iréprochable correction et peints avec vigueur; le précieux fini, la couleur locale et harmonieuse, un ensemble parfait du clair obscur, repandu sur ce bel ouvrage, peuvent le faire considerer comme ce qui est sorti de plus merveilleux du pinceau de ce peintre, dont les productions sont recherchées avec tant d'avidité]] réalisée par Wouwermans (Philippe), vendue par Stevens au prix de 4400 fl. [19]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Le Roi David. Cette composition de quatre figures de grandeur naturelles et vues à demi-corps, contient toutes les beautés de l'art; dessin, couleur, exécution, tout y est réuni au plus haut dégré de perfection réalisée par Velasquez De Silva, vendue par Stevens, achetée par Steyaert au prix de 430 fl. [20]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge tenant dans ses bras l'enfant Jésus; le fond représente une architecture réalisée par Venius (Otto), vendue par Stevens, achetée par Dupier au prix de 34 fl. [21]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Conversion de St.-Paul. Cette belle et grande composition, où brille un coloris vif et admirable, atteste le grand mérite de ce peintre savant. On y remarque des racourcis rendus avec tout l'art possible; des belles têtes que l'on distingue d'abord dans tous ses ouvrages, et des chevaux choisis dans la plus belle nature. Ce tableau est une remarquable production de son auteur (Venius (Otto))|La Conversion de St.-Paul. Cette belle et grande composition, où brille un coloris vif et admirable, atteste le grand mérite de ce peintre savant. On y remarque des racourcis rendus avec tout l'art possible; des belles têtes que l'on distingue d'abord dans tous ses ouvrages, et des chevaux choisis dans la plus belle nature. Ce tableau est une remarquable production de son auteur]] réalisée par Venius (Otto), vendue par Stevens, achetée par Van Gameren au prix de 170 fl. [22]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait d'une dame. Un costume noir, une fraise blanche, relevent avantageusement une tête bien modelée et dont les traits annoncent la douceur et la bonté; quelques perles et brillans ornent les cheveux aplatis sur le front. Ce beau tableau atteste tout le talent de Devos, la couleur est riche et transparente; les mains sont admirablement coloriées et dessignées: les armoiries, peintes dans le fond du tableau, indiquent que la dame appartient à quelque haut lignage (Vos (Corneil De))|Portrait d'une dame. Un costume noir, une fraise blanche, relevent avantageusement une tête bien modelée et dont les traits annoncent la douceur et la bonté; quelques perles et brillans ornent les cheveux aplatis sur le front. Ce beau tableau atteste tout le talent de Devos, la couleur est riche et transparente; les mains sont admirablement coloriées et dessignées: les armoiries, peintes dans le fond du tableau, indiquent que la dame appartient à quelque haut lignage]] réalisée par Vos (Corneil De), vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 165 fl. [23]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[La tendresse maternelle. Sur un coussin blanc est couché l'enfant élevant le bras gauche pour caresser sa mère qui lui présente le sein. Ce tableau peint avec beaucoup de légèreté et transparence, tient beaucoup de la manière de Rubens dont Corneil est souvent l'imitateur (Vos (Corneil De))|La tendresse maternelle. Sur un coussin blanc est couché l'enfant élevant le bras gauche pour caresser sa mère qui lui présente le sein. Ce tableau peint avec beaucoup de légèreté et transparence, tient beaucoup de la manière de Rubens dont Corneil est souvent l'imitateur]] réalisée par Vos (Corneil De), vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 32 fl. [24]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage boisé. Dans un large chemin on voit un cavalier monté sur un cheval blanc; près de là est un autre homme précédé d'un chien réalisée par Vries (De), vendue par Stevens, achetée par Thys au prix de 40 fl. [25]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur une mer fortement agitée, on voit une chaloupe à pleine voile se dirigeant vers le nord; plus loin sont d'autres navires. Le mouvement des vagues, le sombre jour du ciel, l'attitude des matelots, la transparence des eaux, font passer ce tableau pour une des meilleures oeuvres de ce maître et digne du pinceau de Bachuyzen (Verschuier)|Sur une mer fortement agitée, on voit une chaloupe à pleine voile se dirigeant vers le nord; plus loin sont d'autres navires. Le mouvement des vagues, le sombre jour du ciel, l'attitude des matelots, la transparence des eaux, font passer ce tableau pour une des meilleures oeuvres de ce maître et digne du pinceau de Bachuyzen]] réalisée par Verschuier, vendue par Stevens, achetée par Van Nieuwenhuyzen au prix de 160 fl. [26]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Il représente différentes sortes de fruits groupés, à l'instar de son pendant et ornés de plusieurs insectes réalisée par Van Dorne, vendue par Stevens, achetée par van Gameren au prix de 16 fl. [27]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Sur une plaque de marbre blanc, sont attachées en feston, des fleurs différentes, entrelassées de feuilles de lierre réalisée par Van Dorne, vendue par Stevens, achetée par van Gameren au prix de 16 fl. [28]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur une terasse tenue dans l'ombre, et dominée par une tente, est une femme assise tenant dans ses bras son jeune nourrison; près d'elle est un berger avec des animaux; on remarque une chevre blanche couchée, qui ressort avec éclat sur un vache de couleur rousse; quelque moutons paissent le gazon; un lointain vague et clair termine le paysage. Ce petit tableau est d'un effet piquant et d'une couleur forte et suave; quoiqu'il ne soit pas une des plus belles productions du célèbre maître, il est cependant digne de son admirable pinceau (Vandevelde (Adrien))|Sur une terasse tenue dans l'ombre, et dominée par une tente, est une femme assise tenant dans ses bras son jeune nourrison; près d'elle est un berger avec des animaux; on remarque une chevre blanche couchée, qui ressort avec éclat sur un vache de couleur rousse; quelque moutons paissent le gazon; un lointain vague et clair termine le paysage. Ce petit tableau est d'un effet piquant et d'une couleur forte et suave; quoiqu'il ne soit pas une des plus belles productions du célèbre maître, il est cependant digne de son admirable pinceau]] réalisée par Vandevelde (Adrien), vendue par Stevens, achetée par Wuyts au prix de 200 [or] 250 fl. [29]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Une vache au poil roux clair, tacheté de blanc ressort d'une manière étonnante d'un paysage fortement boisé réalisée par Vandevelde (Adrien), vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 45 fl. [30]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Des chaloupes viennent décharger sur la plage le fruit de leur pêche; à droite dans le lointain, on voit un grand nombre de batiments et des figures; plusieurs d'entrelles se deshabillent pour se baigner réalisée par Vandevelde (Willem) d'après, vendue par Stevens, achetée par Mayien au prix de 65 fl. [31]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Marine Calme. On voit sur la plage plusieurs pêcheurs allant et revenant de leurs chaloupes, qui ainsi que tous les accessoires sont très correctement dessinés; la couleur de ce petit tableau est vraie et naturelle réalisée par Vandevelde (Willem), vendue par Stevens, achetée par Gruyter au prix de 560 [or] 580 fl. [32]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente le nauffrage d'un vaisseau, qui vient se briser contre un roc; le roulement des vagues, les sombre effet du ciel, la terreur des matelots et des passagers luttant contre la mort, remplissent l'âme d'effroi. Cette crise de la nature est rendue dans toute sa terrible vérité (Vernet (Joseph))|Ce tableau représente le nauffrage d'un vaisseau, qui vient se briser contre un roc; le roulement des vagues, les sombre effet du ciel, la terreur des matelots et des passagers luttant contre la mort, remplissent l'âme d'effroi. Cette crise de la nature est rendue dans toute sa terrible vérité]] réalisée par Vernet (Joseph), vendue par Stevens, achetée par Van Gameren au prix de 80 fl. [33]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Dans un paysage montagneux, couvert d'arbres et de verdure, un pâtre a conduit son troupeau; sur le devant se voit un ruisseau dans lequel le soleil darde ses rayons. Ce petit tableau est un des bons ouvrages de ce maître réalisée par Uden (van), vendue par Stevens, achetée par Mayien au prix de 40 fl. [34]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Effet de lumière. Assis à table, des bons villageois passent gaiement leur temps à jouer au tric-trac, à boire et à fumer; l'un d'eux assis sur un banc et vu par le dos, fait ressortir avec force le vif effet de la lumière qui réflete sur les autres; à gauche on remarque près de la cheminée, un homme debout fumant la pipe en se chauffant le dos; un autre lui présente un verre à boire. Cette composition de six figures, est d'une belle exécution (Schalcken (Godefroi))|Effet de lumière. Assis à table, des bons villageois passent gaiement leur temps à jouer au tric-trac, à boire et à fumer; l'un d'eux assis sur un banc et vu par le dos, fait ressortir avec force le vif effet de la lumière qui réflete sur les autres; à gauche on remarque près de la cheminée, un homme debout fumant la pipe en se chauffant le dos; un autre lui présente un verre à boire. Cette composition de six figures, est d'une belle exécution]] réalisée par Schalcken (Godefroi), vendue par Stevens, achetée par Callenberg au prix de 110 fl. [35]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage boisé et entrecoupé d'une rivière bordée de brossailles et roseaux, est une barque chargée d'ustensiles de labourage; elle est conduite par deux personnes; à droite est un pont, un vacher venant de la ferme, y passe avec son troupeau; du côté opposé, le soleil ardent de chaleur rèfflete dans l'eau et lance ses rayons sur une campagne plate, qui va à perte de vue (Toigny)|Dans un paysage boisé et entrecoupé d'une rivière bordée de brossailles et roseaux, est une barque chargée d'ustensiles de labourage; elle est conduite par deux personnes; à droite est un pont, un vacher venant de la ferme, y passe avec son troupeau; du côté opposé, le soleil ardent de chaleur rèfflete dans l'eau et lance ses rayons sur une campagne plate, qui va à perte de vue]] réalisée par Toigny, vendue par Stevens, achetée par van Geel au prix de 70 fl. [36]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Sujet Allégorique. Cette composition de six figures, réunit toutes les beautés de l'art; la couleur et le dessin, joints à une exécution admirable, doivent le mettre au rang de ce qu'a fait de mieux ce maître réalisée par Thulden (Théodore), vendue par Stevens, achetée par Tencé au prix de 150 fl. [37]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Armide caressée par l'amour. L'héroïne, vue de trois quarts, tourne la tête vers le spectateur et soulève de la main droite une draperie blanche, qui enlace ses charmes et laisse entrevoir un bras arrondi, posé sur le casque de son amant; des rêves voluptueux colorent son visage et agitent son sein; près d'elle est l'amour qui achève de répandre sur cette charmante composition un charme de bonheur (Thys (Pierre))|Armide caressée par l'amour. L'héroïne, vue de trois quarts, tourne la tête vers le spectateur et soulève de la main droite une draperie blanche, qui enlace ses charmes et laisse entrevoir un bras arrondi, posé sur le casque de son amant; des rêves voluptueux colorent son visage et agitent son sein; près d'elle est l'amour qui achève de répandre sur cette charmante composition un charme de bonheur]] réalisée par Thys (Pierre), vendue par Stevens, achetée par Angus au prix de 75 fl. [38]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Quoique très simple, ce petit tableau renferme des parties charmantes; il représente un paysage dont la majeure partie est occupée par un rocher couronné de brousailles; sur le premier plan trois petites figures en conversation en font l'ornement; une quatrième est en marche vers un village que l'on voit sur le second plan; le ton argentin et la touche spirituelle se font remarquer par tout le tableau (Teniers (David) Le Jeune)|Quoique très simple, ce petit tableau renferme des parties charmantes; il représente un paysage dont la majeure partie est occupée par un rocher couronné de brousailles; sur le premier plan trois petites figures en conversation en font l'ornement; une quatrième est en marche vers un village que l'on voit sur le second plan; le ton argentin et la touche spirituelle se font remarquer par tout le tableau]] réalisée par Teniers (David) Le Jeune, vendue par Stevens, achetée par Gerard au prix de 100 fl. [39]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme La mort de Socrate. C'est le moment où entouré de ses disciples, il reçoit la coupe fatale réalisée par Schaken, vendue par Stevens, achetée par Tencé au prix de 52 fl. [40]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un fort chien vu par derrière, tient sous ses pattes redoutables un lièvre mourant; il detourne la tête à deux autres chiens, auxquels il semble vouloir défendre sa proie. Cette composition peut être comparée à ce qu'à fait de mieux ce grand maître. Les animaux sont de grandeur naturelle (Snyders (François))|Un fort chien vu par derrière, tient sous ses pattes redoutables un lièvre mourant; il detourne la tête à deux autres chiens, auxquels il semble vouloir défendre sa proie. Cette composition peut être comparée à ce qu'à fait de mieux ce grand maître. Les animaux sont de grandeur naturelle]] réalisée par Snyders (François), vendue par Stevens, achetée par van Gameren au prix de 90 fl. [41]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Dans des plats d'argent posés sur un socle, on voit des huitres, écrévisses et cristeaux, artistement groupées; une corbeille de fruits divers, le tout peint avec beaucoup d'art réalisée par Snyders (François), vendue par Stevens, achetée par Dupier au prix de 54 fl. [42]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage Historique. Sur le premier plan, une eau remplie de joncs coule entre des collines fraîches et boisées, au-delà desquelles s'éleve majestueusement une grande masse d'arbres dont la touche et l'exécution sont très délicates; dans le fond on voit des ruines; l'horizon azuré se découpe sur un ciel chaud et lumineux. Ce paysage est d'une exécution remarquable; la couleur délicate et argentine, les figures spirituellement touchées, représentent le Baptême d'un roi nègre (Snellinck)|Paysage Historique. Sur le premier plan, une eau remplie de joncs coule entre des collines fraîches et boisées, au-delà desquelles s'éleve majestueusement une grande masse d'arbres dont la touche et l'exécution sont très délicates; dans le fond on voit des ruines; l'horizon azuré se découpe sur un ciel chaud et lumineux. Ce paysage est d'une exécution remarquable; la couleur délicate et argentine, les figures spirituellement touchées, représentent le Baptême d'un roi nègre]] réalisée par Snellinck, vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 70 fl. [43]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sous un ciel clair et nuageux est une chute d'eau écumante, entourrée d'arbres et broussailles; un moulin à eau en ruine est vivement éclairé par le soleil qui perce à travers les nuages. Au bord de la rivière une femme lave du linge; un petit garçon fait nager un chien. Ce tableau est d'un très bel effet (Regemorter (J. van))|Sous un ciel clair et nuageux est une chute d'eau écumante, entourrée d'arbres et broussailles; un moulin à eau en ruine est vivement éclairé par le soleil qui perce à travers les nuages. Au bord de la rivière une femme lave du linge; un petit garçon fait nager un chien. Ce tableau est d'un très bel effet]] réalisée par Regemorter (J. van), vendue par Stevens, achetée par Van Besselaer au prix de 270 fl. [44]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un ciel bleu et nuageux produit un effet admirable; des groupes nombreux d'animaux divers couchés à l'entrée d'une grotte surmonté d'arbres; tous se reposent sur le gazon. On remarque sur l'avant plan un jeune taureau digne du pinceau du célèbre Potter; le ciel petillant de finesse couronne une chaîne de montagnes azurées. Ce tableau peut être regardé comme un des meilleurs de son auteur (Romyn (Wylem))|Un ciel bleu et nuageux produit un effet admirable; des groupes nombreux d'animaux divers couchés à l'entrée d'une grotte surmonté d'arbres; tous se reposent sur le gazon. On remarque sur l'avant plan un jeune taureau digne du pinceau du célèbre Potter; le ciel petillant de finesse couronne une chaîne de montagnes azurées. Ce tableau peut être regardé comme un des meilleurs de son auteur]] réalisée par Romyn (Wylem), vendue par Stevens, achetée par Mayien au prix de 275 fl. [45]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Au bas d'une montagne aride, sont deux bergers gardant leur troupeau de vaches et moutons; l'un des bergers est profondement endormi, son chien et sa houlette près de lui, son camarade cherche à l'éveiller. Il règne dans ce tableau une chaleur ardente; les figures sont peintes dans le style de Rembrant; la correction du dessin, la touche la plus hardie, portent le cachet du maître (Rosa (Salvator))|Au bas d'une montagne aride, sont deux bergers gardant leur troupeau de vaches et moutons; l'un des bergers est profondement endormi, son chien et sa houlette près de lui, son camarade cherche à l'éveiller. Il règne dans ce tableau une chaleur ardente; les figures sont peintes dans le style de Rembrant; la correction du dessin, la touche la plus hardie, portent le cachet du maître]] réalisée par Rosa (Salvator), vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 225 fl. [46]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage sauvage et montagneux, on voit les restes d'un grand et majestueux édifice romain, près duquel des cavaliers cuirassés font une halte; une cavalcade passe les alpes avec son troupeau. Ce tableau est traité de la manière la plus hardie, les figures dessignées avec infiniment de tact et de sentiment, rapellent le style fougueux de ce maître (Rosa (Salvator))|Dans un paysage sauvage et montagneux, on voit les restes d'un grand et majestueux édifice romain, près duquel des cavaliers cuirassés font une halte; une cavalcade passe les alpes avec son troupeau. Ce tableau est traité de la manière la plus hardie, les figures dessignées avec infiniment de tact et de sentiment, rapellent le style fougueux de ce maître]] réalisée par Rosa (Salvator), vendue par Stevens, achetée par Laurent au prix de 120 fl. [47]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sous un berceau de verdure, est assise la vierge tenant sur ses genoux l'enfant Jésus, qui reçoit de la main du petit St.-Jean le fil auquel est attaché un oiseau; St.-Joseph et St.-Anne contemplent avec délices les jeux des deux enfants (Rubens (d'après))|Sous un berceau de verdure, est assise la vierge tenant sur ses genoux l'enfant Jésus, qui reçoit de la main du petit St.-Jean le fil auquel est attaché un oiseau; St.-Joseph et St.-Anne contemplent avec délices les jeux des deux enfants]] réalisée par Rubens (d'après), vendue par Stevens, achetée par Verlinde au prix de 200 fl. [48]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Tête d'un hermite les yeux levés au ciel; la couleur chaude et dorée rapelle bien le pinceau de ce grand maître réalisée par Rubens (ou sa manière), vendue par Stevens, achetée par Lerwerend au prix de 55 fl. [49]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'une femme d'âge. Les accessoires de ce portrait ne sont point finis; mais la figure est d'une finesse et d'une pureté de ton admirable réalisée par Rubens (Pierre Paul), vendue par Stevens, achetée par Const ? au prix de 44 fl. [50]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme L'Escaut dompté. Il règne dans cette composition allégorique de trois figures seulement, une richesse de teintes qui n'appartient qu'à Rubens seul de les unir avec tant d'harmonie. Ce tableau n'est qu'une esquisse terminée réalisée par Rubens (Pierre Paul), vendue par Stevens, achetée par Gerard au prix de 90 fl. [51]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Madelaine penitente. Dans un lieu solitaire, entouré de frais feuillages, la pénitente est assise sur une draperie cramoisie, qui fait ressortir sa belle carnation. Elle a la main gauche posée sur son sein, les yeux levés au ciel et baignés de larmes; elle pose le pied gauche sur une tête de mort entourée d'un serpent. Ce petit tableau est très fin et transparent (Rubens (Pierre Paul))|La Madelaine penitente. Dans un lieu solitaire, entouré de frais feuillages, la pénitente est assise sur une draperie cramoisie, qui fait ressortir sa belle carnation. Elle a la main gauche posée sur son sein, les yeux levés au ciel et baignés de larmes; elle pose le pied gauche sur une tête de mort entourée d'un serpent. Ce petit tableau est très fin et transparent]] réalisée par Rubens (Pierre Paul), vendue par Stevens, achetée par Steyaert au prix de 480 fl. [52]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Sur un ciel sombre et nuageux se dessinent differents navires agités par les flots. Ce tableau est traité dans la manière d'Everdingen réalisée par Pomp (C.), vendue par Stevens, achetée par Mayien au prix de 30 fl. [53]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[La plage de Scheveningen. Sur une terasse sablonneuse quelque poissonniers étalent le produit leur pêche; un cavalier en habit rouge s'y arrête; on voit des chaloupes qui arrivent, d'autres mettent au large. Ce tableau est peint avec beaucoup de vigueur (Poel (van der))|La plage de Scheveningen. Sur une terasse sablonneuse quelque poissonniers étalent le produit leur pêche; un cavalier en habit rouge s'y arrête; on voit des chaloupes qui arrivent, d'autres mettent au large. Ce tableau est peint avec beaucoup de vigueur]] réalisée par Poel (van der), vendue par Stevens, achetée par Dupier au prix de 145 fl. [54]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Bataille. Sur l'avant scène plusieurs cavaliers font une vigoureuse attaque; plus loin d'autres sont à la poursuite de l'ennemi réalisée par Palamede, vendue par Stevens, achetée par Verlinde ? au prix de 38 fl. [55]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une eau douce et calme coule, entre les collines fraiches et boisées, au-delà desquelles des rochers bleuâtres se dessinent sur un ciel clair et vif; à l'avant scène, quatre nymphes sorties du bain vont se reposer au soleil, au milieu de la rivière est une autre qui se baigne; plus loin et de l'autre côté de la rivière d'autres se disposent à la nage. Le paysage de ce petit tableau est d'un dessin et d'une exécution remarquables; la couleur délicate et argentine (Poelenburg (Corneil))|Une eau douce et calme coule, entre les collines fraiches et boisées, au-delà desquelles des rochers bleuâtres se dessinent sur un ciel clair et vif; à l'avant scène, quatre nymphes sorties du bain vont se reposer au soleil, au milieu de la rivière est une autre qui se baigne; plus loin et de l'autre côté de la rivière d'autres se disposent à la nage. Le paysage de ce petit tableau est d'un dessin et d'une exécution remarquables; la couleur délicate et argentine]] réalisée par Poelenburg (Corneil), vendue par Stevens, achetée par Laurent au prix de 55 fl. [56]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage boisé et entrecoupé par une cascade surmonté d'un pont fragile, quelques nymphes se baignent; dejà plusieurs d'entrelles sorties du bain sont mollement couchées dans d'élegantes draperies; rien ne peut définir le charme voluptueux et la délicatesse de sentiment répandus sur ce paneau. Le groupe sur l'avant plan est admirablement disposé, les figures, variées dans leur formes et dans leur couleur, offrent un assemblage de toute beauté; ces contours si sveltes, ces carnations si suaves, rapellent toute la grace qui caracterise les bons ouvrages de ce maître. Sur le second plan on voit des vaches couchées dans le gazon et dans le lointain fortement boisé un patre conduisant son troupeau (Poelenburg (Corneil))|Dans un paysage boisé et entrecoupé par une cascade surmonté d'un pont fragile, quelques nymphes se baignent; dejà plusieurs d'entrelles sorties du bain sont mollement couchées dans d'élegantes draperies; rien ne peut définir le charme voluptueux et la délicatesse de sentiment répandus sur ce paneau. Le groupe sur l'avant plan est admirablement disposé, les figures, variées dans leur formes et dans leur couleur, offrent un assemblage de toute beauté; ces contours si sveltes, ces carnations si suaves, rapellent toute la grace qui caracterise les bons ouvrages de ce maître. Sur le second plan on voit des vaches couchées dans le gazon et dans le lointain fortement boisé un patre conduisant son troupeau]] réalisée par Poelenburg (Corneil), vendue par Stevens, achetée par Baranowski au prix de 125 fl. [57]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Rien ne peut donner une idee de la simplicité et de la grace de cette admirable petite toile. Sur une terasse élevée est debout une vache d'un ton jaunâtre, la tête blanche; près d'elle un beau mouton couché à côté d'une touffe d'arbres. Au lointain, dont l'horizon et très bas, on distingue une prairie dans laquelle sont des figures et animaux. Ce tableau est d'une couleur très argentine; l'effet que l'artiste a tiré des oppositions sagement amenées des ombres et des lumières, est piquant et la touche est grasse, large et fondue (Potter (Paul))|Rien ne peut donner une idee de la simplicité et de la grace de cette admirable petite toile. Sur une terasse élevée est debout une vache d'un ton jaunâtre, la tête blanche; près d'elle un beau mouton couché à côté d'une touffe d'arbres. Au lointain, dont l'horizon et très bas, on distingue une prairie dans laquelle sont des figures et animaux. Ce tableau est d'une couleur très argentine; l'effet que l'artiste a tiré des oppositions sagement amenées des ombres et des lumières, est piquant et la touche est grasse, large et fondue]] réalisée par Potter (Paul), vendue par Stevens, achetée par Van Gameren au prix de 500 fl. [58]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Hérodiade tient sur un plat la tête de St.-Jean; à côté d'elle est une de ses compagnes. Ce tableau est d'une grande finesse de ton réalisée par Palme (Le Vieux), vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 60 fl. [59]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un riant paysage entre coupé d'une source l'impide on voit St.-Cecile, jouant de l'orgue et accompagnée de plusieurs anges; cet ouvrage petille de finesse; la touche est legère et spirituelle, le dessin correct et la couleur fort argentine (Pesaro (Simon Da))|Dans un riant paysage entre coupé d'une source l'impide on voit St.-Cecile, jouant de l'orgue et accompagnée de plusieurs anges; cet ouvrage petille de finesse; la touche est legère et spirituelle, le dessin correct et la couleur fort argentine]] réalisée par Pesaro (Simon Da), vendue par Stevens, achetée par Steyaert au prix de 30 fl. [60]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un lieu solitaire, entouré de frais feuillage et orné d'une architecture élégante, Susanne est assise sur un banc de marbre, prête à rentrer au bain; déjà elle a effleuré la surface de l'eau, et déjà une draperie légère qui voile ses appas, est prête à tomber; lorsque tout-a-coup elle apperçoit les deux vieillards près d'elle. Surprise et alarmée, elle s'efforce de cacher son sein; l'effroi et la pudeur ont répandu un léger incarnat sur son visage; elle repousse de la main gauche un des vieillards, dont la carnation basanée contraste singulièrement avec celle de la chaste vierge; le second au regard impudique, respire l'envie, et son oeil avide dévore les attraits de la baigneuse. Ce tableau est parfaitement peint jusque dans les moindres détails et rappelle bien l'école de Raphaël (Piombo (Sebastien Del))|Dans un lieu solitaire, entouré de frais feuillage et orné d'une architecture élégante, Susanne est assise sur un banc de marbre, prête à rentrer au bain; déjà elle a effleuré la surface de l'eau, et déjà une draperie légère qui voile ses appas, est prête à tomber; lorsque tout-a-coup elle apperçoit les deux vieillards près d'elle. Surprise et alarmée, elle s'efforce de cacher son sein; l'effroi et la pudeur ont répandu un léger incarnat sur son visage; elle repousse de la main gauche un des vieillards, dont la carnation basanée contraste singulièrement avec celle de la chaste vierge; le second au regard impudique, respire l'envie, et son oeil avide dévore les attraits de la baigneuse. Ce tableau est parfaitement peint jusque dans les moindres détails et rappelle bien l'école de Raphaël]] réalisée par Piombo (Sebastien Del), vendue par Stevens, achetée par Tencé au prix de 135 fl. [61]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Dans un paysage fortement boisé est assise la Vierge tenant dans ses bras l'enfant Jésus. Ce tableau est d'une bonne couleur et la figure amplement drapée réalisée par Oost (Le Père), vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 70 fl. [62]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Devant une table grotesque sur la quelle on voit le pot à bierre et le tabac, est assis un homme à la figure joyeuse, le coude appuyé sur la table et fumant la pipe; il est coiffé d'un bonnet rouge, posé sur l'oreille; sur le second plan on voit deux autres paysans assis sur un banc, l'un d'eux, vu par le dos, tient une femme dans ses bras, passant gaiement leur temps à boire et à chanter. Ce tableau d'une couleur dorée est on ne peut plus agréable (Ostade (Adrien van))|Devant une table grotesque sur la quelle on voit le pot à bierre et le tabac, est assis un homme à la figure joyeuse, le coude appuyé sur la table et fumant la pipe; il est coiffé d'un bonnet rouge, posé sur l'oreille; sur le second plan on voit deux autres paysans assis sur un banc, l'un d'eux, vu par le dos, tient une femme dans ses bras, passant gaiement leur temps à boire et à chanter. Ce tableau d'une couleur dorée est on ne peut plus agréable]] réalisée par Ostade (Adrien van), vendue par Stevens, achetée par Smekens au prix de 75 fl. [63]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans l'intérieur d'une maison rustique, Adrien a représenté sur l'avant scène, trois paysans devant une table, dont les attitudes et les caractères variés et originaux offrent un veritable bijou de l'auteur; l'un d'eux vu par le dos, est assis sur un banc, bourant sa pippe; devant lui, un autre, vu de profil, le dos appuyé contre sa chaise et tenant de la main droite une pipe contemple avec une vive satisfaction leur réunion joviale; au milieu de la table, est le troisième, vu de face, tenant de la main gauche une canette et de l'autre un verre à bierre qu'il offre à une jeune paysanne qui le reçoit gaiement. La belle conservation de ce tableau, l'originalité et la naïvité des figures, l'admirable harmonie, jointe à l'entente parfaite du clair obscur, le distingue parmi les bons ouvrages de ce maître (Ostade (Adrien van))|Dans l'intérieur d'une maison rustique, Adrien a représenté sur l'avant scène, trois paysans devant une table, dont les attitudes et les caractères variés et originaux offrent un veritable bijou de l'auteur; l'un d'eux vu par le dos, est assis sur un banc, bourant sa pippe; devant lui, un autre, vu de profil, le dos appuyé contre sa chaise et tenant de la main droite une pipe contemple avec une vive satisfaction leur réunion joviale; au milieu de la table, est le troisième, vu de face, tenant de la main gauche une canette et de l'autre un verre à bierre qu'il offre à une jeune paysanne qui le reçoit gaiement. La belle conservation de ce tableau, l'originalité et la naïvité des figures, l'admirable harmonie, jointe à l'entente parfaite du clair obscur, le distingue parmi les bons ouvrages de ce maître]] réalisée par Ostade (Adrien van), vendue par Stevens, achetée par Van der Schrieck Louvain au prix de 50 [or] 740 fl. [64]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage avec moutons. Sur le premier plan qui représente une terasse, s'éleve un arbre gracieusement déployé; un mouton d'une rare beauté et dans une attitude mobile s'y fait remarquer sous un ciel orageux; sur le second plan est un jeune pâtre conduisant un troupeau de moutons à travers une eau limpide. Ce charmant tableau, quoique d'une composition simple, atteste tout le talent du maître dont les productions sont si recherchées aujourd'hui (Ommeganck (Balthazar))|Paysage avec moutons. Sur le premier plan qui représente une terasse, s'éleve un arbre gracieusement déployé; un mouton d'une rare beauté et dans une attitude mobile s'y fait remarquer sous un ciel orageux; sur le second plan est un jeune pâtre conduisant un troupeau de moutons à travers une eau limpide. Ce charmant tableau, quoique d'une composition simple, atteste tout le talent du maître dont les productions sont si recherchées aujourd'hui]] réalisée par Ommeganck (Balthazar), vendue par Stevens, achetée par Van Nieuwenhuyzen au prix de 800 fl. [65]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Intérieur du temple de Salomon. Ce tableau est remarquable par l'élegance de cet édifice; il est orné d'une quantité de jolies figures bien variées, représentant un sacrifice réalisée par Neefs (Pierre dit Le Vieux), vendue par Stevens, achetée par Dupier ? au prix de 225 fl. [66]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Dans un paysage bordé de rochers, d'où tombe une cascade, on voit un immense édifice d'une construction la plus élegante, quelques jolies figures animent ce paysage réalisée par Nyts, vendue par Stevens, achetée par Mayn au prix de 10 fl. [67]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Clair de Lune. La lune, couchée dans un horizon qui va à perte de vue, se refléte dans une large rivière; au bord de cette eau et, à l'avant plan, est tendu un grand filet; à gauche se voit une grande partie d'une ville qui produit un effet admirable; des barques de différent genre ornent ce précieux tableau, recherché, comme tout ceux de ce maître par les amateurs avec tant de prédilection (Neer (Aert van der))|Clair de Lune. La lune, couchée dans un horizon qui va à perte de vue, se refléte dans une large rivière; au bord de cette eau et, à l'avant plan, est tendu un grand filet; à gauche se voit une grande partie d'une ville qui produit un effet admirable; des barques de différent genre ornent ce précieux tableau, recherché, comme tout ceux de ce maître par les amateurs avec tant de prédilection]] réalisée par Neer (Aert van der), vendue par Stevens, achetée par Gruyter au prix de 280 fl. [68]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Esquisse. L'Adoration des Mages réalisée par Morulze (Paul), vendue par Stevens, achetée par Donker au prix de 17 fl. [69]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge tenant dans ses bras l'enfant Jésus. Ce tableau peint dans le style Italien, est d'une fort belle couleur et correctement dessiné réalisée par Moreelze, vendue par Stevens, achetée par Mayien au prix de 32 fl. [70]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Dans une fenêtre entourée d'un groseiller, est une dentelière; à côté d'elle est suspendu à la muraille un cage d'oiseau réalisée par Metzu (genre de), vendue par Stevens, achetée par Warneck au prix de 58 fl. [71]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage gai et riant, se voit un grand nombre de figures et animaux; au bord d'une eau limpide, un pâtre passe avec un troupeau de moutons, près duquel est un âne chargé et conduit par deux campagnards; un palfrenier mène ses chevaux à l'abreuvoir; quelques vaches y vont également se desalterer; au second plan on voit deux femmes. Le tout est rendu avec grande verité et peint avec beaucoup de fraîcheur (Michau)|Dans un paysage gai et riant, se voit un grand nombre de figures et animaux; au bord d'une eau limpide, un pâtre passe avec un troupeau de moutons, près duquel est un âne chargé et conduit par deux campagnards; un palfrenier mène ses chevaux à l'abreuvoir; quelques vaches y vont également se desalterer; au second plan on voit deux femmes. Le tout est rendu avec grande verité et peint avec beaucoup de fraîcheur]] réalisée par Michau, vendue par Stevens, achetée par van Gameren au prix de 170 fl. [72]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Nature morte. Ce joli tableau est du fini le plus précieux et d'une composition très agréable. Sur un socle sont artistement groupês des pêches et raisins, verres de cristeaux etc.; plusieurs insectes et des papillons, enrichissent ce groupe de productions végétales. La couleur vraie et délicate, le fini et le moëlleux dans l'exécution, forment illusion et rendent ce tableau en tout point digne de ce grand Peintre (Mignon (Abraham))|Nature morte. Ce joli tableau est du fini le plus précieux et d'une composition très agréable. Sur un socle sont artistement groupês des pêches et raisins, verres de cristeaux etc.; plusieurs insectes et des papillons, enrichissent ce groupe de productions végétales. La couleur vraie et délicate, le fini et le moëlleux dans l'exécution, forment illusion et rendent ce tableau en tout point digne de ce grand Peintre]] réalisée par Mignon (Abraham), vendue par Stevens, achetée par van Gameren au prix de 65 fl. [73]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[A l'entrée d'une forêt, sous des arbres magnifiques, on voit un cavalier monté sur un cheval blanc; à côté de lui est une dame sur un cheval brun; près de là est assis sur le gazon un chasseur entouré de ses chiens; plus loin, on voit un autre chasseur lachant un coup de feu dans des broussailles; sur l'avant plan est un chien qui va se desalterer dans un ruisseau. Il regne dans ce beau paysage un effet sombre; le feuillage est facile et leger et la touche spirituelle, ce qui caracterise les bons ouvrages de ce maître (Moucheron (Isaac))|A l'entrée d'une forêt, sous des arbres magnifiques, on voit un cavalier monté sur un cheval blanc; à côté de lui est une dame sur un cheval brun; près de là est assis sur le gazon un chasseur entouré de ses chiens; plus loin, on voit un autre chasseur lachant un coup de feu dans des broussailles; sur l'avant plan est un chien qui va se desalterer dans un ruisseau. Il regne dans ce beau paysage un effet sombre; le feuillage est facile et leger et la touche spirituelle, ce qui caracterise les bons ouvrages de ce maître]] réalisée par Moucheron (Isaac), vendue par Stevens, achetée par [[Verlat [?]]] au prix de 360 fl. [74]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage accidenté, couvert de buissons et d'arbres de différentes espèces. A droite est une masse d'arbres, dominant sur un ciel clair et nuageux; le lointain, d'où l'on découvre une grande étendue de pays, est d'une beauté difficile à décrire: on y voit des chasseurs à la poursuite d'un cerf; quelques belles figures sur le premier plan se détachent parfaitement d'un fond vigoureux. Ce beau tableau ne laisse rien à désirer, tant pour la couleur, que pour le fini des détails (Moucheron (Isaac))|Paysage accidenté, couvert de buissons et d'arbres de différentes espèces. A droite est une masse d'arbres, dominant sur un ciel clair et nuageux; le lointain, d'où l'on découvre une grande étendue de pays, est d'une beauté difficile à décrire: on y voit des chasseurs à la poursuite d'un cerf; quelques belles figures sur le premier plan se détachent parfaitement d'un fond vigoureux. Ce beau tableau ne laisse rien à désirer, tant pour la couleur, que pour le fini des détails]] réalisée par Moucheron (Isaac), vendue par Stevens, achetée par Tencé au prix de 380 fl. [75]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Devant un piedestal d'une structure élegante et à demi couvert d'un magnifique tapis de turquie, une jeune dame richement vêtue, étale le manger d'un joli petit chien épagneul qu'elle tient dans ses bras. Son oeil respire la bonté et la tendresse, sa taille est d'une élegance charmante, et son costume très soigné, rehausse avec avantage la régularité de ces traits. Elle regarde avec attention un vase rempli de pavots, qui se voit à côté d'elles; le fond est orné de statues en bas-reliefs, laisse appercevoir un beau jardin qui se termine par des montagnes azurées. Ce tableau est un des plus remaquables de la collection et d'une conservation parfaite (Mieris (Fr.))|Devant un piedestal d'une structure élegante et à demi couvert d'un magnifique tapis de turquie, une jeune dame richement vêtue, étale le manger d'un joli petit chien épagneul qu'elle tient dans ses bras. Son oeil respire la bonté et la tendresse, sa taille est d'une élegance charmante, et son costume très soigné, rehausse avec avantage la régularité de ces traits. Elle regarde avec attention un vase rempli de pavots, qui se voit à côté d'elles; le fond est orné de statues en bas-reliefs, laisse appercevoir un beau jardin qui se termine par des montagnes azurées. Ce tableau est un des plus remaquables de la collection et d'une conservation parfaite]] réalisée par Mieris (Fr.), vendue par Stevens, achetée par Leroy au prix de 950 fl. [76]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un chemin bordé de rochers, un cavalier avec sa compagne font une halte près d'une fontaine; le premier, descendu de sa blanche monture et accoutré d'une manière piquante, va se désalterer à la fontaine: deux beaux chiens achévent de composer le groupe. La composition de ce petit tableau est très agréable; la lumière est distribuée avec beaucoup d'art et le paysage touché de la manière le plus délicate (Laar (Pierre de))|Dans un chemin bordé de rochers, un cavalier avec sa compagne font une halte près d'une fontaine; le premier, descendu de sa blanche monture et accoutré d'une manière piquante, va se désalterer à la fontaine: deux beaux chiens achévent de composer le groupe. La composition de ce petit tableau est très agréable; la lumière est distribuée avec beaucoup d'art et le paysage touché de la manière le plus délicate]] réalisée par Laar (Pierre de), vendue par Stevens, achetée par Simonet au prix de 165 [or] 175 fl. [77]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Cette jolie tête penchée sur l'épaule gauche, offre des traits pleins de douceur, la couleur en est fraîche et harmonieuse réalisée par Lens (André), vendue par Stevens, achetée par Warneck au prix de 36 fl. [78]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Une Bacchante. D'un fond bleuâtre se detache une jolie tête de femme; sa blonde chévelure entremêlée de feuilles de vigne retombe en longues tresses ondoyantes sur l'épaule gauche et laisse entrevoir une belle gorge réalisée par Lens (André), vendue par Stevens, achetée par Warneck au prix de 36 fl. [79]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Serment de l'Amitié. Cette scène de tendresse est traitée d'une manière très poëtique, qui distingue dans toutes ses compositions ce peintre savant; au dessus d'un autel dressé, les deux intimes se donnent la main d'union; ils sont accompagnés de trois assistans, l'amour à côté d'eux, éleve une torche allumée; le dessin en très correct; les draperies du meilleur goût et le coloris fort animé, convenant au sujet (Lens (André))|Le Serment de l'Amitié. Cette scène de tendresse est traitée d'une manière très poëtique, qui distingue dans toutes ses compositions ce peintre savant; au dessus d'un autel dressé, les deux intimes se donnent la main d'union; ils sont accompagnés de trois assistans, l'amour à côté d'eux, éleve une torche allumée; le dessin en très correct; les draperies du meilleur goût et le coloris fort animé, convenant au sujet]] réalisée par Lens (André), vendue par Stevens, achetée par Steyaert au prix de 125 fl. [80]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Enfance de Bacchus. Deux Bacchantes assises sur un tertre élevé, tiennent ce gracieux enfant; l'une d'elle va le saisir pour le poser sur un bouc, couché à l'avant scène et retenu par un enfant; un troisième y accourt et présente une grappe de raisins. Cette oeuvre peut être regardée comme une des meilleures productions de ce maître: rien de plus gracieux que la Bacchante d'un rouge pourpre, une draperie blanche tombant d'une épaule, laisse entrevoir une gorge rebondissant de jeunesse et de fraîcheur (Lens (André))|L'Enfance de Bacchus. Deux Bacchantes assises sur un tertre élevé, tiennent ce gracieux enfant; l'une d'elle va le saisir pour le poser sur un bouc, couché à l'avant scène et retenu par un enfant; un troisième y accourt et présente une grappe de raisins. Cette oeuvre peut être regardée comme une des meilleures productions de ce maître: rien de plus gracieux que la Bacchante d'un rouge pourpre, une draperie blanche tombant d'une épaule, laisse entrevoir une gorge rebondissant de jeunesse et de fraîcheur]] réalisée par Lens (André), vendue par Stevens, achetée par Van Gameren au prix de 120 fl. [81]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jeu de Tric-trac. Cette composition de cinq figures choisies dans un rang élevé, forment un tableau très agréable. Les belles draperies, les poses gracieuses des femmes sont artistement traitées et mettent ce tableau au rang des bons ouvrages de ce maître (Laenen (van der))|Jeu de Tric-trac. Cette composition de cinq figures choisies dans un rang élevé, forment un tableau très agréable. Les belles draperies, les poses gracieuses des femmes sont artistement traitées et mettent ce tableau au rang des bons ouvrages de ce maître]] réalisée par Laenen (van der), vendue par Stevens, achetée par Van Gameren au prix de 65 [or] 75 fl. [82]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage fortement boisé et traversé par un lac, le peintre a représenté le bain de Diane. La Déesse entourée de ses nymphes, se repose au soleil; à droite du spectateur, sur un plan reculé on aperçoit des baigneuses surprises par l'arrivée d'Actéon: elles font un effort pour rejoindre leurs compagnes. Le paysage est d'un dessin et d'une exécution remarquables; les figures sont très expressives; l'effroi, le désir, la lubricité et le repos, sont tour-à-tour parfaitement rendus. Cet oeuvre est en tout digne de Poelenburg (Lis (Jean))|Dans un paysage fortement boisé et traversé par un lac, le peintre a représenté le bain de Diane. La Déesse entourée de ses nymphes, se repose au soleil; à droite du spectateur, sur un plan reculé on aperçoit des baigneuses surprises par l'arrivée d'Actéon: elles font un effort pour rejoindre leurs compagnes. Le paysage est d'un dessin et d'une exécution remarquables; les figures sont très expressives; l'effroi, le désir, la lubricité et le repos, sont tour-à-tour parfaitement rendus. Cet oeuvre est en tout digne de Poelenburg]] réalisée par Lis (Jean), vendue par Stevens, achetée par Baranowsky au prix de 80 [or] 85 fl. [83]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Au pied d'un chêne ronceux, deux lièvres jouent dans le gazon; sur l'avant plan quelques grosses plantes et racines, servent de reposoir: le fond boisé est peint avec beaucoup de tact réalisée par Kerck (Wyn), vendue par Stevens, achetée par Gerard au prix de 36 fl. [84]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Sur une plate forme en marbre blanc sont posés un filet, un carquois et arc, peints dans la perfection; le fond est un paysage boisé, où on voit quelques oiseaux parmi lesquels on distingue un beau peroquet vert perché sur un arbre réalisée par Kessel (Van), vendue par Stevens, achetée par Donker au prix de 22 fl. [85]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Jugement du Renard. A gauche on voit assis sur un estrade le Roi des animaux comme président du tribunal; tenant le septre et le glaive; il est entouré des juges; l'animal coupable, garrotté et escorté par les témoins, est amène devant ce tribunal criminel; tous les quadrupèdes viennent déposer contre lui; les victimes telles que lièvres, poulets, canards, et autres, sont étalés devant ce nombreux auditoire; dans le lointain est une potence dressée, où on voit l'exécution du coupable. Cette composition est très ingénieuse et originale (Kessel (Van))|Le Jugement du Renard. A gauche on voit assis sur un estrade le Roi des animaux comme président du tribunal; tenant le septre et le glaive; il est entouré des juges; l'animal coupable, garrotté et escorté par les témoins, est amène devant ce tribunal criminel; tous les quadrupèdes viennent déposer contre lui; les victimes telles que lièvres, poulets, canards, et autres, sont étalés devant ce nombreux auditoire; dans le lointain est une potence dressée, où on voit l'exécution du coupable. Cette composition est très ingénieuse et originale]] réalisée par Kessel (Van), vendue par Stevens, achetée par van Gameren au prix de 42 fl. [86]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'un jeune homme coiffé d'un chapeau et habillé de noir, ressort avec éclat, sur un paysage doux et harmonieux réalisée par Kolie (Ver), vendue par Stevens, achetée par Dupiere Valenciennes au prix de 100 fl. [87]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Deux figures à demi-corps composent ce petit tableau. Un jeune homme s'apprête, le violon en main, à accompagner le chant d'une jeune dame, assise près de lui et tenant sur ses genoux un cahier de musique réalisée par Kolie (Ver), vendue par Stevens, achetée par Mayn au prix de 320 [or] 340 fl. [88]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme La Salutation Angélique. On remarque dans cette composition une élegance de dessin et de poses bien senties et naturelles; en haut est une gloire, où on voit le Père Éternel et le St.-Esprit environés d'anges réalisée par Krake (Lambert), vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 48 fl. [89]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme L'enfant Jésus, debout sur un globe celèste, tient de la main gauche la croix de la passion; la tête refletée par une draperie cramoisie, qui couvre l'épaule gauche, produit un fort bel effet réalisée par Jordaens (Jacques), vendue par Stevens, achetée par Tencé au prix de 38 fl. [90]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Sujet Mythologique. Ce tableau est d'une beauté rare. Jamais Jordaens n'a mieux dessiné et fondu ses teintes. Les carnations sont d'une grande fraîcheur et verité réalisée par Jordaens (Jacques), vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 25 [or] 85 fl. [91]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jugement de Midas. Cette belle composition de treize figures académiques, rapelle le grand talent du célèbre coloriste. Les figures sont groupées et dessinées avec beaucoup d'art, ce qui est une qualité propre à ce maître. Le paysage est également très bien traité (Jordaens (Jacques))|Jugement de Midas. Cette belle composition de treize figures académiques, rapelle le grand talent du célèbre coloriste. Les figures sont groupées et dessinées avec beaucoup d'art, ce qui est une qualité propre à ce maître. Le paysage est également très bien traité]] réalisée par Jordaens (Jacques), vendue par Stevens, achetée par Wouters au prix de 110 fl. [92]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le jeune Bacchus, couché sur une draperie bleue, laite une chèvre que tient une bacchante. Un satyre leve la patte de cet animal; près delà est un autre satyre à tête joviale, dansant et jouant du tambour de basque, pendant qu'un troisième caresse une nimphe. Ce tableau est d'une très belle couleur et d'une grande intelligence de clair obscur (Jordaens (Jacques))|Le jeune Bacchus, couché sur une draperie bleue, laite une chèvre que tient une bacchante. Un satyre leve la patte de cet animal; près delà est un autre satyre à tête joviale, dansant et jouant du tambour de basque, pendant qu'un troisième caresse une nimphe. Ce tableau est d'une très belle couleur et d'une grande intelligence de clair obscur]] réalisée par Jordaens (Jacques), vendue par Stevens, achetée par De Burtin au prix de 60 [or] 65 fl. [93]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans l'intérieur d'une cuisine rustique se trouve étalé du gibier, poissons, fruits, légumes de toute espèce; la gauche est ornée de trois belles figures et d'un chien, le tout de grandeur naturelle et du plus beau faire de Jordaens. Le poissonnier, accompagné de deux femmes, verse à terre un panier de poisson, qu'un chien contemple avec avidité; il serait difficile à décrire la beauté de ce tableau; le tout est rendu avec une vérité qui va jusqu'à l'illusion. On voit que Jordaens s'est plût à embellir ce chef d'oeuvre; car ces trois figures sont d'une admirable beauté (Jordaens (Jacques))|Dans l'intérieur d'une cuisine rustique se trouve étalé du gibier, poissons, fruits, légumes de toute espèce; la gauche est ornée de trois belles figures et d'un chien, le tout de grandeur naturelle et du plus beau faire de Jordaens. Le poissonnier, accompagné de deux femmes, verse à terre un panier de poisson, qu'un chien contemple avec avidité; il serait difficile à décrire la beauté de ce tableau; le tout est rendu avec une vérité qui va jusqu'à l'illusion. On voit que Jordaens s'est plût à embellir ce chef d'oeuvre; car ces trois figures sont d'une admirable beauté]] réalisée par Jordaens (Jacques), vendue par Stevens, achetée par Wouters au prix de 600 fl. [94]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Dans un paysage agreste, on voit Orphée entouré de quadrupèdes, qu'il attire par son chant et sa musique mélodieuse; à gauche sur le sommet d'une montagne on voit un sacrifice réalisée par Jonghe (De Wit signé), vendue par Stevens, achetée par van Camp au prix de 68 fl. [95]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Au bord d'un canal est un moulin à eau, entouré de verdure; des jeunes garçons y ont amené une barque et sont à la nage: dans le lointain on voit une partie de la ville de Courtray. Ce joli tableau est spirituellement touché réalisée par Jonghe (Courtray De), vendue par Stevens, achetée par Tencé au prix de 38 fl. [96]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Gaité Bacchique. Le peintre a représenté dans un intérieur devant une table, une assemblée où le vin et l'amour dominent. A droite, un cavalier coiffé d'un chapeau blanc, tient d'une main un verre à vin et passe l'autre au tour du cou d'une femme de joie, dont un leger tissu blanc, relève sa carnation suave et transparente, et masque imparfaitement par sa pose la pudeur: sa figure rayonnante de plaisir et d'abandon, fixe le regard sur une bourse que lui tend un jeune homme placé derrière son rival. Du côté opposé est une autre femme retenue immodestement par un cavalier, sa trogne joviale annonce parfaitement l'ivresse et son maintien la satiété des voluptés. De l'autre côté, une vieille édentée, dont la figure est creusée par la débauche et le libertinage, endoctrine un jeune ivrogne qui lui présente un plat; sur l'avant scène, un lit, les rideaux entrouverts laissent voir une fille couchée qui est dans un état d'ivresse complette. Des chaises renversées et des plats à terre forment l'avant plan. Ce tableau frais et intact, est d'une finesse d'expression et d'une couleur remarquables (Janssens (dit Le Danseur))|La Gaité Bacchique. Le peintre a représenté dans un intérieur devant une table, une assemblée où le vin et l'amour dominent. A droite, un cavalier coiffé d'un chapeau blanc, tient d'une main un verre à vin et passe l'autre au tour du cou d'une femme de joie, dont un leger tissu blanc, relève sa carnation suave et transparente, et masque imparfaitement par sa pose la pudeur: sa figure rayonnante de plaisir et d'abandon, fixe le regard sur une bourse que lui tend un jeune homme placé derrière son rival. Du côté opposé est une autre femme retenue immodestement par un cavalier, sa trogne joviale annonce parfaitement l'ivresse et son maintien la satiété des voluptés. De l'autre côté, une vieille édentée, dont la figure est creusée par la débauche et le libertinage, endoctrine un jeune ivrogne qui lui présente un plat; sur l'avant scène, un lit, les rideaux entrouverts laissent voir une fille couchée qui est dans un état d'ivresse complette. Des chaises renversées et des plats à terre forment l'avant plan. Ce tableau frais et intact, est d'une finesse d'expression et d'une couleur remarquables]] réalisée par Janssens (dit Le Danseur), vendue par Stevens, achetée par Nicolier au prix de 125 fl. [97]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un plat d'argent posé sur un socle est un homard, des huitres, citrons et groseilles, artistement groupés. Dans un autre plat, une corbeille, contenant différentes sortes de fruits, est admirablement traitée; près de là sont des vases d'argent, une montre et des cristaux, quelques papillons et autres insectes. Ces différents objéts sont rendus avec toute la vérité de la nature. Le tableau d'une composition capitale, est un chef d'oeuvre de ce maître (Heem (J. David De))|Dans un plat d'argent posé sur un socle est un homard, des huitres, citrons et groseilles, artistement groupés. Dans un autre plat, une corbeille, contenant différentes sortes de fruits, est admirablement traitée; près de là sont des vases d'argent, une montre et des cristaux, quelques papillons et autres insectes. Ces différents objéts sont rendus avec toute la vérité de la nature. Le tableau d'une composition capitale, est un chef d'oeuvre de ce maître]] réalisée par Heem (J. David De), vendue par Stevens, achetée par Baranowsky au prix de 420 fl. [98]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'adoration des Mages. Cette belle et riche composition rappelle dans tout son éclat l'école de Rubens, dont l'auteur est l'élève. La couleur forte et transparente distingue ce tableau parmi les productions ordinaires de ce maître. Les figures bien dessinées et amplement drapées, sont de demi-nature (Harp (van))|L'adoration des Mages. Cette belle et riche composition rappelle dans tout son éclat l'école de Rubens, dont l'auteur est l'élève. La couleur forte et transparente distingue ce tableau parmi les productions ordinaires de ce maître. Les figures bien dessinées et amplement drapées, sont de demi-nature]] réalisée par Harp (van), vendue par Stevens, achetée par Tencé de Lille au prix de 270 [or] 290 fl. [99]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune bergère coiffée d'un grand chapeau de paille qui ombre la tête à demie et tenant en main la houlette, ressort d'une manière éclatante d'un fond de paysage fortement boisé; un chien pose la tête sur ses genoux. Ce tableau est d'un très bel effet (Honthorst (Gérard))|Une jeune bergère coiffée d'un grand chapeau de paille qui ombre la tête à demie et tenant en main la houlette, ressort d'une manière éclatante d'un fond de paysage fortement boisé; un chien pose la tête sur ses genoux. Ce tableau est d'un très bel effet]] réalisée par Honthorst (Gérard), vendue par Stevens, achetée par Wouters au prix de 65 fl. [100]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus-Christ mort sur les génoux de la Vierge. St.-Marie Madelaine lave les pieds ensanglantés du Seigneur; St.-Jean les mains jointes, exprime la douleur la plus vive; sur le devant, des anges en pleurs tiennent des attributs de la passion; en haut une gloire d'anges et les rayons d'une lumière céleste, produisent un grand effet. Ce tableau est d'un précieux fini et d'une belle couleur (Honthorst (Gérard))|Jésus-Christ mort sur les génoux de la Vierge. St.-Marie Madelaine lave les pieds ensanglantés du Seigneur; St.-Jean les mains jointes, exprime la douleur la plus vive; sur le devant, des anges en pleurs tiennent des attributs de la passion; en haut une gloire d'anges et les rayons d'une lumière céleste, produisent un grand effet. Ce tableau est d'un précieux fini et d'une belle couleur]] réalisée par Honthorst (Gérard), vendue par Stevens, achetée par Warneck au prix de 65 [or] 70 fl. [101]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'orage, paysage avec figures. A gauche est un groupe d'arbres, secoués et agités par un tourbillon. Les eaux ont rompu avec fracas une digue; sur un pont passe un voyageur qui se débat contre cet élement; au premier plan on voit deux belles figures; un pâtre conduit une dame egarée et effrayée par l'orage; dans le lointain on distingue un navire prêt à s'engloutir. Ce tableau, qui porte la signature de l'auteur, est d'une grande finesse et de toute beauté (Huysum (Jean van))|L'orage, paysage avec figures. A gauche est un groupe d'arbres, secoués et agités par un tourbillon. Les eaux ont rompu avec fracas une digue; sur un pont passe un voyageur qui se débat contre cet élement; au premier plan on voit deux belles figures; un pâtre conduit une dame egarée et effrayée par l'orage; dans le lointain on distingue un navire prêt à s'engloutir. Ce tableau, qui porte la signature de l'auteur, est d'une grande finesse et de toute beauté]] réalisée par Huysum (Jean van), vendue par Stevens, achetée par Thys au prix de 150 fl. [102]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage boisé, dominant sur un ciel clair, coule une eau limpide. Un pont grotesque, surmonté d'un édifice, est jetté sur cette mare, quelques racines sauvages ornent le bord de la rivière et des canards folâtrent dans l'eau. Au premier plan on voit des figures, représentant Abraham conduisant son fils Isaac au lieu du supplice (Heil (Daniel van))|Dans un paysage boisé, dominant sur un ciel clair, coule une eau limpide. Un pont grotesque, surmonté d'un édifice, est jetté sur cette mare, quelques racines sauvages ornent le bord de la rivière et des canards folâtrent dans l'eau. Au premier plan on voit des figures, représentant Abraham conduisant son fils Isaac au lieu du supplice]] réalisée par Heil (Daniel van), vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 54 fl. [103]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Il représente un paysage montagneux, traversé par une rivière, un grand nombre de figures en font l'ornement; plusieurs se deshabillent et se disposent à la nage; on y voit aussi nombre d'animaux sur une terasse sabloneuse réalisée par Huysmans (de Malines), vendue par Stevens, achetée par Laurent au prix de 220 [or] 240 fl. [104]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un beau paysage montagneux à gauche, s'élève une masse d'arbres et des plantes admirablement traités, des cavaliers font une halte; l'un d'eux descendu de sa blanche monture, est assis sur un tertre près duquel est une femme avec son enfant endormi sur un paquet de hardes. Sur le premier plan est un jeune homme carressant un chien lévrier. Ce tableau est encore remarquable par son ton clair, ce qui est une qualité rare de ce maître (Huysmans (de Malines))|Dans un beau paysage montagneux à gauche, s'élève une masse d'arbres et des plantes admirablement traités, des cavaliers font une halte; l'un d'eux descendu de sa blanche monture, est assis sur un tertre près duquel est une femme avec son enfant endormi sur un paquet de hardes. Sur le premier plan est un jeune homme carressant un chien lévrier. Ce tableau est encore remarquable par son ton clair, ce qui est une qualité rare de ce maître]] réalisée par Huysmans (de Malines), vendue par Stevens, achetée par Laurent au prix de 220 [or] 240 fl. [105]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans l'intérieur d'un bel appartement, on voit sur le premier plan une dame richement vêtue assise devant une table couverte d'un tapis de smyrne. Elle tourne la tête vers son enfant qui agacé par un petit chien épagneul, court tout effrayé se jetter dans les bras de sa nourrice; le fond de l'appartement est orné de tableaux et de meubles. Ce tableau est d'une excellente exécution et d'une couleur très argentine (Hoog (P. De))|Dans l'intérieur d'un bel appartement, on voit sur le premier plan une dame richement vêtue assise devant une table couverte d'un tapis de smyrne. Elle tourne la tête vers son enfant qui agacé par un petit chien épagneul, court tout effrayé se jetter dans les bras de sa nourrice; le fond de l'appartement est orné de tableaux et de meubles. Ce tableau est d'une excellente exécution et d'une couleur très argentine]] réalisée par Hoog (P. De), vendue par Stevens, achetée par Messiaen au prix de 310 fl. [106]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Nature morte. Une grande et superbe tête de cerf, des perdreaux et attributs de chasse, sont posés au pied d'un arbre. Dans le fond on apperçoit un paysage. Ce tableau peut être considéré comme une des plus précieuses productions de ce fameux peintre tant par l'inimitable vérité, que par le moëlleux et la délicatesse du pinceau (Hondekoeter (Melchior))|Nature morte. Une grande et superbe tête de cerf, des perdreaux et attributs de chasse, sont posés au pied d'un arbre. Dans le fond on apperçoit un paysage. Ce tableau peut être considéré comme une des plus précieuses productions de ce fameux peintre tant par l'inimitable vérité, que par le moëlleux et la délicatesse du pinceau]] réalisée par Hondekoeter (Melchior), vendue par Stevens, achetée par van Gameren au prix de 230 fl. [107]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce beau tableau, d'une composition capitale, offre des grande beautés. Dans un magnifique jardin est une réunion de personnages des deux sexes qui se disposent à une promenade à cheval: au milieu du tableau et sur le second plan on voit un château, d'où sort un brillant équipage attelé de cinq chevaux, précédé d'un cavalier montant un cheval pommelé qui se cabre, une petite fille tenant un plat de pommes, s'en effraye et en laisse tomber, pendant qu'un espiègle plus hardi va en ramasser. Le lointain, où on découvre une vue immense, est d'un effet charmant. Le jardin orné de statues et vases à un aspect imposant. Les chevaux et les chiens, cherchés dans la plus belle nature, sont dessinés avec grande correction. Ce tableau est sans contrédit un des plus beaux de ce grand maître (Huctenburg (Jean van))|Ce beau tableau, d'une composition capitale, offre des grande beautés. Dans un magnifique jardin est une réunion de personnages des deux sexes qui se disposent à une promenade à cheval: au milieu du tableau et sur le second plan on voit un château, d'où sort un brillant équipage attelé de cinq chevaux, précédé d'un cavalier montant un cheval pommelé qui se cabre, une petite fille tenant un plat de pommes, s'en effraye et en laisse tomber, pendant qu'un espiègle plus hardi va en ramasser. Le lointain, où on découvre une vue immense, est d'un effet charmant. Le jardin orné de statues et vases à un aspect imposant. Les chevaux et les chiens, cherchés dans la plus belle nature, sont dessinés avec grande correction. Ce tableau est sans contrédit un des plus beaux de ce grand maître]] réalisée par Huctenburg (Jean van), vendue par Stevens, achetée par Nieuwenhuys au prix de 800 fl. [108]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les préparatifs d'une partie de chasse. Le rendez-vous a lieu dans les avenues d'un jardin de plaisance, où on voit dans le fond un vaste château d'une élégance remarquable, à gauche près d'une fontaine, ornée de statuettes, sont réunis des cavaliers avec leurs coursiers, quelques dames richement costumées y prennent part. Sur le plan de devant on voit un grand nombre de chiens, de différentes races; un cavalier en habit rouge prend plaisir au combat acharné de deux chiens, auquel il lance un troisième. Le fond qui est montagneux, est d'un effet admirable. Ce tableau est d'un grand effet, les groupes sont savamment disposés et la couleur en est très harmonieuse et transparente (Huctenburg (Jean van))|Les préparatifs d'une partie de chasse. Le rendez-vous a lieu dans les avenues d'un jardin de plaisance, où on voit dans le fond un vaste château d'une élégance remarquable, à gauche près d'une fontaine, ornée de statuettes, sont réunis des cavaliers avec leurs coursiers, quelques dames richement costumées y prennent part. Sur le plan de devant on voit un grand nombre de chiens, de différentes races; un cavalier en habit rouge prend plaisir au combat acharné de deux chiens, auquel il lance un troisième. Le fond qui est montagneux, est d'un effet admirable. Ce tableau est d'un grand effet, les groupes sont savamment disposés et la couleur en est très harmonieuse et transparente]] réalisée par Huctenburg (Jean van), vendue par Stevens, achetée par [[Deroy [?]]] au prix de 250 fl. [109]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Dans cette gracieuse composition de trois figures principales, le tout respire une scène touchante et de tendresse, un coloris très suave et des contours bien fondées font le charme de ce beau tableau réalisée par Graat (B.), vendue par Stevens, achetée par Massys au prix de 34 fl. [110]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Au bas d'un groupe d'arbres, un chasseur fumant la pipe est en repos, des chiens et du gibier sont peints avec beaucoup d'art; dans le lointain on voit un autre chasseur revénant de la chasse. Ces petits tableaux sont des bonnes productions du maître (Grief)|Au bas d'un groupe d'arbres, un chasseur fumant la pipe est en repos, des chiens et du gibier sont peints avec beaucoup d'art; dans le lointain on voit un autre chasseur revénant de la chasse. Ces petits tableaux sont des bonnes productions du maître]] réalisée par Grief, vendue par Stevens, achetée par Simonet au prix de 205 fl. [111]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Dans un paysage architectural, un chasseur fatigué de courir le gibier est en repos, contemplant le produit de sa chasse; près de lui sont deux beaux chiens; un vautour, lièvre, des perdreaux et autres oiseaux sont jêtés ça et là par terre réalisée par Grief, vendue par Stevens, achetée par Simonet au prix de 205 fl. [112]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de Scheveningen. Des groupes inombrables de pêcheurs et de curieux occupant une immense plage; à l'avant scène, on voit sur une terasse élevée un groupe de figures dont une à cheval; le ciel vaporeux et clair se confond en quelque sorte avec l'horisson qui s'étend à perte de vue (Goyen (van))|Vue de Scheveningen. Des groupes inombrables de pêcheurs et de curieux occupant une immense plage; à l'avant scène, on voit sur une terasse élevée un groupe de figures dont une à cheval; le ciel vaporeux et clair se confond en quelque sorte avec l'horisson qui s'étend à perte de vue]] réalisée par Goyen (van), vendue par Stevens, achetée par Gruyter Amsterdam au prix de 115 fl. [113]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme A gauche sur l'avant plan, des pêcheurs dans une barque retirant un filet; au milieu est une chaloupe en pleine voile, et sur l'horison plusieurs autres bâtimens: on trouve dans ce petit tableau une verité pleine et entière réalisée par Goyen (van), vendue par Stevens, achetée par Gruyter Amsterdam au prix de 95 fl. [114]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage aux figures et animaux. Sur une grande terasse parsemée de brousailles et d'herbages, aminée par une masse d'arbres, dont le feuillage est du plus beau faire, est un groupe de bestiaux tel que taureau, moutons, chèvres etc., qui occupent l'avant scène; quelques jolies figures sont près de là; le fond se termine par des fabriques. Ce beau paysage se distingue parmi les autres ouvrages de ce maître, tant pour la couleur que pour la correction du dessin (Fassin (Chevalier Le))|Paysage aux figures et animaux. Sur une grande terasse parsemée de brousailles et d'herbages, aminée par une masse d'arbres, dont le feuillage est du plus beau faire, est un groupe de bestiaux tel que taureau, moutons, chèvres etc., qui occupent l'avant scène; quelques jolies figures sont près de là; le fond se termine par des fabriques. Ce beau paysage se distingue parmi les autres ouvrages de ce maître, tant pour la couleur que pour la correction du dessin]] réalisée par Fassin (Chevalier Le), vendue par Stevens, achetée par Van Geel au prix de 120 fl. [115]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Il représente l'exécution de cette cruelle ordonnance; le déhors représente St.-Georges terrassant le démon. Voyez Van Harp, l'adoration des mages réalisée par Franck (dit le Vieux), vendue par Stevens, achetée par Leys au prix de 68 fl. [116]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Ces tableaux ont servi de portes au nø 80; l'un représente Hérodias sur son trône, méditant le masacre des innocents; en déhors est peint en grisaille, St.-Hubert réalisée par Franck (dit le Vieux), vendue par Stevens, achetée par Leys au prix de 68 fl. [117]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Debarquement de marie de Médicis à la Ville d'Anvers. Ce tableau est très curieux sous le raport de l'histoire, des costumes et des nombreux détails qui le composent. A droite près de la grue, une voiture, attelée de six chevaux blancs, attend la Reine, qui vient de mettre pied à terre avec sa nombreuse suite; devant elle est une jeune personne à genoux, la main gauche apuyée sur un bouclier portant l'écusson d'Anvers; de l'autre main elle présente le myrte symbole de la paix, pendant qu'un magistrat ouvre la porte de la voiture; à gauche est un nombre considerable de monde, où on distingue un peloton d'arquebusiers, faisant un feu d'alegresse; le fond du tableau représente l'escaut obscurci du feu de la marine, et à gauche, on aperçoit l'abaye de St.-Michel (Franck (Ambroise))|Debarquement de marie de Médicis à la Ville d'Anvers. Ce tableau est très curieux sous le raport de l'histoire, des costumes et des nombreux détails qui le composent. A droite près de la grue, une voiture, attelée de six chevaux blancs, attend la Reine, qui vient de mettre pied à terre avec sa nombreuse suite; devant elle est une jeune personne à genoux, la main gauche apuyée sur un bouclier portant l'écusson d'Anvers; de l'autre main elle présente le myrte symbole de la paix, pendant qu'un magistrat ouvre la porte de la voiture; à gauche est un nombre considerable de monde, où on distingue un peloton d'arquebusiers, faisant un feu d'alegresse; le fond du tableau représente l'escaut obscurci du feu de la marine, et à gauche, on aperçoit l'abaye de St.-Michel]] réalisée par Franck (Ambroise), vendue par Stevens, achetée par Van den Bosch au prix de 230 fl. [118]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Les bergers en adoration devant l'enfant Jésus qui vient de naître; ce tableau est égal en mérite au numéro précédent réalisée par Franck (François), vendue par Stevens, achetée par Koelman au prix de 95 fl. [119]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme L'adoration des mages. Ce petit tableau est spirituellement touché et d'un excellent coloris réalisée par Franck (François), vendue par Stevens, achetée par Koelman au prix de 95 fl. [120]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'une jeune dame richement vêtue et aux cheveux blonds réalisée par Flink (Govaert), vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 30 fl. [121]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge, la tête couverte d'un voile bleu et les yeux baissés, lit attentivement dans un livre. Une expression de tendresse brille sur ce visage divin; la couleur est admirable et les draperies du meilleur goût réalisée par Ferato (Saso), vendue par Stevens, achetée par Steyaert au prix de 20 [or] 50 fl. [122]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Gibier mort de toute espèce, tel que lièvres, perdreaux, etc. Un cabas rempli d'oiseaux et fruits; des attributs de chasse, etc. Un chien d'arrêt, placé derrière ces objets artistement groupés montre sa tête. Au fond est une draperie pourpre attachée à un piedestal. Ce tableau, tant pour la composition que pour l'exécution, peut être compté parmi les chefs d'oeuvres de ce maître (Fyt (Jean))|Gibier mort de toute espèce, tel que lièvres, perdreaux, etc. Un cabas rempli d'oiseaux et fruits; des attributs de chasse, etc. Un chien d'arrêt, placé derrière ces objets artistement groupés montre sa tête. Au fond est une draperie pourpre attachée à un piedestal. Ce tableau, tant pour la composition que pour l'exécution, peut être compté parmi les chefs d'oeuvres de ce maître]] réalisée par Fyt (Jean), vendue par Stevens, achetée par Leroy au prix de 590 fl. [123]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Abraham recevant la brebis que lui apporte un berger, destinée au sacrifice d'Isaac; on remarque dans ce tableau, entièrement traité dans le style de Rembrand, des groupes d'animaux divers qui sont vigoureusement peints: la couleur et la distribution de la lumière sont parfaitement senties (Eeckhout (Gerbrand van den))|Abraham recevant la brebis que lui apporte un berger, destinée au sacrifice d'Isaac; on remarque dans ce tableau, entièrement traité dans le style de Rembrand, des groupes d'animaux divers qui sont vigoureusement peints: la couleur et la distribution de la lumière sont parfaitement senties]] réalisée par Eeckhout (Gerbrand van den), vendue par Stevens, achetée par Leys au prix de 250 fl. [124]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de ville en Hollande. Les pâles rayons du soleil de printemps, éclairent les façades des édifices, qui ressortent parfaitement sur un ciel clair et nuageux; au milieu de la ville traversée par une rivière, on voit une église gothique d'une structure élegante. Le convoi d'un baptême en sort; à gauche s'élève hors de l'eau, une grande masse de bâtiments pittoresquement variés. Un homme dans un balcon, jette à manger à des canards qui folâtrent dans l'eau. Une barque avec des personnes passe à l'autre bord de la rivière: à l'avant plan quelques troncs d'arbres et des roseaux produisent un effet fort heureux. Ce tableau est en tout, digne du pinceau de Vanderheyde (Decort (H.))|Vue de ville en Hollande. Les pâles rayons du soleil de printemps, éclairent les façades des édifices, qui ressortent parfaitement sur un ciel clair et nuageux; au milieu de la ville traversée par une rivière, on voit une église gothique d'une structure élegante. Le convoi d'un baptême en sort; à gauche s'élève hors de l'eau, une grande masse de bâtiments pittoresquement variés. Un homme dans un balcon, jette à manger à des canards qui folâtrent dans l'eau. Une barque avec des personnes passe à l'autre bord de la rivière: à l'avant plan quelques troncs d'arbres et des roseaux produisent un effet fort heureux. Ce tableau est en tout, digne du pinceau de Vanderheyde]] réalisée par Decort (H.), vendue par Stevens, achetée par van Gameren au prix de 250 fl. [125]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un corridor d'un riche palais. Un seigneur vêtu de noir, tient une dame par la main qu'il semble conduire à une promenade de jardin, qu'une porte ouverte laisse apercevoir; sur l'avant-scène est un jeune artiste dessinant cette vue pittoresque; plus loin on aperçoit encore quelques personnages. Le bâtiment offre une noble architecture; le reste du fond laisse entrevoir l'entrée d'un beau jardin (Delen (van))|Vue d'un corridor d'un riche palais. Un seigneur vêtu de noir, tient une dame par la main qu'il semble conduire à une promenade de jardin, qu'une porte ouverte laisse apercevoir; sur l'avant-scène est un jeune artiste dessinant cette vue pittoresque; plus loin on aperçoit encore quelques personnages. Le bâtiment offre une noble architecture; le reste du fond laisse entrevoir l'entrée d'un beau jardin]] réalisée par Delen (van), vendue par Stevens, achetée par Chapuis au prix de 27 [or] 45 fl. [126]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Passage fortement boisé. Au sortir d'une forêt épaisse, on voit sur le premier plan un cavalier et sa compagne, précédés de chiens. Un villageois rentre dans le bois qui est varié d'une manière pittoresque; un grand orme et des brousailles occupent l'avant-scène. Quelques grandes et larges plantes, herbes et fleurs sauvages sont habillement touchés; Le feuillage des arbres, leur dessin et la touche hardie trahit partout, le maître qui rapelle Hobbema. A droite, l'oeil se perd sur une grande étendue de pays (Dacker)|Passage fortement boisé. Au sortir d'une forêt épaisse, on voit sur le premier plan un cavalier et sa compagne, précédés de chiens. Un villageois rentre dans le bois qui est varié d'une manière pittoresque; un grand orme et des brousailles occupent l'avant-scène. Quelques grandes et larges plantes, herbes et fleurs sauvages sont habillement touchés; Le feuillage des arbres, leur dessin et la touche hardie trahit partout, le maître qui rapelle Hobbema. A droite, l'oeil se perd sur une grande étendue de pays]] réalisée par Dacker, vendue par Stevens, achetée par Thys Bruxelles au prix de 120 fl. [127]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vertume et Pomone. Cette jolie composition de deux figures seulement, dont l'une est habilée de satin blanc, est entièrement dans la manière de Netscher. Le fond représente une élegante architecture ornée de vases et statues. A droite, la vue s'étend sur un jardin à l'entrée duquel on voit des rosiers en fleurs et une corbeille de fruits d'un grand fini, ce tableau porte la signature de son auteur (Delahaye)|Vertume et Pomone. Cette jolie composition de deux figures seulement, dont l'une est habilée de satin blanc, est entièrement dans la manière de Netscher. Le fond représente une élegante architecture ornée de vases et statues. A droite, la vue s'étend sur un jardin à l'entrée duquel on voit des rosiers en fleurs et une corbeille de fruits d'un grand fini, ce tableau porte la signature de son auteur]] réalisée par Delahaye, vendue par Stevens, achetée par Steyaert au prix de 75 fl. [128]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Hiver. Sur le devant est une terasse couverte de neige, sur laquelle à gauche s'élève quelques ronces d'arbres; des patineurs sur la glace et au lointain, qui va à perte de vue, quelques moulins; le ton de ce tableau et très vrai et naturel réalisée par Dubbels, vendue par Stevens, achetée par Verlinde au prix de 45 fl. [129]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Kermesse du Village. Rien de plus gai que ce joli petit tableau; l'auteur a représenté devant une maison rustique une danse en ronde de villageois. Sur l'avant plan est assise une femme tenant dans ses bras son nourrisson, près d'elle est un groupe de trois figures, dont un homme débout dans une attitude des plus singulières, contemple avec envie, la joie de ses confrères; dans le lointain on voit le village, des baraques dressées devant lesquelles une multitude de figures; le clair obscur de ce tableau est magique, la touche délicate et hardie. On peut sans exagération comparer cette oeuvre à ce qu'à fait de bon, Adrien Van Ostade, dont l'auteur est l'élève (Dussart (Corneil))|Kermesse du Village. Rien de plus gai que ce joli petit tableau; l'auteur a représenté devant une maison rustique une danse en ronde de villageois. Sur l'avant plan est assise une femme tenant dans ses bras son nourrisson, près d'elle est un groupe de trois figures, dont un homme débout dans une attitude des plus singulières, contemple avec envie, la joie de ses confrères; dans le lointain on voit le village, des baraques dressées devant lesquelles une multitude de figures; le clair obscur de ce tableau est magique, la touche délicate et hardie. On peut sans exagération comparer cette oeuvre à ce qu'à fait de bon, Adrien Van Ostade, dont l'auteur est l'élève]] réalisée par Dussart (Corneil), vendue par Stevens, achetée par Soenens au prix de 380 fl. [130]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Sur un tertre tapissé de verdure, une jeune fille assise et vue le dos, garde ses moutons; un jeune enfant joue avec un de ces animaux: le passage se termine par un fond montagneux et azuré réalisée par Does (Simon van der), vendue par Stevens, achetée par van der Belen au prix de 160 [or] 185 fl. [131]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Près d'une chaumière une mère assise sur le gazon tient dans ses bras son nourrison, et garde son troupeau composé de vaches et moutons couchés près d'elle: ce petit tableau est d'une grande correction de dessin réalisée par Does (Simon van der), vendue par Stevens, achetée par van der Belen au prix de 160 [or] 185 fl. [132]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage montagneux orné de fragmens d'architecture, on voit des chèvres, et moutons qui paissent et se reposent dans le frais gazon; sur le devant un veau couché, tacheté de brun et blanc, attire principalement l'attention. Sur le second plan on voit un pâtre conduisant son troupeau, à travers une chaîne de montagnes; le ton clair du ciel, la touche moëlleuse et hardie des animaux et des arbres, font le principal mérite de ce tableau (Does (Jacques van der))|Dans un paysage montagneux orné de fragmens d'architecture, on voit des chèvres, et moutons qui paissent et se reposent dans le frais gazon; sur le devant un veau couché, tacheté de brun et blanc, attire principalement l'attention. Sur le second plan on voit un pâtre conduisant son troupeau, à travers une chaîne de montagnes; le ton clair du ciel, la touche moëlleuse et hardie des animaux et des arbres, font le principal mérite de ce tableau]] réalisée par Does (Jacques van der), vendue par Stevens, achetée par Simonet au prix de 330 fl. [133]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un ciel lumineux éclaire la scène toute naïve et aguste; au bord d'une rivière limpide, des enfants ont amené leurs troupeaux; une jeune fille est endormie, des moutons sont couchés; sur l'avant plan on distingue une vache débout d'une beauté remarquable; l'autre côté de la rivière orné de barques, est bordée par une chaîne de montagnes azurées au bas de laquelle on voit une ville; un dessin correct et naïf, un coloris frais, une touche suave et la disposition savante des groupes, font de ce tableau un des bons ouvrages de ce peintre (Does (Jacques van der))|Un ciel lumineux éclaire la scène toute naïve et aguste; au bord d'une rivière limpide, des enfants ont amené leurs troupeaux; une jeune fille est endormie, des moutons sont couchés; sur l'avant plan on distingue une vache débout d'une beauté remarquable; l'autre côté de la rivière orné de barques, est bordée par une chaîne de montagnes azurées au bas de laquelle on voit une ville; un dessin correct et naïf, un coloris frais, une touche suave et la disposition savante des groupes, font de ce tableau un des bons ouvrages de ce peintre]] réalisée par Does (Jacques van der), vendue par Stevens, achetée par Vanderbelen au prix de 165 fl. [134]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux vaches et trois moutons paissent le gazon; plus loin est un vacher conduisant son troupeau vers une ferme que l'on voit au lointain. Ces jolies productions quoique de très petite dimension, sont remarquables pour leur couleur argentine et la touche fine et spirituelle (Does (Jacques van der))|Deux vaches et trois moutons paissent le gazon; plus loin est un vacher conduisant son troupeau vers une ferme que l'on voit au lointain. Ces jolies productions quoique de très petite dimension, sont remarquables pour leur couleur argentine et la touche fine et spirituelle]] réalisée par Does (Jacques van der), vendue par Stevens, achetée par Chapuis au prix de 100 fl. [135]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Au sortir d'un bois épais, on voit un pâtre avec une bergère conduisant un troupeau de chèvres et moutons; le paysage est terminé par un lointain doux et vaporeux devant lequel on distingue quelques fabriques réalisée par Does (Jacques van der), vendue par Stevens, achetée par Chapuis au prix de 100 fl. [136]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de Rubens. Le Prince des Peintres Flamands, est représenté debout et de grandeur naturelle en costume de chambellan. Il pose la main gauche, dans laquelle il tient ses gants, sur la garde de son épée et laisse tomber l'autre nonchalamment. Dans le fond est une colonne surmontée d'un rideau d'un brun clair. Ce beau tableau offre un double intérêt; celui de son auteur, et le personnage qu'il représente, doivent éveiller l'attention de tous les amateurs (Dyck (Antoine van))|Portrait de Rubens. Le Prince des Peintres Flamands, est représenté debout et de grandeur naturelle en costume de chambellan. Il pose la main gauche, dans laquelle il tient ses gants, sur la garde de son épée et laisse tomber l'autre nonchalamment. Dans le fond est une colonne surmontée d'un rideau d'un brun clair. Ce beau tableau offre un double intérêt; celui de son auteur, et le personnage qu'il représente, doivent éveiller l'attention de tous les amateurs]] réalisée par Dyck (Antoine van), vendue par Stevens au prix de 4000 fl. [137]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage boisé, terminé par une chaîne de Montagnes azurées et découpées sur un ciel chaud et lumineux, le peintre a représenté d'admirables touffes d'arbres. Une petite mare, au detour de laquelle serpentent des plantes et des ronces de tout genre, borde à l'avant plan un large chemin; on voit un seigneur monté sur un cheval d'un brun clair; plus avant sont en repos deux hommes et une femme. Ce tableau traité dans le style de Both, offre des grandes beautés (Deheus)|Dans un paysage boisé, terminé par une chaîne de Montagnes azurées et découpées sur un ciel chaud et lumineux, le peintre a représenté d'admirables touffes d'arbres. Une petite mare, au detour de laquelle serpentent des plantes et des ronces de tout genre, borde à l'avant plan un large chemin; on voit un seigneur monté sur un cheval d'un brun clair; plus avant sont en repos deux hommes et une femme. Ce tableau traité dans le style de Both, offre des grandes beautés]] réalisée par Deheus, vendue par Stevens, achetée par Callenberg au prix de 160 fl. [138]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur un ciel clair se détache un paysage pittoresque; à droite du tableau on voit sur le premier plan une grande masse d'arbres devant un large chemin, où passe un homme à cheval; près de là sont deux autres personnes en conversation; du côté opposé s'élevent des montagnes couvertes de mousses et plantes, le tout respire dans ce tableau, un air vif; le soleil dore les montagnes (Deheus)|Sur un ciel clair se détache un paysage pittoresque; à droite du tableau on voit sur le premier plan une grande masse d'arbres devant un large chemin, où passe un homme à cheval; près de là sont deux autres personnes en conversation; du côté opposé s'élevent des montagnes couvertes de mousses et plantes, le tout respire dans ce tableau, un air vif; le soleil dore les montagnes]] réalisée par Deheus, vendue par Stevens, achetée par Simonet au prix de 100 [or] 190 fl. [139]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'annonciation de l'ange aux bergers. Sur l'avant scène à droite du spectateur on voit un groupe nombreux de gens effrayés et surpris à la vue d'une gloire éblouissante; un ange leur aparait et annonce la naissance du Messie; du côté opposé est un groupe d'animaux differents peints avec tout l'art imaginable, la lumière est parfaitement distribuée et les figures dessinées et groupées avec toute l'intelligence possible (Ditrecy)|L'annonciation de l'ange aux bergers. Sur l'avant scène à droite du spectateur on voit un groupe nombreux de gens effrayés et surpris à la vue d'une gloire éblouissante; un ange leur aparait et annonce la naissance du Messie; du côté opposé est un groupe d'animaux differents peints avec tout l'art imaginable, la lumière est parfaitement distribuée et les figures dessinées et groupées avec toute l'intelligence possible]] réalisée par Ditrecy, vendue par Stevens, achetée par Van Gameren au prix de 1100 fl. [140]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Adoration des bergers. L'enfant Jesus, qui vient de naître, est couché sur la paille à gauche de l'avant scène, enveloppé d'un linceul blanc. La Vierge mère est à genoux, les mains jointes et tournant la tête vers les adorateurs. St.-Joseph en extase, contemple avec joie cette scène touchante; sous un treillis couvert de feuillages, est un groupe d'un homme, d'une vieille femme et d'un enfant, gardant gaiment par dessus une espèce de baricade: plus loin on voit un autre groupe précédé d'une vieille femme tenant une lanterne à la main, qui produit un effet Rembrantique; la lumière qui éclaire l'avant scène provenant de l'enfant divin, est distribuée avec toute l'intelligence possible: ce magnifique tableau est connu dans l'histoire de l'art pour être le chef d'oeuvre de cet habile artiste (Ditrecy)|L'Adoration des bergers. L'enfant Jesus, qui vient de naître, est couché sur la paille à gauche de l'avant scène, enveloppé d'un linceul blanc. La Vierge mère est à genoux, les mains jointes et tournant la tête vers les adorateurs. St.-Joseph en extase, contemple avec joie cette scène touchante; sous un treillis couvert de feuillages, est un groupe d'un homme, d'une vieille femme et d'un enfant, gardant gaiment par dessus une espèce de baricade: plus loin on voit un autre groupe précédé d'une vieille femme tenant une lanterne à la main, qui produit un effet Rembrantique; la lumière qui éclaire l'avant scène provenant de l'enfant divin, est distribuée avec toute l'intelligence possible: ce magnifique tableau est connu dans l'histoire de l'art pour être le chef d'oeuvre de cet habile artiste]] réalisée par Ditrecy, vendue par Stevens, achetée par Van Gameren au prix de 1520 [or] 1550 fl. [141]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Cuisinière Hollandaise. Ce petit tableau est une véritable perle. Une jeune et jolie hollandaise y a fourni le sujet; sur une table, en grande partie couverte d'un tapis de pourpre clair, est posé une cuvelle, dans laquelle elle hâche des légumes; un petit plat avec des harengs, un pot d'étain renversé, un chaudron de cuivre, un grand pot de terre et autres accessoires sont de l'autre côté de la table; une cheminée sur laquelle sont posés différents attributs de ménage, tel que souflet, lampe, bouteilles, etc. compose le fond de cet admirable tableau dont le clair obscur est magique; la touche fine et délicate, hardie et bien sentie, n'est nullement alterée par le grand fini. Le dessin est d'une grande correction et le coloris fort harmonieux; il est d'ailleurs, fort bien conservé et a été en tout temps un sujet d'admiration pour les connaisseurs (Dow (Gérard))|La Cuisinière Hollandaise. Ce petit tableau est une véritable perle. Une jeune et jolie hollandaise y a fourni le sujet; sur une table, en grande partie couverte d'un tapis de pourpre clair, est posé une cuvelle, dans laquelle elle hâche des légumes; un petit plat avec des harengs, un pot d'étain renversé, un chaudron de cuivre, un grand pot de terre et autres accessoires sont de l'autre côté de la table; une cheminée sur laquelle sont posés différents attributs de ménage, tel que souflet, lampe, bouteilles, etc. compose le fond de cet admirable tableau dont le clair obscur est magique; la touche fine et délicate, hardie et bien sentie, n'est nullement alterée par le grand fini. Le dessin est d'une grande correction et le coloris fort harmonieux; il est d'ailleurs, fort bien conservé et a été en tout temps un sujet d'admiration pour les connaisseurs]] réalisée par Dow (Gérard), vendue par Stevens au prix de 3000 fl. [142]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Une reine la tête appuyée sur la main droite et tenant de l'autre un rouleau de papier, parait très affligée. Ce tableau est peint dans une très belle manière et rapelle bien l'école du grand peintre réalisée par De Coninck, vendue par Stevens, achetée par Hayes au prix de 100 fl. [143]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce petit tableau peint en miniature sur parchemin est d'un fini admirable. Le peintre représente une dame, en costume noir; derrière elle est une gouvernante qui prête l'attention à deux jolies petites filles, probablement ses élèves, guidées par le frère, elles portent à leur maman des cadeaux. Le fond est tapissé de verdure. Il est impossible de voir une composition plus gracieuse: les costumes de ces angeliques figures sont admirablement peints; la couleur est délicate et naturelle et le dessin d'une rare correction (Coquès (Gonsales))|Ce petit tableau peint en miniature sur parchemin est d'un fini admirable. Le peintre représente une dame, en costume noir; derrière elle est une gouvernante qui prête l'attention à deux jolies petites filles, probablement ses élèves, guidées par le frère, elles portent à leur maman des cadeaux. Le fond est tapissé de verdure. Il est impossible de voir une composition plus gracieuse: les costumes de ces angeliques figures sont admirablement peints; la couleur est délicate et naturelle et le dessin d'une rare correction]] réalisée par Coquès (Gonsales), vendue par Stevens, achetée par Steyaert Bruges au prix de 100 fl. [144]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans les avenues d'une campagne richement boisée, on voit un page accoutré d'une manière très élegante, conduisant une dame par la main; ils sont précédés de plusieurs chiens qu'on voit sur l'avant-scène: au loin sont des palfreniers, auxquels on fait signe d'arrêter les chevaux. Cette belle composition a toute la finesse et le facile qui caracterise le pinceau de ce maître, on y remarque un coursier blanc d'une rare beauté (Coquès (Gonsales))|Dans les avenues d'une campagne richement boisée, on voit un page accoutré d'une manière très élegante, conduisant une dame par la main; ils sont précédés de plusieurs chiens qu'on voit sur l'avant-scène: au loin sont des palfreniers, auxquels on fait signe d'arrêter les chevaux. Cette belle composition a toute la finesse et le facile qui caracterise le pinceau de ce maître, on y remarque un coursier blanc d'une rare beauté]] réalisée par Coquès (Gonsales), vendue par Stevens, achetée par Gerard, Paris au prix de 520 fl. [145]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un appartement richement orné de tableaux, meubles etc., est assise devant une table couverte d'un tapis de smyrne, une dame vêtue de satin blanc à spincer rouge; elle s'occupe à dresser un petit chien, qui se tient debout et garde avec avidité un bonbon que lui présente la maîtresse; près d'elle est un cavalier jouant de la mandoline; à gauche une porte entrouverte laisse voir un jardin; un jeune page, semble espionner ce qui se passe dans l'appartement. Ce jolie tableau, traité dans le goût de Terburg, est d'une composition des plus agréables (Cassel (Jean) signé)|Dans un appartement richement orné de tableaux, meubles etc., est assise devant une table couverte d'un tapis de smyrne, une dame vêtue de satin blanc à spincer rouge; elle s'occupe à dresser un petit chien, qui se tient debout et garde avec avidité un bonbon que lui présente la maîtresse; près d'elle est un cavalier jouant de la mandoline; à gauche une porte entrouverte laisse voir un jardin; un jeune page, semble espionner ce qui se passe dans l'appartement. Ce jolie tableau, traité dans le goût de Terburg, est d'une composition des plus agréables]] réalisée par Cassel (Jean) signé, vendue par Stevens, achetée par Vanderbelen Bruxelles au prix de 250 fl. [146]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un jeune homme richement vêtu, tenant de la main gauche une pipe et de l'autre élevant un verre à vin qu'il regarde joieusement, est posé près d'une table couverte d'un tapis de smyrne, sur lequel on voit un cahier de musique et un violoncelle. Ce tableau est traité dans le goût de Willem Mieris (Cramer (P.))|Un jeune homme richement vêtu, tenant de la main gauche une pipe et de l'autre élevant un verre à vin qu'il regarde joieusement, est posé près d'une table couverte d'un tapis de smyrne, sur lequel on voit un cahier de musique et un violoncelle. Ce tableau est traité dans le goût de Willem Mieris]] réalisée par Cramer (P.), vendue par Stevens, achetée par Leroy au prix de 35 [or] 125 [or] 135 fl. [147]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Seigneur prosterné dans le jardin des olives; l'ange vêtu de blanc, présente au christ le calice qu'il reçoit avec grande résignation; sa pose majestueuse, les mains croisées sur la poitrine, les yeux baissés font impression sur l'âme du spectateur: près de là sont couchés trois disciples; dans le lointain à droit, on apperçoit le soldatseque portant des torches et des flambeaux; la lumière qui regne dans ce tableau et savamment distribué produit sur la figure principale un effet touchant (Calendrucci (Giacinto))|Le Seigneur prosterné dans le jardin des olives; l'ange vêtu de blanc, présente au christ le calice qu'il reçoit avec grande résignation; sa pose majestueuse, les mains croisées sur la poitrine, les yeux baissés font impression sur l'âme du spectateur: près de là sont couchés trois disciples; dans le lointain à droit, on apperçoit le soldatseque portant des torches et des flambeaux; la lumière qui regne dans ce tableau et savamment distribué produit sur la figure principale un effet touchant]] réalisée par Calendrucci (Giacinto), vendue par Stevens, achetée par Leys au prix de 100 fl. [148]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce petit tableau d'une composition très simple renferme des parties admirables; il représente un paysage éclairé par le soleil; la majeure partie du tableau est occupée par un vaste bâtiment rustique bordé d'arbres; une femme dans une porte entrouverte est en conversation avec un jeune voyageur; près de là on voit le fermier conduisant une vache; le premier plan est orné de brousailles et chardons admirablement traités; au loin, la vue s'étend sur un village. Cet ouvrage petille de finesse et de tact, la touche est legère et spirituelle, le ciel chaud et lumineux est parfaitement en harmonie avec le bas (Cuyp (Albert))|Ce petit tableau d'une composition très simple renferme des parties admirables; il représente un paysage éclairé par le soleil; la majeure partie du tableau est occupée par un vaste bâtiment rustique bordé d'arbres; une femme dans une porte entrouverte est en conversation avec un jeune voyageur; près de là on voit le fermier conduisant une vache; le premier plan est orné de brousailles et chardons admirablement traités; au loin, la vue s'étend sur un village. Cet ouvrage petille de finesse et de tact, la touche est legère et spirituelle, le ciel chaud et lumineux est parfaitement en harmonie avec le bas]] réalisée par Cuyp (Albert), vendue par Stevens, achetée par Chapuis au prix de 200 fl. [149]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau d'une beauté remarquable, représente une large prairie, bordée par des rochers et des arbres; sur le sommet d'une montagne, se voit une architecture en ruine; dans la prairie tapissée de verdure et ombragée par les arbres, paissent sept vaches. Une femme est à traire une de ses vaches; près d'elle sont posés deux pots au lait de cuivre; un de ses animaux va se désalterer dans un fossé qui se voit à gauche; sur l'horison se detachent quelques fragmens d'architecture; si ce tableau n'offre pas ce fini precieux, il compense bien ce dèsavantage par une touche large et hardie, qui distingue le talent de ce grand maître par cet abandon gracieux qui décèle le véritable artiste (Cuyp (Albert))|Ce tableau d'une beauté remarquable, représente une large prairie, bordée par des rochers et des arbres; sur le sommet d'une montagne, se voit une architecture en ruine; dans la prairie tapissée de verdure et ombragée par les arbres, paissent sept vaches. Une femme est à traire une de ses vaches; près d'elle sont posés deux pots au lait de cuivre; un de ses animaux va se désalterer dans un fossé qui se voit à gauche; sur l'horison se detachent quelques fragmens d'architecture; si ce tableau n'offre pas ce fini precieux, il compense bien ce dèsavantage par une touche large et hardie, qui distingue le talent de ce grand maître par cet abandon gracieux qui décèle le véritable artiste]] réalisée par Cuyp (Albert), vendue par Stevens au prix de 500 fl. [150]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Une Bacchante. Coiffée des feuilles de vignes, elle pose la main droite sur un tambour de Basque. Ce gracieux tableau est d'une couleur vraie et naturelle réalisée par Bounieu, vendue par Stevens, achetée par Duchatel au prix de 54 fl. [151]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Sainte Famille. Dans un intérieur rustique, la Vierge assise la tête posée sur la main gauche, regarde avec un pressentiment de malheur, l'enfant divin debout devant elle, St.-Joseph, appuyé sur son baton, depeint parfaitement la tristesse qu'il partage: derrière ce groupe on voit l'âne, et quelques accessoires étalés par terre; ce petit tableau est un des meilleurs connus de ce maître; il est d'une couleur et d'une correction de dessin remarquables (Bloemert (A.))|La Sainte Famille. Dans un intérieur rustique, la Vierge assise la tête posée sur la main gauche, regarde avec un pressentiment de malheur, l'enfant divin debout devant elle, St.-Joseph, appuyé sur son baton, depeint parfaitement la tristesse qu'il partage: derrière ce groupe on voit l'âne, et quelques accessoires étalés par terre; ce petit tableau est un des meilleurs connus de ce maître; il est d'une couleur et d'une correction de dessin remarquables]] réalisée par Bloemert (A.), vendue par Stevens, achetée par Lorent au prix de 52 [or] 58 fl. [152]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Jeux d'enfant, représentant les quatre saisons. Ces quatre tableaux ne font qu'un numéro réalisée par Boucher, vendue par Stevens, achetée par Duchatel au prix de 54 [or] 58 fl. [153]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Une voiture attelée de six cheveaux blancs, passe dans une promenade publique; quelques personnages de distinction en forment la suite réalisée par Bie (De), vendue par Stevens, achetée par Lorent au prix de 46 fl. [154]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage avec figures et animaux réalisée par Bellingen (van), vendue par Stevens, achetée par Mayen au prix de 34 fl. [155]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage avec cascade réalisée par Bellingen (van), vendue par Stevens, achetée par Van Spillet ? au prix de 12 fl. [156]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage avec figures et animaux réalisée par Bellingen (van), vendue par Stevens, achetée par Doncker au prix de 32 fl. [157]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Bataille. Au milieu de la mêlée on voit deux officiers se battant corps à corps; l'un d'eux a son cheval abattu. Près de là est un trompette sonnant la victoire; à droite sur le second plan, on apperçoit une charge de cavalerie vive et animée; des cadavres et chevaux morts sont sur l'avant scène. Ce tableau rappelle par la touche hardie, les ouvrages de Salvator Rosa (Bourguignon)|Bataille. Au milieu de la mêlée on voit deux officiers se battant corps à corps; l'un d'eux a son cheval abattu. Près de là est un trompette sonnant la victoire; à droite sur le second plan, on apperçoit une charge de cavalerie vive et animée; des cadavres et chevaux morts sont sur l'avant scène. Ce tableau rappelle par la touche hardie, les ouvrages de Salvator Rosa]] réalisée par Bourguignon, vendue par Stevens, achetée par Warneck au prix de 116 fl. [158]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme L'adoration des Bergers. Une gloire d'anges vient éclairer la composition du bas, et distribuer la lumière avec beaucoup d'intelligence; les figures sont bien groupées, et la couleur en est fort brillante réalisée par Balen (Henri van), vendue par Stevens, achetée par Van Callenbergh au prix de 64 fl. [159]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Choc de cavalerie; il est à regretter que celui-ci soit si fortement endommagé réalisée par Breydel (Chevalier Le), vendue par Stevens, achetée par Verlinden au prix de 38 fl. [160]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Sur une terasse élevée est un moulin, devant lequel on voit une charge de cavalerie très animée. Plus loin plusieurs d'entr'eux poursuivent avec acharnement l'ennemi fuyant réalisée par Breydel (Chevalier Le), vendue par Stevens, achetée par Verlinden au prix de 38 fl. [161]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Une fille du peuple coiffée d'une étoffe blanche et grossière, les mains jointes, est dans une attitude supliante réalisée par Bol (Ferdinand), vendue par Stevens, achetée par Angus au prix de 30 fl. [162]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Un jeune homme à demi corps et habillé de rouge, tient en main un énorme verre à vin. Ce tableau est traité dans le style de Murillo réalisée par Bol (Ferdinand), vendue par Stevens, achetée par Laurent au prix de 30 fl. [163]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Les trois anges assis à table devant l'hôtellerie d'Abraham; ces figures sont gracieuses, bien groupées et drapées avec goût et ampleur réalisée par Bramer (Léonard), vendue par Stevens, achetée par Laurent Bruxelles au prix de 38 fl. [164]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les Charlatans. Ce tableau tant sous le rapport de l'exécution que de la composition ne doit ceder en rien au numéro précédent. A gauche sur une estrade surmontée d'un pavillon, deux charlatans attirent une foule de peuple auquel ils cherchent, à débiter leur drogues etc., un vieillard appuyé sur une béquille leur tend une pièce de monnoie; autour de lui est un joli groupe d'enfants tenant en main leur joujoux; une mère accompagnée de ses deux enfants, compte dans ses mains les pièces quelle peut dépenser. Du côté opposé une vieille femme est attentivement en conversation pendant qu'un petit filou introduit une main dans ses poches. Devant une treillis couvert de feuillage, est assise sur sa brouette une marchande de fruits entourrée de joieux enfants, un malheureux estropié, occupe le premier plan, dans le lointain on voit le clocher et une partie du village (Brakenburg (Reinier))|Les Charlatans. Ce tableau tant sous le rapport de l'exécution que de la composition ne doit ceder en rien au numéro précédent. A gauche sur une estrade surmontée d'un pavillon, deux charlatans attirent une foule de peuple auquel ils cherchent, à débiter leur drogues etc., un vieillard appuyé sur une béquille leur tend une pièce de monnoie; autour de lui est un joli groupe d'enfants tenant en main leur joujoux; une mère accompagnée de ses deux enfants, compte dans ses mains les pièces quelle peut dépenser. Du côté opposé une vieille femme est attentivement en conversation pendant qu'un petit filou introduit une main dans ses poches. Devant une treillis couvert de feuillage, est assise sur sa brouette une marchande de fruits entourrée de joieux enfants, un malheureux estropié, occupe le premier plan, dans le lointain on voit le clocher et une partie du village]] réalisée par Brakenburg (Reinier), vendue par Stevens, achetée par Messian au prix de 1200 fl. [165]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Kermesse ou Fête de Village. Ce magnifique tableau a toujours passé dans les annales de l'art pour un chef d'oeuvre de ce maître; le peintre a représenté l'intérièure d'une maison rustique. Il regne dans cette composition, un esprit enjoué qui depeint parfaitement le caractère de l'auteur. L'amour et le vin étoient toujours de la partie; mais, rarement, s'est-il donné la peine de voiler ces plaisirs autant qu'il convient à un grand artiste dont les ouvrages passent dans le public et à la postérité. Sur le premier plan, des enfans agitent un tonneau pour en extraire le reste; Ils sont accompagnés d'un joueur de violon; près d'eux, un paysan dans une attitude singulière, tient dans ses bras serrés, une jeune et jolie fille; Sa contenance annonce qu'elle n'écoute pas avec indifférence le propos d'amour. Cette scène est espionnée par d'autres individus qui se trouvent derrière une porte entr'ouverte et laisse apercevoir un jeune homme sortant d'un appartement voisin avec une jeune paysanne. Au milieu du tableau est une jeune servante le verre et la canette en main qui s'entretient avec ses compagnons assis près d'une table: à gauche sur l'avant plan, une vieille femme, entourée d'enfans s'occupe à faire des galettes, l'un d'eux s'est endormi sur une chaise renversée: rien ne peut donner une idée de la chaleur et de la force du coloris de ce charmant tableau, l'expression des figures est vraie et bien sentie, la touche est grasse et veloutée, tous les détails sont soignés et l'on peut sans exageration, comparer cette oeuvre aux plus belles conceptions de J. Steen dont Brakenburg est souvent l'heureux émule (Brakenburg (Reinier))|Kermesse ou Fête de Village. Ce magnifique tableau a toujours passé dans les annales de l'art pour un chef d'oeuvre de ce maître; le peintre a représenté l'intérièure d'une maison rustique. Il regne dans cette composition, un esprit enjoué qui depeint parfaitement le caractère de l'auteur. L'amour et le vin étoient toujours de la partie; mais, rarement, s'est-il donné la peine de voiler ces plaisirs autant qu'il convient à un grand artiste dont les ouvrages passent dans le public et à la postérité. Sur le premier plan, des enfans agitent un tonneau pour en extraire le reste; Ils sont accompagnés d'un joueur de violon; près d'eux, un paysan dans une attitude singulière, tient dans ses bras serrés, une jeune et jolie fille; Sa contenance annonce qu'elle n'écoute pas avec indifférence le propos d'amour. Cette scène est espionnée par d'autres individus qui se trouvent derrière une porte entr'ouverte et laisse apercevoir un jeune homme sortant d'un appartement voisin avec une jeune paysanne. Au milieu du tableau est une jeune servante le verre et la canette en main qui s'entretient avec ses compagnons assis près d'une table: à gauche sur l'avant plan, une vieille femme, entourée d'enfans s'occupe à faire des galettes, l'un d'eux s'est endormi sur une chaise renversée: rien ne peut donner une idée de la chaleur et de la force du coloris de ce charmant tableau, l'expression des figures est vraie et bien sentie, la touche est grasse et veloutée, tous les détails sont soignés et l'on peut sans exageration, comparer cette oeuvre aux plus belles conceptions de J. Steen dont Brakenburg est souvent l'heureux émule]] réalisée par Brakenburg (Reinier), vendue par Stevens, achetée par Messian au prix de 1200 fl. [166]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage pitoresque, bordé de rochers couverts de mousses et verdure, une bergère y a conduit son troupeau; ces animaux, d'espèces différentes, animent l'avant scène. Si ce tableau n'offre pas le fini des précédents, il compense bien cet avantage par une couleur transparente et une touche large (Berghen (Dirck van den))|Dans un paysage pitoresque, bordé de rochers couverts de mousses et verdure, une bergère y a conduit son troupeau; ces animaux, d'espèces différentes, animent l'avant scène. Si ce tableau n'offre pas le fini des précédents, il compense bien cet avantage par une couleur transparente et une touche large]] réalisée par Berghen (Dirck van den), vendue par Stevens, achetée par Warneck Paris au prix de 225 [or] 325 fl. [167]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cette gracieuse composition offre des grandes beautés sous le rapport de l'art. Une vache aux taches rouges et blanches est debout; auprès d'elle et de chaque côté sont d'autres vaches couchées. Sur l'avant plan, des moutons et chèvres paissent le gazon. Vers le fond du second plan, et à l'entrée d'une tente, est une jeune femme dans l'ombre, caressant un petit chien: une vache noir et beuglant, termine cette agréable composition qui est égale en mérite au précédent numéro (Berghen (Dirck van den))|Cette gracieuse composition offre des grandes beautés sous le rapport de l'art. Une vache aux taches rouges et blanches est debout; auprès d'elle et de chaque côté sont d'autres vaches couchées. Sur l'avant plan, des moutons et chèvres paissent le gazon. Vers le fond du second plan, et à l'entrée d'une tente, est une jeune femme dans l'ombre, caressant un petit chien: une vache noir et beuglant, termine cette agréable composition qui est égale en mérite au précédent numéro]] réalisée par Berghen (Dirck van den), vendue par Stevens, achetée par van Gameren au prix de 400 fl. [168]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage, bordé de montagnes couverts d'arbres et de verdure, passe une gracieuse bergère tenant dans ses bras un agneau: à côté d'elle marchent deux moutons groupés avec un goût exquis. On distingue particulièrement un âne blanc chargé, près duquel est un veau passant un ruisseau. Sur le second plan se trouve un vacher conduisant son troupeau. Les amateurs connaissent aisement dans ce tableau un des meilleurs de ce maître, et digne du pinceau d'Adrian Vande Velde (Berghen (Dirck van den))|Dans un paysage, bordé de montagnes couverts d'arbres et de verdure, passe une gracieuse bergère tenant dans ses bras un agneau: à côté d'elle marchent deux moutons groupés avec un goût exquis. On distingue particulièrement un âne blanc chargé, près duquel est un veau passant un ruisseau. Sur le second plan se trouve un vacher conduisant son troupeau. Les amateurs connaissent aisement dans ce tableau un des meilleurs de ce maître, et digne du pinceau d'Adrian Vande Velde]] réalisée par Berghen (Dirck van den), vendue par Stevens, achetée par Etienne Leroy au prix de 410 fl. [169]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Site pitoresque de l'Italie. Dans un paysage boisé, et montagneux, dominant sur un ciel clair et nuageux, coule une rivière bordée par une terasse sabloneuse; une femme montée sur un âne et conduisant son troupeau qui se compose d'une vache blanche, moutons, chèvres et chien, fait une halte; près d'elle est un voyageur en repos; cette belle composition, quoique de petite dimension, décèle tous l'art de Berchem, sa facilité, la grace et la science de son pinceau. Il est du meilleur tems du maître et joint à sa belle manière une fraîcheur et une force de couleur étonnante (Berchem (Nicolas))|Site pitoresque de l'Italie. Dans un paysage boisé, et montagneux, dominant sur un ciel clair et nuageux, coule une rivière bordée par une terasse sabloneuse; une femme montée sur un âne et conduisant son troupeau qui se compose d'une vache blanche, moutons, chèvres et chien, fait une halte; près d'elle est un voyageur en repos; cette belle composition, quoique de petite dimension, décèle tous l'art de Berchem, sa facilité, la grace et la science de son pinceau. Il est du meilleur tems du maître et joint à sa belle manière une fraîcheur et une force de couleur étonnante]] réalisée par Berchem (Nicolas), vendue par Stevens, achetée par Wouters au prix de 440 fl. [170]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montagneux avec cascade. Ce tableau, d'un coloris riche et suave, réunit toutes les qualités du célèbre paysagiste; sur un ciel piquant de lumière et d'effet, se détache un paysage des plus agréables. A gauche du spectateur on voit sur le premier plan un énorme rocher couronné d'arbres, dont le feuillage d'une légèrité admirable. Au milieu du tableau sont des rochers couverts de mousses et broussailles, à travers lesquels, les eaux tombent silencieusement dans un profond précipice. Des arbres croissant à côté, etendent leurs branches, ajoutant à la sauvagesse de ce lieu et servent de reposoir. Au detour d'un chemin, on voit un homme monté sur un âne près duquel et au bord du lac est assis un dessinateur tout occupé de son art traçant sur un album cette vue pittoresque. Ce tableau offre un coup-d'oeil fort agréable; tout y est clair et vaporeux; il peut être regardé comme une de meilleures productions de ce grand maître (Both (Jean))|Paysage montagneux avec cascade. Ce tableau, d'un coloris riche et suave, réunit toutes les qualités du célèbre paysagiste; sur un ciel piquant de lumière et d'effet, se détache un paysage des plus agréables. A gauche du spectateur on voit sur le premier plan un énorme rocher couronné d'arbres, dont le feuillage d'une légèrité admirable. Au milieu du tableau sont des rochers couverts de mousses et broussailles, à travers lesquels, les eaux tombent silencieusement dans un profond précipice. Des arbres croissant à côté, etendent leurs branches, ajoutant à la sauvagesse de ce lieu et servent de reposoir. Au detour d'un chemin, on voit un homme monté sur un âne près duquel et au bord du lac est assis un dessinateur tout occupé de son art traçant sur un album cette vue pittoresque. Ce tableau offre un coup-d'oeil fort agréable; tout y est clair et vaporeux; il peut être regardé comme une de meilleures productions de ce grand maître]] réalisée par Both (Jean), vendue par Stevens, achetée par Van Gameren au prix de 52 [or] 520 fl. [171]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le mariage mystique de St.-Catherine. La sainte est à genoux devant la vierge, assise sur les restes d'une architecture Egyptienne. Elle reçoit l'anneau que lui presente l'enfant Jésus; un chérubin, portant une corbeille de fleurs, est derrière la Sainte. Au milieu de ce joli groupe, est St.-Joseph un livre en main et les bras posés sur un piedestal. En haut on voit une gloire d'anges jettant des fleurs sur cette scène mistérieuse. La vierge regardant le spectateur, fait croire que c'est un portrait. Ce tableau est d'une couleur et d'un fini admirables (Benifioli (Car.))|Le mariage mystique de St.-Catherine. La sainte est à genoux devant la vierge, assise sur les restes d'une architecture Egyptienne. Elle reçoit l'anneau que lui presente l'enfant Jésus; un chérubin, portant une corbeille de fleurs, est derrière la Sainte. Au milieu de ce joli groupe, est St.-Joseph un livre en main et les bras posés sur un piedestal. En haut on voit une gloire d'anges jettant des fleurs sur cette scène mistérieuse. La vierge regardant le spectateur, fait croire que c'est un portrait. Ce tableau est d'une couleur et d'un fini admirables]] réalisée par Benifioli (Car.), vendue par Stevens, achetée par Warneck au prix de 140 [or] 142 fl. [172]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Grisaille. Le Christ descendu de la croix, est soutenu par Nicodème, les Saintes femmes y sont en adoration. Cette composition eclairée au flambeau est fort belle, le dessin est d'une grande correction réalisée par Barochio (Frederico), vendue par Stevens, achetée par Wouters au prix de 48 fl. [173]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme Sainte Veronique les yeux levés au ciel, tient dans ses mains un vase, dans lequel elle presse l'éponge mouillée du St.-Sang; à gauche on voit la ville de Jerusalem et du côté opposé le martyre de plusieurs Saints réalisée par Baldi (Lazaro), vendue par Stevens, achetée par Tencé au prix de 70 fl. [174]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Repos en Egypte. Dans un doux et riant paysage, la Vierge et St.-Joseph contemplent avec tendresse l'enfant divin. Deux petits anges y sont en adoration. Sur l'avant scène se trouvent quelques accessoires. Ce petit tableau réunit toute la grace qui caracterise le pinceau de ce maître, il est d'un coloris fort agréable (Albane)|Le Repos en Egypte. Dans un doux et riant paysage, la Vierge et St.-Joseph contemplent avec tendresse l'enfant divin. Deux petits anges y sont en adoration. Sur l'avant scène se trouvent quelques accessoires. Ce petit tableau réunit toute la grace qui caracterise le pinceau de ce maître, il est d'un coloris fort agréable]] réalisée par Albane, vendue par Stevens, achetée par Duchatel Mons au prix de 105 [or] 110 fl. [175]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage au soleil couchant, coule une rivière qui va à perte de vue, au bord de laquelle une blanchisseuse lave son linge. Un Cavalier passe avec son cheval un large pont. A droite à la porte d'une hôtellerie, quelques villageois sont assis devant une table et à boire. Des barques font encore l'ornement de ce riant paysage, dont le touche fine et ferme, la classe parmi les meilleurs productions de ce maître (Asselyn (Jean) dit Krabbetje)|Dans un paysage au soleil couchant, coule une rivière qui va à perte de vue, au bord de laquelle une blanchisseuse lave son linge. Un Cavalier passe avec son cheval un large pont. A droite à la porte d'une hôtellerie, quelques villageois sont assis devant une table et à boire. Des barques font encore l'ornement de ce riant paysage, dont le touche fine et ferme, la classe parmi les meilleurs productions de ce maître]] réalisée par Asselyn (Jean) dit Krabbetje, vendue par Stevens, achetée par van Gameren au prix de 90 fl. [176]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage montagneux et entrecoupé de rochers, au bas desquels coule une rivière, un immense pont fragile est jetté sur cette espèce de mare. Un troupeau, conduit par des bergers se dispose à y passer. Plus avant, on voit un chasseur revenant d'une ferme; quelques jolies figures et animaux ornent l'avant plan et sont touchés d'une manière très spirituelle (Antonissen)|Dans un paysage montagneux et entrecoupé de rochers, au bas desquels coule une rivière, un immense pont fragile est jetté sur cette espèce de mare. Un troupeau, conduit par des bergers se dispose à y passer. Plus avant, on voit un chasseur revenant d'une ferme; quelques jolies figures et animaux ornent l'avant plan et sont touchés d'une manière très spirituelle]] réalisée par Antonissen, vendue par Stevens, achetée par Nicolie ? au prix de 75 fl. [177]
- 1837.08.09/ maison de ventes : Verlinde. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage très aërien composé d'arbres et de rochers on voit descendre des animaux de différentes espèces, conduits par des bergers. Ce tableau, traité dans la manière de Wynants, est un des plus agréables d'Antonissen, tant pour la composition, que par son joli ton de couleur (Antonissen)|Dans un paysage très aërien composé d'arbres et de rochers on voit descendre des animaux de différentes espèces, conduits par des bergers. Ce tableau, traité dans la manière de Wynants, est un des plus agréables d'Antonissen, tant pour la composition, que par son joli ton de couleur]] réalisée par Antonissen, vendue par Stevens, achetée par Franck au prix de 91 [or] 95 fl. [178]