Ventes d'œuvres le 1930.09.29
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- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Triptychon: Maria mit Heiligen réalisée par Griechisch-Byzantinisch. [1]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria mit dem Kinde réalisée par Florenz, um 1200 au prix de 21000 sch. [2]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Der heilige Michael réalisée par Venedig, um 1400. [3]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria mit dem Kinde réalisée par Jacobello Del Fiore. [4]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Liebesspiele (Desco) réalisée par Florenz, um 1420 au prix de 10000 sch. [5]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Legendenszenen 6. Rettung des Lebensüberdrüssigen réalisée par Florenz, um 1450. [6]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Legendenszenen 7. Der Engel mit zwei Reitern réalisée par Florenz, um 1450. [7]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Legende des heiligen Nicolaus von Bari réalisée par Florenz, um 1450. [8]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria mit dem Kinde in Landschaft réalisée par Giovanni Di Paolo au prix de 135000 sch. [9]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Der heilige Augustin in der Schreibstube réalisée par Giovanni Di Paolo au prix de 100000 sch. [10]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Atalante und Meleager réalisée par Verona, um 1460. [11]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die Legende von den zwei Herzen réalisée par Florenz, um 1470. [12]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Votivtafel auf eine gelungene Flucht réalisée par Italienisch, um 1470. [13]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Biccherna-Tafel. Zunftbild réalisée par Siena, um 1480. [14]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Biccherna-Tafel. Der Einzug und Auszug der Beamten réalisée par Siena von 1488 au prix de 13000 sch. [15]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Madonna mit dem Kinde und zwei Engeln réalisée par Pier Francesco Fiorentino au prix de 10000 sch. [16]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Vier Darstellungen aus dem Leben der Heiligen 17. Die Vision des Augustinus réalisée par Florenz, um 1480. [17]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Vier Darstellungen aus dem Leben der Heiligen 18. Die Stigmatisation des Franziskus réalisée par Florenz, um 1480. [18]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Vier Darstellungen aus dem Leben der Heiligen 19. Hieronymus in der Schreibstube réalisée par Florenz, um 1480. [19]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Vier Darstellungen aus dem Leben der Heiligen 20. Der Tod des Hieronymus réalisée par Florenz, um 1480. [20]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Das Martyrium des heiligen Sebastian réalisée par Florenz, um 1480. [21]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die wunderbare Speisung des heiligen Dominikus und seiner Genossen réalisée par Florenz, um 1480. [22]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Der heilige Eustachius réalisée par Bernardino Pinturicchio au prix de 60000 sch. [23]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Christus am Kreuz mit vier Heiligen réalisée par Jacopo del Sellaio. [24]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Christus als Salvator Mundi réalisée par Oberitalienisch, um 1500. [25]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Katharina réalisée par Bernardino Luini. [26]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brustbild des Philippus Beroaldus réalisée par Ambrogio de Predis au prix de 42000 sch. [27]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Halbfigur einer jungen Dame réalisée par Oberitalienisch, Anfang 16. Jahrhundert. [28]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Männliches Bildnis réalisée par Lorenzo Lotto au prix de 22000 sch. [29]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis eines Knaben réalisée par Angelo Bronzino. [30]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Engelskopf réalisée par Italienisch, um 1600. [31]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die heilige Familie réalisée par Italienisch, um 1600. [32]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Ansicht des Canale Grande réalisée par Giovanni Antonio Canale, gen. Canaletto. [33]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Geburt Christi réalisée par Niederländisch, um 1400 au prix de 65000 sch. [34]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Sebastian réalisée par Französisch, um 1440. [35]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Der heilige Hieronymus in der Studierstube réalisée par Französisch, um 1440 au prix de 10500 sch. [36]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die Versuchung eines Bischofs réalisée par Südfranzösisch, um 1470. [37]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Madonna im Rosenhag réalisée par Brügger Meister, um 1500 au prix de 13500 sch. [38]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Eines der sieben Werke der Barmherzigkeit: »Die Nackten bekleiden« réalisée par Meister von Sainte Gudule au prix de 27000 sch. [39]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Kreuzabnahme réalisée par Meister Der Figdorschen Kreuzabnahme au prix de 56000 sch. [40]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Der verlorene Sohn réalisée par Hieronymus Bosch au prix de 385000 sch. [41]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brustbilder zwei klagender Frauen von einer Beweinung Christi réalisée par Quentin Massys au prix de 45000 sch. [42]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brustbilder zwei klagender Frauen von einer Beweinung Christi réalisée par Quentin Massys au prix de 45000 sch. [43]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis Kaiser Maximilians I. réalisée par Meister von Frankfurt au prix de 41000 sch. [44]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Klappaltärchen: Maria mit den heiligen Hieronymus und Franziskus réalisée par Meister Der Weiblichen Halbfiguren au prix de 18500 sch. [45]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis Kaiser Karls V. als Kind réalisée par Niederländisch, um 1510. [46]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Männliches Bildnis réalisée par Ambrosius Benson au prix de 11000 sch. [47]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Anbetung der Könige réalisée par Ambrosius Benson. [48]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis einer der Schwestern Karls V. réalisée par Meister Der Magdalenenlegende au prix de 51000 sch. [49]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Der Ausritt der heiligen Magdalena zur Falkenjagd réalisée par Meister Der Magdalenenlegende au prix de 41000 sch. [50]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis einer vornehmen Dame réalisée par Corneille de Lyon au prix de 35000 sch. [51]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Kinderbildnis réalisée par Französisch, 16. Jahrhundert. [52]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Fackeltanz am Burgundischen Hofe réalisée par Französisch-Niederländisch 16. Jahrhundert. [53]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Der verlorene Sohn réalisée par Niederländisch, um 1530. [54]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Das gefährliche Spiel réalisée par Lucas van Leyden. [55]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Christus im Hause des Lazarus réalisée par Pieter Aertsen. [56]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria mit dem Kinde réalisée par Luis de Morales. [57]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Porträt des Herzogs Albrecht von Österreich, Statthalter der Niederlande réalisée par Frans Pourbus d.Ä.. [58]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Männliches Brustbild réalisée par Niederländisch von 1570. [59]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Kinderbildnis réalisée par Geldorp Gortzius. [60]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Wechslerszene réalisée par Niederländisch, um 1560. [61]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Das Steinschneiden réalisée par Marcellus Coffermans. [62]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Besuch im Pachthof réalisée par Pieter Brueghel d.J.. [63]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Selbstbildnis eines Malers réalisée par Holländisch von 1597. [64]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Schäfer und Hirtin réalisée par Peter Paul Rubens. [65]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Das Gastmahl Ahasvers réalisée par Frans II. Francken. [66]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Arkadische Landschaft réalisée par Cornelis Poelenburgh. [67]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Arkadische Landschaft mit badenden Frauen réalisée par Cornelis Poelenburgh. [68]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis der Vittoria della Rovere réalisée par Joost Suttermanns. [69]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Landschaft mit Staffage réalisée par Gillis D'Hondecoeter. [70]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Landschaft mit Stilleben réalisée par Harmen Saftleven. [71]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Gastmahl des Herodes réalisée par Utrecht, um 1640. [72]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brustbild eines Offiziers réalisée par Niederländisch, Mitte 17. Jahrhundert. [73]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Flußlandschaft réalisée par Mathias Withoos. [74]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Der Offizier réalisée par Frans van Mieris d.Ä.. [75]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die Raucher réalisée par Egbert van Heemskerk. [76]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Nicolaes Lachtropius Waldeinsamkeit réalisée par Nicolaes Lachtropius. [77]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria mit dem Kinde réalisée par Elsässisch um 1450. [78]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heimsuchung réalisée par Bayrisch um 1440. [79]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Flügelbilder 78. Johannes der Täufer réalisée par Tirol, um 1450. [80]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Flügelbilder 79. Maria mit dem Kinde réalisée par Tirol, um 1450. [81]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die heiligen Katharina und Johannes der Täufer réalisée par Österreichisch um 1450. [82]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Der heilige Georg réalisée par Süddeutsch um 1460. [83]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Das Martyrium der heiligen Ursula réalisée par Oberrheinisch um 1460 au prix de 36000 sch. [84]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Porträtkopf eines Mannes réalisée par Fränkisch um 1480. [85]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Heiligenszenen 84. Die Krankenheilung réalisée par Oberdeutsch um 1450. [86]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Heiligenszenen 85. Der Heilige als Bischof réalisée par Oberdeutsch um 1450. [87]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Der heilige Hieronymus réalisée par Rueland Frueauf au prix de 105000 sch. [88]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die Ermordung des Knaben Simon zu Trient réalisée par Südtirol um 1500. [89]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Altarflügel 88. Verkündigung Mariae réalisée par Meister von Cappenberg au prix de 20000 sch. [90]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Altarflügel 89. Anbetung des Kindes réalisée par Meister von Cappenberg au prix de 20000 sch. [91]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die heilige Katharina von Siena u. die heilige Agnes réalisée par Westfälisch gegen 1500. [92]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Anna Selbdritt réalisée par Süddeutsch um 1500. [93]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Das Abendmahl réalisée par Jörg Ratgeb au prix de 33000 sch. [94]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Das Passahmahl réalisée par Jörg Ratgeb au prix de 19000 sch. [95]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Der zwölfjährige Jesus im Tempel réalisée par Urban Görtschacher au prix de 12000 sch. [96]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brustbild Kaiser Maximilians I. réalisée par Bernhard Strigel au prix de 41000 sch. [97]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis Kaiser Maximilians I. réalisée par Bernhard Strigel au prix de 60000 sch. [98]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis der Maria von Burgund réalisée par Bernhard Strigel au prix de 60000 sch. [99]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis eines Mannes réalisée par Bernhard Strigel au prix de 36000 sch. [100]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brustbild eines Mannes réalisée par Süddeutsch um 1510 au prix de 160000 sch. [101]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brustbild einer vornehmen jungen Dame réalisée par Lucas Cranach d.Ä. au prix de 43000 sch. [102]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Lucretia réalisée par Lucas Cranach d.Ä.. [103]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis Friedrichs III., des Weisen, Kurfürsten von Sachsen réalisée par Lucas Cranach d.Ä.. [104]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Übergabe einer befestigten Stadt an Kaiser Maximilian I. réalisée par Österreichisch um 1510. [105]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Altarflügel a) Vorderseite: Die heiligen Crispin u. Crispinian b) Rückseite: Drei männliche Heilige réalisée par Donau-Schule um 1510. [106]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Triptychon 105. Mittelbild: Maria mit dem Kinde réalisée par Jacob Schick. [107]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Triptychon 106. Rechter Flügel: Der heilige Antonius réalisée par Jacob Schick. [108]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Triptychon 107. Linker Flügel: Der heilige Augustinus réalisée par Jacob Schick. [109]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Flügelbilder 108. Heiliger Georg réalisée par Wolf Traut. [110]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Flügelbilder 109. Heiliger Jakobus Major réalisée par Wolf Traut. [111]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Eva und der Tod réalisée par Deutsch um 1550. [112]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Porträt eines jungen Mannes réalisée par Bartolomaeus Bruyn d. Ä.. [113]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis eines älteren Mannes réalisée par Bartolomaeus Bruyn d. J.. [114]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis eines alten Mannes réalisée par Bartolomaeus Bruyn d. J.. [115]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis einer alten Frau réalisée par Bartolomaeus Bruyn d. J.. [116]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis der Königin Elisabeth réalisée par Österreichisch von 1556. [117]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Allegorische Darstellung réalisée par Norddeutsch von 1597. [118]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Madonna im Grünen réalisée par Johannes Rottenhammer. [119]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Doppelbildnis réalisée par Rohrig. [120]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Cherubskopf. Marmorrelief réalisée par Toskanisch, 2. Hälfte 15. Jahrhundert. [121]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Porträt des Ludovico il Moro. Marmorrelief réalisée par Cristoforo Solari. [122]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Kopf eines Knaben. Marmorhochrelief réalisée par Italienisch, 17. Jahrhundert. [123]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brustbild des Francesco Sforza. Sandsteinrelief réalisée par Oberitalienisch (Mailand), 15. Jahrhundert, um die Mitte. [124]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brustbild eines Knaben. Pietra-Serena-Relief réalisée par Matteo Civitali. [125]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Agnus Dei. Holzrelief réalisée par Florentinisch, 15. Jahrhundert. [126]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria mit dem Kinde in einem Tabernakel- rahmen. Holzskulptur réalisée par Venezianisch, Mitte 15. Jahrhundert. [127]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Verkündigung an Maria. Stuccorelief réalisée par Italienisch, Ende 15. Jahrhundert. [128]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Spiegelrahmen. Ton, glasiert réalisée par Luca della Robbia au prix de 60000 sch. [129]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Sebastian. Tonstatue réalisée par Andrea Briosco, genannt Riccio au prix de 150000 sch. [130]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Richtung Zwei kniende Engel. Terracottafiguren réalisée par Andrea del Verrocchio au prix de 82000 sch. [131]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Richtung Zwei kniende Engel. Terracottafiguren réalisée par Andrea del Verrocchio au prix de 82000 sch. [132]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria, das Kind anbetend. Stuccorelief réalisée par Desiderio da Settignano. [133]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Büste einer jungen Frau. Stucco réalisée par Desiderio da Settignano au prix de 51000 sch. [134]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria mit dem Kinde. Stuccorelief réalisée par Antonio Rosellino. [135]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria mit dem Kinde. Stuccorelief réalisée par Benedetto da Majano. [136]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Märtyrerin. Holzrelief réalisée par Spanisch (?), Anfang 16. Jahrhundert. [137]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Bernhardin. Stuccostatuette réalisée par Nicolò dell'Arca. [138]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Auferstehung Christi. Hochrelief réalisée par Englisch. Schule von Nottingham, 2. Hälfte 14. Jahrhundert. [139]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Georg. Hochrelief réalisée par Englisch, 2. Hälfte 14. Jahrhundert au prix de 14000 sch. [140]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Trauernde (Pleureurs). Wandfiguren von einem Grabdenkmal réalisée par Südfranzösisch, 2. Hälfte 14. Jahrhundert. [141]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Madonnenstatue aus S. Trond réalisée par Niederländisch, Mitte 14. Jahrhundert au prix de 14000 sch. [142]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Sitzender Johannesknabe réalisée par Spanisch (?), 14. -15. Jahrhundert. [143]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bischofsstatuette réalisée par Deutsch, Mitte 15. Jahrhundert. [144]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Sitzender Pilger réalisée par niederländisch, nach der Mitte des 15. Jahrhunderts. [145]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Georg zu Pferde, den Drachen tötend réalisée par Niederländisch, um 1470. [146]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Symbolische Darstellung des Christkindes und der Leidenswerkzeuge réalisée par Oberdeutsch, letztes Drittel 15. Jahrhundert. [147]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Halbfigur der Judith réalisée par Deutsch, um 1530. [148]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Wilder Mann réalisée par Schweiz, 15. Jahrhundert. [149]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Tragsteine réalisée par Süddeutsch, 16. Jahrhundert. [150]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Löwe und Löwin. Schildhalter réalisée par Süddeutsch, 1572. [151]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Krippe. Hochreliefgruppe réalisée par Venezianisch, Mitte 15. Jahrhundert au prix de 16500 sch. [152]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Veronika. Statue réalisée par Westdeutsch, 14. Jahrhundert. [153]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei weibliche Halbfiguren, Reliquiar réalisée par Rheinisch, 15. Jahrhundert. [154]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Weibliche Büste, Kopfreliquiar réalisée par Rheinisch, 1. Hälfte 14. Jahrhundert. [155]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Weibliche Büste, Kopfreliquiar réalisée par Rheinisch, 14. Jahrhundert. [156]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Georg. Statue réalisée par Niederländisch (Lüttich), um 1390 bis 1400 au prix de 15000 sch. [157]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Jesus wiege, mit Reliefs der Anbetung der Könige, Anbetung des Kindes usw. réalisée par Brabant, Mitte 15. Jahrhundert au prix de 49000 sch. [158]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Drolerie: Kampfszene réalisée par Westdeutsch, 14. bis 15. Jahrhundert. [159]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Simsdekor mit Zwergenfigur (Marmouset) réalisée par Französisch, 15. Jahrhundert. [160]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Drache. Möbel-Applique réalisée par Rheinisch, 15. Jahrhundert. [161]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Weibliche Heilige mit Spruchband réalisée par Westdeutsch (?), um 1450-60 au prix de 40000 sch. [162]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Crispinus und Crispinianus. Relief. réalisée par Niederländisch, um 1450 - 60. [163]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Stifterpaar mit zwei Heiligen réalisée par Nordfranzösisch, um 1460-70. [164]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Passionsreliefs. 168. Ecce Homo réalisée par Nordfranzösisch, Ende 15. Jahrhundert. [165]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Passionsreliefs. 169. Der Gang nach Golgatha réalisée par Nordfranzösisch, Ende 15. Jahrhundert. [166]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria, aus einer Anbetung des Kindes. Relief réalisée par Niederländisch, um 1480. [167]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Büste eines Jünglings réalisée par Niederländisch, Ende 15. Jahrhundert au prix de 19000 sch. [168]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Weibliche Büste réalisée par Niederrheinisch, 2. Hälfte 15. Jahrhundert. [169]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Jesuskind, auf einem Lehnstuhl sitzend réalisée par Rheinland, Ende 15. Jahrhundert. [170]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei musizierende Engel réalisée par Rheinländisch, um 1470-80. [171]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Brigitte. Cartapesta-Relief réalisée par Niederrheinisch, 2. Hälfte 15. Jahrhundert. [172]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Blasbalg, mit Relief der Flucht nach Ägypten réalisée par Niederrheinisch, Anfang 16. Jahrhundert au prix de 15500 sch. [173]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Flügelaltärchen réalisée par Norddeutsch (Ostseeküste?), 15. Jahrhundert. [174]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Christus im Hause des Pharisäers Simon. Reliefgruppe réalisée par Benedikt Dreyer au prix de 16000 sch. [175]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Dorothea. Statuette réalisée par Westfälisch (?), um 1500. [176]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Himmelbett réalisée par Niederländisch, um 1500. [177]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Anbetung der Könige. Reliefgruppe réalisée par Rheinisch (?), Anfang 16. Jahrhundert. [178]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Reliefgruppen: »Der Zehent«. a) Ein Bauer b) Ein Mönch mit Kutte und Kapuze réalisée par Niederländisch, wohl flandrisch, 1. Hälfte 16. Jahrhundert. [179]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Anna Selbdritt. Statuette réalisée par Niederländisch (?), Ende 15. Jahrhundert. [180]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Margareta. Halbfigur réalisée par Antwerpen, um 1510 - 20. [181]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Katharina. Statuette réalisée par Mecheln, Anfang 16. Jahrhundert. [182]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Statuette des Jesuskindes réalisée par Niederländisch, 1. Hälfte 16. Jahrhundert. [183]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Männliche Profilfigur, aus einer Passionsgruppe réalisée par Jan Bormann. [184]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Sippe mit Stiftern. Reliefgruppe réalisée par Niederländisch, Ende 15. Jahrhundert. [185]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Simson mit dem Löwen. Von einer Chorstuhlwange réalisée par Niederländisch, frühes 16. Jahrhundert. [186]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Reliquienbehälter in Form eines Altärchens réalisée par Südfranzösisch (?), 15. Jahrhundert. [187]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Ein Gefangener. Holzgruppe réalisée par Französisch (?), 15. Jahrhundert. [188]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heimsuchung. Relief réalisée par Spanisch, um 1500. [189]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Holzkonsole réalisée par Französisch, 15. Jahrhundert. [190]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Baldachin, Zierstück réalisée par Süddeutsch, 2. Hälfte 15. Jahrhundert. [191]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Katharina. Statuette réalisée par Süddeutsch, 2. Hälfte 15. Jahrhundert. [192]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Magdalena. Statue réalisée par Oberbayrisch, Mitte 15. Jahrhundert. [193]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria mit dem Kinde. Statuette réalisée par Süddeutsch, wohl 15. Jahrhundert. [194]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Kopf eines Ritters réalisée par Süddeutsch (?), Anfang 16. Jahrhundert. [195]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Sitzender Bischof. Rundfigur réalisée par Süddeutsch, um 1470 au prix de 14000 sch. [196]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Barbara. Halbfigur réalisée par Oberdeutsch (?), um 1460-70. [197]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Wanderer in felsiger Landschaft. Relief réalisée par Süddeutsch, Ende 15. Jahrhundert. [198]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Veit im Kessel réalisée par Süddeutsch, 2. Hälfte 15. Jahrhundert. [199]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria und Johannes. Assistenzfiguren von einer Kreuzigung réalisée par Süddeutsch, Ende 15. Jahrhundert. [200]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Magdalena, stehend réalisée par Süddeutsch (Schwäbisch?), Ende 15. Jahrhundert. [201]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Trauernde Maria. Wandfigur réalisée par Unterfränkisch, Ende 15. Jahrhundert. [202]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Anna Selbdritt. Wandgruppe réalisée par Fränkisch, um 1500. [203]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria mit dem Kinde auf der Mondsichel réalisée par Fränkisch, Anfang 16. Jahrhundert. [204]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Mater Dolorosa. Halbfigur réalisée par Süddeutsch (Nürnberg?), Anfang 16. Jahrhundert. [205]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Gruppe aus einer Beweinung réalisée par Schwäbischer Meister, um 1510 au prix de 20000 sch. [206]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Halbfigur eines Engels. Relief réalisée par Schwäbisch, um 1480. [207]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria in der Mandorla. Hängeleuchter réalisée par Schwäbisch, Ende 15. Jahrhundert. [208]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Hausaltärchen (Triptychon) des Abtes Seb. Molitor von Zwiefalten réalisée par Oberschwäbisch (Ulm), nach 1514. [209]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die Verkündigung. Relief réalisée par Schwäbisch, um 1520. [210]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Anbetung der Könige. Relief réalisée par Oberrheinisch, um 1480. [211]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Engel. Relieffiguren réalisée par Oberrheinisch, Ende 15. Jahrhundert. [212]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Anbetung der Könige. Relief réalisée par Oberrheinisch, um 1480-90. [213]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Mater Dolorosa. Büste réalisée par Süddeutsch, 1. Hälfte 16. Jahrhundert. [214]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Hedwig. Statue réalisée par Süddeutsch, Anfang 16. Jahrhundert. [215]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei fliegende Engel. Relieffiguren réalisée par Süddeutsch, um 1500. [216]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Sebastian. Statuette réalisée par Niederbayrisch (?), um 1500. [217]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Relief mit vier Putten réalisée par Süddeutsch (Alpenländisch?), Anfang 16. Jahrhundert. [218]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bekrönung aus Rankenwerk réalisée par Süddeutsch, 1. Hälfte 16. Jahrhundert. [219]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die beiden Schacher. Figuren von einer Kreuzigungsgruppe réalisée par Süddeutsch, Anfang 16. Jahrhundert. [220]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Putten. Wappenhalter réalisée par Süddeutsch, 1. Hälfte 16. Jahrhundert. [221]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Putto mit zwei Wappenschilden réalisée par Schwäbisch, um 1550-50. [222]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Georg. Statue réalisée par Tirol, Ende 14. Jahrhundert au prix de 25500 sch. [223]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Maria mit dem Kinde. Statuette réalisée par Südostdeutsch, Anfang 15. Jahrhundert. [224]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Kniende Maria. Altarfigur aus einer Anbetung des Kindes réalisée par Hans Klocker au prix de 32000 sch. [225]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Leonhard. Statue réalisée par Hans Klocker au prix de 13000 sch. [226]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bischofsbüste réalisée par Südtirol (Brixener Meister), Ende 15. Jahrhundert au prix de 11000 sch. [227]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Engel. Halbfiguren aus einer Beweinung réalisée par Südtirol (?), um 1470. [228]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Weiblicher Kopf. Fragment einer Statue réalisée par Südtirol, Anfang 16. Jahrhundert. [229]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Marientod. Relief aus der Franziskanerkirche in Salzburg réalisée par Michael Pacher. [230]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Rochus. Statue réalisée par Pacher. [231]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Weibliche Heilige. Wandfigur réalisée par Tirol, Ende 15. Jahrhundert. [232]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bischofsstatuette. Wandfigur réalisée par Tirol, Ende 15. Jahrhundert. [233]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Das Abendmahl. Reliefgruppe réalisée par Tirol, angeblich unteres Inntal, 1. Hälfte 16. Jahrhundert. [234]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Veit im Kessel réalisée par Nordtirol, Anfang 16. Jahrhundert. [235]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Vier weibliche Heilige. Relieffiguren réalisée par Osttirol oder Kärnten, Anfang 16. Jahrhundert. [236]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Engel, von einer Taufe Christi. Statue réalisée par Alpenländisch, um 1470 - 80. [237]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Stephanus. Statue réalisée par Oberösterreichisch oder tirolisch, um 1490 au prix de 10000 sch. [238]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Florian. Statue réalisée par Oberösterreichisch, Ende 15. Jahrhundert. [239]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Halbfigur eines Engelchens réalisée par Oberösterreichisch, um 1500. [240]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Flügelaltärchen mit Gruppe der Anna Selbdritt réalisée par Südböhmisch, Ende 15. Jahrhundert. [241]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die vierzehn Nothelfer. Reliefgruppe réalisée par Niederösterreichisch, 1. Hälfte 16. Jahrhundert. [242]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Magdalena. Aus einer Grablegungsgruppe réalisée par Niederösterreichisch, um 1520. [243]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heimsuchung. Figuren vor Reliefgrund réalisée par Österreichisch, Anfang 16. Jahrhundert. [244]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Johannisschüssel réalisée par Südostdeutsch, 2. Hälfte 16. Jahrhundert. [245]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Medaillon: Weibliche Heilige in kreisrunder Scheibe réalisée par Alpenländisch (?), 15. Jahrhundert. [246]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Ein Gefangener. Votivgabe réalisée par Alpenländisch, 16. Jahrhundert. [247]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Treiber (bei der Jagd). Statuette réalisée par Niederländisch, Anfang 16. Jahrhundert au prix de 10000 sch. [248]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Hausaltärchen, mit Gruppe der Vermählung der heiligen Katharina réalisée par Bayrisch, um 1510 - 20. [249]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Lüsterweibchen réalisée par Süddeutsch, um 1540 - 50. [250]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Gemsweibchen (Schlüsselhaken) réalisée par Bayrisch, 16. Jahrhundert. [251]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Gemsweibchen (Schlüsselhaken). Relief réalisée par Süddeutsch, 16. Jahrhundert. [252]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Seejungfrau (Lüsterweibchen) réalisée par Tirolisch, 16. Jahrhundert. [253]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die Trinität. Herzförmiges Relief réalisée par Norddeutsch (?), 1. Hälfte 16. Jahrhundert. [254]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Männliche Halbfigur. Aus dem Chorgestühl der Fugger-Kapelle, Augsburg, St. Annakirche réalisée par Adolf Daucher au prix de 19000 sch. [255]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Salomo als Richter (?). Relief réalisée par Schwäbischer, wohl Augsburger Meister, um 1530. [256]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heilige Margareta, thronend. Statuette réalisée par Augsburg, um 1520 au prix de 10000 sch. [257]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Adam und Eva. Statuetten réalisée par Deutsch, 1. Hälfte 16. Jahrhundert. [258]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Statuette der Fortuna réalisée par Augsburger Meister, um 1520 au prix de 12000 sch. [259]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Bogenschießender Tod. Statuette réalisée par Oberrheinisch, um 1540 - 50. [260]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Mutter, ihr Kind stillend. Flachrelief réalisée par Deutsch, um 1530-40. [261]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Mutter mit zwei Kindern. Reliefgruppe réalisée par Schwäbisch, 1. Hälfte 16. Jahrhundert. [262]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Medaillons: Jephtas Tochter a) Jephta wird von seiner Tochter begrüßt b) Der Tod des Mädchens réalisée par Hans Schwarz au prix de 49000 sch. [263]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Medaillenmodell, darstellend Hans von Singen réalisée par Friedrich Hagenauer. [264]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brettstein: Franz I. von Frankreich réalisée par Süddeutsch, um 1530. [265]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brettstein: Scaevola réalisée par Süddeutsch, 1. Hälfte 16. Jahrhundert. [266]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Ein Paar Brettsteine réalisée par Augsburg, um 1540. [267]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brettstein: Jacob Fugger réalisée par Augsburg, um 1540. [268]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brettstein: Ludwig Fugger réalisée par Augsburg, um 1540. [269]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brettstein: Maximilian I. réalisée par Augsburg, um 1540. [270]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Vierundzwanzig Dambrettsteine réalisée par Augsburg, um 1540. [271]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Männliches Bildnis. Relief réalisée par Meister MVA (?), 1549. [272]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Brustbild eines Fürsten. Relief réalisée par Süddeutsch, um 1540. [273]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Die Habsucht. Relief réalisée par Französisch, um 1560 - 70. [274]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Adam. Statuette réalisée par Deutsch (?), Ende 16. Jahrhundert. [275]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Christuskind. Statuette réalisée par Spanisch, 16. Jahrhundert. [276]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Statuette des Christuskindes réalisée par Spanisch, 17. Jahrhundert. [277]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Christus als Schmerzensmann. Statuette réalisée par Spanisch, 16. oder 17. Jahrhundert. [278]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Kopf einer weiblichen Heiligen réalisée par Spanisch, 17. Jahrhundert. [279]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Vierzehn kleine Reliefs: Passionsszenen réalisée par Deutsch, 17. Jahrhundert. [280]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Ofenkachel (Kleines Modell) réalisée par Süddeutsch, 1536. [281]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Nicolaus. Statuette réalisée par Italienisch, 16. Jahrhundert. [282]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Ulrich. Statue réalisée par Österreichisch, Anfang 17. Jahrhundert. [283]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Heiliger Sebastian. Statuette réalisée par Oberösterreichisch, Anfang 17.Jahrhund.. [284]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Ecce Homo. Reliefgruppe réalisée par Georg Petel. [285]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Statue der Eva réalisée par Süddeutsch, 1. Hälfte 17. Jahrhundert. [286]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Jugendlicher Mönch. Bruststück réalisée par Kärnten, 17. Jahrhundert. [287]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Narren. Halbfiguren réalisée par Niederländisch oder deutsch, 17. Jahrhundert. [288]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Hirten, Statuetten réalisée par Vlämisch, 16. Jahrhundert. [289]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Reliefbild des Christuskopfes réalisée par Deutsch, 17. Jahrhundert. [290]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zunftemblem einer Böttcherzunft. Relief réalisée par Deutsch, 2. Hälfte 17. Jahrhundert. [291]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Verspottung Christi. Relief réalisée par Deutsch oder niederländisch, 17. Jahrhundert. [292]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Engelskopf. Zierstück réalisée par Deutsch, Anfang 17. Jahrhundert. [293]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Zwei Puttenköpfe. Applique réalisée par Süddeutsch, 17. Jahrhundert. [294]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme Engelskopf. Zierstück réalisée par Alpenländisch, spätes 17. Jahrhundert. [295]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI FLUGELBILDER. 78. JOHANNES DER TÄUFER (rechter Flügel). Mit rotem grün gefüttertem Mantel über dem langen härenen Gewände; in der Linken das Buch mit dem Lamm. Gemusterter Goldgrund. 79. MARIA MIT DEM KINDE (linker Flügel). In rötlichem reich gemustertem und brokatisiertem Gewand mit Mantel; auf dem linken Arm das Christuskind, das eine Blume in der Linken hält. Gemusterter Goldgrund. Vorbesitzer: Canaval, Klagenfurt; Rosthorn, Klagenfurt. Zirbelholz. Höhe 90, Breite 35,5 cm. Tafel XL (Tirol, um 1450)|ZWEI FLUGELBILDER. 78. JOHANNES DER TÄUFER (rechter Flügel). Mit rotem grün gefüttertem Mantel über dem langen härenen Gewände; in der Linken das Buch mit dem Lamm. Gemusterter Goldgrund. 79. MARIA MIT DEM KINDE (linker Flügel). In rötlichem reich gemustertem und brokatisiertem Gewand mit Mantel; auf dem linken Arm das Christuskind, das eine Blume in der Linken hält. Gemusterter Goldgrund. Vorbesitzer: Canaval, Klagenfurt; Rosthorn, Klagenfurt. Zirbelholz. Höhe 90, Breite 35,5 cm. Tafel XL]] réalisée par Tirol, um 1450, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [296]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRIPTYCHON. Im Mittelbild Maria auf dem Thron mit dem Rinde. Die Seitenflügel zeigen innen je zwei stehende Heiligenfiguren. Goldgrund. Der Altar ist vermutlich nicht vor dem 15. Jahrhundert entstanden. Holz. Mitte: Höhe 17,5, Breite 13,5 cm, Flügel je Höhe 16, Breite 12 cm. (Griechisch-Byzantinisch)|TRIPTYCHON. Im Mittelbild Maria auf dem Thron mit dem Rinde. Die Seitenflügel zeigen innen je zwei stehende Heiligenfiguren. Goldgrund. Der Altar ist vermutlich nicht vor dem 15. Jahrhundert entstanden. Holz. Mitte: Höhe 17,5, Breite 13,5 cm, Flügel je Höhe 16, Breite 12 cm.]] réalisée par Griechisch-Byzantinisch, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 4200 sch. [297]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Maria in Halbfigur, den blauen Mantel über den Kopf gezogen, hält auf der Rechten das rotgekleidete Rind, das ihren Hals umschlingt und seine Wange an die ihre legt. Rötlicher Hintergrund. Vorbesitzer: W. Clemens, München. Nach L. Baldass, Pantheon, München 1929, S. 465, verwandt eine thronende Madonna in der Accademia zu Florenz, abgeb.: Van Marie, Italian schools of painting I, p. 352. Tempera auf einer mit Leinwand bespannten Pappelholztafel. Höhe 46, Breite 30 cm. Tafel I (Florenz, um 1200)|MARIA MIT DEM KINDE. Maria in Halbfigur, den blauen Mantel über den Kopf gezogen, hält auf der Rechten das rotgekleidete Rind, das ihren Hals umschlingt und seine Wange an die ihre legt. Rötlicher Hintergrund. Vorbesitzer: W. Clemens, München. Nach L. Baldass, Pantheon, München 1929, S. 465, verwandt eine thronende Madonna in der Accademia zu Florenz, abgeb.: Van Marie, Italian schools of painting I, p. 352. Tempera auf einer mit Leinwand bespannten Pappelholztafel. Höhe 46, Breite 30 cm. Tafel I]] réalisée par Florenz, um 1200, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Fischer-Luzern au prix de 21000 sch. [298]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DER HEILIGE MICHAEL. Der jugendliche geflügelte Heilige, in Ritterrüstung, schwingt mit der Rechten das Schwert über dem Haupt, in der Linken hält er die Waage, deren linke Schale ein in der linken unteren Ecke auftauchender Teufel herabzuziehen sucht. Gotischer Spitzbogenrahmen mit gedrehten Säulen, von denen die rechte erhalten. Vorbesitzer: Stefano Bardini, Florenz. Tempera auf Holz. Höhe 80,5 Breite 33 cm. Mit Rahmen Höhe 105, Breite 4.6 cm. (Venedig, um 1400)|DER HEILIGE MICHAEL. Der jugendliche geflügelte Heilige, in Ritterrüstung, schwingt mit der Rechten das Schwert über dem Haupt, in der Linken hält er die Waage, deren linke Schale ein in der linken unteren Ecke auftauchender Teufel herabzuziehen sucht. Gotischer Spitzbogenrahmen mit gedrehten Säulen, von denen die rechte erhalten. Vorbesitzer: Stefano Bardini, Florenz. Tempera auf Holz. Höhe 80,5 Breite 33 cm. Mit Rahmen Höhe 105, Breite 4.6 cm.]] réalisée par Venedig, um 1400, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 1300 sch. [299]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Maria in Halbfigur, stehend, nach links gewendet, tragt auf dem linken Arm das Rind, das mit beiden Händchen einen Granatapfel hält. Um den Hals des Rindes liegt ein Korallenamulett. Das Untergewand der Madonna aus grünem, der Mantel aus rotem Goldbrokat. Goldgrund. Vorbesitzer: Dr. von Jurié, Wien. Leo Planiscig, Jahrbuch der kunsthist. Sammlungen, Wien N. F. 1,1926, S. 89, Tafel XVIII, bringt den Namen des J. d. F. in Vorschlag. Nach Van Marie, Italian Schools of painting VII, p. 552 und VTII, p. 319: Schule der Marken. Tempera auf Pappelholz. Höhe 64, Breite 46 cm. Tafel II (Jacobello Del Fiore)|MARIA MIT DEM KINDE. Maria in Halbfigur, stehend, nach links gewendet, tragt auf dem linken Arm das Rind, das mit beiden Händchen einen Granatapfel hält. Um den Hals des Rindes liegt ein Korallenamulett. Das Untergewand der Madonna aus grünem, der Mantel aus rotem Goldbrokat. Goldgrund. Vorbesitzer: Dr. von Jurié, Wien. Leo Planiscig, Jahrbuch der kunsthist. Sammlungen, Wien N. F. 1,1926, S. 89, Tafel XVIII, bringt den Namen des J. d. F. in Vorschlag. Nach Van Marie, Italian Schools of painting VII, p. 552 und VTII, p. 319: Schule der Marken. Tempera auf Pappelholz. Höhe 64, Breite 46 cm. Tafel II]] réalisée par Jacobello Del Fiore, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Leitner, Wien au prix de 5500 sch. [300]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[LIEBESSPIELE (DESCO). In der Mitte bei einem Brunnen zwei Jünglinge und zwei Jungfrauen. Zu den Seiten Liebespaare. Unten ein bewegter Reigen. Im Grunde verstreute Bäume und Blümchen. Die Figuren in modische Zaddeltracht gekleidet. Vergoldeter Holzrahmen des 17. Jahrhunderts mit geschnitztem Blattwerk. Paul Schubring, Cassoni, Leipzig 1915, Taf. XIV, Textbd. S. 239, Nr. 93. Van Marie, Italian Schools of painting IX, p. 105, Fig. 68. Zwölfeckige Holztafel. Durchm.. 56 cm. Tafel III (Florenz, um 1420)|LIEBESSPIELE (DESCO). In der Mitte bei einem Brunnen zwei Jünglinge und zwei Jungfrauen. Zu den Seiten Liebespaare. Unten ein bewegter Reigen. Im Grunde verstreute Bäume und Blümchen. Die Figuren in modische Zaddeltracht gekleidet. Vergoldeter Holzrahmen des 17. Jahrhunderts mit geschnitztem Blattwerk. Paul Schubring, Cassoni, Leipzig 1915, Taf. XIV, Textbd. S. 239, Nr. 93. Van Marie, Italian Schools of painting IX, p. 105, Fig. 68. Zwölfeckige Holztafel. Durchm.. 56 cm. Tafel III]] réalisée par Florenz, um 1420, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Bottenwieser au prix de 10500 sch. [301]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI LEGENDENSZENEN. 6 RETTUNG DES LEBENSUBERDRÜSSIGEN. Rechts Blick in einen Innen-raum, mit Kamin und Wandbank. Der Lebensüberdrüssige hängt an einem Strick, den ein von rechts herbeifliegender Engel mit dem Messer durchschneidet. Links führt der Engel den Geretteten über die Straße in eine Kapelle. 7 DER ENGEL MIT ZWEI REITERN. Er geleitet sie durch das Wasser nach rechts, einem ummauerten Klostergebäude zu. Vorbesitzer: von Miller-Aichholz, Wien. Die beiden Tafeln, je seitlich eingefaßt durch halbe vergoldete Baluster, waren ursprünglich wohl Cassoneteile. Im Stil dem Neri di Bicci nahestehend. Dieselben Goldbaluster zeigt eine -auch stilistisch verwandte - Tafel bei H. Harris, London. Holz. Je Höhe 21, Breite 48 cm. Tafel IV (Florenz, um 1450)|ZWEI LEGENDENSZENEN. 6 RETTUNG DES LEBENSUBERDRÜSSIGEN. Rechts Blick in einen Innen-raum, mit Kamin und Wandbank. Der Lebensüberdrüssige hängt an einem Strick, den ein von rechts herbeifliegender Engel mit dem Messer durchschneidet. Links führt der Engel den Geretteten über die Straße in eine Kapelle. 7 DER ENGEL MIT ZWEI REITERN. Er geleitet sie durch das Wasser nach rechts, einem ummauerten Klostergebäude zu. Vorbesitzer: von Miller-Aichholz, Wien. Die beiden Tafeln, je seitlich eingefaßt durch halbe vergoldete Baluster, waren ursprünglich wohl Cassoneteile. Im Stil dem Neri di Bicci nahestehend. Dieselben Goldbaluster zeigt eine -auch stilistisch verwandte - Tafel bei H. Harris, London. Holz. Je Höhe 21, Breite 48 cm. Tafel IV]] réalisée par Florenz, um 1450, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Goudstikker, Amsterdam au prix de 4100 sch. [302]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI LEGENDENSZENEN. 6 RETTUNG DES LEBENSUBERDRÜSSIGEN. Rechts Blick in einen Innen-raum, mit Kamin und Wandbank. Der Lebensüberdrüssige hängt an einem Strick, den ein von rechts herbeifliegender Engel mit dem Messer durchschneidet. Links führt der Engel den Geretteten über die Straße in eine Kapelle. 7 DER ENGEL MIT ZWEI REITERN. Er geleitet sie durch das Wasser nach rechts, einem ummauerten Klostergebäude zu. Vorbesitzer: von Miller-Aichholz, Wien. Die beiden Tafeln, je seitlich eingefaßt durch halbe vergoldete Baluster, waren ursprünglich wohl Cassoneteile. Im Stil dem Neri di Bicci nahestehend. Dieselben Goldbaluster zeigt eine -auch stilistisch verwandte - Tafel bei H. Harris, London. Holz. Je Höhe 21, Breite 48 cm. Tafel IV (Florenz, um 1450)|ZWEI LEGENDENSZENEN. 6 RETTUNG DES LEBENSUBERDRÜSSIGEN. Rechts Blick in einen Innen-raum, mit Kamin und Wandbank. Der Lebensüberdrüssige hängt an einem Strick, den ein von rechts herbeifliegender Engel mit dem Messer durchschneidet. Links führt der Engel den Geretteten über die Straße in eine Kapelle. 7 DER ENGEL MIT ZWEI REITERN. Er geleitet sie durch das Wasser nach rechts, einem ummauerten Klostergebäude zu. Vorbesitzer: von Miller-Aichholz, Wien. Die beiden Tafeln, je seitlich eingefaßt durch halbe vergoldete Baluster, waren ursprünglich wohl Cassoneteile. Im Stil dem Neri di Bicci nahestehend. Dieselben Goldbaluster zeigt eine -auch stilistisch verwandte - Tafel bei H. Harris, London. Holz. Je Höhe 21, Breite 48 cm. Tafel IV]] réalisée par Florenz, um 1450, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Goudstikker, Amsterdam au prix de 4100 sch. [303]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[LEGENDE DES HEILIGEN NICOLAUS VON BARI. In einem kahlen Zimmer sitzen eine Frau und drei Mädchen vor dem feuerlosen Kamin. Durch das vergitterte Fenster wirft von rechts der jugendliche Heilige goldene Kugeln ins Zimmer, um die Mädchen vor Schande zu bewahren. In vergoldetem Originalrahmen. H. Stegmann, Die Holzmöbel der Sammlung Figdor, Wien 1907, S. 57, Abb. 64. Tempera auf Holz. Höhe 22,5, Breite 35,5 cm. Mit Rahmen Höhe 29, Breite 42 cm. Tafel V (Florenz, um 1450)|LEGENDE DES HEILIGEN NICOLAUS VON BARI. In einem kahlen Zimmer sitzen eine Frau und drei Mädchen vor dem feuerlosen Kamin. Durch das vergitterte Fenster wirft von rechts der jugendliche Heilige goldene Kugeln ins Zimmer, um die Mädchen vor Schande zu bewahren. In vergoldetem Originalrahmen. H. Stegmann, Die Holzmöbel der Sammlung Figdor, Wien 1907, S. 57, Abb. 64. Tempera auf Holz. Höhe 22,5, Breite 35,5 cm. Mit Rahmen Höhe 29, Breite 42 cm. Tafel V]] réalisée par Florenz, um 1450, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Goudstikker au prix de 6500 sch. [304]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE IN LANDSCHAFT. Maria, in blauem Mantel über goldenem Untergewand, ein gestreiftes Tuch turbanartig um den Kopf geschlungen, sitzt auf einem goldenen Rissen, das auf dem mit Erdbeeren und Blumen reich bestandenen Waldboden liegt, und hält auf ihrem Schöße mit beiden Händen das lebhaft bewegte Rind. Hinter ihr ein Halbkreis von obsttragenden Bäumen, über deren Kronen ein Landschaftsstreif sichtbar wird. der Landschaft gradlinig abgegrenzte Felder, einzelne Hügel und Baumreihen, sowie zwei befestigte Kastelle, darüber ein Streifen blauen Himmels, von dem sich die Taube des heiligen Geistes herabsenkt. Maria und das Rind tragen große goldene aus vertieften Linien gebildete Heiligenscheine, Im ursprünglichen einfach profilierten vergoldeten Holzrahmen, der mit der Bildtafel ein Stück bildet. Die Rückseite der Holztafel trägt alten Gipsüberzug, Vorbesitzer: von Miller-Aichholz, Wien. Sehr frühes Werk des Meisters unter Einfluß des Sassetta. Ähnliche Darstellungen der Madonna in der Landschaft in der Galerie zu Siena und in der Sammlung Stoclet, Brüssel. Van Marie, Italian schools of painting IX, p. 397 und 407, Taf. VII, nach p. 408. Höhe 56, Breite 42,5 cm. Mit Rahmen Höhe 62,5, Breite 48,5 cm. Tafel VI (Giovanni Di Paolo)|MARIA MIT DEM KINDE IN LANDSCHAFT. Maria, in blauem Mantel über goldenem Untergewand, ein gestreiftes Tuch turbanartig um den Kopf geschlungen, sitzt auf einem goldenen Rissen, das auf dem mit Erdbeeren und Blumen reich bestandenen Waldboden liegt, und hält auf ihrem Schöße mit beiden Händen das lebhaft bewegte Rind. Hinter ihr ein Halbkreis von obsttragenden Bäumen, über deren Kronen ein Landschaftsstreif sichtbar wird. der Landschaft gradlinig abgegrenzte Felder, einzelne Hügel und Baumreihen, sowie zwei befestigte Kastelle, darüber ein Streifen blauen Himmels, von dem sich die Taube des heiligen Geistes herabsenkt. Maria und das Rind tragen große goldene aus vertieften Linien gebildete Heiligenscheine, Im ursprünglichen einfach profilierten vergoldeten Holzrahmen, der mit der Bildtafel ein Stück bildet. Die Rückseite der Holztafel trägt alten Gipsüberzug, Vorbesitzer: von Miller-Aichholz, Wien. Sehr frühes Werk des Meisters unter Einfluß des Sassetta. Ähnliche Darstellungen der Madonna in der Landschaft in der Galerie zu Siena und in der Sammlung Stoclet, Brüssel. Van Marie, Italian schools of painting IX, p. 397 und 407, Taf. VII, nach p. 408. Höhe 56, Breite 42,5 cm. Mit Rahmen Höhe 62,5, Breite 48,5 cm. Tafel VI]] réalisée par Giovanni Di Paolo, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Agnew au prix de 135000 sch. [305]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DER HEILIGE AUGUSTIN IN DER SCHREIBSTUBE. In dem mit Borden bedeckten, mit Büchern reich ausgestatteten Bibliotheksraum sitzt an seinem Schreibpult der Heilige als Bischof vor geöffneten Büchern und blickt nach links empor, wo ihm in einer Mandorla von Engelsköpfen der heilige Hieronymus als Kardinal erscheint. Rechts tritt ein bärtiger Mönch aus der Haustür. Im Grunde Klosterbaulichkeiten, darüber Blick auf weite Flachlandschaft mit einzelnen hügeligen Erhebungen. Rechts und links von der Darstellung, von ihr durch erhabene Goldleisten getrennt, je eine gemalte Hochfüllung mit Rosen. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Stegmann, Holzmöbel der Sammlung Figdor, Wien i 907, Abb. 42. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. g. Abgebildet mit Farbtafel in Frimmels »Blättern für Gemäldekunde«, Bd. III (1907), Heft 4, S. 64. H. Stegmann, Kunst und Kunsthandwerk, X, 1907, Heft 5, Abb. 42. Berenson, Central Italian painters of the renaissance, p. 181. Bei Van Marie, Italian schools of painting IX, p. 451, besprochen als spätes Werk des Künstlers. Dieselben seitlichen Rosenstreifen hat eine Folge von der Hand des Giovanni di Paolo aus dem Leben des heiligen Johannes des Täufers, ehem. Coli. Charles Butler, ausgest. London, Burlington Club Exhibition 1904, Nr. 27/28 (je 12:19 inches). Tempera auf Pappelholz. Höhe 38,5 Breite 50 cm. Tafel VII (Giovanni Di Paolo)|DER HEILIGE AUGUSTIN IN DER SCHREIBSTUBE. In dem mit Borden bedeckten, mit Büchern reich ausgestatteten Bibliotheksraum sitzt an seinem Schreibpult der Heilige als Bischof vor geöffneten Büchern und blickt nach links empor, wo ihm in einer Mandorla von Engelsköpfen der heilige Hieronymus als Kardinal erscheint. Rechts tritt ein bärtiger Mönch aus der Haustür. Im Grunde Klosterbaulichkeiten, darüber Blick auf weite Flachlandschaft mit einzelnen hügeligen Erhebungen. Rechts und links von der Darstellung, von ihr durch erhabene Goldleisten getrennt, je eine gemalte Hochfüllung mit Rosen. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Stegmann, Holzmöbel der Sammlung Figdor, Wien i 907, Abb. 42. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. g. Abgebildet mit Farbtafel in Frimmels »Blättern für Gemäldekunde«, Bd. III (1907), Heft 4, S. 64. H. Stegmann, Kunst und Kunsthandwerk, X, 1907, Heft 5, Abb. 42. Berenson, Central Italian painters of the renaissance, p. 181. Bei Van Marie, Italian schools of painting IX, p. 451, besprochen als spätes Werk des Künstlers. Dieselben seitlichen Rosenstreifen hat eine Folge von der Hand des Giovanni di Paolo aus dem Leben des heiligen Johannes des Täufers, ehem. Coli. Charles Butler, ausgest. London, Burlington Club Exhibition 1904, Nr. 27/28 (je 12:19 inches). Tempera auf Pappelholz. Höhe 38,5 Breite 50 cm. Tafel VII]] réalisée par Giovanni Di Paolo, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Fleischmann au prix de 100000 sch. [306]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ATALANTE UND MELEAGER. Atalante mit ihren Gefährten auf der Jagd, den von vier Hunden gestellten Eber schießend. Zur Rechten Meleager, der seinem Spieß das Tier erlegt. Felsige Landschaft mit fruchttragenden Bäumen, im Vordergrundsgrün rote Blüten. Hinter den Felsen blicken die Weniger tapferen Jünglinge und Mädchen hervor. Im Hintergrund ein Hochgebirgszug. Teilstück eines Truhenbildes. Alter stufenförmig profilierter vergoldeter Holzrahmen. Vorbesitzer: Stefano Bardini, Florenz. Paul Schubring, Cassoni, Leipzig 1915, Tafel CXLII, Textband S. 371, Nr. 659. Tempera auf Holz. Höhe 30,5 Breite 34 cm. Mit Rahmen Höhe Breite 38 cm. Tafel VIII (Verona, um 1460)|ATALANTE UND MELEAGER. Atalante mit ihren Gefährten auf der Jagd, den von vier Hunden gestellten Eber schießend. Zur Rechten Meleager, der seinem Spieß das Tier erlegt. Felsige Landschaft mit fruchttragenden Bäumen, im Vordergrundsgrün rote Blüten. Hinter den Felsen blicken die Weniger tapferen Jünglinge und Mädchen hervor. Im Hintergrund ein Hochgebirgszug. Teilstück eines Truhenbildes. Alter stufenförmig profilierter vergoldeter Holzrahmen. Vorbesitzer: Stefano Bardini, Florenz. Paul Schubring, Cassoni, Leipzig 1915, Tafel CXLII, Textband S. 371, Nr. 659. Tempera auf Holz. Höhe 30,5 Breite 34 cm. Mit Rahmen Höhe Breite 38 cm. Tafel VIII]] réalisée par Verona, um 1460, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Weisner au prix de 5200 sch. [307]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE LEGENDE VON DEN ZWEI HERZEN (Le mangeur des coeurs). In einem Innenraum sitzen drei Männer und eine Frau an einer gedeckten Tafel. Vor dem jungen Edelmann an der rechten Schmalseite des Tisches ein Teller mit zwei roten Herzen, in die er greift. Vor dem Tisch steht mit drohender Gebärde die getäuschte liebende Frau, links davon dieselbe, sich den Dolch ins Herz stoßend. Zur Linken Ausblick auf eine schmale Gasse, in der die Liebende den Geliebten von Haus zu Haus sucht. In originalem vergoldetem Holzrahmen mit geschnitztem Herzblattornament. Vorbesitzer: von Miller-Aichholz, Wien. Paul Schubring, Cassoni, Leipzig 1915,Tafel CXXI. Im Textband S. 346, Nr. 539. irrtümlich als Selbstmord der Lucrezia gedeutet und wegen Verwandtschaft der Dekoration des Zimmers mit der Architektur der Bernhardinbilder in der Pinakothek zu Perugia der umbrischen Schule zugeschrieben. Tempera auf Holz. Höhe 42, Breite 38 cm. Tafel IX (Florenz, um 1470)|DIE LEGENDE VON DEN ZWEI HERZEN (Le mangeur des coeurs). In einem Innenraum sitzen drei Männer und eine Frau an einer gedeckten Tafel. Vor dem jungen Edelmann an der rechten Schmalseite des Tisches ein Teller mit zwei roten Herzen, in die er greift. Vor dem Tisch steht mit drohender Gebärde die getäuschte liebende Frau, links davon dieselbe, sich den Dolch ins Herz stoßend. Zur Linken Ausblick auf eine schmale Gasse, in der die Liebende den Geliebten von Haus zu Haus sucht. In originalem vergoldetem Holzrahmen mit geschnitztem Herzblattornament. Vorbesitzer: von Miller-Aichholz, Wien. Paul Schubring, Cassoni, Leipzig 1915,Tafel CXXI. Im Textband S. 346, Nr. 539. irrtümlich als Selbstmord der Lucrezia gedeutet und wegen Verwandtschaft der Dekoration des Zimmers mit der Architektur der Bernhardinbilder in der Pinakothek zu Perugia der umbrischen Schule zugeschrieben. Tempera auf Holz. Höhe 42, Breite 38 cm. Tafel IX]] réalisée par Florenz, um 1470, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Knoedler au prix de 4000 sch. [308]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[VOTIVTAFEL AUF EINE GELUNGENE FLUCHT. Links eine Festung mit drei Türmen, von deren einem sich ein junger Edelmann an einem langen Strick herabläßt. In der Mitte vorn kniet derselbe Edelmann und betet zu der rechts oben erscheinenden Maria mit dem Rind. Unten auf einer Blattrolle die Inschrift: »Como madona santa Maria da Bersagnoro fece grâ a Jacobo da sena d'usire de la rocha langona«. In der ursprünglichen Leistenumrahmung. Pappelholz. Höhe 83, Breite 52 cm. Mit Rahmen Höhe 90, Breite 57 cm. (Italienisch, um 1470)|VOTIVTAFEL AUF EINE GELUNGENE FLUCHT. Links eine Festung mit drei Türmen, von deren einem sich ein junger Edelmann an einem langen Strick herabläßt. In der Mitte vorn kniet derselbe Edelmann und betet zu der rechts oben erscheinenden Maria mit dem Rind. Unten auf einer Blattrolle die Inschrift: »Como madona santa Maria da Bersagnoro fece grâ a Jacobo da sena d'usire de la rocha langona«. In der ursprünglichen Leistenumrahmung. Pappelholz. Höhe 83, Breite 52 cm. Mit Rahmen Höhe 90, Breite 57 cm.]] réalisée par Italienisch, um 1470, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Boehler au prix de 1000 sch. [309]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BICCHERNA-TAFEL. ZUNFTBILD, mit Szenen aus dem Getreidehandel, auf einem von Palästen umstandenen Stadtplatz. Auf den Getreidesäcken Besitzer-Marken. Die Darstellung eingefaßt von einer gepunzten Goldbordüre. Über die Sieneser Biccherna-Tafeln vgl.: William Heywood, A pictorial chronicle of Siena, Siena 1902, p. 15 ff.; A. Lisini, Le Tavolette dipinte di Biccherna e di Gabella del R. Archivio di Stato in Siena. Tempera auf Holz. Höhe 34,5, Breite 21,5 cm. Tafel X (Siena, um 1480)|BICCHERNA-TAFEL. ZUNFTBILD, mit Szenen aus dem Getreidehandel, auf einem von Palästen umstandenen Stadtplatz. Auf den Getreidesäcken Besitzer-Marken. Die Darstellung eingefaßt von einer gepunzten Goldbordüre. Über die Sieneser Biccherna-Tafeln vgl.: William Heywood, A pictorial chronicle of Siena, Siena 1902, p. 15 ff.; A. Lisini, Le Tavolette dipinte di Biccherna e di Gabella del R. Archivio di Stato in Siena. Tempera auf Holz. Höhe 34,5, Breite 21,5 cm. Tafel X]] réalisée par Siena, um 1480, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 8500 sch. [310]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BICCHERNA-TAFEL. DER EINZUG UND AUSZUG DER BEAMTEN. Oben die zinnenbedeckte Mauer und das mit zwei Wappen versehene Tor des Stadtpalastes, durch das Reiter ein- und ausziehen. Oben in der Glorie links die Halbfigur der Madonna, rechts die einer Heiligen als Schutzpatronin. Unten auf Goldgrund zwei Streifen mit zehn Wappen5 darunter Inschrift: »Questa e l'entrata e l'uscita della bicerna al tempo delli spetabili huo (mini) Domenico di Giovanni di M. Lorenzo Rocchi K°, Antonio di Giovanni benucci, Nicolo di Mariano Orlandini, Giovanni di Cesario Gesa, Franciesscho di Goro chatasti de quatro (per) li primi sei mesi (per) li sicondi Lorenzo d'Andra Beccafumi, Mino di Niccolo Trecerchi, Domenico di Guccio Menghini, Niccolo Orlandini, Giovanni die Checho Colonbini scritore M CCCCLXXXVIII.« Alte Leistenumrahmung, auf die Tafel aufgeleimt. Vorbesitzer: Gräfin Fontange, Montpellier. Literatur s. bei der vorigen Nummer. Tempera auf Holz. Höhe 50, Breite 34. cm. Mit Rahmen Höhe 56, Breite 40 cm. - Tafel XI (Siena von 1488)|BICCHERNA-TAFEL. DER EINZUG UND AUSZUG DER BEAMTEN. Oben die zinnenbedeckte Mauer und das mit zwei Wappen versehene Tor des Stadtpalastes, durch das Reiter ein- und ausziehen. Oben in der Glorie links die Halbfigur der Madonna, rechts die einer Heiligen als Schutzpatronin. Unten auf Goldgrund zwei Streifen mit zehn Wappen5 darunter Inschrift: »Questa e l'entrata e l'uscita della bicerna al tempo delli spetabili huo (mini) Domenico di Giovanni di M. Lorenzo Rocchi K°, Antonio di Giovanni benucci, Nicolo di Mariano Orlandini, Giovanni di Cesario Gesa, Franciesscho di Goro chatasti de quatro (per) li primi sei mesi (per) li sicondi Lorenzo d'Andra Beccafumi, Mino di Niccolo Trecerchi, Domenico di Guccio Menghini, Niccolo Orlandini, Giovanni die Checho Colonbini scritore M CCCCLXXXVIII.« Alte Leistenumrahmung, auf die Tafel aufgeleimt. Vorbesitzer: Gräfin Fontange, Montpellier. Literatur s. bei der vorigen Nummer. Tempera auf Holz. Höhe 50, Breite 34. cm. Mit Rahmen Höhe 56, Breite 40 cm. - Tafel XI]] réalisée par Siena von 1488, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par A. S. Drey au prix de 13000 sch. [311]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MADONNA MIT DEM RINDE UND ZWEI ENGELN. Maria beugt rieh mit gefalteten Händen über das vor ihr liegende Kind, dessen Köpfchen auf einem rot und grün brokatisierten Kissen ruht. Rechts und links je ein Engel, rechte in reinem Profil nach links. Blaugrauer Hintergrund. Halbfiguren. U. Nimben durch parallele eingetiefte Schraffierungen in Gold gebildet. In altem Florentiner Rahmen. Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien. . .Nach A. Venturi (mündliche Mitteilung) von Gian Francesco da Rimini, von dem ein signiertes Bild in der Kirche S. Domenico zu Bologna. Nach Van Marle, Italian schools of painting X, p. 545, von Neri di Bicci. Das Bild zeigt Anklange an den Stil des Piero della Francesca. Pappelholz. Hohe 40, Breite 32,5 cm. Tafel XII (Pier Francesco Fiorentino)|MADONNA MIT DEM RINDE UND ZWEI ENGELN. Maria beugt rieh mit gefalteten Händen über das vor ihr liegende Kind, dessen Köpfchen auf einem rot und grün brokatisierten Kissen ruht. Rechts und links je ein Engel, rechte in reinem Profil nach links. Blaugrauer Hintergrund. Halbfiguren. U. Nimben durch parallele eingetiefte Schraffierungen in Gold gebildet. In altem Florentiner Rahmen. Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien. . .Nach A. Venturi (mündliche Mitteilung) von Gian Francesco da Rimini, von dem ein signiertes Bild in der Kirche S. Domenico zu Bologna. Nach Van Marle, Italian schools of painting X, p. 545, von Neri di Bicci. Das Bild zeigt Anklange an den Stil des Piero della Francesca. Pappelholz. Hohe 40, Breite 32,5 cm. Tafel XII]] réalisée par Pier Francesco Fiorentino, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Weisner au prix de 10000 sch. [312]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[VIER DARSTELLUNGEN AUS DEM LEBEN DER HEILIGEN. 17. DIE VISION. Der heilige Augustin, in rotem, gelbgefüttertem Mantel, neben ihm sein Bischofshut, sitzt in seinem Arbeitszimmer vor seinem Schreibpult und blickt zu der Erscheinung des von zwei Engeln getragenen Christuskindes empor, das links auf einem der Buchdeckel seines Bücherbordes sichtbar wird. 18. DIE STIGMATISATION. Der heilige Franziskus kniet in einer Landschaft, nach links aufwärts blickend zu dem gekreuzigten Heiland, dessen Wundmale sich auch seinem Körper einprägen. Rechts neben ihm der schlafende Gefährte. 19. HIERONYMUS IN DER SCHREIBSTUBE. Der Heilige in roter Kardinalstracht sitzt in seiner reich ausgestatteten Bibliothek vor seinem Schreibpult, den Kopf in die Linke gestützt, die Feder in der Rechten. Unten rechts der Löwe. 20. DER TOD DES HIERONYMUS. Der greise Heilige liegt in einer Landschaft ausgestreckt auf dem Boden, beklagt von fünf jungen Mönchen, links unten der Löwe. Rechts stehend ein älterer Mönch, auf einen Stab gestützt. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Der heilige Augustinus (17) nach dem Fresko Botticellis in Ognissanti zu Florenz, der heilige Hieronymus (19) nach dem Fresko Domenico Ghirlandaios, ebenda. Tempera auf Pappelholz. Je Höhe 42, Breite 25 cm. Tafel XIII und XIV (Florenz, um 1480)|VIER DARSTELLUNGEN AUS DEM LEBEN DER HEILIGEN. 17. DIE VISION. Der heilige Augustin, in rotem, gelbgefüttertem Mantel, neben ihm sein Bischofshut, sitzt in seinem Arbeitszimmer vor seinem Schreibpult und blickt zu der Erscheinung des von zwei Engeln getragenen Christuskindes empor, das links auf einem der Buchdeckel seines Bücherbordes sichtbar wird. 18. DIE STIGMATISATION. Der heilige Franziskus kniet in einer Landschaft, nach links aufwärts blickend zu dem gekreuzigten Heiland, dessen Wundmale sich auch seinem Körper einprägen. Rechts neben ihm der schlafende Gefährte. 19. HIERONYMUS IN DER SCHREIBSTUBE. Der Heilige in roter Kardinalstracht sitzt in seiner reich ausgestatteten Bibliothek vor seinem Schreibpult, den Kopf in die Linke gestützt, die Feder in der Rechten. Unten rechts der Löwe. 20. DER TOD DES HIERONYMUS. Der greise Heilige liegt in einer Landschaft ausgestreckt auf dem Boden, beklagt von fünf jungen Mönchen, links unten der Löwe. Rechts stehend ein älterer Mönch, auf einen Stab gestützt. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Der heilige Augustinus (17) nach dem Fresko Botticellis in Ognissanti zu Florenz, der heilige Hieronymus (19) nach dem Fresko Domenico Ghirlandaios, ebenda. Tempera auf Pappelholz. Je Höhe 42, Breite 25 cm. Tafel XIII und XIV]] réalisée par Florenz, um 1480, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 11000 sch. [313]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[VIER DARSTELLUNGEN AUS DEM LEBEN DER HEILIGEN. 17. DIE VISION. Der heilige Augustin, in rotem, gelbgefüttertem Mantel, neben ihm sein Bischofshut, sitzt in seinem Arbeitszimmer vor seinem Schreibpult und blickt zu der Erscheinung des von zwei Engeln getragenen Christuskindes empor, das links auf einem der Buchdeckel seines Bücherbordes sichtbar wird. 18. DIE STIGMATISATION. Der heilige Franziskus kniet in einer Landschaft, nach links aufwärts blickend zu dem gekreuzigten Heiland, dessen Wundmale sich auch seinem Körper einprägen. Rechts neben ihm der schlafende Gefährte. 19. HIERONYMUS IN DER SCHREIBSTUBE. Der Heilige in roter Kardinalstracht sitzt in seiner reich ausgestatteten Bibliothek vor seinem Schreibpult, den Kopf in die Linke gestützt, die Feder in der Rechten. Unten rechts der Löwe. 20. DER TOD DES HIERONYMUS. Der greise Heilige liegt in einer Landschaft ausgestreckt auf dem Boden, beklagt von fünf jungen Mönchen, links unten der Löwe. Rechts stehend ein älterer Mönch, auf einen Stab gestützt. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Der heilige Augustinus (17) nach dem Fresko Botticellis in Ognissanti zu Florenz, der heilige Hieronymus (19) nach dem Fresko Domenico Ghirlandaios, ebenda. Tempera auf Pappelholz. Je Höhe 42, Breite 25 cm. Tafel XIII und XIV (Florenz, um 1480)|VIER DARSTELLUNGEN AUS DEM LEBEN DER HEILIGEN. 17. DIE VISION. Der heilige Augustin, in rotem, gelbgefüttertem Mantel, neben ihm sein Bischofshut, sitzt in seinem Arbeitszimmer vor seinem Schreibpult und blickt zu der Erscheinung des von zwei Engeln getragenen Christuskindes empor, das links auf einem der Buchdeckel seines Bücherbordes sichtbar wird. 18. DIE STIGMATISATION. Der heilige Franziskus kniet in einer Landschaft, nach links aufwärts blickend zu dem gekreuzigten Heiland, dessen Wundmale sich auch seinem Körper einprägen. Rechts neben ihm der schlafende Gefährte. 19. HIERONYMUS IN DER SCHREIBSTUBE. Der Heilige in roter Kardinalstracht sitzt in seiner reich ausgestatteten Bibliothek vor seinem Schreibpult, den Kopf in die Linke gestützt, die Feder in der Rechten. Unten rechts der Löwe. 20. DER TOD DES HIERONYMUS. Der greise Heilige liegt in einer Landschaft ausgestreckt auf dem Boden, beklagt von fünf jungen Mönchen, links unten der Löwe. Rechts stehend ein älterer Mönch, auf einen Stab gestützt. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Der heilige Augustinus (17) nach dem Fresko Botticellis in Ognissanti zu Florenz, der heilige Hieronymus (19) nach dem Fresko Domenico Ghirlandaios, ebenda. Tempera auf Pappelholz. Je Höhe 42, Breite 25 cm. Tafel XIII und XIV]] réalisée par Florenz, um 1480, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 11000 sch. [314]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[VIER DARSTELLUNGEN AUS DEM LEBEN DER HEILIGEN. 17. DIE VISION. Der heilige Augustin, in rotem, gelbgefüttertem Mantel, neben ihm sein Bischofshut, sitzt in seinem Arbeitszimmer vor seinem Schreibpult und blickt zu der Erscheinung des von zwei Engeln getragenen Christuskindes empor, das links auf einem der Buchdeckel seines Bücherbordes sichtbar wird. 18. DIE STIGMATISATION. Der heilige Franziskus kniet in einer Landschaft, nach links aufwärts blickend zu dem gekreuzigten Heiland, dessen Wundmale sich auch seinem Körper einprägen. Rechts neben ihm der schlafende Gefährte. 19. HIERONYMUS IN DER SCHREIBSTUBE. Der Heilige in roter Kardinalstracht sitzt in seiner reich ausgestatteten Bibliothek vor seinem Schreibpult, den Kopf in die Linke gestützt, die Feder in der Rechten. Unten rechts der Löwe. 20. DER TOD DES HIERONYMUS. Der greise Heilige liegt in einer Landschaft ausgestreckt auf dem Boden, beklagt von fünf jungen Mönchen, links unten der Löwe. Rechts stehend ein älterer Mönch, auf einen Stab gestützt. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Der heilige Augustinus (17) nach dem Fresko Botticellis in Ognissanti zu Florenz, der heilige Hieronymus (19) nach dem Fresko Domenico Ghirlandaios, ebenda. Tempera auf Pappelholz. Je Höhe 42, Breite 25 cm. Tafel XIII und XIV (Florenz, um 1480)|VIER DARSTELLUNGEN AUS DEM LEBEN DER HEILIGEN. 17. DIE VISION. Der heilige Augustin, in rotem, gelbgefüttertem Mantel, neben ihm sein Bischofshut, sitzt in seinem Arbeitszimmer vor seinem Schreibpult und blickt zu der Erscheinung des von zwei Engeln getragenen Christuskindes empor, das links auf einem der Buchdeckel seines Bücherbordes sichtbar wird. 18. DIE STIGMATISATION. Der heilige Franziskus kniet in einer Landschaft, nach links aufwärts blickend zu dem gekreuzigten Heiland, dessen Wundmale sich auch seinem Körper einprägen. Rechts neben ihm der schlafende Gefährte. 19. HIERONYMUS IN DER SCHREIBSTUBE. Der Heilige in roter Kardinalstracht sitzt in seiner reich ausgestatteten Bibliothek vor seinem Schreibpult, den Kopf in die Linke gestützt, die Feder in der Rechten. Unten rechts der Löwe. 20. DER TOD DES HIERONYMUS. Der greise Heilige liegt in einer Landschaft ausgestreckt auf dem Boden, beklagt von fünf jungen Mönchen, links unten der Löwe. Rechts stehend ein älterer Mönch, auf einen Stab gestützt. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Der heilige Augustinus (17) nach dem Fresko Botticellis in Ognissanti zu Florenz, der heilige Hieronymus (19) nach dem Fresko Domenico Ghirlandaios, ebenda. Tempera auf Pappelholz. Je Höhe 42, Breite 25 cm. Tafel XIII und XIV]] réalisée par Florenz, um 1480, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 11000 sch. [315]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[VIER DARSTELLUNGEN AUS DEM LEBEN DER HEILIGEN. 17. DIE VISION. Der heilige Augustin, in rotem, gelbgefüttertem Mantel, neben ihm sein Bischofshut, sitzt in seinem Arbeitszimmer vor seinem Schreibpult und blickt zu der Erscheinung des von zwei Engeln getragenen Christuskindes empor, das links auf einem der Buchdeckel seines Bücherbordes sichtbar wird. 18. DIE STIGMATISATION. Der heilige Franziskus kniet in einer Landschaft, nach links aufwärts blickend zu dem gekreuzigten Heiland, dessen Wundmale sich auch seinem Körper einprägen. Rechts neben ihm der schlafende Gefährte. 19. HIERONYMUS IN DER SCHREIBSTUBE. Der Heilige in roter Kardinalstracht sitzt in seiner reich ausgestatteten Bibliothek vor seinem Schreibpult, den Kopf in die Linke gestützt, die Feder in der Rechten. Unten rechts der Löwe. 20. DER TOD DES HIERONYMUS. Der greise Heilige liegt in einer Landschaft ausgestreckt auf dem Boden, beklagt von fünf jungen Mönchen, links unten der Löwe. Rechts stehend ein älterer Mönch, auf einen Stab gestützt. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Der heilige Augustinus (17) nach dem Fresko Botticellis in Ognissanti zu Florenz, der heilige Hieronymus (19) nach dem Fresko Domenico Ghirlandaios, ebenda. Tempera auf Pappelholz. Je Höhe 42, Breite 25 cm. Tafel XIII und XIV (Florenz, um 1480)|VIER DARSTELLUNGEN AUS DEM LEBEN DER HEILIGEN. 17. DIE VISION. Der heilige Augustin, in rotem, gelbgefüttertem Mantel, neben ihm sein Bischofshut, sitzt in seinem Arbeitszimmer vor seinem Schreibpult und blickt zu der Erscheinung des von zwei Engeln getragenen Christuskindes empor, das links auf einem der Buchdeckel seines Bücherbordes sichtbar wird. 18. DIE STIGMATISATION. Der heilige Franziskus kniet in einer Landschaft, nach links aufwärts blickend zu dem gekreuzigten Heiland, dessen Wundmale sich auch seinem Körper einprägen. Rechts neben ihm der schlafende Gefährte. 19. HIERONYMUS IN DER SCHREIBSTUBE. Der Heilige in roter Kardinalstracht sitzt in seiner reich ausgestatteten Bibliothek vor seinem Schreibpult, den Kopf in die Linke gestützt, die Feder in der Rechten. Unten rechts der Löwe. 20. DER TOD DES HIERONYMUS. Der greise Heilige liegt in einer Landschaft ausgestreckt auf dem Boden, beklagt von fünf jungen Mönchen, links unten der Löwe. Rechts stehend ein älterer Mönch, auf einen Stab gestützt. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Der heilige Augustinus (17) nach dem Fresko Botticellis in Ognissanti zu Florenz, der heilige Hieronymus (19) nach dem Fresko Domenico Ghirlandaios, ebenda. Tempera auf Pappelholz. Je Höhe 42, Breite 25 cm. Tafel XIII und XIV]] réalisée par Florenz, um 1480, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 11000 sch. [316]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DAS MARTYRIUM DES HEILIGEN SEBASTIAN. Der Heilige steht auf hohem Pflock, rechts und links je ein Bogenschütze in Zeittracht, auf ihn zielend. Rahmen mit vergoldeten Rändern und breiten, blauen Streifen mit Goldsternen; beim Ansätze des Halbrundes zwei goldene Rosetten mit Halbpalmetten, oben goldene Palmette. Postament konsolartig mit goldener Schrift auf breiten roten Streifen: »QVESTO SANT BASIANO A FATO FARE CHANBIO D MA(di mano) PTRVC.« Tempera auf Holz. Oben halbrunder Abschluß. Höhe 83, Breite 46 cm. Mit Rahmen Höhe 132, Breite 80 cm. (Florenz, um 1480)|DAS MARTYRIUM DES HEILIGEN SEBASTIAN. Der Heilige steht auf hohem Pflock, rechts und links je ein Bogenschütze in Zeittracht, auf ihn zielend. Rahmen mit vergoldeten Rändern und breiten, blauen Streifen mit Goldsternen; beim Ansätze des Halbrundes zwei goldene Rosetten mit Halbpalmetten, oben goldene Palmette. Postament konsolartig mit goldener Schrift auf breiten roten Streifen: »QVESTO SANT BASIANO A FATO FARE CHANBIO D MA(di mano) PTRVC.« Tempera auf Holz. Oben halbrunder Abschluß. Höhe 83, Breite 46 cm. Mit Rahmen Höhe 132, Breite 80 cm.]] réalisée par Florenz, um 1480, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [317]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE WUNDERBARE SPEISUNG DES HEILIGEN DOMINIKUS UND SEINER GENOSSEN. In einem Refektorium mit holzgetäfelter Wand steht ein langer Tisch, mit Linnen gedeckt; jenseits betend der heilige Dominikus und sechs Mönche; diesseits zwei Engel, die Brote auf den Tisch legen, links vorn ein Bruder, ein zweiter kommt durch die Tür. Rechts oben Tribüne mit predigendem Mönch. Unten auf blauem Felde: »QVESTO E VN PEZO DELLA TAVOL (A) DOVE RITROVANDOSI IL P:S: DOMENICO CON XXXX. FRATI SENZA PANE PER CIBARLI FATTA ORATIONE DOI ANGELI NE PORTORONO ABONDATEMENTE.« Das Bild ist laut dieser Inschrift auf einen Teil der Holzplatte des Tisches gemalt, an dem das Wunder, der Legende nach, erfolgt ist. Vergoldeter profilierter Holzrahmen. Im Stil Anklänge an Botticelli. Tempera auf Holz. Höhe 16, Breite 37 cm. Mit Rahmen Höhe 22, Breite 44 cm. Tafel XV (Florenz, um 1480)|DIE WUNDERBARE SPEISUNG DES HEILIGEN DOMINIKUS UND SEINER GENOSSEN. In einem Refektorium mit holzgetäfelter Wand steht ein langer Tisch, mit Linnen gedeckt; jenseits betend der heilige Dominikus und sechs Mönche; diesseits zwei Engel, die Brote auf den Tisch legen, links vorn ein Bruder, ein zweiter kommt durch die Tür. Rechts oben Tribüne mit predigendem Mönch. Unten auf blauem Felde: »QVESTO E VN PEZO DELLA TAVOL (A) DOVE RITROVANDOSI IL P:S: DOMENICO CON XXXX. FRATI SENZA PANE PER CIBARLI FATTA ORATIONE DOI ANGELI NE PORTORONO ABONDATEMENTE.« Das Bild ist laut dieser Inschrift auf einen Teil der Holzplatte des Tisches gemalt, an dem das Wunder, der Legende nach, erfolgt ist. Vergoldeter profilierter Holzrahmen. Im Stil Anklänge an Botticelli. Tempera auf Holz. Höhe 16, Breite 37 cm. Mit Rahmen Höhe 22, Breite 44 cm. Tafel XV]] réalisée par Florenz, um 1480, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Bachstitz au prix de 6000 sch. [318]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DER HEILIGE EUSTACHIUS. Der Heilige kniet in gebirgiger Landschaft mit gefalteten Händen im Profil nach links, den Kruzifixus anbetend, der zwischen den Geweihen des Hirsches sichtbar wird. Er trägt grünblaues Wams, rote Hosen, über den Schultern einen gelben rosagefütterten Mantel. Rechts auf der Rückseite steinfarbige Rosette. Vorbesitzer: J. Ferroni, Rom; Volpi, Florenz. Bei A.Venturi, Storia dell'Arte Italiana, Vol. VII 2, p. 467, Fig. 352> als Jugendarbeit des Perugino. Dem Pinturicchio zugeschrieben auf Grund der Verwandtschaft mit den Fresken Pinturicchios in Siena, vor allem in der Capella di San Giovanni im Dom Zu Siena. Tempera auf Holz. Höhe 81, Breite 42 cm. Tafel XVI (Bernardino di Betti Biagio, gen. Il Pinturicchio)|DER HEILIGE EUSTACHIUS. Der Heilige kniet in gebirgiger Landschaft mit gefalteten Händen im Profil nach links, den Kruzifixus anbetend, der zwischen den Geweihen des Hirsches sichtbar wird. Er trägt grünblaues Wams, rote Hosen, über den Schultern einen gelben rosagefütterten Mantel. Rechts auf der Rückseite steinfarbige Rosette. Vorbesitzer: J. Ferroni, Rom; Volpi, Florenz. Bei A.Venturi, Storia dell'Arte Italiana, Vol. VII 2, p. 467, Fig. 352> als Jugendarbeit des Perugino. Dem Pinturicchio zugeschrieben auf Grund der Verwandtschaft mit den Fresken Pinturicchios in Siena, vor allem in der Capella di San Giovanni im Dom Zu Siena. Tempera auf Holz. Höhe 81, Breite 42 cm. Tafel XVI]] réalisée par Bernardino di Betti Biagio, gen. Il Pinturicchio, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Matthiesen au prix de 60000 sch. [319]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS AM KREUZ MIT VIER HEILIGEN. Große Altartafel mit halblebensgroßen Figuren. In der Mitte der Kruzifixus, rechts stehend der heilige Paulus in blauem Gewand und rötlichem Mantel, vor ihm knieend der heilige Franziskus, seine Wundmale weisend. Links Johannes der Täufer in rotem gelbgefütterten Mantel über dem härenen Gewände, vor ihm kniend der heilige Hieronymus mit betend gefalteten Händen. HintergrundLandschaft mit dünnen Bäumchen, hinter einem Wasser taucht ein bläulicher Berg auf. Hellblauer Himmel. Der untere Teil der Tafel, durch einen schwarzen Strich von der Hauptdarstellung getrennt, zeigt eine dreiteilige Predelle mit Darstellungen in kleinerem Maßstab. Links in einer architektonischen Bogenumrahmung der heilige Mauritius mit Schild und Fahne, rechts in der gleichen Umrahmung der heilige Augustin, mit der erhobenen Rechten auf die Erscheinung Christi in einer von Engeln getragenen Mandorla weisend. In der Mitte die Bekehrung des Saulus, der vom Strahl Gottes getroffen am Boden liegt, während die Kriegsknechte nach allen Seiten flüchten. Vorbesitzer: H. Sax, Wien; Riblet, Florenz. B. Berenson, The Florentine painters of the Renaissance: Alunno di Domenico, p. 99: »Large cross with SS. Jerome and Francis.« Ein verwandter Christus auf dem Altarbild Sellaios in San Frediano in Castello zu Florenz. Tempera auf Pappelholz. Höhe 235, Breite 126 cm. Höhe der Predellendarstellung 48 cm. Tafel XVII und XVIII (Jacopo Del Sellaio)|CHRISTUS AM KREUZ MIT VIER HEILIGEN. Große Altartafel mit halblebensgroßen Figuren. In der Mitte der Kruzifixus, rechts stehend der heilige Paulus in blauem Gewand und rötlichem Mantel, vor ihm knieend der heilige Franziskus, seine Wundmale weisend. Links Johannes der Täufer in rotem gelbgefütterten Mantel über dem härenen Gewände, vor ihm kniend der heilige Hieronymus mit betend gefalteten Händen. HintergrundLandschaft mit dünnen Bäumchen, hinter einem Wasser taucht ein bläulicher Berg auf. Hellblauer Himmel. Der untere Teil der Tafel, durch einen schwarzen Strich von der Hauptdarstellung getrennt, zeigt eine dreiteilige Predelle mit Darstellungen in kleinerem Maßstab. Links in einer architektonischen Bogenumrahmung der heilige Mauritius mit Schild und Fahne, rechts in der gleichen Umrahmung der heilige Augustin, mit der erhobenen Rechten auf die Erscheinung Christi in einer von Engeln getragenen Mandorla weisend. In der Mitte die Bekehrung des Saulus, der vom Strahl Gottes getroffen am Boden liegt, während die Kriegsknechte nach allen Seiten flüchten. Vorbesitzer: H. Sax, Wien; Riblet, Florenz. B. Berenson, The Florentine painters of the Renaissance: Alunno di Domenico, p. 99: »Large cross with SS. Jerome and Francis.« Ein verwandter Christus auf dem Altarbild Sellaios in San Frediano in Castello zu Florenz. Tempera auf Pappelholz. Höhe 235, Breite 126 cm. Höhe der Predellendarstellung 48 cm. Tafel XVII und XVIII]] réalisée par Jacopo Del Sellaio, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [320]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS ALS SALVADOR MUNDI. Halbfigur Christi, ganz frontal, mit langem blondem Haar, rotem Unterkleid und blauem Mantel; die Rechte segnend erhoben, in der linken ein offenes Buch mit der Inschrift: »Sit Pax intranti Benedictio quoque M(a) nenti.« Dunkler Grund, Vorbesitzer: M. Blum, Wien. Frimmel, Blätter für Gemäldekunde, Bd. III, Heft 10 (1907), S. 185, mit Abb.: Vermutlich Bartolomeo Montagna«. Von anderen Forschern ist Cristoforo da parma als Autor des Bildes vorgeschlagen worden. Pappelholz. Höhe 59 Breite 40 cm. (Oberitalienisch um 1500)|CHRISTUS ALS SALVADOR MUNDI. Halbfigur Christi, ganz frontal, mit langem blondem Haar, rotem Unterkleid und blauem Mantel; die Rechte segnend erhoben, in der linken ein offenes Buch mit der Inschrift: »Sit Pax intranti Benedictio quoque M(a) nenti.« Dunkler Grund, Vorbesitzer: M. Blum, Wien. Frimmel, Blätter für Gemäldekunde, Bd. III, Heft 10 (1907), S. 185, mit Abb.: Vermutlich Bartolomeo Montagna«. Von anderen Forschern ist Cristoforo da parma als Autor des Bildes vorgeschlagen worden. Pappelholz. Höhe 59 Breite 40 cm.]] réalisée par Oberitalienisch um 1500, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 2100 sch. [321]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE KATHARINA. Halbfigur in rotem Gewände, auf dem Kopf einen Blütenkranz, den Blick nach links auf ein Buch gesenkt, das in ihren Händen ruht. Dunkler Grund. Vorbesitzer: S. Herz, Paris. Von Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 8, in die Nähe des Giampietrino gesetzt. er italienische Rahmen des 17. Jahrhunderts, aus durchbrochenem geschnitztem Akanthuslaub, abgebildet bei H. Stegmann, Kunst und Kunsthandwerk, Heft 11, S. 626, Abb. 144. Pappelholz. Höhe 65,5, Breite 49,5 cm. (Bernardino Luini)|HEILIGE KATHARINA. Halbfigur in rotem Gewände, auf dem Kopf einen Blütenkranz, den Blick nach links auf ein Buch gesenkt, das in ihren Händen ruht. Dunkler Grund. Vorbesitzer: S. Herz, Paris. Von Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 8, in die Nähe des Giampietrino gesetzt. er italienische Rahmen des 17. Jahrhunderts, aus durchbrochenem geschnitztem Akanthuslaub, abgebildet bei H. Stegmann, Kunst und Kunsthandwerk, Heft 11, S. 626, Abb. 144. Pappelholz. Höhe 65,5, Breite 49,5 cm.]] réalisée par Bernardino Luini, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [322]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BRUSTBILD DES PHILIPPUS BEROALDUS. In reinem Profil nach links gewendet, in schwarzem Gewand und schwarzer Rappe über dem rötlich blonden Haar. Am oberen Rande des dunklen Hintergrundes die spätere Aufschrift: »Philippus Beroaldus«. (Humanist, Naturforscher und Philolog, dozierte in Bologna, wo insbesondere viele böhmische Studenten zu seinen Schülern zählten. Sein Grabmal in Bologna am Campo Santo von San Martino). Vorbesitzer: Fairfax Murray, London. Frimmel, Galeriestudien N.F. IV, p. 8. Pappelholz. Höhe 38, Breite 28 cm. Tafel XIX (Ambrogio de Predis)|BRUSTBILD DES PHILIPPUS BEROALDUS. In reinem Profil nach links gewendet, in schwarzem Gewand und schwarzer Rappe über dem rötlich blonden Haar. Am oberen Rande des dunklen Hintergrundes die spätere Aufschrift: »Philippus Beroaldus«. (Humanist, Naturforscher und Philolog, dozierte in Bologna, wo insbesondere viele böhmische Studenten zu seinen Schülern zählten. Sein Grabmal in Bologna am Campo Santo von San Martino). Vorbesitzer: Fairfax Murray, London. Frimmel, Galeriestudien N.F. IV, p. 8. Pappelholz. Höhe 38, Breite 28 cm. Tafel XIX]] réalisée par Ambrogio de Predis, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Goudstikker au prix de 42000 sch. [323]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HALBFIGUR EINER JUNGEN DAME. In reinem Profil nach rechts. Sie trägt ein Netzhäubchen über dem braunen Haar, ein goldfarbiges Kleid mit Granatapfelmuster und einen grünen Mantel mit Goldborte. Ehemals dekorative Füllung in der Balkenlage der Decke. Tempera auf Holz, rechteckig, an den oberen Ecken abgerundet. Höhe 40,5, Breite 28 cm. (Oberitalienisch, Anfang 16. Jahrhundert)|HALBFIGUR EINER JUNGEN DAME. In reinem Profil nach rechts. Sie trägt ein Netzhäubchen über dem braunen Haar, ein goldfarbiges Kleid mit Granatapfelmuster und einen grünen Mantel mit Goldborte. Ehemals dekorative Füllung in der Balkenlage der Decke. Tempera auf Holz, rechteckig, an den oberen Ecken abgerundet. Höhe 40,5, Breite 28 cm.]] réalisée par Oberitalienisch, Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 900 sch. [324]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÄNNLICHES BILDNIS. Brustbild. Das bartlose Gesicht in Dreiviertelansicht nach links gewendet; mit schwarzem Gewand und schwarzer Mütze auf dem braunen, dicht herabfallenden Haar. Dunkler Grund. Auf der Rückseite steht in einer leichtumrissenen Kartusche in halbverwischter Schrift: »Die Primo Mensis Septembris MCCCCVIII po. DA. F. In altem geschnitztem und vergoldeten Rahmen. Hofbesitzer: Graf Franz Falkenhayn, Schloß Walpersdorf. Als L. Lotto publiziert von L. Baldass, Pantheon 1929, S. 467; man hat auch den Namen des Alvise Vivarini in Vorschlag gebracht. Auf Grund der - vermutlich nicht ganz zeitgenössischen - Schrift auf der Rückseite von Frimmel, Zeitschrift für Bild. Kunst N. F. XIa, 1902, p. 302/4, dem Pietro Luzzi da Feltre, von Lionello Venturi dem Bellinischüler Pietro Duja zugeschrieben (L'Arte XIII 1910, p. 374). Pappelholz. Höhe 29, Breite 22cm. Tafel XX (Lorenzo Lotto)|MÄNNLICHES BILDNIS. Brustbild. Das bartlose Gesicht in Dreiviertelansicht nach links gewendet; mit schwarzem Gewand und schwarzer Mütze auf dem braunen, dicht herabfallenden Haar. Dunkler Grund. Auf der Rückseite steht in einer leichtumrissenen Kartusche in halbverwischter Schrift: »Die Primo Mensis Septembris MCCCCVIII po. DA. F. In altem geschnitztem und vergoldeten Rahmen. Hofbesitzer: Graf Franz Falkenhayn, Schloß Walpersdorf. Als L. Lotto publiziert von L. Baldass, Pantheon 1929, S. 467; man hat auch den Namen des Alvise Vivarini in Vorschlag gebracht. Auf Grund der - vermutlich nicht ganz zeitgenössischen - Schrift auf der Rückseite von Frimmel, Zeitschrift für Bild. Kunst N. F. XIa, 1902, p. 302/4, dem Pietro Luzzi da Feltre, von Lionello Venturi dem Bellinischüler Pietro Duja zugeschrieben (L'Arte XIII 1910, p. 374). Pappelholz. Höhe 29, Breite 22cm. Tafel XX]] réalisée par Lorenzo Lotto, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Fleischmann au prix de 22000 sch. [325]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS EINES KNABEN. Der etwa sechsjährige Knabe, vielleicht aus dem Hause der Medici, in ganzer Figur, etwas nach links gewendet. Auf seiner linken Hand sitzt ein Vogel, mit der Rechten hält er eine Kinderschelle, die an einer dünnen Kette über seine linke Schulter hängt. Er steht auf gepflastertem Boden vor einer Cassapanca, auf deren oberem Bord links ein Glas mit turnen, rechts zwei Äpfel. Eichenholz. Höhe 97, Breite 60 cm. (Angelo Bronzino)|BILDNIS EINES KNABEN. Der etwa sechsjährige Knabe, vielleicht aus dem Hause der Medici, in ganzer Figur, etwas nach links gewendet. Auf seiner linken Hand sitzt ein Vogel, mit der Rechten hält er eine Kinderschelle, die an einer dünnen Kette über seine linke Schulter hängt. Er steht auf gepflastertem Boden vor einer Cassapanca, auf deren oberem Bord links ein Glas mit turnen, rechts zwei Äpfel. Eichenholz. Höhe 97, Breite 60 cm.]] réalisée par Angelo Bronzino, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 2300 sch. [326]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ENGELSKOPF. Blondhaarig, nach links gewendet, aufwärtsblickend. In lichtrosa Gewand, über der rechten Schulter ein blaues Tuch. Italienischer Renaissance-Rahmen mit eingepunztem Rankenornament. Vorbesitzer: Adalbert Zinner, Wien; v. Zogravo, Wien. Leinwand. Höhe 22,5, Breite l6,5 cm. (Italienisch, um 1600)|ENGELSKOPF. Blondhaarig, nach links gewendet, aufwärtsblickend. In lichtrosa Gewand, über der rechten Schulter ein blaues Tuch. Italienischer Renaissance-Rahmen mit eingepunztem Rankenornament. Vorbesitzer: Adalbert Zinner, Wien; v. Zogravo, Wien. Leinwand. Höhe 22,5, Breite l6,5 cm.]] réalisée par Italienisch, um 1600, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 700 sch. [327]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE HEILIGE FAMILIE. In südlicher Landschaft sitzt rechts unter einem Palmbaum, in dessen Zweigen Engel spielen, Maria mit dem Rinde auf dem Schoß. Links der heilige Joseph, in einem Buche lesend, vor ihm ein Engel, der dem Rinde Kirschen darreicht. In reichem italienischen Rahmen des 17. Jahrhunderts aus durchbrochenem, teilweise abstehendem Akanthuslaub. Vorbesitzer: August v. Hofmannsthal, Wien; S. Herz, Paris. Leinwand. Höhe 69, Breite 54 cm. (Italienisch, um 1600)|DIE HEILIGE FAMILIE. In südlicher Landschaft sitzt rechts unter einem Palmbaum, in dessen Zweigen Engel spielen, Maria mit dem Rinde auf dem Schoß. Links der heilige Joseph, in einem Buche lesend, vor ihm ein Engel, der dem Rinde Kirschen darreicht. In reichem italienischen Rahmen des 17. Jahrhunderts aus durchbrochenem, teilweise abstehendem Akanthuslaub. Vorbesitzer: August v. Hofmannsthal, Wien; S. Herz, Paris. Leinwand. Höhe 69, Breite 54 cm.]] réalisée par Italienisch, um 1600, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 2100 sch. [328]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ANSICHT DES CANALE GRANDE. Blick auf den Rialto, zur Linken der Fondaco dei Tedeschi mit Freskenresten, zur Rechten der Fischmarkt. Das Wasser vorn reich mit Gondeln belebt. Vorbesitzer: Fr. Gsell, Wien. Leinwand. Höhe 72, Breite 111 cm. (Giovanni Antonio Canale, gen. Canaletto)|ANSICHT DES CANALE GRANDE. Blick auf den Rialto, zur Linken der Fondaco dei Tedeschi mit Freskenresten, zur Rechten der Fischmarkt. Das Wasser vorn reich mit Gondeln belebt. Vorbesitzer: Fr. Gsell, Wien. Leinwand. Höhe 72, Breite 111 cm.]] réalisée par Giovanni Antonio Canale, gen. Canaletto, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 1500 sch. [329]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[GEBURT CHRISTI. Maria sitzt auf rotgoldnem Lager unter einem Strohdach, das drei Engel ausbessern. Zur Linken das nackte Kind, dem heiligen Joseph zustrebend, der, vor seiner Werkzeugbank sitzend, ihm mit beiden Händen Spielzeug entgegenhält. Im Vordergrund links drei singende Engel neben einem Brunnen, von dem andere Engel Wasser nach rechts zu dem Bade tragen, das eine jugendliche Magd bereitet; die Badewanne ist zum Warmhalten des Wassers mit einem Baldachin bedeckt. Rechts zwei Engel, Linnen an einem Feuer wärmend, über dem ein Kessel mit Wasser brodelt. Goldgrund. Zur Linken im Grunde Landschaft mit den Hirten. Die Darstellung ist ausgezeichnet durch die Fülle genrehafter Züge. Mit altem Leistenrahmen, der mit dem Malbrett ein Stück bildet. Die Tafel auf der Rückseite mit dem alten rötlichen Gipsüberzug bedeckt. H. Rene d'Allemagne, Histoire des jouets, Paris, Tafel I (Farbtafel); Betty Kurth, Französische Tafel-Bilder an der Wende des 14. Jahrhunderts in Osterreichischen Sammlungen, Zeitschrift für Bild. Kunst, Leipzig, XXXIII, Heft 1/2, S. 20, Abb. 8, Text S. 21. Dort in Zusammenhang gebracht mit einem Diptychon der ehem. Sammlung Cardon, Brüssel. Eichenholz. Höhe 25, Breite 19 cm. Mit Rahmen Höhe 31, Breite 25 cm. Tafel XXI (Niederländisch, um 1400)|GEBURT CHRISTI. Maria sitzt auf rotgoldnem Lager unter einem Strohdach, das drei Engel ausbessern. Zur Linken das nackte Kind, dem heiligen Joseph zustrebend, der, vor seiner Werkzeugbank sitzend, ihm mit beiden Händen Spielzeug entgegenhält. Im Vordergrund links drei singende Engel neben einem Brunnen, von dem andere Engel Wasser nach rechts zu dem Bade tragen, das eine jugendliche Magd bereitet; die Badewanne ist zum Warmhalten des Wassers mit einem Baldachin bedeckt. Rechts zwei Engel, Linnen an einem Feuer wärmend, über dem ein Kessel mit Wasser brodelt. Goldgrund. Zur Linken im Grunde Landschaft mit den Hirten. Die Darstellung ist ausgezeichnet durch die Fülle genrehafter Züge. Mit altem Leistenrahmen, der mit dem Malbrett ein Stück bildet. Die Tafel auf der Rückseite mit dem alten rötlichen Gipsüberzug bedeckt. H. Rene d'Allemagne, Histoire des jouets, Paris, Tafel I (Farbtafel); Betty Kurth, Französische Tafel-Bilder an der Wende des 14. Jahrhunderts in Osterreichischen Sammlungen, Zeitschrift für Bild. Kunst, Leipzig, XXXIII, Heft 1/2, S. 20, Abb. 8, Text S. 21. Dort in Zusammenhang gebracht mit einem Diptychon der ehem. Sammlung Cardon, Brüssel. Eichenholz. Höhe 25, Breite 19 cm. Mit Rahmen Höhe 31, Breite 25 cm. Tafel XXI]] réalisée par Niederländisch, um 1400, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par de Burlet au prix de 65000 sch. [330]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER SEBASTIAN. In langem, rotem Talar, unten langgeschlitzt und mit Pelz verbrämt, und rotem Barett, die Linke ruht am Griffe des Degens, der zur Seite hängt, die Rechte faßt einen Pfeil, der dem Heiligen vorn im Leibe steckt, daneben in seiner Brust ein zweiter Pfeil. Im Hintergrunde Kirchenarchitektur. In vergoldetem Maßwerk-Rahmen, oben im Rundbogen abgeschlossen, der Außenrand mit geschnitzter Ranke aus Laub. Nußholz. Mit Rahmen Höhe 19, Breite 11,5 cm. (Französisch, um 1440)|HEILIGER SEBASTIAN. In langem, rotem Talar, unten langgeschlitzt und mit Pelz verbrämt, und rotem Barett, die Linke ruht am Griffe des Degens, der zur Seite hängt, die Rechte faßt einen Pfeil, der dem Heiligen vorn im Leibe steckt, daneben in seiner Brust ein zweiter Pfeil. Im Hintergrunde Kirchenarchitektur. In vergoldetem Maßwerk-Rahmen, oben im Rundbogen abgeschlossen, der Außenrand mit geschnitzter Ranke aus Laub. Nußholz. Mit Rahmen Höhe 19, Breite 11,5 cm.]] réalisée par Französisch, um 1440, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par van Dam au prix de 1100 sch. [331]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[Der heilige Hieronymus in der Studierstube. Der Heilige im Mönchsgewand sitzt vor seinem Pult, das sich nach rechts zu in einem hohen Bücherbord fortsetzt, und schreibt in einem aufgeschlagenen Buch. Rechts oben an der Wand der rote Kardinalshut, links unten der Löwe. Gepunzter Goldgrund. Die Tafel auf der Rückseite mit dem alten rötlichen Gipsüberzug bedeckt. H. Stegmann, Kunst und Kunsthandwerk X, 1907, Heft 3, Abb. 43; J. Leisching, Die Kunst im Handwerk Osterreichs, Wien 1924, S. 65, Abb. 17. Buchenholz. Höhe 24, Breite 18 cm. Tafel XXII (Französisch, um 1440)|Der heilige Hieronymus in der Studierstube. Der Heilige im Mönchsgewand sitzt vor seinem Pult, das sich nach rechts zu in einem hohen Bücherbord fortsetzt, und schreibt in einem aufgeschlagenen Buch. Rechts oben an der Wand der rote Kardinalshut, links unten der Löwe. Gepunzter Goldgrund. Die Tafel auf der Rückseite mit dem alten rötlichen Gipsüberzug bedeckt. H. Stegmann, Kunst und Kunsthandwerk X, 1907, Heft 3, Abb. 43; J. Leisching, Die Kunst im Handwerk Osterreichs, Wien 1924, S. 65, Abb. 17. Buchenholz. Höhe 24, Breite 18 cm. Tafel XXII]] réalisée par Französisch, um 1440, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Goudstikker au prix de 10500 sch. [332]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE VERSUCHUNG EINES BISCHOFS. Im Innern eines Hauses sitzen an einer gedeckten Tafel drei Personen: Zur Linken vor einem Vorhang von rot-goldenem Brokat ein Bischof, der mit beiden Händen den Becher abwehrt, den ihm ein vor dem Tisch kniender Page darreicht. Neben dem Bischof der Böse in Gestalt eines jungen Weibes mit dunklen Flügeln und Krallenfingern, rechts von ihr ein Mann in grünem Wams und hoher roter Mütze. Durch die geöffnete Tür zur Rechten tritt ein junger Mann in roter Kleidung und grüner Mütze einem Heiligen entgegen, der mit segnend erhobener Hand von rechts naht. Vorbesitzer: Otlet, Brüssel. Wohl eher der spanischen Schule zuzuschreiben. Weiches Holz, wohl Fichte. Höhe 128, Breite 91cm. Tafel XXIII (Südfranzösisch, um 1470)|DIE VERSUCHUNG EINES BISCHOFS. Im Innern eines Hauses sitzen an einer gedeckten Tafel drei Personen: Zur Linken vor einem Vorhang von rot-goldenem Brokat ein Bischof, der mit beiden Händen den Becher abwehrt, den ihm ein vor dem Tisch kniender Page darreicht. Neben dem Bischof der Böse in Gestalt eines jungen Weibes mit dunklen Flügeln und Krallenfingern, rechts von ihr ein Mann in grünem Wams und hoher roter Mütze. Durch die geöffnete Tür zur Rechten tritt ein junger Mann in roter Kleidung und grüner Mütze einem Heiligen entgegen, der mit segnend erhobener Hand von rechts naht. Vorbesitzer: Otlet, Brüssel. Wohl eher der spanischen Schule zuzuschreiben. Weiches Holz, wohl Fichte. Höhe 128, Breite 91cm. Tafel XXIII]] réalisée par Südfranzösisch, um 1470, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Brimo au prix de 6000 sch. [333]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MADONNA IM ROSENHAG. In einem Garten, vor der Rosenhecke, sitzt Maria, auf dem Schoß das Rind, das nach rechts nach einem Apfel greift, den ihm einer der vier die Madonna umgebenden musizierenden Engel darreicht. Im Hintergrund Ausblick auf Landschaft und auf eine befestigte Stadt mit Stadtmauer. Die Romposition geht auf Memling zurück. Ein anderes Exemplar im Memlingstil, von einem Nachfolger des Meisters, als Hälfte eines Diptychons in der Münchener Pinakothek, Nr. 125. Vorbesitzer: C.A. Milani, Frankfurt a. M. Frimmel, Galeriestudien, N. F. IV, p. 15; Voll, Memling, Klassiker der Kunst XIV, S. 175 (Anm. zu S. 144); C. G. Heise, Norddeutsche Malerei, Leipzig 1918, S. 143, Anm. 30 (hier die Ausführung der Hand des Meisters von Cappenberg gegeben); Friedländer, Die Altniederländische Malerei IV, 104a. Eichenholz. Höhe 42, Breite 30,5 cm. Tafel XXIV (Brügger Meister, um 1500)|MADONNA IM ROSENHAG. In einem Garten, vor der Rosenhecke, sitzt Maria, auf dem Schoß das Rind, das nach rechts nach einem Apfel greift, den ihm einer der vier die Madonna umgebenden musizierenden Engel darreicht. Im Hintergrund Ausblick auf Landschaft und auf eine befestigte Stadt mit Stadtmauer. Die Romposition geht auf Memling zurück. Ein anderes Exemplar im Memlingstil, von einem Nachfolger des Meisters, als Hälfte eines Diptychons in der Münchener Pinakothek, Nr. 125. Vorbesitzer: C.A. Milani, Frankfurt a. M. Frimmel, Galeriestudien, N. F. IV, p. 15; Voll, Memling, Klassiker der Kunst XIV, S. 175 (Anm. zu S. 144); C. G. Heise, Norddeutsche Malerei, Leipzig 1918, S. 143, Anm. 30 (hier die Ausführung der Hand des Meisters von Cappenberg gegeben); Friedländer, Die Altniederländische Malerei IV, 104a. Eichenholz. Höhe 42, Breite 30,5 cm. Tafel XXIV]] réalisée par Brügger Meister, um 1500, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Schwersenz au prix de 13500 sch. [334]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[EINES DER SIEBEN WERKE DER BARMHERZIGKEIT (»Die Nackten bekleiden«). Auf einem auf drei Seiten von Gebäuden eingefaßten Platz steht vorn ein Edelmann mit zwei Begleitern, von denen der eine Kleider aus einem Sack nimmt, die der Edelmann im Begriff ist, unter die rechts versammelten Bettler zu verteilen. Hinter der Bettlergruppe Christus und die Taube des heiligen Geistes. Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien. Friedländer, Die Altniederländische Malerei IV, 72, erwähnt das Bild als im Brüsseler Kunsthandel (1905) befindlich. Eichenholz. Höhe 63,5, Breite 41,5 cm. Tafel XXV (Meister von Sainte Gudule)|EINES DER SIEBEN WERKE DER BARMHERZIGKEIT (»Die Nackten bekleiden«). Auf einem auf drei Seiten von Gebäuden eingefaßten Platz steht vorn ein Edelmann mit zwei Begleitern, von denen der eine Kleider aus einem Sack nimmt, die der Edelmann im Begriff ist, unter die rechts versammelten Bettler zu verteilen. Hinter der Bettlergruppe Christus und die Taube des heiligen Geistes. Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien. Friedländer, Die Altniederländische Malerei IV, 72, erwähnt das Bild als im Brüsseler Kunsthandel (1905) befindlich. Eichenholz. Höhe 63,5, Breite 41,5 cm. Tafel XXV]] réalisée par Meister von Sainte Gudule, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Fleischmann au prix de 27000 sch. [335]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[KREUZABNAHME. In der mit Menschen und Baulichkeiten besetzten Landschaft vor blauem Himmel die drei Kreuze, von denen die beiden seitlichen, aus Baumstämmen gebildet, noch die sich bäumenden Schächer tragen. An dem mittleren Kreuz lehnen drei Leitern, auf die ein Jüngling, ein Mann und ein Greis gestiegen sind, um den Leichnam Christi herabzulassen. Zur Linken Gruppe des Johannes mit Maria und drei klagenden Frauen, von denen die eine stehend die Füße Christi in Empfang nimmt, während Magdalena neben der Salbbüchse vorn kniet, zur Rechten zwei weitere klagende Frauen. Vorbesitzer: M. Blum, Wien (aus Schloß Schönau bei Vöslau, N.-Ö.). Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 9 - 14; Kunstchronik, N. F. VIII, p. 6; W. R.. Valentiner, Aus der niederl. Kunst, Berlin 1914, S.69 f.; M. J. Friedländer, Jahrh. der preuß. Kunstsamml., Berlin 1905, XXIV, S. 66; Karl Voll, Die altniederl. Malerei von Jan van Eyck bis Memling, Leipzig 1906, S. 237; Leo Balet, Der Frühholländer Geertgen tot Sint Jans, Haag 1910, S. 160; Baldass, Jahrbuch der kunsthistor. Sammlungen XXXV, Wien 1919, S.30, Abb. Fig. 17; Max Dvorak, Das Rätsel der Kunst der Brüder Van Eyck, München 1925,8. XXIV; Friedländer, Die altniederl. Malerei V, 25, S. 56, Abb. Taf. XXII. Eichenholz. Höhe 132, Breite 103 cm. Tafel XXVI (Meister Der Figdorschen Kreuzabnahme)|KREUZABNAHME. In der mit Menschen und Baulichkeiten besetzten Landschaft vor blauem Himmel die drei Kreuze, von denen die beiden seitlichen, aus Baumstämmen gebildet, noch die sich bäumenden Schächer tragen. An dem mittleren Kreuz lehnen drei Leitern, auf die ein Jüngling, ein Mann und ein Greis gestiegen sind, um den Leichnam Christi herabzulassen. Zur Linken Gruppe des Johannes mit Maria und drei klagenden Frauen, von denen die eine stehend die Füße Christi in Empfang nimmt, während Magdalena neben der Salbbüchse vorn kniet, zur Rechten zwei weitere klagende Frauen. Vorbesitzer: M. Blum, Wien (aus Schloß Schönau bei Vöslau, N.-Ö.). Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 9 - 14; Kunstchronik, N. F. VIII, p. 6; W. R.. Valentiner, Aus der niederl. Kunst, Berlin 1914, S.69 f.; M. J. Friedländer, Jahrh. der preuß. Kunstsamml., Berlin 1905, XXIV, S. 66; Karl Voll, Die altniederl. Malerei von Jan van Eyck bis Memling, Leipzig 1906, S. 237; Leo Balet, Der Frühholländer Geertgen tot Sint Jans, Haag 1910, S. 160; Baldass, Jahrbuch der kunsthistor. Sammlungen XXXV, Wien 1919, S.30, Abb. Fig. 17; Max Dvorak, Das Rätsel der Kunst der Brüder Van Eyck, München 1925,8. XXIV; Friedländer, Die altniederl. Malerei V, 25, S. 56, Abb. Taf. XXII. Eichenholz. Höhe 132, Breite 103 cm. Tafel XXVI]] réalisée par Meister Der Figdorschen Kreuzabnahme, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Steinmeyer au prix de 56000 sch. [336]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DER VERLORENE SOHN. Ein Mann in zerlumpter Kleidung, auf dem Rükken einen Tragkorb, in der Rechten einen Stab, schleicht nach rechts und wendet den Kopf scheu nach links zurück, wo ein kleiner Hund ihn anknurrt. Rechts neben einem Baum ein Gittertor, links weiter zurück das verwahrloste Haus, aus dem der Mann verjagt wurde; in der Tür ein Kriegsknecht, eine Dirne karessierend. Vor dem Haus ein Mutterschwein mit Ferkeln. Im Hintergrund eine flach gewellte Landschaft. In achteckigem, durchbrochenen vergoldeten Holzrahmen des späteren 1 6. Jahrhunderts. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Eine ähnliche Darstellung auf den Außenflügeln des Triptychons »Der Heuwagen« im Escorial. Gustav Glück, Jahrbuch der preußischen Kunstsammlungen 1904, Bd. XXV, Heft 3, S. 174 ff. (»Zu einem Bilde von Hieronymus Bosch in der Figdorschen Sammlung in Wien«); Gossart, Jérôme Bosch, Lille 1907, p. 290; Paul Lafond, Hieronymus Bosch, Bruxelles 1914, Tafel p. 60, Text p. 27, 48, 76, 77, Verzeichnis der Gemälde Nr. 37; Walter Cohen, Zentralblatt für Kunstwissenschaft, Leipzig 1 909, I. Jahrg., Heft 8, S. 259; Ludwig Baldass, Jahrbuch d. preuß. Kunstsammlungen 1917, Bd. XXXVIII, Heft 14, S. 193; Ernst Heidrich, Altniederländische Malerei, Jena 1910, Abb. 105; Ludwig Baldass, Jahrbuch d. kunsthist. Sammlungen, Wien 1926, N. F. I, S. 115, Abb. 63 und S. 117; M. J. Friedländer, Die Altniederländische Malerei, V, 103, S. 102, Taf. LXVIII. Andere Deutung der Darstellung bei Sir Martin Conway, The Eyks and their followers, London 1921, p. 341, und Burlington Magazine CCCXXIV, march 1930, p. 166. Eichenholz, achteckig. Größte Breite des Bildes 71,5 cm. Tafel XXVII (Hieronymus Bosch)|DER VERLORENE SOHN. Ein Mann in zerlumpter Kleidung, auf dem Rükken einen Tragkorb, in der Rechten einen Stab, schleicht nach rechts und wendet den Kopf scheu nach links zurück, wo ein kleiner Hund ihn anknurrt. Rechts neben einem Baum ein Gittertor, links weiter zurück das verwahrloste Haus, aus dem der Mann verjagt wurde; in der Tür ein Kriegsknecht, eine Dirne karessierend. Vor dem Haus ein Mutterschwein mit Ferkeln. Im Hintergrund eine flach gewellte Landschaft. In achteckigem, durchbrochenen vergoldeten Holzrahmen des späteren 1 6. Jahrhunderts. Vorbesitzer: Theodor Schiff, Paris. Eine ähnliche Darstellung auf den Außenflügeln des Triptychons »Der Heuwagen« im Escorial. Gustav Glück, Jahrbuch der preußischen Kunstsammlungen 1904, Bd. XXV, Heft 3, S. 174 ff. (»Zu einem Bilde von Hieronymus Bosch in der Figdorschen Sammlung in Wien«); Gossart, Jérôme Bosch, Lille 1907, p. 290; Paul Lafond, Hieronymus Bosch, Bruxelles 1914, Tafel p. 60, Text p. 27, 48, 76, 77, Verzeichnis der Gemälde Nr. 37; Walter Cohen, Zentralblatt für Kunstwissenschaft, Leipzig 1 909, I. Jahrg., Heft 8, S. 259; Ludwig Baldass, Jahrbuch d. preuß. Kunstsammlungen 1917, Bd. XXXVIII, Heft 14, S. 193; Ernst Heidrich, Altniederländische Malerei, Jena 1910, Abb. 105; Ludwig Baldass, Jahrbuch d. kunsthist. Sammlungen, Wien 1926, N. F. I, S. 115, Abb. 63 und S. 117; M. J. Friedländer, Die Altniederländische Malerei, V, 103, S. 102, Taf. LXVIII. Andere Deutung der Darstellung bei Sir Martin Conway, The Eyks and their followers, London 1921, p. 341, und Burlington Magazine CCCXXIV, march 1930, p. 166. Eichenholz, achteckig. Größte Breite des Bildes 71,5 cm. Tafel XXVII]] réalisée par Hieronymus Bosch, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Goudstikker au prix de 385000 sch. [337]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BRUSTBILDER ZWEI KLAGENDER FRAUEN VON EINER BEWEINUNG CHRISTI. 42. Das schmerzbewegte Gesicht in Dreiviertelansicht nach links gewendet und etwas nach vorne geneigt. Pelzbesetztes Gewand, Turban in grünen und roten Schillerfarben. Dunkler Grund. 43. Das Gesicht ganz von vorn gesehen, mit abwärts gesenktem Blick. Rote Kopfbedeckung, lilabraune Kleidung. Dunkler Grund. Vorbesitzer: Chanoine Meyers, Brügge; General-Leutnant Meyers, Brüssel. Collection d'objects d'Art ancien, Bruxelles 1877, Planches 5 et 6; Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, 1896, p. 17; H. Hymans, Gazette des Beaux-Arts 1888, Heft I, p. 204 u. 525; Frimmel, Chronique des Arts 1891, p. 86; Walter Cohen, Studien zu Quinten Massys, Bonn 1904, S. 91; Harald Brising, Quinten Massys, Upsala 1909, p. 50, Kat. Nr. 45; Jean de Bosschère, Quinten Metsys, Bruxelles 1907, p. 103f G. Glück, Die Graphischen Künste, 34. Bd. 1911, Heft 1; M. J. Friedländer, Die Altniederländische Malerei VII, 1b. Die Köpfe der zwei Frauen aus dem Mittelbilde des Flügelaltars, Beweinung Christi, in Antwerpen, a. d. Jahre 1508. Die Köpfe haben zwar nicht den Charakter von Studien, im Angesicht der außerordentlich feinen Qualität muß jedoch mit der Möglichkeit gerechnet werden, daß es sich um Wiederholungen von der Hand des Meisters selbst handelt. Tempera auf Papier, das auf Eichenholz aufgezogen ist. Jedes Bild Höhe 36,5, Breite 26,5 cm. Ursprünglich die Köpfe allein gemalt (Nr. 42: Höhe 26,5, Breite 20 cm; Nr. 43: Höhe 20, Breite cm), die Anstückungen von derselben Hand. Tafel XXVII (Quentin Massys)|BRUSTBILDER ZWEI KLAGENDER FRAUEN VON EINER BEWEINUNG CHRISTI. 42. Das schmerzbewegte Gesicht in Dreiviertelansicht nach links gewendet und etwas nach vorne geneigt. Pelzbesetztes Gewand, Turban in grünen und roten Schillerfarben. Dunkler Grund. 43. Das Gesicht ganz von vorn gesehen, mit abwärts gesenktem Blick. Rote Kopfbedeckung, lilabraune Kleidung. Dunkler Grund. Vorbesitzer: Chanoine Meyers, Brügge; General-Leutnant Meyers, Brüssel. Collection d'objects d'Art ancien, Bruxelles 1877, Planches 5 et 6; Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, 1896, p. 17; H. Hymans, Gazette des Beaux-Arts 1888, Heft I, p. 204 u. 525; Frimmel, Chronique des Arts 1891, p. 86; Walter Cohen, Studien zu Quinten Massys, Bonn 1904, S. 91; Harald Brising, Quinten Massys, Upsala 1909, p. 50, Kat. Nr. 45; Jean de Bosschère, Quinten Metsys, Bruxelles 1907, p. 103f G. Glück, Die Graphischen Künste, 34. Bd. 1911, Heft 1; M. J. Friedländer, Die Altniederländische Malerei VII, 1b. Die Köpfe der zwei Frauen aus dem Mittelbilde des Flügelaltars, Beweinung Christi, in Antwerpen, a. d. Jahre 1508. Die Köpfe haben zwar nicht den Charakter von Studien, im Angesicht der außerordentlich feinen Qualität muß jedoch mit der Möglichkeit gerechnet werden, daß es sich um Wiederholungen von der Hand des Meisters selbst handelt. Tempera auf Papier, das auf Eichenholz aufgezogen ist. Jedes Bild Höhe 36,5, Breite 26,5 cm. Ursprünglich die Köpfe allein gemalt (Nr. 42: Höhe 26,5, Breite 20 cm; Nr. 43: Höhe 20, Breite cm), die Anstückungen von derselben Hand. Tafel XXVII]] réalisée par Quentin Massys, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 45000 sch. [338]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BRUSTBILDER ZWEI KLAGENDER FRAUEN VON EINER BEWEINUNG CHRISTI. 42. Das schmerzbewegte Gesicht in Dreiviertelansicht nach links gewendet und etwas nach vorne geneigt. Pelzbesetztes Gewand, Turban in grünen und roten Schillerfarben. Dunkler Grund. 43. Das Gesicht ganz von vorn gesehen, mit abwärts gesenktem Blick. Rote Kopfbedeckung, lilabraune Kleidung. Dunkler Grund. Vorbesitzer: Chanoine Meyers, Brügge; General-Leutnant Meyers, Brüssel. Collection d'objects d'Art ancien, Bruxelles 1877, Planches 5 et 6; Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, 1896, p. 17; H. Hymans, Gazette des Beaux-Arts 1888, Heft I, p. 204 u. 525; Frimmel, Chronique des Arts 1891, p. 86; Walter Cohen, Studien zu Quinten Massys, Bonn 1904, S. 91; Harald Brising, Quinten Massys, Upsala 1909, p. 50, Kat. Nr. 45; Jean de Bosschère, Quinten Metsys, Bruxelles 1907, p. 103f G. Glück, Die Graphischen Künste, 34. Bd. 1911, Heft 1; M. J. Friedländer, Die Altniederländische Malerei VII, 1b. Die Köpfe der zwei Frauen aus dem Mittelbilde des Flügelaltars, Beweinung Christi, in Antwerpen, a. d. Jahre 1508. Die Köpfe haben zwar nicht den Charakter von Studien, im Angesicht der außerordentlich feinen Qualität muß jedoch mit der Möglichkeit gerechnet werden, daß es sich um Wiederholungen von der Hand des Meisters selbst handelt. Tempera auf Papier, das auf Eichenholz aufgezogen ist. Jedes Bild Höhe 36,5, Breite 26,5 cm. Ursprünglich die Köpfe allein gemalt (Nr. 42: Höhe 26,5, Breite 20 cm; Nr. 43: Höhe 20, Breite cm), die Anstückungen von derselben Hand. Tafel XXVII (Quentin Massys)|BRUSTBILDER ZWEI KLAGENDER FRAUEN VON EINER BEWEINUNG CHRISTI. 42. Das schmerzbewegte Gesicht in Dreiviertelansicht nach links gewendet und etwas nach vorne geneigt. Pelzbesetztes Gewand, Turban in grünen und roten Schillerfarben. Dunkler Grund. 43. Das Gesicht ganz von vorn gesehen, mit abwärts gesenktem Blick. Rote Kopfbedeckung, lilabraune Kleidung. Dunkler Grund. Vorbesitzer: Chanoine Meyers, Brügge; General-Leutnant Meyers, Brüssel. Collection d'objects d'Art ancien, Bruxelles 1877, Planches 5 et 6; Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, 1896, p. 17; H. Hymans, Gazette des Beaux-Arts 1888, Heft I, p. 204 u. 525; Frimmel, Chronique des Arts 1891, p. 86; Walter Cohen, Studien zu Quinten Massys, Bonn 1904, S. 91; Harald Brising, Quinten Massys, Upsala 1909, p. 50, Kat. Nr. 45; Jean de Bosschère, Quinten Metsys, Bruxelles 1907, p. 103f G. Glück, Die Graphischen Künste, 34. Bd. 1911, Heft 1; M. J. Friedländer, Die Altniederländische Malerei VII, 1b. Die Köpfe der zwei Frauen aus dem Mittelbilde des Flügelaltars, Beweinung Christi, in Antwerpen, a. d. Jahre 1508. Die Köpfe haben zwar nicht den Charakter von Studien, im Angesicht der außerordentlich feinen Qualität muß jedoch mit der Möglichkeit gerechnet werden, daß es sich um Wiederholungen von der Hand des Meisters selbst handelt. Tempera auf Papier, das auf Eichenholz aufgezogen ist. Jedes Bild Höhe 36,5, Breite 26,5 cm. Ursprünglich die Köpfe allein gemalt (Nr. 42: Höhe 26,5, Breite 20 cm; Nr. 43: Höhe 20, Breite cm), die Anstückungen von derselben Hand. Tafel XXVII]] réalisée par Quentin Massys, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 45000 sch. [339]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS KAISER MAXIMILIAN I. Von vorn gesehen, mit leichter Wendung nach links. Auf den langen graumelierten Haaren ein Pelzbarett. In pelzbesetzter Schaube mit goldroten Brokatärmeln, um den Hals das Goldene Vließ. Von den weiß behandschuhten Händen hält die rechte eine Nelke empor, die linke ruht auf der Steinbalustrade, deren Mitte das Wappen mit dem Doppeladler schmückt. Grüner Hintergrund. Vorbesitzer: Theodor Ritter von Neuhaus, Kattau bei Eggenburg in Niederösterreich. Frimmel, Blätter für Gemäldekunde, I. Jahrg. 1905, 9. Heft, S. 166; L. Baldass, Jahrb. d. kunsthistor. Sammlungen, Wien, Bd. XXXI, Heft 5, S. 297; M.J. Friedländer, Die Altniederländische Malerei VII, 161. Eichenholz. Höhe 57, Breite 37,5 cm. Tafel XXIX (Meister von Frankfurt)|BILDNIS KAISER MAXIMILIAN I. Von vorn gesehen, mit leichter Wendung nach links. Auf den langen graumelierten Haaren ein Pelzbarett. In pelzbesetzter Schaube mit goldroten Brokatärmeln, um den Hals das Goldene Vließ. Von den weiß behandschuhten Händen hält die rechte eine Nelke empor, die linke ruht auf der Steinbalustrade, deren Mitte das Wappen mit dem Doppeladler schmückt. Grüner Hintergrund. Vorbesitzer: Theodor Ritter von Neuhaus, Kattau bei Eggenburg in Niederösterreich. Frimmel, Blätter für Gemäldekunde, I. Jahrg. 1905, 9. Heft, S. 166; L. Baldass, Jahrb. d. kunsthistor. Sammlungen, Wien, Bd. XXXI, Heft 5, S. 297; M.J. Friedländer, Die Altniederländische Malerei VII, 161. Eichenholz. Höhe 57, Breite 37,5 cm. Tafel XXIX]] réalisée par Meister von Frankfurt, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Knoedler au prix de 41000 sch. [340]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[KLAPPALTÄRCHEN: MARIA MIT HEILIGEN. MITTELBILD: MARIA MIT KIND Halbfigur vor landschaftlichem Hintergrund mit bläulicher Ferne. RECHTER FLUGEL: BUSSE DES HEILIGEN HIERONYMUS Er kniet in. einer Landschaft vor einem Baum mit dem Kruzifix. In den Händen eine Rute und einen Stein; neben ihm wird der Kopf des Löwen sichtbar. LINKER FLUGEL: STIGMATISATION DES HEILIGEN FRANZISKUS Er. kniet in einer Landschaft mit ausgebreiteten Armen und empfängt die Wundmale Christi. Die Umrahmung, einfach profilierte vergoldete Stäbe, aus einem Stück mit den Malbrettern. Eichenholz. Höhe 24, Breite des Mittelbildes 17,5 cm, Breite der Flügel je 8,75 cm. Tafel XXX (Meister Der Weiblichen Halbfiguren)|KLAPPALTÄRCHEN: MARIA MIT HEILIGEN. MITTELBILD: MARIA MIT KIND Halbfigur vor landschaftlichem Hintergrund mit bläulicher Ferne. RECHTER FLUGEL: BUSSE DES HEILIGEN HIERONYMUS Er kniet in. einer Landschaft vor einem Baum mit dem Kruzifix. In den Händen eine Rute und einen Stein; neben ihm wird der Kopf des Löwen sichtbar. LINKER FLUGEL: STIGMATISATION DES HEILIGEN FRANZISKUS Er. kniet in einer Landschaft mit ausgebreiteten Armen und empfängt die Wundmale Christi. Die Umrahmung, einfach profilierte vergoldete Stäbe, aus einem Stück mit den Malbrettern. Eichenholz. Höhe 24, Breite des Mittelbildes 17,5 cm, Breite der Flügel je 8,75 cm. Tafel XXX]] réalisée par Meister Der Weiblichen Halbfiguren, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Dr. Beets au prix de 18500 sch. [341]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS KAISER KARL V. ALS KIND. Der 1500 geborene Kaiser ist im Alter von etwa zehn Jahren dargestellt. Brustbild in Dreiviertelansicht nach rechts. Er trägt rotes, geschlitztes Wams, das oben das weiße, gefältelte Hemd sehen läßt, darüber einen Pelz. Um die Schultern liegt das Goldene Vließ. Auf dem Kopf ein rotes Barett mit runder Goldagraffe. Dunkler Grund. In italienischem Rahmen des 17. Jahrhunderts. Vorbesitzer: Freiherr von Holzschuher, Augsburg. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 18. Eichenholz. Höhe 12,5, Breite 10 cm, oval, in der Ergänzung zum Rechteck Höhe 13,5, Breite 11 cm. (Niederländisch, um 1510)|BILDNIS KAISER KARL V. ALS KIND. Der 1500 geborene Kaiser ist im Alter von etwa zehn Jahren dargestellt. Brustbild in Dreiviertelansicht nach rechts. Er trägt rotes, geschlitztes Wams, das oben das weiße, gefältelte Hemd sehen läßt, darüber einen Pelz. Um die Schultern liegt das Goldene Vließ. Auf dem Kopf ein rotes Barett mit runder Goldagraffe. Dunkler Grund. In italienischem Rahmen des 17. Jahrhunderts. Vorbesitzer: Freiherr von Holzschuher, Augsburg. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 18. Eichenholz. Höhe 12,5, Breite 10 cm, oval, in der Ergänzung zum Rechteck Höhe 13,5, Breite 11 cm.]] réalisée par Niederländisch, um 1510, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 6800 sch. [342]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÄNNLICHES BILDNIS. Brustbild eines Mannes in Dreiviertelansicht nach links, mit schwarzem Mantel, der einen schmalen weißen Kragen freiläßt, und schwarzem Barett. Zimmerinneres, links durch das geöffnete Fenster mit zurückgeschlagenen Holzläden Blick auf eine Landschaft mit Kirche. Vor dem Fenster ein Rosenstrauch. Vorbesitzer: Franz Reichardt, München. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 41; Kunstchronik N. F. VIII, p. 7/8. Eichenholz. Höhe 41, Breite 30,5 cm. Tafel XXXI (Ambrosius Benson)|MÄNNLICHES BILDNIS. Brustbild eines Mannes in Dreiviertelansicht nach links, mit schwarzem Mantel, der einen schmalen weißen Kragen freiläßt, und schwarzem Barett. Zimmerinneres, links durch das geöffnete Fenster mit zurückgeschlagenen Holzläden Blick auf eine Landschaft mit Kirche. Vor dem Fenster ein Rosenstrauch. Vorbesitzer: Franz Reichardt, München. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 41; Kunstchronik N. F. VIII, p. 7/8. Eichenholz. Höhe 41, Breite 30,5 cm. Tafel XXXI]] réalisée par Ambrosius Benson, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 11000 sch. [343]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ANBETUNG DER KONIGE. In einer offenen Halle, deren Säulen im Hintergrunde den Ausblick auf eine Landschaft freigeben, sitzt zur Rechten Maria auf einer Bank und hält das Kind, dessen rechten Arm der kniende erste König an seine Lippen führt. Links vor ihm kniet der zweite König, hinter ihm steht der Mohr mit Gefolge. Rechts hinter der Madonna Joseph. Oben in der Mitte das Wappen der Stadt Brügge. Vorbesitzer: Baron Mecklenburg, Pantlitz, Versteigerung Wien, Nov. 1872. Vgl. den Auktionskatalog Mecklenburg mit Radierungen von W. Unger. Die Komposition geht auf das Bild von Gerard David, Brüssel, Nr. 191, zurück. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 19. E. von Bodenhausen, Gerard David und seine Schule, München 1905, S. 143, Kat. 20a: »Sorgfältige Brügger Arbeit aus der Mitte des 16. Jahrhunderts«. Eichenholz, oberer Abschluß geschweift. Höhe 87, Breite 62 cm. (Ambrosius Benson)|ANBETUNG DER KONIGE. In einer offenen Halle, deren Säulen im Hintergrunde den Ausblick auf eine Landschaft freigeben, sitzt zur Rechten Maria auf einer Bank und hält das Kind, dessen rechten Arm der kniende erste König an seine Lippen führt. Links vor ihm kniet der zweite König, hinter ihm steht der Mohr mit Gefolge. Rechts hinter der Madonna Joseph. Oben in der Mitte das Wappen der Stadt Brügge. Vorbesitzer: Baron Mecklenburg, Pantlitz, Versteigerung Wien, Nov. 1872. Vgl. den Auktionskatalog Mecklenburg mit Radierungen von W. Unger. Die Komposition geht auf das Bild von Gerard David, Brüssel, Nr. 191, zurück. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 19. E. von Bodenhausen, Gerard David und seine Schule, München 1905, S. 143, Kat. 20a: »Sorgfältige Brügger Arbeit aus der Mitte des 16. Jahrhunderts«. Eichenholz, oberer Abschluß geschweift. Höhe 87, Breite 62 cm.]] réalisée par Ambrosius Benson, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par D. Katz au prix de 4000 sch. [344]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS EINER DER SCHWESTERN KARLS V., vielleicht der Isabella (geboren 1501, Tochter Philipps des Schönen und der Johanna, heiratete 1515 König Christian von Dänemark). Brustbild der Prinzessin im kindlichen Alter von etwa sechs Jahren, in Dreiviertelwendung nach links. Sie trägt weiße Haube und rotes Sammetkleid, das den breiten weißen Brustlatz sowie die schwarzen Ärmel freiläßt. Blauer Hintergrund. In vergoldetem italienischem Rahmen des 16. Jahrhunderts. Vorbesitzer: Dowdeswell, London. - Nach einem Zettel auf der Rückseite aus der Sammlung des Barons van Buttjings (?), Löwen. Bilder dieser Art werden neuerdings dem Meister der Magdalenenlegende zugeschrieben. Holz. Höhe 22,5, Breite 19cm. Tafel XXXII (Meister Der Magdalenenlegende)|BILDNIS EINER DER SCHWESTERN KARLS V., vielleicht der Isabella (geboren 1501, Tochter Philipps des Schönen und der Johanna, heiratete 1515 König Christian von Dänemark). Brustbild der Prinzessin im kindlichen Alter von etwa sechs Jahren, in Dreiviertelwendung nach links. Sie trägt weiße Haube und rotes Sammetkleid, das den breiten weißen Brustlatz sowie die schwarzen Ärmel freiläßt. Blauer Hintergrund. In vergoldetem italienischem Rahmen des 16. Jahrhunderts. Vorbesitzer: Dowdeswell, London. - Nach einem Zettel auf der Rückseite aus der Sammlung des Barons van Buttjings (?), Löwen. Bilder dieser Art werden neuerdings dem Meister der Magdalenenlegende zugeschrieben. Holz. Höhe 22,5, Breite 19cm. Tafel XXXII]] réalisée par Meister Der Magdalenenlegende, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par J. und S. Goldschmidt au prix de 51000 sch. [345]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DER AUSRITT DER HEILIGEN MAGDALENA ZUR FALKEN JAGD. In einer Waldlandschaft reitet die Heilige, in der reichen Goldbrokatgewandung einer Dame des burgundischen Hofes, mit rotem Hütchen über der schwarzen Haube, auf einem Schimmel, dem Beschauer zugewendet. Sie trägt auf der Linken den Falken. Rechts von ihr reitet ihre Begleiterin, gleichfalls einen Falken tragend, hinter ihr links ein junger Edelmann auf einem Braunen. Hunde und ein Reitknecht begleiten den Zug. Im Hintergrunde in der Mitte das befestigte Kastell, aus dem die Gesellschaft ausreitet, links unter den Bäumen predigt Christus, zu seinen Füßen unter den Zuhörern sitzt Magdalena. In schwarzgoldenem Rahmen um 1600. Vorbesitzer: Ruston; Meazza (Mailand 1884); P. & D. Colnaghi. Ausgestellt Brügger Leihausstellung 1902, Nr. 282, zusammen mit einem anderen Bilde der gleichen Folge, die Predigt der heiligen Magdalena darstellend (Brügge Nr. 283). Weitere zugehörige Bilder der Folge, die dem Meister seinen Namen gegeben hat, in den Museen von Schwerin, Budapest usw. M. J. Friedländer, Meisterwerke der niederländischen Malerei des 15. und 16. Jahrhunderts, München 1903, Tafel 73; M. J. Friedländer, Repertorium f. Kunstw. 1903, Band XXVI, S. 165. Eichenholz. Höhe 122, Breite 76,5 cm. Tafel XXXIII (Meister Der Magdalenenlegende)|DER AUSRITT DER HEILIGEN MAGDALENA ZUR FALKEN JAGD. In einer Waldlandschaft reitet die Heilige, in der reichen Goldbrokatgewandung einer Dame des burgundischen Hofes, mit rotem Hütchen über der schwarzen Haube, auf einem Schimmel, dem Beschauer zugewendet. Sie trägt auf der Linken den Falken. Rechts von ihr reitet ihre Begleiterin, gleichfalls einen Falken tragend, hinter ihr links ein junger Edelmann auf einem Braunen. Hunde und ein Reitknecht begleiten den Zug. Im Hintergrunde in der Mitte das befestigte Kastell, aus dem die Gesellschaft ausreitet, links unter den Bäumen predigt Christus, zu seinen Füßen unter den Zuhörern sitzt Magdalena. In schwarzgoldenem Rahmen um 1600. Vorbesitzer: Ruston; Meazza (Mailand 1884); P. & D. Colnaghi. Ausgestellt Brügger Leihausstellung 1902, Nr. 282, zusammen mit einem anderen Bilde der gleichen Folge, die Predigt der heiligen Magdalena darstellend (Brügge Nr. 283). Weitere zugehörige Bilder der Folge, die dem Meister seinen Namen gegeben hat, in den Museen von Schwerin, Budapest usw. M. J. Friedländer, Meisterwerke der niederländischen Malerei des 15. und 16. Jahrhunderts, München 1903, Tafel 73; M. J. Friedländer, Repertorium f. Kunstw. 1903, Band XXVI, S. 165. Eichenholz. Höhe 122, Breite 76,5 cm. Tafel XXXIII]] réalisée par Meister Der Magdalenenlegende, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Fleischmann au prix de 41000 sch. [346]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS EINER VORNEHMEN DAME. Brustbild in Dreiviertelprofil nach links, in schwarzem Kleid mit Besatz von Perlen und Goldspitzen, um den Hals eine Edelsteinkette. Auf dem blonden Scheitel eine perlenbesetzte Haube mit nach hinten herabfallendem dunklen Schleier. Blauer Grund. Oben die (spätere, unzutreffende) Inschrift: »Marguerit de Navarra 1300.« In altem geschnitztem Goldrahmen. Vorbesitzer: von Szemere, Wien; Graf Brunswick, Marton-Vasàr. Eichenholz. Höhe 17, Breite 14 cm. Tafel XXXIV (Corneille de Lyon)|BILDNIS EINER VORNEHMEN DAME. Brustbild in Dreiviertelprofil nach links, in schwarzem Kleid mit Besatz von Perlen und Goldspitzen, um den Hals eine Edelsteinkette. Auf dem blonden Scheitel eine perlenbesetzte Haube mit nach hinten herabfallendem dunklen Schleier. Blauer Grund. Oben die (spätere, unzutreffende) Inschrift: »Marguerit de Navarra 1300.« In altem geschnitztem Goldrahmen. Vorbesitzer: von Szemere, Wien; Graf Brunswick, Marton-Vasàr. Eichenholz. Höhe 17, Breite 14 cm. Tafel XXXIV]] réalisée par Corneille de Lyon, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Steinmeyer au prix de 35000 sch. [347]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[KINDERBILDNIS. Halbfigur eines zweijährigen nackten Kindes, das in der Rechten zwei Rosen, in der Linken einen braunen Ball hält, und auf dem Kopf eine schwarze, am Rand mit einem weißen Pelzstreifen besetzte Haube trägt. Dunkler Grund, rechts Reste einer Inschrift. In vergoldetem italienischen Rahmen des 17 Jahrhunderts. Eichenholz,. Höhe 23,5, Breite 19,5 cm. (Französisch, 16. Jahrhundert)|KINDERBILDNIS. Halbfigur eines zweijährigen nackten Kindes, das in der Rechten zwei Rosen, in der Linken einen braunen Ball hält, und auf dem Kopf eine schwarze, am Rand mit einem weißen Pelzstreifen besetzte Haube trägt. Dunkler Grund, rechts Reste einer Inschrift. In vergoldetem italienischen Rahmen des 17 Jahrhunderts. Eichenholz,. Höhe 23,5, Breite 19,5 cm.]] réalisée par Französisch, 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 1100 sch. [348]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[FACKELTANZ AM BURGUNDISCHEN HOFE. Links im Vordergrund steht Philipp der Gute, seine Gemahlin umschlungen haltend. Rechts von ihnen zwei rotgekleidete Edelleute, mit ihren Damen je ein tanzendes Paar bildend, hinter diesen einige Herren und Damen, ein Trommler und ein Pfeifer. Rechts eine gedeckte Tafel. Dunkler Grund. Über jeder Figur steht deren Name in heller Farbe; in der Reihenfolge von links beginnend: »Le bon Duc, Phles (Philipp d. Gute) - La duchesse (Isabella v. Portugal, seine dritte Gemahlin) - Le C ôte de Char Rollois (Karl d. Kühne) et Madame de Bourbon (Agnes v. Burgund, Gemahlin Carls I.) - Le Grand Bastar de Bourgonne (Antonie) - Madame de Cleves - Madame Destampes - Monsieur Phles de Hornes - Monsieur Destampes - Monsieur Jacque de Luxembourg - Mademoiselle de Chimay de Croy.« Über dem Trommler die Jahreszahl AN. DNI 1463, wahrscheinlich als Bezeichnung des Zeitpunktes dieser Festlichkeit. Vorbesitzer: Henri Casterman, Tournai. Paul Lacroix, Moeurs, usages et costumes au moyen-âge et a l' époque de la renaissance, Paris 1871, Tafel zu p. 260; Gustav Glück, Jahrbuch der kunsthistor. Sammlungen, Wien, Bd. XXXV, Heft 2, S. 52, Figur 4. Die Ausführung der 1463 datierten Szene einige Generationen später, Ende des 16. Jahrhunderts. Eichenholz. Höhe 33,5 Breite 89 cm. (Französisch, 16. Jahrhundert)|FACKELTANZ AM BURGUNDISCHEN HOFE. Links im Vordergrund steht Philipp der Gute, seine Gemahlin umschlungen haltend. Rechts von ihnen zwei rotgekleidete Edelleute, mit ihren Damen je ein tanzendes Paar bildend, hinter diesen einige Herren und Damen, ein Trommler und ein Pfeifer. Rechts eine gedeckte Tafel. Dunkler Grund. Über jeder Figur steht deren Name in heller Farbe; in der Reihenfolge von links beginnend: »Le bon Duc, Phles (Philipp d. Gute) - La duchesse (Isabella v. Portugal, seine dritte Gemahlin) - Le C ôte de Char Rollois (Karl d. Kühne) et Madame de Bourbon (Agnes v. Burgund, Gemahlin Carls I.) - Le Grand Bastar de Bourgonne (Antonie) - Madame de Cleves - Madame Destampes - Monsieur Phles de Hornes - Monsieur Destampes - Monsieur Jacque de Luxembourg - Mademoiselle de Chimay de Croy.« Über dem Trommler die Jahreszahl AN. DNI 1463, wahrscheinlich als Bezeichnung des Zeitpunktes dieser Festlichkeit. Vorbesitzer: Henri Casterman, Tournai. Paul Lacroix, Moeurs, usages et costumes au moyen-âge et a l' époque de la renaissance, Paris 1871, Tafel zu p. 260; Gustav Glück, Jahrbuch der kunsthistor. Sammlungen, Wien, Bd. XXXV, Heft 2, S. 52, Figur 4. Die Ausführung der 1463 datierten Szene einige Generationen später, Ende des 16. Jahrhunderts. Eichenholz. Höhe 33,5 Breite 89 cm.]] réalisée par Französisch, 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 3400 sch. [349]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DER VERLORENE SOHN. Er sitzt mit zwei Dirnen, von denen er die eine zärtlich umschlungen hält, am Spieltisch. Links am Tisch steht ein zerlumpter Landsknecht und streicht Goldstücke ein, die unter dem Tischtuch liegen. Vorn zwei hohe Silberkannen. Das gekehlte Goldrähmchen in einem Stück mit der Bildtafel geschnitten. Holz, kreisrund. Durchm. 20 cm. Tafel XXXV (Niederländisch, um 1530)|DER VERLORENE SOHN. Er sitzt mit zwei Dirnen, von denen er die eine zärtlich umschlungen hält, am Spieltisch. Links am Tisch steht ein zerlumpter Landsknecht und streicht Goldstücke ein, die unter dem Tischtuch liegen. Vorn zwei hohe Silberkannen. Das gekehlte Goldrähmchen in einem Stück mit der Bildtafel geschnitten. Holz, kreisrund. Durchm. 20 cm. Tafel XXXV]] réalisée par Niederländisch, um 1530, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 2800 sch. [350]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DAS GEFÄHRLICHE SPIEL. Ein alter Bauer mit einem Eierkörbchen am Arm sitzt mit einem jungen Mädchen beim Brettspiel. Ein zweites Mädchen bringt Wein in einem Zinnkrug; die Wirtin im Hintergrund notiert die Zeche am Schuldbrett. Abendliche Beleuchtung, eine links auf dem Tisch stehende Kerze bildet die Lichtquelle.- Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien. Eichenholz. Höhe 32, Breite 38,5 cm. Tafel XXXV (Lucas von Leyden)|DAS GEFÄHRLICHE SPIEL. Ein alter Bauer mit einem Eierkörbchen am Arm sitzt mit einem jungen Mädchen beim Brettspiel. Ein zweites Mädchen bringt Wein in einem Zinnkrug; die Wirtin im Hintergrund notiert die Zeche am Schuldbrett. Abendliche Beleuchtung, eine links auf dem Tisch stehende Kerze bildet die Lichtquelle.- Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien. Eichenholz. Höhe 32, Breite 38,5 cm. Tafel XXXV]] réalisée par Lucas von Leyden, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [351]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS IM HAUSE DES LAZARUS. Den Vorderplan nimmt eine Tischplatte ein, die rechts von einem halboffenen Schränkenen überhöht ist. Auf dem Tisch ein Teller mit einem Seefisch, ein irdener und ein Zinnkrug sowie drei Brote; auf dem Schränkchen eine große Schinkenkeule, eine Vase mit Blumen, ein Korb mit irdenem Geschirr und andere bunt gemischte Gegenstände; über der offenen Tür des Schränkchens hängt ein Lederbeutel. Links Blick in ein Zimmer mit steinfarbigem von weiblichen Hermen getragenem Kamin, an dessen Feuer Christus sitzt, Maria und Martha belehrend; zu den Seiten drei zuhörende Männer. Auf dem Ramin die Inschrift: »Maria heest uitvercoren dat beste deel«. Bezeichnet mit dem Dreizack, dem Zeichen des Meisters, auf einem Blättchen, das an die Vorderseite des Schränkchens geheftet ist. Auf der Rückseite des Malbrettes in alter Schrift mit dem Pinsel bezeichnet mit der Hausmarke und dem -unzutreffenden - Datum 1657, darüber in späterer Schrift in Tinte die Worte: Langen Peer F. Vorbesitzer: Aretin, Wien. Holz. Höhe 58, Breite 99 cm. Tafel XXXVI (Pieter Aertsen)|CHRISTUS IM HAUSE DES LAZARUS. Den Vorderplan nimmt eine Tischplatte ein, die rechts von einem halboffenen Schränkenen überhöht ist. Auf dem Tisch ein Teller mit einem Seefisch, ein irdener und ein Zinnkrug sowie drei Brote; auf dem Schränkchen eine große Schinkenkeule, eine Vase mit Blumen, ein Korb mit irdenem Geschirr und andere bunt gemischte Gegenstände; über der offenen Tür des Schränkchens hängt ein Lederbeutel. Links Blick in ein Zimmer mit steinfarbigem von weiblichen Hermen getragenem Kamin, an dessen Feuer Christus sitzt, Maria und Martha belehrend; zu den Seiten drei zuhörende Männer. Auf dem Ramin die Inschrift: »Maria heest uitvercoren dat beste deel«. Bezeichnet mit dem Dreizack, dem Zeichen des Meisters, auf einem Blättchen, das an die Vorderseite des Schränkchens geheftet ist. Auf der Rückseite des Malbrettes in alter Schrift mit dem Pinsel bezeichnet mit der Hausmarke und dem -unzutreffenden - Datum 1657, darüber in späterer Schrift in Tinte die Worte: Langen Peer F. Vorbesitzer: Aretin, Wien. Holz. Höhe 58, Breite 99 cm. Tafel XXXVI]] réalisée par Pieter Aertsen, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Goudstikker au prix de 5800 sch. [352]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Maria in rötlichem Gewand, in halber Figur nach rechts gewendet, in der Rechten einen Apfel, faßt mit der Linken das auf ihrem Schoß kniende Christuskind, das, in seinem linken Ärmchen das Kreuz haltend, lebhaft nach rechts strebt. Vorbesitzer: Clemens, München. Vorbes. des Rahmens: Alois Überbacher, Bozen. Der reichgeschnitzte und vergoldete italienische Barockrahmen, mit Akanthus und Masken in den Ecken, besprochen und abgeb. Stegmann, Kunst und Kunsthandwerk, X, 1907, Heft 1 1, S. 626, Abb. 147. Eichenholz. Höhe 48,5, Breite 34,5 cm. (Luis de Morales)|MARIA MIT DEM KINDE. Maria in rötlichem Gewand, in halber Figur nach rechts gewendet, in der Rechten einen Apfel, faßt mit der Linken das auf ihrem Schoß kniende Christuskind, das, in seinem linken Ärmchen das Kreuz haltend, lebhaft nach rechts strebt. Vorbesitzer: Clemens, München. Vorbes. des Rahmens: Alois Überbacher, Bozen. Der reichgeschnitzte und vergoldete italienische Barockrahmen, mit Akanthus und Masken in den Ecken, besprochen und abgeb. Stegmann, Kunst und Kunsthandwerk, X, 1907, Heft 1 1, S. 626, Abb. 147. Eichenholz. Höhe 48,5, Breite 34,5 cm.]] réalisée par Luis de Morales, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par de Burlet au prix de 3800 sch. [353]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[PORTRÄT DES HERZOGS ALBRECHT VON OSTERREICH, STATTHALTER DER NIEDERLANDE. Brustbild mit leichter Wendung nach rechts, in Stehspitzenkragen und reichem goldtauschierten Panzer; um den Hals an der Goldkette das Goldne Vließ. Aufschrift: »Albert' D. G. Archidux Aust.« Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien. Holz. Höhe 65,4, Breite 50,5 cm. (Frans Pourbus d. Ä.)|PORTRÄT DES HERZOGS ALBRECHT VON OSTERREICH, STATTHALTER DER NIEDERLANDE. Brustbild mit leichter Wendung nach rechts, in Stehspitzenkragen und reichem goldtauschierten Panzer; um den Hals an der Goldkette das Goldne Vließ. Aufschrift: »Albert' D. G. Archidux Aust.« Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien. Holz. Höhe 65,4, Breite 50,5 cm.]] réalisée par Frans Pourbus d. Ä., vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 800 sch. [354]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÄNNLICHES BRUSTBILD. In Dreiviertelansicht nach rechts gewendet, in schwarzem Gewand mit hohem spanischen Kragen und weißer gefältelter Halskrause. Dunkler Grund. Oben die Jahreszahl 1570. Italienischer vergoldeter Barockrahmen. Vorbesitzer: M. Blum, Wien. Eichenholz,. Höhe 23,5, Breite 18,5 cm. (Niederländisch von 1570)|MÄNNLICHES BRUSTBILD. In Dreiviertelansicht nach rechts gewendet, in schwarzem Gewand mit hohem spanischen Kragen und weißer gefältelter Halskrause. Dunkler Grund. Oben die Jahreszahl 1570. Italienischer vergoldeter Barockrahmen. Vorbesitzer: M. Blum, Wien. Eichenholz,. Höhe 23,5, Breite 18,5 cm.]] réalisée par Niederländisch von 1570, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 1000 sch. [355]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[KINDERBILDNIS. Das etwa vierjährige Mädchen, in reicher Zeittracht, steht in ganzer Figur, am rechten Arm ein Fruchtkörbchen, in der rechten Hand zwei Kirschen, in der linken eine Kinderklapper. Um den Hals Korallenkette mit kreuzförmigem Anhänger und Rosenkranz aus großen Perlen, an dem ein quadratischer goldener Taufpfennig mit drei Wappen und Aufschrift: »Extremum subsidium Campen 1578« hängt. Rechts unten das - spätere - eingebrannte Monogramm AK.- Vorbesitzer: Fr. Uhl, Mondsee. Holz. Höhe 117, Breite 51 cm. (Geldorp Gortzius)|KINDERBILDNIS. Das etwa vierjährige Mädchen, in reicher Zeittracht, steht in ganzer Figur, am rechten Arm ein Fruchtkörbchen, in der rechten Hand zwei Kirschen, in der linken eine Kinderklapper. Um den Hals Korallenkette mit kreuzförmigem Anhänger und Rosenkranz aus großen Perlen, an dem ein quadratischer goldener Taufpfennig mit drei Wappen und Aufschrift: »Extremum subsidium Campen 1578« hängt. Rechts unten das - spätere - eingebrannte Monogramm AK.- Vorbesitzer: Fr. Uhl, Mondsee. Holz. Höhe 117, Breite 51 cm.]] réalisée par Geldorp Gortzius, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 800 sch. [356]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[WECHSLERSZENE. In einem holzgetäfelten Kontor, an dessen linker Wand oben ein mit Leuchter, Schachtel und anderen Gegenständen dicht besetztes Bord angebracht ist, sitzt mit roter Zaddelmütze der Wechsler und schreibt mit der Rechten in einem geöffneten Buch, während seine Linke Geld zählt. Neben ihm ein zweiter Mann mit brauner Mütze, einen Geldbeutel in der Linken, mit der Rechten auf das auf dem Tisch liegende Geld weisend. Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien. Katalogisiert als Werk des Marinus van Roymerswaele von Graefe, Jan Sanders van Hemessen, Leipzig 1909, S. 61. Wiederholung einer beliebten, ursprünglich wohl auf Q. Massys zurückgehenden Komposition. Eichenholz. Höhe 100, Breite 73,5cm. (Niederländisch, um 1560)|WECHSLERSZENE. In einem holzgetäfelten Kontor, an dessen linker Wand oben ein mit Leuchter, Schachtel und anderen Gegenständen dicht besetztes Bord angebracht ist, sitzt mit roter Zaddelmütze der Wechsler und schreibt mit der Rechten in einem geöffneten Buch, während seine Linke Geld zählt. Neben ihm ein zweiter Mann mit brauner Mütze, einen Geldbeutel in der Linken, mit der Rechten auf das auf dem Tisch liegende Geld weisend. Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien. Katalogisiert als Werk des Marinus van Roymerswaele von Graefe, Jan Sanders van Hemessen, Leipzig 1909, S. 61. Wiederholung einer beliebten, ursprünglich wohl auf Q. Massys zurückgehenden Komposition. Eichenholz. Höhe 100, Breite 73,5cm.]] réalisée par Niederländisch, um 1560, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 3500 sch. [357]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DAS STEINSCHNEIDEN. Ein Bauersitzt in einem Lehnstuhl angebunden und wird von einem links hinter ihm stehenden Arzt am Kopf operiert. Rechts am Tisch weitere Ärzte, über einen auf dem Tisch liegenden Stein disputierend. Dahinter wird ein Operierter am Kopf verbunden. Links Ausblick auf Landschaft. Die Erfindung der Komposition geht auf Hieronymus Bosch zurück. Das Original einer ähnlichen Komposition mit weniger Figuren im Prado zu Madrid, vgl. Friedländer, Die Altniederländische Malerei V, 109. Das vorliegende Bild ebenso wie ein ähnliches Exemplar im Rijksmuseum zu Amsterdam (Friedländer a. a. O. 109 a) von der Hand des Marcellus Coffermans. Über das Amsterdamer Exemplar vergl. auch P. Lafond, Hieronymus Bosch, Bruxelles 1914, Tafel nach p. 58, Text p. 76 (dort als Original des Bosch). Eichenholz, rund. Durchmesser 19,5 cm. Tafel XXXVII (Marcellus Coffermans)|DAS STEINSCHNEIDEN. Ein Bauersitzt in einem Lehnstuhl angebunden und wird von einem links hinter ihm stehenden Arzt am Kopf operiert. Rechts am Tisch weitere Ärzte, über einen auf dem Tisch liegenden Stein disputierend. Dahinter wird ein Operierter am Kopf verbunden. Links Ausblick auf Landschaft. Die Erfindung der Komposition geht auf Hieronymus Bosch zurück. Das Original einer ähnlichen Komposition mit weniger Figuren im Prado zu Madrid, vgl. Friedländer, Die Altniederländische Malerei V, 109. Das vorliegende Bild ebenso wie ein ähnliches Exemplar im Rijksmuseum zu Amsterdam (Friedländer a. a. O. 109 a) von der Hand des Marcellus Coffermans. Über das Amsterdamer Exemplar vergl. auch P. Lafond, Hieronymus Bosch, Bruxelles 1914, Tafel nach p. 58, Text p. 76 (dort als Original des Bosch). Eichenholz, rund. Durchmesser 19,5 cm. Tafel XXXVII]] réalisée par Marcellus Coffermans, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 1100 sch. [358]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BESUCH IM PACHTHOF. In einer Bauernstube neben einer Wiege, in der ein Hund liegt, zur Linken eine Frau mit einem nackten Kind, ihre Hand an einem Feuer wärmend, über dem in der Mitte des Zimmers ein großer Kessel hängt. Zur Rechten die besuchende Gutsherrschaft, Mann und Frau, von einer Magd begleitet, von dem sich devot bückenden alten Bauern begrüßt. Im Hintergrund von links nach rechts: ein Mann auf einer Bank, eine Pfanne ausleerend, eine Magd in der halboffenen Tür, ein Mann an einem gedeckten Tisch essend, Mann und Frau bei einem Butterfaß. Vorbesitzer: Otto von Krones, Graz. Eine Replik der Komposition von der Hand des Jan Brueghel d. Ä. im Wiener Kunsthistorischen Museum, Nr. 907, eine andere, in Grisaille, im Antwerpner Museum. R. van Bastelaer, Pieter Bruegel, Bruxelles 1907, p. 358/9. Eichenholz. Höhe39, Breite 56 cm. Tafel XXXVII (Pieter Brueghel d.J.)|BESUCH IM PACHTHOF. In einer Bauernstube neben einer Wiege, in der ein Hund liegt, zur Linken eine Frau mit einem nackten Kind, ihre Hand an einem Feuer wärmend, über dem in der Mitte des Zimmers ein großer Kessel hängt. Zur Rechten die besuchende Gutsherrschaft, Mann und Frau, von einer Magd begleitet, von dem sich devot bückenden alten Bauern begrüßt. Im Hintergrund von links nach rechts: ein Mann auf einer Bank, eine Pfanne ausleerend, eine Magd in der halboffenen Tür, ein Mann an einem gedeckten Tisch essend, Mann und Frau bei einem Butterfaß. Vorbesitzer: Otto von Krones, Graz. Eine Replik der Komposition von der Hand des Jan Brueghel d. Ä. im Wiener Kunsthistorischen Museum, Nr. 907, eine andere, in Grisaille, im Antwerpner Museum. R. van Bastelaer, Pieter Bruegel, Bruxelles 1907, p. 358/9. Eichenholz. Höhe39, Breite 56 cm. Tafel XXXVII]] réalisée par Pieter Brueghel d.J., vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Bernouilli, Basel au prix de 5000 sch. [359]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[SELBSTBILDNIS EINES MALERS. Brustbild, etwas nach rechts gewendet; mit großem schwarzem Hut, schwarzer Gewandung und schmalem weißen Kragen. Auf dem dunklen Grunde in heller Farbe die Aufschrift: A° 1597 AE S. M E AE 60. Vorbesitzer: K. Fruhwirth, Wien. Im Auktionskatalog Fruhwirth, Wien 1879, irrtümlich Antonis Mor zugeschrieben. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 22, dort auf Grund der Inschrift, die das Bildnis als Selbstbildnis eines sechzigjährigen Malers bezeichnet, versuchsweise dem Jacob William Delff zugeschrieben, dessen Geburtsjahr jedoch nicht feststeht. Eichenholz, rund. Durchm. 42 cm. (Hollaendisch von 1597)|SELBSTBILDNIS EINES MALERS. Brustbild, etwas nach rechts gewendet; mit großem schwarzem Hut, schwarzer Gewandung und schmalem weißen Kragen. Auf dem dunklen Grunde in heller Farbe die Aufschrift: A° 1597 AE S. M E AE 60. Vorbesitzer: K. Fruhwirth, Wien. Im Auktionskatalog Fruhwirth, Wien 1879, irrtümlich Antonis Mor zugeschrieben. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 22, dort auf Grund der Inschrift, die das Bildnis als Selbstbildnis eines sechzigjährigen Malers bezeichnet, versuchsweise dem Jacob William Delff zugeschrieben, dessen Geburtsjahr jedoch nicht feststeht. Eichenholz, rund. Durchm. 42 cm.]] réalisée par Hollaendisch von 1597, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par de Boer au prix de 3100 sch. [360]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[SCHÄFER UND HIRTIN. Ein junger Schäfer, den Efeukranz im braunen Haar, mit einem Fell bekleidet, umfaßt eine junge Hirtin, die ihn mit der Rechten abwehrt. Sie trägt ein ausgeschnittenes stahlgraues Mieder zu rotem Rock und einen Strohhut auf dem offenen blonden Haar. In italienischem Barockrahmen. Vorbesitzer: Baron Mecklenburg, Pantlitz, Versteigerung Wien 1872. Freie Abwandlung des Bildes der Münchner Pinakothek »Schäferszene« Nr. 759. Eichenholz. Höhe 48, Breite 34 cm. (Peter Paul Rubens)|SCHÄFER UND HIRTIN. Ein junger Schäfer, den Efeukranz im braunen Haar, mit einem Fell bekleidet, umfaßt eine junge Hirtin, die ihn mit der Rechten abwehrt. Sie trägt ein ausgeschnittenes stahlgraues Mieder zu rotem Rock und einen Strohhut auf dem offenen blonden Haar. In italienischem Barockrahmen. Vorbesitzer: Baron Mecklenburg, Pantlitz, Versteigerung Wien 1872. Freie Abwandlung des Bildes der Münchner Pinakothek »Schäferszene« Nr. 759. Eichenholz. Höhe 48, Breite 34 cm.]] réalisée par Peter Paul Rubens, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 3100 sch. [361]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DAS GASTMAHL AHASVERS. An einer reichbesetzten Tafel unter einem roten Thronhimmel Esther und Ahasver, links vorn am Tisch Haman, dessen Anschläge gegen die Juden Esther vereitelt. Hinter Haman Ausblick auf Landschaft mit einem Galgen, der vor einem palastartigen Gebäude errichtet ist. Vorbesitzer: Fr. Gsell, Wien, Versteigerung Wien 1872. Kupfer. Höhe 44, Breite 35,5 cm. (Frans II, Francken)|DAS GASTMAHL AHASVERS. An einer reichbesetzten Tafel unter einem roten Thronhimmel Esther und Ahasver, links vorn am Tisch Haman, dessen Anschläge gegen die Juden Esther vereitelt. Hinter Haman Ausblick auf Landschaft mit einem Galgen, der vor einem palastartigen Gebäude errichtet ist. Vorbesitzer: Fr. Gsell, Wien, Versteigerung Wien 1872. Kupfer. Höhe 44, Breite 35,5 cm.]] réalisée par Frans II, Francken, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 1650 sch. [362]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ARKADISCHE LANDSCHAFT. Links strauchbewachsene Ruinen, rechts bewaldete Hügel, dazwischen Durchblick auf Gebirgszüge, die hinter einem See auftauchen. Im Vordergrund sitzt ein bärtiger Mann bei einigen Frauen, alle mit lose übergeworfenen Mänteln, die die Oberkörper unbedeckt lassen. Bezeichnet mit Monogramm C. P. Vorbesitzer: Fr. Gsell, Wien, Versteigerung Wien 1872, Rat. Nr. 82. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 58. Die gleiche Figurengruppe im Vordergrunde in einer veränderten Landschaft auf einem Bilde des Poelenburgh in der Alten Pinakothek in München (Rat. Nr. 523). Eichenholz. Höhe 30, Breite 38 cm. (Cornelis Poelenburgh)|ARKADISCHE LANDSCHAFT. Links strauchbewachsene Ruinen, rechts bewaldete Hügel, dazwischen Durchblick auf Gebirgszüge, die hinter einem See auftauchen. Im Vordergrund sitzt ein bärtiger Mann bei einigen Frauen, alle mit lose übergeworfenen Mänteln, die die Oberkörper unbedeckt lassen. Bezeichnet mit Monogramm C. P. Vorbesitzer: Fr. Gsell, Wien, Versteigerung Wien 1872, Rat. Nr. 82. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 58. Die gleiche Figurengruppe im Vordergrunde in einer veränderten Landschaft auf einem Bilde des Poelenburgh in der Alten Pinakothek in München (Rat. Nr. 523). Eichenholz. Höhe 30, Breite 38 cm.]] réalisée par Cornelis Poelenburgh, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Singer, Prag au prix de 1000 sch. [363]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ARKADISCHE LANDSCHAFT MIT BADENDEN FRAUEN. Links bei einem buschbewachsenen Felsen am Ufer eines Baches eine Gruppe unbekleideter Frauen, von denen zwei Blumenkränze halten. Weiter rechts entsteigen drei Frauen dem Wasser, von zwei Hirten belauscht, die hinter Felsen hervorschauen. Zur Rechten Ruinen über dichtem Buschwerk. Vorbesitzer: Gräfin Eleonore Breda, Wien. Von Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 58, dem Jan van Haensbergen zugeschrieben; Derselbe, Chronique des Arts 1892, p. 262. Eichenholz. Höhe 35,5 Breite 44 cm. (Cornelis Poelenburgh)|ARKADISCHE LANDSCHAFT MIT BADENDEN FRAUEN. Links bei einem buschbewachsenen Felsen am Ufer eines Baches eine Gruppe unbekleideter Frauen, von denen zwei Blumenkränze halten. Weiter rechts entsteigen drei Frauen dem Wasser, von zwei Hirten belauscht, die hinter Felsen hervorschauen. Zur Rechten Ruinen über dichtem Buschwerk. Vorbesitzer: Gräfin Eleonore Breda, Wien. Von Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 58, dem Jan van Haensbergen zugeschrieben; Derselbe, Chronique des Arts 1892, p. 262. Eichenholz. Höhe 35,5 Breite 44 cm.]] réalisée par Cornelis Poelenburgh, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 900 sch. [364]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS DER VITTORIA DELLA ROVERE (Gemahlin des Großherzogs Ferdinando II. von Toskana, geb. 1616, gest. 1694). Halbfigur en face, mit leichter Wendung nach rechts. Auf dem dunklen Kleid weißer feiner Spitzenkragen und Manschetten, um den Hals liegt eine Perlenreihe, über der Brust eine Goldkette, in die die Rechte greift. Im offenen Haar links eine rote Schleife. Im Hintergrund dunkelroter Vorhang. In italienischem Rahmen des 17. Jahrhunderts, geschnitzt und vergoldet. Vorbesitzer: Fr. v. Amerling, Wien; Stefano Bardini, Florenz. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 5g. Leinwand. Höhe 91, Breite 77 cm. (Joost Suttermans)|BILDNIS DER VITTORIA DELLA ROVERE (Gemahlin des Großherzogs Ferdinando II. von Toskana, geb. 1616, gest. 1694). Halbfigur en face, mit leichter Wendung nach rechts. Auf dem dunklen Kleid weißer feiner Spitzenkragen und Manschetten, um den Hals liegt eine Perlenreihe, über der Brust eine Goldkette, in die die Rechte greift. Im offenen Haar links eine rote Schleife. Im Hintergrund dunkelroter Vorhang. In italienischem Rahmen des 17. Jahrhunderts, geschnitzt und vergoldet. Vorbesitzer: Fr. v. Amerling, Wien; Stefano Bardini, Florenz. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 5g. Leinwand. Höhe 91, Breite 77 cm.]] réalisée par Joost Suttermans, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 4300 sch. [365]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[LANDSCHAFT MIT STAFFAGE. Hügelige Gegend, von einem Bach durchzogen, über den ein Steg führt, rechts Häuser und Bäume. Im Vordergrund führen drei Reiter ihre Pferde zur Tränke, links sitzt ein Wanderer, hinter ihm ein galoppierender Reiter. Monogrammiert rechts unten mit den Buchstaben: GDH, die fälschlich auf Hülst. F. ergänzt worden sind. Vorbesitzer: von Imredy, Budapest. Die Staffage von Jesaias van de Velde. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 24 - 25. Eichenholz. Höhe 37, Breite 63,5 cm. (Gillis D'Hondecoeter)|LANDSCHAFT MIT STAFFAGE. Hügelige Gegend, von einem Bach durchzogen, über den ein Steg führt, rechts Häuser und Bäume. Im Vordergrund führen drei Reiter ihre Pferde zur Tränke, links sitzt ein Wanderer, hinter ihm ein galoppierender Reiter. Monogrammiert rechts unten mit den Buchstaben: GDH, die fälschlich auf Hülst. F. ergänzt worden sind. Vorbesitzer: von Imredy, Budapest. Die Staffage von Jesaias van de Velde. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 24 - 25. Eichenholz. Höhe 37, Breite 63,5 cm.]] réalisée par Gillis D'Hondecoeter, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 900 sch. [366]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[LANDSCHAFT MIT STILLEBEN. Links ein Stück eines verfallenen Gebäudes, auf dessen geöffnetem Holzfenster zwei Vögel sitzen. Rechts Stilleben von verschiedenen Geräten, Kesseln, Töpfen usw.; dahinter ein hölzerner Gartenzaun, auf dem Vögel sitzen. Im Hintergrund Dorfhütten, davor eine Herde Schweine, unter denen der Hirt - wohl der verlorene Sohn - kniet. Monogrammiert und datiert 1638. Vorbesitzer: Karl Fruhwirth, Wien, Versteigerung Wien 1879. Frimmel, Galeriestudien, N. F. IV, p. 27; Derselbe, Chronique des Arts, Paris 1891, p. 86; G. Glück, Jahrbuch der Preußischen Kunstsammlungen, XXV, S. 175. Eichenholz. Höhe 39,5 Breite 49,5 cm. (Harmen Saftleven)|LANDSCHAFT MIT STILLEBEN. Links ein Stück eines verfallenen Gebäudes, auf dessen geöffnetem Holzfenster zwei Vögel sitzen. Rechts Stilleben von verschiedenen Geräten, Kesseln, Töpfen usw.; dahinter ein hölzerner Gartenzaun, auf dem Vögel sitzen. Im Hintergrund Dorfhütten, davor eine Herde Schweine, unter denen der Hirt - wohl der verlorene Sohn - kniet. Monogrammiert und datiert 1638. Vorbesitzer: Karl Fruhwirth, Wien, Versteigerung Wien 1879. Frimmel, Galeriestudien, N. F. IV, p. 27; Derselbe, Chronique des Arts, Paris 1891, p. 86; G. Glück, Jahrbuch der Preußischen Kunstsammlungen, XXV, S. 175. Eichenholz. Höhe 39,5 Breite 49,5 cm.]] réalisée par Harmen Saftleven, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 850 sch. [367]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[GASTMAHL DES HERODES. In einer geöffneten baldachingedeckten Halle ist eine Tafel aufgestellt, an der rechts Herodes und Herodias mit ihren Gästen sitzen, rechts neben Herodes, vom Rücken gesehen, steht ein Krieger in voller Rüstung. Von links naht Salome in weißem Atlasgewand, auf einer Schüssel das Haupt des Johannes herbeitragend. Vorbesitzer: M. Blum, Wien. Holz. Höhe 28,5, Breite 34 cm. (Utrecht um 1640)|GASTMAHL DES HERODES. In einer geöffneten baldachingedeckten Halle ist eine Tafel aufgestellt, an der rechts Herodes und Herodias mit ihren Gästen sitzen, rechts neben Herodes, vom Rücken gesehen, steht ein Krieger in voller Rüstung. Von links naht Salome in weißem Atlasgewand, auf einer Schüssel das Haupt des Johannes herbeitragend. Vorbesitzer: M. Blum, Wien. Holz. Höhe 28,5, Breite 34 cm.]] réalisée par Utrecht um 1640, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 600 sch. [368]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BRUSTBILD EINES OFFIZIERS. Mann in mittleren Jahren mit langem dunklen Haar, in Dreiviertelansicht nach rechts gewendet. Er trägt dunkles Gewand mit weißem Umlegekragen. Brauner Grund. In italienischem Barockrahmen vom Ende des 17. Jahrhunderts. Leinwand. Höhe 64, Breite 52 cm. (Niederländisch, Mitte 17. Jahrhundert)|BRUSTBILD EINES OFFIZIERS. Mann in mittleren Jahren mit langem dunklen Haar, in Dreiviertelansicht nach rechts gewendet. Er trägt dunkles Gewand mit weißem Umlegekragen. Brauner Grund. In italienischem Barockrahmen vom Ende des 17. Jahrhunderts. Leinwand. Höhe 64, Breite 52 cm.]] réalisée par Niederländisch, Mitte 17. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 450 sch. [369]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[FLUSSLANDSCHAFT. Im Mittelgrunde ein Fluß, der sich in zwei Absätzen über ein geöffnetes Wasserwehr ergießt. Im Vordergrunde rechts ein weißblühender Baum, davor drei große fliegende Vögel: eine weiße Ente, eine Wildente und ein Habicht. Im Grunde Flachlandschaft, von niedrigen Bergen am Horizont begrenzt. Signiert rechts unten: M. Withoos. Vorbesitzer: Fr. Gsell, Wien, Versteigerung Wien 1872; Graf Festetits, Wien; v. Adamovics, Wien; Anton Jäger, Wien. Bode, Zeitschrift für bild. Kunst VII, p. 186; Frimmel, Galeriestudien N.F. IV, p. 33- 35; Derselbe, Chronique des Arts, Paris 1891, Nr. 11p. 85-86. Leinwand. Höhe 65, Breite 77,5 cm. (Mathias Withoos)|FLUSSLANDSCHAFT. Im Mittelgrunde ein Fluß, der sich in zwei Absätzen über ein geöffnetes Wasserwehr ergießt. Im Vordergrunde rechts ein weißblühender Baum, davor drei große fliegende Vögel: eine weiße Ente, eine Wildente und ein Habicht. Im Grunde Flachlandschaft, von niedrigen Bergen am Horizont begrenzt. Signiert rechts unten: M. Withoos. Vorbesitzer: Fr. Gsell, Wien, Versteigerung Wien 1872; Graf Festetits, Wien; v. Adamovics, Wien; Anton Jäger, Wien. Bode, Zeitschrift für bild. Kunst VII, p. 186; Frimmel, Galeriestudien N.F. IV, p. 33- 35; Derselbe, Chronique des Arts, Paris 1891, Nr. 11p. 85-86. Leinwand. Höhe 65, Breite 77,5 cm.]] réalisée par Mathias Withoos, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Singer, Prag au prix de 500 sch. [370]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DER OFFIZIER. Hinter einer breiten Fensteröffnung, an der links ein roter Vorhang herabfällt, steht ein Offizier in gelbem Koller. Er hält, nach aufwärts blickend, die linke Hand über dem Kopf, die rechte liegt auf dem Leib. Auf der Fensterbrüstung Degen und Federhut bei einer Zinnkanne. In vergoldetem Rahmen, Italien 17. Jahrhundert. Vorbesitzer: Baron Mecklenburg, Pantlitz, Versteigerung Wien 1872. Eichenholz,. Höhe 30, Breite 23,5 cm. (Frans van Mieris d.Ä.)|DER OFFIZIER. Hinter einer breiten Fensteröffnung, an der links ein roter Vorhang herabfällt, steht ein Offizier in gelbem Koller. Er hält, nach aufwärts blickend, die linke Hand über dem Kopf, die rechte liegt auf dem Leib. Auf der Fensterbrüstung Degen und Federhut bei einer Zinnkanne. In vergoldetem Rahmen, Italien 17. Jahrhundert. Vorbesitzer: Baron Mecklenburg, Pantlitz, Versteigerung Wien 1872. Eichenholz,. Höhe 30, Breite 23,5 cm.]] réalisée par Frans van Mieris d.Ä., vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 2700 sch. [371]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE RAUCHER. In einem Interieur sitzen zwei Bauern an einem Tisch und zünden sich an einem irdenen Kohlenbecken die Pfeifen an. Rechts hinter dem Tische, auf dem eine Zinnkanne steht, wird der Kopf eines dritten Bauern sichtbar. In altem geschnitzten und vergoldeten Rahmen. Vorbesitzer: Georg Plach, Wien; Baron Mecklenburg, Pantlitz, Versteigerung Wien 1872. Eichenholz, Höhe 17, Breite 16,5 cm. (Egbert van Heemskerk)|DIE RAUCHER. In einem Interieur sitzen zwei Bauern an einem Tisch und zünden sich an einem irdenen Kohlenbecken die Pfeifen an. Rechts hinter dem Tische, auf dem eine Zinnkanne steht, wird der Kopf eines dritten Bauern sichtbar. In altem geschnitzten und vergoldeten Rahmen. Vorbesitzer: Georg Plach, Wien; Baron Mecklenburg, Pantlitz, Versteigerung Wien 1872. Eichenholz, Höhe 17, Breite 16,5 cm.]] réalisée par Egbert van Heemskerk, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 800 sch. [372]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[WALDEINSAMKEIT. Bei einem bemosten Baumstrunk hohe, blühende, breitblättrige Pflanzen, von Schmetterlingen umflattert. Rechts im Vordergrund liegt eine Schlange mit erhobenem Kopfe, links sitzt ein grüner Frosch bei weißen Schwämmen. Signiert und datiert 1679. Vorbesitzer: Fr. Gsell, Wien. Im Katalog Gsell 1 8 7 2, No. 9 6, R. Ruysch genannt. Frimmel, Galerie-Studien N. F. IV, p. 56; Derselbe, Chronique des Arts, Paris 1891, p. 86, 1892 p. 45. Leinwand. Höhe 86, Breite 70,5 cm. (Nicolaes Lachtropius)|WALDEINSAMKEIT. Bei einem bemosten Baumstrunk hohe, blühende, breitblättrige Pflanzen, von Schmetterlingen umflattert. Rechts im Vordergrund liegt eine Schlange mit erhobenem Kopfe, links sitzt ein grüner Frosch bei weißen Schwämmen. Signiert und datiert 1679. Vorbesitzer: Fr. Gsell, Wien. Im Katalog Gsell 1 8 7 2, No. 9 6, R. Ruysch genannt. Frimmel, Galerie-Studien N. F. IV, p. 56; Derselbe, Chronique des Arts, Paris 1891, p. 86, 1892 p. 45. Leinwand. Höhe 86, Breite 70,5 cm.]] réalisée par Nicolaes Lachtropius, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 400 sch. [373]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Halbfigur der Maria, etwas überlebensgroß, mit langem blondem, herabfallenden Haar und blauem Mantel, in beiden Händen das Kind tragend, das an einem langen Faden einen flatternden Vogel hält. Hintergrund blau mit goldenen Sternen. Im ursprünglichen einfach profilierten Leistenrahmen. Tempera auf Pappelholz. Höhe 121, Breite 72 cm. Mit Rahmen Höhe 137, Breite 87 cm. Tafel XXXVIII (Elsässisch, um 1430)|MARIA MIT DEM KINDE. Halbfigur der Maria, etwas überlebensgroß, mit langem blondem, herabfallenden Haar und blauem Mantel, in beiden Händen das Kind tragend, das an einem langen Faden einen flatternden Vogel hält. Hintergrund blau mit goldenen Sternen. Im ursprünglichen einfach profilierten Leistenrahmen. Tempera auf Pappelholz. Höhe 121, Breite 72 cm. Mit Rahmen Höhe 137, Breite 87 cm. Tafel XXXVIII]] réalisée par Elsässisch, um 1430, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 4500 sch. [374]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEIMSUCHUNG. Maria und Elisabeth, einander begegnend, reichen sich die Hände; zwischen beiden die weiße Taube, darüber Gott Vater mit segnend erhobenen Händen. Links unten kniender Stifter mit einem Sohn, rechts Stifterin mit zwei Töchtern, dazwischen das Familienwappen. Dunkler Grund; hinter den Stiftern Felsen. Vorbesitzer: Lorenz Gedon, München. Tannenholz. Höhe 104, Breite 63 cm. Tafel XXXIX (Bayrisch, um 1440)|HEIMSUCHUNG. Maria und Elisabeth, einander begegnend, reichen sich die Hände; zwischen beiden die weiße Taube, darüber Gott Vater mit segnend erhobenen Händen. Links unten kniender Stifter mit einem Sohn, rechts Stifterin mit zwei Töchtern, dazwischen das Familienwappen. Dunkler Grund; hinter den Stiftern Felsen. Vorbesitzer: Lorenz Gedon, München. Tannenholz. Höhe 104, Breite 63 cm. Tafel XXXIX]] réalisée par Bayrisch, um 1440, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 8500 sch. [375]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI FLUGELBILDER. 78. JOHANNES DER TÄUFER (rechter Flügel). Mit rotem grün gefüttertem Mantel über dem langen härenen Gewände; in der Linken das Buch mit dem Lamm. Gemusterter Goldgrund. 79. MARIA MIT DEM KINDE (linker Flügel). In rötlichem reich gemustertem und brokatisiertem Gewand mit Mantel; auf dem linken Arm das Christuskind, das eine Blume in der Linken hält. Gemusterter Goldgrund. Vorbesitzer: Canaval, Klagenfurt; Rosthorn, Klagenfurt. Zirbelholz. Höhe 90, Breite 35,5 cm. Tafel XL (Tirol, um 1450)|ZWEI FLUGELBILDER. 78. JOHANNES DER TÄUFER (rechter Flügel). Mit rotem grün gefüttertem Mantel über dem langen härenen Gewände; in der Linken das Buch mit dem Lamm. Gemusterter Goldgrund. 79. MARIA MIT DEM KINDE (linker Flügel). In rötlichem reich gemustertem und brokatisiertem Gewand mit Mantel; auf dem linken Arm das Christuskind, das eine Blume in der Linken hält. Gemusterter Goldgrund. Vorbesitzer: Canaval, Klagenfurt; Rosthorn, Klagenfurt. Zirbelholz. Höhe 90, Breite 35,5 cm. Tafel XL]] réalisée par Tirol, um 1450, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [376]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE HEILIGEN KATHARINA UND JOHANNES DER TÄUFER. Die Heiligen sitzen nebeneinander auf einer mit einem grünen Teppich mit Granatapfelmuster bedeckten Bank. Katharina in blauem, hermelingefüttertem Mantel, auf dem Haupt die Krone, in der Linken das Schwert. Johannes in rotem Mantel über dem härenen Gewand, auf dem roten Deckel des Gebetbuches das Lamm tragend. Hintergrund Gold mit Musterung von Blättern, Vögeln, Sonnenstrahlen usw. Vorbesitzer: Frau B. Ueblacker, Wien. Tempera auf Fichtenholz. Höhe 46,5, Breite 58 cm. (Österreichisch, um 1450)|DIE HEILIGEN KATHARINA UND JOHANNES DER TÄUFER. Die Heiligen sitzen nebeneinander auf einer mit einem grünen Teppich mit Granatapfelmuster bedeckten Bank. Katharina in blauem, hermelingefüttertem Mantel, auf dem Haupt die Krone, in der Linken das Schwert. Johannes in rotem Mantel über dem härenen Gewand, auf dem roten Deckel des Gebetbuches das Lamm tragend. Hintergrund Gold mit Musterung von Blättern, Vögeln, Sonnenstrahlen usw. Vorbesitzer: Frau B. Ueblacker, Wien. Tempera auf Fichtenholz. Höhe 46,5, Breite 58 cm.]] réalisée par Österreichisch, um 1450, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Perls au prix de 2100 sch. [377]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DER HEILIGE GEORG. Der Heilige, in voller Rüstung auf einem Schimmel nach links reitend, geleitet die befreite Königstochter, die dem offenen Stadttor zur Linken zuschreitet. Sie trägt rotes Gewand und weißes Kopftuch und wird von einem Lämmchen begleitet. Vorn der Drache. Im Hintergrund blickt von einem Balkon der Ringmauer das Königspaar auf die herannahende Tochter. Goldgrund mit eingravierten Blattornamenten. Auf der Rückseite der Tafel: Halbfigur der heiligen Katharina vor rötlichem Brokatvorhang. Vorbesitzer: Josef Platscher, Oberndorf. Fichtenholz. Höhe 77, Breite 59 cm. Tafel XLI (Süddeutsch, um 1460)|DER HEILIGE GEORG. Der Heilige, in voller Rüstung auf einem Schimmel nach links reitend, geleitet die befreite Königstochter, die dem offenen Stadttor zur Linken zuschreitet. Sie trägt rotes Gewand und weißes Kopftuch und wird von einem Lämmchen begleitet. Vorn der Drache. Im Hintergrund blickt von einem Balkon der Ringmauer das Königspaar auf die herannahende Tochter. Goldgrund mit eingravierten Blattornamenten. Auf der Rückseite der Tafel: Halbfigur der heiligen Katharina vor rötlichem Brokatvorhang. Vorbesitzer: Josef Platscher, Oberndorf. Fichtenholz. Höhe 77, Breite 59 cm. Tafel XLI]] réalisée par Süddeutsch, um 1460, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Schwersenz au prix de 4800 sch. [378]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DAS MARTYRIUM DER HEILIGEN URSULA. Die heilige Ursula, mit einem Bischof und jugendlichen männlichen und weiblichen Gefährten im Segelschiff, wird von Schergen, die auf beiden Ufern stehen, mit Pfeilschüssen getötet. Vorn rechts sitzt ein junger Schütze, seinen Bogen spannend. Das Schiff, das vor einer Stadt mit zinnenbekrönter Mauer vor Ufer liegt, trägt eine rote Flagge mit Wappen (rotgelber Streifen und zwei Adler, dem sizilianischen Wappen ähnlich). Vorbesitzer: Prälat Hermann, Ursulinerinnenkloster zu Olmütz. Die Tafel, in der Sammlung fälschlich dem Hausbuchmeister zugeschrieben, gehört vielmehr einer früheren Generation an und zeigt im Stil Anklänge an den Meister E. S. Holz. Höhe 100, Breite 61 cm. Tafel XLII (Oberrheinisch, um 1460)|DAS MARTYRIUM DER HEILIGEN URSULA. Die heilige Ursula, mit einem Bischof und jugendlichen männlichen und weiblichen Gefährten im Segelschiff, wird von Schergen, die auf beiden Ufern stehen, mit Pfeilschüssen getötet. Vorn rechts sitzt ein junger Schütze, seinen Bogen spannend. Das Schiff, das vor einer Stadt mit zinnenbekrönter Mauer vor Ufer liegt, trägt eine rote Flagge mit Wappen (rotgelber Streifen und zwei Adler, dem sizilianischen Wappen ähnlich). Vorbesitzer: Prälat Hermann, Ursulinerinnenkloster zu Olmütz. Die Tafel, in der Sammlung fälschlich dem Hausbuchmeister zugeschrieben, gehört vielmehr einer früheren Generation an und zeigt im Stil Anklänge an den Meister E. S. Holz. Höhe 100, Breite 61 cm. Tafel XLII]] réalisée par Oberrheinisch, um 1460, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Fleischmann au prix de 36000 sch. [379]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme PORTRÄTKOPF EINES MANNES. In schwarzer geistlicher Tracht und schwarzer Kappe. Der bartlose Kopf in Dreiviertel-Profil nach links gewendet. Blauer Hintergrund. Lindenholz,. Höhe 30, Breite 24 cm. Tafel XLIII réalisée par Fränkisch, um 1480, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Schwersenz au prix de 9500 sch. [380]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI HEILIGEN-SZENEN. 84. DIE KRANKENHEILUNG. Der Heilige liegt unbekleidet in dem von einem grünen Baldachin überdachten Bett unter roter Decke. Mit der Rechten berührt er die Schulter eines Krüppels, der vor dem Bett steht. Links am Kopfende des Bettes ein junger Mann, in graublauem Mantel. Zimmerinterieur mit Balkendecke und Sitztruhen zu den Seiten des Bettes; rechts über dem Bett hängt ein weißes Papierblatt mit undeutlicher Schrift. 85. DER HEILIGE ALS BISCHOF. Er sitzt in rotem Mantel über blauem Gewand, die Mitra auf dem Haupt, links auf einer Bank neben einem Tisch und hebt segnend die Rechte über eine vor ihm kniende Frau, hinter der drei weitere Frauen stehen. An der Rückseite des Tisches sitzt ein junger Mann und liest in einem geöffneten Buch bei einer Kerze, deren Licht ein Teufel sich zu löschen bemüht. Durch das mit Butzenscheiben versehene Fenster fällt Sonnenlicht ein. Tannenholz. Höhe 42, Breite 26,5 cm. Tafel XLIV (Oberdeutsch, um 1490)|ZWEI HEILIGEN-SZENEN. 84. DIE KRANKENHEILUNG. Der Heilige liegt unbekleidet in dem von einem grünen Baldachin überdachten Bett unter roter Decke. Mit der Rechten berührt er die Schulter eines Krüppels, der vor dem Bett steht. Links am Kopfende des Bettes ein junger Mann, in graublauem Mantel. Zimmerinterieur mit Balkendecke und Sitztruhen zu den Seiten des Bettes; rechts über dem Bett hängt ein weißes Papierblatt mit undeutlicher Schrift. 85. DER HEILIGE ALS BISCHOF. Er sitzt in rotem Mantel über blauem Gewand, die Mitra auf dem Haupt, links auf einer Bank neben einem Tisch und hebt segnend die Rechte über eine vor ihm kniende Frau, hinter der drei weitere Frauen stehen. An der Rückseite des Tisches sitzt ein junger Mann und liest in einem geöffneten Buch bei einer Kerze, deren Licht ein Teufel sich zu löschen bemüht. Durch das mit Butzenscheiben versehene Fenster fällt Sonnenlicht ein. Tannenholz. Höhe 42, Breite 26,5 cm. Tafel XLIV]] réalisée par Oberdeutsch, um 1490, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [381]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI HEILIGEN-SZENEN. 84. DIE KRANKENHEILUNG. Der Heilige liegt unbekleidet in dem von einem grünen Baldachin überdachten Bett unter roter Decke. Mit der Rechten berührt er die Schulter eines Krüppels, der vor dem Bett steht. Links am Kopfende des Bettes ein junger Mann, in graublauem Mantel. Zimmerinterieur mit Balkendecke und Sitztruhen zu den Seiten des Bettes; rechts über dem Bett hängt ein weißes Papierblatt mit undeutlicher Schrift. 85. DER HEILIGE ALS BISCHOF. Er sitzt in rotem Mantel über blauem Gewand, die Mitra auf dem Haupt, links auf einer Bank neben einem Tisch und hebt segnend die Rechte über eine vor ihm kniende Frau, hinter der drei weitere Frauen stehen. An der Rückseite des Tisches sitzt ein junger Mann und liest in einem geöffneten Buch bei einer Kerze, deren Licht ein Teufel sich zu löschen bemüht. Durch das mit Butzenscheiben versehene Fenster fällt Sonnenlicht ein. Tannenholz. Höhe 42, Breite 26,5 cm. Tafel XLIV (Oberdeutsch, um 1490)|ZWEI HEILIGEN-SZENEN. 84. DIE KRANKENHEILUNG. Der Heilige liegt unbekleidet in dem von einem grünen Baldachin überdachten Bett unter roter Decke. Mit der Rechten berührt er die Schulter eines Krüppels, der vor dem Bett steht. Links am Kopfende des Bettes ein junger Mann, in graublauem Mantel. Zimmerinterieur mit Balkendecke und Sitztruhen zu den Seiten des Bettes; rechts über dem Bett hängt ein weißes Papierblatt mit undeutlicher Schrift. 85. DER HEILIGE ALS BISCHOF. Er sitzt in rotem Mantel über blauem Gewand, die Mitra auf dem Haupt, links auf einer Bank neben einem Tisch und hebt segnend die Rechte über eine vor ihm kniende Frau, hinter der drei weitere Frauen stehen. An der Rückseite des Tisches sitzt ein junger Mann und liest in einem geöffneten Buch bei einer Kerze, deren Licht ein Teufel sich zu löschen bemüht. Durch das mit Butzenscheiben versehene Fenster fällt Sonnenlicht ein. Tannenholz. Höhe 42, Breite 26,5 cm. Tafel XLIV]] réalisée par Oberdeutsch, um 1490, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [382]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DER HEILIGE HIERONYMUS. Der Heilige, in rotem Kardinalsgewand mit weißem Halslatz und weißen Ärmeln, auf dem Kopf den roten Kardinalshut, sitzt auf einer Holzbank, rechts hinter ihm eine steinerne Mauer, links ein hohes Lesepult, auf dem ein geöffnetes Buch liegt, das am oberen Blattrand das Datum 1498 trägt. Links der Löwe, den Kopf in den Schoß des Heiligen legend, der ihn mit der Rechten streichelt. Ernst Heidrich, Altdeutsche Malerei, Jena 190g, Abb. 71. Zwei andere Kirchenväter des Meisters, jedoch den Maßen nach (Höhe 65, Breite 38 cm) wohl nicht derselben Folge angehörend wie der Hieronymus, ehem. Sammlung v. Lindenau, Pohlhoff in Altenburg i. S., ebenfalls 1 498 datiert, jetzt Wien, Kunsthistor. Mus., waren ausgest. Leipzig, Grassimus. 1897, Nr. 118/19; Berliner Renaiss. Ausst. 1898, Nr. 1 06/07, vgl. M. J. Friedländer, Repertorium XX, 1897, p. 415 und Gr. Ring, Thieme-Beckers Künstler-Lexikon XII. Holz. Höhe 67, Breite 49 cm. Tafel XLV (Rueland Frueauf)|DER HEILIGE HIERONYMUS. Der Heilige, in rotem Kardinalsgewand mit weißem Halslatz und weißen Ärmeln, auf dem Kopf den roten Kardinalshut, sitzt auf einer Holzbank, rechts hinter ihm eine steinerne Mauer, links ein hohes Lesepult, auf dem ein geöffnetes Buch liegt, das am oberen Blattrand das Datum 1498 trägt. Links der Löwe, den Kopf in den Schoß des Heiligen legend, der ihn mit der Rechten streichelt. Ernst Heidrich, Altdeutsche Malerei, Jena 190g, Abb. 71. Zwei andere Kirchenväter des Meisters, jedoch den Maßen nach (Höhe 65, Breite 38 cm) wohl nicht derselben Folge angehörend wie der Hieronymus, ehem. Sammlung v. Lindenau, Pohlhoff in Altenburg i. S., ebenfalls 1 498 datiert, jetzt Wien, Kunsthistor. Mus., waren ausgest. Leipzig, Grassimus. 1897, Nr. 118/19; Berliner Renaiss. Ausst. 1898, Nr. 1 06/07, vgl. M. J. Friedländer, Repertorium XX, 1897, p. 415 und Gr. Ring, Thieme-Beckers Künstler-Lexikon XII. Holz. Höhe 67, Breite 49 cm. Tafel XLV]] réalisée par Rueland Frueauf, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Baron Thyssen au prix de 105000 sch. [383]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE ERMORDUNG DES KNABEN SIMON ZU TRIENT. Darstellung des legendarischen Ritualmordes. In der Mitte steht der nackte Knabe, umgeben von Juden mit karikaturhaft gebildeten Zügen, zum Teil hohe, pelzbesetzte Mützen tragend. Tempera auf Holz. Höhe 62, Breite 54 cm. (Südtirol, um 1500)|DIE ERMORDUNG DES KNABEN SIMON ZU TRIENT. Darstellung des legendarischen Ritualmordes. In der Mitte steht der nackte Knabe, umgeben von Juden mit karikaturhaft gebildeten Zügen, zum Teil hohe, pelzbesetzte Mützen tragend. Tempera auf Holz. Höhe 62, Breite 54 cm.]] réalisée par Südtirol, um 1500, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [384]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI ALTARFLUGEL. 88. VERKÜNDIGUNG MARIAE. (Linker Flügel.) In einem Zimmer mit rotgedecktem Bett kniet zur Rechten vor dem Betpult Maria, der der Engel mit dem Spruchband naht. Links durch ein Bogenfenster Ausblick auf Landschaft. Fliesenboden. Die Langseiten des Flügels abgeschlossen durch zwei schmale vergoldete Säulen, die oben in einem Bogen von spätgotischem Rankenwerk zusammenlaufen. 89. ANBETUNG DES KINDES. (Rechter Flügel.) Maria, nach links kniend, betet das Rind an, das auf einem Zipfel ihres blauen Mantels auf dem Boden liegt, daneben zwei kleine kniende Engel. Hinter Maria Joseph mit der brennenden Kerze. Oben zwei fliegende Engel mit Spruchband. Hinter der Steinbrüstung einer von Säulen getragenen Wandöffnung blicken die beiden Hirten in den Stall hinein. Umrahmung durch Goldsäulchen wie beim linken Flügel. Vorbesitzer: Domkapitular Schnütgen, Cöln. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 38 - 39. Eichenholz. Je Höhe 51, Breite 19,5 cm. Tafel XLVI (Meister von Cappenberg)|ZWEI ALTARFLUGEL. 88. VERKÜNDIGUNG MARIAE. (Linker Flügel.) In einem Zimmer mit rotgedecktem Bett kniet zur Rechten vor dem Betpult Maria, der der Engel mit dem Spruchband naht. Links durch ein Bogenfenster Ausblick auf Landschaft. Fliesenboden. Die Langseiten des Flügels abgeschlossen durch zwei schmale vergoldete Säulen, die oben in einem Bogen von spätgotischem Rankenwerk zusammenlaufen. 89. ANBETUNG DES KINDES. (Rechter Flügel.) Maria, nach links kniend, betet das Rind an, das auf einem Zipfel ihres blauen Mantels auf dem Boden liegt, daneben zwei kleine kniende Engel. Hinter Maria Joseph mit der brennenden Kerze. Oben zwei fliegende Engel mit Spruchband. Hinter der Steinbrüstung einer von Säulen getragenen Wandöffnung blicken die beiden Hirten in den Stall hinein. Umrahmung durch Goldsäulchen wie beim linken Flügel. Vorbesitzer: Domkapitular Schnütgen, Cöln. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 38 - 39. Eichenholz. Je Höhe 51, Breite 19,5 cm. Tafel XLVI]] réalisée par Meister von Cappenberg, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Schwersenz au prix de 20000 sch. [385]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI ALTARFLUGEL. 88. VERKÜNDIGUNG MARIAE. (Linker Flügel.) In einem Zimmer mit rotgedecktem Bett kniet zur Rechten vor dem Betpult Maria, der der Engel mit dem Spruchband naht. Links durch ein Bogenfenster Ausblick auf Landschaft. Fliesenboden. Die Langseiten des Flügels abgeschlossen durch zwei schmale vergoldete Säulen, die oben in einem Bogen von spätgotischem Rankenwerk zusammenlaufen. 89. ANBETUNG DES KINDES. (Rechter Flügel.) Maria, nach links kniend, betet das Rind an, das auf einem Zipfel ihres blauen Mantels auf dem Boden liegt, daneben zwei kleine kniende Engel. Hinter Maria Joseph mit der brennenden Kerze. Oben zwei fliegende Engel mit Spruchband. Hinter der Steinbrüstung einer von Säulen getragenen Wandöffnung blicken die beiden Hirten in den Stall hinein. Umrahmung durch Goldsäulchen wie beim linken Flügel. Vorbesitzer: Domkapitular Schnütgen, Cöln. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 38 - 39. Eichenholz. Je Höhe 51, Breite 19,5 cm. Tafel XLVI (Meister von Cappenberg)|ZWEI ALTARFLUGEL. 88. VERKÜNDIGUNG MARIAE. (Linker Flügel.) In einem Zimmer mit rotgedecktem Bett kniet zur Rechten vor dem Betpult Maria, der der Engel mit dem Spruchband naht. Links durch ein Bogenfenster Ausblick auf Landschaft. Fliesenboden. Die Langseiten des Flügels abgeschlossen durch zwei schmale vergoldete Säulen, die oben in einem Bogen von spätgotischem Rankenwerk zusammenlaufen. 89. ANBETUNG DES KINDES. (Rechter Flügel.) Maria, nach links kniend, betet das Rind an, das auf einem Zipfel ihres blauen Mantels auf dem Boden liegt, daneben zwei kleine kniende Engel. Hinter Maria Joseph mit der brennenden Kerze. Oben zwei fliegende Engel mit Spruchband. Hinter der Steinbrüstung einer von Säulen getragenen Wandöffnung blicken die beiden Hirten in den Stall hinein. Umrahmung durch Goldsäulchen wie beim linken Flügel. Vorbesitzer: Domkapitular Schnütgen, Cöln. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 38 - 39. Eichenholz. Je Höhe 51, Breite 19,5 cm. Tafel XLVI]] réalisée par Meister von Cappenberg, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Schwersenz au prix de 20000 sch. [386]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE HEILIGE KATHARINA VON SIENA UND DIE HEILIGE AGNES. Links Katharina in Nonnenkleidung, auf dem Haupt die Dornenkrone, in der Rechten das Kruzifix, in der Linken das Herz. Rechts Agnes in reicher, modischer Zeittracht, an einem Bande das Lamm führend, in der Rechten den Ring, in der Linken ein geöffnetes Buch. Beide Frauen stehen vor einem Brokatvorhang, der oben den Blick auf Landschaft freigibt. Die ganze Darstellung umrahmt von einem Steinbogen, der rechts auf einer Säule ruht. In schwarzem Rahmen des 17. Jahrhunderts. Vorbesitzer: Frau B. Kurtz, Wien. Dem Meister von Cappenberg nahestehend. Eichenholz. Höhe 33, Breite 2$ cm. Tafel XLVII (Westfälisch, gegen 1500)|DIE HEILIGE KATHARINA VON SIENA UND DIE HEILIGE AGNES. Links Katharina in Nonnenkleidung, auf dem Haupt die Dornenkrone, in der Rechten das Kruzifix, in der Linken das Herz. Rechts Agnes in reicher, modischer Zeittracht, an einem Bande das Lamm führend, in der Rechten den Ring, in der Linken ein geöffnetes Buch. Beide Frauen stehen vor einem Brokatvorhang, der oben den Blick auf Landschaft freigibt. Die ganze Darstellung umrahmt von einem Steinbogen, der rechts auf einer Säule ruht. In schwarzem Rahmen des 17. Jahrhunderts. Vorbesitzer: Frau B. Kurtz, Wien. Dem Meister von Cappenberg nahestehend. Eichenholz. Höhe 33, Breite 2$ cm. Tafel XLVII]] réalisée par Westfälisch, gegen 1500, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Schwersenz au prix de 5500 sch. [387]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ANNA SELBDRITT. In der Mitte das Kind stehend auf einer Steinbrüstung, mit einem Rosenkranz aus Korallen spielend, den es um den Hals trägt. Links Maria, mit der Rechten in einem Buche blätternd, das auf einem Kissen auf der Brüstung liegt, rechts Anna, mit beiden Händen nach dem linken Ärmchen des Kindes greifend. Im Hintergrund ein von Halbsäulen flankierter Durchblick in eine Seelandschaft, die statt des Himmels Goldgrund mit Granatapfelmuster zeigt. Originaler rotbrauner Holzrahmen. Vorbesitzer: Domherr Gröser, Klagenfurt. Fichtenholz. Höhe 36, Breite 70 cm. Mit Rahmen Höhe 17. Breite 84 cm. - Tafel XLVII (Süddeutsch, um 1500)|ANNA SELBDRITT. In der Mitte das Kind stehend auf einer Steinbrüstung, mit einem Rosenkranz aus Korallen spielend, den es um den Hals trägt. Links Maria, mit der Rechten in einem Buche blätternd, das auf einem Kissen auf der Brüstung liegt, rechts Anna, mit beiden Händen nach dem linken Ärmchen des Kindes greifend. Im Hintergrund ein von Halbsäulen flankierter Durchblick in eine Seelandschaft, die statt des Himmels Goldgrund mit Granatapfelmuster zeigt. Originaler rotbrauner Holzrahmen. Vorbesitzer: Domherr Gröser, Klagenfurt. Fichtenholz. Höhe 36, Breite 70 cm. Mit Rahmen Höhe 17. Breite 84 cm. - Tafel XLVII]] réalisée par Süddeutsch, um 1500, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 2200 sch. [388]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DAS ABENDMAHL. An einem runden Tisch, der mit einem weißen Tuch bedeckt und mit Pokalen, Gläsern, Schüsseln usw. reich besetzt ist, sitzt in der Mitte des Grundes vor einem grüngoldenen Brokatvorhang Christus, umgeben von den Jüngern. Über seinem Haupt halten zwei schwebende Engel eine Monstranz. Links in der geöffneten Tür ein Diener, Wein einschenkend, hinter ihm Ausblick ins Freie auf ein helles Gebäude. Mittelbild eines Triptychons, dessen linker Seitenflügel vermutlich das Passahfest, vergl. die folgende Nummer. Vorbesitzer: Frau Widmann-Ling, Lindau. A. G. Meyer, Tafeln zur Geschichte der Möbelformen, Leipzig 1904, Serie II, Textband S. 62, Fig. 6 (Teilabb. in Holzschnitt); Frimmel, Blätter für Gemäldekunde, Wien, Bd. II, Heft g, S. 179-1805 H. Stegmann, Kunst und Kunsthandwerk x, 1907, Heft 15, S. 565, Abb. 55; Betty Kurth, Beiträge zur oberdeutschen Kunst der Spätgotik und Reformationszeit, Augsburg 1925, S. 197, Abb. 118. Nach Frau Kurth Jugendarbeit des J. R. um 1500 bis 1510. A. Stange in der Festschrift für Heinrich Wölfflin, München 1924, S. 195. Lindenholz. Höhe 98,5, Breite 91,5 cm. Tafel XLVIII (Jörg Ratgeb)|DAS ABENDMAHL. An einem runden Tisch, der mit einem weißen Tuch bedeckt und mit Pokalen, Gläsern, Schüsseln usw. reich besetzt ist, sitzt in der Mitte des Grundes vor einem grüngoldenen Brokatvorhang Christus, umgeben von den Jüngern. Über seinem Haupt halten zwei schwebende Engel eine Monstranz. Links in der geöffneten Tür ein Diener, Wein einschenkend, hinter ihm Ausblick ins Freie auf ein helles Gebäude. Mittelbild eines Triptychons, dessen linker Seitenflügel vermutlich das Passahfest, vergl. die folgende Nummer. Vorbesitzer: Frau Widmann-Ling, Lindau. A. G. Meyer, Tafeln zur Geschichte der Möbelformen, Leipzig 1904, Serie II, Textband S. 62, Fig. 6 (Teilabb. in Holzschnitt); Frimmel, Blätter für Gemäldekunde, Wien, Bd. II, Heft g, S. 179-1805 H. Stegmann, Kunst und Kunsthandwerk x, 1907, Heft 15, S. 565, Abb. 55; Betty Kurth, Beiträge zur oberdeutschen Kunst der Spätgotik und Reformationszeit, Augsburg 1925, S. 197, Abb. 118. Nach Frau Kurth Jugendarbeit des J. R. um 1500 bis 1510. A. Stange in der Festschrift für Heinrich Wölfflin, München 1924, S. 195. Lindenholz. Höhe 98,5, Breite 91,5 cm. Tafel XLVIII]] réalisée par Jörg Ratgeb, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Dr. Paul, Amsterdam au prix de 33000 sch. [389]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DAS PASSAHMAHL. In einer hochgelegenen offenen Halle, deren Spitzbogengewölbe von vier Porphyrsäulen getragen wird, sitzen Männer und Frauen von karikaturhaften Typen an einem gedeckten Tisch vor dem Osterlamm. Oben an der Halle eine plastische Darstellung Mosis mit den Gesetzestafeln. Rechts unten belebte Straße, die auf ein Stadttor zuführt, im Hintergrunde Landschaft. Linker Flügel eines Triptychons, dessen Mittelbild wohl das Abendmahl Christi, vergl. die vorige Nummer. Vorbesitzer ein Architekt in Tutzing. Literatur s. vorige Nummer. Lindenholz. Höhe 102, Breite 48,5 cm. Tafel IL (Jörg Ratgeb)|DAS PASSAHMAHL. In einer hochgelegenen offenen Halle, deren Spitzbogengewölbe von vier Porphyrsäulen getragen wird, sitzen Männer und Frauen von karikaturhaften Typen an einem gedeckten Tisch vor dem Osterlamm. Oben an der Halle eine plastische Darstellung Mosis mit den Gesetzestafeln. Rechts unten belebte Straße, die auf ein Stadttor zuführt, im Hintergrunde Landschaft. Linker Flügel eines Triptychons, dessen Mittelbild wohl das Abendmahl Christi, vergl. die vorige Nummer. Vorbesitzer ein Architekt in Tutzing. Literatur s. vorige Nummer. Lindenholz. Höhe 102, Breite 48,5 cm. Tafel IL]] réalisée par Jörg Ratgeb, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Fleischmann au prix de 19000 sch. [390]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DER ZWOLFJÄHRIGE JESUS IM TEMPEL. Zur Rechten Blick in den Tempel, wo der Jesusknabe inmitten der stehenden Schriftgelehrten vor einem geöffneten Buche doziert. Von links nahen die Eltern, ihn zu suchen, Maria weinend, Joseph in rotem Gewände und Mantel. Hinter ihnen Blick auf eine Straße mit Laubengeschossen. Auf einer der Tempelstufen die Signatur des Meisters: ein gotisch stilisierter Distelzweig. An der unteren Leiste des ursprünglichen profilierten Rahmens die Inschrift: U. Görtschacher 1508. (Der Name ist auch als »Dörtschacher« gelesen worden). Aus Schloß Mannsberg in Kärnten. R. Stiassny, Monatsh. für Kunstwissenschaft, I, 1908, Heft 5, S. 429, Abb. 6. Holz. Höhe 47,5, Breite 30,5 cm. Mit Rahmen Höhe 57,5, Breite 41 cm. Tafel L (Urban Görtschacher)|DER ZWOLFJÄHRIGE JESUS IM TEMPEL. Zur Rechten Blick in den Tempel, wo der Jesusknabe inmitten der stehenden Schriftgelehrten vor einem geöffneten Buche doziert. Von links nahen die Eltern, ihn zu suchen, Maria weinend, Joseph in rotem Gewände und Mantel. Hinter ihnen Blick auf eine Straße mit Laubengeschossen. Auf einer der Tempelstufen die Signatur des Meisters: ein gotisch stilisierter Distelzweig. An der unteren Leiste des ursprünglichen profilierten Rahmens die Inschrift: U. Görtschacher 1508. (Der Name ist auch als »Dörtschacher« gelesen worden). Aus Schloß Mannsberg in Kärnten. R. Stiassny, Monatsh. für Kunstwissenschaft, I, 1908, Heft 5, S. 429, Abb. 6. Holz. Höhe 47,5, Breite 30,5 cm. Mit Rahmen Höhe 57,5, Breite 41 cm. Tafel L]] réalisée par Urban Görtschacher, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 12000 sch. [391]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BRUSTBILD KAISER MAXIMILIANS I. Gesicht ganz im Profil nach rechts, Oberkörper halb nach rechts gewendet, auf dem langen blonden Haar eine Pelzmütze; die Pelzschaube öffnet sich über rotgold brokatenem Brustlatz, um die Schultern liegt das goldene Vließ. Blauer Hintergrund. Oben Inschrift in zwei Zeilen: » 1504 IAR. DA. WAS. ICH. MAXIMILIAN. RENIERT. (regiert?) DIE. REMISCH. A. RRON. (Krön?) VND: WAS: XXXX: IAR. ALT. DA. WAS. DAS. MEYN. GESTALT«. Vermutlich das früheste Porträt des Kaisers von Strigel. Ludwig Baldass, Jahrbuch der kunsthistorischen Sammlungen, Wien, XXXI, 1913, S. 265, Fig. 12. Holz. Höhe 55, Breite 36 cm. Tafel LI (Bernhard Strigel)|BRUSTBILD KAISER MAXIMILIANS I. Gesicht ganz im Profil nach rechts, Oberkörper halb nach rechts gewendet, auf dem langen blonden Haar eine Pelzmütze; die Pelzschaube öffnet sich über rotgold brokatenem Brustlatz, um die Schultern liegt das goldene Vließ. Blauer Hintergrund. Oben Inschrift in zwei Zeilen: » 1504 IAR. DA. WAS. ICH. MAXIMILIAN. RENIERT. (regiert?) DIE. REMISCH. A. RRON. (Krön?) VND: WAS: XXXX: IAR. ALT. DA. WAS. DAS. MEYN. GESTALT«. Vermutlich das früheste Porträt des Kaisers von Strigel. Ludwig Baldass, Jahrbuch der kunsthistorischen Sammlungen, Wien, XXXI, 1913, S. 265, Fig. 12. Holz. Höhe 55, Breite 36 cm. Tafel LI]] réalisée par Bernhard Strigel, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Steinmeyer au prix de 41000 sch. [392]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[PORTRÄT KAISER MAXIMILIANS I. (1515). Brustbild, in scharfem Profil nach rechts. In roter Sammetschaube und Kappe, um den Hals das Goldene Vließ, in der Linken eine Schriftrolle. Dunkelgrüner Hintergrund. Aufschrift: »Maximiliani primi Romanorum Imperatoris Archiducis Austrie Effigies«. In geschnitztem stark profilierten Holzrahmen des 17. Jahrhunderts. Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien; Lord Grimthorpe, London. Ludwig Baldass, Jahrbuch der kunsthistorischen Samml., Wien, XXXI, 1913, S. 276, Taf. XXXV; Hans von Ankwicz, Kunst- und Kunsthandwerk, 19. Jahrg., Wien 1916, Heft 8, 9, S. 285. Lindenholz. Höhe 37, Breite 25,5 cm. Tafel LII (Bernhard Strigel)|PORTRÄT KAISER MAXIMILIANS I. (1515). Brustbild, in scharfem Profil nach rechts. In roter Sammetschaube und Kappe, um den Hals das Goldene Vließ, in der Linken eine Schriftrolle. Dunkelgrüner Hintergrund. Aufschrift: »Maximiliani primi Romanorum Imperatoris Archiducis Austrie Effigies«. In geschnitztem stark profilierten Holzrahmen des 17. Jahrhunderts. Vorbesitzer: Hans Schwarz, Wien; Lord Grimthorpe, London. Ludwig Baldass, Jahrbuch der kunsthistorischen Samml., Wien, XXXI, 1913, S. 276, Taf. XXXV; Hans von Ankwicz, Kunst- und Kunsthandwerk, 19. Jahrg., Wien 1916, Heft 8, 9, S. 285. Lindenholz. Höhe 37, Breite 25,5 cm. Tafel LII]] réalisée par Bernhard Strigel, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Schwersenz au prix de 60000 sch. [393]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS DER MARIA VON BURGUND (geb. 1457 als Tochter Karls des Kühnen, vermählt 1477 mit Erzherzog Maximilian, später Kaiser M. I., gest. 1482 an einem Sturz vom Pferde). Halbfigur mit leichter Wendung nach links. Vor einem grünen Brokatvorhang, der links den Blick auf ein Fenster mit Steinbrüstung freiläßt. Auf dem Brustlatz des sehr reichen Kostüms zwei Stickereistreifen, der obere zwei Pfauen, der untere eine Falkenjagd auf Enten darstellend. Auf dem blonden gekrausten Haar eine Goldfiletkappe, um den Hals vielfache Goldketten. Aus den weiten weißen gelbgestreiften Unterärmeln schauen die Hände hervor, von denen die Linke, mit einem rosa Handschuh bekleidet, einen zweiten rosa Handschuh hält. Vorbesitzer: H. Sax, Wien; Prückl, Wien. Eine Wiederholung des vorliegenden Bildes, mit wohl später hinzugefügter Landschaft, im Ferdinandeum zu Innsbruck, eine andere, leicht veränderte, im Münzkabinett des Kunsthistor. Museums, Wien. Dreger, Entwicklung der Weberei und Stickerei, Wien 1904, Bd. II, Taf. 259. Fichtenholz. Höhe 72, Breite 39,5 cm. Tafel LIII (Bernhard Strigel)|BILDNIS DER MARIA VON BURGUND (geb. 1457 als Tochter Karls des Kühnen, vermählt 1477 mit Erzherzog Maximilian, später Kaiser M. I., gest. 1482 an einem Sturz vom Pferde). Halbfigur mit leichter Wendung nach links. Vor einem grünen Brokatvorhang, der links den Blick auf ein Fenster mit Steinbrüstung freiläßt. Auf dem Brustlatz des sehr reichen Kostüms zwei Stickereistreifen, der obere zwei Pfauen, der untere eine Falkenjagd auf Enten darstellend. Auf dem blonden gekrausten Haar eine Goldfiletkappe, um den Hals vielfache Goldketten. Aus den weiten weißen gelbgestreiften Unterärmeln schauen die Hände hervor, von denen die Linke, mit einem rosa Handschuh bekleidet, einen zweiten rosa Handschuh hält. Vorbesitzer: H. Sax, Wien; Prückl, Wien. Eine Wiederholung des vorliegenden Bildes, mit wohl später hinzugefügter Landschaft, im Ferdinandeum zu Innsbruck, eine andere, leicht veränderte, im Münzkabinett des Kunsthistor. Museums, Wien. Dreger, Entwicklung der Weberei und Stickerei, Wien 1904, Bd. II, Taf. 259. Fichtenholz. Höhe 72, Breite 39,5 cm. Tafel LIII]] réalisée par Bernhard Strigel, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 60000 sch. [394]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS EINES MANNES. Brustbild eines jungen bartlosen Mannes in Dreiviertelwendung nach links, mit braunem Haar, das unter einem breitkrempigen schwarzen Hut auf die Stirn fällt. Der Hals bloß, das Hemd mit Zackensaum und gelben Börtchen verziert. Auf den Schultern ein brauner Mantel mit Stehkragen. Hintergrund Berglandschaft vor blauem Abendhimmel. Fichtenholz. Höhe 32,5, Breite 23 cm. Tafel LIV (Bernhard Strigel)|BILDNIS EINES MANNES. Brustbild eines jungen bartlosen Mannes in Dreiviertelwendung nach links, mit braunem Haar, das unter einem breitkrempigen schwarzen Hut auf die Stirn fällt. Der Hals bloß, das Hemd mit Zackensaum und gelben Börtchen verziert. Auf den Schultern ein brauner Mantel mit Stehkragen. Hintergrund Berglandschaft vor blauem Abendhimmel. Fichtenholz. Höhe 32,5, Breite 23 cm. Tafel LIV]] réalisée par Bernhard Strigel, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Schwersenz au prix de 36000 sch. [395]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BRUSTBILD EINES MANNES. In mittleren Jahren, etwas nach links gewendet und dahin blickend; bartloses Gesicht und lange braune Locken. Grüngraues Gewand und Mütze; lichtgrüner Hintergrund. Vorbesitzer: Freiherr von Podstatzky, Littenschitz in Mähren. Die außerordentliche künstlerische Bedeutung des Bildes wird dadurch bestätigt, daß von berufener Seite die größten Namen der deutschen Malerei des n 6. Jahrhunderts davor ausgesprochen worden sind. Ernst Buchner wird das Bild im Wallraf-Richartz-Jahrbuch N. F. I, 1930, als Werk Albrecht Dürers veröffentlichen. Höhe 39,5, Breite 32,5 cm. Tafel LV (Süddeutsch, um 1510)|BRUSTBILD EINES MANNES. In mittleren Jahren, etwas nach links gewendet und dahin blickend; bartloses Gesicht und lange braune Locken. Grüngraues Gewand und Mütze; lichtgrüner Hintergrund. Vorbesitzer: Freiherr von Podstatzky, Littenschitz in Mähren. Die außerordentliche künstlerische Bedeutung des Bildes wird dadurch bestätigt, daß von berufener Seite die größten Namen der deutschen Malerei des n 6. Jahrhunderts davor ausgesprochen worden sind. Ernst Buchner wird das Bild im Wallraf-Richartz-Jahrbuch N. F. I, 1930, als Werk Albrecht Dürers veröffentlichen. Höhe 39,5, Breite 32,5 cm. Tafel LV]] réalisée par Süddeutsch, um 1510, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par K. Stern, Paris au prix de 160000 sch. [396]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BRUSTBILD EINER VORNEHMEN JUNGEN DAME. In halber Figur, etwas nach links gewendet, die Arme übereinandergelegt. In ausgeschnittenem grünem Kleide mit perlengesticktem Brustbesatz und Goldschnüren an der Taille, um den Hals vielfach verschlungene Goldketten. Auf dem Kopf eine reich mit Perlen gestickte Goldhaube. Dunkler Grund. Bez. mit der Schlange mit aufgerichteten Flügeln. Vorbesitzer: Conte Rucellai, Florenz. Eigenhändige Arbeit Cranachs aus den zwanziger Jahren des 16. Jahrhunderts. Lindenholz. Höhe 42,5, Breite 27,5 cm. Tafel LVI (Lucas Cranach d. Ä.)|BRUSTBILD EINER VORNEHMEN JUNGEN DAME. In halber Figur, etwas nach links gewendet, die Arme übereinandergelegt. In ausgeschnittenem grünem Kleide mit perlengesticktem Brustbesatz und Goldschnüren an der Taille, um den Hals vielfach verschlungene Goldketten. Auf dem Kopf eine reich mit Perlen gestickte Goldhaube. Dunkler Grund. Bez. mit der Schlange mit aufgerichteten Flügeln. Vorbesitzer: Conte Rucellai, Florenz. Eigenhändige Arbeit Cranachs aus den zwanziger Jahren des 16. Jahrhunderts. Lindenholz. Höhe 42,5, Breite 27,5 cm. Tafel LVI]] réalisée par Lucas Cranach d. Ä., vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par v. Pannwitz au prix de 43000 sch. [397]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[LUCRETIA. In Halbfigur nach links gewendet; die rote Kleidung oben geöffnet, so daß der Oberkörper sichtbar wird. Die erhobene Rechte setzt den Dolch an die Brust. Dunkler Grund. Bez. rechts unten mit der Schlange mit aufgerichteten Flügeln. Vorbesitzer: Franz Reichardt, München. Eigenhändige Arbeit Cranachs aus den zwanziger Jahren des 16. Jahrhunderts. Lindenholz, oval. Höhe 33,5 Breite 20 cm. Tafel LVII (Lucas Cranach d. Ä.)|LUCRETIA. In Halbfigur nach links gewendet; die rote Kleidung oben geöffnet, so daß der Oberkörper sichtbar wird. Die erhobene Rechte setzt den Dolch an die Brust. Dunkler Grund. Bez. rechts unten mit der Schlange mit aufgerichteten Flügeln. Vorbesitzer: Franz Reichardt, München. Eigenhändige Arbeit Cranachs aus den zwanziger Jahren des 16. Jahrhunderts. Lindenholz, oval. Höhe 33,5 Breite 20 cm. Tafel LVII]] réalisée par Lucas Cranach d. Ä., vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 7000 sch. [398]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS FRIEDRICH III., DES WEISEN, KURFURSTEN VON SACHSEN (1463-1525). Brustbild in Drei Viertelwendung nach rechts, mit schwarzem Barett und Pelz über der schwarzen Kleidung, die das weiße Hemd sehen läßt. Hellblauer Grund. Bez. links seitlich mit der Schlange mit aufgerichteten Flügeln. Im unteren Drittel des Bildes der Name des Kurfürsten mit zwei achtzeiligen Versen, welche ein Lob auf die Tätigkeit des Fürsten enthalten. Auf der Rückseite ist ein großes aquarelliertes sächsisches Wappen aus Papier aufgeklebt. Im ursprünglichen, schmalen profilierten Leistenrahmen. Vorbesitzer: Franz Reichardt, München. Buchenholz. Höhe 34,5, Breite 22 cm. Mit Rahmen Höhe 41, Breite 28 cm. (Lucas Cranach d. Ä.)|BILDNIS FRIEDRICH III., DES WEISEN, KURFURSTEN VON SACHSEN (1463-1525). Brustbild in Drei Viertelwendung nach rechts, mit schwarzem Barett und Pelz über der schwarzen Kleidung, die das weiße Hemd sehen läßt. Hellblauer Grund. Bez. links seitlich mit der Schlange mit aufgerichteten Flügeln. Im unteren Drittel des Bildes der Name des Kurfürsten mit zwei achtzeiligen Versen, welche ein Lob auf die Tätigkeit des Fürsten enthalten. Auf der Rückseite ist ein großes aquarelliertes sächsisches Wappen aus Papier aufgeklebt. Im ursprünglichen, schmalen profilierten Leistenrahmen. Vorbesitzer: Franz Reichardt, München. Buchenholz. Höhe 34,5, Breite 22 cm. Mit Rahmen Höhe 41, Breite 28 cm.]] réalisée par Lucas Cranach d. Ä., vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 2600 sch. [399]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[UBERGABE EINER BEFESTIGTEN STADT AN KAISER MAXIMILIAN I. In der Mitte der Kaiser mit der Krone auf dem Haupt, in voller goldener Rüstung, zu Pferde. Links vom Kaiser sein Rittergefolge, Mann und Roß in silbernen Rüstungen. Rechts knien die Bürger der Stadt, an der Spitze der Bürgermeister und der Stadtkommandant. Zwischen beiden steht aufrecht ein Bischof, der mit erhobener Rechten dem Kaiser entgegentritt. Links im Hintergrunde die Landsknechthaufen des Kaisers, rechts die Stadt. In dem einfachen, ursprünglichen Leistenrahmen. Vorbesitzer: Frau Leni Weiß, Bozen. Die Szene ist mit einem historischen Ereignis in Verbindung gebracht worden: Kaiser Max tritt im Jahre 1509 als rechtmäßiger Erbe der Stadt Görz auf, die ihm der letzte Graf von Görz-Tirol, Leonhard (gest. 1500), hinterlassen hat, und übernimmt von den weltlichen und geistlichen Würdenträgern die Herrschaft, die ihm die Venezianer, die er zunächst besiegen und aus Görz vertreiben mußte, strittig gemacht hatten. Ein Fresko, die gleiche Szene darstellend, größtenteils zerstört, befindet sich an einem Hause der Via Rastello in Görz. Ein Bild »Kaiser Max reitet zum Turnier«, stilistisch dem vorliegenden verwandt, auf Schloß Konopitsch, im Vestibül des Beamtenhauses. Fichtenholz. Höhe 79,5, Breite 104 cm. Mit Rahmen Höhe 93, Breite 118 cm. - Tafel LVIII (Österreichisch, um 1510)|UBERGABE EINER BEFESTIGTEN STADT AN KAISER MAXIMILIAN I. In der Mitte der Kaiser mit der Krone auf dem Haupt, in voller goldener Rüstung, zu Pferde. Links vom Kaiser sein Rittergefolge, Mann und Roß in silbernen Rüstungen. Rechts knien die Bürger der Stadt, an der Spitze der Bürgermeister und der Stadtkommandant. Zwischen beiden steht aufrecht ein Bischof, der mit erhobener Rechten dem Kaiser entgegentritt. Links im Hintergrunde die Landsknechthaufen des Kaisers, rechts die Stadt. In dem einfachen, ursprünglichen Leistenrahmen. Vorbesitzer: Frau Leni Weiß, Bozen. Die Szene ist mit einem historischen Ereignis in Verbindung gebracht worden: Kaiser Max tritt im Jahre 1509 als rechtmäßiger Erbe der Stadt Görz auf, die ihm der letzte Graf von Görz-Tirol, Leonhard (gest. 1500), hinterlassen hat, und übernimmt von den weltlichen und geistlichen Würdenträgern die Herrschaft, die ihm die Venezianer, die er zunächst besiegen und aus Görz vertreiben mußte, strittig gemacht hatten. Ein Fresko, die gleiche Szene darstellend, größtenteils zerstört, befindet sich an einem Hause der Via Rastello in Görz. Ein Bild »Kaiser Max reitet zum Turnier«, stilistisch dem vorliegenden verwandt, auf Schloß Konopitsch, im Vestibül des Beamtenhauses. Fichtenholz. Höhe 79,5, Breite 104 cm. Mit Rahmen Höhe 93, Breite 118 cm. - Tafel LVIII]] réalisée par Österreichisch, um 1510, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par Schwersenz au prix de 10000 sch. [400]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ALTARFLUGEL, doppelseitig bemalt. a) VORDERSEITE: DIE HEILIGEN CRISPIN UND CRISPINIAN, in hoch-gewölbter Werkstatt bei ihrer Schuhmacherarbeit. Rechts sitzt ein rotgekleideter Gehilfe, von links betritt ein Wanderer am Stabe die Werkstatt, links im Hintergrund in einem Torbogen wird eine Frau sichtbar. b) RUCKSEITE: DREI MÄNNLICHE HEILIGE. In der Mitte der heilige Christopherus, auf einen riesigen Baumast gestützt, das Christkind auf dem Rücken tragend, links ein heiliger Ritter mit dem Schwert, rechts der heilige Leonhard in Mönchskleidung. Unter einem Steinbogen vor rotem, nach unten zu ins gelbe übergehenden Abendhimmel. Vorbesitzer: Schuldirektor Moosleithner, Straßwalchen. Holz. Höhe 81, Breite 61 cm. Tafel LIX (Donau-Schule, um 1510)|ALTARFLUGEL, doppelseitig bemalt. a) VORDERSEITE: DIE HEILIGEN CRISPIN UND CRISPINIAN, in hoch-gewölbter Werkstatt bei ihrer Schuhmacherarbeit. Rechts sitzt ein rotgekleideter Gehilfe, von links betritt ein Wanderer am Stabe die Werkstatt, links im Hintergrund in einem Torbogen wird eine Frau sichtbar. b) RUCKSEITE: DREI MÄNNLICHE HEILIGE. In der Mitte der heilige Christopherus, auf einen riesigen Baumast gestützt, das Christkind auf dem Rücken tragend, links ein heiliger Ritter mit dem Schwert, rechts der heilige Leonhard in Mönchskleidung. Unter einem Steinbogen vor rotem, nach unten zu ins gelbe übergehenden Abendhimmel. Vorbesitzer: Schuldirektor Moosleithner, Straßwalchen. Holz. Höhe 81, Breite 61 cm. Tafel LIX]] réalisée par Donau-Schule, um 1510, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 4800 sch. [401]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRIPTYCHON. 105. MITTELBILD: MARIA MIT DEM KINDE, über deren Haupt zwei schwebende Engel die Krone halten. Links die Heilige Katharina mit Buch und Schwert, rechts eine weibliche Heilige mit einem Kelch. Goldgrund, rautenförmig gemustert. Oberer Abschluß vergoldeter und geschnitzter Bogen mit Renaissance-Ornamenten. 106. RECHTER FLUGEL: DER HEILIGE ANTONIUS. In Bischofsornat, auf einer Schüssel den Kopf des Schweins tragend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. 107. LINKER FLUGEL: DER HEILIGE AUGUSTINUS. In Bischofsornat, in den Händen ein geöffnetes Buch haltend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. Vorbesitzer: Baronin Todesco, Wien. Die Bestimmung rührt von E. Buchner her. Lindenholz. Mittelbild Höhe 81, Breite 75 cm. Flügel Höhe je 77, Breite je 32 cm. Tafel LX (Jacob Schick)|TRIPTYCHON. 105. MITTELBILD: MARIA MIT DEM KINDE, über deren Haupt zwei schwebende Engel die Krone halten. Links die Heilige Katharina mit Buch und Schwert, rechts eine weibliche Heilige mit einem Kelch. Goldgrund, rautenförmig gemustert. Oberer Abschluß vergoldeter und geschnitzter Bogen mit Renaissance-Ornamenten. 106. RECHTER FLUGEL: DER HEILIGE ANTONIUS. In Bischofsornat, auf einer Schüssel den Kopf des Schweins tragend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. 107. LINKER FLUGEL: DER HEILIGE AUGUSTINUS. In Bischofsornat, in den Händen ein geöffnetes Buch haltend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. Vorbesitzer: Baronin Todesco, Wien. Die Bestimmung rührt von E. Buchner her. Lindenholz. Mittelbild Höhe 81, Breite 75 cm. Flügel Höhe je 77, Breite je 32 cm. Tafel LX]] réalisée par Jacob Schick, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par N. Fischmann au prix de 4100 sch. [402]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRIPTYCHON. 105. MITTELBILD: MARIA MIT DEM KINDE, über deren Haupt zwei schwebende Engel die Krone halten. Links die Heilige Katharina mit Buch und Schwert, rechts eine weibliche Heilige mit einem Kelch. Goldgrund, rautenförmig gemustert. Oberer Abschluß vergoldeter und geschnitzter Bogen mit Renaissance-Ornamenten. 106. RECHTER FLUGEL: DER HEILIGE ANTONIUS. In Bischofsornat, auf einer Schüssel den Kopf des Schweins tragend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. 107. LINKER FLUGEL: DER HEILIGE AUGUSTINUS. In Bischofsornat, in den Händen ein geöffnetes Buch haltend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. Vorbesitzer: Baronin Todesco, Wien. Die Bestimmung rührt von E. Buchner her. Lindenholz. Mittelbild Höhe 81, Breite 75 cm. Flügel Höhe je 77, Breite je 32 cm. Tafel LX (Jacob Schick)|TRIPTYCHON. 105. MITTELBILD: MARIA MIT DEM KINDE, über deren Haupt zwei schwebende Engel die Krone halten. Links die Heilige Katharina mit Buch und Schwert, rechts eine weibliche Heilige mit einem Kelch. Goldgrund, rautenförmig gemustert. Oberer Abschluß vergoldeter und geschnitzter Bogen mit Renaissance-Ornamenten. 106. RECHTER FLUGEL: DER HEILIGE ANTONIUS. In Bischofsornat, auf einer Schüssel den Kopf des Schweins tragend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. 107. LINKER FLUGEL: DER HEILIGE AUGUSTINUS. In Bischofsornat, in den Händen ein geöffnetes Buch haltend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. Vorbesitzer: Baronin Todesco, Wien. Die Bestimmung rührt von E. Buchner her. Lindenholz. Mittelbild Höhe 81, Breite 75 cm. Flügel Höhe je 77, Breite je 32 cm. Tafel LX]] réalisée par Jacob Schick, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par N. Fischmann au prix de 4100 sch. [403]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRIPTYCHON. 105. MITTELBILD: MARIA MIT DEM KINDE, über deren Haupt zwei schwebende Engel die Krone halten. Links die Heilige Katharina mit Buch und Schwert, rechts eine weibliche Heilige mit einem Kelch. Goldgrund, rautenförmig gemustert. Oberer Abschluß vergoldeter und geschnitzter Bogen mit Renaissance-Ornamenten. 106. RECHTER FLUGEL: DER HEILIGE ANTONIUS. In Bischofsornat, auf einer Schüssel den Kopf des Schweins tragend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. 107. LINKER FLUGEL: DER HEILIGE AUGUSTINUS. In Bischofsornat, in den Händen ein geöffnetes Buch haltend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. Vorbesitzer: Baronin Todesco, Wien. Die Bestimmung rührt von E. Buchner her. Lindenholz. Mittelbild Höhe 81, Breite 75 cm. Flügel Höhe je 77, Breite je 32 cm. Tafel LX (Jacob Schick)|TRIPTYCHON. 105. MITTELBILD: MARIA MIT DEM KINDE, über deren Haupt zwei schwebende Engel die Krone halten. Links die Heilige Katharina mit Buch und Schwert, rechts eine weibliche Heilige mit einem Kelch. Goldgrund, rautenförmig gemustert. Oberer Abschluß vergoldeter und geschnitzter Bogen mit Renaissance-Ornamenten. 106. RECHTER FLUGEL: DER HEILIGE ANTONIUS. In Bischofsornat, auf einer Schüssel den Kopf des Schweins tragend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. 107. LINKER FLUGEL: DER HEILIGE AUGUSTINUS. In Bischofsornat, in den Händen ein geöffnetes Buch haltend. Goldgrund wie 105; oben geschnitzter Bogen. Vorbesitzer: Baronin Todesco, Wien. Die Bestimmung rührt von E. Buchner her. Lindenholz. Mittelbild Höhe 81, Breite 75 cm. Flügel Höhe je 77, Breite je 32 cm. Tafel LX]] réalisée par Jacob Schick, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par N. Fischmann au prix de 4100 sch. [404]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI FLUGELBILDER. 108. HEILIGER GEORG (rechter Flügel). In voller Rüstung nach links ge-wendet, in der Rechten die weiße Fahne mit dem roten Kreuz. Am Boden liegt der Drache. Hintergrund blauer Himmel. 109. HEILIGER JAKOBUS MAJOR (linker Flügel). Nach rechts gewendet, in grauem Gewand und rotem Mantel, auf dem Kopfe den Pilgerhut. Zu seinen Füßen ein weißer Hund und zwei Schafe. Hintergrund blauer Himmel. Vorbesitzer: Baronin Sophie Todesco, Wien. Tannenholz. Höhe 73, Breite 31 cm. Tafel LXI (Nürnberg, Um 1530)|ZWEI FLUGELBILDER. 108. HEILIGER GEORG (rechter Flügel). In voller Rüstung nach links ge-wendet, in der Rechten die weiße Fahne mit dem roten Kreuz. Am Boden liegt der Drache. Hintergrund blauer Himmel. 109. HEILIGER JAKOBUS MAJOR (linker Flügel). Nach rechts gewendet, in grauem Gewand und rotem Mantel, auf dem Kopfe den Pilgerhut. Zu seinen Füßen ein weißer Hund und zwei Schafe. Hintergrund blauer Himmel. Vorbesitzer: Baronin Sophie Todesco, Wien. Tannenholz. Höhe 73, Breite 31 cm. Tafel LXI]] réalisée par Nürnberg, Um 1530, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 2100 sch. [405]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI FLUGELBILDER. 108. HEILIGER GEORG (rechter Flügel). In voller Rüstung nach links ge-wendet, in der Rechten die weiße Fahne mit dem roten Kreuz. Am Boden liegt der Drache. Hintergrund blauer Himmel. 109. HEILIGER JAKOBUS MAJOR (linker Flügel). Nach rechts gewendet, in grauem Gewand und rotem Mantel, auf dem Kopfe den Pilgerhut. Zu seinen Füßen ein weißer Hund und zwei Schafe. Hintergrund blauer Himmel. Vorbesitzer: Baronin Sophie Todesco, Wien. Tannenholz. Höhe 73, Breite 31 cm. Tafel LXI (Nürnberg, Um 1530)|ZWEI FLUGELBILDER. 108. HEILIGER GEORG (rechter Flügel). In voller Rüstung nach links ge-wendet, in der Rechten die weiße Fahne mit dem roten Kreuz. Am Boden liegt der Drache. Hintergrund blauer Himmel. 109. HEILIGER JAKOBUS MAJOR (linker Flügel). Nach rechts gewendet, in grauem Gewand und rotem Mantel, auf dem Kopfe den Pilgerhut. Zu seinen Füßen ein weißer Hund und zwei Schafe. Hintergrund blauer Himmel. Vorbesitzer: Baronin Sophie Todesco, Wien. Tannenholz. Höhe 73, Breite 31 cm. Tafel LXI]] réalisée par Nürnberg, Um 1530, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 2100 sch. [406]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[EVA UND DER TOD (Vanitasdarstellung). Stehende nackte Eva, von vorn gesehen, links hinter ihr Totengerippe, rechts der Baum der Erkenntnis, von der Schlange umwunden. An dem Baum hängt eine Schrifttafel, drei Schriftbänder umgeben die Gestalt der Frau. Auf der Steintafel, auf die sie sich mit der Linken stützt, eine lange Inschrift, mit dem Wort »Transgressio« beginnend. Der stark profilierte Originalrahmen trägt in seiner Mittelkehle in leicht erhabenen lateinischen Lettern die Inschrift: »Hier sieht der Mensch die rechte Ursach seines Falls und alles Ungemach.« Vorbesitzer: Sir Henry Angst, Zürich. Holz, Rundbild. Durchm. 29, mit Rahmen 43,5 cm. Tafel LXII (Deutsch, 1550)|EVA UND DER TOD (Vanitasdarstellung). Stehende nackte Eva, von vorn gesehen, links hinter ihr Totengerippe, rechts der Baum der Erkenntnis, von der Schlange umwunden. An dem Baum hängt eine Schrifttafel, drei Schriftbänder umgeben die Gestalt der Frau. Auf der Steintafel, auf die sie sich mit der Linken stützt, eine lange Inschrift, mit dem Wort »Transgressio« beginnend. Der stark profilierte Originalrahmen trägt in seiner Mittelkehle in leicht erhabenen lateinischen Lettern die Inschrift: »Hier sieht der Mensch die rechte Ursach seines Falls und alles Ungemach.« Vorbesitzer: Sir Henry Angst, Zürich. Holz, Rundbild. Durchm. 29, mit Rahmen 43,5 cm. Tafel LXII]] réalisée par Deutsch, 1550, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien, achetée par R. Leitner, Wien au prix de 1300 sch. [407]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[PORTRÄT EINES JUNGEN MANNES. Brustbild in Vorderansicht, Kopf und Blick etwas nach rechts gewendet. In der Rechten eine Papierrolle. Grüner Hintergrund. Links Wappen. (Ein von Schwarz und Silber schrägrechts geteilter Schild, dessen unteres Feld von einem schwarzen mit fünf roten Röslein besteckten Büffelhorn in der Richtung der Teilungslinie belegt ist.) Oben die Jahreszahl 1530. Kreisrund gedrechselte Holzscheibe mit vergoldetem, profiliertem Holzrahmen. Vorbesitzer: Patterer, Graz. Durchm. 14 cm. Tafel LXII (Bartolomaeus Bruyn d. Ä.)|PORTRÄT EINES JUNGEN MANNES. Brustbild in Vorderansicht, Kopf und Blick etwas nach rechts gewendet. In der Rechten eine Papierrolle. Grüner Hintergrund. Links Wappen. (Ein von Schwarz und Silber schrägrechts geteilter Schild, dessen unteres Feld von einem schwarzen mit fünf roten Röslein besteckten Büffelhorn in der Richtung der Teilungslinie belegt ist.) Oben die Jahreszahl 1530. Kreisrund gedrechselte Holzscheibe mit vergoldetem, profiliertem Holzrahmen. Vorbesitzer: Patterer, Graz. Durchm. 14 cm. Tafel LXII]] réalisée par Bartolomaeus Bruyn d. Ä., vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [408]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS EINES ÄLTEREN MANNES. Mit grauem Haar und Bart. Brustbild in Dreiviertelwendung nach rechts, auf den Beschauer blickend. Er trägt schwarze, pelzbesetzte Schaube und hält in der Rechten ein gefaltetes Dokument, die Linke faßt einen Totenschädel, der auf dem Tisch vor ihm liegt. Rechts oben ein Wappen mit Helmzier. Olivgrüner Hintergrund. Vorbesitzer: Ignaz Pick, Wien. Holz. Geschweifter oberer Abschluß. Höhe 64,5, Breite 45 cm. Tafel LXIII (Bartolomaeus Bruyn d. J.)|BILDNIS EINES ÄLTEREN MANNES. Mit grauem Haar und Bart. Brustbild in Dreiviertelwendung nach rechts, auf den Beschauer blickend. Er trägt schwarze, pelzbesetzte Schaube und hält in der Rechten ein gefaltetes Dokument, die Linke faßt einen Totenschädel, der auf dem Tisch vor ihm liegt. Rechts oben ein Wappen mit Helmzier. Olivgrüner Hintergrund. Vorbesitzer: Ignaz Pick, Wien. Holz. Geschweifter oberer Abschluß. Höhe 64,5, Breite 45 cm. Tafel LXIII]] réalisée par Bartolomaeus Bruyn d. J., vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [409]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS EINES ALTEN MANNES. Kniestück, gradeausblickend, mit schwarzem Barett, das schwarze Gewand reich mit braunem Pelz besetzt, um den Hals eine kleine weiße Halskrause. In der Linken ein rotes Gebetbuch. Dunkler Grund. Oben die Jahreszahl 1535. (Bartolomaeus Bruyn d. J.)|BILDNIS EINES ALTEN MANNES. Kniestück, gradeausblickend, mit schwarzem Barett, das schwarze Gewand reich mit braunem Pelz besetzt, um den Hals eine kleine weiße Halskrause. In der Linken ein rotes Gebetbuch. Dunkler Grund. Oben die Jahreszahl 1535.]] réalisée par Bartolomaeus Bruyn d. J., vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [410]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS EINER ALTEN FRAU. Kniestück, etwas nach links gewendet, mit weißer Haube. Den reich mit Perlen gezierten Gürtel schließt eine goldene Schnalle. Die Hände übereinandergelegt. Dunkelgrauer Grund. Oben die Jahreszahl 1535. Gegenstück zur vorigen Nummer. Vorbesitzer: A. Ueblacker, Wien. Die Daten sicher unzutreffend, da die Kostüme der Dargestellten auf spätere Zeit deuten, wohl korrigiert aus 1555. 113. Eichenholz. 114. Von Eichenholz auf Leinwand übertragen. Je Höhe 68, Breite 51,5 cm. Tafel LXIV (Bartolomaeus Bruyn D. J.)|BILDNIS EINER ALTEN FRAU. Kniestück, etwas nach links gewendet, mit weißer Haube. Den reich mit Perlen gezierten Gürtel schließt eine goldene Schnalle. Die Hände übereinandergelegt. Dunkelgrauer Grund. Oben die Jahreszahl 1535. Gegenstück zur vorigen Nummer. Vorbesitzer: A. Ueblacker, Wien. Die Daten sicher unzutreffend, da die Kostüme der Dargestellten auf spätere Zeit deuten, wohl korrigiert aus 1555. 113. Eichenholz. 114. Von Eichenholz auf Leinwand übertragen. Je Höhe 68, Breite 51,5 cm. Tafel LXIV]] réalisée par Bartolomaeus Bruyn D. J., vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [411]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BILDNIS DER KONIGIN ELISABETH, Tochter des deutschen Kaisers Sigmund I., seit 1442 vermählt mit Albrecht V., Herzog von Österreich (nachmals als deutscher Kaiser Albrecht II.). Kniestück nach rechts gewendet. In der rotweißen goldgestickten Kleidung wechselt der österreichische Adler mit dem böhmischen zweischwänzigen Löwen. Sie hält in der Linken das Szepter, in der Rechten eine Papierrolle. Auf dem Haupte die Krone. Grauer Grund. Links oben die Inschrift: »Fraw. Elisabet. Kinig Sigmunds Tochter VO. Hungern. Albrechts Des Fünften. VO. Osterreich Ro. Hu. Beh. Kinigs. Gemahel. Kinigs Laslaws Mueter 1556.« Vorbesitzer: Fürst Lichnowsky, Olmütz. Vorbild mit ganz geringen Änderungen für Porträt und Inschrift war die lebensgroße Bronzestatue der Dargestellten am Maximilian-Grabmal in der Hofkirche zu Innsbruck, die Stephan Godl 1530 gegossen hat. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 43. Lindenholz. Höhe 31,5, Breite 22 cm. (Österreichisch, von 1556)|BILDNIS DER KONIGIN ELISABETH, Tochter des deutschen Kaisers Sigmund I., seit 1442 vermählt mit Albrecht V., Herzog von Österreich (nachmals als deutscher Kaiser Albrecht II.). Kniestück nach rechts gewendet. In der rotweißen goldgestickten Kleidung wechselt der österreichische Adler mit dem böhmischen zweischwänzigen Löwen. Sie hält in der Linken das Szepter, in der Rechten eine Papierrolle. Auf dem Haupte die Krone. Grauer Grund. Links oben die Inschrift: »Fraw. Elisabet. Kinig Sigmunds Tochter VO. Hungern. Albrechts Des Fünften. VO. Osterreich Ro. Hu. Beh. Kinigs. Gemahel. Kinigs Laslaws Mueter 1556.« Vorbesitzer: Fürst Lichnowsky, Olmütz. Vorbild mit ganz geringen Änderungen für Porträt und Inschrift war die lebensgroße Bronzestatue der Dargestellten am Maximilian-Grabmal in der Hofkirche zu Innsbruck, die Stephan Godl 1530 gegossen hat. Frimmel, Galeriestudien N. F. IV, p. 43. Lindenholz. Höhe 31,5, Breite 22 cm.]] réalisée par Österreichisch, von 1556, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 1600 sch. [412]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ALLEGORISCHE DARSTELLUNG. Niedriger Leuchter mit brennender Kerze; aus Wolken eine Hand herablangend, die eine geöffnete Lichtschere an die Flamme hält. Querüber in goldener Schrift: »Brich Aff Bey zeyde 1597«. Holzscheibe in Diskusform. Ringsum profilierter Rand; Rückseite mit konzentrisch gedrehtem Ornament. Vorbesitzer: von Miller-Eichholz, Wien. Durchm. mit Rahmen 34 cm. (Norddeutsch, von 1597)|ALLEGORISCHE DARSTELLUNG. Niedriger Leuchter mit brennender Kerze; aus Wolken eine Hand herablangend, die eine geöffnete Lichtschere an die Flamme hält. Querüber in goldener Schrift: »Brich Aff Bey zeyde 1597«. Holzscheibe in Diskusform. Ringsum profilierter Rand; Rückseite mit konzentrisch gedrehtem Ornament. Vorbesitzer: von Miller-Eichholz, Wien. Durchm. mit Rahmen 34 cm.]] réalisée par Norddeutsch, von 1597, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 350 sch. [413]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MADONNA IM GRUNEN. Maria mit dem Kinde im Schoß sitzt am Waldesrand am Fuße eines hohen Baumes. Hinter ihr zwei Engel, über ihr schwebend drei Putten, rechts fünf weitere Putten. In reich geschnitztem Rahmen aus Blatt- und Blumenornamenten mit Putten. Vorbesitzer: August von Hofmannsthal, Wien; S. Herz, Paris. Die Landschaft von Jan Brueghel (geb. 1568 Brüssel, gest. 1625 Antwerpen). Eine Wiederholung des Bildes mit veränderter Landschaft in Rassel, Gemäldegalerie, Nr. 605. Kupfer. Höhe 29,5, Breite 23,5 cm. (Johannes Rottenhammer)|MADONNA IM GRUNEN. Maria mit dem Kinde im Schoß sitzt am Waldesrand am Fuße eines hohen Baumes. Hinter ihr zwei Engel, über ihr schwebend drei Putten, rechts fünf weitere Putten. In reich geschnitztem Rahmen aus Blatt- und Blumenornamenten mit Putten. Vorbesitzer: August von Hofmannsthal, Wien; S. Herz, Paris. Die Landschaft von Jan Brueghel (geb. 1568 Brüssel, gest. 1625 Antwerpen). Eine Wiederholung des Bildes mit veränderter Landschaft in Rassel, Gemäldegalerie, Nr. 605. Kupfer. Höhe 29,5, Breite 23,5 cm.]] réalisée par Johannes Rottenhammer, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 1350 sch. [414]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DOPPELBILDNIS. Herzogin Katharina von Sachsen (Gemahlin Heinrichs des Frommen) mit ihrem Sohn Moritz in jugendlichem Alter. Gewand, Hut und Haare der Herzogin in Gold. Der Prinz trägt rotes Kleid mit Hermelinschaube und rote Mütze. Halbfiguren. Dunkler Grund. Vorbesitzer: A. Basilewsky, Paris. Nachahmung nach Lukas Cranach d. Ä., mit der falschen Drachensignatur und dem Datum 1537 versehen. Fichtenholz. Höhe 55,5, Breite 39,5 cm. (Rohrig)|DOPPELBILDNIS. Herzogin Katharina von Sachsen (Gemahlin Heinrichs des Frommen) mit ihrem Sohn Moritz in jugendlichem Alter. Gewand, Hut und Haare der Herzogin in Gold. Der Prinz trägt rotes Kleid mit Hermelinschaube und rote Mütze. Halbfiguren. Dunkler Grund. Vorbesitzer: A. Basilewsky, Paris. Nachahmung nach Lukas Cranach d. Ä., mit der falschen Drachensignatur und dem Datum 1537 versehen. Fichtenholz. Höhe 55,5, Breite 39,5 cm.]] réalisée par Rohrig, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien au prix de 2100 sch. [415]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI FLUGELBILDER. 78. JOHANNES DER TÄUFER (rechter Flügel). Mit rotem grün gefüttertem Mantel über dem langen härenen Gewände; in der Linken das Buch mit dem Lamm. Gemusterter Goldgrund. 79. MARIA MIT DEM KINDE (linker Flügel). In rötlichem reich gemustertem und brokatisiertem Gewand mit Mantel; auf dem linken Arm das Christuskind, das eine Blume in der Linken hält. Gemusterter Goldgrund. Vorbesitzer: Canaval, Klagenfurt; Rosthorn, Klagenfurt. Zirbelholz. Höhe 90, Breite 35,5 cm. Tafel XL (Tirol, um 1450)|ZWEI FLUGELBILDER. 78. JOHANNES DER TÄUFER (rechter Flügel). Mit rotem grün gefüttertem Mantel über dem langen härenen Gewände; in der Linken das Buch mit dem Lamm. Gemusterter Goldgrund. 79. MARIA MIT DEM KINDE (linker Flügel). In rötlichem reich gemustertem und brokatisiertem Gewand mit Mantel; auf dem linken Arm das Christuskind, das eine Blume in der Linken hält. Gemusterter Goldgrund. Vorbesitzer: Canaval, Klagenfurt; Rosthorn, Klagenfurt. Zirbelholz. Höhe 90, Breite 35,5 cm. Tafel XL]] réalisée par Tirol, um 1450, vendue par Dr. Albert Figdor, Wien. [416]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHERUBSKOPF. Mit zwei Flügelpaaren, das eine über dem Scheitel, das andere unter dem Kinn gefaltet, und zwei seitlichen Flügeln (von denen einer beschädigt ist). Sammlung A. v. Beckerath, Berlin. Marmorrelief. Höhe 23, Breite 25,5 cm. (Toskanisch 2. Hälfte 15. Jahrhundert)|CHERUBSKOPF. Mit zwei Flügelpaaren, das eine über dem Scheitel, das andere unter dem Kinn gefaltet, und zwei seitlichen Flügeln (von denen einer beschädigt ist). Sammlung A. v. Beckerath, Berlin. Marmorrelief. Höhe 23, Breite 25,5 cm.]] réalisée par Toskanisch 2. Hälfte 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 1000 sch. [417]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[PORTRÄT DES LUDOVICO IL MORO (DR 1508), Brustbild in Profil rechts hin, mit langem Haar. Rüstung mit einer ornamentierten Borte um den Hals. Sammlung Émile Molinier, Paris. Vgl. das größere Marmorrelief mit dem Porträt Ludovicos in der Sammlung Dreyfus, Paris. Marmorrelief. Durchmesser 17,5 cm. Tafel LXV (Cristoforo Solari)|PORTRÄT DES LUDOVICO IL MORO (DR 1508), Brustbild in Profil rechts hin, mit langem Haar. Rüstung mit einer ornamentierten Borte um den Hals. Sammlung Émile Molinier, Paris. Vgl. das größere Marmorrelief mit dem Porträt Ludovicos in der Sammlung Dreyfus, Paris. Marmorrelief. Durchmesser 17,5 cm. Tafel LXV]] réalisée par Cristoforo Solari, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Dr. Lud. Pollak, Rom au prix de 1300 sch. [418]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme KOPF EINES KNABEN. In Profil nach rechts, mit lockigem Haar und geöffnetem Munde; umgeschlagener faltiger Kragen und Ansatz eines Puffärmels. Hochrelief. Marmor. Höhe 41,4, Breite 16 cm. Tafel LXV réalisée par Italienisch 17. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 550 sch. [419]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BRUSTBILD DES FRANCESCO SFORZA (DR 1466). In Profil nach rechts; am Hinterhaupt freifallende, unten sich ringelnde Locken, der Scheitel kahl. Gewand mit eingravierten Ornamenten. Vgl. mit dem Reliefporträt des Francesco Sforza in Florenz, Museo Nazionale. Sandsteinrelief ohne Grund. Lichtbräunliche Patina. Höhe 37 cm. Tafel LXVI (Oberitalienisch (Mailand) 15. Jahrhundert)|BRUSTBILD DES FRANCESCO SFORZA (DR 1466). In Profil nach rechts; am Hinterhaupt freifallende, unten sich ringelnde Locken, der Scheitel kahl. Gewand mit eingravierten Ornamenten. Vgl. mit dem Reliefporträt des Francesco Sforza in Florenz, Museo Nazionale. Sandsteinrelief ohne Grund. Lichtbräunliche Patina. Höhe 37 cm. Tafel LXVI]] réalisée par Oberitalienisch (Mailand) 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Schwersenz au prix de 1150 sch. [420]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BRUSTBILD EINES KNABEN. In Profil nach rechts, mit reichgelocktem Haupte und einfachem Gewande, das mit einem niederen Kragen am Halse abgeschlossen ist. Sammlung Émile Molinier, Paris. Vgl. etwa mit Civitali's Porträts im Flachrelief an den Seiten der Predella des Altars des hl. Regulus im Dom zu Lucca. Flachrelief in Pietra Serena. Rechteckig. Höhe 28, Breite 18,9 cm. Tafel LXVI (Matteo Civitali)|BRUSTBILD EINES KNABEN. In Profil nach rechts, mit reichgelocktem Haupte und einfachem Gewande, das mit einem niederen Kragen am Halse abgeschlossen ist. Sammlung Émile Molinier, Paris. Vgl. etwa mit Civitali's Porträts im Flachrelief an den Seiten der Predella des Altars des hl. Regulus im Dom zu Lucca. Flachrelief in Pietra Serena. Rechteckig. Höhe 28, Breite 18,9 cm. Tafel LXVI]] réalisée par Matteo Civitali, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Schwersenz au prix de 4100 sch. [421]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[AGNUS DEI. In einem Medaillon, auf blauem Grunde, ein weißes Lamm mit dem Körper nach links gewendet, den Kopf zurückdrehend. Das rechte Vorderbein erhoben, vorne an der Brust blutende Wunde; Vließ mit schneckenartig gedrehten Locken. Im Hintergrund goldene Fahne mit rotem Kreuz. Emblem der Florentiner Wollwebezunft (Arte della Lana). Holzrelief, polychromiert, rund, mit einem vergoldeten Wulstrand als Einrahmung. Durchmesser 52,3 cm. (Florentinisch 15. Jahrhundert)|AGNUS DEI. In einem Medaillon, auf blauem Grunde, ein weißes Lamm mit dem Körper nach links gewendet, den Kopf zurückdrehend. Das rechte Vorderbein erhoben, vorne an der Brust blutende Wunde; Vließ mit schneckenartig gedrehten Locken. Im Hintergrund goldene Fahne mit rotem Kreuz. Emblem der Florentiner Wollwebezunft (Arte della Lana). Holzrelief, polychromiert, rund, mit einem vergoldeten Wulstrand als Einrahmung. Durchmesser 52,3 cm.]] réalisée par Florentinisch 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 650 sch. [422]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE IN EINEM TABERNAKELRAHMEN. Halbfigur der Maria mit reich gemustertem Gewände, den Mantel über den Kopf gezogen, das nackte Kind in den Armen haltend. Der Tabernakelrahmen besteht aus einem Spitzgiebel zwischen zwei Fialen und darüber eine flach gewölbte Muschel. Das Stück stammt aus Padua. Holzskulptur, polychromiert. Von der Fassung ist vielfach nur noch die Grundierung erhalten. Der Rahmen stark verwittert. Höhe 101, Breite 64 cm. Tafel LXVIII (Venezianisch Mitte 15. Jahrhundert)|MARIA MIT DEM KINDE IN EINEM TABERNAKELRAHMEN. Halbfigur der Maria mit reich gemustertem Gewände, den Mantel über den Kopf gezogen, das nackte Kind in den Armen haltend. Der Tabernakelrahmen besteht aus einem Spitzgiebel zwischen zwei Fialen und darüber eine flach gewölbte Muschel. Das Stück stammt aus Padua. Holzskulptur, polychromiert. Von der Fassung ist vielfach nur noch die Grundierung erhalten. Der Rahmen stark verwittert. Höhe 101, Breite 64 cm. Tafel LXVIII]] réalisée par Venezianisch Mitte 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 2000 sch. [423]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[VERKÜNDIGUNG AN MARIA. In einer halboffenen gotischen Halle kniet Maria mit vor der Brust gekreuzten Händen. Links außerhalb der Halle kniet der Engel. Oben links in Wolken Gott Vater. Von seinem Mund führt ein Strahlenbündel zum Kopf der Maria, über dem die Taube schwebt. In einem architektonischen Originalrahmen aus Holz mit Giebel und Architrav, darauf gemalt: ECCE ANCILLA DOMINI. Italienische Nachbildung nach einem deutschen Vorbilde, das in einem Holzschnitt des Germanischen Museums in Nürnberg zu suchen ist (vgl. W. Stengel, Holzschnitte im Germanischen Museum, Berlin 1913,Taf. 15). - Eine Replik in Stucco ohne Rahmen im Domschatz zu Augsburg, eine Bronzeplakette mit dem gleichen Gegenstand in einer mitgegossenen italienischen Renaissanceumrahmung in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum (Kat. Bange, Nr. 2841); dieselbe Darstellung, vergrößert, auf einem Bronzerelief der Sammlung Figdor. Stuccorelief. Bräunlich gefärbt. Höhe 44, Breite 25,5 cm. Tafel LXVIII (Italienisch Ende 15. Jahrhundert)|VERKÜNDIGUNG AN MARIA. In einer halboffenen gotischen Halle kniet Maria mit vor der Brust gekreuzten Händen. Links außerhalb der Halle kniet der Engel. Oben links in Wolken Gott Vater. Von seinem Mund führt ein Strahlenbündel zum Kopf der Maria, über dem die Taube schwebt. In einem architektonischen Originalrahmen aus Holz mit Giebel und Architrav, darauf gemalt: ECCE ANCILLA DOMINI. Italienische Nachbildung nach einem deutschen Vorbilde, das in einem Holzschnitt des Germanischen Museums in Nürnberg zu suchen ist (vgl. W. Stengel, Holzschnitte im Germanischen Museum, Berlin 1913,Taf. 15). - Eine Replik in Stucco ohne Rahmen im Domschatz zu Augsburg, eine Bronzeplakette mit dem gleichen Gegenstand in einer mitgegossenen italienischen Renaissanceumrahmung in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum (Kat. Bange, Nr. 2841); dieselbe Darstellung, vergrößert, auf einem Bronzerelief der Sammlung Figdor. Stuccorelief. Bräunlich gefärbt. Höhe 44, Breite 25,5 cm. Tafel LXVIII]] réalisée par Italienisch Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [424]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[SPIEGELRAHMEN. In der Mitte eine kleine runde Metallplatte, von einem Blätterkranz umrahmt, und umgeben von achtzehn unregelmäßig verteilten Kinderköpfen, die Kränze zum Teil um den Hals, zum Teil in den Haaren tragen. Zwischen den Köpfen ragen einzelne Hände hervor. Zu unterst ein Händepaar, den Kranz mit dem Spiegel stützend. Sammlung Boy, Versailles. Besprochen und abgebildet bei Bode, Denkmäler der Renaissance-Skulptur Toskanas, 1892 -1905, Textband S. 177, Taf. 548. Bodes Würdigung hat folgenden Wortlaut: »Der Spiegel im Besitz von Dr. Figdor in Wien erinnert wohl jeden in den köstlichen, frischen Köpfen dieser Bürschchen, die das Rund mit dem kleinen Metallspiegel halten, sofort an Luca della Robbias singende und tanzende Engel. Obgleich die Glasur keine gute ist, ist eine solche Fülle von Leben, eine so köstliche Erfassung der heitern Jugend, eine solche Mannigfaltigkeit in diesen prachtvollen Köpfen, daß wir nur an eine eigene, rasche Arbeit Lucas denken dürfen, die zur Zeit entstand, als der Künstler seine Kanzel vollendete.« Ton. Weiß glasiert auf blauem Grund. Durchmesser 61 cm. Tafel LXIX (Luca della Robbia)|SPIEGELRAHMEN. In der Mitte eine kleine runde Metallplatte, von einem Blätterkranz umrahmt, und umgeben von achtzehn unregelmäßig verteilten Kinderköpfen, die Kränze zum Teil um den Hals, zum Teil in den Haaren tragen. Zwischen den Köpfen ragen einzelne Hände hervor. Zu unterst ein Händepaar, den Kranz mit dem Spiegel stützend. Sammlung Boy, Versailles. Besprochen und abgebildet bei Bode, Denkmäler der Renaissance-Skulptur Toskanas, 1892 -1905, Textband S. 177, Taf. 548. Bodes Würdigung hat folgenden Wortlaut: »Der Spiegel im Besitz von Dr. Figdor in Wien erinnert wohl jeden in den köstlichen, frischen Köpfen dieser Bürschchen, die das Rund mit dem kleinen Metallspiegel halten, sofort an Luca della Robbias singende und tanzende Engel. Obgleich die Glasur keine gute ist, ist eine solche Fülle von Leben, eine so köstliche Erfassung der heitern Jugend, eine solche Mannigfaltigkeit in diesen prachtvollen Köpfen, daß wir nur an eine eigene, rasche Arbeit Lucas denken dürfen, die zur Zeit entstand, als der Künstler seine Kanzel vollendete.« Ton. Weiß glasiert auf blauem Grund. Durchmesser 61 cm. Tafel LXIX]] réalisée par Luca della Robbia, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par J. und S. Goldschmidt au prix de 60000 sch. [425]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER SEBASTIAN. Halbfigur eines nackten, jungen Mannes mit dreiviertel nach rechts gewendetem Kopfe, offenem, schmerzverzerrtem Munde, langem, bis an den Nacken reichendem Haar. An der Brust und an den Armen Pfeillöcher. Besprochen und abgebildet bei Planiscig, Venezianische Bildhauer der Renaissance 1921, S. 143 und Andrea Riccio 1927, S. 142, Oeuvre-Katalog Nr. 20. Das Stück gehörte höchstwahrscheinlich zu einer Gruppe von vier Tonplastiken in ganzer Figur, wovon heute drei in der Kirche S. Canziano zu Padua aufgestellt sind, nämlich die Heiligen Heinrich, Agnes und Hieronymus. Eine vierte Plastik, das Gegenstück zum Hieronymus, fehlt; sie ist durch eine minderwertige, in den Maßen mit den anderen Gestalten nicht übereinstimmende Figur der hl. Anna ersetzt. Es liegt die Vermutung nahe, daß der vorliegende Sebastian das fehlende Gegenstück zum Hieronymus ist, um so mehr, da auch diese Plastik in zwei Stücken gebrannt wurde. Vom Sebastian, ursprünglich eine ganze Figur, wäre danach nur der Oberteil erhalten. Die Maße stimmen mit denen der Figuren in Padua überein. Vollrunde Tonplastik. Spuren einer alten Polychromierung. Höhe 59 cm. Tafel LXX (Andrea Briosco genannt Riccio)|HEILIGER SEBASTIAN. Halbfigur eines nackten, jungen Mannes mit dreiviertel nach rechts gewendetem Kopfe, offenem, schmerzverzerrtem Munde, langem, bis an den Nacken reichendem Haar. An der Brust und an den Armen Pfeillöcher. Besprochen und abgebildet bei Planiscig, Venezianische Bildhauer der Renaissance 1921, S. 143 und Andrea Riccio 1927, S. 142, Oeuvre-Katalog Nr. 20. Das Stück gehörte höchstwahrscheinlich zu einer Gruppe von vier Tonplastiken in ganzer Figur, wovon heute drei in der Kirche S. Canziano zu Padua aufgestellt sind, nämlich die Heiligen Heinrich, Agnes und Hieronymus. Eine vierte Plastik, das Gegenstück zum Hieronymus, fehlt; sie ist durch eine minderwertige, in den Maßen mit den anderen Gestalten nicht übereinstimmende Figur der hl. Anna ersetzt. Es liegt die Vermutung nahe, daß der vorliegende Sebastian das fehlende Gegenstück zum Hieronymus ist, um so mehr, da auch diese Plastik in zwei Stücken gebrannt wurde. Vom Sebastian, ursprünglich eine ganze Figur, wäre danach nur der Oberteil erhalten. Die Maße stimmen mit denen der Figuren in Padua überein. Vollrunde Tonplastik. Spuren einer alten Polychromierung. Höhe 59 cm. Tafel LXX]] réalisée par Andrea Briosco genannt Riccio, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Matthiesen au prix de 150000 sch. [426]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI KNIENDE ENGEL, einander zugewendet, in adorierender Haltung. In der Sammlung Figdor dem Benedetto da Majano zugeschrieben. - Es handelt sich vielmehr um einen Künstler, der in Beziehung zur Werkstatt des Verrocchio gestanden haben muß, jedoch auch in Berührung mit der Kunst Francesco Francias gekommen ist. Der Kopf des nach rechts gewendeten Engels erinnert an Arbeiten, die in die Nähe des Francia gerückt werden, bei denen man, wenn nicht unmittelbar an den Meister, an einen Künstler seiner Bologneser Gefolgschaft, Vincenzo Onofri, gedacht hat. Haarbehandlung und Gesichtsausdruck erinnern an eine Knabenbüste aus Terracotta im Kaiser-Friedrich-Museum zu Berlin (Kat. Schottmüller, Nr. 281), deren Bestimmung zwischen Francia und Onofri liegt, sowie an eine Jünglingsbüste, ehem. Sammlung R. v. Kaufmann, deren Bestimmung zwischen Verrocchio und Francia schwankte (Versteigerungskat. Kaufmann, Berlin 1917, III, Nr. 286). Qualitativ steht dieser erste Figdorsche Engel jedoch höher als die dem Onofri zugeschriebenen Werke, auch sind in seiner Haarbehandlung verrocchieske Elemente zu verzeichnen, die in Kopf und Haarbehandlung des zweiten, nach links gewendeten Engels noch weit stärker hervortreten. Hier ist ein enger Zusammenhang mit der Werkstatt des Verrocchio festzustellen. Terracotta. Höhe 88 bzw. 86, Breite 62 bzw. 61 cm. Tafel LXXI und LXXII (Andrea Del Verrocchio)|ZWEI KNIENDE ENGEL, einander zugewendet, in adorierender Haltung. In der Sammlung Figdor dem Benedetto da Majano zugeschrieben. - Es handelt sich vielmehr um einen Künstler, der in Beziehung zur Werkstatt des Verrocchio gestanden haben muß, jedoch auch in Berührung mit der Kunst Francesco Francias gekommen ist. Der Kopf des nach rechts gewendeten Engels erinnert an Arbeiten, die in die Nähe des Francia gerückt werden, bei denen man, wenn nicht unmittelbar an den Meister, an einen Künstler seiner Bologneser Gefolgschaft, Vincenzo Onofri, gedacht hat. Haarbehandlung und Gesichtsausdruck erinnern an eine Knabenbüste aus Terracotta im Kaiser-Friedrich-Museum zu Berlin (Kat. Schottmüller, Nr. 281), deren Bestimmung zwischen Francia und Onofri liegt, sowie an eine Jünglingsbüste, ehem. Sammlung R. v. Kaufmann, deren Bestimmung zwischen Verrocchio und Francia schwankte (Versteigerungskat. Kaufmann, Berlin 1917, III, Nr. 286). Qualitativ steht dieser erste Figdorsche Engel jedoch höher als die dem Onofri zugeschriebenen Werke, auch sind in seiner Haarbehandlung verrocchieske Elemente zu verzeichnen, die in Kopf und Haarbehandlung des zweiten, nach links gewendeten Engels noch weit stärker hervortreten. Hier ist ein enger Zusammenhang mit der Werkstatt des Verrocchio festzustellen. Terracotta. Höhe 88 bzw. 86, Breite 62 bzw. 61 cm. Tafel LXXI und LXXII]] réalisée par Andrea Del Verrocchio, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par K. Stern, Paris au prix de 82000 sch. [427]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI KNIENDE ENGEL, einander zugewendet, in adorierender Haltung. In der Sammlung Figdor dem Benedetto da Majano zugeschrieben. - Es handelt sich vielmehr um einen Künstler, der in Beziehung zur Werkstatt des Verrocchio gestanden haben muß, jedoch auch in Berührung mit der Kunst Francesco Francias gekommen ist. Der Kopf des nach rechts gewendeten Engels erinnert an Arbeiten, die in die Nähe des Francia gerückt werden, bei denen man, wenn nicht unmittelbar an den Meister, an einen Künstler seiner Bologneser Gefolgschaft, Vincenzo Onofri, gedacht hat. Haarbehandlung und Gesichtsausdruck erinnern an eine Knabenbüste aus Terracotta im Kaiser-Friedrich-Museum zu Berlin (Kat. Schottmüller, Nr. 281), deren Bestimmung zwischen Francia und Onofri liegt, sowie an eine Jünglingsbüste, ehem. Sammlung R. v. Kaufmann, deren Bestimmung zwischen Verrocchio und Francia schwankte (Versteigerungskat. Kaufmann, Berlin 1917, III, Nr. 286). Qualitativ steht dieser erste Figdorsche Engel jedoch höher als die dem Onofri zugeschriebenen Werke, auch sind in seiner Haarbehandlung verrocchieske Elemente zu verzeichnen, die in Kopf und Haarbehandlung des zweiten, nach links gewendeten Engels noch weit stärker hervortreten. Hier ist ein enger Zusammenhang mit der Werkstatt des Verrocchio festzustellen. Terracotta. Höhe 88 bzw. 86, Breite 62 bzw. 61 cm. Tafel LXXI und LXXII (Andrea Del Verrocchio)|ZWEI KNIENDE ENGEL, einander zugewendet, in adorierender Haltung. In der Sammlung Figdor dem Benedetto da Majano zugeschrieben. - Es handelt sich vielmehr um einen Künstler, der in Beziehung zur Werkstatt des Verrocchio gestanden haben muß, jedoch auch in Berührung mit der Kunst Francesco Francias gekommen ist. Der Kopf des nach rechts gewendeten Engels erinnert an Arbeiten, die in die Nähe des Francia gerückt werden, bei denen man, wenn nicht unmittelbar an den Meister, an einen Künstler seiner Bologneser Gefolgschaft, Vincenzo Onofri, gedacht hat. Haarbehandlung und Gesichtsausdruck erinnern an eine Knabenbüste aus Terracotta im Kaiser-Friedrich-Museum zu Berlin (Kat. Schottmüller, Nr. 281), deren Bestimmung zwischen Francia und Onofri liegt, sowie an eine Jünglingsbüste, ehem. Sammlung R. v. Kaufmann, deren Bestimmung zwischen Verrocchio und Francia schwankte (Versteigerungskat. Kaufmann, Berlin 1917, III, Nr. 286). Qualitativ steht dieser erste Figdorsche Engel jedoch höher als die dem Onofri zugeschriebenen Werke, auch sind in seiner Haarbehandlung verrocchieske Elemente zu verzeichnen, die in Kopf und Haarbehandlung des zweiten, nach links gewendeten Engels noch weit stärker hervortreten. Hier ist ein enger Zusammenhang mit der Werkstatt des Verrocchio festzustellen. Terracotta. Höhe 88 bzw. 86, Breite 62 bzw. 61 cm. Tafel LXXI und LXXII]] réalisée par Andrea Del Verrocchio, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par K. Stern, Paris au prix de 82000 sch. [428]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA, DAS KIND ANBETEND. Maria in Halbfigur, das Haupt mit einem dünnen Schleier bedeckt, über welchen der Mantel über den Kopf gezogen ist, die Hände anbetend gefaltet. Vor ihr rechts sitzt auf einem Rissen das Kind und spielt mit den Enden ihres Schleiers. - In einem zeitgenössischen, braun gestrichenen Holzgehäuse mit einer Glastür. Diese auf Desiderio zurückgehende Komposition ist in mehreren Stucco-Nachbildungen bekannt, u. a. in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum (Kat. Schottmüller, Nr. 128). Das Marmorrelief gleichen Gegenstandes in London, Victoria and Albert-Museum, kann - schon wegen der rohen Ausführung - nicht als Vorlage für die Nachbildungen angesehen werden. Stuccorelief, alt polychromiert. Die Polychromierung z. T. abgerieben. Höhe (des Reliefs) 43, Breite 35 cm. Höhe (des Gehäuses) 68, Breite 52 cm. (Desiderio Da Settignano)|MARIA, DAS KIND ANBETEND. Maria in Halbfigur, das Haupt mit einem dünnen Schleier bedeckt, über welchen der Mantel über den Kopf gezogen ist, die Hände anbetend gefaltet. Vor ihr rechts sitzt auf einem Rissen das Kind und spielt mit den Enden ihres Schleiers. - In einem zeitgenössischen, braun gestrichenen Holzgehäuse mit einer Glastür. Diese auf Desiderio zurückgehende Komposition ist in mehreren Stucco-Nachbildungen bekannt, u. a. in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum (Kat. Schottmüller, Nr. 128). Das Marmorrelief gleichen Gegenstandes in London, Victoria and Albert-Museum, kann - schon wegen der rohen Ausführung - nicht als Vorlage für die Nachbildungen angesehen werden. Stuccorelief, alt polychromiert. Die Polychromierung z. T. abgerieben. Höhe (des Reliefs) 43, Breite 35 cm. Höhe (des Gehäuses) 68, Breite 52 cm.]] réalisée par Desiderio Da Settignano, vendue par Dr. Albert Figdor. [429]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BÜSTE EINER JUNGEN FRAU. Mit ausgeschnittenem Kleide, das einen Streifen vom Hemd sehen läßt. Das kurze Haar zurückgekämmt und rückwärts gebunden. Leichte Variante einer Frauenbüste Desiderios aus Stucco, jedoch nicht vollrund, sondern nur im Hochrelief ohne Grund, die in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum, bewahrt wird (Kat. Schottmüller, Nr. 126) und aus dem Palazzo Castracane in Urbania stammt. Vollrund. Stucco. Polychromiert. Höhe 53, Breite (Dm. des Sockels) 45 cm. Tafel LXXIII (Desiderio Da Settignano)|BÜSTE EINER JUNGEN FRAU. Mit ausgeschnittenem Kleide, das einen Streifen vom Hemd sehen läßt. Das kurze Haar zurückgekämmt und rückwärts gebunden. Leichte Variante einer Frauenbüste Desiderios aus Stucco, jedoch nicht vollrund, sondern nur im Hochrelief ohne Grund, die in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum, bewahrt wird (Kat. Schottmüller, Nr. 126) und aus dem Palazzo Castracane in Urbania stammt. Vollrund. Stucco. Polychromiert. Höhe 53, Breite (Dm. des Sockels) 45 cm. Tafel LXXIII]] réalisée par Desiderio Da Settignano, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Stern au prix de 51000 sch. [430]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Halbfigur der (wohl hinter einer Brüstung) stehenden Maria. Sie umfängt mit dem linken Arm das in ganzer Figur neben ihr stehende Kind, das mit der Rechten ihren Hals umfaßt und mit der Linken nach ihrem Halstuch greift. Auf dem Nimbus der Madonna die Aufschrift: AVE MARIA CELORVM AVE. In einem alten, dazugehörigen Holzrahmen, in dessen spitzen Giebel Reste einer Ecce-Homo-Figur zu sehen sind. Die Komposition geht aller Wahrscheinlichkeit nach auf Antonio Rossellino zurück und ist durch mehrere Stucco-Nachbildungen bekannt. Ein Exemplar in Berlin, Raiser-Friedrich-Museum (Kat. Schottmüller, Nr. 154). Stuccorelief, polychromiert. Der Hintergrund gepunzt. Höhe 52,2, Breite 24 cm. Tafel LXXIV (Antonio Rossellino)|MARIA MIT DEM KINDE. Halbfigur der (wohl hinter einer Brüstung) stehenden Maria. Sie umfängt mit dem linken Arm das in ganzer Figur neben ihr stehende Kind, das mit der Rechten ihren Hals umfaßt und mit der Linken nach ihrem Halstuch greift. Auf dem Nimbus der Madonna die Aufschrift: AVE MARIA CELORVM AVE. In einem alten, dazugehörigen Holzrahmen, in dessen spitzen Giebel Reste einer Ecce-Homo-Figur zu sehen sind. Die Komposition geht aller Wahrscheinlichkeit nach auf Antonio Rossellino zurück und ist durch mehrere Stucco-Nachbildungen bekannt. Ein Exemplar in Berlin, Raiser-Friedrich-Museum (Kat. Schottmüller, Nr. 154). Stuccorelief, polychromiert. Der Hintergrund gepunzt. Höhe 52,2, Breite 24 cm. Tafel LXXIV]] réalisée par Antonio Rossellino, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Dr. Pauli au prix de 2200 sch. [431]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Halbfigur der Maria, dreiviertel nach links sitzend, in rotem Gewande, blauem Mantel und weißem Schleier. Sie hält das nackte Kind auf dem Schoße, das mit beiden Händen ihren Schleier faßt. - In einem runden, zeitgenössischen Holzrahmen mit zwei konzentrischen, vergoldeten Kreisen und einem breiten, flachen Rand, auf dem eine Flammenglorie auf blauem Grund gemalt ist. Reduktion in Rund des rechteckigen Marmorreliefs Benedetto da Majanos, einst Bologna, Sammlung des Herzogs von Montpensier, jetzt in New York, Sammlung George and Florence Blumenthal (siehe Bode, Denkmäler, Taf. 365 und Rubinstein-Bloch, Catalogue of the Collection of G. and F. Blumenthal, New York 1926 Bd. II, Taf. XXXIV). Eine rechteckige Stucco-Reduktion desselben Reliefs in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum (Kat. Schottmüller, Nr. 207). Stuccorelief, polychromiert. Durchmesser 67 cm. Tafel LXXIV (Benedetto da Majano)|MARIA MIT DEM KINDE. Halbfigur der Maria, dreiviertel nach links sitzend, in rotem Gewande, blauem Mantel und weißem Schleier. Sie hält das nackte Kind auf dem Schoße, das mit beiden Händen ihren Schleier faßt. - In einem runden, zeitgenössischen Holzrahmen mit zwei konzentrischen, vergoldeten Kreisen und einem breiten, flachen Rand, auf dem eine Flammenglorie auf blauem Grund gemalt ist. Reduktion in Rund des rechteckigen Marmorreliefs Benedetto da Majanos, einst Bologna, Sammlung des Herzogs von Montpensier, jetzt in New York, Sammlung George and Florence Blumenthal (siehe Bode, Denkmäler, Taf. 365 und Rubinstein-Bloch, Catalogue of the Collection of G. and F. Blumenthal, New York 1926 Bd. II, Taf. XXXIV). Eine rechteckige Stucco-Reduktion desselben Reliefs in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum (Kat. Schottmüller, Nr. 207). Stuccorelief, polychromiert. Durchmesser 67 cm. Tafel LXXIV]] réalisée par Benedetto da Majano, vendue par Dr. Albert Figdor. [432]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE MÄRTYRERIN. In Frontalansicht stehend, in hochgegürtetem Gewande und langem ausgebreitetem Mantel. Das lange, auf die Schultern herabfallende Haar von einem Stirnband durchflochten. In der Linken ein Buch, in der Rechten einen (stark lädierten) Palmzweig. Holzrelief in kreisrunder, gerahmter Scheibe. Polychromiert. Durchmesser 40 cm. (Spanisch ? Anfamg 16. Jahrhundert)|HEILIGE MÄRTYRERIN. In Frontalansicht stehend, in hochgegürtetem Gewande und langem ausgebreitetem Mantel. Das lange, auf die Schultern herabfallende Haar von einem Stirnband durchflochten. In der Linken ein Buch, in der Rechten einen (stark lädierten) Palmzweig. Holzrelief in kreisrunder, gerahmter Scheibe. Polychromiert. Durchmesser 40 cm.]] réalisée par Spanisch ? Anfamg 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 350 sch. [433]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER BERNHARDIN. Alter, aufrechtstehender Mönch in langer dunkelbrauner Kutte, die Kapuze über den Kopf gezogen. In einem Buch lesend, das der rechte Arm stützt und oben die rechte Hand faßt. Auf dem Buchdeckel, in einer Strahlenglorie, das I. H. S.-Zeichen. Eine Stucco-Replik in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum (Kat. Schottmüller, Nr. 284, mit dem Hinweis auf die Statuetten Nicolòs an der Arca di S. Domenico in der gleichnamigen Kirche zu Bologna). Statuette. Stucco. Polychromiert. Höhe mit Sockel 67 cm. Tafel LXXV (Nicolò dell'Arca)|HEILIGER BERNHARDIN. Alter, aufrechtstehender Mönch in langer dunkelbrauner Kutte, die Kapuze über den Kopf gezogen. In einem Buch lesend, das der rechte Arm stützt und oben die rechte Hand faßt. Auf dem Buchdeckel, in einer Strahlenglorie, das I. H. S.-Zeichen. Eine Stucco-Replik in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum (Kat. Schottmüller, Nr. 284, mit dem Hinweis auf die Statuetten Nicolòs an der Arca di S. Domenico in der gleichnamigen Kirche zu Bologna). Statuette. Stucco. Polychromiert. Höhe mit Sockel 67 cm. Tafel LXXV]] réalisée par Nicolò dell'Arca, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 5100 sch. [434]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[AUFERSTEHUNG CHRISTI. HOCHRELIEF. Christus, mit Kreuznimbus und Siegesfahne, die Rechte erhoben, entsteigt mit dem rechten Bein dem Sarkophag, und tritt dem Krieger, der vor dem Sarkophag im Vordergrund liegt, auf die Brust. Rechts sitzt auf einem Felsstück ein zweiter Krieger, zu Christus aufblickend, links hinter dem Sarkophag ein dritter, das Gesicht in die Hände vergraben. Die Krieger in voller Rüstung, in Beckenhauben mit Brünne, ohne Visier; der rechts trägt ein Wams mit langen, unten weiten Ärmeln, der unten liegende hat einen Streithammer.- Zinnenförmige Bekrönung. Reste alter roter und goldener Bemalung. Abgebrochen die oberen Stücke der Siegesfahne und der Lanze rechts sowie die linke obere Ecke des Reliefs. Bei Christus fehlen zwei Finger der rechten Hand. Ähnliche Darstellungen der Auferstehung aus derselben Schule kommen öfters vor. Sie waren beliebt als Mittelstücke von Altären, wie sich solche noch in Kopenhagen, Nationalmuseum, und in Danzig, Städt. Museum, befinden. Einzelne Reliefs mit derselben Darstellung z.B. in Berlin, Deutsches Museum, und im British Museum in London. Alabaster. Höhe 41, Breite 27 cm. Tafel LXXVI (Englisch, Schule von Nottingham 2. Hälfte 14. Jahrhundert)|AUFERSTEHUNG CHRISTI. HOCHRELIEF. Christus, mit Kreuznimbus und Siegesfahne, die Rechte erhoben, entsteigt mit dem rechten Bein dem Sarkophag, und tritt dem Krieger, der vor dem Sarkophag im Vordergrund liegt, auf die Brust. Rechts sitzt auf einem Felsstück ein zweiter Krieger, zu Christus aufblickend, links hinter dem Sarkophag ein dritter, das Gesicht in die Hände vergraben. Die Krieger in voller Rüstung, in Beckenhauben mit Brünne, ohne Visier; der rechts trägt ein Wams mit langen, unten weiten Ärmeln, der unten liegende hat einen Streithammer.- Zinnenförmige Bekrönung. Reste alter roter und goldener Bemalung. Abgebrochen die oberen Stücke der Siegesfahne und der Lanze rechts sowie die linke obere Ecke des Reliefs. Bei Christus fehlen zwei Finger der rechten Hand. Ähnliche Darstellungen der Auferstehung aus derselben Schule kommen öfters vor. Sie waren beliebt als Mittelstücke von Altären, wie sich solche noch in Kopenhagen, Nationalmuseum, und in Danzig, Städt. Museum, befinden. Einzelne Reliefs mit derselben Darstellung z.B. in Berlin, Deutsches Museum, und im British Museum in London. Alabaster. Höhe 41, Breite 27 cm. Tafel LXXVI]] réalisée par Englisch, Schule von Nottingham 2. Hälfte 14. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 2100 sch. [435]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER GEORG. HOCHRELIEF. Mit gespreizten Beinen auf dem Drachen stehend, in voller Rüstung, in der Rechten die Lanze, am Gürtel (Dupsing) links der Dolch, rechts das Schwert. Er faßt mit der Linken den Schild. Der Drache erhebt rechts den Kopf, links ringelt sich der Schwanz bis zur Dolchspitze empor. Mit erheblichen Resten der alten Bemalung: Ränder der Rüstungsplatten vergoldet, Drachenleib rot. Reliefgrund im unteren Teil grün, mit buntfarbigen Rosetten: Andeutung einer Wiese mit Blumen. Es fehlt die rechte Hand, die Spitze der Lanze und ein Stück aus der Schaftmitte, der Dolchgriff, der mittlere Teil des linken Armes sowie zwei Stücke des Reliefgrundes. Die Figur gehörte zu einem Georgsaltar und stand wohl an der Seite des einen Flügels; vgl. den Georgsaltar in Börbjerg (Dänemark); abgebildet Zeitschrift für christliche Kunst XXIII (1910), S. 241 f. Vorbesitzer: José Pasco, Barcelona. Alabaster. Höhe 38, Breite 13 cm. Tafel LXXVII (Englisch 2. Hälfte 14. Jahrhundert)|HEILIGER GEORG. HOCHRELIEF. Mit gespreizten Beinen auf dem Drachen stehend, in voller Rüstung, in der Rechten die Lanze, am Gürtel (Dupsing) links der Dolch, rechts das Schwert. Er faßt mit der Linken den Schild. Der Drache erhebt rechts den Kopf, links ringelt sich der Schwanz bis zur Dolchspitze empor. Mit erheblichen Resten der alten Bemalung: Ränder der Rüstungsplatten vergoldet, Drachenleib rot. Reliefgrund im unteren Teil grün, mit buntfarbigen Rosetten: Andeutung einer Wiese mit Blumen. Es fehlt die rechte Hand, die Spitze der Lanze und ein Stück aus der Schaftmitte, der Dolchgriff, der mittlere Teil des linken Armes sowie zwei Stücke des Reliefgrundes. Die Figur gehörte zu einem Georgsaltar und stand wohl an der Seite des einen Flügels; vgl. den Georgsaltar in Börbjerg (Dänemark); abgebildet Zeitschrift für christliche Kunst XXIII (1910), S. 241 f. Vorbesitzer: José Pasco, Barcelona. Alabaster. Höhe 38, Breite 13 cm. Tafel LXXVII]] réalisée par Englisch 2. Hälfte 14. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 14000 sch. [436]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI TRAUERNDE (PLEUREURS). Wandfiguren von einem Grabdenkmal. Erster Trauernder: Bärtig, in Kapuze und Mantel mit Bäffchen; darunter werden Hängeärmel des Obergewandes und enge, vorn mit Knöpfen besetzte, Ärmel vom Untergewand sichtbar. En face stehend, die Beine gekreuzt, die Hände zusammengelegt. Aus einem Stück mit dem links anschließenden halbierten Pfeiler mit Kapitell, an den er sich anlehnt. Rückseite glatt. Beide Daumen abgebrochen. Kleine Bestoßungen. Reste von Vergoldung am Gewand (Säume) und am Pfeilerkapitell. Standfläche ergänzt. Zweiter Trauernder: Bartlos, in der gleichen Tracht wie der vorausgehende; die Füße in spitzen Schuhen. Er blickt klagend empor und zerbricht mit den Händen den Streitkolben des Verstorbenen. Aus einem Stück mit dem links anschließenden halbierten Wandpfeiler. Rückseite glatt. Vergoldung wie bei dem vorigen Stück. Es fehlt der linke Fuß und das zugehörige Stück der profilierten Standfläche. Herkunft: Kloster Poblet, Provinz Tarragona, Spanien. - Ein ähnliches Stück, künstlerisch etwas geringer, kam aus der Sammlung J. Simon ins Kaiser Friedrich-Museum in Berlin. Alabaster oder Marmor. Höhe 30, Breite 9 cm bezw. Höhe 33 cm. Tafel LXXVIII (Südfranzösisch 2. Hälfte 14. Jahrhundert)|ZWEI TRAUERNDE (PLEUREURS). Wandfiguren von einem Grabdenkmal. Erster Trauernder: Bärtig, in Kapuze und Mantel mit Bäffchen; darunter werden Hängeärmel des Obergewandes und enge, vorn mit Knöpfen besetzte, Ärmel vom Untergewand sichtbar. En face stehend, die Beine gekreuzt, die Hände zusammengelegt. Aus einem Stück mit dem links anschließenden halbierten Pfeiler mit Kapitell, an den er sich anlehnt. Rückseite glatt. Beide Daumen abgebrochen. Kleine Bestoßungen. Reste von Vergoldung am Gewand (Säume) und am Pfeilerkapitell. Standfläche ergänzt. Zweiter Trauernder: Bartlos, in der gleichen Tracht wie der vorausgehende; die Füße in spitzen Schuhen. Er blickt klagend empor und zerbricht mit den Händen den Streitkolben des Verstorbenen. Aus einem Stück mit dem links anschließenden halbierten Wandpfeiler. Rückseite glatt. Vergoldung wie bei dem vorigen Stück. Es fehlt der linke Fuß und das zugehörige Stück der profilierten Standfläche. Herkunft: Kloster Poblet, Provinz Tarragona, Spanien. - Ein ähnliches Stück, künstlerisch etwas geringer, kam aus der Sammlung J. Simon ins Kaiser Friedrich-Museum in Berlin. Alabaster oder Marmor. Höhe 30, Breite 9 cm bezw. Höhe 33 cm. Tafel LXXVIII]] réalisée par Südfranzösisch 2. Hälfte 14. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Schwersenz au prix de 7500 sch. [437]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MADONNENSTATUE AUS S. TROND. In ärmellosem Mantel, dessen eines Ende über den erhobenen linken Arm herabhängt. Das Rind ähnlich bekleidet. Aus einem Stück mit dem aus dem Achteck genommenen Sockel. Rückseite glatt. Reste alter Polychromie: Blätter an der Krone vergoldet, Zwischenfelder rot, Kopftuch vergoldet. Reste von Rot an der Blume in der Linken; am Mantel. Aus dem Redemptoristen-Kloster in S. Trond in der belgischen Provinz Limburg. Nah verwandt eine Statue der hl. Katharina, Paderborn, Diözesan-Museum; abgebildet im Jahresbericht des Museums 1914. Die Ähnlichkeit mit einer Madonna aus Flawford im Museum von Nottingham (abgebildet bei Prior und Gardner, An account of mediaeval figure-sculpture in England, S. 359) läßt die Entstehung in England als möglich erscheinen.- Literatur: Weale, Instrumenta ecclesiastica (1866), Nr. 10. - Helbig, La sculpture et les arts plastiques au pays de Liège (2. Aufl. 1890), S. 119. - Destreé, Annales de la Société d'archéologie de Bruxelles, Bd. 23. - Baum in den »Belgischen Kunstdenkmälern« herausgegeben von Clemen, I (1922), S. 166 f. Alabaster. Höhe. 75 cm. Tafel LXXVII (Niederländisch Mitte 14. Jahrhundert)|MADONNENSTATUE AUS S. TROND. In ärmellosem Mantel, dessen eines Ende über den erhobenen linken Arm herabhängt. Das Rind ähnlich bekleidet. Aus einem Stück mit dem aus dem Achteck genommenen Sockel. Rückseite glatt. Reste alter Polychromie: Blätter an der Krone vergoldet, Zwischenfelder rot, Kopftuch vergoldet. Reste von Rot an der Blume in der Linken; am Mantel. Aus dem Redemptoristen-Kloster in S. Trond in der belgischen Provinz Limburg. Nah verwandt eine Statue der hl. Katharina, Paderborn, Diözesan-Museum; abgebildet im Jahresbericht des Museums 1914. Die Ähnlichkeit mit einer Madonna aus Flawford im Museum von Nottingham (abgebildet bei Prior und Gardner, An account of mediaeval figure-sculpture in England, S. 359) läßt die Entstehung in England als möglich erscheinen.- Literatur: Weale, Instrumenta ecclesiastica (1866), Nr. 10. - Helbig, La sculpture et les arts plastiques au pays de Liège (2. Aufl. 1890), S. 119. - Destreé, Annales de la Société d'archéologie de Bruxelles, Bd. 23. - Baum in den »Belgischen Kunstdenkmälern« herausgegeben von Clemen, I (1922), S. 166 f. Alabaster. Höhe. 75 cm. Tafel LXXVII]] réalisée par Niederländisch Mitte 14. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Schwersenz au prix de 14000 sch. [438]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[KONSOLE MIT NARRENFIGUR (MARMOUSET). Unter einem gotisch profilierten über Eck stehenden Tragstein, mit horizontaler Teilung in der Mitte, kauert ein Mann mit Kapuzenkragen und enganliegendem Gewand. Leichte Beschädigungen an der Nase, am Arm, an einer Fußspitze. Rechts von der Mitte des Tragsteins ist eine senkrechte Rinne ausgeschnitten. Hinten links fehlt ein Stück. Marmor oder Alabaster. Höhe 12,5, Breite 13 cm. (Französisch 14. Jahrhundert)|KONSOLE MIT NARRENFIGUR (MARMOUSET). Unter einem gotisch profilierten über Eck stehenden Tragstein, mit horizontaler Teilung in der Mitte, kauert ein Mann mit Kapuzenkragen und enganliegendem Gewand. Leichte Beschädigungen an der Nase, am Arm, an einer Fußspitze. Rechts von der Mitte des Tragsteins ist eine senkrechte Rinne ausgeschnitten. Hinten links fehlt ein Stück. Marmor oder Alabaster. Höhe 12,5, Breite 13 cm.]] réalisée par Französisch 14. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par A. Seligmann au prix de 1050 sch. [439]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[KLEINE KONSOLE. Zwischen zwei Gewölberippen je ein Blatt, darunter eine orgelspielende Frau; ihre entblößte Rückseite, die nach unten gekehrt ist, zeigt Teufelsklauen und einen buschigen Schwanz. Haar und Orgel vergoldet; ebenso die Blätter; Klauen dunkel. Kalkstein. Höhe 13,3, Breite 8,5 cm. Tafel LXXX (Französisch 1. Hälfte 15. Jahrhundert)|KLEINE KONSOLE. Zwischen zwei Gewölberippen je ein Blatt, darunter eine orgelspielende Frau; ihre entblößte Rückseite, die nach unten gekehrt ist, zeigt Teufelsklauen und einen buschigen Schwanz. Haar und Orgel vergoldet; ebenso die Blätter; Klauen dunkel. Kalkstein. Höhe 13,3, Breite 8,5 cm. Tafel LXXX]] réalisée par Französisch 1. Hälfte 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 1100 sch. [440]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[SITZENDER JOHANNESKNABE, auf einem Stuhl mit niedriger Lehne und Fußbrett, auf dem Schoß ein Lamm. Reste alter Polychromie: Haar und Gewandsäume vergoldet, Rot am Stuhl, Terrainsockel grün. - Die auf dem glatten Rücken eingeschnittene Zahl 1371 scheint nicht ursprünglich, zum mindesten überarbeitet. Alabaster. Höhe 11, Breite 5,3 cm. (Spanisch ? 14.-15. Jahrhundert)|SITZENDER JOHANNESKNABE, auf einem Stuhl mit niedriger Lehne und Fußbrett, auf dem Schoß ein Lamm. Reste alter Polychromie: Haar und Gewandsäume vergoldet, Rot am Stuhl, Terrainsockel grün. - Die auf dem glatten Rücken eingeschnittene Zahl 1371 scheint nicht ursprünglich, zum mindesten überarbeitet. Alabaster. Höhe 11, Breite 5,3 cm.]] réalisée par Spanisch ? 14.-15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 250 sch. [441]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BISCHOFSSTATUETTE. Frontal. Mit Alba, Pluviale, Sudarium und Mitra: ein Kirchenmodell auf dem linken Arm; die Rechte jetzt leer. Breit abstehendes Haar. Aus einem Stück mit dem rechteckigen, an den Ecken abgeschrägten Sockel. Darüber grüne Standfläche, Rasen andeutend. Rückseite flach behandelt. Reste alter Bemalung: Mitra rot mit goldenem Rand. Sudarium rot, Borte gold, Fransen grün; Pluviale mit Resten von Vergoldung an den Rändern und an dem Kreuz, Futter blau, Schuhe rot. Kirchendach grün. Alabaster. Höhe (mit Sockel) 31,6 cm. (Deutsch Mitte 15. Jahrhundert)|BISCHOFSSTATUETTE. Frontal. Mit Alba, Pluviale, Sudarium und Mitra: ein Kirchenmodell auf dem linken Arm; die Rechte jetzt leer. Breit abstehendes Haar. Aus einem Stück mit dem rechteckigen, an den Ecken abgeschrägten Sockel. Darüber grüne Standfläche, Rasen andeutend. Rückseite flach behandelt. Reste alter Bemalung: Mitra rot mit goldenem Rand. Sudarium rot, Borte gold, Fransen grün; Pluviale mit Resten von Vergoldung an den Rändern und an dem Kreuz, Futter blau, Schuhe rot. Kirchendach grün. Alabaster. Höhe (mit Sockel) 31,6 cm.]] réalisée par Deutsch Mitte 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [442]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[SITZENDER PILGER. Mit lockigem Haupt- und Barthaar, auf dem Haupt eine Mütze mit Wulstrand, auf der Schulter eine Kapuze mit breiter, vorn herabfallender Binde; die Hände halten Stab und Rosenkranz. Er sitzt auf einer oben und unten stark ausladenden Bank; unter den Füßen Rasenfläche. Rücken der Figur ausgeführt; die Bank hinten schräg ausgehöhlt. Grün in Resten am Gewand und an der Kapuze, Blau und Rot an der Mütze. Alabasterstatuette. Höhe 16 cm. Tafel LXXX (Niederländisch. Nach der Mitte des 15. Jahrhunderts)|SITZENDER PILGER. Mit lockigem Haupt- und Barthaar, auf dem Haupt eine Mütze mit Wulstrand, auf der Schulter eine Kapuze mit breiter, vorn herabfallender Binde; die Hände halten Stab und Rosenkranz. Er sitzt auf einer oben und unten stark ausladenden Bank; unter den Füßen Rasenfläche. Rücken der Figur ausgeführt; die Bank hinten schräg ausgehöhlt. Grün in Resten am Gewand und an der Kapuze, Blau und Rot an der Mütze. Alabasterstatuette. Höhe 16 cm. Tafel LXXX]] réalisée par Niederländisch. Nach der Mitte des 15. Jahrhunderts, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 1450 sch. [443]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER GEORG ZU PFERDE, DEN DRACHEN TÖTEND. Hochreliefgruppe mit fast frei gearbeiteter Figur. Der kleine Drache rechts fällt aufspringend Pferd und Reiter an. Felsiger Grund mit Andeutung von Rasen und Bäumen. Auf altem Sockel. Alte Bemalung, dunkle Patina. Drache: Rücken braun; Maul, Ohren, Schwanz rot. An der Rüstung sind die Ränder, beim Pferd Zaum- und Sattelzeug vergoldet. Dem Ritter fehlt Lanze und rechte Hand. Der kräftig profilierte Sockel zeigt vorn ein durchbrochen gearbeitetes doppeltes Fischblasenmuster, durch Querstab geteilt. Ausladende Kanten leicht bestoßen. Sammlung Emile Peyre, Paris. Alabaster. Höhe der Figur 28,6, des Sockels 9 cm. Tafel LXXIX (Niederländisch um 1470)|HEILIGER GEORG ZU PFERDE, DEN DRACHEN TÖTEND. Hochreliefgruppe mit fast frei gearbeiteter Figur. Der kleine Drache rechts fällt aufspringend Pferd und Reiter an. Felsiger Grund mit Andeutung von Rasen und Bäumen. Auf altem Sockel. Alte Bemalung, dunkle Patina. Drache: Rücken braun; Maul, Ohren, Schwanz rot. An der Rüstung sind die Ränder, beim Pferd Zaum- und Sattelzeug vergoldet. Dem Ritter fehlt Lanze und rechte Hand. Der kräftig profilierte Sockel zeigt vorn ein durchbrochen gearbeitetes doppeltes Fischblasenmuster, durch Querstab geteilt. Ausladende Kanten leicht bestoßen. Sammlung Emile Peyre, Paris. Alabaster. Höhe der Figur 28,6, des Sockels 9 cm. Tafel LXXIX]] réalisée par Niederländisch um 1470, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par J. u. S. Goldschmidt au prix de 7500 sch. [444]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[SYMBOLISCHE DARSTELLUNG DES CHRISTKINDES UND DER LEIDENSWERKZEUGE. Rechteckiges Relief. Aus einem Stengel wachsen drei Blütenkelche. Auf der mittleren Blüte ein Herz mit dem stehenden nackten Christkind (Nimbus und Strahlenglorie), auf den seitlichen je ein Engel. Zwei weitere Engel, nackt wie die oberen, in den unteren Ecken. Die vier Engel halten die Leidenswerkzeuge. Aufgerauhter Grund von unregelmäßiger Höhe. Mit alter Bemalung, die z. T. erneuert ist; das Herz brennrot; Stengel der Blume bräunlich, Blätter grün, Blütenkelche braun, karminrot, gold. Bodenfläche grün. Es fehlen die Ecke rechts sowie die Armchen des Engels unten. Vereinfachte Nachbildung eines Stiches des Meisters E. S. (L. 51 um 1467), abgebildet bei Geisberg, Meister der Graphik, Bd. X (2. Aufl.), Taf. 55. Kalkstein. Höhe 15, Breite 11 cm. Tafel LXXX (Oberdeutsch. Letztes Drittel 15. Jahrhundert)|SYMBOLISCHE DARSTELLUNG DES CHRISTKINDES UND DER LEIDENSWERKZEUGE. Rechteckiges Relief. Aus einem Stengel wachsen drei Blütenkelche. Auf der mittleren Blüte ein Herz mit dem stehenden nackten Christkind (Nimbus und Strahlenglorie), auf den seitlichen je ein Engel. Zwei weitere Engel, nackt wie die oberen, in den unteren Ecken. Die vier Engel halten die Leidenswerkzeuge. Aufgerauhter Grund von unregelmäßiger Höhe. Mit alter Bemalung, die z. T. erneuert ist; das Herz brennrot; Stengel der Blume bräunlich, Blätter grün, Blütenkelche braun, karminrot, gold. Bodenfläche grün. Es fehlen die Ecke rechts sowie die Armchen des Engels unten. Vereinfachte Nachbildung eines Stiches des Meisters E. S. (L. 51 um 1467), abgebildet bei Geisberg, Meister der Graphik, Bd. X (2. Aufl.), Taf. 55. Kalkstein. Höhe 15, Breite 11 cm. Tafel LXXX]] réalisée par Oberdeutsch. Letztes Drittel 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Bayr. Nat.-Mus. au prix de 850 sch. [445]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HALBFIGUR DER JUDITH, mit dem Haupt des Holofernes. Offenes Lockenhaar, reich verziert, rückwärts herabfallend, Perlenkette mit Anhänger um den Hals. Kleid: Damastmuster in Flachrelief, Bordüre am Ausschnitt, gepuffte Ärmel. Rückseite glatt. Es fehlt der rechte Arm (Dübel vorhanden) und ein Stück links unten. Sammlung Gedon, München. Sammlung Georg Hirth, München. Solnhofener Stein. Höhe 19 cm. Tafel LXXX (Deutsch um 1530)|HALBFIGUR DER JUDITH, mit dem Haupt des Holofernes. Offenes Lockenhaar, reich verziert, rückwärts herabfallend, Perlenkette mit Anhänger um den Hals. Kleid: Damastmuster in Flachrelief, Bordüre am Ausschnitt, gepuffte Ärmel. Rückseite glatt. Es fehlt der rechte Arm (Dübel vorhanden) und ein Stück links unten. Sammlung Gedon, München. Sammlung Georg Hirth, München. Solnhofener Stein. Höhe 19 cm. Tafel LXXX]] réalisée par Deutsch um 1530, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Kaiser-Friedr.-Museum au prix de 550 sch. [446]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[WILDER MANN, fast frei gearbeitet, an ein rechteckiges Werkstück mit vortretender Standfläche angeschafft. Stehend, nackt, mit behaartem Körper, zottigem Haupthaar und Bart. Er schwingt mit der Rechten eine Keule und stützt sich mit der Linken auf ein Wappenschild. Mit geringen Resten alter Bemalung. Sandstein. Höhe 34,5, Tiefe 18 cm. (Schweiz 15. Jahrhundert)|WILDER MANN, fast frei gearbeitet, an ein rechteckiges Werkstück mit vortretender Standfläche angeschafft. Stehend, nackt, mit behaartem Körper, zottigem Haupthaar und Bart. Er schwingt mit der Rechten eine Keule und stützt sich mit der Linken auf ein Wappenschild. Mit geringen Resten alter Bemalung. Sandstein. Höhe 34,5, Tiefe 18 cm.]] réalisée par Schweiz 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Fischer, Luzern au prix de 550 sch. [447]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRIPPE. HOCHRELIEFGRUPPE. Das Christkind, ganz eingehüllt und mit Wickelbändern umbunden, liegt, dem Beschauer zugewendet, auf einem Bett, das wie ein Altar gestaltet und von vier durch Rundbogen verbundenen Pfeilern getragen wird. Rechts und links steht ein Hirte; der links, mit Kapuze, Überwurf und Stab, beugt sich vor, der rechts hat die Kapuze auf dem Nakken und trägt ein Fell als Überwurf. Hinten Ochs und Esel, mit den nach vorn gewendeten Köpfen das Christkind berührend. Ohne Reliefgrund. Die Standfläche links samt den Füßen des Hirten weggebrochen. Dem Hirten rechts fehlt die linke Hand und das linke Bein, dem Ochsen ein Horn und ein Stück vom Hinterfuß, dem Esel ein Hinterfuß und die Kruppe. Der untere Rand ist an beiden Seiten vermorscht. Reste alter Bemalung, z. T. tief nachgedunkelt. Eines der seltenen Stücke aus frühen Schnitzaltären, wie sie in Süddeutschland am Anfang des 14. Jahrhunderts nachgewiesen sind; Fragmente solcher süddeutschen Altäre in Eichenholz im Deutschen Museum in Berlin und anderwärts, vgl. R. Verres in »Amtliche Berichte aus den preuß. Kunstsammlungen« XXXXVI (1925), S. 9 ff. Der Gewandstil des Krippenreliefs weist noch ins 13. Jahrhundert. Nußholz. Höhe 32, Breite 42 cm. Tafel LXXXI (Westdeutsch um 1300)|KRIPPE. HOCHRELIEFGRUPPE. Das Christkind, ganz eingehüllt und mit Wickelbändern umbunden, liegt, dem Beschauer zugewendet, auf einem Bett, das wie ein Altar gestaltet und von vier durch Rundbogen verbundenen Pfeilern getragen wird. Rechts und links steht ein Hirte; der links, mit Kapuze, Überwurf und Stab, beugt sich vor, der rechts hat die Kapuze auf dem Nakken und trägt ein Fell als Überwurf. Hinten Ochs und Esel, mit den nach vorn gewendeten Köpfen das Christkind berührend. Ohne Reliefgrund. Die Standfläche links samt den Füßen des Hirten weggebrochen. Dem Hirten rechts fehlt die linke Hand und das linke Bein, dem Ochsen ein Horn und ein Stück vom Hinterfuß, dem Esel ein Hinterfuß und die Kruppe. Der untere Rand ist an beiden Seiten vermorscht. Reste alter Bemalung, z. T. tief nachgedunkelt. Eines der seltenen Stücke aus frühen Schnitzaltären, wie sie in Süddeutschland am Anfang des 14. Jahrhunderts nachgewiesen sind; Fragmente solcher süddeutschen Altäre in Eichenholz im Deutschen Museum in Berlin und anderwärts, vgl. R. Verres in »Amtliche Berichte aus den preuß. Kunstsammlungen« XXXXVI (1925), S. 9 ff. Der Gewandstil des Krippenreliefs weist noch ins 13. Jahrhundert. Nußholz. Höhe 32, Breite 42 cm. Tafel LXXXI]] réalisée par Westdeutsch um 1300, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Schwersenz au prix de 16500 sch. [448]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE VERONIKA. STATUE. Stehend mit seitlich und nach vorn leicht verschobenem Körper. Das Haar fällt zu beiden Seiten des Hauptes offen herab. Gewand mit Gürtel, dessen Ende lang herabhängt. Darüber offener Mantel, über die emporgehobenen Arme fallend. Der Gürtel zeigt ein gemaltes, der Mantelsaum ein gepreßtes Muster mit aufgelegten Steinen. Rückseite durchgeführt. Beide Hände, die als Attribut wohl das Schweißtuch hielten, sind abgebrochen. Alte Polychromie, vielfach abgeblättert, im Gesicht erneuert. Kleid vergoldet, Mantel rot. Weidenholz (?). Höhe 69 cm. Tafel LXXXII (Westdeutsch 14. Jahrhundert)|HEILIGE VERONIKA. STATUE. Stehend mit seitlich und nach vorn leicht verschobenem Körper. Das Haar fällt zu beiden Seiten des Hauptes offen herab. Gewand mit Gürtel, dessen Ende lang herabhängt. Darüber offener Mantel, über die emporgehobenen Arme fallend. Der Gürtel zeigt ein gemaltes, der Mantelsaum ein gepreßtes Muster mit aufgelegten Steinen. Rückseite durchgeführt. Beide Hände, die als Attribut wohl das Schweißtuch hielten, sind abgebrochen. Alte Polychromie, vielfach abgeblättert, im Gesicht erneuert. Kleid vergoldet, Mantel rot. Weidenholz (?). Höhe 69 cm. Tafel LXXXII]] réalisée par Westdeutsch 14. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [449]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[RELIQUIAR. In Form von zwei weiblichen Halbfiguren, die mit dem Rücken verwachsen sind; beide mit offen herabhängendem lockigem Haar, die Hände betend vor der Brust einander zugeneigt. Das Kleid zeigt einen Halsausschnitt mit Bordüre und weite, in regelmäßigen Falten herabfallende Ärmel. Unterhalb des Gürtels eine kreisrunde Offnung mit Dreipaß-Ornament, für die Reliquien. Von den Gesichtern ist das eine kürzer, jugendlicher, das andere länger, mit entwickelteren Zügen. Aus einem Stück mit dem achteckigen, profilierten Sockel. Der Sockel leicht beschädigt. Eichenholz, ohne Bemalung. Höhe 91, Breite 37 cm. Tafel LXXXII (Rheinisch 15. Jahrhundert)|RELIQUIAR. In Form von zwei weiblichen Halbfiguren, die mit dem Rücken verwachsen sind; beide mit offen herabhängendem lockigem Haar, die Hände betend vor der Brust einander zugeneigt. Das Kleid zeigt einen Halsausschnitt mit Bordüre und weite, in regelmäßigen Falten herabfallende Ärmel. Unterhalb des Gürtels eine kreisrunde Offnung mit Dreipaß-Ornament, für die Reliquien. Von den Gesichtern ist das eine kürzer, jugendlicher, das andere länger, mit entwickelteren Zügen. Aus einem Stück mit dem achteckigen, profilierten Sockel. Der Sockel leicht beschädigt. Eichenholz, ohne Bemalung. Höhe 91, Breite 37 cm. Tafel LXXXII]] réalisée par Rheinisch 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [450]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE BÜSTE, KOPFRELIQUIAR. Frontal, mit lächelndem Ausdruck; symmetrisch fallendes Lockenhaar. Auf der Brust runde Öffnung mit Dreipaß. Der Scheitel ist abnehmbar und mit Scharnier befestigt. Innen hohl, unten mit einem Brett verschlossen, dessen rückwärtiger Teil ergänzt ist.- Gesicht und Hals mit Silberfarbe bemalt, die schwärzlich geworden ist. Vergoldung am Gewand und an den Haaren erneuert. Früher in zwei Budapester Privatsammlungen. Nußbaumholz (?). Höhe 38, Breite 32 cm. Tafel LXXXIII (Rheinisch 1. Hälfte 14. Jahrhundert)|WEIBLICHE BÜSTE, KOPFRELIQUIAR. Frontal, mit lächelndem Ausdruck; symmetrisch fallendes Lockenhaar. Auf der Brust runde Öffnung mit Dreipaß. Der Scheitel ist abnehmbar und mit Scharnier befestigt. Innen hohl, unten mit einem Brett verschlossen, dessen rückwärtiger Teil ergänzt ist.- Gesicht und Hals mit Silberfarbe bemalt, die schwärzlich geworden ist. Vergoldung am Gewand und an den Haaren erneuert. Früher in zwei Budapester Privatsammlungen. Nußbaumholz (?). Höhe 38, Breite 32 cm. Tafel LXXXIII]] réalisée par Rheinisch 1. Hälfte 14. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Berlin, Privat au prix de 1700 sch. [451]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE BÜSTE, KOPFRELIQUIAR. Frontal, mit symmetrisch fallendem welligem Haar. In der Brust runde Öffnung mit Maßwerk. Bemalung verwaschen, z. T. abgefallen. Hinterkopf eingesetzt. Nußbaumholz (?). Höhe 34, Breite 25 cm. Tafel LXXXIII (Rheinisch 14. Jahrhundert)|WEIBLICHE BÜSTE, KOPFRELIQUIAR. Frontal, mit symmetrisch fallendem welligem Haar. In der Brust runde Öffnung mit Maßwerk. Bemalung verwaschen, z. T. abgefallen. Hinterkopf eingesetzt. Nußbaumholz (?). Höhe 34, Breite 25 cm. Tafel LXXXIII]] réalisée par Rheinisch 14. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [452]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER GEORG, STATUE. Stehend, nach rechts gewendet, tritt er, den rechten Fuß über den linken setzend, auf den Drachen. Er stützt sich mit der Linken auf den Schild mit Georgskreuz und erhebt die Rechte. In voller Rüstung; Visierhelm mit Brünne, darauf ein kleiner Schild mit Georgskreuz. Über der Brust eine mit Glasflußknöpfen rosettenförmig reich besetzte Schärpe; ähnlich, doch einfacher, ist der Gürtel verziert. Lange Ärmel (Tütenärmel), zum Rock unter der Rüstung gehörig, hängen von den Schultern herab. In dem einen der beiden Ärmel ringelt sich der Schwanz des geflügelten Drachen empor; der Kopf verbeißt sich in den Schild zur Rechten. Rücken flacher bearbeitet. Alte Bemalung, auch an der Rückseite. Dunkelgrüne Farbe an der Rüstung und am Drachen, Rot an den Ärmeln und am Drachenmaul. - Es fehlt der vordere Rand des Helms sowie die rechte Hand mit der Lanze. Vorbesitzer: Jules Frésart, Lüttich. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 49. Ulmenholz. Höhe 77,5 cm. Tafel LXXXIV (Niederländisch (Lüttich) um 1390-1400)|HEILIGER GEORG, STATUE. Stehend, nach rechts gewendet, tritt er, den rechten Fuß über den linken setzend, auf den Drachen. Er stützt sich mit der Linken auf den Schild mit Georgskreuz und erhebt die Rechte. In voller Rüstung; Visierhelm mit Brünne, darauf ein kleiner Schild mit Georgskreuz. Über der Brust eine mit Glasflußknöpfen rosettenförmig reich besetzte Schärpe; ähnlich, doch einfacher, ist der Gürtel verziert. Lange Ärmel (Tütenärmel), zum Rock unter der Rüstung gehörig, hängen von den Schultern herab. In dem einen der beiden Ärmel ringelt sich der Schwanz des geflügelten Drachen empor; der Kopf verbeißt sich in den Schild zur Rechten. Rücken flacher bearbeitet. Alte Bemalung, auch an der Rückseite. Dunkelgrüne Farbe an der Rüstung und am Drachen, Rot an den Ärmeln und am Drachenmaul. - Es fehlt der vordere Rand des Helms sowie die rechte Hand mit der Lanze. Vorbesitzer: Jules Frésart, Lüttich. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 49. Ulmenholz. Höhe 77,5 cm. Tafel LXXXIV]] réalisée par Niederländisch (Lüttich) um 1390-1400, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 15000 sch. [453]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DROLERIE: KAMPFSZENE. Rechts hockt ein Mann in enganliegendem Gewand, mit vorgestrecktem linkem Bein, auf dem rechten Knie, aus dem eine Blattranke wächst. Mit der Rechten schwingt er über dem Kopf einen Baumast, mit dem er zum Schlag ausholt. Ihm gegenüber links ein vierfüßiges Tier, zum Angriff niedergeduckt. Zugespitzter Kopf mit langer Nase, offenem Maul und heraushängender Zunge. Rückseite flach. Beide Figuren jetzt auf ein Brett montiert. Reste von Bemalung. Der Mann mit teilweise erhaltener Vergoldung auf Bolusgrund. Das Tier stark wurmstichig. Lindenholz. Höhe 14,8, Breite 31 cm. (Westdeutsch 14.-15. Jahrhundert)|DROLERIE: KAMPFSZENE. Rechts hockt ein Mann in enganliegendem Gewand, mit vorgestrecktem linkem Bein, auf dem rechten Knie, aus dem eine Blattranke wächst. Mit der Rechten schwingt er über dem Kopf einen Baumast, mit dem er zum Schlag ausholt. Ihm gegenüber links ein vierfüßiges Tier, zum Angriff niedergeduckt. Zugespitzter Kopf mit langer Nase, offenem Maul und heraushängender Zunge. Rückseite flach. Beide Figuren jetzt auf ein Brett montiert. Reste von Bemalung. Der Mann mit teilweise erhaltener Vergoldung auf Bolusgrund. Das Tier stark wurmstichig. Lindenholz. Höhe 14,8, Breite 31 cm.]] réalisée par Westdeutsch 14.-15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 350 sch. [454]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE MIT SPRUCHBAND. In langem Kleid mit hochsitzender Gürtung; unter dem pelzverbrämten Ausschnitt sieht man das gefältelte Hemd mit Borte. Auf dem Haupt eine kegelförmige Haube, deren Tuchenden über die Schulter fallen. Mit der Linken hält sie ein Spruchband, das diagonal herabfällt und am Ende sich aufrollt. Rückseite flach mit durchgeführtem Gewandmotiv. Der rechte und ein Teil des linken Armes fehlen. Am Schleiertuch ist der frei herabhängende Zipfel abgebrochen, der Rand z. T. schadhaft. Am Sockel fehlt vorn ein Stück. Im Spruchband vorn zwei Risse. Inschrift erneuert. Im übrigen sind von der Polychromie Reste erhalten, durchsetzt von späteren Erneuerungen (Kreidegrund, blau, schwarz). Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 41. Lindenholz. Höhe 112 cm. Tafel LXXXVII (Westdeutsch (?) um 1450-60)|WEIBLICHE HEILIGE MIT SPRUCHBAND. In langem Kleid mit hochsitzender Gürtung; unter dem pelzverbrämten Ausschnitt sieht man das gefältelte Hemd mit Borte. Auf dem Haupt eine kegelförmige Haube, deren Tuchenden über die Schulter fallen. Mit der Linken hält sie ein Spruchband, das diagonal herabfällt und am Ende sich aufrollt. Rückseite flach mit durchgeführtem Gewandmotiv. Der rechte und ein Teil des linken Armes fehlen. Am Schleiertuch ist der frei herabhängende Zipfel abgebrochen, der Rand z. T. schadhaft. Am Sockel fehlt vorn ein Stück. Im Spruchband vorn zwei Risse. Inschrift erneuert. Im übrigen sind von der Polychromie Reste erhalten, durchsetzt von späteren Erneuerungen (Kreidegrund, blau, schwarz). Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 41. Lindenholz. Höhe 112 cm. Tafel LXXXVII]] réalisée par Westdeutsch (?) um 1450-60, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par J. u. S. Goldschmidt au prix de 40000 sch. [455]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[CRISPINUS UND CRISPINIANUS. RELIEF. Oben sieht man durch die zwei Fenster eines Erkers in die Schusterwerkstatt; rechts schneidet Crispinus auf einem Fensterbrett das Leder zu; eine Sohle, ein Pfriem, ein paar Schuhe mit Leisten stehen dabei. Links sitzt Crispinianus, sein Gehilfe, das auf seinem Knie befestigte Leder bearbeitend. Unten, vor einem Gelände andeutenden Grund, rechts zwei Frauen und ein Mann mit hohem spitzen Hut, lebhaft zu dem Heiligen aufblickend. Links ein kniender Stifter, dem sein Turban von der linken Schulter herabhängt. Mit dem flachbogig abschließenden Rahmen aus einem Stück. Hinten ein dünnes Brett aufgenagelt. Alte Polychromie mit erneuerter, z.T. abfallender Vergoldung. Angeblich aus Ypern stammend. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 49. Eichenholz. Höhe 67, Breite 29,5 cm. Tafel LXXXVIII (Niederländisch um 1450-60)|CRISPINUS UND CRISPINIANUS. RELIEF. Oben sieht man durch die zwei Fenster eines Erkers in die Schusterwerkstatt; rechts schneidet Crispinus auf einem Fensterbrett das Leder zu; eine Sohle, ein Pfriem, ein paar Schuhe mit Leisten stehen dabei. Links sitzt Crispinianus, sein Gehilfe, das auf seinem Knie befestigte Leder bearbeitend. Unten, vor einem Gelände andeutenden Grund, rechts zwei Frauen und ein Mann mit hohem spitzen Hut, lebhaft zu dem Heiligen aufblickend. Links ein kniender Stifter, dem sein Turban von der linken Schulter herabhängt. Mit dem flachbogig abschließenden Rahmen aus einem Stück. Hinten ein dünnes Brett aufgenagelt. Alte Polychromie mit erneuerter, z.T. abfallender Vergoldung. Angeblich aus Ypern stammend. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 49. Eichenholz. Höhe 67, Breite 29,5 cm. Tafel LXXXVIII]] réalisée par Niederländisch um 1450-60, vendue par Dr. Albert Figdor. [456]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[STIFTERPAAR MIT ZWEI HEILIGEN. Die Stifter vorn kniend, in Profil, die Heiligen hinter ihnen, stehend, nach vorn gewendet. Links Antonius als Abt, mit langem Bart, barhäuptig, in Kutte mit Skapulier und einem weiten Mantel mit Kapuze. Er legt dem betenden Ritter die Hand aufs Haupt. Sein Attribut, das Schwein, zu seinen Füßen. Der Ritter trägt über der Rüstung einen an den Seiten geschlitzten Überwurf mit kurzen Ärmeln, darüber Halskette, am Gürtel ein Schwert. Rechts ein Bischof, die Rechte segnend erhoben, die Linke an der Haube der knienden Dame. Sie trägt ein modisches Gewand mit langen, die Hände fast ganz bedeckenden Ärmeln und eine kegelförmige Haube mit lang herabfallendem Tuchend. Am linken Arm ein Buchbeutel. Rückseite glatt. Unterer Rand bestoßen. Dem Antonius fehlt die rechte Hand, der Stab ist z. T. erhalten. Das Schwert des Ritters unten abgebrochen. Bei dem Bischof fehlt der linke Daumen und Teile der Finger der rechten Hand. Alte Bemalung und Vergoldung mit Fehlstellen. Gewand der Dame rot. Mantel des Antonius vergoldet. Die Datierung ergibt sich aus der Form der Haube mit ziemlicher Sicherheit.- Angeblich aus der Kathedrale von Amiens. Eichenholz. Höhe 63, Breite 40 cm. Tafel LXXXVIII (Nordfranzösisch um 1460-70)|STIFTERPAAR MIT ZWEI HEILIGEN. Die Stifter vorn kniend, in Profil, die Heiligen hinter ihnen, stehend, nach vorn gewendet. Links Antonius als Abt, mit langem Bart, barhäuptig, in Kutte mit Skapulier und einem weiten Mantel mit Kapuze. Er legt dem betenden Ritter die Hand aufs Haupt. Sein Attribut, das Schwein, zu seinen Füßen. Der Ritter trägt über der Rüstung einen an den Seiten geschlitzten Überwurf mit kurzen Ärmeln, darüber Halskette, am Gürtel ein Schwert. Rechts ein Bischof, die Rechte segnend erhoben, die Linke an der Haube der knienden Dame. Sie trägt ein modisches Gewand mit langen, die Hände fast ganz bedeckenden Ärmeln und eine kegelförmige Haube mit lang herabfallendem Tuchend. Am linken Arm ein Buchbeutel. Rückseite glatt. Unterer Rand bestoßen. Dem Antonius fehlt die rechte Hand, der Stab ist z. T. erhalten. Das Schwert des Ritters unten abgebrochen. Bei dem Bischof fehlt der linke Daumen und Teile der Finger der rechten Hand. Alte Bemalung und Vergoldung mit Fehlstellen. Gewand der Dame rot. Mantel des Antonius vergoldet. Die Datierung ergibt sich aus der Form der Haube mit ziemlicher Sicherheit.- Angeblich aus der Kathedrale von Amiens. Eichenholz. Höhe 63, Breite 40 cm. Tafel LXXXVIII]] réalisée par Nordfranzösisch um 1460-70, vendue par Dr. Albert Figdor. [457]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI PASSIONSRELIEFS. 168. ECCE HOMO. Den Grund bildet ein Haus, in dessen Obergeschoß links in einer offenen Säulenhalle mit Balkon eine kleine Gruppe von Kriegsknechten sichtbar wird, die Jesus gegeißelt haben. Rechts in einer Türöffnung, von der eine schmale Treppe herabführt, er selbst, dem Volk vorgestellt von Pilatus und vier Begleitern. Unten eine bewegte Gruppe von fünfzehn Männern; einige sprechen erregt miteinander, die andern erheben die Hände und fordern die Hinrichtung. Das Haus zeigt in der Mitte eine Ecke, oben wird das Dach sichtbar. 169. DER GANG NACH GOLGATHA. Vor einem Haus mit gotischem Erker und rechts herabführender Treppe sieht man den Zug nach rechts sich fortbewegen. Ganz rechts der Hauptmann zu Pferde, der sich befehlend zurückwendet, dann die gefesselten Schächer mit einem Schergen, hinter ihnen eine Gruppe, die aus der Öffnung unter der Treppe hervorquillt. Dann folgt eine lange Gestalt in Kappe, Hemd und Stiefeln, die den rechten Arm hoch erhebt, um auf Christus loszuschlagen; in der Linken den Strick. Alsdann Christus selbst, dornengekrönt; ein Krieger faßt ihn an der Schulter, um ihn zu schlagen; hinter ihm noch mehrere Bewaffnete. Im Vordergrund ein vom Rücken gesehener Krieger und der Henker mit Leiter und Kreuz. Alt bemalt. Architektur grau mit rot. Die übrigen Farben dunkel geworden, einzelnes Rot tritt noch hervor. Die Reliefs sind in der Art, wie die Figuren mit der Architektur zusammengebracht sind, ohne bekannte Analogien. Für den Stil des Figürlichen bieten eine gewisse Analogie die Gruppen eines Schnitzaltars in der Kathedrale von Tréguier (Côtes du Nord). Lindenholz. Höhe 41 bezw. 35, Breite 29 und 29,5 cm. Figuren 10 bis 15 cm. Tafel LXXXIX (Nordfranzösisch Ende 15. Jahrhundert)|ZWEI PASSIONSRELIEFS. 168. ECCE HOMO. Den Grund bildet ein Haus, in dessen Obergeschoß links in einer offenen Säulenhalle mit Balkon eine kleine Gruppe von Kriegsknechten sichtbar wird, die Jesus gegeißelt haben. Rechts in einer Türöffnung, von der eine schmale Treppe herabführt, er selbst, dem Volk vorgestellt von Pilatus und vier Begleitern. Unten eine bewegte Gruppe von fünfzehn Männern; einige sprechen erregt miteinander, die andern erheben die Hände und fordern die Hinrichtung. Das Haus zeigt in der Mitte eine Ecke, oben wird das Dach sichtbar. 169. DER GANG NACH GOLGATHA. Vor einem Haus mit gotischem Erker und rechts herabführender Treppe sieht man den Zug nach rechts sich fortbewegen. Ganz rechts der Hauptmann zu Pferde, der sich befehlend zurückwendet, dann die gefesselten Schächer mit einem Schergen, hinter ihnen eine Gruppe, die aus der Öffnung unter der Treppe hervorquillt. Dann folgt eine lange Gestalt in Kappe, Hemd und Stiefeln, die den rechten Arm hoch erhebt, um auf Christus loszuschlagen; in der Linken den Strick. Alsdann Christus selbst, dornengekrönt; ein Krieger faßt ihn an der Schulter, um ihn zu schlagen; hinter ihm noch mehrere Bewaffnete. Im Vordergrund ein vom Rücken gesehener Krieger und der Henker mit Leiter und Kreuz. Alt bemalt. Architektur grau mit rot. Die übrigen Farben dunkel geworden, einzelnes Rot tritt noch hervor. Die Reliefs sind in der Art, wie die Figuren mit der Architektur zusammengebracht sind, ohne bekannte Analogien. Für den Stil des Figürlichen bieten eine gewisse Analogie die Gruppen eines Schnitzaltars in der Kathedrale von Tréguier (Côtes du Nord). Lindenholz. Höhe 41 bezw. 35, Breite 29 und 29,5 cm. Figuren 10 bis 15 cm. Tafel LXXXIX]] réalisée par Nordfranzösisch Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Weisner au prix de 6500 sch. [458]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI PASSIONSRELIEFS. 168. ECCE HOMO. Den Grund bildet ein Haus, in dessen Obergeschoß links in einer offenen Säulenhalle mit Balkon eine kleine Gruppe von Kriegsknechten sichtbar wird, die Jesus gegeißelt haben. Rechts in einer Türöffnung, von der eine schmale Treppe herabführt, er selbst, dem Volk vorgestellt von Pilatus und vier Begleitern. Unten eine bewegte Gruppe von fünfzehn Männern; einige sprechen erregt miteinander, die andern erheben die Hände und fordern die Hinrichtung. Das Haus zeigt in der Mitte eine Ecke, oben wird das Dach sichtbar. 169. DER GANG NACH GOLGATHA. Vor einem Haus mit gotischem Erker und rechts herabführender Treppe sieht man den Zug nach rechts sich fortbewegen. Ganz rechts der Hauptmann zu Pferde, der sich befehlend zurückwendet, dann die gefesselten Schächer mit einem Schergen, hinter ihnen eine Gruppe, die aus der Offnung unter der Treppe hervorquillt. Dann folgt eine lange Gestalt in Kappe, Hemd und Stiefeln, die den rechten Arm hoch erhebt, um auf Christus loszuschlagen; in der Linken den Strick. Alsdann Christus selbst, dornengekrönt; ein Krieger faßt ihn an der Schulter, um ihn zu schlagen; hinter ihm noch mehrere Bewaffnete. Im Vordergrund ein vom Rücken gesehener Krieger und der Henker mit Leiter und Kreuz. Alt bemalt. Architektur grau mit rot. Die übrigen Farben dunkel geworden, einzelnes Rot tritt noch hervor. Die Reliefs sind in der Art, wie die Figuren mit der Architektur zusammengebracht sind, ohne bekannte Analogien. Für den Stil des Figürlichen bieten eine gewisse Analogie die Gruppen eines Schnitzaltars in der Kathedrale von Tréguier (Côtes du Nord). Lindenholz. Höhe 41 bezw. 35, Breite 29 und 29,5 cm. Figuren 10 bis 15 cm. Tafel LXXXIX (Nordfranzösisch Ende 15. Jahrhundert)|ZWEI PASSIONSRELIEFS. 168. ECCE HOMO. Den Grund bildet ein Haus, in dessen Obergeschoß links in einer offenen Säulenhalle mit Balkon eine kleine Gruppe von Kriegsknechten sichtbar wird, die Jesus gegeißelt haben. Rechts in einer Türöffnung, von der eine schmale Treppe herabführt, er selbst, dem Volk vorgestellt von Pilatus und vier Begleitern. Unten eine bewegte Gruppe von fünfzehn Männern; einige sprechen erregt miteinander, die andern erheben die Hände und fordern die Hinrichtung. Das Haus zeigt in der Mitte eine Ecke, oben wird das Dach sichtbar. 169. DER GANG NACH GOLGATHA. Vor einem Haus mit gotischem Erker und rechts herabführender Treppe sieht man den Zug nach rechts sich fortbewegen. Ganz rechts der Hauptmann zu Pferde, der sich befehlend zurückwendet, dann die gefesselten Schächer mit einem Schergen, hinter ihnen eine Gruppe, die aus der Offnung unter der Treppe hervorquillt. Dann folgt eine lange Gestalt in Kappe, Hemd und Stiefeln, die den rechten Arm hoch erhebt, um auf Christus loszuschlagen; in der Linken den Strick. Alsdann Christus selbst, dornengekrönt; ein Krieger faßt ihn an der Schulter, um ihn zu schlagen; hinter ihm noch mehrere Bewaffnete. Im Vordergrund ein vom Rücken gesehener Krieger und der Henker mit Leiter und Kreuz. Alt bemalt. Architektur grau mit rot. Die übrigen Farben dunkel geworden, einzelnes Rot tritt noch hervor. Die Reliefs sind in der Art, wie die Figuren mit der Architektur zusammengebracht sind, ohne bekannte Analogien. Für den Stil des Figürlichen bieten eine gewisse Analogie die Gruppen eines Schnitzaltars in der Kathedrale von Tréguier (Côtes du Nord). Lindenholz. Höhe 41 bezw. 35, Breite 29 und 29,5 cm. Figuren 10 bis 15 cm. Tafel LXXXIX]] réalisée par Nordfranzösisch Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Weisner au prix de 6500 sch. [459]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA, AUS EINER ANBETUNG DES KINDES. RELIEF. Auf flach gekehltem Grund kniet Maria, nach rechts gewendet, die Hände betend erhoben, der Mantel breitet sich am Boden aus und ist rechts mit der übrigen Gruppe abgeschnitten. Langes gelocktes Haar. Alte Bemalung, Vergoldung erneuert. Aus zwei Stücken senkrecht zusammengeleimt. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 39. Ahornholz (?). Höhe 50 cm. (Niederländisch um 1480)|MARIA, AUS EINER ANBETUNG DES KINDES. RELIEF. Auf flach gekehltem Grund kniet Maria, nach rechts gewendet, die Hände betend erhoben, der Mantel breitet sich am Boden aus und ist rechts mit der übrigen Gruppe abgeschnitten. Langes gelocktes Haar. Alte Bemalung, Vergoldung erneuert. Aus zwei Stücken senkrecht zusammengeleimt. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 39. Ahornholz (?). Höhe 50 cm.]] réalisée par Niederländisch um 1480, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 3300 sch. [460]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BÜSTE EINES JÜNGLINGS. Schmaler, bartloser Kopf mit langem, lockigem Haar, das unter einem rauhen Filzhut mit rundlicher hochgeschlagener Krempe hervorkommt. Der Kopf ist etwas nach rechts gewendet. Wams, vorn offener Stehkragen. Auf der linken Schulter Mantelüberwurf. Rückseite oben glatt, unten ausgehöhlt. Reste alter Polychromie: Rot am Ärmel, Schwarz am Wams, Inkarnat. Am unteren Rand ist die Bemalung z.T. entfernt. Sammlung W. Clemens, München. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 60. Holz (Linde oder Ahorn). Höhe 37, Breite 37 cm. Tafel XC (Niederländisch Ende 15. Jahrhundert)|BÜSTE EINES JÜNGLINGS. Schmaler, bartloser Kopf mit langem, lockigem Haar, das unter einem rauhen Filzhut mit rundlicher hochgeschlagener Krempe hervorkommt. Der Kopf ist etwas nach rechts gewendet. Wams, vorn offener Stehkragen. Auf der linken Schulter Mantelüberwurf. Rückseite oben glatt, unten ausgehöhlt. Reste alter Polychromie: Rot am Ärmel, Schwarz am Wams, Inkarnat. Am unteren Rand ist die Bemalung z.T. entfernt. Sammlung W. Clemens, München. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 60. Holz (Linde oder Ahorn). Höhe 37, Breite 37 cm. Tafel XC]] réalisée par Niederländisch Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Goudstikker au prix de 19000 sch. [461]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE BÜSTE (Fragment einer Statue). Der Kopf ist lebhaft nach rechts vorgeneigt, die rechte Schulter gehoben, die linke gesenkt. Alte Polychromie. Nur die blaue Farbe am Halsausschnitt ist in neuerer Zeit aufgemalt. Rechts alt angestückt. Verwandt eine sitzende Madonna im Berliner Museum (Katalog von Vöge, Nr. 300), eine stehende weibliche Heilige ebenda (aus der Sammlung Simon, J. 8075) und eine Madonna im Schnütgen-Museum Köln (Katalog von Witte, Taf. 32, Nr. 6). Bei der ersten ist auch die emailartige Bemalung sehr ähnlich. Vorbesitzer: Johann Frantzen in Eller bei Düsseldorf. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 21. Ahornholz (?). Höhe 34, Breite 29 cm. (Niederrheinisch 2. Hälfte 15. Jahrhundert)|WEIBLICHE BÜSTE (Fragment einer Statue). Der Kopf ist lebhaft nach rechts vorgeneigt, die rechte Schulter gehoben, die linke gesenkt. Alte Polychromie. Nur die blaue Farbe am Halsausschnitt ist in neuerer Zeit aufgemalt. Rechts alt angestückt. Verwandt eine sitzende Madonna im Berliner Museum (Katalog von Vöge, Nr. 300), eine stehende weibliche Heilige ebenda (aus der Sammlung Simon, J. 8075) und eine Madonna im Schnütgen-Museum Köln (Katalog von Witte, Taf. 32, Nr. 6). Bei der ersten ist auch die emailartige Bemalung sehr ähnlich. Vorbesitzer: Johann Frantzen in Eller bei Düsseldorf. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 21. Ahornholz (?). Höhe 34, Breite 29 cm.]] réalisée par Niederrheinisch 2. Hälfte 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 2100 sch. [462]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[JESUSKIND, auf einem Lehnstuhl sitzend. Das Kind ist nackt und hält in der erhobenen Linken eine Frucht. Der Stuhl, mit tiefem Sitzbrett und einem Brett als Rücklehne, zeigt als Bekrönung der hinteren Pfosten links ein Lamm, rechts eine Eule, darunter je ein Wappenschild. Das Kind in sehr gut erhaltener alter Bemalung. Die Pfosten des Stuhls mit aufgemalten Rosetten verziert. Ob beide Teile ursprünglich zusammengehören, erscheint zweifelhaft. Das Kind könnte auf einem Polster zwischen Anna und Maria gesessen haben. Die Verzierung des Stuhls erinnert an rheinische Bilderrahmen der Zeit. Holz. Stuhl Höhe 29, Christuskind Höhe 23,5 cm. (Rheinland Ende 15. Jahrhundert)|JESUSKIND, auf einem Lehnstuhl sitzend. Das Kind ist nackt und hält in der erhobenen Linken eine Frucht. Der Stuhl, mit tiefem Sitzbrett und einem Brett als Rücklehne, zeigt als Bekrönung der hinteren Pfosten links ein Lamm, rechts eine Eule, darunter je ein Wappenschild. Das Kind in sehr gut erhaltener alter Bemalung. Die Pfosten des Stuhls mit aufgemalten Rosetten verziert. Ob beide Teile ursprünglich zusammengehören, erscheint zweifelhaft. Das Kind könnte auf einem Polster zwischen Anna und Maria gesessen haben. Die Verzierung des Stuhls erinnert an rheinische Bilderrahmen der Zeit. Holz. Stuhl Höhe 29, Christuskind Höhe 23,5 cm.]] réalisée par Rheinland Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 700 sch. [463]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI MUSIZIERENDE ENGEL. Beide nach rechts fliegend, mit vollständig erhaltenen Flügeln, und reichem Lockenhaar. a) Der eine, Geige spielend, mit flatterndem weißem Gewand, das ein Muster aus goldenen Punkten zeigt. b) Der zweite, Laute spielend, mit gefiedertem Körper und einem um die Lenden geschlungenen flatternden Umwurf. Aus einer Madonnenglorie. Sammlung Felix, Leipzig. Sammlung Essingh, Köln. Vollrund. Bei a) ist der Geigenbogen ergänzt. Alte Polychromie. Lindenholz. Länge etwa 15 - 16 cm. Tafel XCI (Rheinländisch um 1470-80)|ZWEI MUSIZIERENDE ENGEL. Beide nach rechts fliegend, mit vollständig erhaltenen Flügeln, und reichem Lockenhaar. a) Der eine, Geige spielend, mit flatterndem weißem Gewand, das ein Muster aus goldenen Punkten zeigt. b) Der zweite, Laute spielend, mit gefiedertem Körper und einem um die Lenden geschlungenen flatternden Umwurf. Aus einer Madonnenglorie. Sammlung Felix, Leipzig. Sammlung Essingh, Köln. Vollrund. Bei a) ist der Geigenbogen ergänzt. Alte Polychromie. Lindenholz. Länge etwa 15 - 16 cm. Tafel XCI]] réalisée par Rheinländisch um 1470-80, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Bondy, Wien au prix de 5600 sch. [464]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE BRIGITTE. CARTAPESTA-RELIEF. Quadratisch, mit reich profiliertem Rand und einbeschriebenem Medaillon. Die Heilige sitzt auf einer Thronbank mit vortretender Stufe. Sie ist als Nonne gekleidet und schreibt in einem Buch, das auf dem Pult links von ihr liegt. Rechts ein kleiner Engel, der ihr ins Ohr flüstert. Links ein kniender Mann mit Spruchband: »o pater de celis miserere nobis«. Rechts Wanderstab mit Hut und Tasche (oben) und Krone (unten). Über der Heiligen erscheint in der Mitte die Taube, links Gottvater mit dem toten Christus auf dem Schoß, rechts die Halbfigur der Maria mit dem Kind. In den Zwickeln oben Wappenschilder auf Distelblättern; unten Stifter und Stifterin, mit Wappenschildern und Spruchbändern: »ora pro nobis, sancta Brigitta, domini Christi« und »ave Maria, gratia plena«. Der mehrfach beschädigte Rand schwarz, Grund rot, Rahmen der Medaillons vergoldet, ebenso Distelblätter, Thron und Pult. Das übrige schwarz und grau. Eine weitere Ausformung, auch in Papiermasse, in Köln, Kunstgewerbemuseum; vgl. Bode-Volbach, Jahrbuch der preuß. Kunstsammlungen XXXIX (1918), S. 115. Eine Ton-Matrize des Rundfeldes im Provinzialmuseum,Trier (ebenda Nr. 49). Flachrelief in Papiermasse. Höhe 19, Breite 19,5 cm. (Niederrheinisch 2. Hälfte 15. Jahrhundert)|HEILIGE BRIGITTE. CARTAPESTA-RELIEF. Quadratisch, mit reich profiliertem Rand und einbeschriebenem Medaillon. Die Heilige sitzt auf einer Thronbank mit vortretender Stufe. Sie ist als Nonne gekleidet und schreibt in einem Buch, das auf dem Pult links von ihr liegt. Rechts ein kleiner Engel, der ihr ins Ohr flüstert. Links ein kniender Mann mit Spruchband: »o pater de celis miserere nobis«. Rechts Wanderstab mit Hut und Tasche (oben) und Krone (unten). Über der Heiligen erscheint in der Mitte die Taube, links Gottvater mit dem toten Christus auf dem Schoß, rechts die Halbfigur der Maria mit dem Kind. In den Zwickeln oben Wappenschilder auf Distelblättern; unten Stifter und Stifterin, mit Wappenschildern und Spruchbändern: »ora pro nobis, sancta Brigitta, domini Christi« und »ave Maria, gratia plena«. Der mehrfach beschädigte Rand schwarz, Grund rot, Rahmen der Medaillons vergoldet, ebenso Distelblätter, Thron und Pult. Das übrige schwarz und grau. Eine weitere Ausformung, auch in Papiermasse, in Köln, Kunstgewerbemuseum; vgl. Bode-Volbach, Jahrbuch der preuß. Kunstsammlungen XXXIX (1918), S. 115. Eine Ton-Matrize des Rundfeldes im Provinzialmuseum,Trier (ebenda Nr. 49). Flachrelief in Papiermasse. Höhe 19, Breite 19,5 cm.]] réalisée par Niederrheinisch 2. Hälfte 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 1600 sch. [465]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[FLÜGELALTÄRCHEN. Auf einem geschlossenen Sockel mit Vierpaßornamenten in Flachrelief erhebt sich der Schrein, durch Angeln mit den Flügeln verbunden. Oberer Abschluß waagrecht mit Kreuzblumenbekrönung. Im Innern des Schreins und der Flügel gotische Arkatur auf dünnen Wandpfeilern: Zakkenbogen mit Krabben und Kreuzblumen, dahinter Gitterwerk. Schrein und Flügel leer. Alte Polychromie: Schrein- und Flügelwände innen blau, außen rot bemalt. Das übrige vergoldet. Früher in der Sammlung des Freiherrn Alexander von Minutoli, Liegnitz. Gesamthöhe 36, Sockelhöhe 7, Breite 28, Breite des geöffneten Schreins 45 cm. (Norddeutsch (Ostseeküste?) 15. Jahrhundert)|FLÜGELALTÄRCHEN. Auf einem geschlossenen Sockel mit Vierpaßornamenten in Flachrelief erhebt sich der Schrein, durch Angeln mit den Flügeln verbunden. Oberer Abschluß waagrecht mit Kreuzblumenbekrönung. Im Innern des Schreins und der Flügel gotische Arkatur auf dünnen Wandpfeilern: Zakkenbogen mit Krabben und Kreuzblumen, dahinter Gitterwerk. Schrein und Flügel leer. Alte Polychromie: Schrein- und Flügelwände innen blau, außen rot bemalt. Das übrige vergoldet. Früher in der Sammlung des Freiherrn Alexander von Minutoli, Liegnitz. Gesamthöhe 36, Sockelhöhe 7, Breite 28, Breite des geöffneten Schreins 45 cm.]] réalisée par Norddeutsch (Ostseeküste?) 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 900 sch. [466]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS IM HAUSE DES PHARISÄERS SIMON (nach Luc. 7,36 ff.). An einem Tisch mit gemustertem Tischtuch sitzt rechts Jesus in einem Lehnstuhl. Er blickt zu der Frau nieder, die im Vordergrund auf den Knien liegt und seine Füße mit ihrem Haar trocknet. An der Rückseite des Tisches folgen links von Jesus der Pharisäer, ein feister Mann mit lockigem Haar, reich gekleidet mit Barett und Pelzschaube, den Blick gleichgültig nach links erhoben, mit einem Messer in den Zähnen stochernd, weiter seine Frau, mit Haube und eng anschließendem, ausgeschnittenem Kleid, die Hände unter der Brust zusammengelegt, den Blick gesenkt. Endlich ein kahlköpfiger, bärtiger, einfach gekleideter Gast, der sich über den Tisch beugt, um die Kniende zu sehen. Auf dem Tisch eine Platte mit einem Lammviertel. Rechts alte Stückung, alte Bemalung und Vergoldung mit kleinen schadhaften Stellen. Charakteristisches Werk des Meisters, von dem Reliefs bisher nicht bekannt waren. Zuschreibung durch R. Verres im »Pantheon«, 1930, Februarheft, S. 66 ff. Sammlungen Homberg (Auktionskatalog Paris 1908, Nr. 631), Daguerre Picard, Paris. Reliefgruppe. Eichenholz. Höhe 59, Breite 61 cm. Tafel XCIII (Benedikt Dreyer, Lübeck)|CHRISTUS IM HAUSE DES PHARISÄERS SIMON (nach Luc. 7,36 ff.). An einem Tisch mit gemustertem Tischtuch sitzt rechts Jesus in einem Lehnstuhl. Er blickt zu der Frau nieder, die im Vordergrund auf den Knien liegt und seine Füße mit ihrem Haar trocknet. An der Rückseite des Tisches folgen links von Jesus der Pharisäer, ein feister Mann mit lockigem Haar, reich gekleidet mit Barett und Pelzschaube, den Blick gleichgültig nach links erhoben, mit einem Messer in den Zähnen stochernd, weiter seine Frau, mit Haube und eng anschließendem, ausgeschnittenem Kleid, die Hände unter der Brust zusammengelegt, den Blick gesenkt. Endlich ein kahlköpfiger, bärtiger, einfach gekleideter Gast, der sich über den Tisch beugt, um die Kniende zu sehen. Auf dem Tisch eine Platte mit einem Lammviertel. Rechts alte Stückung, alte Bemalung und Vergoldung mit kleinen schadhaften Stellen. Charakteristisches Werk des Meisters, von dem Reliefs bisher nicht bekannt waren. Zuschreibung durch R. Verres im »Pantheon«, 1930, Februarheft, S. 66 ff. Sammlungen Homberg (Auktionskatalog Paris 1908, Nr. 631), Daguerre Picard, Paris. Reliefgruppe. Eichenholz. Höhe 59, Breite 61 cm. Tafel XCIII]] réalisée par Benedikt Dreyer, Lübeck, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Bondy, Wien au prix de 16000 sch. [467]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE DOROTHEA, STATUETTE. Stehend, auf profiliertem halbem Rechtecksockel. Das Kind, in gegürtetem Kleidchen, steht etwas tiefer am Sockelrand und streckt beide Arme zu ihr empor. Dorothea steht mit eingebogener rechter Hüfte und blickt nach links abwärts, über das Buch weg, das sie mit der Rechten festhält. Sie trägt offenes Haar mit Blumenkranz. Unter dem Obergewand wird am Hals ein mit Kragen geschlossenes Untergewand sichtbar. Der Mantel legt sich um den rechten Arm und wird vom linken emporgezogen. Breite Schuhe. Rückseite leicht ausgehöhlt. Es fehlt der linke Unterarm bei der Heiligen, bei dem Kind ebenfalls der linke Unterarm und ein Teil der Finger an der rechten Hand. Alte Bemalung. Kleid grün mit goldenen Säumen, Mantel Gold. Das Kleid des Kindes ebenfalls Gold. Sammlung W. Clemens, München. Lindenholz. Höhe 48 cm. Tafel XCIV (Westfälisch (?) um 1500)|HEILIGE DOROTHEA, STATUETTE. Stehend, auf profiliertem halbem Rechtecksockel. Das Kind, in gegürtetem Kleidchen, steht etwas tiefer am Sockelrand und streckt beide Arme zu ihr empor. Dorothea steht mit eingebogener rechter Hüfte und blickt nach links abwärts, über das Buch weg, das sie mit der Rechten festhält. Sie trägt offenes Haar mit Blumenkranz. Unter dem Obergewand wird am Hals ein mit Kragen geschlossenes Untergewand sichtbar. Der Mantel legt sich um den rechten Arm und wird vom linken emporgezogen. Breite Schuhe. Rückseite leicht ausgehöhlt. Es fehlt der linke Unterarm bei der Heiligen, bei dem Kind ebenfalls der linke Unterarm und ein Teil der Finger an der rechten Hand. Alte Bemalung. Kleid grün mit goldenen Säumen, Mantel Gold. Das Kleid des Kindes ebenfalls Gold. Sammlung W. Clemens, München. Lindenholz. Höhe 48 cm. Tafel XCIV]] réalisée par Westfälisch (?) um 1500, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 1050 sch. [468]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ANBETUNG DER KÖNIGE. RELIEFGRUPPE. Maria, links sitzend, hält das Kind, das in das Kästchen des knienden Königs greift. Der dahinter stehende zweite König weist mit der Rechten empor. Rechts der Mohr, jugendlich, verwundert zurücktretend. Figuren oben frei gearbeitet, mit etwas abgeflachtem Rücken. Alte Bemalung und Vergoldung. Bank rot, Standfläche grün, Gewänder vergoldet. Lindenholz. Höhe 14,5, Breite 14 cm. (Rheinisch (?) Anfang 16. Jahrhundert)|ANBETUNG DER KÖNIGE. RELIEFGRUPPE. Maria, links sitzend, hält das Kind, das in das Kästchen des knienden Königs greift. Der dahinter stehende zweite König weist mit der Rechten empor. Rechts der Mohr, jugendlich, verwundert zurücktretend. Figuren oben frei gearbeitet, mit etwas abgeflachtem Rücken. Alte Bemalung und Vergoldung. Bank rot, Standfläche grün, Gewänder vergoldet. Lindenholz. Höhe 14,5, Breite 14 cm.]] réalisée par Rheinisch (?) Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par A. S. Drey au prix de 1000 sch. [469]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI RELIEFGRUPPEN: »DER ZEHENT«. a) EIN BAUER, stumpfnasig, mit geöffnetem Mund, eine Mütze auf dem Kopf, faßt mit beiden Händen die Lehne des Schubkarrens (ohne Handgriffe), auf dem ein Korb mit Goldstükken steht. Er blickt nach rechts. Auf einfachem Brett. b) EIN MÖNCH MIT KUTTE UND KAPUZE. Er sitzt in einem runden, mit Reifen umschlossenen Lehnsessel. Die Linke faßt in eine Truhe mit Goldstükken, die Rechte schiebt einen Haufen davon in das unförmlich große Maul. Die eisenbeschlagene Truhe mit gotischem Schloß und seitlichen Griffen enthält außer den Goldstücken noch eine Schaufel in Form einer Mehlschippe. Auf profiliertem Brett. Rückseiten flach bearbeitet. Alte Polychromie in Resten. Der Stuhl, auf dem der Mönch sitzt, kommt in flandrischen Darstellungen häufig vor. Ein Beispiel aus dem Codex Grimani, um 1500, abgebildet bei O. von Falke, Deutsche Möbel des Mittelalters und der Renaissance, S. LXIII. Trotz des Gegenstands und seiner Tendenz erscheint die Zugehörigkeit zu einem Chorgestühl nicht ausgeschlossen; vgl. manche Darstellungen des Kölner Domchorgestühls. Erworben im Pariser Handel. Eichenholz, a) Höhe 36, Breite 36 cm; b) Höhe 38, Breite 47 cm. Tafel XCIVa (Niederländisch 1. Hälfte 16. Jahrhundert)|ZWEI RELIEFGRUPPEN: »DER ZEHENT«. a) EIN BAUER, stumpfnasig, mit geöffnetem Mund, eine Mütze auf dem Kopf, faßt mit beiden Händen die Lehne des Schubkarrens (ohne Handgriffe), auf dem ein Korb mit Goldstükken steht. Er blickt nach rechts. Auf einfachem Brett. b) EIN MÖNCH MIT KUTTE UND KAPUZE. Er sitzt in einem runden, mit Reifen umschlossenen Lehnsessel. Die Linke faßt in eine Truhe mit Goldstükken, die Rechte schiebt einen Haufen davon in das unförmlich große Maul. Die eisenbeschlagene Truhe mit gotischem Schloß und seitlichen Griffen enthält außer den Goldstücken noch eine Schaufel in Form einer Mehlschippe. Auf profiliertem Brett. Rückseiten flach bearbeitet. Alte Polychromie in Resten. Der Stuhl, auf dem der Mönch sitzt, kommt in flandrischen Darstellungen häufig vor. Ein Beispiel aus dem Codex Grimani, um 1500, abgebildet bei O. von Falke, Deutsche Möbel des Mittelalters und der Renaissance, S. LXIII. Trotz des Gegenstands und seiner Tendenz erscheint die Zugehörigkeit zu einem Chorgestühl nicht ausgeschlossen; vgl. manche Darstellungen des Kölner Domchorgestühls. Erworben im Pariser Handel. Eichenholz, a) Höhe 36, Breite 36 cm; b) Höhe 38, Breite 47 cm. Tafel XCIVa]] réalisée par Niederländisch 1. Hälfte 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par E. Benedikt, Wien au prix de 9000 sch. [470]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE ANNA SELBDRITT. STATUETTE. Anna, in vergoldetem Mantel und den Kopf bedeckender Haube mit Kinntuch, trägt auf dem rechten Arm das nackte Jesuskind, links die kindlich gebildete Maria, in Mantel, mit langen Haaren. Rückseite flach behandelt. Alte Polychromie und Vergoldung, von der einige Stücke abgefallen sind. Kopftuch weiß, Futter blau. Hinten mit zwei Stückchen Holz unterlegt. Birnbaumholz, (?). Höhe 24 cm. (Niederländisch (?) Ende 15. Jahrhundert)|HEILIGE ANNA SELBDRITT. STATUETTE. Anna, in vergoldetem Mantel und den Kopf bedeckender Haube mit Kinntuch, trägt auf dem rechten Arm das nackte Jesuskind, links die kindlich gebildete Maria, in Mantel, mit langen Haaren. Rückseite flach behandelt. Alte Polychromie und Vergoldung, von der einige Stücke abgefallen sind. Kopftuch weiß, Futter blau. Hinten mit zwei Stückchen Holz unterlegt. Birnbaumholz, (?). Höhe 24 cm.]] réalisée par Niederländisch (?) Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Leitner au prix de 1100 sch. [471]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE MARGARETA. HALBFIGUR. Sie hält mit der Linken ein aufgeschlagenes Buch mit lateinischem Text (.propter te, Domine..). Über die Schultern fallen die Zöpfe. Auf dem Haupt Wulsthaube mit Schmuckstück. Gewand mit breitem Ausschnitt am Hals. Geschlitzte Ärmel. Mit dem profilierten Sockel aus einem Stück. Rückseite flach; ohne Bemalung. Alte Polychromie und Vergoldung. Auf der Rückseite (undeutlich) die Marke von Antwerpen. Am Sockel vorn eine weitere Marke, vielleicht Hausmarke. Haube oben etwas beschädigt. Dasselbe Modell als ganze Figur in Berlin, Deutsches Museum. Nußbaumholz. Höhe 17,5, Breite 12 cm. Tafel XCIVb (Antwerpen um 1510-20)|HEILIGE MARGARETA. HALBFIGUR. Sie hält mit der Linken ein aufgeschlagenes Buch mit lateinischem Text (.propter te, Domine..). Über die Schultern fallen die Zöpfe. Auf dem Haupt Wulsthaube mit Schmuckstück. Gewand mit breitem Ausschnitt am Hals. Geschlitzte Ärmel. Mit dem profilierten Sockel aus einem Stück. Rückseite flach; ohne Bemalung. Alte Polychromie und Vergoldung. Auf der Rückseite (undeutlich) die Marke von Antwerpen. Am Sockel vorn eine weitere Marke, vielleicht Hausmarke. Haube oben etwas beschädigt. Dasselbe Modell als ganze Figur in Berlin, Deutsches Museum. Nußbaumholz. Höhe 17,5, Breite 12 cm. Tafel XCIVb]] réalisée par Antwerpen um 1510-20, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Heilbronner au prix de 1000 sch. [472]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE KATHARINA. STATUETTE. In der Rechten das Schwert, in der Linken ein Buch (Buchbeutel), zu ihren Füßen Halbfigur des Kaisers Maxentius mit Turbankrone, die Linke auf dem zerbrochenen Rad. Katharina trägt auf offenem Haar eine Wulsthaube. Der Mantel hat Säume mit Rosen und Buchstaben, der Brustlatz Rankenstickerei, das Gewand geschlitzte und gepuffte Ärmel. Auf rechteckiger Standplatte, mit abgeschrägten Ecken. Rückseite glatt. Alter, nicht ursprünglich zugehöriger Sockel. Ausgezeichnete alte Polychromie: vergoldeter Mantel mit blauem Futter; Rosetten grün und rot, Buchstaben rot. Ranken schwarz, Brustlatz weiß. Gewand gold. Auf der Rückseite eingeprägt die Marke von Mecheln, drei Parallelstriche. Ähnliche Stücke kommen mehrfach einzeln vor. Vorbesitzer: E. v. Miller-Aichholz, Wien. Nußbaumholz. Höhe 35,7, Sockel Höhe 5,5, Breite 13,5 cm. Tafel XCIVb (Mecheln)|HEILIGE KATHARINA. STATUETTE. In der Rechten das Schwert, in der Linken ein Buch (Buchbeutel), zu ihren Füßen Halbfigur des Kaisers Maxentius mit Turbankrone, die Linke auf dem zerbrochenen Rad. Katharina trägt auf offenem Haar eine Wulsthaube. Der Mantel hat Säume mit Rosen und Buchstaben, der Brustlatz Rankenstickerei, das Gewand geschlitzte und gepuffte Ärmel. Auf rechteckiger Standplatte, mit abgeschrägten Ecken. Rückseite glatt. Alter, nicht ursprünglich zugehöriger Sockel. Ausgezeichnete alte Polychromie: vergoldeter Mantel mit blauem Futter; Rosetten grün und rot, Buchstaben rot. Ranken schwarz, Brustlatz weiß. Gewand gold. Auf der Rückseite eingeprägt die Marke von Mecheln, drei Parallelstriche. Ähnliche Stücke kommen mehrfach einzeln vor. Vorbesitzer: E. v. Miller-Aichholz, Wien. Nußbaumholz. Höhe 35,7, Sockel Höhe 5,5, Breite 13,5 cm. Tafel XCIVb]] réalisée par Mecheln, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 3000 sch. [473]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[STATUETTE DES JESUSKINDES. Stehend, nackt, die Rechte segnend erhoben, in der Linken die Weltkugel. Der Blick ist abwärts gerichtet. Auf altem, nicht sicher zugehörigem Sockel. Das Kind vollrund mit vergoldeten Haaren und altem Inkarnat. Linker Arm, rechter Unterarm alt angestückt. Sechsseitiger Sockel mit Hohlkehle, die an den Vorderseiten je eine Rosette aus Blei trägt. An der Vorderfläche unten die eingeprägte Marke: »Bruesel«. Erworben in Köln. -Ein eng verwandtes Stück in der Sammlung Ullmann, Frankfurt a. M., Abb. bei Schmitt-Swarzenski, Meisterwerke der Bildhauerkunst in Frankfurter Privatbesitz, I (1921), Nr. 62. Lindenholz. Figur Höhe 16,2, Sockel (Eichenholz) Höhe 2,3 cm. Tafel XCIVb (Niederländisch 1. Hälfte 16. Jahrhundert)|STATUETTE DES JESUSKINDES. Stehend, nackt, die Rechte segnend erhoben, in der Linken die Weltkugel. Der Blick ist abwärts gerichtet. Auf altem, nicht sicher zugehörigem Sockel. Das Kind vollrund mit vergoldeten Haaren und altem Inkarnat. Linker Arm, rechter Unterarm alt angestückt. Sechsseitiger Sockel mit Hohlkehle, die an den Vorderseiten je eine Rosette aus Blei trägt. An der Vorderfläche unten die eingeprägte Marke: »Bruesel«. Erworben in Köln. -Ein eng verwandtes Stück in der Sammlung Ullmann, Frankfurt a. M., Abb. bei Schmitt-Swarzenski, Meisterwerke der Bildhauerkunst in Frankfurter Privatbesitz, I (1921), Nr. 62. Lindenholz. Figur Höhe 16,2, Sockel (Eichenholz) Höhe 2,3 cm. Tafel XCIVb]] réalisée par Niederländisch 1. Hälfte 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 750 sch. [474]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÄNNLICHE PROFILFIGUR AUS EINER PASSIONSGRUPPE. Nach rechts breitend; der von der linken Schulter fallende Mantel bildet den Hintergrund. Phantastische Tracht. Mütze mit großem gebogenem Schirm, der das bärtige Gesicht mit spitzer Nase beschattet. Brust herausgedrückt, die linke Hand liegt auf ihr, die rechte ist in die Seite gestemmt. Gezaddelter Leibrock mit vom Gürtel herabhängender Tasche, darunter längeres Untergewand mit gepufften Ärmeln. Am rechten Bein ist der Strumpf bis zum Schuh herabgeglitten. Schräg ansteigende Standfläche mit Rillen, rechts gerade abgeschnitten, links Lücke zum Einsetzen der nächsten Figur. Rückseite glatt, Vergoldung teilweise abgeblättert. Wohl aus einer Kreuzigung. Eichenholz. Höhe 44,5 cm. Tafel XCIV (Jan Bormann)|MÄNNLICHE PROFILFIGUR AUS EINER PASSIONSGRUPPE. Nach rechts breitend; der von der linken Schulter fallende Mantel bildet den Hintergrund. Phantastische Tracht. Mütze mit großem gebogenem Schirm, der das bärtige Gesicht mit spitzer Nase beschattet. Brust herausgedrückt, die linke Hand liegt auf ihr, die rechte ist in die Seite gestemmt. Gezaddelter Leibrock mit vom Gürtel herabhängender Tasche, darunter längeres Untergewand mit gepufften Ärmeln. Am rechten Bein ist der Strumpf bis zum Schuh herabgeglitten. Schräg ansteigende Standfläche mit Rillen, rechts gerade abgeschnitten, links Lücke zum Einsetzen der nächsten Figur. Rückseite glatt, Vergoldung teilweise abgeblättert. Wohl aus einer Kreuzigung. Eichenholz. Höhe 44,5 cm. Tafel XCIV]] réalisée par Jan Bormann, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 2800 sch. [475]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE SIPPE MIT STIFTERN. RELIEFGRUPPE. Auf einer Thronbank mit geschweiften Seitenlehnen und flachbogig vortretender Stufe sitzen links Maria (mit Krone, offenem Haar, Mantel über dem Gewand), rechts Anna (mit Haube und Kinntuch, Mantel und Buch, in dem sie blättert). Beide wenden sich dem Kinde zu, das in der Mitte nackt auf einem Kissen sitzt. Hinter der Banklehne vier Männer, Joseph und die drei Männer der Anna, zur Hälfte sichtbar; zwei fassen die Seitenlehnen, zwei mit redender Gebärde die Rücklehne. Joseph barhaupt, die andern mit Turban bzw. Hüten. Unten vor der Stufe kniet betend links ein Geistlicher, rechts ein Laie, dessen Hut vor ihm am Boden liegt. In der Mitte ein Windspiel. Aus zwei Stücken senkrecht zusammengesetzt. Alte Polychromie und Vergoldung in Resten, in den Gesichtern meist entfernt. Eichenholz. Höhe 29, Breite 25 cm. (Niederländisch Ende 15. Jahrhundert)|HEILIGE SIPPE MIT STIFTERN. RELIEFGRUPPE. Auf einer Thronbank mit geschweiften Seitenlehnen und flachbogig vortretender Stufe sitzen links Maria (mit Krone, offenem Haar, Mantel über dem Gewand), rechts Anna (mit Haube und Kinntuch, Mantel und Buch, in dem sie blättert). Beide wenden sich dem Kinde zu, das in der Mitte nackt auf einem Kissen sitzt. Hinter der Banklehne vier Männer, Joseph und die drei Männer der Anna, zur Hälfte sichtbar; zwei fassen die Seitenlehnen, zwei mit redender Gebärde die Rücklehne. Joseph barhaupt, die andern mit Turban bzw. Hüten. Unten vor der Stufe kniet betend links ein Geistlicher, rechts ein Laie, dessen Hut vor ihm am Boden liegt. In der Mitte ein Windspiel. Aus zwei Stücken senkrecht zusammengesetzt. Alte Polychromie und Vergoldung in Resten, in den Gesichtern meist entfernt. Eichenholz. Höhe 29, Breite 25 cm.]] réalisée par Niederländisch Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 1400 sch. [476]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[SIMSON MIT DEM LÖWEN. Von einer Chorstuhlwange. Auf leicht geschwungener Rippe mit Wulstprofil, rittlings sitzend, in phantastischer Tracht, mit vielen Zaddeln in Form von Eichblättern. Am Gürtel ein Schwert in Scheide. Um das Haupthaar Binde, hinten geknotet, mit herabfallenden Enden. Mit den Händen reißt er dem Löwen zwischen seinen Beinen den Rachen auf. Unbemalt. Rückseite voll bearbeitet. Eichenholz. Höhe 22, Breite 19 cm. (Niederländisch. Frühes 16. Jahrhundert)|SIMSON MIT DEM LÖWEN. Von einer Chorstuhlwange. Auf leicht geschwungener Rippe mit Wulstprofil, rittlings sitzend, in phantastischer Tracht, mit vielen Zaddeln in Form von Eichblättern. Am Gürtel ein Schwert in Scheide. Um das Haupthaar Binde, hinten geknotet, mit herabfallenden Enden. Mit den Händen reißt er dem Löwen zwischen seinen Beinen den Rachen auf. Unbemalt. Rückseite voll bearbeitet. Eichenholz. Höhe 22, Breite 19 cm.]] réalisée par Niederländisch. Frühes 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 1000 sch. [477]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[EIN GEFANGENER. HOLZGRUPPE. In einem Rahmen mit zwei Querhölzern sitzt ein nackter junger Mann mit Lendentuch, die Füße in den Block gespannt, die Hände mit Spangen an die Seitenpfosten gefesselt. Ganz bemalt, die Bemalung schon in alter Zeit erneuert. Schurz und Haare vergoldet, Block und Rahmen rot. Von dem Block ist ein Stück rechts abgebrochen. In der Unterseite mehrere Zapfenlöcher. Wohl eine Votivgabe an den heiligen Leonhard für die Befreiung aus Gefangenschaft.- Erworben in Paris. Hartes Holz (Nußbaum?). Höhe 27,5, Breite 15,5 cm. (Französisch (?) 15. Jahrhundert)|EIN GEFANGENER. HOLZGRUPPE. In einem Rahmen mit zwei Querhölzern sitzt ein nackter junger Mann mit Lendentuch, die Füße in den Block gespannt, die Hände mit Spangen an die Seitenpfosten gefesselt. Ganz bemalt, die Bemalung schon in alter Zeit erneuert. Schurz und Haare vergoldet, Block und Rahmen rot. Von dem Block ist ein Stück rechts abgebrochen. In der Unterseite mehrere Zapfenlöcher. Wohl eine Votivgabe an den heiligen Leonhard für die Befreiung aus Gefangenschaft.- Erworben in Paris. Hartes Holz (Nußbaum?). Höhe 27,5, Breite 15,5 cm.]] réalisée par Französisch (?) 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 300 sch. [478]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEIMSUCHUNG. Holzgruppe in (nicht zugehörigem) Rahmen. Maria und Elisabeth, die sich umarmen, sind, ihrem dreieckigen Umriß nach zu schließen, als Giebelfüllung entworfen. Mit erheblichen Resten alter Bemalung: Maria (links) grünes Gewand mit vormals goldenem Blattrankenmuster, goldener Mantel. Elisabeth (rechts) violettes Kleid mit geometrischem Muster, goldener Mantel. Basis mit vergoldeter Ranke auf violettem Grund. Rahmen, deutsch um 1500, mit spätgotischem, an den Seiten aufsteigendem, durchbrochenem Ast- und Blattwerk, das oben eine Bekrönung bildet. An der Rückwand roter Samt mit Granatapfelmuster. Holzrelief ohne Grund. Höhe 31,5, Breite 33 cm; Rahmen: Höhe 41,5, Breite 39,5 cm. (Spanisch um 1500)|HEIMSUCHUNG. Holzgruppe in (nicht zugehörigem) Rahmen. Maria und Elisabeth, die sich umarmen, sind, ihrem dreieckigen Umriß nach zu schließen, als Giebelfüllung entworfen. Mit erheblichen Resten alter Bemalung: Maria (links) grünes Gewand mit vormals goldenem Blattrankenmuster, goldener Mantel. Elisabeth (rechts) violettes Kleid mit geometrischem Muster, goldener Mantel. Basis mit vergoldeter Ranke auf violettem Grund. Rahmen, deutsch um 1500, mit spätgotischem, an den Seiten aufsteigendem, durchbrochenem Ast- und Blattwerk, das oben eine Bekrönung bildet. An der Rückwand roter Samt mit Granatapfelmuster. Holzrelief ohne Grund. Höhe 31,5, Breite 33 cm; Rahmen: Höhe 41,5, Breite 39,5 cm.]] réalisée par Spanisch um 1500, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Schwersenz au prix de 600 sch. [479]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE KATHARINA, STATUETTE. Stehend auf der Gestalt des überwundenen Kaisers. In langem Gewand, mit Krone, Schwert und Buch. Von der Krone fällt ein Schleiertuch an der Rückseite herab. Auf (späterem) Postament aus Holz und Elfenbein. Rückseite glatt. Gewand Gold, Mantel rot, Gesicht schwarz geworden. Holz. Figur: Höhe 6,2 cm. Sockel: Höhe 3,5 cm. (Süddeutsch 2. Hälfte 15. Jahrhundert)|HEILIGE KATHARINA, STATUETTE. Stehend auf der Gestalt des überwundenen Kaisers. In langem Gewand, mit Krone, Schwert und Buch. Von der Krone fällt ein Schleiertuch an der Rückseite herab. Auf (späterem) Postament aus Holz und Elfenbein. Rückseite glatt. Gewand Gold, Mantel rot, Gesicht schwarz geworden. Holz. Figur: Höhe 6,2 cm. Sockel: Höhe 3,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch 2. Hälfte 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 250 sch. [480]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE MAGDALENA, STATUE. Stehend, mit ausgebogener rechter Hüfte. Der ganze Körper, vom Halse abwärts, mit langen, am Ende geringelten Haarzotteln bedeckt. Die Hände etwas erhoben. Rückseite flach bearbeitet. Aus einem Stück mit der (fragmentarischen) Standfläche. Es fehlt die rechte Hand, von der linken Daumen und Fingerspitzen. Von der ursprünglichen Bemalung sind nur Reste des Kreidegrundes erhalten. Lindenholz. Höhe 69 cm. (Oberbayrisch Mitte 15. Jahrhundert)|HEILIGE MAGDALENA, STATUE. Stehend, mit ausgebogener rechter Hüfte. Der ganze Körper, vom Halse abwärts, mit langen, am Ende geringelten Haarzotteln bedeckt. Die Hände etwas erhoben. Rückseite flach bearbeitet. Aus einem Stück mit der (fragmentarischen) Standfläche. Es fehlt die rechte Hand, von der linken Daumen und Fingerspitzen. Von der ursprünglichen Bemalung sind nur Reste des Kreidegrundes erhalten. Lindenholz. Höhe 69 cm.]] réalisée par Oberbayrisch Mitte 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [481]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. STATUETTE. Alte Kopie des Gnadenbildes von Altötting. Rückseite ausgehöhlt. Der Maria fehlt der linke Arm, der aus besonderem Stück gearbeitet war, dem Kind der rechte. Alte Bemalung: Mantel weiß mit goldener Borte, Krone gold, Gewand des Kindes rot. In der Bemalung mehrere Fehlstellen. Modernes Holzpostament. Das Original, aus dem 14. Jahrhundert, wird bis in die Gegenwart häufig nachgebildet. Lindenholz. Höhe 22 cm. (Süddeutsch Wohl 15. Jahrhundert)|MARIA MIT DEM KINDE. STATUETTE. Alte Kopie des Gnadenbildes von Altötting. Rückseite ausgehöhlt. Der Maria fehlt der linke Arm, der aus besonderem Stück gearbeitet war, dem Kind der rechte. Alte Bemalung: Mantel weiß mit goldener Borte, Krone gold, Gewand des Kindes rot. In der Bemalung mehrere Fehlstellen. Modernes Holzpostament. Das Original, aus dem 14. Jahrhundert, wird bis in die Gegenwart häufig nachgebildet. Lindenholz. Höhe 22 cm.]] réalisée par Süddeutsch Wohl 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 200 sch. [482]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[KOPF EINES RITTERS (FRAGMENT). Mit üppigem Lockenhaar, um den Hals ein Kragen aus mehreren Platten (»Halsberge«). Die Rückseite und z. T. auch die vorderen Teile des Haares durch Wurmfraß zerstört. Alte Polychromie z. T. erhalten. In Köln erworben. Lindenholz. Höhe 13,5 cm. (Süddeutsch (?) Anfang 16. Jahrhundert)|KOPF EINES RITTERS (FRAGMENT). Mit üppigem Lockenhaar, um den Hals ein Kragen aus mehreren Platten (»Halsberge«). Die Rückseite und z. T. auch die vorderen Teile des Haares durch Wurmfraß zerstört. Alte Polychromie z. T. erhalten. In Köln erworben. Lindenholz. Höhe 13,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch (?) Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [483]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[SITZENDER BISCHOF. RUNDFIGUR. Die Hände über dem Buch in seinem Schoß gefaltet, blickt er sinnend vor sich nieder. Er trägt die Mitra mit Fascien und über der Alba einen weiten Mantel, der sich am Boden staut. Die Brust schmückt ein (später hinzugefügter) großer Bergkristall in silberner Fassung. Tiefe Standfläche vor der Bank, Ecken abgeschrägt. Von der Standplatte ist rechts ein Stück abgebrochen, links ist sie bestoßen und wurmstichig. Alte Polychromie, an der Mitra nur in Resten, sonst gut erhalten: Mantel tief rot mit goldener Borte; schwarze Sitzbank mit rotem Polster. Bemerkenswert die vollständige Ausführung der Rückseite. In der Anordnung des Gewandes und in manchen Einzelheiten, auch der Rückseite, gemahnt das Werk an oberrheinische Arbeiten. Doch ist daran zu erinnern, wie weit sich Oberrheinisches, vor allem durch Nicolaus Gerhaerts Einfluß, in ganz Süddeutschland und Osterreich verbreitete. Vorbesitzer: Prof. von Kaulbach, München; Alexander Günther, ebenda. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 9. Lindenholz. Höhe 45, Breite 30 cm. Tafel XCV (Süddeutsch um 1470)|SITZENDER BISCHOF. RUNDFIGUR. Die Hände über dem Buch in seinem Schoß gefaltet, blickt er sinnend vor sich nieder. Er trägt die Mitra mit Fascien und über der Alba einen weiten Mantel, der sich am Boden staut. Die Brust schmückt ein (später hinzugefügter) großer Bergkristall in silberner Fassung. Tiefe Standfläche vor der Bank, Ecken abgeschrägt. Von der Standplatte ist rechts ein Stück abgebrochen, links ist sie bestoßen und wurmstichig. Alte Polychromie, an der Mitra nur in Resten, sonst gut erhalten: Mantel tief rot mit goldener Borte; schwarze Sitzbank mit rotem Polster. Bemerkenswert die vollständige Ausführung der Rückseite. In der Anordnung des Gewandes und in manchen Einzelheiten, auch der Rückseite, gemahnt das Werk an oberrheinische Arbeiten. Doch ist daran zu erinnern, wie weit sich Oberrheinisches, vor allem durch Nicolaus Gerhaerts Einfluß, in ganz Süddeutschland und Osterreich verbreitete. Vorbesitzer: Prof. von Kaulbach, München; Alexander Günther, ebenda. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 9. Lindenholz. Höhe 45, Breite 30 cm. Tafel XCV]] réalisée par Süddeutsch um 1470, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Schwersenz au prix de 14000 sch. [484]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[Heilige Barbara. Halbfigur. Hüfte nach links ausgebogen, mit der Rechten einen Turm fassend, der sich über einem Kirchenbau mit hohem Portal erhebt. Die Heilige trägt abstehendes, in Schnecken frisiertes Haar. Über der Stirn der Rest eines Diadems. Vom Unterkleid sieht man die breite Bordüre am Halsausschnitt (mit Steinen besetzt) und die langen Hängeärmel. Obergewand mit Pelzbesatz und kurzen Ärmeln. Mantelüberwurf. Rückseite ausgehöhlt. Der rechte Teil der Frisur durch Wurmfraß zerstört, z. T. abgeschnitten. Auch das übrige wurmstichig. Nachgedunkelte gute alte Bemalung zum größten Teil erhalten. Lindenholz. Höhe 40, Breite 30 cm. (Oberdeutsch (?) um 1460-70)|Heilige Barbara. Halbfigur. Hüfte nach links ausgebogen, mit der Rechten einen Turm fassend, der sich über einem Kirchenbau mit hohem Portal erhebt. Die Heilige trägt abstehendes, in Schnecken frisiertes Haar. Über der Stirn der Rest eines Diadems. Vom Unterkleid sieht man die breite Bordüre am Halsausschnitt (mit Steinen besetzt) und die langen Hängeärmel. Obergewand mit Pelzbesatz und kurzen Ärmeln. Mantelüberwurf. Rückseite ausgehöhlt. Der rechte Teil der Frisur durch Wurmfraß zerstört, z. T. abgeschnitten. Auch das übrige wurmstichig. Nachgedunkelte gute alte Bemalung zum größten Teil erhalten. Lindenholz. Höhe 40, Breite 30 cm.]] réalisée par Oberdeutsch (?) um 1460-70, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 850 sch. [485]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[Wanderer in felsiger Landschaft. Relief. In einer aus Felsen gebildeten Landschaft, durch die oben ein gemauerter Weg führt, steht ein Wanderer mit wehendem Mantel, Hut, Kinnbinde, geschlitztem Rock und Seitentasche, spreizbeinig vor einem Brunnentrog und füllt einen Fischlegel aus dem Quell darüber, der in eine Holzrinne gefaßt ist. Rechts oben ein Stück abgebrochen, das angedübelt war. Links alte Stückung; ebenso oben ein schmales Stück aufgedübelt. Alte Bemalung: Grund dunkelgrau, Mantel rot mit blauem Futter, Hut und Beinlinge rot, Gold an den Gewandsäumen und an der Rinne (z. T. erneuert), Mauer, Kinntuch rot. Lindenholz. Höhe 60, Breite 39 cm. Tafel XCVI (Süddeutsch Ende 15. Jahrhundert)|Wanderer in felsiger Landschaft. Relief. In einer aus Felsen gebildeten Landschaft, durch die oben ein gemauerter Weg führt, steht ein Wanderer mit wehendem Mantel, Hut, Kinnbinde, geschlitztem Rock und Seitentasche, spreizbeinig vor einem Brunnentrog und füllt einen Fischlegel aus dem Quell darüber, der in eine Holzrinne gefaßt ist. Rechts oben ein Stück abgebrochen, das angedübelt war. Links alte Stückung; ebenso oben ein schmales Stück aufgedübelt. Alte Bemalung: Grund dunkelgrau, Mantel rot mit blauem Futter, Hut und Beinlinge rot, Gold an den Gewandsäumen und an der Rinne (z. T. erneuert), Mauer, Kinntuch rot. Lindenholz. Höhe 60, Breite 39 cm. Tafel XCVI]] réalisée par Süddeutsch Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [486]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER VEIT IM KESSEL. Der Jüngling, mit regelmäßigem langem Haar, das vorn in Locken endigt, kniet betend in dem Kessel, der ihn bis unter die Hüfte bedeckt. Kessel mit zwei Henkeln, außen mit Flammen bemalt. Vollrund. Alt bemalt. Lindenholz. Höhe 33 cm. (Süddeutsch 2. Hälfte 15. Jahrhundert)|HEILIGER VEIT IM KESSEL. Der Jüngling, mit regelmäßigem langem Haar, das vorn in Locken endigt, kniet betend in dem Kessel, der ihn bis unter die Hüfte bedeckt. Kessel mit zwei Henkeln, außen mit Flammen bemalt. Vollrund. Alt bemalt. Lindenholz. Höhe 33 cm.]] réalisée par Süddeutsch 2. Hälfte 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 450 sch. [487]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA UND JOHANNES. Assistenzfiguren von einer Kreuzigung. Beide in Mäntel gehüllt, mit klagenden Gebärden. Johannes trägt sein Buch in der Linken. Auf Sockeln mit Terrainandeutung. Vollrund, mit vereinfachter Rückenbehandlung. Beide Figuren haben Zapfen für (jetzt verschwundene) Nimben. Alte Polychromie: Maria hat goldenen Mantel mit rotem Futter, schwarzes Kopftuch, Johannes grünes Gewand und vergoldeten Mantel mit rotem Futter. Lindenholz. Höhe: Maria 18,2, Johannes 19 cm. (Süddeutsch Ende 15. Jahrhundert)|MARIA UND JOHANNES. Assistenzfiguren von einer Kreuzigung. Beide in Mäntel gehüllt, mit klagenden Gebärden. Johannes trägt sein Buch in der Linken. Auf Sockeln mit Terrainandeutung. Vollrund, mit vereinfachter Rückenbehandlung. Beide Figuren haben Zapfen für (jetzt verschwundene) Nimben. Alte Polychromie: Maria hat goldenen Mantel mit rotem Futter, schwarzes Kopftuch, Johannes grünes Gewand und vergoldeten Mantel mit rotem Futter. Lindenholz. Höhe: Maria 18,2, Johannes 19 cm.]] réalisée par Süddeutsch Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 3200 sch. [488]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE MAGDALENA. Stehend, mit ausgebogener Hüfte. Über dem enganliegenden Gewand mit langen Ärmeln und hochsitzendem Gürtel ein über die rechte Schulter fallender Mantelüberwurf, von der linken Hand festgehalten. Das Haupt mit offen fallendem Lockenhaar trägt eine Art Turban mit der Inschrift: »Santa Magdalena«. Rückseite ausgehöhlt. Teilweise erhaltene Vergoldung am Mantel, am Halsausschnitt des Gewandes, am Turban. Gewand: Reste von gemustertem Rot. In der Kopfbedeckung einer der Sybillen des Ulmer Chorgestühls entfernt verwandt. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 36. Lindenholz. Höhe 72 cm. (Süddeutsch (Schwäbisch?) Ende 15. Jahrhundert)|HEILIGE MAGDALENA. Stehend, mit ausgebogener Hüfte. Über dem enganliegenden Gewand mit langen Ärmeln und hochsitzendem Gürtel ein über die rechte Schulter fallender Mantelüberwurf, von der linken Hand festgehalten. Das Haupt mit offen fallendem Lockenhaar trägt eine Art Turban mit der Inschrift: »Santa Magdalena«. Rückseite ausgehöhlt. Teilweise erhaltene Vergoldung am Mantel, am Halsausschnitt des Gewandes, am Turban. Gewand: Reste von gemustertem Rot. In der Kopfbedeckung einer der Sybillen des Ulmer Chorgestühls entfernt verwandt. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 36. Lindenholz. Höhe 72 cm.]] réalisée par Süddeutsch (Schwäbisch?) Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Singer, Prag au prix de 650 sch. [489]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA. WANDFIGUR. In einen langen Mantel, Kopftuch und Kinnbinde eingehüllt, die Arme über der Brust zusammengelegt, den Kopf seitwärts geneigt; mit gramvollem Ausdruck, die Augen gesenkt. Reliefartig. Rückseite glatt. Alte, gut erhaltene Polychromie: Kopftuch und Kinnbinde weiß. Mantel und Ärmelaufschläge vergoldet. Spitze Schuhe. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 39. Lindenholz. Höhe 100 cm. (Unterfränkisch Ende 15. Jahrhundert)|TRAUERNDE MARIA. WANDFIGUR. In einen langen Mantel, Kopftuch und Kinnbinde eingehüllt, die Arme über der Brust zusammengelegt, den Kopf seitwärts geneigt; mit gramvollem Ausdruck, die Augen gesenkt. Reliefartig. Rückseite glatt. Alte, gut erhaltene Polychromie: Kopftuch und Kinnbinde weiß. Mantel und Ärmelaufschläge vergoldet. Spitze Schuhe. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 39. Lindenholz. Höhe 100 cm.]] réalisée par Unterfränkisch Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 800 sch. [490]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ANNA SELBDRITT. WANDGRUPPE. Auf einer gepolsterten Bank sitzt links Maria, gekrönt, mit offenem Haar, gegürtetem Gewand, Mantel mit edelsteinbesetzter Borte. Sie blättert in einem Buch auf ihrem Schoß. Anna, rechts, mit Kopftuch, Kinnbinde, Gewand und ähnlichem Mantel, hält auf dem Schoß das Jesuskind. Fußplatte in der Mitte vortretend, nach den Seiten geschweift zurückgebogen. Rückseite unten ausgehöhlt, Bank wurmstichig, Kronenzacken bei Maria beschädigt. Bei Anna fehlt die rechte Hand, bei dem Kind der rechte Arm und linke Hand. Alte Bemalung: Krone und Mäntel Reste von Gold auf Bolusgrund, Futter blau, Kopftuch weiß, im Buch Druckseite mit Initiale. In der verwandten Anna-selbdritt-Gruppe der Annakirche in Limburg zeigt sich noch deutlicher als in der Figdorschen die Nachwirkung der bekannten, auf Nicolaus Gerhaert zurückzuführenden Komposition im Berliner Deutschen Museum (Katalog Bd. III, S. 138 f.). - Die von Baum (Ulmer Plastik um 1500, S. 119) herangezogene Gruppe im Germanischen Museum, Nürnberg (Katalog Josephi, Nr. 375, Taf. 43) entstammt dagegen einem andern Kunstkreis. Vorbesitzer: Landrichter Conrady, Miltenberg (Unterfranken). Lindenholz. Höhe 88, Breite 57 cm. Tafel XCVII (Fränkisch um 1500)|ANNA SELBDRITT. WANDGRUPPE. Auf einer gepolsterten Bank sitzt links Maria, gekrönt, mit offenem Haar, gegürtetem Gewand, Mantel mit edelsteinbesetzter Borte. Sie blättert in einem Buch auf ihrem Schoß. Anna, rechts, mit Kopftuch, Kinnbinde, Gewand und ähnlichem Mantel, hält auf dem Schoß das Jesuskind. Fußplatte in der Mitte vortretend, nach den Seiten geschweift zurückgebogen. Rückseite unten ausgehöhlt, Bank wurmstichig, Kronenzacken bei Maria beschädigt. Bei Anna fehlt die rechte Hand, bei dem Kind der rechte Arm und linke Hand. Alte Bemalung: Krone und Mäntel Reste von Gold auf Bolusgrund, Futter blau, Kopftuch weiß, im Buch Druckseite mit Initiale. In der verwandten Anna-selbdritt-Gruppe der Annakirche in Limburg zeigt sich noch deutlicher als in der Figdorschen die Nachwirkung der bekannten, auf Nicolaus Gerhaert zurückzuführenden Komposition im Berliner Deutschen Museum (Katalog Bd. III, S. 138 f.). - Die von Baum (Ulmer Plastik um 1500, S. 119) herangezogene Gruppe im Germanischen Museum, Nürnberg (Katalog Josephi, Nr. 375, Taf. 43) entstammt dagegen einem andern Kunstkreis. Vorbesitzer: Landrichter Conrady, Miltenberg (Unterfranken). Lindenholz. Höhe 88, Breite 57 cm. Tafel XCVII]] réalisée par Fränkisch um 1500, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Dr. Wolters au prix de 3500 sch. [491]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE AUF DER MONDSICHEL. Thronend. Sie hält das nach links schreitende nackte Kind auf ihrem Knie mit der Linken leicht fest. Reiches, offen fallendes, gewelltes Haar, Haube mit lang herabfallendem Schleiertuch. Gewand mit spitzem Halsausschnitt, gegürtet; darüber Mantel. Unterer Abschluß: nach oben offene Mondsichel mit männlichem, abwärts blickendem Gesicht. Rückseite ausgehöhlt. Dem Kind fehlt der rechte Arm und einige Finger der linken Hand, der Maria Daumen und drei Finger der rechten. Alte Bemalung: Gewand rot, Mantel gold; Mondsichel gold, auch das Gesicht darin wohl ursprünglich vergoldet. Kopftuch weiß. - Linker Fuß des Kindes durchgebrochen. Leisching, Figurale Holzplastik I, Tafel 8. Lindenholz. Höhe 68, Breite 39 cm. (Fränkisch Anfang 16. Jahrhundert)|MARIA MIT DEM KINDE AUF DER MONDSICHEL. Thronend. Sie hält das nach links schreitende nackte Kind auf ihrem Knie mit der Linken leicht fest. Reiches, offen fallendes, gewelltes Haar, Haube mit lang herabfallendem Schleiertuch. Gewand mit spitzem Halsausschnitt, gegürtet; darüber Mantel. Unterer Abschluß: nach oben offene Mondsichel mit männlichem, abwärts blickendem Gesicht. Rückseite ausgehöhlt. Dem Kind fehlt der rechte Arm und einige Finger der linken Hand, der Maria Daumen und drei Finger der rechten. Alte Bemalung: Gewand rot, Mantel gold; Mondsichel gold, auch das Gesicht darin wohl ursprünglich vergoldet. Kopftuch weiß. - Linker Fuß des Kindes durchgebrochen. Leisching, Figurale Holzplastik I, Tafel 8. Lindenholz. Höhe 68, Breite 39 cm.]] réalisée par Fränkisch Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [492]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MATER DOLOROSA, HALBFIGUR. In Haube mit links lang herabhängendem Ende, Kinntuch, Gewand und Mantel. Der letztere unten als Abschlußdraperie benutzt. Mit schmerzvoll geöffnetem Mund, die Arme über der Brust gekreuzt. Auf vergoldetem Brett befestigt. Bemalung: Mantel blau, das Rot des Gewandes späteren Datums. Goldsaum am Halsausschnitt und an den Ärmeln. Lindenholz, reliefmäßig. Höhe 25 cm. (Süddeutsch (Nürnberg?) Anfang 16. Jahrhundert)|MATER DOLOROSA, HALBFIGUR. In Haube mit links lang herabhängendem Ende, Kinntuch, Gewand und Mantel. Der letztere unten als Abschlußdraperie benutzt. Mit schmerzvoll geöffnetem Mund, die Arme über der Brust gekreuzt. Auf vergoldetem Brett befestigt. Bemalung: Mantel blau, das Rot des Gewandes späteren Datums. Goldsaum am Halsausschnitt und an den Ärmeln. Lindenholz, reliefmäßig. Höhe 25 cm.]] réalisée par Süddeutsch (Nürnberg?) Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Fischer au prix de 360 sch. [493]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[GRUPPE AUS EINER BEWEINUNG. Nach links orientiert. Vorn kniet ein bärtiger Mann (Joseph von Arimathia?), der ein Leintuch auf den Armen hält. Ihm folgt eine Frau, stehend mit gerungenen Händen, die sich weinend abwendet. Endlich eine jugendliche Gestalt (Johannes?), ruhig kniend mit emporgehobenen gefalteten Händen. Alle reich gekleidet: der Bärtige mit malerisch drapiertem spitzem Hut, einem an den Seiten geschlitzten Mantel mit Kragen; darunter wird das Gewand sichtbar. Die Frau hat ein eng anschließendes Kleid mit langen Ärmeln, ein großes, schön geschlungenes Kopftuch mit gewelltem Rand und einen Mantelüberwurf, der die linke Schulter freiläßt. Der jüngere Mann trägt über reichem Lockenhaar einen hinten hochgeklappten Filzhut, ein Gewand mit geschlitzten Ärmeln, darüber einen ärmellosen Mantel. Beide Männer tragen Holzpantinen. Rückseite glatt. Dem Format nach aus der Predella eines Altares. Die Skulptur ist, abgesehen von Rissen und ganz kleinen ausgebrochenen Stellen am unteren Rand, trefflich erhalten, die Farbe verwaschen, z. T. ganz verschwunden. Das Leinentuch zeigt ein gezacktes rotes Randmuster. Rot zeigt sich bei allen Figuren, auch an den Haaren, ferner weiß bei der Frau (Kopftuch und Gesicht), graublau am Hut der dritten Figur. Das Grün am Gewand der Frau, unter dem Rot zum Vorschein kommt, vielleicht nicht ursprünglich. Stammt aus Wiblingen bei Ulm; die Gruppe zweier weinender Frauen im Berliner Museum, bei der eine, wenn auch nicht ganz ursprüngliche, Bemalung erhalten ist, könnte das Gegenstück zu ihr (auf der linken Seite des toten Christus) bilden: Format und Stil der Schnitzerei stimmen überein. Beide Gruppen stehen der Kunst Riemenschneiders sehr nahe und können nur unter seinem Einfluß entstanden sein. Doch sind bei dem Schnitzer auch andere (oberrheinische) Einflüsse unverkennbar; außerdem ist in Wiblingen ein Auftrag an den Würzburger Meister an sich nicht wahrscheinlich. - Ähnlich urteilt auch Bier im 2. Band seines »Riemenschneider«. Früher Sammlung Lorenz Gedon, München. Literatur: Otto Großmann in »Hessenkunst« (1909), S. 28; Demmler in »Die Kunst« XXIII(1922), S. 200; ders. in »Die Bildwerke des Deutschen Museums«, Bd. III, S. 172; J.Bier, Riemenschneider, Bd. II (1930), S. 100 ff. Lindenholzgruppe. Höhe 55, Breite 66 cm. Tafel XCVIII (Tilman Riemenschneider)|GRUPPE AUS EINER BEWEINUNG. Nach links orientiert. Vorn kniet ein bärtiger Mann (Joseph von Arimathia?), der ein Leintuch auf den Armen hält. Ihm folgt eine Frau, stehend mit gerungenen Händen, die sich weinend abwendet. Endlich eine jugendliche Gestalt (Johannes?), ruhig kniend mit emporgehobenen gefalteten Händen. Alle reich gekleidet: der Bärtige mit malerisch drapiertem spitzem Hut, einem an den Seiten geschlitzten Mantel mit Kragen; darunter wird das Gewand sichtbar. Die Frau hat ein eng anschließendes Kleid mit langen Ärmeln, ein großes, schön geschlungenes Kopftuch mit gewelltem Rand und einen Mantelüberwurf, der die linke Schulter freiläßt. Der jüngere Mann trägt über reichem Lockenhaar einen hinten hochgeklappten Filzhut, ein Gewand mit geschlitzten Ärmeln, darüber einen ärmellosen Mantel. Beide Männer tragen Holzpantinen. Rückseite glatt. Dem Format nach aus der Predella eines Altares. Die Skulptur ist, abgesehen von Rissen und ganz kleinen ausgebrochenen Stellen am unteren Rand, trefflich erhalten, die Farbe verwaschen, z. T. ganz verschwunden. Das Leinentuch zeigt ein gezacktes rotes Randmuster. Rot zeigt sich bei allen Figuren, auch an den Haaren, ferner weiß bei der Frau (Kopftuch und Gesicht), graublau am Hut der dritten Figur. Das Grün am Gewand der Frau, unter dem Rot zum Vorschein kommt, vielleicht nicht ursprünglich. Stammt aus Wiblingen bei Ulm; die Gruppe zweier weinender Frauen im Berliner Museum, bei der eine, wenn auch nicht ganz ursprüngliche, Bemalung erhalten ist, könnte das Gegenstück zu ihr (auf der linken Seite des toten Christus) bilden: Format und Stil der Schnitzerei stimmen überein. Beide Gruppen stehen der Kunst Riemenschneiders sehr nahe und können nur unter seinem Einfluß entstanden sein. Doch sind bei dem Schnitzer auch andere (oberrheinische) Einflüsse unverkennbar; außerdem ist in Wiblingen ein Auftrag an den Würzburger Meister an sich nicht wahrscheinlich. - Ähnlich urteilt auch Bier im 2. Band seines »Riemenschneider«. Früher Sammlung Lorenz Gedon, München. Literatur: Otto Großmann in »Hessenkunst« (1909), S. 28; Demmler in »Die Kunst« XXIII(1922), S. 200; ders. in »Die Bildwerke des Deutschen Museums«, Bd. III, S. 172; J.Bier, Riemenschneider, Bd. II (1930), S. 100 ff. Lindenholzgruppe. Höhe 55, Breite 66 cm. Tafel XCVIII]] réalisée par Tilman Riemenschneider, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 20000 sch. [494]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HALBFIGUR EINES ENGELS. RELIEF. Mit langem Lockenhaar, um das sich eine Stirnbinde mit Rosette legt. Er faßt mit beiden Händen ein vorn herabhängendes Tuch, das unten spitz zuläuft und oben ein gepreßtes Bordürenmuster zeigt. Alt bemalt und vergoldet. Die Farbe ist an einigen Stellen abgesprungen. Lindenholz. Höhe 37, Breite 23 cm. (Schwäbisch um 1480)|HALBFIGUR EINES ENGELS. RELIEF. Mit langem Lockenhaar, um das sich eine Stirnbinde mit Rosette legt. Er faßt mit beiden Händen ein vorn herabhängendes Tuch, das unten spitz zuläuft und oben ein gepreßtes Bordürenmuster zeigt. Alt bemalt und vergoldet. Die Farbe ist an einigen Stellen abgesprungen. Lindenholz. Höhe 37, Breite 23 cm.]] réalisée par Schwäbisch um 1480, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Dr. Wolters, Frankfurt au prix de 1200 sch. [495]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HAUSALTÄRCHEN (TRIPTYCHON) des Abtes Sebastian Molitor von Kloster Zwiefalten (Württemberg). In geschlossenem Zustand von hochrechteckiger Form, oberer Abschluß: gestutzter Kielbogen. Predella an beiden Seiten gekehlt. a) Mittelschrein: Hochrelief des hl. Sebastian, nackt, mit flatterndem Lendenschurz und nach rechts fliegendem, langem Lockenhaar. Auf Standfläche mit Terrainandeutung und Baumstumpf. Mit dem rechten Arm zeigt er über die Brust herüber nach oben, wo er an den Baumast gefesselt ist. Die abwärts gestreckte Linke ebenfalls an einen Ast gebunden. Rahmung: je zwei aufeinanderstehende Balustersäulchen, darüber flache Lünette mit Wappenschild (Kloster Zwiefalten). Darüber sitzend ein nackter Putto mit zwei Fruchtschnüren, unten rechts und links noch je ein Wappenschild. b) Flügel, bemalt: Innen je ein Pfeilschütze auf Goldgrund, auf den Heiligen zielend, oben Rankenwerk (schwarz). Außen: links S. Nicolaus, rechts S. Margareta, stehend, gemalt, auf dunklem Grund, darüber vergoldete Ranken. Randprofil rot. Predella: jetzt leer. Ränder und Fuß rot. Alte Bemalung und Vergoldung. Vorbesitzer: Hauptmann Geiger, Neu-Ulm. Lindenholz. Höhe 33, Breite geschlossen 15,6, geöffnet 31,2 cm. Tafel XCIX (Oberschwäbisch (Ulm) nach 1514)|HAUSALTÄRCHEN (TRIPTYCHON) des Abtes Sebastian Molitor von Kloster Zwiefalten (Württemberg). In geschlossenem Zustand von hochrechteckiger Form, oberer Abschluß: gestutzter Kielbogen. Predella an beiden Seiten gekehlt. a) Mittelschrein: Hochrelief des hl. Sebastian, nackt, mit flatterndem Lendenschurz und nach rechts fliegendem, langem Lockenhaar. Auf Standfläche mit Terrainandeutung und Baumstumpf. Mit dem rechten Arm zeigt er über die Brust herüber nach oben, wo er an den Baumast gefesselt ist. Die abwärts gestreckte Linke ebenfalls an einen Ast gebunden. Rahmung: je zwei aufeinanderstehende Balustersäulchen, darüber flache Lünette mit Wappenschild (Kloster Zwiefalten). Darüber sitzend ein nackter Putto mit zwei Fruchtschnüren, unten rechts und links noch je ein Wappenschild. b) Flügel, bemalt: Innen je ein Pfeilschütze auf Goldgrund, auf den Heiligen zielend, oben Rankenwerk (schwarz). Außen: links S. Nicolaus, rechts S. Margareta, stehend, gemalt, auf dunklem Grund, darüber vergoldete Ranken. Randprofil rot. Predella: jetzt leer. Ränder und Fuß rot. Alte Bemalung und Vergoldung. Vorbesitzer: Hauptmann Geiger, Neu-Ulm. Lindenholz. Höhe 33, Breite geschlossen 15,6, geöffnet 31,2 cm. Tafel XCIX]] réalisée par Oberschwäbisch (Ulm) nach 1514, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Bondy, Wien au prix de 4100 sch. [496]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE VERKÜNDIGUNG. RELIEF. Die Jungfrau kniet nach rechts vor einem Vorhang, der über einem balusterförmigen Tischchen hängt. Vorn links kommt der Engel heran und weist, die Knie beugend, auf seine Schriftrolle. Oben ein vom Rand überschnittenes Fenster, in dem Gottvater auf Wolken erscheint. Rechts ein Bücherbrettchen. Der Engel mit offenem Lockenhaar, Alba und Mantel. Rückseite mit Papier beklebt. Vergoldung und Bemalung alt; Mantel gold, Futter grün auf Silber, Gewand der Maria karminrot. Die Figur Gottvaters aus besonderem Stück, aufgeklebt auf Papier, befand sich vielleicht ursprünglich in einer Vertiefung. Für die Anordnung des Fensters und andere Einzelheiten vgl. das Verkündigungsaltärchen aus der Sammlung Streber, Tölz, im Deutschen Museum, Berlin (Katalog, Bd. III, Nr. 7013, S. 235 f.). Lindenholz (?). Höhe 19,5, Breite 17 cm. (Schwäbisch um 1520)|DIE VERKÜNDIGUNG. RELIEF. Die Jungfrau kniet nach rechts vor einem Vorhang, der über einem balusterförmigen Tischchen hängt. Vorn links kommt der Engel heran und weist, die Knie beugend, auf seine Schriftrolle. Oben ein vom Rand überschnittenes Fenster, in dem Gottvater auf Wolken erscheint. Rechts ein Bücherbrettchen. Der Engel mit offenem Lockenhaar, Alba und Mantel. Rückseite mit Papier beklebt. Vergoldung und Bemalung alt; Mantel gold, Futter grün auf Silber, Gewand der Maria karminrot. Die Figur Gottvaters aus besonderem Stück, aufgeklebt auf Papier, befand sich vielleicht ursprünglich in einer Vertiefung. Für die Anordnung des Fensters und andere Einzelheiten vgl. das Verkündigungsaltärchen aus der Sammlung Streber, Tölz, im Deutschen Museum, Berlin (Katalog, Bd. III, Nr. 7013, S. 235 f.). Lindenholz (?). Höhe 19,5, Breite 17 cm.]] réalisée par Schwäbisch um 1520, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 1650 sch. [497]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ANBETUNG DER KÖNIGE. RELIEF. Hinter der sitzenden Maria steht Joseph und greift mit der Rechten in das vom ersten knienden König dargereichte Kästchen. Von den stehenden Königen lüftet der linke seinen Turban; er trägt langen Mantel und Schärpe. Der Mohr als Profilfigur mit Turban, pelzbesetztem Rock, Degen, gestreiften Beinlingen, spitzen Schuhen. Rückseite mit Leinwand beklebt. In modernem Rastenrahmen. Alte Polychromie, teilweise erneuert und wieder abgewaschen. Mittlerer König: Damastmuster gold auf grün, weiße Borte, Schärpe weiß mit späteren Zutaten; Mohr: weißer Turban mit goldener Krone, damastgemusterter Rock, weißer Besatz, Streifen auf den Beinlingen blau, Schuhe rot. Die Komposition, von der sich noch andere Wiederholungen erhalten haben, geht wahrscheinlich auf einen verlorenen Stich des Meisters E. S. zurück. Das Figdorsche Exemplar ist von besonders guter Qualität. Das älteste, im Louvre, aus der Kirche in Pont-Saint-Vincent (Meurthe et Moselle) ist ein Steinrelief; vgl. Otto Schmitt, Oberrheinische Plastik (1924), S. 26; weitere in Frankfurt a. M., Städtische Galerie, dieses in Straßburg erworben; in der Sammlung Piel, Auktionskatalog Wertheim-Bangel, Berlin 1929, Nr. 121; in der Sammlung Julius Böhler, München; im Germanischen Museum (in einem Schnitzaltar aus Bamberg), Katalog von Josephi, Nr. 451; in München, Bayr. Nationalmuseum, fast vollrunde Gruppe aus Senkendorf (Oberpfalz); vgl. Huth, Künstler und Werkstatt der Spätgotik (1923), S. 50 f. Eine Zeichnung auf der Feste Koburg, Abb. 40, bei Huth. Cartapesta. Höhe 29, Breite 22 cm. Tafel XCVI (Oberrheinisch um 1480)|ANBETUNG DER KÖNIGE. RELIEF. Hinter der sitzenden Maria steht Joseph und greift mit der Rechten in das vom ersten knienden König dargereichte Kästchen. Von den stehenden Königen lüftet der linke seinen Turban; er trägt langen Mantel und Schärpe. Der Mohr als Profilfigur mit Turban, pelzbesetztem Rock, Degen, gestreiften Beinlingen, spitzen Schuhen. Rückseite mit Leinwand beklebt. In modernem Rastenrahmen. Alte Polychromie, teilweise erneuert und wieder abgewaschen. Mittlerer König: Damastmuster gold auf grün, weiße Borte, Schärpe weiß mit späteren Zutaten; Mohr: weißer Turban mit goldener Krone, damastgemusterter Rock, weißer Besatz, Streifen auf den Beinlingen blau, Schuhe rot. Die Komposition, von der sich noch andere Wiederholungen erhalten haben, geht wahrscheinlich auf einen verlorenen Stich des Meisters E. S. zurück. Das Figdorsche Exemplar ist von besonders guter Qualität. Das älteste, im Louvre, aus der Kirche in Pont-Saint-Vincent (Meurthe et Moselle) ist ein Steinrelief; vgl. Otto Schmitt, Oberrheinische Plastik (1924), S. 26; weitere in Frankfurt a. M., Städtische Galerie, dieses in Straßburg erworben; in der Sammlung Piel, Auktionskatalog Wertheim-Bangel, Berlin 1929, Nr. 121; in der Sammlung Julius Böhler, München; im Germanischen Museum (in einem Schnitzaltar aus Bamberg), Katalog von Josephi, Nr. 451; in München, Bayr. Nationalmuseum, fast vollrunde Gruppe aus Senkendorf (Oberpfalz); vgl. Huth, Künstler und Werkstatt der Spätgotik (1923), S. 50 f. Eine Zeichnung auf der Feste Koburg, Abb. 40, bei Huth. Cartapesta. Höhe 29, Breite 22 cm. Tafel XCVI]] réalisée par Oberrheinisch um 1480, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Boehler au prix de 2000 sch. [498]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI ENGEL. RELIEFFIGUREN. Sitzend, als Eckfüllungen einer Gruppe (Himmelfahrt?). a) pausbäckig, mit kurzem Haar, die Hände emporhaltend, ursprünglich wohl em Blasinstrument spielend. Flügel erhalten. Der straff gegliederte Stoff der Alba breitet sich am Boden aus. b) mit schmalem Gesicht und langem Lockenhaar, die Arme emporhaltend, hielt vielleicht eine Draperie. Flügel erhalten. Alba ähnlich wie bei a. Unter der weißlich-grauen Bemalung kommt an einigen Stellen Gold zum Vorschein. Zu vergleichen die beiden musizierenden Engel des Deutschen Museums, Berlin, Katalog »Die Bildwerke des Deutschen Museums«, Bd. III, S. 156, in den Köpfen ähnlich kontrastiert, auch im Gewandstil verwandt. Sammlung Lorenz Gedon, München. Lindenholz, a) Höhe 41, Breite 51 cm; b) Höhe 46,5, Breite 50 cm. (Oberrheinisch Ende 15. Jahrhundert)|ZWEI ENGEL. RELIEFFIGUREN. Sitzend, als Eckfüllungen einer Gruppe (Himmelfahrt?). a) pausbäckig, mit kurzem Haar, die Hände emporhaltend, ursprünglich wohl em Blasinstrument spielend. Flügel erhalten. Der straff gegliederte Stoff der Alba breitet sich am Boden aus. b) mit schmalem Gesicht und langem Lockenhaar, die Arme emporhaltend, hielt vielleicht eine Draperie. Flügel erhalten. Alba ähnlich wie bei a. Unter der weißlich-grauen Bemalung kommt an einigen Stellen Gold zum Vorschein. Zu vergleichen die beiden musizierenden Engel des Deutschen Museums, Berlin, Katalog »Die Bildwerke des Deutschen Museums«, Bd. III, S. 156, in den Köpfen ähnlich kontrastiert, auch im Gewandstil verwandt. Sammlung Lorenz Gedon, München. Lindenholz, a) Höhe 41, Breite 51 cm; b) Höhe 46,5, Breite 50 cm.]] réalisée par Oberrheinisch Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Kaiser-Friedrich-Museum au prix de 3100 sch. [499]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ANBETUNG DER KÖNIGE. RELIEF. Das Kind auf dem Schoß Marias wendet sich dem knienden König zu, die beiden jüngeren stehen mit ihren Gaben hinter ihm und blicken auf das Kind herab. Im Hintergrund links oben sieht man Joseph im Stall tätig, er faßt den Esel vor der Futterkrippe um den Hals. Rechts vor dem Fenster mit Rundbogen die Wiege auf einem altarartigen Unterbau mit Decke. Oben rechts die Hirten und die Stadt Bethlehem. Alt bemalt. In der Gewandbehandlung noch unter Einfluß des Meisters E. S. Vgl. dessen Stich: Madonna mit Barbara und Dorothea, L. 75. Holzrelief (Linde oder Ahorn), z. T. durchbrochen gearbeitet. Höhe 36,5 Breite 34 cm. (Oberrheinisch um 1480-90)|ANBETUNG DER KÖNIGE. RELIEF. Das Kind auf dem Schoß Marias wendet sich dem knienden König zu, die beiden jüngeren stehen mit ihren Gaben hinter ihm und blicken auf das Kind herab. Im Hintergrund links oben sieht man Joseph im Stall tätig, er faßt den Esel vor der Futterkrippe um den Hals. Rechts vor dem Fenster mit Rundbogen die Wiege auf einem altarartigen Unterbau mit Decke. Oben rechts die Hirten und die Stadt Bethlehem. Alt bemalt. In der Gewandbehandlung noch unter Einfluß des Meisters E. S. Vgl. dessen Stich: Madonna mit Barbara und Dorothea, L. 75. Holzrelief (Linde oder Ahorn), z. T. durchbrochen gearbeitet. Höhe 36,5 Breite 34 cm.]] réalisée par Oberrheinisch um 1480-90, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Boehler au prix de 1250 sch. [500]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MATER DOLOROSA. BÜSTE. Den umwölkten Blick nach links abwärts gerichtet, in dunklem Gewand mit breiter Bordüre am Halsausschnitt, darüber ein vergoldeter Mantel, über den Kopf gezogen. Rückseite ausgehöhlt. Von der alten Polychromie ist unten ein schräger Streifen entfernt. Mantelfutter blau, Gewand rot. Wohl Fragment einer Pietä-Gruppe. Lindenholz. Höhe 22,5, Breite 21 cm. (Süddeutsch 1. Hälfte 16. Jahrhundert)|MATER DOLOROSA. BÜSTE. Den umwölkten Blick nach links abwärts gerichtet, in dunklem Gewand mit breiter Bordüre am Halsausschnitt, darüber ein vergoldeter Mantel, über den Kopf gezogen. Rückseite ausgehöhlt. Von der alten Polychromie ist unten ein schräger Streifen entfernt. Mantelfutter blau, Gewand rot. Wohl Fragment einer Pietä-Gruppe. Lindenholz. Höhe 22,5, Breite 21 cm.]] réalisée par Süddeutsch 1. Hälfte 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Weisner au prix de 1900 sch. [501]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE HEDWIG. STATUE. Frontal stehend, die Rechte redend erhoben, mit der Linken ein Paar Schuhe tragend. Grünes hochgegürtetes Gewand, darüber offener vergoldeter Mantel. Das Haar deckt eine breite Haube. Eine Pilgertasche, die über der rechten Schulter hängt, wird unter dem Arm sichtbar. Runde Standfläche. Rückseite flach, mit durchgeführtem Gewandmotiv. An der rechten Hand fehlen vier Finger, an der linken der Daumen. Alte Polychromie, mit Erneuerungen aus etwas späterer Zeit: Kleid grün mit goldenem Gürtel und goldener Ärmelborte. Mantel vergoldet; bunter Saum mit gepreßtem Muster; Haube weiß mit goldener Borte. Füße nackt. Aufhängung der Schuhe neu. Leisching, Figurale Holzplastik, Taf. 36. Lindenholz. Höhe 81,5 cm. (Süddeutsch Anfang 16. Jahrhundert)|HEILIGE HEDWIG. STATUE. Frontal stehend, die Rechte redend erhoben, mit der Linken ein Paar Schuhe tragend. Grünes hochgegürtetes Gewand, darüber offener vergoldeter Mantel. Das Haar deckt eine breite Haube. Eine Pilgertasche, die über der rechten Schulter hängt, wird unter dem Arm sichtbar. Runde Standfläche. Rückseite flach, mit durchgeführtem Gewandmotiv. An der rechten Hand fehlen vier Finger, an der linken der Daumen. Alte Polychromie, mit Erneuerungen aus etwas späterer Zeit: Kleid grün mit goldenem Gürtel und goldener Ärmelborte. Mantel vergoldet; bunter Saum mit gepreßtem Muster; Haube weiß mit goldener Borte. Füße nackt. Aufhängung der Schuhe neu. Leisching, Figurale Holzplastik, Taf. 36. Lindenholz. Höhe 81,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Schwersenz au prix de 1100 sch. [502]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI FLIEGENDE ENGEL. RELIEFFIGUREN. Gegeneinander fliegend, Oberkörper und Köpfe nach vorn gewendet. Mit erhaltenen Flügeln, langen haaren, Alba und Stola. Polychromie von guter Erhaltung. Alba vergoldet, Stola rot. Einige Finger ergänzt, rechts zwei abgebrochen. Sammlung Lorenz Gedon, München. Lindenholz. Länge 38 und 39 cm. (Süddeutsch um 1500)|ZWEI FLIEGENDE ENGEL. RELIEFFIGUREN. Gegeneinander fliegend, Oberkörper und Köpfe nach vorn gewendet. Mit erhaltenen Flügeln, langen haaren, Alba und Stola. Polychromie von guter Erhaltung. Alba vergoldet, Stola rot. Einige Finger ergänzt, rechts zwei abgebrochen. Sammlung Lorenz Gedon, München. Lindenholz. Länge 38 und 39 cm.]] réalisée par Süddeutsch um 1500, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Stuttgart, Landesgew.-Museum au prix de 2000 sch. [503]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER SEBASTIAN. STATUETTE. Auf stark eingezogenem, mit Stabwerk profiliertem Postament steht der Heilige, an einen Baum gefesselt. Das Haupt, mit lockigem Haar, das rechts frei herabfällt, ist leicht nach rechts abwärts geneigt, der Mund geöffnet. Das rechts geknotete Lendentuch wird von der Hand gefaßt und fällt frei herab, am Boden sich ausbreitend. Ein Pfeil steckt in der Brust, einer im Oberschenkel. Standfläche mit Terrainandeutung. Alte Bemalung und Vergoldung. Daumen der linken Hand abgebrochen. Die Figur stand wohl in der Bekrönung eines Altars auf einer Fiale. Lindenholz. Höhe mit Postament 77,5, Figur 60,5 cm. (Niederbayrisch (?) um 1500)|HEILIGER SEBASTIAN. STATUETTE. Auf stark eingezogenem, mit Stabwerk profiliertem Postament steht der Heilige, an einen Baum gefesselt. Das Haupt, mit lockigem Haar, das rechts frei herabfällt, ist leicht nach rechts abwärts geneigt, der Mund geöffnet. Das rechts geknotete Lendentuch wird von der Hand gefaßt und fällt frei herab, am Boden sich ausbreitend. Ein Pfeil steckt in der Brust, einer im Oberschenkel. Standfläche mit Terrainandeutung. Alte Bemalung und Vergoldung. Daumen der linken Hand abgebrochen. Die Figur stand wohl in der Bekrönung eines Altars auf einer Fiale. Lindenholz. Höhe mit Postament 77,5, Figur 60,5 cm.]] réalisée par Niederbayrisch (?) um 1500, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Dr. v. Frey au prix de 450 sch. [504]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[RELIEF MIT VIER PUTTEN. Von quadratischer Form, oben ohne Rand, unteres Ende eine Hochfüllung. Vier Putten, einer nackt, drei mit Röckchen, sitzen paarweise übereinander. Der rechts oben hält eine Breikachel mit langem Stiel und will anscheinend dem links den Löffel wegnehmen. Der rechts unten legt den Löffel vor den Mund. Zwischen den unteren Putten Bandrollen. Nur kleine Beschädigungen an der Skulptur, manche Stellen der Farbe abgefallen, die Röckchen vergoldet. Rand schwarz mit Resten eines (späteren) Blau. An der Rückseite unten ein Falz. Mehrere Stücke angeleimt. Lindenholz, mit alter, im ganzen gut erhaltener Bemalung. Höhe 48,5, Breite 45 cm. (Süddeutsch (Alpenländisch?) Anfang 16. Jahrhundert)|RELIEF MIT VIER PUTTEN. Von quadratischer Form, oben ohne Rand, unteres Ende eine Hochfüllung. Vier Putten, einer nackt, drei mit Röckchen, sitzen paarweise übereinander. Der rechts oben hält eine Breikachel mit langem Stiel und will anscheinend dem links den Löffel wegnehmen. Der rechts unten legt den Löffel vor den Mund. Zwischen den unteren Putten Bandrollen. Nur kleine Beschädigungen an der Skulptur, manche Stellen der Farbe abgefallen, die Röckchen vergoldet. Rand schwarz mit Resten eines (späteren) Blau. An der Rückseite unten ein Falz. Mehrere Stücke angeleimt. Lindenholz, mit alter, im ganzen gut erhaltener Bemalung. Höhe 48,5, Breite 45 cm.]] réalisée par Süddeutsch (Alpenländisch?) Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par v. Auspitz, Wien au prix de 1000 sch. [505]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BEKRÖNUNG AUS RANKENWERK. Viereckig, unten ausladend, durchbrochen gearbeitet. Geschweiftes Stabwerk mit Durchschneidungen. In den Zwischenräumen spätgotische dichte Blattranken, unterer Abschluß: rechts und links je eine Blume. Oben zwei Putten: links Pfeifer, rechts Trommler, ersterer nackt mit Schärpe, letzterer mit geschlitztem Barett und kurzem Röckchen. Aus zwei senkrecht zusammenpassenden Stücken. Abb. bei Jacob von Falke, Mittelalterliches Holzmobiliar (1894), Taf. 36. Lindenholz. Höhe 51, Breite 56,5 cm. (Süddeutsch 1. Hälfte 16. Jahrhundert)|BEKRÖNUNG AUS RANKENWERK. Viereckig, unten ausladend, durchbrochen gearbeitet. Geschweiftes Stabwerk mit Durchschneidungen. In den Zwischenräumen spätgotische dichte Blattranken, unterer Abschluß: rechts und links je eine Blume. Oben zwei Putten: links Pfeifer, rechts Trommler, ersterer nackt mit Schärpe, letzterer mit geschlitztem Barett und kurzem Röckchen. Aus zwei senkrecht zusammenpassenden Stücken. Abb. bei Jacob von Falke, Mittelalterliches Holzmobiliar (1894), Taf. 36. Lindenholz. Höhe 51, Breite 56,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch 1. Hälfte 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [506]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE BEIDEN SCHÄCHER. Holzfiguren von einer Kreuzigungsgruppe. Mit verzerrten Bewegungen um die Astkreuze gekrümmt. Alte Bemalung. Dem guten Schächer fehlen die beiden Füße, die rechte Hand, der Daumen der linken, dem bösen der linke Fuß, der rechte Unterarm, der linke Daumen. Bei beiden fehlt ein Stück unten am Kreuzesstamm. Holz. Höhe 42 cm. (Süddeutsch Anfang 16. Jahrhundert)|DIE BEIDEN SCHÄCHER. Holzfiguren von einer Kreuzigungsgruppe. Mit verzerrten Bewegungen um die Astkreuze gekrümmt. Alte Bemalung. Dem guten Schächer fehlen die beiden Füße, die rechte Hand, der Daumen der linken, dem bösen der linke Fuß, der rechte Unterarm, der linke Daumen. Bei beiden fehlt ein Stück unten am Kreuzesstamm. Holz. Höhe 42 cm.]] réalisée par Süddeutsch Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [507]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI PUTTEN (WAPPENHALTER). Gegenstücke. Nackt, mit Lockenhaar, auf dem einen Fuß stehend, den andern emporziehend, halten sie mit beiden Händen je einen Wappenschild; der eine ist mit drei Muscheln, der andere mit einem Schrägbalken belegt (Familien v. Metternich und v. d. Leyen). Rückseite flach. Von der Bemalung geringe Reste erhalten. Wurmstichig. Ergänzt bei beiden der linke Arm und die Füße. Lindenholz. Höhe 33 und 31 cm. (Süddeutsch 1. Hälfte 16. Jahrhundert)|ZWEI PUTTEN (WAPPENHALTER). Gegenstücke. Nackt, mit Lockenhaar, auf dem einen Fuß stehend, den andern emporziehend, halten sie mit beiden Händen je einen Wappenschild; der eine ist mit drei Muscheln, der andere mit einem Schrägbalken belegt (Familien v. Metternich und v. d. Leyen). Rückseite flach. Von der Bemalung geringe Reste erhalten. Wurmstichig. Ergänzt bei beiden der linke Arm und die Füße. Lindenholz. Höhe 33 und 31 cm.]] réalisée par Süddeutsch 1. Hälfte 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 550 sch. [508]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[PUTTO MIT ZWEI WAPPENSCHILDEN. Er faßt zwei längliche Wappenschilde von geschweifter und eingerollter Form, und neigt sie oben gegeneinander. Die Wappen stellen dar: einen gekrönten Madonnenkopf; drei abwärts gerichtete Wolfsangeln (Familie Stadion). Rückseite glatt. Alt bemalt. Lindenholz. Wandgruppe. Höhe 30, Breite 25 cm. (Schwäbisch um 1530-50)|PUTTO MIT ZWEI WAPPENSCHILDEN. Er faßt zwei längliche Wappenschilde von geschweifter und eingerollter Form, und neigt sie oben gegeneinander. Die Wappen stellen dar: einen gekrönten Madonnenkopf; drei abwärts gerichtete Wolfsangeln (Familie Stadion). Rückseite glatt. Alt bemalt. Lindenholz. Wandgruppe. Höhe 30, Breite 25 cm.]] réalisée par Schwäbisch um 1530-50, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 450 sch. [509]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER GEORG. STATUE. Barhaupt, eine Binde um das seitlich abstehende Haar, in voller Rüstung. Unter dem Panzer ein Kettenhemd. Tiefsitzender Gürtel (Dupsing). Die Linke faßt den länglichen Schild mit Georgskreuz, die erhobene Rechte führt die Lanze. Breitbeinig frontal auf dem Drachen stehend. Rückseite des Ritters flach mit viereckiger Öffnung, der Drache hinten hohl.- Alte etwas abgeriebene Bemalung, im Gesicht erneuert. Der Lindwurm ganz erhalten; Bemalung z.T. auf Leinwandgrund. Aus Brixen. Unter den ähnlichen Darstellungen eine der frühesten und besterhaltenen. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 41. Jacob von Falke in Mitteilungen des K. K. Österreichischen Museums 1887, Nr. 17, Beilage S. 12. Lindenholz. Höhe 102 cm. Tafel C (Tirol Ende 14. Jahrhundert)|HEILIGER GEORG. STATUE. Barhaupt, eine Binde um das seitlich abstehende Haar, in voller Rüstung. Unter dem Panzer ein Kettenhemd. Tiefsitzender Gürtel (Dupsing). Die Linke faßt den länglichen Schild mit Georgskreuz, die erhobene Rechte führt die Lanze. Breitbeinig frontal auf dem Drachen stehend. Rückseite des Ritters flach mit viereckiger Öffnung, der Drache hinten hohl.- Alte etwas abgeriebene Bemalung, im Gesicht erneuert. Der Lindwurm ganz erhalten; Bemalung z.T. auf Leinwandgrund. Aus Brixen. Unter den ähnlichen Darstellungen eine der frühesten und besterhaltenen. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 41. Jacob von Falke in Mitteilungen des K. K. Österreichischen Museums 1887, Nr. 17, Beilage S. 12. Lindenholz. Höhe 102 cm. Tafel C]] réalisée par Tirol Ende 14. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Schwersenz au prix de 25500 sch. [510]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. STATUETTE. Stehend, mit beiden Händen das fast waagrecht liegende Kind haltend. In der Hüfte stark ausgebogen. Von der rechten Schulter hängt ein weiter Mantel herab. Faltenzüge mit wellenförmigen Rändern am Kopftuch zu beiden Seiten des Hauptes, am Mantel von der Hüfte abwärts. Der linke Zipfel wird vom Kinde, der rechte von Maria emporgehalten. Alt bemalt, auch an der flacher behandelten Rückseite. Mantel blau mit goldenen Säumen. Gewand rot. Das Schleiertuch wie der Mantel behandelt. Lindenholz. Höhe 16,5 cm. (Südostdeutsch Anfang 15. Jahrhundert)|MARIA MIT DEM KINDE. STATUETTE. Stehend, mit beiden Händen das fast waagrecht liegende Kind haltend. In der Hüfte stark ausgebogen. Von der rechten Schulter hängt ein weiter Mantel herab. Faltenzüge mit wellenförmigen Rändern am Kopftuch zu beiden Seiten des Hauptes, am Mantel von der Hüfte abwärts. Der linke Zipfel wird vom Kinde, der rechte von Maria emporgehalten. Alt bemalt, auch an der flacher behandelten Rückseite. Mantel blau mit goldenen Säumen. Gewand rot. Das Schleiertuch wie der Mantel behandelt. Lindenholz. Höhe 16,5 cm.]] réalisée par Südostdeutsch Anfang 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Stuttgart, Schloßmuseum au prix de 1000 sch. [511]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[KNIENDE MARIA. ALTARFIGUR AUS EINER ANBETUNG DES KINDES. Leicht nach rechts gewendet; der Blick und die gefalteten Hände abwärts gerichtet. Um die offenen Haare ein Kopftuch. Über dem Gewand ein Mantel, der von der linken Schulter herabfällt und vom linken Arm festgehalten wird. Rückseite ausgehöhlt. Vorzüglich erhaltene Figur mit alter Bemalung. Es fehlen der rechte Daumen und kleine Stücke am Rand des am Boden sich ausbreitenden Mantels. Gewand vergoldet, Futter dunkelblau, Armelfutter rot, Kopftuch weiß. Die Figur stammt aus dem Schloß Saltaus im Passeier, ist jedoch erst im 19. Jahrhundert dorthin gekommen. Wie Carl Th. Müller jüngst nachgewiesen hat, gehört sie, zusammen mit einem »Joseph« des Deutschen Museums in Berlin, zu einer Anbetungsgruppe, die offenbar in Brixen entstanden ist, und deren Meister vielleicht mit dem urkundlich genannten Hans Klocker gleichzusetzen ist. Die Arbeiten, die ihm zugeschrieben sind (vgl. auch die folgende Nummer) setzen Michael Pachers Wirken voraus, stehen aber stilistisch durchaus selbständig neben ihm. Vgl. C. Th. Müller in »Berliner Museen« L (1929), S.62 ff. Ferner aus der älteren Literatur vor allem H. Semper, Michael und Friedrich Pacher (1911), S. 297; K. Atz, Kunstgeschichte von Tirol und Vorarlberg, S. 580; Ausstellung von Meisterwerken der Renaissance, München 1901, Katalog 2. Auflage, Taf. 60; Ausstellung: »Gotik in Österreich«, Wien 1926, Katalog Nr. 153; Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 12. Nadelholz. Höhe 113 cm. Tafel CI (Hans Klocker)|KNIENDE MARIA. ALTARFIGUR AUS EINER ANBETUNG DES KINDES. Leicht nach rechts gewendet; der Blick und die gefalteten Hände abwärts gerichtet. Um die offenen Haare ein Kopftuch. Über dem Gewand ein Mantel, der von der linken Schulter herabfällt und vom linken Arm festgehalten wird. Rückseite ausgehöhlt. Vorzüglich erhaltene Figur mit alter Bemalung. Es fehlen der rechte Daumen und kleine Stücke am Rand des am Boden sich ausbreitenden Mantels. Gewand vergoldet, Futter dunkelblau, Armelfutter rot, Kopftuch weiß. Die Figur stammt aus dem Schloß Saltaus im Passeier, ist jedoch erst im 19. Jahrhundert dorthin gekommen. Wie Carl Th. Müller jüngst nachgewiesen hat, gehört sie, zusammen mit einem »Joseph« des Deutschen Museums in Berlin, zu einer Anbetungsgruppe, die offenbar in Brixen entstanden ist, und deren Meister vielleicht mit dem urkundlich genannten Hans Klocker gleichzusetzen ist. Die Arbeiten, die ihm zugeschrieben sind (vgl. auch die folgende Nummer) setzen Michael Pachers Wirken voraus, stehen aber stilistisch durchaus selbständig neben ihm. Vgl. C. Th. Müller in »Berliner Museen« L (1929), S.62 ff. Ferner aus der älteren Literatur vor allem H. Semper, Michael und Friedrich Pacher (1911), S. 297; K. Atz, Kunstgeschichte von Tirol und Vorarlberg, S. 580; Ausstellung von Meisterwerken der Renaissance, München 1901, Katalog 2. Auflage, Taf. 60; Ausstellung: »Gotik in Österreich«, Wien 1926, Katalog Nr. 153; Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 12. Nadelholz. Höhe 113 cm. Tafel CI]] réalisée par Hans Klocker, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Wien, Figdor-Stiftung au prix de 32000 sch. [512]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER LEONHARD. STATUE. Stehend, auf rechts erhöhtem, rundlichem Terrainsockel. Tonsur mit Lockenkranz, Mönchstracht mit Kapuzenkragen. Beide Hände erhoben. Auf moderner achteckiger Sockelplatte. Rückseite hohl. Gewand weiß, Mantel vergoldet, Kapuzenfutter schwarz. Rechts und links je drei Finger abgebrochen, einer barock ergänzt. Aus der Schloßkapelle der Ortschaft Stern (La Stella) an der Mündung des Corvaratales in das Gadertal (südlich von Bruneck). Sicher vom selben Meister wie die zwei Diakone Stephanus uud Leonhard im Germanischen Museum Nürnberg, Katalog von Josephi, Nr. 409, 410, beide aus Villnöß (nahe bei Brixen), wahrscheinlich vom selben Meister wie die vorige Nummer dieses Kataloges. - Vgl. Carl Th. Müller in »Berliner Museen« 50 (1929), S.67 f., wo auch die weiteren in Brixen befindlichen verwandten Arbeiten besprochen sind. Ausstellung: »Gotik in Österreich«, Wien 1926, Katalog Nr. 152. Zirbelholz. Höhe 112 cm. Tafel CII (Hans Klocker)|HEILIGER LEONHARD. STATUE. Stehend, auf rechts erhöhtem, rundlichem Terrainsockel. Tonsur mit Lockenkranz, Mönchstracht mit Kapuzenkragen. Beide Hände erhoben. Auf moderner achteckiger Sockelplatte. Rückseite hohl. Gewand weiß, Mantel vergoldet, Kapuzenfutter schwarz. Rechts und links je drei Finger abgebrochen, einer barock ergänzt. Aus der Schloßkapelle der Ortschaft Stern (La Stella) an der Mündung des Corvaratales in das Gadertal (südlich von Bruneck). Sicher vom selben Meister wie die zwei Diakone Stephanus uud Leonhard im Germanischen Museum Nürnberg, Katalog von Josephi, Nr. 409, 410, beide aus Villnöß (nahe bei Brixen), wahrscheinlich vom selben Meister wie die vorige Nummer dieses Kataloges. - Vgl. Carl Th. Müller in »Berliner Museen« 50 (1929), S.67 f., wo auch die weiteren in Brixen befindlichen verwandten Arbeiten besprochen sind. Ausstellung: »Gotik in Österreich«, Wien 1926, Katalog Nr. 152. Zirbelholz. Höhe 112 cm. Tafel CII]] réalisée par Hans Klocker, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Wien, Figdor-Stiftung au prix de 13000 sch. [513]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BISCHOFSBÜSTE. Mit Mitra, Kasel und Amiktus (Schulterkragen); der Blick ist gesenkt, das Haupt nach rechts geneigt, der Mund leicht geöffnet. Schöne nachgedunkelte alte Bemalung mit einzelnen Fehlstellen: Mitra tiefrot mit Gold, dasselbe Rot am Kragen. Kasel fast schwarz.-Rückseite unten geglättet und z. T. ausgehöhlt. Aus der früheren Hauskapelle der Familie de Sardagna in Trient. Leisching, Figurale Holzplastik I, Nr. 125, Taf. 58. Lindenholz. Höhe 36, Breite 26 cm. Tafel CIII (Südtirol (Brixener Meister) Ende 15. Jahrhundert)|BISCHOFSBÜSTE. Mit Mitra, Kasel und Amiktus (Schulterkragen); der Blick ist gesenkt, das Haupt nach rechts geneigt, der Mund leicht geöffnet. Schöne nachgedunkelte alte Bemalung mit einzelnen Fehlstellen: Mitra tiefrot mit Gold, dasselbe Rot am Kragen. Kasel fast schwarz.-Rückseite unten geglättet und z. T. ausgehöhlt. Aus der früheren Hauskapelle der Familie de Sardagna in Trient. Leisching, Figurale Holzplastik I, Nr. 125, Taf. 58. Lindenholz. Höhe 36, Breite 26 cm. Tafel CIII]] réalisée par Südtirol (Brixener Meister) Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par J. u. S. Goldschmidt au prix de 11000 sch. [514]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI ENGEL (HALBFIGUREN AUS EINER BEWEINUNG). Beide tragen über der Alba und dem Amiktus einen oben mit Band zusammengehaltenen Mantel. Rundliche jugendliche Kopfform; reiches, offen herabfallendes gelocktes Haar. Jeder hält in den Händen einen Arm des toten Christus. Rückseite glatt. - Der in der Mitte fehlende Christus war aus besonderem Stück gearbeitet. An den Mänteln Reste von Vergoldung. Haare braun. Gewänder: Reste von dunklem Rot. Inkarnat gut erhalten. Zur Darstellung vgl. Giambellinis Bild in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 28. Zirbelholz. Höhe 40 cm. (Südtirol (?) um 1470)|ZWEI ENGEL (HALBFIGUREN AUS EINER BEWEINUNG). Beide tragen über der Alba und dem Amiktus einen oben mit Band zusammengehaltenen Mantel. Rundliche jugendliche Kopfform; reiches, offen herabfallendes gelocktes Haar. Jeder hält in den Händen einen Arm des toten Christus. Rückseite glatt. - Der in der Mitte fehlende Christus war aus besonderem Stück gearbeitet. An den Mänteln Reste von Vergoldung. Haare braun. Gewänder: Reste von dunklem Rot. Inkarnat gut erhalten. Zur Darstellung vgl. Giambellinis Bild in Berlin, Kaiser-Friedrich-Museum. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 28. Zirbelholz. Höhe 40 cm.]] réalisée par Südtirol (?) um 1470, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 850 sch. [515]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHER KOPF (FRAGMENT EINER STATUE). Trägt ein mit drei Reihen Perlen besetztes Diadem, unter dem die Haare vorkommen. Großer, elegant geschlungener, scharf abstehender Haarknoten, links eine kleine, rechts eine große Locke frei herabhängend (von der letzteren ein Endchen abgebrochen). Hinten ist zur Befestigung ein längliches Stück eingesetzt, ebenso kleine Stücke hinten am Kronreif. Abgesehen von kleinen Schäden am Diadem schöne Erhaltung. Alte Polychromie, etwas abblätternd. Aus Meran. Später in Wiener Privatbesitz. Die Ansicht, daß der Kopf auf einen schwäbischen Meister zurückgehen müsse, scheint mir nicht zwingend. Lindenholz (etwas wurmstichig). Höhe 22,5 cm. Tafel CIII (Südtirol Anfang 16. Jahrhundert)|WEIBLICHER KOPF (FRAGMENT EINER STATUE). Trägt ein mit drei Reihen Perlen besetztes Diadem, unter dem die Haare vorkommen. Großer, elegant geschlungener, scharf abstehender Haarknoten, links eine kleine, rechts eine große Locke frei herabhängend (von der letzteren ein Endchen abgebrochen). Hinten ist zur Befestigung ein längliches Stück eingesetzt, ebenso kleine Stücke hinten am Kronreif. Abgesehen von kleinen Schäden am Diadem schöne Erhaltung. Alte Polychromie, etwas abblätternd. Aus Meran. Später in Wiener Privatbesitz. Die Ansicht, daß der Kopf auf einen schwäbischen Meister zurückgehen müsse, scheint mir nicht zwingend. Lindenholz (etwas wurmstichig). Höhe 22,5 cm. Tafel CIII]] réalisée par Südtirol Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 9500 sch. [516]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIENTOD. RELIEF. Maria sinkt inmitten der Apostel zusammen, von Johannes gestützt. Von den Aposteln sind fünf im Hintergrund frontal angeordnet, zwei rechts wenden sich sprechend einander zu. Im Vordergrund rechts und links hält je einer ein Buch mit den Sterbegebeten, der links taucht mit der Rechten den Sprengwedel in ein Becken, das der Apostel ganz am Rande hält. Rechts von ihm einer, der sich die Nase zuhält. Oben eine bekrönende Baldachinarchitektur auf dünnen Randsäulen. Am Boden, wo die Gewänder sich ausbreiten, Terrainandeutung. Alte Bemalung und Vergoldung mit Fehlstellen. Wurmstichig. Das Relief stammt laut mündlicher Tradition aus der Franziskaner-Kirche (ehemaligen Kirche zu U. L. Frau) in Salzburg. Für diese Kirche wurde 1484 ein Altar bei Michael Pacher bestellt, der beim Tod des Meisters 1498 noch nicht vollendet war; die sitzende Madonna, die Hauptfigur aus dem Schrein, später barock verändert, befindet sich noch in der Kirche. Da der Marientod den Stil der Pacherwerkstatt zeigt, so ist es sehr wahrscheinlich, daß er zu diesem Altar gehört hat. Er dürfte seinen Platz, analog dem Altar der Bozener Franziskaner-Kirche, auf der Innenseite des rechten Flügels gehabt haben. Weitere Reste des Altars sind nicht bekannt; das vorliegende Relief ist durch R. Verres mit ihm in Verbindung gebracht worden. Wolff, Michael Pacher I (1909), Taf. 93 f. (Abb. der sitzenden Madonna in der Franziskaner-Kirche). Österreichische Kunsttopographie IX (1912), S. 91. Ausstellung: Gotik in Österreich, Wien 1926, Katalog Nr. 150. R. Verres in der Zeitschrift für bildende Kunst 1930, Maiheft. Lindenholz. Höhe 114, Breite 96 cm. Tafel CIV (Michael Pacher)|MARIENTOD. RELIEF. Maria sinkt inmitten der Apostel zusammen, von Johannes gestützt. Von den Aposteln sind fünf im Hintergrund frontal angeordnet, zwei rechts wenden sich sprechend einander zu. Im Vordergrund rechts und links hält je einer ein Buch mit den Sterbegebeten, der links taucht mit der Rechten den Sprengwedel in ein Becken, das der Apostel ganz am Rande hält. Rechts von ihm einer, der sich die Nase zuhält. Oben eine bekrönende Baldachinarchitektur auf dünnen Randsäulen. Am Boden, wo die Gewänder sich ausbreiten, Terrainandeutung. Alte Bemalung und Vergoldung mit Fehlstellen. Wurmstichig. Das Relief stammt laut mündlicher Tradition aus der Franziskaner-Kirche (ehemaligen Kirche zu U. L. Frau) in Salzburg. Für diese Kirche wurde 1484 ein Altar bei Michael Pacher bestellt, der beim Tod des Meisters 1498 noch nicht vollendet war; die sitzende Madonna, die Hauptfigur aus dem Schrein, später barock verändert, befindet sich noch in der Kirche. Da der Marientod den Stil der Pacherwerkstatt zeigt, so ist es sehr wahrscheinlich, daß er zu diesem Altar gehört hat. Er dürfte seinen Platz, analog dem Altar der Bozener Franziskaner-Kirche, auf der Innenseite des rechten Flügels gehabt haben. Weitere Reste des Altars sind nicht bekannt; das vorliegende Relief ist durch R. Verres mit ihm in Verbindung gebracht worden. Wolff, Michael Pacher I (1909), Taf. 93 f. (Abb. der sitzenden Madonna in der Franziskaner-Kirche). Österreichische Kunsttopographie IX (1912), S. 91. Ausstellung: Gotik in Österreich, Wien 1926, Katalog Nr. 150. R. Verres in der Zeitschrift für bildende Kunst 1930, Maiheft. Lindenholz. Höhe 114, Breite 96 cm. Tafel CIV]] réalisée par Michael Pacher, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Schwersenz au prix de 9500 sch. [517]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER ROCHUS. STATUE. Stehend, auf kreisrundem Sockel aus geschichteten Erdschollen mit Riefelung. Er setzt das rechte Bein vorschreitend im rechten Winkel vor das linke. Hut mit hochgeschlagener Krempe; Rock mit Ärmelaufschlägen, darüber Mantel, vom rechten Arm emporgezogen, so daß das Bein mit der Wunde sichtbar wird. Spitze Schuhe, Strümpfe bis zum Knie. Wandfigur mit durchgeführter Behandlung der Rückseite. Rechte Hand aus besonderem Stück, Finger abgebrochen, linke Hand fehlt; ebenso die Spitze des rechten Fußes und ein kleines Stück am Sockel. Mantel ursprünglich vergoldet, in den Falten noch altes Gelb, Gewand schwarz auf Kreidegrund. Ärmelaufschläge gold. Mütze schwarz, Krempe vergoldet, Rand beschädigt. Lindenholz,. Höhe 89 cm. (Pacher)|HEILIGER ROCHUS. STATUE. Stehend, auf kreisrundem Sockel aus geschichteten Erdschollen mit Riefelung. Er setzt das rechte Bein vorschreitend im rechten Winkel vor das linke. Hut mit hochgeschlagener Krempe; Rock mit Ärmelaufschlägen, darüber Mantel, vom rechten Arm emporgezogen, so daß das Bein mit der Wunde sichtbar wird. Spitze Schuhe, Strümpfe bis zum Knie. Wandfigur mit durchgeführter Behandlung der Rückseite. Rechte Hand aus besonderem Stück, Finger abgebrochen, linke Hand fehlt; ebenso die Spitze des rechten Fußes und ein kleines Stück am Sockel. Mantel ursprünglich vergoldet, in den Falten noch altes Gelb, Gewand schwarz auf Kreidegrund. Ärmelaufschläge gold. Mütze schwarz, Krempe vergoldet, Rand beschädigt. Lindenholz,. Höhe 89 cm.]] réalisée par Pacher, vendue par Dr. Albert Figdor. [518]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE. WANDFIGUR. Stehend, gekrönt, mit eng anliegendem Gewand und übergeworfenem Mantel, ein Kopftuch im offenem Haar. Aus einem Stück mit der Achteckstandplatte. Gegenstück zur folgenden Nummer. Rückseite glatt, ohne Bemalung. Die Vorderseite alt bemalt: Gewand und Mantel gold, Kopftuch weiß. Die linke Hand mit den Blumen modern ergänzt. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 42, Nr. 86. Zirbelholz. Höhe 56 cm. (Tirol Ende 15. Jahrhundert)|WEIBLICHE HEILIGE. WANDFIGUR. Stehend, gekrönt, mit eng anliegendem Gewand und übergeworfenem Mantel, ein Kopftuch im offenem Haar. Aus einem Stück mit der Achteckstandplatte. Gegenstück zur folgenden Nummer. Rückseite glatt, ohne Bemalung. Die Vorderseite alt bemalt: Gewand und Mantel gold, Kopftuch weiß. Die linke Hand mit den Blumen modern ergänzt. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 42, Nr. 86. Zirbelholz. Höhe 56 cm.]] réalisée par Tirol Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par A. S. Drey au prix de 2500 sch. [519]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BISCHOFSSTATUETTE. WANDFIGUR. Nach rechts ausgebogene Haltung. Mitra mit zwei Bändern (fasciae), Amiktus, Alba, Dalmatika, Mantel, von der Linken emporgezogen. Die Rechte, erhoben, hielt den Bischofsstab. Achtecksockel. Gegenstück zur vorigen Nummer. Rückseite glatt. Alte Bemalung, im ganzen gut erhalten: Alba weiß, Dalmatika gold, Mantel gold mit dunkelgrünem, gemustertem Futter. Mitra dunkelrot mit gold. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 54. Zirbelholz. Höhe 55,5 cm. (Tirol Ende 15. Jahrhundert)|BISCHOFSSTATUETTE. WANDFIGUR. Nach rechts ausgebogene Haltung. Mitra mit zwei Bändern (fasciae), Amiktus, Alba, Dalmatika, Mantel, von der Linken emporgezogen. Die Rechte, erhoben, hielt den Bischofsstab. Achtecksockel. Gegenstück zur vorigen Nummer. Rückseite glatt. Alte Bemalung, im ganzen gut erhalten: Alba weiß, Dalmatika gold, Mantel gold mit dunkelgrünem, gemustertem Futter. Mitra dunkelrot mit gold. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 54. Zirbelholz. Höhe 55,5 cm.]] réalisée par Tirol Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [520]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DAS ABENDMAHL. Reliefgruppe mit einzelnen Freifiguren. In flachbogig geschlossenem Altarschrein ein gedeckter Tisch mit Speisen und Trinkbechern. An der Rückseite, in größerer Gestalt als die übrigen, Christus mit dem an seiner Seite liegenden Johannes, und noch vier Apostel. An den Schmalseiten je zwei, vorn drei Jünger, in der Mitte, Christus gegenüber, Judas. Die Figuren der Rückseite sitzen erhöht, die vorn auf Bänken und zwei Stühlen, Judas auf einem Scherenstuhl. Tischdecke mit Fransen, Tisch mit gerundeten Ecken. Alle Figuren in lebhafter Rede. Alte Vergoldung, abblätternd. Rückwand des Schreins vergoldet, mit gepreßtem Muster in Renaissanceformen. Holz. Schrein: Höhe 62, Breite 104, Tiefe 30 cm. (Tirol, angeblich Unteres Inntal 1. Hälfte 16. Jahrhundert)|DAS ABENDMAHL. Reliefgruppe mit einzelnen Freifiguren. In flachbogig geschlossenem Altarschrein ein gedeckter Tisch mit Speisen und Trinkbechern. An der Rückseite, in größerer Gestalt als die übrigen, Christus mit dem an seiner Seite liegenden Johannes, und noch vier Apostel. An den Schmalseiten je zwei, vorn drei Jünger, in der Mitte, Christus gegenüber, Judas. Die Figuren der Rückseite sitzen erhöht, die vorn auf Bänken und zwei Stühlen, Judas auf einem Scherenstuhl. Tischdecke mit Fransen, Tisch mit gerundeten Ecken. Alle Figuren in lebhafter Rede. Alte Vergoldung, abblätternd. Rückwand des Schreins vergoldet, mit gepreßtem Muster in Renaissanceformen. Holz. Schrein: Höhe 62, Breite 104, Tiefe 30 cm.]] réalisée par Tirol, angeblich Unteres Inntal 1. Hälfte 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [521]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER VEIT IM KESSEL. Nackt, mit halber Figur aus dem Kessel herausragend, die Hände betend zusammengelegt. Lockenhaar. Alte Bemalung. Vorn an dem Kessel eine viereckige, früher verschlossene Offnung für Reliquien. Zwei der Kesselfüße schadhaft. Lindenholz. Höhe 31 cm. (Nordtirol Anfang 16. Jahrhundert)|HEILIGER VEIT IM KESSEL. Nackt, mit halber Figur aus dem Kessel herausragend, die Hände betend zusammengelegt. Lockenhaar. Alte Bemalung. Vorn an dem Kessel eine viereckige, früher verschlossene Offnung für Reliquien. Zwei der Kesselfüße schadhaft. Lindenholz. Höhe 31 cm.]] réalisée par Nordtirol Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [522]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[VIER WEIBLICHE HEILIGE, RELIEFFIGUREN von den Flügeln eines Altars; je zwei Gegenstücke. ELISABETH, in gegürtetem Gewand mit breitem Ausschnitt, darüber Mantel, der über der Brust mit einem Band zusammengehalten wird, breite Haube mit vorn herabhängendem Zipfel. In der Rechten ein Krug, in der Linken ein Brotlaib. Nach rechts gewendet. MAGDALENA, mit Stirnreif und einem durch das offene Haar geschlungenen Kopftuch. Gewand wie oben. Das Ende des Mantels von der Rechten hochgenommen. In der Linken das Salbgefäß. Nach links gewendet. BARBARA, gekrönt, mit offenem Lockenhaar, nimmt mit der Rechten den Mantel auf, und hält in der Linken den Kelch. Nach rechts gewendet. DOROTHEA (oder Margareta von Schottland?), gekrönt, mit beiden Händen ein Körbchen mit Margeriten haltend, drückt mit dem linken Arm den Mantel an sich. Offenes Lockenhaar. Nach links gewendet. Die Figuren waren mit schweren Nägeln am Hintergrund befestigt; je zwei Nägel, bei Magdalena und Elisabeth, sind erhalten, bei den andern die Löcher. Ausgezeichnet erhaltene alte Bemalung und Vergoldung. Das Blau des Mantelfutters aufgefrischt bei Magdalena und Barbara, bei den andern alt, tief nachgedunkelt. Abgesehen von kleinen Schäden der unteren Ränder, die z. T. morsch geworden sind, ist auch das Plastische von tadelloser Erhaltung. Vgl. den Altar von Saubach, Abb. bei H. Semper, Michael und Friedrich Pacher (1911), S. 301. Lindenholz. Höhe ca. 111 cm. (Osttirol oder Kärnten Anfang 16. Jahrhundert)|VIER WEIBLICHE HEILIGE, RELIEFFIGUREN von den Flügeln eines Altars; je zwei Gegenstücke. ELISABETH, in gegürtetem Gewand mit breitem Ausschnitt, darüber Mantel, der über der Brust mit einem Band zusammengehalten wird, breite Haube mit vorn herabhängendem Zipfel. In der Rechten ein Krug, in der Linken ein Brotlaib. Nach rechts gewendet. MAGDALENA, mit Stirnreif und einem durch das offene Haar geschlungenen Kopftuch. Gewand wie oben. Das Ende des Mantels von der Rechten hochgenommen. In der Linken das Salbgefäß. Nach links gewendet. BARBARA, gekrönt, mit offenem Lockenhaar, nimmt mit der Rechten den Mantel auf, und hält in der Linken den Kelch. Nach rechts gewendet. DOROTHEA (oder Margareta von Schottland?), gekrönt, mit beiden Händen ein Körbchen mit Margeriten haltend, drückt mit dem linken Arm den Mantel an sich. Offenes Lockenhaar. Nach links gewendet. Die Figuren waren mit schweren Nägeln am Hintergrund befestigt; je zwei Nägel, bei Magdalena und Elisabeth, sind erhalten, bei den andern die Löcher. Ausgezeichnet erhaltene alte Bemalung und Vergoldung. Das Blau des Mantelfutters aufgefrischt bei Magdalena und Barbara, bei den andern alt, tief nachgedunkelt. Abgesehen von kleinen Schäden der unteren Ränder, die z. T. morsch geworden sind, ist auch das Plastische von tadelloser Erhaltung. Vgl. den Altar von Saubach, Abb. bei H. Semper, Michael und Friedrich Pacher (1911), S. 301. Lindenholz. Höhe ca. 111 cm.]] réalisée par Osttirol oder Kärnten Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Nürnberg, Germ. Nat.-Museum au prix de 5200 sch. [523]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ENGEL, VON EINER TAUFE CHRISTI. STATUE. Stehend, reiches Lockenhaar mit Kranz, Dalmatika. Mit beiden Händen hält er das über die Unterarme gelegte Gewand Christi. Aus einem Stück mit der viereckigen, an den Ecken abgeschrägten Standplatte, über die das Ende der Dalmatika sich ausbreitet. An der durchgeführten Rückseite zwei Löcher für die Flügel. Kleine Schäden an den Locken, an der Nase, dem Halskragen, den Rändern des herabhängenden Kleidungsstücks. An der Standplatte fehlt hinten ein Stück. An der linken Hand fehlt der Daumen, an der rechten die Daumenspitze. Bemalung verwaschen. Späteres Sternblumenmuster auf dem Gewand. Unten leicht vermorscht und wurmstichig. Ausstellung »Gotik in Österreich«, Wien 1926, Katalog Nr. 148. Zirbelholz. Höhe 100 cm. (Alpenländisch um 1470-80)|ENGEL, VON EINER TAUFE CHRISTI. STATUE. Stehend, reiches Lockenhaar mit Kranz, Dalmatika. Mit beiden Händen hält er das über die Unterarme gelegte Gewand Christi. Aus einem Stück mit der viereckigen, an den Ecken abgeschrägten Standplatte, über die das Ende der Dalmatika sich ausbreitet. An der durchgeführten Rückseite zwei Löcher für die Flügel. Kleine Schäden an den Locken, an der Nase, dem Halskragen, den Rändern des herabhängenden Kleidungsstücks. An der Standplatte fehlt hinten ein Stück. An der linken Hand fehlt der Daumen, an der rechten die Daumenspitze. Bemalung verwaschen. Späteres Sternblumenmuster auf dem Gewand. Unten leicht vermorscht und wurmstichig. Ausstellung »Gotik in Österreich«, Wien 1926, Katalog Nr. 148. Zirbelholz. Höhe 100 cm.]] réalisée par Alpenländisch um 1470-80, vendue par Dr. Albert Figdor. [524]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER STEPHANUS, STATUE. Stehend, in langem Diakonengewand, mit Schultertuch (Amiktus), darüber ein Überwurf mit kürzeren Ärmeln, dessen Ende von der Rechten emporgenommen wird. Tonsur und reicher Lockenkranz. Das jugendlich schöne Gesicht mit still beschaulichem Ausdruck. Rückseite ausgehöhlt. Bemalung stark verwaschen. Beide Hände fehlen. Kleinere Bestoßungen am Gewand, am Sockelrand, an den Locken. Nächstverwandt dem Kefermarkter Altar, vor allem den beiden Statuen des Laurentius und Stephanus, die Ubell in seiner Besprechung des Altares in der Zeitschrift »Kunst und Kunsthandwerk« XVI (1913), S. 34 - 37, abgebildet hat. Die richtige Bestimmung des Figdorschen Stephanus gab Halm in derselben Zeitschrift XVIII (1915), S. 79 - 81. Zirbelholz. Höhe 115 cm. Tafel CV (Oberösterreichisch oder Tirolisch um 1490)|HEILIGER STEPHANUS, STATUE. Stehend, in langem Diakonengewand, mit Schultertuch (Amiktus), darüber ein Überwurf mit kürzeren Ärmeln, dessen Ende von der Rechten emporgenommen wird. Tonsur und reicher Lockenkranz. Das jugendlich schöne Gesicht mit still beschaulichem Ausdruck. Rückseite ausgehöhlt. Bemalung stark verwaschen. Beide Hände fehlen. Kleinere Bestoßungen am Gewand, am Sockelrand, an den Locken. Nächstverwandt dem Kefermarkter Altar, vor allem den beiden Statuen des Laurentius und Stephanus, die Ubell in seiner Besprechung des Altares in der Zeitschrift »Kunst und Kunsthandwerk« XVI (1913), S. 34 - 37, abgebildet hat. Die richtige Bestimmung des Figdorschen Stephanus gab Halm in derselben Zeitschrift XVIII (1915), S. 79 - 81. Zirbelholz. Höhe 115 cm. Tafel CV]] réalisée par Oberösterreichisch oder Tirolisch um 1490, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Danzig, Museum au prix de 10000 sch. [525]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER FLORIAN, STATUE. Schlanke Gestalt in Ritterrüstung, auf dem Haupt eine Mütze mit hochgeschlagener Krempe, auf der eine Rosette angebracht ist. Langes Haupthaar. Er steht mit einer leichten Biegung des Körpers und gießt mit der Rechten aus einem Kübel Wasser auf eine Felsenburg mit brennendem Turm. Alte, vorn gerundete Standfläche. Rückseite durchgeführt. Sockelstück unten vermorscht, etwas wurmstichig. Es fehlen der linke Arm und das Schwert, das am Riemen hing, ferner die Spitze des linken Fußes. Bemalung fast ganz verschwunden. Reste von (späterem) Rot und Blau. Aus Linzer Besitz. Lindenholz. Höhe 82,5 cm. Tafel CII (Oberösterreichisch Ende 15. Jahrhundert)|HEILIGER FLORIAN, STATUE. Schlanke Gestalt in Ritterrüstung, auf dem Haupt eine Mütze mit hochgeschlagener Krempe, auf der eine Rosette angebracht ist. Langes Haupthaar. Er steht mit einer leichten Biegung des Körpers und gießt mit der Rechten aus einem Kübel Wasser auf eine Felsenburg mit brennendem Turm. Alte, vorn gerundete Standfläche. Rückseite durchgeführt. Sockelstück unten vermorscht, etwas wurmstichig. Es fehlen der linke Arm und das Schwert, das am Riemen hing, ferner die Spitze des linken Fußes. Bemalung fast ganz verschwunden. Reste von (späterem) Rot und Blau. Aus Linzer Besitz. Lindenholz. Höhe 82,5 cm. Tafel CII]] réalisée par Oberösterreichisch Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Dr. Beets au prix de 7500 sch. [526]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HALBFIGUR EINES ENGELCHENS. Applique, linke Körperhälfte fast ganz, rechte bis unter den Gürtel sichtbar. Er legt die linke Hand vor die geschlossenen Lippen, die rechte, jetzt leer, ist erhoben. Kopf und Blick nach links gewendet. Langes Lockenhaar, Dalmatika. Rückseite glatt. Gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung. Von einem Beichtstuhl? Lindenholz. Höhe 19,5 cm. (Oberösterreichisch um 1500)|HALBFIGUR EINES ENGELCHENS. Applique, linke Körperhälfte fast ganz, rechte bis unter den Gürtel sichtbar. Er legt die linke Hand vor die geschlossenen Lippen, die rechte, jetzt leer, ist erhoben. Kopf und Blick nach links gewendet. Langes Lockenhaar, Dalmatika. Rückseite glatt. Gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung. Von einem Beichtstuhl? Lindenholz. Höhe 19,5 cm.]] réalisée par Oberösterreichisch um 1500, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 700 sch. [527]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[FLÜGELALTÄRCHEN. Mit bemalten Flügeln und einer plastischen Gruppe im Schrein. Der Schrein, rechteckige Nische mit Ranken auf rotem Grunde ausgemalt, enthält die Gruppe der ANNA SELBDRITT; beide Frauen sitzen, das nackte Kind strebt vom Schoß der Maria zu Anna hinüber. Maria hat offenes Haar mit Kopftuch, Ärmelgewand und Mantelüberwurf, Anna trägt die gleiche Kleidung, jedoch das Haar unter einer großen, mehrfach gelegten Haube. Die Flügel zeigen auf beiden Seiten je zwei Heilige übereinander. Innen: links oben Philippus (?), unten Jakobus major, rechts oben Petrus, unten Andreas. Außen: links oben Georg, unten Florian; rechts oben Wenzel (mit Schild und Fahne, beide einen schwarzen Adler auf weißem Felde zeigend), unten Nilus (?) mit Lampe. - Die Schreingruppe jetzt ganz abgelaugt. Aus dem Kloster Goldenkron bei Krumau. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 10. Altar Tannenholz. Höhe 47, Breite 80 bzw. 44 cm. Schreingruppe Lindenholz. Höhe 32, Breite 30 cm. Tafel CVI (Südböhmisch Ende 15. Jahrhundert)|FLÜGELALTÄRCHEN. Mit bemalten Flügeln und einer plastischen Gruppe im Schrein. Der Schrein, rechteckige Nische mit Ranken auf rotem Grunde ausgemalt, enthält die Gruppe der ANNA SELBDRITT; beide Frauen sitzen, das nackte Kind strebt vom Schoß der Maria zu Anna hinüber. Maria hat offenes Haar mit Kopftuch, Ärmelgewand und Mantelüberwurf, Anna trägt die gleiche Kleidung, jedoch das Haar unter einer großen, mehrfach gelegten Haube. Die Flügel zeigen auf beiden Seiten je zwei Heilige übereinander. Innen: links oben Philippus (?), unten Jakobus major, rechts oben Petrus, unten Andreas. Außen: links oben Georg, unten Florian; rechts oben Wenzel (mit Schild und Fahne, beide einen schwarzen Adler auf weißem Felde zeigend), unten Nilus (?) mit Lampe. - Die Schreingruppe jetzt ganz abgelaugt. Aus dem Kloster Goldenkron bei Krumau. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 10. Altar Tannenholz. Höhe 47, Breite 80 bzw. 44 cm. Schreingruppe Lindenholz. Höhe 32, Breite 30 cm. Tafel CVI]] réalisée par Südböhmisch Ende 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 2100 sch. [528]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE VIERZEHN NOTHELFER. RELIEFGRUPPE. Die vierzehn Halbfiguren sind in Zeittracht gekleidet und lebhaft bewegt. Im Vordergrund Aegidius, Blasius, Katharina, Barbara, Margaretha, Achatius, z. T. mit Attributen. Alte Bemalung und Vergoldung. Holz wurmstichig. Es fehlen eine Hand, ein Kelch, mehrere Finger, Stücke am unteren Rand. Angeblich aus der Kirche von Besenbuch bei Melk. Predellengruppe. Lindenholz. Höhe 30, Breite 105 cm. (Niederösterreichisch 1. Hälfte 16. Jahrhundert)|DIE VIERZEHN NOTHELFER. RELIEFGRUPPE. Die vierzehn Halbfiguren sind in Zeittracht gekleidet und lebhaft bewegt. Im Vordergrund Aegidius, Blasius, Katharina, Barbara, Margaretha, Achatius, z. T. mit Attributen. Alte Bemalung und Vergoldung. Holz wurmstichig. Es fehlen eine Hand, ein Kelch, mehrere Finger, Stücke am unteren Rand. Angeblich aus der Kirche von Besenbuch bei Melk. Predellengruppe. Lindenholz. Höhe 30, Breite 105 cm.]] réalisée par Niederösterreichisch 1. Hälfte 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par v. Auspitz au prix de 4200 sch. [529]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE MAGDALENA (aus einer Grablegungsgruppe). Stehend, mit der Rechten das über den Arm gelegte Mantelende haltend, in der Linken das Salbgefäß. Der Mantel ist über den Kopf gezogen. Rückseite ausgehöhlt. Links eine alte, senkrechte Anstückung. Sockelplatte nicht ursprünglich. Alte Bemalung: Gewand grün, Mantel weiß mit goldener Borte. Aus der Kirche von Roggendorf bei Oberhollabrunn. Lindenholz. Höhe 127 cm. (Niederösterreichisch um 1520)|HEILIGE MAGDALENA (aus einer Grablegungsgruppe). Stehend, mit der Rechten das über den Arm gelegte Mantelende haltend, in der Linken das Salbgefäß. Der Mantel ist über den Kopf gezogen. Rückseite ausgehöhlt. Links eine alte, senkrechte Anstückung. Sockelplatte nicht ursprünglich. Alte Bemalung: Gewand grün, Mantel weiß mit goldener Borte. Aus der Kirche von Roggendorf bei Oberhollabrunn. Lindenholz. Höhe 127 cm.]] réalisée par Niederösterreichisch um 1520, vendue par Dr. Albert Figdor. [530]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEIMSUCHUNG. Maria und Elisabeth, fast frei gearbeitete Figuren vor einem als Gelände behandelten Reliefgrund, begegnen und umarmen sich. Maria trägt offenes Haar mit Kopftuch, Elisabeth hat den Mantel um den Kopf gelegt. Die Finger sind bestoßen, an beiden Ecken der Standfläche, am Kopftuch der Maria, am Mantelsaum der Elisabeth fehlen kleine Stücke. Alte Bemalung. Reste von Vergoldung. Futter blau, Grund grün. Zirbelholz (?), Höhe 40, Breite 16,5 cm. (Österreichisch Anfang 16. Jahrhundert)|HEIMSUCHUNG. Maria und Elisabeth, fast frei gearbeitete Figuren vor einem als Gelände behandelten Reliefgrund, begegnen und umarmen sich. Maria trägt offenes Haar mit Kopftuch, Elisabeth hat den Mantel um den Kopf gelegt. Die Finger sind bestoßen, an beiden Ecken der Standfläche, am Kopftuch der Maria, am Mantelsaum der Elisabeth fehlen kleine Stücke. Alte Bemalung. Reste von Vergoldung. Futter blau, Grund grün. Zirbelholz (?), Höhe 40, Breite 16,5 cm.]] réalisée par Österreichisch Anfang 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [531]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[JOHANNISSCHÜSSEL. Das Haupt des Täufers in der üblichen Darstellung, mit langen Locken und geteiltem, lockigem Bart, die Augen halb offen. Alte Bemalung; Schüssel vergoldet, Rückseite rot; ebenfalls rot die Schnittfläche am Hals. Der Rand der Schüssel zeigt Löcher in regelmäßigen Abständen. Lindenholz. Durchmesser 32,5 cm. (Südostdeutsch 2. Hälfte 16. Jahrhundert)|JOHANNISSCHÜSSEL. Das Haupt des Täufers in der üblichen Darstellung, mit langen Locken und geteiltem, lockigem Bart, die Augen halb offen. Alte Bemalung; Schüssel vergoldet, Rückseite rot; ebenfalls rot die Schnittfläche am Hals. Der Rand der Schüssel zeigt Löcher in regelmäßigen Abständen. Lindenholz. Durchmesser 32,5 cm.]] réalisée par Südostdeutsch 2. Hälfte 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor, achetée par Fischer au prix de 600 sch. [532]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MEDAILLON: WEIBLICHE HEILIGE IN KREISRUNDER SCHEIBE. Frontal stehend, mit Buch in der Linken, offenem Haar und Nimbus; Gürtel mit lang herabfallendem Ende. Die Scheibe mit starkem Wulstprofil eingefaßt. Aus zwei gleichen Stücken, die hinten durch drei Eisenbänder verbunden sind. Die rechte Hand fehlt. Ein Ast des Palmenzweiges, den sie hielt, ist erhalten. Alte Bemalung, großenteils verschwunden. Wurmstichig. Erworben in Straßburg. Tannenholz. Durchmesser 40 cm. (Alpenländisch (?) 15. Jahrhundert)|MEDAILLON: WEIBLICHE HEILIGE IN KREISRUNDER SCHEIBE. Frontal stehend, mit Buch in der Linken, offenem Haar und Nimbus; Gürtel mit lang herabfallendem Ende. Die Scheibe mit starkem Wulstprofil eingefaßt. Aus zwei gleichen Stücken, die hinten durch drei Eisenbänder verbunden sind. Die rechte Hand fehlt. Ein Ast des Palmenzweiges, den sie hielt, ist erhalten. Alte Bemalung, großenteils verschwunden. Wurmstichig. Erworben in Straßburg. Tannenholz. Durchmesser 40 cm.]] réalisée par Alpenländisch (?) 15. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor. [533]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[EIN GEFANGENER. Auf einer Unterlage, die Teil eines Karrens sein könnte, sitzt ein nackter junger Mann mit Lendenschurz, das Haupt erhoben, die Hände betend zusammengelegt. Die Beine sind um die Knöchel herum mit Strikken an den Boden gefesselt, die Oberarme an einen abgeschnittenen Baumstamm, der in den Grund eingelassen ist. Rückseite glatt. Reste alter Bemalung. Vermutlich Votivgabe für Befreiung aus der Gefangenschaft. Zirbelholz. Höhe 20,5, Breite 24 cm. (Alpenländisch 16. Jahrhundert)|EIN GEFANGENER. Auf einer Unterlage, die Teil eines Karrens sein könnte, sitzt ein nackter junger Mann mit Lendenschurz, das Haupt erhoben, die Hände betend zusammengelegt. Die Beine sind um die Knöchel herum mit Strikken an den Boden gefesselt, die Oberarme an einen abgeschnittenen Baumstamm, der in den Grund eingelassen ist. Rückseite glatt. Reste alter Bemalung. Vermutlich Votivgabe für Befreiung aus der Gefangenschaft. Zirbelholz. Höhe 20,5, Breite 24 cm.]] réalisée par Alpenländisch 16. Jahrhundert, vendue par Dr. Albert Figdor au prix de 350 sch. [534]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[TREIBER (bei der Jagd). STATUETTE. Nach rechts gewendet, tritt er auf abschüssigem Boden mit dem linken Bein vor, den Oberkörper zurücknehmend. Er erhebt den linken Arm, die Hand ist geschlossen; in der gesenkten Rechten hält er eine Keule und scheint zum Schlag auszuholen. Vollrund. Sockel (mit Terrainandeutung) hinten glatt, rechts schief abgeschnitten, zur Einpassung einer folgenden Skulptur. Alt bemalt und vergoldet. Barett, lange Haare. Über dem roten Wams mit langen weiten Ärmeln sitzt ein Kragen, schwarz, goldgemustert, und ein vergoldetes Lederkoller. Ein Gürtel (Wehrgehenk) läuft schräg von den Hüften abwärts. Beinkleider und Strümpfe schwarz mit goldenen Streifen, an den Beinkleidern außerdem kreisrunde goldene Verzierung. Breite schwarze Schuhe. Die Bemalung an einigen Stellen abgeblättert, am Rücken (grün) nicht ganz durchgeführt. Vorbesitzer: E. von Miller-Aichholz, Wien. M. Bonnaffé, Paris. Eichenholz. Höhe 32 cm. Tafel CVII (Niederländisch anfang 16. Jahrhundert)|TREIBER (bei der Jagd). STATUETTE. Nach rechts gewendet, tritt er auf abschüssigem Boden mit dem linken Bein vor, den Oberkörper zurücknehmend. Er erhebt den linken Arm, die Hand ist geschlossen; in der gesenkten Rechten hält er eine Keule und scheint zum Schlag auszuholen. Vollrund. Sockel (mit Terrainandeutung) hinten glatt, rechts schief abgeschnitten, zur Einpassung einer folgenden Skulptur. Alt bemalt und vergoldet. Barett, lange Haare. Über dem roten Wams mit langen weiten Ärmeln sitzt ein Kragen, schwarz, goldgemustert, und ein vergoldetes Lederkoller. Ein Gürtel (Wehrgehenk) läuft schräg von den Hüften abwärts. Beinkleider und Strümpfe schwarz mit goldenen Streifen, an den Beinkleidern außerdem kreisrunde goldene Verzierung. Breite schwarze Schuhe. Die Bemalung an einigen Stellen abgeblättert, am Rücken (grün) nicht ganz durchgeführt. Vorbesitzer: E. von Miller-Aichholz, Wien. M. Bonnaffé, Paris. Eichenholz. Höhe 32 cm. Tafel CVII]] réalisée par Niederländisch anfang 16. Jahrhundert, achetée par Schwersenz au prix de 10000 sch. [535]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HAUSALTÄRCHEN. MITTELSCHREIN: Rundbogige, gekehlte Rahmung mit gewirtelten, an romanische Vorbilder erinnernden Säulen. Darin ein Tympanon, mit drei Stichbogen nach unten abgeschlossen, und mit einer gemalten Darstellung: Katharina von Engeln ins Grab gelegt. Die Hauptfiguren plastisch, jede für sich gearbeitet. Mitte: auf erhöhtem Sockel Maria mit dem Kinde, links und rechts adorierend Katharina und ein Engel mit der Laute. Das Jesuskind wendet sich Katharina zu. Figuren mit glatter Rückseite. FLÜGEL: Innen Legende der heiligen Katharina, gemalt, je zwei Darstellungen übereinander, auf Goldgrund Außen in vergoldetem Kreidegrund gravierte Ranken mit Putten und Tieren. Erworben in München. Th. von Frimmel in »Galeriestudien« N. F., IV. Lieferung (1896), S. 42 f. Lindenholz. Höhe 55, Breite geöffnet 72 cm. Figuren Höhe 12-13 cm. Tafel CVI (Bayrisch um 1510-20)|HAUSALTÄRCHEN. MITTELSCHREIN: Rundbogige, gekehlte Rahmung mit gewirtelten, an romanische Vorbilder erinnernden Säulen. Darin ein Tympanon, mit drei Stichbogen nach unten abgeschlossen, und mit einer gemalten Darstellung: Katharina von Engeln ins Grab gelegt. Die Hauptfiguren plastisch, jede für sich gearbeitet. Mitte: auf erhöhtem Sockel Maria mit dem Kinde, links und rechts adorierend Katharina und ein Engel mit der Laute. Das Jesuskind wendet sich Katharina zu. Figuren mit glatter Rückseite. FLÜGEL: Innen Legende der heiligen Katharina, gemalt, je zwei Darstellungen übereinander, auf Goldgrund Außen in vergoldetem Kreidegrund gravierte Ranken mit Putten und Tieren. Erworben in München. Th. von Frimmel in »Galeriestudien« N. F., IV. Lieferung (1896), S. 42 f. Lindenholz. Höhe 55, Breite geöffnet 72 cm. Figuren Höhe 12-13 cm. Tafel CVI]] réalisée par Bayrisch um 1510-20, achetée par Abt au prix de 4100 sch. [536]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[LÜSTERWEIBCHEN. Holzskulptur, mit eiserner Hängevorrichtung in Form eines Geweihs. - Halbfigur mit jugendlichem Gesichtsausdruck, in Modetracht. Vergoldete Haube, darüber roter Tellerhut. Rotes Mieder, vergoldete Ärmel mit weißer Puffe. Sie hält zwei Wappenschilder von einfacher, unten gerundeter Form. - Vorn zwei Kerzentüllen, die an geschweiften Armen befestigt sind, und drei Messingkettchen, die sich oben in einem Tragring vereinigen. Alt bemalt. Erworben in Lindau. Lindenholz. Figur: Höhe 16,4, Gesamthöhe 55 cm. Tafel CVIII (Süddeutsch um 1540-50)|LÜSTERWEIBCHEN. Holzskulptur, mit eiserner Hängevorrichtung in Form eines Geweihs. - Halbfigur mit jugendlichem Gesichtsausdruck, in Modetracht. Vergoldete Haube, darüber roter Tellerhut. Rotes Mieder, vergoldete Ärmel mit weißer Puffe. Sie hält zwei Wappenschilder von einfacher, unten gerundeter Form. - Vorn zwei Kerzentüllen, die an geschweiften Armen befestigt sind, und drei Messingkettchen, die sich oben in einem Tragring vereinigen. Alt bemalt. Erworben in Lindau. Lindenholz. Figur: Höhe 16,4, Gesamthöhe 55 cm. Tafel CVIII]] réalisée par Süddeutsch um 1540-50, achetée par Hinrichsen au prix de 5500 sch. [537]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[GEMSWEIBCHEN (SCHLÜSSELHAKEN). Halbfigur eines Mädchens mit Haube, gefälteltem und gekraustem Hemd, Mieder mit breitem Latz und weiten Hemdärmeln. Mit beiden Händen hält sie vor sich ein unten zugespitztes Wappenschild: von Gold und Rot quer geteilt, aus der Teilung wächst ein schwarzer Gemsbock. Unten läuft die Figur in zwei Gemshörner aus, der Übergang markiert durch drei Blätter. Alt bemalt. Mieder rot; von den vergoldeten Blättern fehlt das rechts. Holz. Höhe 28, Breite 12 cm. Tafel CVIII (Bayrisch 16. Jahrhundert)|GEMSWEIBCHEN (SCHLÜSSELHAKEN). Halbfigur eines Mädchens mit Haube, gefälteltem und gekraustem Hemd, Mieder mit breitem Latz und weiten Hemdärmeln. Mit beiden Händen hält sie vor sich ein unten zugespitztes Wappenschild: von Gold und Rot quer geteilt, aus der Teilung wächst ein schwarzer Gemsbock. Unten läuft die Figur in zwei Gemshörner aus, der Übergang markiert durch drei Blätter. Alt bemalt. Mieder rot; von den vergoldeten Blättern fehlt das rechts. Holz. Höhe 28, Breite 12 cm. Tafel CVIII]] réalisée par Bayrisch 16. Jahrhundert, achetée par Benedikt au prix de 2000 sch. [538]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[GEMSWEIBCHEN (SCHLÜSSELHAKEN). RELIEF. Oben nackte Halbfigur eines Mädchens über der linken Schulter einen Überwurf, den sie mit der Linken hochhebt. Es folgt als Untersatz eine Blattkonsole, darunter eine von Akanthusblättern umfaßte kreisrunde Scheibe mit gekreuzten Schlüsseln und Weintraube; in dieses Stück sind die Hörner einer Gemsgais eingelassen. Die Figur aus besonderem Stück. Konsole und Scheibe zeigt eine Bohrung. Alte Bemalung: der Mantelüberwurf silbern mit schwarzen Streifen. Erworben in München. Holz. Höhe 38 cm (insgesamt). Tafel CVIII (Süddeutsch 16. Jahrhundert)|GEMSWEIBCHEN (SCHLÜSSELHAKEN). RELIEF. Oben nackte Halbfigur eines Mädchens über der linken Schulter einen Überwurf, den sie mit der Linken hochhebt. Es folgt als Untersatz eine Blattkonsole, darunter eine von Akanthusblättern umfaßte kreisrunde Scheibe mit gekreuzten Schlüsseln und Weintraube; in dieses Stück sind die Hörner einer Gemsgais eingelassen. Die Figur aus besonderem Stück. Konsole und Scheibe zeigt eine Bohrung. Alte Bemalung: der Mantelüberwurf silbern mit schwarzen Streifen. Erworben in München. Holz. Höhe 38 cm (insgesamt). Tafel CVIII]] réalisée par Süddeutsch 16. Jahrhundert, achetée par Hinrichsen au prix de 1400 sch. [539]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[SEEJUNGFRAU (LÜSTERWEIBCHEN). Der nackte Oberkörper aufgerichtet, der Unterleib waagrecht, als Fischschwanz gebildet. Sie trägt ein Diadem in dem hinten geknoteten Haar, in der Linken eine Muschel, in zwei Fingern der Rechten eine Perle. Perlenhalsband und -armbänder. - Mit moderner Eisengarnitur zu einem Beleuchtungskörper verwendet. Alte Bemalung: Fischleib Gold und etwas Farbe. Hing früher als Wahrzeichen in einer alten Innsbrucker Kolonialwarenhandlung. Holz, Länge 112 cm. (Tirolisch 16. Jahrhundert)|SEEJUNGFRAU (LÜSTERWEIBCHEN). Der nackte Oberkörper aufgerichtet, der Unterleib waagrecht, als Fischschwanz gebildet. Sie trägt ein Diadem in dem hinten geknoteten Haar, in der Linken eine Muschel, in zwei Fingern der Rechten eine Perle. Perlenhalsband und -armbänder. - Mit moderner Eisengarnitur zu einem Beleuchtungskörper verwendet. Alte Bemalung: Fischleib Gold und etwas Farbe. Hing früher als Wahrzeichen in einer alten Innsbrucker Kolonialwarenhandlung. Holz, Länge 112 cm.]] réalisée par Tirolisch 16. Jahrhundert au prix de 1700 sch. [540]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE TRINITÄT. HERZFORMIGES RELIEF. In vertiefter Fläche sitzt auf niedriger Bank links Christus, die Linke erhoben, nackt, mit Mantel und Dornenkrone, rechts Gottvater mit Krone, Szepter und Weltkugel. In der Mitte die Taube. Der Fußboden nach unten mit Zahnschnittfries abgeschlossen. Darunter Konsole. Das Randprofil an mehreren Stellen beschädigt. Bei Christus fehlt die eine Hand, bei der Taube der Kopf. Rückseite konvex, rot bemalt. Vorderseite: Grund blau; Mantel bei Gottvater vergoldet, bei Christus rot. - Auf modernem, rundem Sockel. Wohl die eine Hälfte eines herzförmigen Reliquiars. Eichenholz. Höhe 14,2, Breite 12,5 cm. (Norddeutsch (?) 1. Hälfte 16. Jahrhundert)|DIE TRINITÄT. HERZFORMIGES RELIEF. In vertiefter Fläche sitzt auf niedriger Bank links Christus, die Linke erhoben, nackt, mit Mantel und Dornenkrone, rechts Gottvater mit Krone, Szepter und Weltkugel. In der Mitte die Taube. Der Fußboden nach unten mit Zahnschnittfries abgeschlossen. Darunter Konsole. Das Randprofil an mehreren Stellen beschädigt. Bei Christus fehlt die eine Hand, bei der Taube der Kopf. Rückseite konvex, rot bemalt. Vorderseite: Grund blau; Mantel bei Gottvater vergoldet, bei Christus rot. - Auf modernem, rundem Sockel. Wohl die eine Hälfte eines herzförmigen Reliquiars. Eichenholz. Höhe 14,2, Breite 12,5 cm.]] réalisée par Norddeutsch (?) 1. Hälfte 16. Jahrhundert, achetée par A. S. Drey au prix de 350 sch. [541]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÄNNLICHE HALBFIGUR. Das Haupt, leicht nach links geneigt, ist von einer Lederkappe mit langen Enden, darüber von einem Helm bedeckt. Die linke Hand hält eine Schriftrolle. Die Ärmel des Untergewands, die unter dem Wams hervorkommen, tragen flach eingeschnittene Rosetten- und Blumenmuster, der Helm Sternmuster. Unbemalt. Stark wurmstichig. Die rechte Hand fehlt, die linke abgefallen, doch fragmentarisch erhalten. Augen in Lasurfarbe, sonst unbemalt. Aus dem Chorgestühl der Fuggerkapelle in der St. Annakirche, Augsburg (geweiht 1518). Von den 16 Büsten dieses Chorgestühls, die z. T. Mitglieder der Familie Fugger porträtieren, kamen 15 in den Jahren 1848-52 aus der Sammlung von Minutoli ins Berliner Museum; die sechzehnte blieb in Augsburg und wurde von Figdor aus dortigem Privatbesitz erworben. Katalog der deutschen Bildwerke des Berliner Museums von Vöge (1910),Nr. 116 bis 130. Demmler in der Zeitschrift »Die Kunst« (1922), S. 191. Leisching, Figurale Holzplastik, Taf. 60. Lindenholz. Höhe 61 cm. Tafel CIX (Adolf Daucher)|MÄNNLICHE HALBFIGUR. Das Haupt, leicht nach links geneigt, ist von einer Lederkappe mit langen Enden, darüber von einem Helm bedeckt. Die linke Hand hält eine Schriftrolle. Die Ärmel des Untergewands, die unter dem Wams hervorkommen, tragen flach eingeschnittene Rosetten- und Blumenmuster, der Helm Sternmuster. Unbemalt. Stark wurmstichig. Die rechte Hand fehlt, die linke abgefallen, doch fragmentarisch erhalten. Augen in Lasurfarbe, sonst unbemalt. Aus dem Chorgestühl der Fuggerkapelle in der St. Annakirche, Augsburg (geweiht 1518). Von den 16 Büsten dieses Chorgestühls, die z. T. Mitglieder der Familie Fugger porträtieren, kamen 15 in den Jahren 1848-52 aus der Sammlung von Minutoli ins Berliner Museum; die sechzehnte blieb in Augsburg und wurde von Figdor aus dortigem Privatbesitz erworben. Katalog der deutschen Bildwerke des Berliner Museums von Vöge (1910),Nr. 116 bis 130. Demmler in der Zeitschrift »Die Kunst« (1922), S. 191. Leisching, Figurale Holzplastik, Taf. 60. Lindenholz. Höhe 61 cm. Tafel CIX]] réalisée par Adolf Daucher, achetée par Leitner au prix de 19000 sch. [542]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[SALOMO ALS RICHTER (?). RELIEF. - Fragment einer größeren Darstellung.- Der König sitzt rechts auf einem Thron, in dessen Pfosten und Fußbrett ein Halbkreismuster eingeschnitten ist. Er trägt ein breites Barett und über dem Gewand einen weiten Mantel mit breitem Kragen. Er weist mit beiden Händen nach links; dorthin blickt auch die stehende Frau neben ihm, die die Arme auf der Brust zusammengelegt hat und in Haube, Kinn tuch und Mantel eingehüllt ist. Beide tragen breite Schuhe. Charakteristische lange Parallelfalten an den Gewändern. Auch der Grund mit parallelen Strichlagen belebt. Eine schwarze Lasurfarbe großenteils weggewischt. Rechter Daumen des Königs ergänzt, kleiner Finger abgebrochen. Von derselben Hand und wohl vom selben Zyklus das Relief »Salomo als Götzenanbeter«, Höhe 37 cm, im Germanischen Museum, Nürnberg; vgl. Katalog von Josephi, Nr. 382, S. 227. Von den vielen dort angeführten stilähnlichen Werken ist nur das Relief einer Empfangsszene im Nationalmuseum München zugehörig; Katalog VI (1896), Nr. 1276. Abb. bei Gröber, Schwäbische Skulptur der Spätgotik, Abb. 76. Demmler, Zeitschrift »Die Kunst«, München, März 1922, S. 197 f. Derselbe in »Amtliche Berichte aus den K. Museen« Berlin XXXVII (1916), S. 123f. Aus der Sammlung des Freiherrn von Holzschuher, Augsburg. Lindenholz. Höhe 38, Breite 30,5 cm (ohne den neueren Rahmen). Tafel CX (Schwäbischer (wohl Augsburger) Meister um 1530)|SALOMO ALS RICHTER (?). RELIEF. - Fragment einer größeren Darstellung.- Der König sitzt rechts auf einem Thron, in dessen Pfosten und Fußbrett ein Halbkreismuster eingeschnitten ist. Er trägt ein breites Barett und über dem Gewand einen weiten Mantel mit breitem Kragen. Er weist mit beiden Händen nach links; dorthin blickt auch die stehende Frau neben ihm, die die Arme auf der Brust zusammengelegt hat und in Haube, Kinn tuch und Mantel eingehüllt ist. Beide tragen breite Schuhe. Charakteristische lange Parallelfalten an den Gewändern. Auch der Grund mit parallelen Strichlagen belebt. Eine schwarze Lasurfarbe großenteils weggewischt. Rechter Daumen des Königs ergänzt, kleiner Finger abgebrochen. Von derselben Hand und wohl vom selben Zyklus das Relief »Salomo als Götzenanbeter«, Höhe 37 cm, im Germanischen Museum, Nürnberg; vgl. Katalog von Josephi, Nr. 382, S. 227. Von den vielen dort angeführten stilähnlichen Werken ist nur das Relief einer Empfangsszene im Nationalmuseum München zugehörig; Katalog VI (1896), Nr. 1276. Abb. bei Gröber, Schwäbische Skulptur der Spätgotik, Abb. 76. Demmler, Zeitschrift »Die Kunst«, München, März 1922, S. 197 f. Derselbe in »Amtliche Berichte aus den K. Museen« Berlin XXXVII (1916), S. 123f. Aus der Sammlung des Freiherrn von Holzschuher, Augsburg. Lindenholz. Höhe 38, Breite 30,5 cm (ohne den neueren Rahmen). Tafel CX]] réalisée par Schwäbischer (wohl Augsburger) Meister um 1530, achetée par Kaiser-Friedrich-Museum au prix de 4400 sch. [543]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE MARGARETA, THRONEND. Die Heilige sitzt auf einem Thronsessel, der oben von einer Lünette mit Muschelornament und Zahnschnittfries bekrönt wird; Rück- und Seitenlehnen mit Pilastern geziert, die ersteren sind durch Gesims verbunden, die letzteren tragen einen Aufsatz, der das bekrönende Profil wiederholt. Die unten vortretende Stufe zeigt am vorderen Rand ein Fransenornament. Die Figur in reicher Renaissancetracht: auf dem Haupt ein Kranz, um den Hals eine doppelte Perlenkette, das lockige Haar fällt offen herab. Das Gewand zeigt tiefen Ausschnitt mit breiten Borden und Verschnürung, geschlitzte und gepuffte Ärmel. Die reichen Stoffmassen des Rockes, der über die Knie fällt und am Boden sich ausbreitet, zeigen am Rand parallele Falten, in der Mitte auch »Nester« nach Art der spätesten Gotik. Der Blick ist gesenkt auf das Buch, das auf dem linken Unterarm liegt; die linke Hand faßt ein Band, das an der Halskette des Drachen befestigt ist. Rückseite ausgehöhlt. Unterer Rand beschädigt; vom Rand der Lünette fehlen zwei kleine Stücke. Die rechte Hand mit dem Palmzweig modern ergänzt. Sonst tadellose Erhaltung. Auf den Pilastern zwei Löcher zum Einsetzen von Stangen. Bemalung: die Pilaster der Rücklehne zeigen goldene Arabesken, aus schwarzem Grund ausgespart, ähnlich die Rücklehne selbst. Das übrige vergoldet, mit Ausnahme des Grundes des Muschelornaments, des Drachen (tief dunkelrot), des Inkarnats, des Ärmelstoffs (rot mit goldenen Querbändern).- Die Bemalung der Lippen ist erneuert. Ähnliche Darstellungen thronender Frauenfiguren finden sich in Berlin, Deutsches Museum (Katalog Band III, S. 151, Nr. 8151), in München, Nationalmuseum (Bange, Kleinplastik der deutschen Renaissance, Tafel 33). Dürers Holzschnitt der »Philosophia« B. 130, von 1502, könnte anregend gewirkt haben. Daß das Werk mit Wahrscheinlichkeit in Augsburg zu lokalisieren ist, ergibt sich schon aus der Herkunft. Für die Rücklehne des Thrones, wie auch für die Faltengebung im unteren Teil des Gewandes ist insbesondere die ähn-lich gut erhaltene »Wochenstube« zu vergleichen, die 1852 für das Berliner Museum erworben wurde (Katalog von Vöge, Nr. 160). Es ist nicht ausgeschlossen, daß beide Werke von demselben Meister herrühren. Vorbesitzer: Herr von Holzschuher, Augsburg. Alexander Freiherr von Minutoli, Liegnitz. Vgl. Katalog der Sammlungen von Meisterwerken der Industrie und Kunst des Instituts Minutoli zu Liegnitz, II (Berlin 1873), versteigert in Köln 1875; Nr. 5081, S. 233. Erwähnt von Stegmann in »Kunst und Kunsthandwerk« X (1907), S. 508. Lindenholz. Höhe 33,6, Breite 23,5 cm. Tafel CXI (Augsburg um 1520)|HEILIGE MARGARETA, THRONEND. Die Heilige sitzt auf einem Thronsessel, der oben von einer Lünette mit Muschelornament und Zahnschnittfries bekrönt wird; Rück- und Seitenlehnen mit Pilastern geziert, die ersteren sind durch Gesims verbunden, die letzteren tragen einen Aufsatz, der das bekrönende Profil wiederholt. Die unten vortretende Stufe zeigt am vorderen Rand ein Fransenornament. Die Figur in reicher Renaissancetracht: auf dem Haupt ein Kranz, um den Hals eine doppelte Perlenkette, das lockige Haar fällt offen herab. Das Gewand zeigt tiefen Ausschnitt mit breiten Borden und Verschnürung, geschlitzte und gepuffte Ärmel. Die reichen Stoffmassen des Rockes, der über die Knie fällt und am Boden sich ausbreitet, zeigen am Rand parallele Falten, in der Mitte auch »Nester« nach Art der spätesten Gotik. Der Blick ist gesenkt auf das Buch, das auf dem linken Unterarm liegt; die linke Hand faßt ein Band, das an der Halskette des Drachen befestigt ist. Rückseite ausgehöhlt. Unterer Rand beschädigt; vom Rand der Lünette fehlen zwei kleine Stücke. Die rechte Hand mit dem Palmzweig modern ergänzt. Sonst tadellose Erhaltung. Auf den Pilastern zwei Löcher zum Einsetzen von Stangen. Bemalung: die Pilaster der Rücklehne zeigen goldene Arabesken, aus schwarzem Grund ausgespart, ähnlich die Rücklehne selbst. Das übrige vergoldet, mit Ausnahme des Grundes des Muschelornaments, des Drachen (tief dunkelrot), des Inkarnats, des Ärmelstoffs (rot mit goldenen Querbändern).- Die Bemalung der Lippen ist erneuert. Ähnliche Darstellungen thronender Frauenfiguren finden sich in Berlin, Deutsches Museum (Katalog Band III, S. 151, Nr. 8151), in München, Nationalmuseum (Bange, Kleinplastik der deutschen Renaissance, Tafel 33). Dürers Holzschnitt der »Philosophia« B. 130, von 1502, könnte anregend gewirkt haben. Daß das Werk mit Wahrscheinlichkeit in Augsburg zu lokalisieren ist, ergibt sich schon aus der Herkunft. Für die Rücklehne des Thrones, wie auch für die Faltengebung im unteren Teil des Gewandes ist insbesondere die ähn-lich gut erhaltene »Wochenstube« zu vergleichen, die 1852 für das Berliner Museum erworben wurde (Katalog von Vöge, Nr. 160). Es ist nicht ausgeschlossen, daß beide Werke von demselben Meister herrühren. Vorbesitzer: Herr von Holzschuher, Augsburg. Alexander Freiherr von Minutoli, Liegnitz. Vgl. Katalog der Sammlungen von Meisterwerken der Industrie und Kunst des Instituts Minutoli zu Liegnitz, II (Berlin 1873), versteigert in Köln 1875; Nr. 5081, S. 233. Erwähnt von Stegmann in »Kunst und Kunsthandwerk« X (1907), S. 508. Lindenholz. Höhe 33,6, Breite 23,5 cm. Tafel CXI]] réalisée par Augsburg um 1520 au prix de 10000 sch. [544]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ADAM UND EVA. STATUETTEN. Eva reicht Adam den Apfel. Die beiden Figuren sind nackt, jede für sich gearbeitet, und stehen auf rundlichen Sokkeln mit Terrainandeutung. Adam hat lockiges Haupthaar und zierlich gelockten Bart, Eva trägt das Haar aufgebunden als Flechte um den Hinterkopf. Das rechte Bein ist als Standbein behandelt, das linke leicht geknickt und zurückgesetzt. Vollrund. Alt bemalt in Fleischfarbe, das Haar vergoldet, Sockel schwarz. In den Gesichtern ist die Farbe erneuert, an einigen Stellen des Körpers blättert sie ab. Bei Adam sind die Finger der linken Hand, bei Eva der Zeigefinger der Linken abgebrochen. Erworben aus Wiener Privatbesitz. Lindenholz (?). Höhe 52, Eva 49 cm. Tafel CXI (Deutsch 1. Hälfte 16. Jahrhundert)|ADAM UND EVA. STATUETTEN. Eva reicht Adam den Apfel. Die beiden Figuren sind nackt, jede für sich gearbeitet, und stehen auf rundlichen Sokkeln mit Terrainandeutung. Adam hat lockiges Haupthaar und zierlich gelockten Bart, Eva trägt das Haar aufgebunden als Flechte um den Hinterkopf. Das rechte Bein ist als Standbein behandelt, das linke leicht geknickt und zurückgesetzt. Vollrund. Alt bemalt in Fleischfarbe, das Haar vergoldet, Sockel schwarz. In den Gesichtern ist die Farbe erneuert, an einigen Stellen des Körpers blättert sie ab. Bei Adam sind die Finger der linken Hand, bei Eva der Zeigefinger der Linken abgebrochen. Erworben aus Wiener Privatbesitz. Lindenholz (?). Höhe 52, Eva 49 cm. Tafel CXI]] réalisée par Deutsch 1. Hälfte 16. Jahrhundert, achetée par A. S. Drey au prix de 4500 sch. [545]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[STATUETTE DER FORTUNA. Auf einer Kugel stehend, nackt, faßt sie mit der Linken an ihre Brust, mit der Rechten hebt sie den Schleier, der im Bogen vorn herabhängt, während die Enden flattern. Das Haupt schmückt eine Haube, unter deren Rand die gelockten Haare hervorkommen. Vollrund. Arme und Schleierenden sind ergänzt, alt die linke Hand und das über den Leib laufende Stück des Schleiers. Bange, Die Kleinplastik der deutschen Renaissance in Holz und Stein (1928), Taf. 31, Text S. 38. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 65. Buchsholz. Höhe (ohne den Sockel) 55 cm. Tafel CXII (Augsburger Meister um 1520)|STATUETTE DER FORTUNA. Auf einer Kugel stehend, nackt, faßt sie mit der Linken an ihre Brust, mit der Rechten hebt sie den Schleier, der im Bogen vorn herabhängt, während die Enden flattern. Das Haupt schmückt eine Haube, unter deren Rand die gelockten Haare hervorkommen. Vollrund. Arme und Schleierenden sind ergänzt, alt die linke Hand und das über den Leib laufende Stück des Schleiers. Bange, Die Kleinplastik der deutschen Renaissance in Holz und Stein (1928), Taf. 31, Text S. 38. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 65. Buchsholz. Höhe (ohne den Sockel) 55 cm. Tafel CXII]] réalisée par Augsburger Meister um 1520, achetée par Schwersenz au prix de 12000 sch. [546]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BOGENSCHIESSENDER TOD. STATUETTE. Menschliches Gerippe mit Fleischteilen; am Haupt Eidechsen, Schnecken und Würmer. Er tritt mit dem linken Bein vor und stützt sich auf das gebogene rechte, das auf den Zehen steht. Mit der Linken faßt er den Bogen und spannt ihn mit der Rechten, mit den Augenhöhlen scharf visierend. Ovale Standplatte mit Andeutung von Rasen. Bange, Die Kleinplastik der deutschen Renaissance in Holz und Stein, S. 69, Taf. 72. - Zu vergleichen der Tod mit Stundenglas, Höhe 31 cm, aus der Sammlung Remigius Fäsch im Historischen Museum, Basel. Lindenholz. Grau gestrichen. Höhe 30 cm. Tafel CXVI (Oberrheinisch um 1540-50)|BOGENSCHIESSENDER TOD. STATUETTE. Menschliches Gerippe mit Fleischteilen; am Haupt Eidechsen, Schnecken und Würmer. Er tritt mit dem linken Bein vor und stützt sich auf das gebogene rechte, das auf den Zehen steht. Mit der Linken faßt er den Bogen und spannt ihn mit der Rechten, mit den Augenhöhlen scharf visierend. Ovale Standplatte mit Andeutung von Rasen. Bange, Die Kleinplastik der deutschen Renaissance in Holz und Stein, S. 69, Taf. 72. - Zu vergleichen der Tod mit Stundenglas, Höhe 31 cm, aus der Sammlung Remigius Fäsch im Historischen Museum, Basel. Lindenholz. Grau gestrichen. Höhe 30 cm. Tafel CXVI]] réalisée par Oberrheinisch um 1540-50 au prix de 1000 sch. [547]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MUTTER, IHR KIND STILLEND. FLACHRELIEF. Die Mutter steht links von einem Tisch mit Schachbrettmuster und reicht dem nackten Kinde die Brust. Dieses liegt auf einem gemusterten Rissen mit Quasten. Neben ihm ein Vogel, eine Vase mit Maiglöckchen, ein Knochen und ein Stundenglas. Im Hintergrund ein Täfelchen, auf dessen Öse ein Vogel sitzt; darauf die Inschrift: »Im fride schlof ich und Got wecket mich.« Auf der Brüstung daneben eine Birne. Hintergrund: links Vorhang, rechts Fenster mit Blick auf Bäume und Stadt. Die Mutter trägt das Haar in einer Drahthaube; über dem mit Schärpe gegürteten Gewand ein Umschlagtuch. Am unteren Rand eingeschnitten: »Ambrosius «. Mit dunkler Bemalung. Von der alten Randleiste fehlt rechts und links unten ein Stück. Höhe 71, Breite 71 cm. (Deutsch, um 1530-40)|MUTTER, IHR KIND STILLEND. FLACHRELIEF. Die Mutter steht links von einem Tisch mit Schachbrettmuster und reicht dem nackten Kinde die Brust. Dieses liegt auf einem gemusterten Rissen mit Quasten. Neben ihm ein Vogel, eine Vase mit Maiglöckchen, ein Knochen und ein Stundenglas. Im Hintergrund ein Täfelchen, auf dessen Öse ein Vogel sitzt; darauf die Inschrift: »Im fride schlof ich und Got wecket mich.« Auf der Brüstung daneben eine Birne. Hintergrund: links Vorhang, rechts Fenster mit Blick auf Bäume und Stadt. Die Mutter trägt das Haar in einer Drahthaube; über dem mit Schärpe gegürteten Gewand ein Umschlagtuch. Am unteren Rand eingeschnitten: »Ambrosius «. Mit dunkler Bemalung. Von der alten Randleiste fehlt rechts und links unten ein Stück. Höhe 71, Breite 71 cm.]] réalisée par Deutsch, um 1530-40 au prix de 900 sch. [548]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MUTTER MIT ZWEI KINDERN. RELIEFGRUPPE. Die Mutter, in ausgeschnittenem Gewand und Haube mit lang herabhängendem Zipfel, sitzt nach links gewendet auf einer Bank und bietet mit einem Löffel dem links stehenden Knaben etwas zu essen aus dem Topf, den sie mit der Linken auf dem Schoß hält. Der Knabe hat eine Tafel am Gürtel hängen, in der Rechten hält er den langen Stiel einer Kachel, aus der ein Hund leckt. Rechts vor der Mutter ein nacktes Kind in einer Gehschule, in der Rechten eine Klapper, in der Linken eine Saugflasche. Reste der alten Polychromie wieder freigelegt. Der Grund mit eingeschnittenem Rautenmuster. Aus zwei Stücken, die hinten durch waagrechte Streifen verbunden sind. Erworben in Stuttgart. Teil eines der damals beliebten Altäre mit der hl. Sippe. Leisching, Figurale Holzplastik 1, Taf. 62. Lindenholz. Flachrelief. Oberer Teil ohne Reliefgrund. Höhe 82, Breite 52,5 cm. (Schwäbisch 1. Hälfte 16. Jahrhundert)|MUTTER MIT ZWEI KINDERN. RELIEFGRUPPE. Die Mutter, in ausgeschnittenem Gewand und Haube mit lang herabhängendem Zipfel, sitzt nach links gewendet auf einer Bank und bietet mit einem Löffel dem links stehenden Knaben etwas zu essen aus dem Topf, den sie mit der Linken auf dem Schoß hält. Der Knabe hat eine Tafel am Gürtel hängen, in der Rechten hält er den langen Stiel einer Kachel, aus der ein Hund leckt. Rechts vor der Mutter ein nacktes Kind in einer Gehschule, in der Rechten eine Klapper, in der Linken eine Saugflasche. Reste der alten Polychromie wieder freigelegt. Der Grund mit eingeschnittenem Rautenmuster. Aus zwei Stücken, die hinten durch waagrechte Streifen verbunden sind. Erworben in Stuttgart. Teil eines der damals beliebten Altäre mit der hl. Sippe. Leisching, Figurale Holzplastik 1, Taf. 62. Lindenholz. Flachrelief. Oberer Teil ohne Reliefgrund. Höhe 82, Breite 52,5 cm.]] réalisée par Schwäbisch 1. Hälfte 16. Jahrhundert au prix de 700 sch. [549]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÄNNLICHES BILDNIS. RELIEF. Halbfigur eines jungen Mannes mit kurzem Schnurrbart und geteiltem Backenbart, nach rechts blickend. Er trägt ein Barett, ein Wams mit geschlitzten Ärmeln, darüber ein am Hals zugenesteltes Obergewand ohne Ärmel. Die Hände ruhen auf einer Brüstung mit der Inschrift: Natus anno salutari 1523. Oben im Grunde links die Buchstaben AGWME (Allein Gott weiß mein Ende) 1549, rechts ein Wappenschild mit Hausmarke (s durch Anker gekreuzt), darüber die Buchstaben BS. Alt bemalt. Wams und Barett schwarz, Fond dunkelgelblich. Die Zuschreibung an den vermutlich in Hamburg tätigen Künstler hat Georg Habich ausgesprochen, auf Grund der Ähnlichkeit mit einer Gruppe von Medaillenmodellen, deren eines MVA signiert ist. Vgl. Georg Habich, Die deutschen Schaumünzen des 16. Jahrhunderts, I. Bd., 1. Hälfte, S. 107, 108, Abb. 114. Stilistisch ist das Porträtstück als eine Vorstufe zu den Arbeiten des Niederländers Gregor von der Schardt (tätig in Nürnberg) anzusehen. Sammlung Spitzer, Paris. Terrakotta. Höhe 40, Breite 37 cm. Tafel CX (Meister Mva (?), 1549)|MÄNNLICHES BILDNIS. RELIEF. Halbfigur eines jungen Mannes mit kurzem Schnurrbart und geteiltem Backenbart, nach rechts blickend. Er trägt ein Barett, ein Wams mit geschlitzten Ärmeln, darüber ein am Hals zugenesteltes Obergewand ohne Ärmel. Die Hände ruhen auf einer Brüstung mit der Inschrift: Natus anno salutari 1523. Oben im Grunde links die Buchstaben AGWME (Allein Gott weiß mein Ende) 1549, rechts ein Wappenschild mit Hausmarke (s durch Anker gekreuzt), darüber die Buchstaben BS. Alt bemalt. Wams und Barett schwarz, Fond dunkelgelblich. Die Zuschreibung an den vermutlich in Hamburg tätigen Künstler hat Georg Habich ausgesprochen, auf Grund der Ähnlichkeit mit einer Gruppe von Medaillenmodellen, deren eines MVA signiert ist. Vgl. Georg Habich, Die deutschen Schaumünzen des 16. Jahrhunderts, I. Bd., 1. Hälfte, S. 107, 108, Abb. 114. Stilistisch ist das Porträtstück als eine Vorstufe zu den Arbeiten des Niederländers Gregor von der Schardt (tätig in Nürnberg) anzusehen. Sammlung Spitzer, Paris. Terrakotta. Höhe 40, Breite 37 cm. Tafel CX]] réalisée par Meister Mva (?), 1549 au prix de 3500 sch. [550]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[BRUSTBILD EINES FÜRSTEN. RELIEF. Fragment eines runden Medaillons. Bärtiger Kopf in Profil nach links; barhaupt, in Wams und gefaltetem Hemd. Von der Umrahmung, einem vergoldeten Lorbeerkranz, ist nur der untere Rand erhalten. Ähnliche Medaillons als Schmuck von Bauten häufig in der deutschen Renaissance. Am bekanntesten die norddeutsche Werkstatt des Statius von Düren; Werke in Lüneburg, Lübeck, Wismar. Walcher von Molthein in »Kunst und Kunsthandwerk« XII (1909), S. 301 und Abb. 64. Erworben in Salzburg. Terrakotta, dunkel bemalt. Höhe 40, Breite 30 cm. (Süddeutsch um 1540)|BRUSTBILD EINES FÜRSTEN. RELIEF. Fragment eines runden Medaillons. Bärtiger Kopf in Profil nach links; barhaupt, in Wams und gefaltetem Hemd. Von der Umrahmung, einem vergoldeten Lorbeerkranz, ist nur der untere Rand erhalten. Ähnliche Medaillons als Schmuck von Bauten häufig in der deutschen Renaissance. Am bekanntesten die norddeutsche Werkstatt des Statius von Düren; Werke in Lüneburg, Lübeck, Wismar. Walcher von Molthein in »Kunst und Kunsthandwerk« XII (1909), S. 301 und Abb. 64. Erworben in Salzburg. Terrakotta, dunkel bemalt. Höhe 40, Breite 30 cm.]] réalisée par Süddeutsch um 1540. [551]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[DIE HABSUCHT. RELIEF. Weibliche Halbfigur in rundem, vertieftem Feld. Eine alte Frau, ausgemergelt, mit einem Tuch auf dem nach rechts gewendeten Kopf, hält die Rechte auf einem offenen urnenförmigen Gefäß, die Finger der Linken ruhen auf der Schulter, vor dem geöffneten Mund. Die Scheibe ist am unteren Rand durch ein Volutenmuster abgeschlossen. Braune Patina. Wohl von der Vertäfelung eines Zimmers. Nußbaumholz. Höhe 27 cm. Tafel CXVI (Französisch um 1560-70)|DIE HABSUCHT. RELIEF. Weibliche Halbfigur in rundem, vertieftem Feld. Eine alte Frau, ausgemergelt, mit einem Tuch auf dem nach rechts gewendeten Kopf, hält die Rechte auf einem offenen urnenförmigen Gefäß, die Finger der Linken ruhen auf der Schulter, vor dem geöffneten Mund. Die Scheibe ist am unteren Rand durch ein Volutenmuster abgeschlossen. Braune Patina. Wohl von der Vertäfelung eines Zimmers. Nußbaumholz. Höhe 27 cm. Tafel CXVI]] réalisée par Französisch um 1560-70, achetée par Dr. Pauli au prix de 4800 sch. [552]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ADAM. STATUETTE. Bärtig, stehend, mit vorgesetztem linken Bein. Er streckt die Rechte von sich und führt mit der Linken den Apfel zum Mund. - Viereckiger Sockel mit abgeschrägten Ecken und Oberkanten. An der rechten Hand fehlen zwei Fingerglieder. Grau bemalt. Die Haare etwas dunkler, Sockel rot. Unter dem Sockel ein zweites, unbemaltes Brettchen. Die Figur ist in Florenz erworben, doch wahrscheinlich cisalpinen Ursprungs. Holz. Höhe 64,5 cm. (Deutsch (?) Ende 16. Jahrhundert)|ADAM. STATUETTE. Bärtig, stehend, mit vorgesetztem linken Bein. Er streckt die Rechte von sich und führt mit der Linken den Apfel zum Mund. - Viereckiger Sockel mit abgeschrägten Ecken und Oberkanten. An der rechten Hand fehlen zwei Fingerglieder. Grau bemalt. Die Haare etwas dunkler, Sockel rot. Unter dem Sockel ein zweites, unbemaltes Brettchen. Die Figur ist in Florenz erworben, doch wahrscheinlich cisalpinen Ursprungs. Holz. Höhe 64,5 cm.]] réalisée par Deutsch (?) Ende 16. Jahrhundert, achetée par Hinrichsen au prix de 2600 sch. [553]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUSKIND. STATUETTE. Stehend, nackt, mit der Rechten segnend, die bis zur Hüfte erhobene Linke jetzt leer. Lockiges Haar. Vollrund. Mit vortrefflich erhaltener Polychromie. Haar vergoldet. In den Füßen zwei Zapfenlöcher. In der linken Hand ein Loch zur Befestigung der Weltkugel. Augen aus Glasmasse. Ähnliche Statuetten sind in Deutschland häufig; doch weist die Art der Bemalung auf Spanien. - Erworben aus Wiener Privatbesitz. Leisching, Figurale Holzplastik, Taf. 14, Nr. 27. Holz. Höhe 43 cm. (Spanisch 16. Jahrhundert)|CHRISTUSKIND. STATUETTE. Stehend, nackt, mit der Rechten segnend, die bis zur Hüfte erhobene Linke jetzt leer. Lockiges Haar. Vollrund. Mit vortrefflich erhaltener Polychromie. Haar vergoldet. In den Füßen zwei Zapfenlöcher. In der linken Hand ein Loch zur Befestigung der Weltkugel. Augen aus Glasmasse. Ähnliche Statuetten sind in Deutschland häufig; doch weist die Art der Bemalung auf Spanien. - Erworben aus Wiener Privatbesitz. Leisching, Figurale Holzplastik, Taf. 14, Nr. 27. Holz. Höhe 43 cm.]] réalisée par Spanisch 16. Jahrhundert au prix de 450 sch. [554]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[STATUETTE DES CHRISTUSKINDES. Schreitend, nackt, die Rechte segnend erhoben. Auf altem Sockel mit reicher Profilierung. Beide Arme alt angestückt, der rechte neuerdings wieder angeleimt; Mittelfinger ergänzt. Die Augen aus Glas, eingesetzt. Leisching, Figurale Holzplastik, Taf. 15. Holz. Höhe 27 cm. Sockel: Höhe 5,2 cm. (Spanisch 17. Jahrhundert)|STATUETTE DES CHRISTUSKINDES. Schreitend, nackt, die Rechte segnend erhoben. Auf altem Sockel mit reicher Profilierung. Beide Arme alt angestückt, der rechte neuerdings wieder angeleimt; Mittelfinger ergänzt. Die Augen aus Glas, eingesetzt. Leisching, Figurale Holzplastik, Taf. 15. Holz. Höhe 27 cm. Sockel: Höhe 5,2 cm.]] réalisée par Spanisch 17. Jahrhundert au prix de 550 sch. [555]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS ALS SCHMERZENSMANN. STATUETTE. Stehend, das Haupt mit dem geöffneten Mund und lang herabfallenden Locken vorgebeugt, das Lendentuch links geknotet und zwischen den Beinen durchgezogen. Die Rechte faßt an die Seitenwunde, die Linke an das Lendentuch. Alte, guterhaltene Bemalung: Lendentuch blau mit goldenem Saum, Futter rot. Am ganzen Körper Blutspritzer. Holz. Höhe 22,5 cm. (Spanisch 16. Oder 17. Jahrhundert)|CHRISTUS ALS SCHMERZENSMANN. STATUETTE. Stehend, das Haupt mit dem geöffneten Mund und lang herabfallenden Locken vorgebeugt, das Lendentuch links geknotet und zwischen den Beinen durchgezogen. Die Rechte faßt an die Seitenwunde, die Linke an das Lendentuch. Alte, guterhaltene Bemalung: Lendentuch blau mit goldenem Saum, Futter rot. Am ganzen Körper Blutspritzer. Holz. Höhe 22,5 cm.]] réalisée par Spanisch 16. Oder 17. Jahrhundert, achetée par Schwersenz au prix de 250 sch. [556]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[KOPF EINER WEIBLICHEN HEILIGEN. Mit gesenktem Blick, in alter, naturalistischer Bemalung. Plastisch ausgeführt ist nur das Gesicht. Das Haupt drapiert mit natürlichen Haaren, darüber ein mit Goldspitzen besetztes Seidentuch mit durchgezogener Perlenschnur. Sogenannte de candelero-Plastik, bestimmt zur Ausstaffierung mit echten Gewändern. Über diese in Spanien öfters vorkommende Gattung vgl. zum Beispiel A. L. Mayer, Spanische Barockplastik (München 1923), Text S. 11 und Abb. 119. Holz. Höhe 23 cm. (Spanisch 17. Jahrhundert)|KOPF EINER WEIBLICHEN HEILIGEN. Mit gesenktem Blick, in alter, naturalistischer Bemalung. Plastisch ausgeführt ist nur das Gesicht. Das Haupt drapiert mit natürlichen Haaren, darüber ein mit Goldspitzen besetztes Seidentuch mit durchgezogener Perlenschnur. Sogenannte de candelero-Plastik, bestimmt zur Ausstaffierung mit echten Gewändern. Über diese in Spanien öfters vorkommende Gattung vgl. zum Beispiel A. L. Mayer, Spanische Barockplastik (München 1923), Text S. 11 und Abb. 119. Holz. Höhe 23 cm.]] réalisée par Spanisch 17. Jahrhundert, achetée par Bernouilli, Basel au prix de 1000 sch. [557]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER NICOLAUS. STATUETTE. Der Heilige steht, in bischöflichem Ornat, die Rechte segnend erhoben. Links von ihm eine Bütte, aus der die drei von ihm erweckten Kinder auferstehen. Auf altem, schlichtem Sockel. Rückseite flach behandelt. Vollständig polychromiert. Kreidegrund, darauf Reste von Gold auf Rot. Holz. Höhe mit Sockel 24,6 cm. Sockel: Breite 12,8 cm. (Italienisch 16. Jahrhundert)|HEILIGER NICOLAUS. STATUETTE. Der Heilige steht, in bischöflichem Ornat, die Rechte segnend erhoben. Links von ihm eine Bütte, aus der die drei von ihm erweckten Kinder auferstehen. Auf altem, schlichtem Sockel. Rückseite flach behandelt. Vollständig polychromiert. Kreidegrund, darauf Reste von Gold auf Rot. Holz. Höhe mit Sockel 24,6 cm. Sockel: Breite 12,8 cm.]] réalisée par Italienisch 16. Jahrhundert au prix de 320 sch. [558]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER ULRICH. STATUE. Stehend, als Bischof gekleidet: Mitra, Rasel, Pallium mit Schließe und Pektoralkreuz, Fransenbordüre. Die Rechte redend erhoben, die Linke trägt Buch und Fisch. Auf schmaler rundlicher Standplatte. Rückseite ausgehöhlt. Gut erhaltene alte Bemalung: Kragen schwarz und weiß gestreift. Kasel grün, Pallium vergoldet, Futter und Innenflächen der Mitra rot auf Silber. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 54. Lindenholz. Höhe 96 cm. (Österreichisch Anfang 17. Jahrhundert)|HEILIGER ULRICH. STATUE. Stehend, als Bischof gekleidet: Mitra, Rasel, Pallium mit Schließe und Pektoralkreuz, Fransenbordüre. Die Rechte redend erhoben, die Linke trägt Buch und Fisch. Auf schmaler rundlicher Standplatte. Rückseite ausgehöhlt. Gut erhaltene alte Bemalung: Kragen schwarz und weiß gestreift. Kasel grün, Pallium vergoldet, Futter und Innenflächen der Mitra rot auf Silber. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 54. Lindenholz. Höhe 96 cm.]] réalisée par Österreichisch Anfang 17. Jahrhundert au prix de 550 sch. [559]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER SEBASTIAN. STATUETTE. Auf dem linken Bein stehend, mit dem erhobenen rechten Bein und rechten Arm an einen Baumstamm gefesselt. Lokkiges Haar, Lendenschurz, mit Strick zusammengehalten, rundliche Standplatte mit Wurzeln, Baumstrunk und Blumen. Ohne Bemalung. Ergänzt die seitlichen Aste oben am Baumstamm, der rechte Arm der Figur von der Schulter, der linke von der Mitte des Oberarms ab. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 49. Lindenholz. Höhe 31 cm. (Oberösterreichisch Anfang 17. Jahrhundert)|HEILIGER SEBASTIAN. STATUETTE. Auf dem linken Bein stehend, mit dem erhobenen rechten Bein und rechten Arm an einen Baumstamm gefesselt. Lokkiges Haar, Lendenschurz, mit Strick zusammengehalten, rundliche Standplatte mit Wurzeln, Baumstrunk und Blumen. Ohne Bemalung. Ergänzt die seitlichen Aste oben am Baumstamm, der rechte Arm der Figur von der Schulter, der linke von der Mitte des Oberarms ab. Leisching, Figurale Holzplastik I, Taf. 49. Lindenholz. Höhe 31 cm.]] réalisée par Oberösterreichisch Anfang 17. Jahrhundert, achetée par Hinrichsen au prix de 1500 sch. [560]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ECCE HOMO. RELIEFGRUPPE. Christus kniet in einer Nische, die vorn mit Werksteinen eingefaßt und rundbogig abgeschlossen ist. Das rechte Knie ruht auf dem Boden, das linke ist erhoben, der Fuß tritt auf das rechte Bein. Der Körper ist an Händen und Füßen gefesselt, der linke Oberarm an die Wand geschlossen. Das Haupt, mit mächtiger Dornenkrone und auf die Schulter fallenden Locken, blickt schmerzvoll empor; es stößt an den Rand des Nischenbogens. In der Nische erblickt man links einen Baumstumpf, den herabgleitenden Königsmantel, und am Boden eine Schlange; rechts oben an der Bogenlaibung kriecht eine Spinne. Abgebrochen der rechte Zeigefinger und der linke Zeh. Sonst gut erhalten. Einzelne Wurmlöcher. Georg Petel gestorben in Augsburg 1634. Mit Petels Schächerfiguren und mit dem Schergen der Sammlung Clemens (Köln, Kunstgewerbemuseum) besteht nahe Verwandtschaft. Birnbaumholz. Höhe 13,2, Breite 9,8 cm. (Georg Petel)|ECCE HOMO. RELIEFGRUPPE. Christus kniet in einer Nische, die vorn mit Werksteinen eingefaßt und rundbogig abgeschlossen ist. Das rechte Knie ruht auf dem Boden, das linke ist erhoben, der Fuß tritt auf das rechte Bein. Der Körper ist an Händen und Füßen gefesselt, der linke Oberarm an die Wand geschlossen. Das Haupt, mit mächtiger Dornenkrone und auf die Schulter fallenden Locken, blickt schmerzvoll empor; es stößt an den Rand des Nischenbogens. In der Nische erblickt man links einen Baumstumpf, den herabgleitenden Königsmantel, und am Boden eine Schlange; rechts oben an der Bogenlaibung kriecht eine Spinne. Abgebrochen der rechte Zeigefinger und der linke Zeh. Sonst gut erhalten. Einzelne Wurmlöcher. Georg Petel gestorben in Augsburg 1634. Mit Petels Schächerfiguren und mit dem Schergen der Sammlung Clemens (Köln, Kunstgewerbemuseum) besteht nahe Verwandtschaft. Birnbaumholz. Höhe 13,2, Breite 9,8 cm.]] réalisée par Georg Petel au prix de 1500 sch. [561]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[STATUE DER EVA. Nackt, mit einem Schurz aus Blättern. Langes, bis zur Hüfte fallendes, gewelltes Haar. Der linke Fuß ist vorgesetzt, die rechte Hüfte nach vorn und nach der Seite verschoben, die rechte Hand weist nach abwärts. Mit der linken führt sie den Apfel zum Mund. Einfache rundliche Standplatte; darunter Holzpostament, oben und unten profiliert, mit der alten Inschrift: EVA. Die Figur ist unten vollrund gearbeitet, oben ist die Rückseite glatt. Alte Polychromie: Blattschurz grün, Apfel rot, Sockel schwarz, die Profile mit Teilvergoldung. Aus einem Altarwerk der Kreuzkirche in Ansbach (Mittelfranken), das sich 1897 noch in Ansbacher Privatbesitz befand. Das Gegenstück, die Figur des Adam, im Österreichischen Museum, Wien. Vorbesitzer: Herr Adelmann, Würzburg. Frau Scharold, ebenda. Baumeister Popp, Ansbach. Lindenholz. Figur: Höhe 85 cm. Sockel: Höhe 11 cm. (Süddeutsch 1. Hälfte 17. Jahrhundert)|STATUE DER EVA. Nackt, mit einem Schurz aus Blättern. Langes, bis zur Hüfte fallendes, gewelltes Haar. Der linke Fuß ist vorgesetzt, die rechte Hüfte nach vorn und nach der Seite verschoben, die rechte Hand weist nach abwärts. Mit der linken führt sie den Apfel zum Mund. Einfache rundliche Standplatte; darunter Holzpostament, oben und unten profiliert, mit der alten Inschrift: EVA. Die Figur ist unten vollrund gearbeitet, oben ist die Rückseite glatt. Alte Polychromie: Blattschurz grün, Apfel rot, Sockel schwarz, die Profile mit Teilvergoldung. Aus einem Altarwerk der Kreuzkirche in Ansbach (Mittelfranken), das sich 1897 noch in Ansbacher Privatbesitz befand. Das Gegenstück, die Figur des Adam, im Österreichischen Museum, Wien. Vorbesitzer: Herr Adelmann, Würzburg. Frau Scharold, ebenda. Baumeister Popp, Ansbach. Lindenholz. Figur: Höhe 85 cm. Sockel: Höhe 11 cm.]] réalisée par Süddeutsch 1. Hälfte 17. Jahrhundert, achetée par Dr. v. Frey au prix de 1500 sch. [562]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[JUGENDLICHER MÖNCH, BRUSTSTÜCK. Der Kopf nach links geneigt. Auf den Schultern ein Kapuzen-Kragen. Darunter Kutte. Rückseite zum größten Teil ausgehöhlt. Vorn ein viereckiger Einschnitt. Alt bemalt. Die Haare sind nur mit Farbe angegeben, die Kutte braunrot. Kleine Beschädigungen an der Plastik und Fehlstellen in der Farbe, besonders am Kopf. Aus einer Kirche des Rosenthals (Drauthal südlich von Klagenfurt). Lindenholz. Höhe 51,5, Breite 40 cm. (Kärnten 17. Jahrhundert)|JUGENDLICHER MÖNCH, BRUSTSTÜCK. Der Kopf nach links geneigt. Auf den Schultern ein Kapuzen-Kragen. Darunter Kutte. Rückseite zum größten Teil ausgehöhlt. Vorn ein viereckiger Einschnitt. Alt bemalt. Die Haare sind nur mit Farbe angegeben, die Kutte braunrot. Kleine Beschädigungen an der Plastik und Fehlstellen in der Farbe, besonders am Kopf. Aus einer Kirche des Rosenthals (Drauthal südlich von Klagenfurt). Lindenholz. Höhe 51,5, Breite 40 cm.]] réalisée par Kärnten 17. Jahrhundert au prix de 1100 sch. [563]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI NARREN, HALBFIGUREN. Grinsende fette Gesichter. Die Arme vor der Brust gekreuzt. Auf dem Haupt Zipfelmützen mit Eselsohren, unten beim einen mit spitzigen, beim andern mit runden Zaddeln verziert. Rückseiten glatt. Reste roter und grüner Farbe. Die Röcke sind auf der einen Seite rot, auf der andern grün; die Mützen entsprechend umgekehrt; die Zaddeln vergoldet. Dem Narren rechts fehlt die rechte Hand. Bildeten zusammen wohl die Bekrönung eines Narrenszepters. Nußholz. Höhe 13,2 und 15 cm. (Niederländisch 17. Jahrhundert)|ZWEI NARREN, HALBFIGUREN. Grinsende fette Gesichter. Die Arme vor der Brust gekreuzt. Auf dem Haupt Zipfelmützen mit Eselsohren, unten beim einen mit spitzigen, beim andern mit runden Zaddeln verziert. Rückseiten glatt. Reste roter und grüner Farbe. Die Röcke sind auf der einen Seite rot, auf der andern grün; die Mützen entsprechend umgekehrt; die Zaddeln vergoldet. Dem Narren rechts fehlt die rechte Hand. Bildeten zusammen wohl die Bekrönung eines Narrenszepters. Nußholz. Höhe 13,2 und 15 cm.]] réalisée par Niederländisch 17. Jahrhundert au prix de 700 sch. [564]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI HIRTEN, STATUETTEN, a) Frontal stehend, mit gespreizten Beinen; Dudelsack blasend. Der Mantel ist über den Kopf gezogen, darüber Mütze, die nach hinten spitz zuläuft. Bunte Schuhe. b) Nach rechts schreitend, mit Tasche und Kapuze, deren Ende nach hinten flattert. Gegürtetes Gewand, Schuhe und Gamaschen. In der Linken hält er einen langen Stab, in der Rechten einen Hut mit breitem Rand. Beide Figuren auf unregelmäßig begrenztem Terrainsockel. Beine frei gearbeitet; Rücken glatt. Buchholz. Höhe 11,6 cm. (Vlämisch 16. Jahrhundert)|ZWEI HIRTEN, STATUETTEN, a) Frontal stehend, mit gespreizten Beinen; Dudelsack blasend. Der Mantel ist über den Kopf gezogen, darüber Mütze, die nach hinten spitz zuläuft. Bunte Schuhe. b) Nach rechts schreitend, mit Tasche und Kapuze, deren Ende nach hinten flattert. Gegürtetes Gewand, Schuhe und Gamaschen. In der Linken hält er einen langen Stab, in der Rechten einen Hut mit breitem Rand. Beide Figuren auf unregelmäßig begrenztem Terrainsockel. Beine frei gearbeitet; Rücken glatt. Buchholz. Höhe 11,6 cm.]] réalisée par Vlämisch 16. Jahrhundert au prix de 1400 sch. [565]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[RELIEFBILD DES CHRISTUSKOPFES. Auf ovalem Nimbus, oben von einer Hand gehalten. Langes Haupthaar, ohne Dornenkrone. Mit alter Bemalung, am Bart abblätternd, und Vergoldung. Am Rand der Scheibe gepunztes Muster. Rückseite bemalt. »Schweißtuch der Veronika«. Holz. Höhe 35, Breite 20 cm. (Deutsch 17. Jahrhundert)|RELIEFBILD DES CHRISTUSKOPFES. Auf ovalem Nimbus, oben von einer Hand gehalten. Langes Haupthaar, ohne Dornenkrone. Mit alter Bemalung, am Bart abblätternd, und Vergoldung. Am Rand der Scheibe gepunztes Muster. Rückseite bemalt. »Schweißtuch der Veronika«. Holz. Höhe 35, Breite 20 cm.]] réalisée par Deutsch 17. Jahrhundert au prix de 120 sch. [566]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZUNFTEMBLEM EINER BÖTTCHERZUNFT. RELIEF. In der Mitte ovale vertiefte Fläche mit Faß und Zirkel. Der Rand in erhöhtem Relief zeigt oben einen geflügelten Puttenkopf, dahinter ein Schriftband, seitlich Weinranken mit Trauben, unten durchflochten von einem Band. Das Relief ist rechts und links vom Puttenkopf durchbrochen gearbeitet. Der Zirkel leicht beschädigt. Erworben in Salzburg. Lindenholz. Höhe 11,5, Breite 8,5 cm. (Deutsch 2. Hälfte 17. Jahrhundert)|ZUNFTEMBLEM EINER BÖTTCHERZUNFT. RELIEF. In der Mitte ovale vertiefte Fläche mit Faß und Zirkel. Der Rand in erhöhtem Relief zeigt oben einen geflügelten Puttenkopf, dahinter ein Schriftband, seitlich Weinranken mit Trauben, unten durchflochten von einem Band. Das Relief ist rechts und links vom Puttenkopf durchbrochen gearbeitet. Der Zirkel leicht beschädigt. Erworben in Salzburg. Lindenholz. Höhe 11,5, Breite 8,5 cm.]] réalisée par Deutsch 2. Hälfte 17. Jahrhundert au prix de 200 sch. [567]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[VERSPOTTUNG CHRISTI. RELIEF. Von ungefähr ovaler Form. Christus und zwei Kriegsknechte, Kniestücke. Der links hält das Szepter und faßt Christus ins Haar, der rechts hält ihm den Mantel empor, der lose um die Schultern liegt. Christus mit gefesselten Händen. Lendenschurz. Birnbaumholz (?). Höhe 10,2, Breite 8 cm. (Deutsch 17. Jahrhundert)|VERSPOTTUNG CHRISTI. RELIEF. Von ungefähr ovaler Form. Christus und zwei Kriegsknechte, Kniestücke. Der links hält das Szepter und faßt Christus ins Haar, der rechts hält ihm den Mantel empor, der lose um die Schultern liegt. Christus mit gefesselten Händen. Lendenschurz. Birnbaumholz (?). Höhe 10,2, Breite 8 cm.]] réalisée par Deutsch 17. Jahrhundert au prix de 250 sch. [568]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ENGELSKOPF. ZIERSTÜCK. Mit dichtem Lockenhaar, das unten in ein Akanthusblatt endet. Rückseite glatt. Reste von Bemalung und Vergoldung. An Altären des Frühbarock häufig verwendete Schmuckform. Lindenholz. Höhe 27 cm. (Deutsch anfang 17. Jahrhundert)|ENGELSKOPF. ZIERSTÜCK. Mit dichtem Lockenhaar, das unten in ein Akanthusblatt endet. Rückseite glatt. Reste von Bemalung und Vergoldung. An Altären des Frühbarock häufig verwendete Schmuckform. Lindenholz. Höhe 27 cm.]] réalisée par Deutsch anfang 17. Jahrhundert au prix de 280 sch. [569]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme ZWEI PUTTENKÖPFE. APPLIQUE. Zwei aneinandergeschmiegte geflügelte Engelsköpfe mit Pilgerhüten. Mit alter, schadhafter Polychromie. Lindenholz. Höhe 11,5, Breite 28,5 cm. réalisée par Süddeutsch 17. Jahrhundert, achetée par J. und S. Goldschmidt au prix de 260 sch. [570]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Cassirer (Paul). Vente de l'œuvre décrite comme [[ENGELSKOPF. ZIERSTÜCK. Mit lockigem Haar und stilisierten Flügeln als unterem Abschluß; das Ganze in Form eines auf der Spitze stehenden Quadrats. Rückseite ganz ausgehöhlt. Die Flügel zum Teil in durchbrochener Arbeit, vergoldet. Auch das übrige in alter Bemalung. Wohl von einem Altar. Zirbelholz. Höhe 19, Breite 18,5 cm. (Alpenländisch Spätes 17. Jahrhundert)|ENGELSKOPF. ZIERSTÜCK. Mit lockigem Haar und stilisierten Flügeln als unterem Abschluß; das Ganze in Form eines auf der Spitze stehenden Quadrats. Rückseite ganz ausgehöhlt. Die Flügel zum Teil in durchbrochener Arbeit, vergoldet. Auch das übrige in alter Bemalung. Wohl von einem Altar. Zirbelholz. Höhe 19, Breite 18,5 cm.]] réalisée par Alpenländisch Spätes 17. Jahrhundert au prix de 250 sch. [571]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Knoedler. Vente de l'œuvre décrite comme Flowers réalisée par O. Redon, vendue par Kuenxe Graefe, achetée par M.K. & Co. au prix de 100 gs. [572]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Knoedler. Vente de l'œuvre décrite comme Tournant de la Seine à la Frette près Pontoise réalisée par J.L. Lepine, vendue par Gerard Freres, achetée par M.K. & Co. au prix de 322.06 gs. [573]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Knoedler. Vente de l'œuvre décrite comme Le Marche de pommes réalisée par Lepine, vendue par E. Brown & Phillips, achetée par M.K. & Co. au prix de 100 gs. [574]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Knoedler. Vente de l'œuvre décrite comme Chemin de Halage Marne a Sarye réalisée par Gosselin A., achetée par M.K. & Co.. [575]
- 1930.09.29/ maison de ventes : Knoedler. Vente de l'œuvre décrite comme Flowerpiece réalisée par Dutch School, vendue par Mathiesen Galerie, achetée par M.K. & Co.. [576]