Ventes d'œuvres le 1838.11.21

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  • 1838.11.21/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'annonciation: l'ange Gabriël député vers la sainte Vierge Marie, se tient dans une attitude du plus grand respect, ayant la jambe droite un peu inclinée contre la face de la terre et sa main droite élévée, en dressant ces paroles divines que Marie serait la mère de Dieu; on y voit avec quel éclat et quelle splendeur il lui apparut et avec quel éclat il lui fit la révérence, de l'autre côté on voit avec quelle pudeur et modestie la très-sainte Vierge écouta le sujet de son ambassade, avec quelle prudence elle a considéré ses paroles, avec quelle humilité et foi elle a déclaré hautement qu'elle était la Servante de Dieu; aussitôt que Marie eut répondu à l'ange, je suis la Servante de Dieu qu'il me soit fait selon votre parole, elle est devenu par ce moyen reine des anges et des hommes, le haut du tableau est rempli avec des anges, emblême de l'accomplissement de cette ambassade, que le peintre a imité en maître et vérité; les figures sont dans la fierté du goût italien, probablement peintes par Van Oost, après son voyage en Italie, sur bois, cadre en bois d'ébène à bord doré (Jacques Van Oost)|L'annonciation: l'ange Gabriël député vers la sainte Vierge Marie, se tient dans une attitude du plus grand respect, ayant la jambe droite un peu inclinée contre la face de la terre et sa main droite élévée, en dressant ces paroles divines que Marie serait la mère de Dieu; on y voit avec quel éclat et quelle splendeur il lui apparut et avec quel éclat il lui fit la révérence, de l'autre côté on voit avec quelle pudeur et modestie la très-sainte Vierge écouta le sujet de son ambassade, avec quelle prudence elle a considéré ses paroles, avec quelle humilité et foi elle a déclaré hautement qu'elle était la Servante de Dieu; aussitôt que Marie eut répondu à l'ange, je suis la Servante de Dieu qu'il me soit fait selon votre parole, elle est devenu par ce moyen reine des anges et des hommes, le haut du tableau est rempli avec des anges, emblême de l'accomplissement de cette ambassade, que le peintre a imité en maître et vérité; les figures sont dans la fierté du goût italien, probablement peintes par Van Oost, après son voyage en Italie, sur bois, cadre en bois d'ébène à bord doré]] réalisée par Jacques Van Oost, vendue par Anne Marie Vissers, veuve de Pierre-Boudouin Emanuel, d'Anvers. [5]
  • 1838.11.21/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un agréable paysage est un chien gardeur d'une masse de gibier, à qui un autre chien vient lui disputer son emploi, cette imitation très-difficile à saisir, est rendue avec vérité; vrai chèf-d'oeuvre connu sous le nom de la pièce au faucon, sur toile, cadre doré (Jacques De Koning)|Dans un agréable paysage est un chien gardeur d'une masse de gibier, à qui un autre chien vient lui disputer son emploi, cette imitation très-difficile à saisir, est rendue avec vérité; vrai chèf-d'oeuvre connu sous le nom de la pièce au faucon, sur toile, cadre doré]] réalisée par Jacques De Koning, vendue par Anne Marie Vissers, veuve de Pierre-Boudouin Emanuel, d'Anvers. [20]
  • 1838.11.21/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une famille villageoise au sein du bonheur dans un intérieur: une femme assise chante gaiement, tandis qu'un homme assis la regarde en riant, agréable composition de quatre figures d'un fini précieux, perle de cabinet, sur bois, cadre doré très-riche (Reinier Brakenburg)|Une famille villageoise au sein du bonheur dans un intérieur: une femme assise chante gaiement, tandis qu'un homme assis la regarde en riant, agréable composition de quatre figures d'un fini précieux, perle de cabinet, sur bois, cadre doré très-riche]] réalisée par Reinier Brakenburg, vendue par Anne Marie Vissers, veuve de Pierre-Boudouin Emanuel, d'Anvers. [48]
  • 1838.11.21/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le dernier combat naval entre le lieutenant-admiral Tromp et Sprag, en 1673, avec le lieutenant-admiral-général Michel De Ruiter, contre les puissances alliées, (les français et les anglais) sous le commandement du comte d'Estrées et l'admiral Banker: mieux connu sous le combat près Texel, dans lequel Robert commandait le pavillon rouge, Edouard Sprag le pavillon bleu, et le comte d'Estrées le pavillon blanc, ils firent voile leurs flotes vers les côtes de la Hollande dans l'intention de passer en Zélande, il s'éleva alors entre eux, Tromp et De Ruiter, un combat opiniâtre et terrible, et ce n'est qu'à la bravoure de Tromp que la Hollande est redevable de son salut, sur bois (Guillaume Van De Velde)|Le dernier combat naval entre le lieutenant-admiral Tromp et Sprag, en 1673, avec le lieutenant-admiral-général Michel De Ruiter, contre les puissances alliées, (les français et les anglais) sous le commandement du comte d'Estrées et l'admiral Banker: mieux connu sous le combat près Texel, dans lequel Robert commandait le pavillon rouge, Edouard Sprag le pavillon bleu, et le comte d'Estrées le pavillon blanc, ils firent voile leurs flotes vers les côtes de la Hollande dans l'intention de passer en Zélande, il s'éleva alors entre eux, Tromp et De Ruiter, un combat opiniâtre et terrible, et ce n'est qu'à la bravoure de Tromp que la Hollande est redevable de son salut, sur bois]] réalisée par Guillaume Van De Velde, vendue par Anne Marie Vissers, veuve de Pierre-Boudouin Emanuel, d'Anvers. [64]
  • 1838.11.21/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une maison de paysan, où l'on voit une vieille femme se divertir en mangeant de la boullie et du pain de seigle, composition savante de cinq figures dont deux regardent par une fenêtre tout ce qui passe dans la maison, sur bois forme ronde, cadre doré (Adrien Brouwer)|L'intérieur d'une maison de paysan, où l'on voit une vieille femme se divertir en mangeant de la boullie et du pain de seigle, composition savante de cinq figures dont deux regardent par une fenêtre tout ce qui passe dans la maison, sur bois forme ronde, cadre doré]] réalisée par Adrien Brouwer, vendue par Anne Marie Vissers, veuve de Pierre-Boudouin Emanuel, d'Anvers. [65]
  • 1838.11.21/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Nymphe Dryade présidante aux bois et aux forêts, où elle se tient jour et nuit aux étés et hivers dans la conversation; les Hamadryades étant enfans dont les destinées dépendent des arbres avec lesquels ils naissent et meurent, sont occupés à faire entretenir le feu de reconnaissance pour ceux qui les avaient garanti de la mort, en laissant l'arbre non coupé par la prière de la Dryade, parce que celui qui coupera l'arbre est toujours sévèrement punis, sur bois, cadre noir (Corneille Poelenburg)|Une Nymphe Dryade présidante aux bois et aux forêts, où elle se tient jour et nuit aux étés et hivers dans la conversation; les Hamadryades étant enfans dont les destinées dépendent des arbres avec lesquels ils naissent et meurent, sont occupés à faire entretenir le feu de reconnaissance pour ceux qui les avaient garanti de la mort, en laissant l'arbre non coupé par la prière de la Dryade, parce que celui qui coupera l'arbre est toujours sévèrement punis, sur bois, cadre noir]] réalisée par Corneille Poelenburg, vendue par Anne Marie Vissers, veuve de Pierre-Boudouin Emanuel, d'Anvers. [89]
  • 1838.11.21/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[Très-beau paysage avec une cataracte d'une rivière, orné de quatre jolies figures et des lointains très-agréables avec une église, tout rendu de main de cet incomparable maître, sur bois, petites crevasses du vernis l'ont fait souffrir, cadre doré (Chrétien Dietrich, de Weimar)|Très-beau paysage avec une cataracte d'une rivière, orné de quatre jolies figures et des lointains très-agréables avec une église, tout rendu de main de cet incomparable maître, sur bois, petites crevasses du vernis l'ont fait souffrir, cadre doré]] réalisée par Chrétien Dietrich, de Weimar, vendue par Anne Marie Vissers, veuve de Pierre-Boudouin Emanuel, d'Anvers. [93]
  • 1838.11.21/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Sainte Vierge assise avec l'enfant Jésus sur ses genoux, à sa droite sur le devant est Saint Jean son bras droit appuyé sur un mouton et de l'autre bras fait un mouvement d'indication pour montrer le destin divin de Jésus, et la mission importante qu'il devait remplir, en même tems il regarde le Sauveur avec une joie respectueuse, le tableau représente un paysage, on voit l'arbre de la science du bien et du mal audessus de la Sainte Vierge; entre les perfections on remarque sur le visage de la S. Vierge, cette douce sagesse de sentiment de pudeur et de modestie qui la caractérise et que Rubbens sut toujours exprimer avec une grace particulière, l'enfant Jésus serre d'une main le globe, ses regards et toute son attitude annoncent la tendresse filiale, et le petit S. Jean a cette candeur naïve qui fait les charmes de l'enfance, Rubbens eut cette grâce de l'embellir ce don célèste que la nature n'accorde qu'à un petit nombre des favoris; sur toile (P.P. Rubens)|La Sainte Vierge assise avec l'enfant Jésus sur ses genoux, à sa droite sur le devant est Saint Jean son bras droit appuyé sur un mouton et de l'autre bras fait un mouvement d'indication pour montrer le destin divin de Jésus, et la mission importante qu'il devait remplir, en même tems il regarde le Sauveur avec une joie respectueuse, le tableau représente un paysage, on voit l'arbre de la science du bien et du mal audessus de la Sainte Vierge; entre les perfections on remarque sur le visage de la S. Vierge, cette douce sagesse de sentiment de pudeur et de modestie qui la caractérise et que Rubbens sut toujours exprimer avec une grace particulière, l'enfant Jésus serre d'une main le globe, ses regards et toute son attitude annoncent la tendresse filiale, et le petit S. Jean a cette candeur naïve qui fait les charmes de l'enfance, Rubbens eut cette grâce de l'embellir ce don célèste que la nature n'accorde qu'à un petit nombre des favoris; sur toile]] réalisée par P.P. Rubens, vendue par Anne Marie Vissers, veuve de Pierre-Boudouin Emanuel, d'Anvers. [113]
  • 1838.11.21/ maison de ventes : Porre. Vente de l'œuvre décrite comme [[La S. Madeleine grandeur naturelle à mi-corps, fixant le ciel, pressant sa poitrine avec la main droite, les touffes de ses longues cheveux bruns lui tombent sur les épaules et sur l'estomac, cette sainte a pour vêtement une draperie blanche à bord rayé qui couvre quelques parties du corps, devant elle est un livre ouvert et une tête de mort, et à côté d'elle un vase de cristal, pièce d'une capitalité extraordinaire, l'expression de la pénitence est pathétiquement rendue, sur toile, cadre doré (P.P. Rubens)|La S. Madeleine grandeur naturelle à mi-corps, fixant le ciel, pressant sa poitrine avec la main droite, les touffes de ses longues cheveux bruns lui tombent sur les épaules et sur l'estomac, cette sainte a pour vêtement une draperie blanche à bord rayé qui couvre quelques parties du corps, devant elle est un livre ouvert et une tête de mort, et à côté d'elle un vase de cristal, pièce d'une capitalité extraordinaire, l'expression de la pénitence est pathétiquement rendue, sur toile, cadre doré]] réalisée par P.P. Rubens, vendue par Anne Marie Vissers, veuve de Pierre-Boudouin Emanuel, d'Anvers. [114]