Ventes d'œuvres le 1838.04.16
Aller à la navigation
Aller à la recherche
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Christ à la colonne. L'homme-dieu est représenté debout, attaché à une colonne et endurant avec une sublime résignation les souffrances et l'humiliation que lui font endurer ses hourreaux. Peu de peintres ont été plus copiés, plus imités que Moralès; et nombre d'amateurs irréfléchis, dès qu'ils voient un ecce homo bien optu, des mères de douleur bien décharnées, y appliquent aussitôt l'attribution de Moralès, qui est le peintre du sentiment, de l'expression et du fini le plus parfait; dont le mérite, encore, consiste dans l'exactitude du plus austère dessin. Celui-ci, nous le pensons, recevra un accueil plus véridique. Il était regardé, à Badajoz, comme égal en qualité au superbe tableau de la Voie des douleurs. (Moralès, surnommé le Divin (École de Madrid))|Le Christ à la colonne. L'homme-dieu est représenté debout, attaché à une colonne et endurant avec une sublime résignation les souffrances et l'humiliation que lui font endurer ses hourreaux. Peu de peintres ont été plus copiés, plus imités que Moralès; et nombre d'amateurs irréfléchis, dès qu'ils voient un ecce homo bien optu, des mères de douleur bien décharnées, y appliquent aussitôt l'attribution de Moralès, qui est le peintre du sentiment, de l'expression et du fini le plus parfait; dont le mérite, encore, consiste dans l'exactitude du plus austère dessin. Celui-ci, nous le pensons, recevra un accueil plus véridique. Il était regardé, à Badajoz, comme égal en qualité au superbe tableau de la Voie des douleurs.]] réalisée par Moralès, surnommé le Divin (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 2,500 fl. [1]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de Philippe Ier et de la reine Marie-Louise accompagnée de ses enfants: tous deux sont revétus de costumes d'une grande richesse et d'un éclat brillant. On compte, en Espagne, deux professeurs célèbres de ce nom, dont le meilleur est François-Antoine de Menendez; celui-ci serait, au sentiment qui nous en a été communiqué, un des peintres du dix-septième siècle dont la couleur vive et forte aurait une analogie bien prononcée avec Platzer, peintre allemand, que nous croyons néanmoins plus récent, et chez lequel on trouve une grande similitude dans l'exécution. (Menendez (École de Madrid))|Portrait de Philippe Ier et de la reine Marie-Louise accompagnée de ses enfants: tous deux sont revétus de costumes d'une grande richesse et d'un éclat brillant. On compte, en Espagne, deux professeurs célèbres de ce nom, dont le meilleur est François-Antoine de Menendez; celui-ci serait, au sentiment qui nous en a été communiqué, un des peintres du dix-septième siècle dont la couleur vive et forte aurait une analogie bien prononcée avec Platzer, peintre allemand, que nous croyons néanmoins plus récent, et chez lequel on trouve une grande similitude dans l'exécution.]] réalisée par Menendez (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 650 fl. [2]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'assomption de la Vierge. La bienheureuse mère du Rédempteur est représentée au milieu des airs et soutenue par de légers nuages. Ce sujet, sur lequel l'imagination de Murillo s'est souvent exercée et que les Espagnols ont coutume de désigner sous le titre de conception, est d'un style élevé, d'une création remplie de goût et d'une franchise d'exécution qui classent son auteur parmi les peintres du plus grand mérite dans l'école de Séville. (Alonzo Cano (École de Grenade et de Séville))|L'assomption de la Vierge. La bienheureuse mère du Rédempteur est représentée au milieu des airs et soutenue par de légers nuages. Ce sujet, sur lequel l'imagination de Murillo s'est souvent exercée et que les Espagnols ont coutume de désigner sous le titre de conception, est d'un style élevé, d'une création remplie de goût et d'une franchise d'exécution qui classent son auteur parmi les peintres du plus grand mérite dans l'école de Séville.]] réalisée par Alonzo Cano (École de Grenade et de Séville), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 4,500 fl. [3]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux enfants décorant un fronton enrichi de vases et de fleurs. Cette desposition de projet devant être exécuté sur une très-grande échelle, indique que l'auteur s'est dédié à l'étude et à l'observation de la nature. (Claudio Coello, élève de Ricci (École de Madrid))|Deux enfants décorant un fronton enrichi de vases et de fleurs. Cette desposition de projet devant être exécuté sur une très-grande échelle, indique que l'auteur s'est dédié à l'étude et à l'observation de la nature.]] réalisée par Claudio Coello, élève de Ricci (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 1,030 fl. [4]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage d'un effet très-piquant, et qui serait une variété au talent du peintre, exercé dans l'histoire et les portraits. Une figure de moine blanc est ajoutée comme accessoire animant le lieu pittoresque, si largement et si vigoureusement représenté. (Pierre de Villavicencio, élève de Sanchez de Castro (École de Séville))|Paysage d'un effet très-piquant, et qui serait une variété au talent du peintre, exercé dans l'histoire et les portraits. Une figure de moine blanc est ajoutée comme accessoire animant le lieu pittoresque, si largement et si vigoureusement représenté.]] réalisée par Pierre de Villavicencio, élève de Sanchez de Castro (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 855 fl. [5]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La naissance du Christ. Composition éclairée a la manière de Rembrandt, et reproduisant d'une manière fort habile l'effet magique de la couleur. réalisée par Agustin del Castillo (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval. [6]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La fuite et le repos en Égypte. Deux compositions par celui-là même qui fit des paysages et des sujets tirés de la Bible. Sa couleur n'est pas vraie, mais elle a une harmonie bien entendue; il tient de la manière fausse et séduisante de Diétricy: on le considère comme un excellent maître dans l'école secondaire de Séville. (Antolinez (École de Séville))|La fuite et le repos en Égypte. Deux compositions par celui-là même qui fit des paysages et des sujets tirés de la Bible. Sa couleur n'est pas vraie, mais elle a une harmonie bien entendue; il tient de la manière fausse et séduisante de Diétricy: on le considère comme un excellent maître dans l'école secondaire de Séville.]] réalisée par Antolinez (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 790 fl. [7]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'adoration des mages et la fuite en Égypte: deux excellents tableaux peints dans le style de Véronèse et reproduisant, comme lui, un grand mérite dans la couleur, l'invention, et surtout dans l'extrême facilité du dessin. (Antolinez (École de Séville))|L'adoration des mages et la fuite en Égypte: deux excellents tableaux peints dans le style de Véronèse et reproduisant, comme lui, un grand mérite dans la couleur, l'invention, et surtout dans l'extrême facilité du dessin.]] réalisée par Antolinez (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval. [8]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge, saint Joseph et son fils. réalisée par Antolinez (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval. [9]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'Enfant-Jésus et saint Jean: deux figures peintes dans le goût de Rubens. réalisée par Mateo Cerezo, élève de Jean Carrêno (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 235 fl. [10]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'Enfant-Jésus, sur les genoux de sa mère, lui exprime par ses caresses le sentiment d'amour qui commence à germer dans son coeur. Imitation du goût et des teintes de Vandyck pour l'exécution. réalisée par Jean de Sévilla, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 695 fl. [11]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'une femme de haute distinction, coiffée en cheveux et dans un ajustement élégant, et chamarrée de brillantes broderies. réalisée par Pantoja de la Cruz (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval. [12]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Tête de Christ donnant une idée du talent de ce peintre de Tolède, qui, indépendamment des sujets d'histoire, peignait très-bien les fruits, les fleurs, à l'instar des Dehem et des Seghers. réalisée par Blas del Prado (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 128 fl. [13]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La salutation angélique. L'ange et la Vierge sont deux figures séparées et forment deux tableaux ovales. Il peuvent servir d'échantillon pour juger la puissance de couleur de l'école de Séville. réalisée par Louis de Vargas (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 955 fl. [14]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Anges portant une bandelette avec l'inscription latine: Agnus Dei, etc. réalisée par Caxes Eugenio, vendue par Le comte de Rayneval. [15]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge et l'Enfant-Jésus. Au mouvement aisé, modéré et délicat qui règne dans l'attitude de Marie et de son enfant, résulte une grâce vraiment idéale; en y ajoutant une pinceau large, une couleur belle, et un dessin aussi facile que correct, ce sera donner une idée du mérite de ce peintre, de qui Herrera le jeune se fit souvent aider (Matheo Cerezo (École de Madrid))|La Vierge et l'Enfant-Jésus. Au mouvement aisé, modéré et délicat qui règne dans l'attitude de Marie et de son enfant, résulte une grâce vraiment idéale; en y ajoutant une pinceau large, une couleur belle, et un dessin aussi facile que correct, ce sera donner une idée du mérite de ce peintre, de qui Herrera le jeune se fit souvent aider]] réalisée par Matheo Cerezo (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval. [16]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Saint Joseph en méditation; figure assise et bien drapée qui indique le peintre d'histoire et à la fois sculpteur de l'école de Valence. réalisée par Domingo (École de Valence), vendue par Le comte de Rayneval. [17]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux paysages dont les terrains sont accidentés. C'est de lui dont Murillo disait <<qu'il faisait trop bien le paysage, pour ne pas le peindre d'inspiration divine>>. (Iriarte (École de Séville))|Deux paysages dont les terrains sont accidentés. C'est de lui dont Murillo disait <<qu'il faisait trop bien le paysage, pour ne pas le peindre d'inspiration divine>>.]] réalisée par Iriarte (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 1,700 fl. [18]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages réalisée par Iriarte (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval. [19]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus au jardin des Oliviers. La manière de ce peintre offre beaucoup de nouveauté et une invention remplie de caprices commes les ouvrages du Bassan, dont on présume qu'il fut élèvé. Il entendait, employait toutes les ressources du clair-obscur, et peignait avec un grande vérité tous les genres. (Orrente, élève du Bassan (École de Valence))|Jésus au jardin des Oliviers. La manière de ce peintre offre beaucoup de nouveauté et une invention remplie de caprices commes les ouvrages du Bassan, dont on présume qu'il fut élèvé. Il entendait, employait toutes les ressources du clair-obscur, et peignait avec un grande vérité tous les genres.]] réalisée par Orrente, élève du Bassan (École de Valence), vendue par Le comte de Rayneval. [20]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Le sacrifice d'Abraham. L'ange, porteur de la parole de Dieu, arrête le bras qui doit frapper Isaac. réalisée par Orrente, élève du Bassan (École de Valence), vendue par Le comte de Rayneval. [21]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Scène de duel et combat entre deux cavaliers. réalisée par Carreno (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval. [22]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge à l'aiguille. Elle est assise et occupée au travail; cette composition caractérise, sans doute, une des vertus de la mère du Sauveur. réalisée par Valdès (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 740 fl. [23]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sainte Thérèse en exaltation et préservée de l'attaque d'un dragon. Cette turbulente composition est peinte avec énergie, d'un style serré, d'une grande fécondité dans l'invention, dans le dessin et surtout dans la couleur. (Valdès (École de Séville))|Sainte Thérèse en exaltation et préservée de l'attaque d'un dragon. Cette turbulente composition est peinte avec énergie, d'un style serré, d'une grande fécondité dans l'invention, dans le dessin et surtout dans la couleur.]] réalisée par Valdès (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 800 fl. [24]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Guirlande de fleurs en forme de frise verticale, dont le choix est très-habilement nuancé. réalisée par Marguarita, élève de Vanhuysum, vendue par Le comte de Rayneval. [25]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux bouquets de fleurs réalisée par Marguarita, élève de Vanhuysum, vendue par Le comte de Rayneval. [26]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Baptême du prince Balthazar, infant d'Espagne, fils de Philippe IV; cet immense cortége se compose des voitures de seigneurs de première classe, d'une nombreuse suite, de troupes, infanterie et cavalerie. (Jean de La Corte, élève de Vélasquez (École de Madrid))|Baptême du prince Balthazar, infant d'Espagne, fils de Philippe IV; cet immense cortége se compose des voitures de seigneurs de première classe, d'une nombreuse suite, de troupes, infanterie et cavalerie.]] réalisée par Jean de La Corte, élève de Vélasquez (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval. [27]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Le portrait du prince Balthazar, infant d'Espagne. réalisée par J.-B. Mazo, disciple de Vélasquez (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval. [28]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages, terrain accidenté de mouvement, quelques fabriques au loin. réalisée par Pagani, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 350 fl. [29]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des religieux vont procéder à la translation d'un corps; ils sont réunis et se forment en cortége. réalisée par Carduccho (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 210 fl. [30]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'ange et Tobie réalisée par Fneolocopuli, dit El Greco (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 210 fl. [31]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Saint Jean. Figure détaché. réalisée par Bocanegra, élève d'Alonzo Cano (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 130 fl. [32]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Le Christ mort étendu sur un linceul. réalisée par Escalante, imitateur du Tintoret (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval. [33]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'enterrement de sainte Léocadie. réalisée par Escalante, imitateur du TIntoret (École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval. [34]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux sujets de fleurs avec médaillons. réalisée par Arrellano (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 240 fl. [35]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux bouquets dans des vases. réalisée par Arrellano (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 240 fl. [36]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Bouquets de fleurs. réalisée par Arrellano (École de Madrid), vendue par Le comte de Rayneval. [37]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Saint Pierre, figure à mi-corps et d'une grande force de clair-obscur. Les accidents du corps humain et les rides sont rendus sans aucun doute avec une supériorité qu'aucun autre artiste n'a surpassé. réalisée par Ribera (École italienne-espagnole), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 1,340 fl. [38]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge et l'Enfant-Jésus, imitation de Murillo et de Tobar, son élève; mais néanmoins une couleur locale. réalisée par Tobar (Dans le style de) École de Séville), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 750 fl. [39]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'assomption de la Vierge. réalisée par Zurbaran (Style de), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 460 fl. [40]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La nativité de Jésus. Étendu par terre sur un peu de linge, le nouveau-né dort paisiblement. Marie, les yeux fixés sur son divin fils, le contemple, l'adore et fait céder les mouvements de son coeur à la vénération dont son âme est pénétrée. (Barroche (Esquisse du))|La nativité de Jésus. Étendu par terre sur un peu de linge, le nouveau-né dort paisiblement. Marie, les yeux fixés sur son divin fils, le contemple, l'adore et fait céder les mouvements de son coeur à la vénération dont son âme est pénétrée.]] réalisée par Barroche (Esquisse du), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 690 fl. [41]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Saint Joseph accompagné de l'Enfant-Jésus. réalisée par Murillo (Genre de), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 645 fl. [42]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[On attribuait ce portrait de femme à Véronèse, en raison de la franche manière avec laquelle il est peint; la femme qui tient la tête d'Hérodias est du plus beau caractère des têtes vénitiennes, posée comme les portraits du Titien et savamment ajustée. (Paul Veronese)|On attribuait ce portrait de femme à Véronèse, en raison de la franche manière avec laquelle il est peint; la femme qui tient la tête d'Hérodias est du plus beau caractère des têtes vénitiennes, posée comme les portraits du Titien et savamment ajustée.]] réalisée par Paul Veronese, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 405 fl. [43]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'annonciation. Peinture curieurse d'un des bons dessinateurs de l'école romaine, élégant et fin dans les compositions. réalisée par Frédéric Zuccharo, vendue par Le comte de Rayneval. [44]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux batailles. Elles sont plus avancées que des espuisses, et touchées avec une prestesse de pinceau qui convient à ce genre d'étude, dont la principale condition est le mouvement et l'énergie. réalisée par Philippe Napolitain, vendue par Le comte de Rayneval. [45]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Buste du Christ. réalisée par Pezarès (Pouvant être attribué au), vendue par Le comte de Rayneval. [46]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Saint Paul, figure en pied. réalisée par Herrera le Vieux, vendue par Le comte de Rayneval. [47]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'Enfant-Jésus endormi sous les yeux de la Vierge. réalisée par Guide (Dans la manière du), vendue par Le comte de Rayneval. [48]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Sainte martyre. réalisée par Barroche (Style de), vendue par Le comte de Rayneval. [49]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'adoration des bergers. Deux compositions dans lesquelles l'hommage est rendu au fils de Dieu, par des bergers rangés à genoux autour de lui. Une grande richess de détails, une exécution toute d'enthousiasme, sont les qualités les plus remarquables de ces deux tableaux. (S. D. Vos (Portant la signature))|L'adoration des bergers. Deux compositions dans lesquelles l'hommage est rendu au fils de Dieu, par des bergers rangés à genoux autour de lui. Une grande richess de détails, une exécution toute d'enthousiasme, sont les qualités les plus remarquables de ces deux tableaux.]] réalisée par S. D. Vos (Portant la signature), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 350 fl. [50]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des fruits et de riches aiguières: deux grandes et somptueuses compositions. réalisée par S. D. Vos, vendue par Le comte de Rayneval. [51]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Jésus-Christ chez Marthe et Marie: sujet du Nouveau-Testament, traité dans le goût des maître et d'aussi brillante couleur que Sneyders, bien propres à occasioner une méprise si la signature ne le décélait pas. réalisée par T. B. (Portant la signature), vendue par Le comte de Rayneval au prix de 600 fl. [52]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Huit chiens attaquant un lion, et loup attaqué par des chiens. Deux tableaux de même mérite et d'aussi brillante couleur que Sneyders, bien propres à occasioner une méprise si la signature ne le décélait pas. réalisée par P. P. Vos, élève de Sneyders, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 560 fl. [53]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Pouine poursuivie par des chiens. réalisée par P. P. Vos, élève de Sneyders, vendue par Le comte de Rayneval. [54]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le combat d'un oiseau de proie contre des animaux domestiques, et réunion de poules et autres animaux de basse-cour. Encore deux tableaux de placé du plus grand effet, et prouvant qu'il importe peu par quel talent un homme se distingue, pourvu qu'il excelle. (P. P. Vos, élève de Sneyders)|Le combat d'un oiseau de proie contre des animaux domestiques, et réunion de poules et autres animaux de basse-cour. Encore deux tableaux de placé du plus grand effet, et prouvant qu'il importe peu par quel talent un homme se distingue, pourvu qu'il excelle.]] réalisée par P. P. Vos, élève de Sneyders, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 670 fl. [55]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'ange et le Christ expirant, que toutes les forces ont abandonné, et qui n'obéit qu'à la force de celui qui le soulève et le soutient avec un héroïsme religieux. réalisée par Martin Pepin, vendue par Le comte de Rayneval. [56]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage bien fourni d'arbres et de chemins tracés où se trouvent, sur plusieurs plans, des figures de cavaliers et gens à pied. réalisée par Kerings, vendue par Le comte de Rayneval. [57]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux jolis paysages ornés de figures; ils sont dans le meilleur état de conservation et dans cette touche écrite avec esprit. réalisée par Pierre Breughel, vendue par Le comte de Rayneval. [58]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'ascension. Notre Seigneur monte au ciel entouré d'une auréole qui se mêle aux nuages dont il est enveloppé. Ses disciples, effrayes, le contemplent encore avec admiration. réalisée par Rothnamer, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 130 fl. [59]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Marine dont les vagues sont agitées. réalisée par Vanderkabel, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 101 fl. [60]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux têtes d'apôtres peintes dans le goût de Vantulden, disciple de Rubens. réalisée par École de Rubens, vendue par Le comte de Rayneval. [61]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'incendie de Troie. Immense composition pour la multiplicité des figures et les nombreux détails. réalisée par Le vieux Breughel, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 200 fl. [62]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Guirlande de raisin. réalisée par Barrera, vendue par Le comte de Rayneval. [63]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Saint Pierre, par Murillo imitant Ribera. réalisée par Murillo, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 1,200 fl. [64]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Chat endormi près d'un chien. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 100 fl. [65]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge et l'Enfant-Jésus, par A. Cano. réalisée par A. Cano, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 900 fl. [66]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait, par le même A. Cano. réalisée par A. Cano, vendue par Le comte de Rayneval. [67]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme David jouant de la harpe, par Giordano. réalisée par Giordano, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 300 fl. [68]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Tête de Christ, attribuée à Carlo Dolce. réalisée par Carlo Dolce, vendue par Le comte de Rayneval. [69]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Marche d'armée, par E. Mare. réalisée par E. Mare, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 800 fl. [70]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage, par Velasquez, style flamand. réalisée par Velasquez, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 500 fl. [71]
- 1838.04.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux batailles, par J. de Tolède. réalisée par J. de Tolède, vendue par Le comte de Rayneval au prix de 450 fl. [72]