Ventes d'œuvres le 1818.05.25

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  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau rond, par Claude le Lorrain, sur cuivre. Ce précieux petit tableau représente un beau paysage, par un temps chaud. Sur le premier plan, on remarque, dans un groupe de beaux arbres, un berger assis, et plusieurs animaux, sur le bord d'une rivière, sur laquelle est une barque. Dans le fond on voit un paysage d'une grande étendue. (Claude le Lorrain)|Un tableau rond, par Claude le Lorrain, sur cuivre. Ce précieux petit tableau représente un beau paysage, par un temps chaud. Sur le premier plan, on remarque, dans un groupe de beaux arbres, un berger assis, et plusieurs animaux, sur le bord d'une rivière, sur laquelle est une barque. Dans le fond on voit un paysage d'une grande étendue.]] réalisée par Claude le Lorrain, vendue par Durand, achetée par Coquille au prix de 1500 fl. [33]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un des jolis tableaux auquel l'artiste a mis le temps et le soin nécessaires. La composition pittoresque offre un chemin occupé par un troupeau que conduit un jeune pâtre ; sur la droite, au-dessus d'une marre d'eau, on découvre une chaumière abritée par des bois. (Mr Swagers)|Un des jolis tableaux auquel l'artiste a mis le temps et le soin nécessaires. La composition pittoresque offre un chemin occupé par un troupeau que conduit un jeune pâtre ; sur la droite, au-dessus d'une marre d'eau, on découvre une chaumière abritée par des bois.]] réalisée par Mr Swagers, vendue par Ruelle, achetée par Corneille au prix de 54 fl. [50]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait en pied de Sa Majesté Louis XVIII, représenté dans son costume habituel ; il est assis dans un fauteuil, et tient un mémoire à la main. L'auteur obtint trois séances du Rois, et cette image précieuse pour la parfaite ressemblance est le résultat de la faveur accordée à l'artiste par l'auguste monarque. La gravure débitée avec le plus heureux succès, a été agréée par S. A. R. monseigneur le duc de Berry. (Mr Lefevre (Robert))|Portrait en pied de Sa Majesté Louis XVIII, représenté dans son costume habituel ; il est assis dans un fauteuil, et tient un mémoire à la main. L'auteur obtint trois séances du Rois, et cette image précieuse pour la parfaite ressemblance est le résultat de la faveur accordée à l'artiste par l'auguste monarque. La gravure débitée avec le plus heureux succès, a été agréée par S. A. R. monseigneur le duc de Berry.]] réalisée par Mr Lefevre (Robert), vendue par Ruelle au prix de 300 fl. [51]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Beau point de vue de marine par un temps calme et à l'effet de clair de lune ; la gauche est occupée par un fort crénelé, au pied duquel est un bâteau de pêcheurs dont le fanal est allumé ; plusieurs autres barques et petits bâtimens se voyent dans le lointain. Ce tableau, qui porte la date de 1785, fut exposé au salon, et reçut en ce temps-là les éloges dus au talent de ce peintre habile. (Mr Hue)|Beau point de vue de marine par un temps calme et à l'effet de clair de lune ; la gauche est occupée par un fort crénelé, au pied duquel est un bâteau de pêcheurs dont le fanal est allumé ; plusieurs autres barques et petits bâtimens se voyent dans le lointain. Ce tableau, qui porte la date de 1785, fut exposé au salon, et reçut en ce temps-là les éloges dus au talent de ce peintre habile.]] réalisée par Mr Hue, vendue par Ruelle au prix de 201 fl. [53]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une hutte de bergers auprès de leurs troupeaux de chèvres et moutons ; tout ce qui l'entoure offre le charme d'une belle campagne : deux gros troncs d'arbres, dépouillés de leurs branchages, se dtachent sur un ciel dont les nuages n'interceptent point le passage aux rayons du soleil, qui viennent frapper sur cette composition champêtre, exécutée d'une manière harmonieuse et dans le sentiment des productions de Carle Dujardin. (Mr Demarne)|Une hutte de bergers auprès de leurs troupeaux de chèvres et moutons ; tout ce qui l'entoure offre le charme d'une belle campagne : deux gros troncs d'arbres, dépouillés de leurs branchages, se dtachent sur un ciel dont les nuages n'interceptent point le passage aux rayons du soleil, qui viennent frapper sur cette composition champêtre, exécutée d'une manière harmonieuse et dans le sentiment des productions de Carle Dujardin.]] réalisée par Mr Demarne, vendue par Ruelle au prix de 179 fl. [56]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de la basse-cour d'une ferme ; elle est séparée par un abreuvoir placé en face d'une grande porte charretière, d'où l'on aperçoit un berger ramenant ses moutons ; à côté du spectateur, deux lanciers à cheval remettent à une jeune femme le prix de leur écot, et se disposent à faire place à des paysans qui descendent un panier de leur charrette. Vers le côté opposé et près d'un puits ombragé par un gros arbre, une fille jette un seau d'eau dans une auge à porc. Tous ces divers tableaux de la nature vivante sont encore embellis par une variété d'accessoires aussi vrais sur cette toile que quand nous les voyons réellement. (Mr Demarne)|Intérieur de la basse-cour d'une ferme ; elle est séparée par un abreuvoir placé en face d'une grande porte charretière, d'où l'on aperçoit un berger ramenant ses moutons ; à côté du spectateur, deux lanciers à cheval remettent à une jeune femme le prix de leur écot, et se disposent à faire place à des paysans qui descendent un panier de leur charrette. Vers le côté opposé et près d'un puits ombragé par un gros arbre, une fille jette un seau d'eau dans une auge à porc. Tous ces divers tableaux de la nature vivante sont encore embellis par une variété d'accessoires aussi vrais sur cette toile que quand nous les voyons réellement.]] réalisée par Mr Demarne, vendue par Ruelle, achetée par Simon au prix de 450 fl. [57]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'une forêt traversée par un chemin sablonneux ; deux chevaux qui y sont arrêtés semblent appartenir à une dame suivie de son jockey, et causant avec un paysan. Dans le lointain, on aperçoit quelques figures et un équipage qui, comme le groupe du devant, sont dus au pinceau de Mr Sweback. Nous croyons ce tableau gravé sous le titre de la Promenade au bois de Boulogne ; cet honneur lui serait justement acquis, car on ne peut une disposition mieux ordonnée, des lignes plus naturellement interrompus et des arbres dessinés avec plus de vérité, qualités qui distinguent éminemment Bruandet, et le placent au rang d'un de nos paysagistes qui a traité ce genre habilement et sans efforts. (Bruandet)|Intérieur d'une forêt traversée par un chemin sablonneux ; deux chevaux qui y sont arrêtés semblent appartenir à une dame suivie de son jockey, et causant avec un paysan. Dans le lointain, on aperçoit quelques figures et un équipage qui, comme le groupe du devant, sont dus au pinceau de Mr Sweback. Nous croyons ce tableau gravé sous le titre de la Promenade au bois de Boulogne ; cet honneur lui serait justement acquis, car on ne peut une disposition mieux ordonnée, des lignes plus naturellement interrompus et des arbres dessinés avec plus de vérité, qualités qui distinguent éminemment Bruandet, et le placent au rang d'un de nos paysagistes qui a traité ce genre habilement et sans efforts.]] réalisée par Bruandet, vendue par Ruelle au prix de 390 fl. [59]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une forte masse d'arbres et buissons au bord desquels passe une rivière ; sur le terreins du devant sont quatre figures drapées ; les fonds terminés par une chaîne de montagnes sont précédés d'une indication de village ; le paysage est éclairé par un effet de soleil qui répand sur tout ce qui l'entoure un ton harmonieux et doré comme dans les productions de Claude le Lorrain. (Herman Swanvelt (dit Herman d'Italie))|Une forte masse d'arbres et buissons au bord desquels passe une rivière ; sur le terreins du devant sont quatre figures drapées ; les fonds terminés par une chaîne de montagnes sont précédés d'une indication de village ; le paysage est éclairé par un effet de soleil qui répand sur tout ce qui l'entoure un ton harmonieux et doré comme dans les productions de Claude le Lorrain.]] réalisée par Herman Swanvelt (dit Herman d'Italie), vendue par Ruelle, achetée par Niven Heuss au prix de 250 fl. [97]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux points de vue de marine avec barques de marchands et passagers ; la ligne droite qui termine la surface des eaux laisse apercevoir une indication de village.Ces deux tableaux, piquans d'effet, sont de la meilleure qualité du maître. (Ruisdael (Salomon))|Deux points de vue de marine avec barques de marchands et passagers ; la ligne droite qui termine la surface des eaux laisse apercevoir une indication de village.Ces deux tableaux, piquans d'effet, sont de la meilleure qualité du maître.]] réalisée par Ruisdael (Salomon), vendue par Ruelle au prix de 250 fl. [98]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage entrecoupé de montagnes sabloneuses, rivières et fabriques ; le devant offre plusieurs troncs d'arbres coupés et étendus sur un terrein où se trouvent un cavalier et deux paysans. Quelques parties du tableau décèlent la bonne qualité du maître. (Wynants (Jean))|Paysage entrecoupé de montagnes sabloneuses, rivières et fabriques ; le devant offre plusieurs troncs d'arbres coupés et étendus sur un terrein où se trouvent un cavalier et deux paysans. Quelques parties du tableau décèlent la bonne qualité du maître.]] réalisée par Wynants (Jean), vendue par Ruelle, achetée par Bertrand au prix de 155 fl. [107]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage dont le milieu est partagé par trois arbres ; la droite offre un amphithéâtre de rochers et fabriques au bas desquels coule une rivière ; à la gauche est un chemin d'où descend un cavalier et une dame suivis de leurs chiens. il est difficile de présenter à Messieurs les Amateurs un plus charmant tableau de ce maître, qui joint au charme et à la vérité de la composition un pinceau précieux et une composition parfaite. (Heusch (Guillaume de))|Paysage dont le milieu est partagé par trois arbres ; la droite offre un amphithéâtre de rochers et fabriques au bas desquels coule une rivière ; à la gauche est un chemin d'où descend un cavalier et une dame suivis de leurs chiens. il est difficile de présenter à Messieurs les Amateurs un plus charmant tableau de ce maître, qui joint au charme et à la vérité de la composition un pinceau précieux et une composition parfaite.]] réalisée par Heusch (Guillaume de), vendue par Ruelle, achetée par Nivenheuss au prix de 301 fl. [109]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Choc de cavalerie. Le champ de bataille est couvert en grande partie, d'assaillans qui se poursuivent à bout portant. L'action est représentée dans un moment des plus terribles, et le peintre en a bien saisi la plus grande difficulté, celle de l'expression des figures. Ce tableau réunit ce que l'on admire dans ce maître, la légèreté dans le paysage, un dessin correct dans ses chevaux, une suavité de couleur et une touche spirituelle qui tient à l'école de Téniers. (Vandermeulen)|Choc de cavalerie. Le champ de bataille est couvert en grande partie, d'assaillans qui se poursuivent à bout portant. L'action est représentée dans un moment des plus terribles, et le peintre en a bien saisi la plus grande difficulté, celle de l'expression des figures. Ce tableau réunit ce que l'on admire dans ce maître, la légèreté dans le paysage, un dessin correct dans ses chevaux, une suavité de couleur et une touche spirituelle qui tient à l'école de Téniers.]] réalisée par Vandermeulen, vendue par Ruelle, achetée par Roux au prix de 90 fl. [117]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue d'un canal de la Hollande, pris à effet de clair de lune. Il est garni de barques et bordé, sur la droite, de maisons devant lesquelles passe la chaussée. Morceau plein de vérité, piquant d'effet et d'un grand goût de couleur. (Vanderneer (Art))|Point de vue d'un canal de la Hollande, pris à effet de clair de lune. Il est garni de barques et bordé, sur la droite, de maisons devant lesquelles passe la chaussée. Morceau plein de vérité, piquant d'effet et d'un grand goût de couleur.]] réalisée par Vanderneer (Art), vendue par Ruelle, achetée par Hazard au prix de 216 fl. [119]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'un port de mer et d'une place publique, enrichis l'un et l'autre d'une grande quantité de figures, parmi lesquelles se trouvent des voyageurs débarqués, des hommes de peine enlevant des ballots, des pauvres, des musiciens ambulans ; en un mot, une réunion de gens de toutes nations et de tous les états. De beaux monumens contribuent à l'embellissement de ces deux tableaux du beau faire de ce maître. (Lingelback)|La vue d'un port de mer et d'une place publique, enrichis l'un et l'autre d'une grande quantité de figures, parmi lesquelles se trouvent des voyageurs débarqués, des hommes de peine enlevant des ballots, des pauvres, des musiciens ambulans ; en un mot, une réunion de gens de toutes nations et de tous les états. De beaux monumens contribuent à l'embellissement de ces deux tableaux du beau faire de ce maître.]] réalisée par Lingelback, vendue par Ruelle. [125]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage mêlé de fabriques et arbrisseaux ; sur le devant, deux bergers gardent leurs troupeaux. Cette production de Beguin offre moins de sécheresse dans le pinceau et plus d'originalité qu'on n'en rencontre dans ce maître, quelquefois trop servile imitateur de Berghem. (A. Béguin)|Paysage mêlé de fabriques et arbrisseaux ; sur le devant, deux bergers gardent leurs troupeaux. Cette production de Beguin offre moins de sécheresse dans le pinceau et plus d'originalité qu'on n'en rencontre dans ce maître, quelquefois trop servile imitateur de Berghem.]] réalisée par A. Béguin, vendue par Ruelle, achetée par Simon au prix de 120 fl. [126]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Composition historique et présumée être l'enlèvement des Sabines. Ce sujet, travesti par J. Steen, ne peut qu'être dénué de la noblesse qui convenait pour le traiter ; les attitudes sont trop gigantesques, et les expressions des personnages tiennent plutôt du comique que du sérieux : aussi devons-nous croire que l'intention du peintre a été de produire sur la toile un poëme risible,fruit d'une imagination féconde et d'une gaieté de caractère qui ne le quittait pas, même au travail. Tout plaisant que ce sujet peut paraître aux amateurs, ils y retrouveront toutes les ressources précieuses du pinceau de cet homme habile, et la piquante originalité de ses compositions. e (J. Steen)|Composition historique et présumée être l'enlèvement des Sabines. Ce sujet, travesti par J. Steen, ne peut qu'être dénué de la noblesse qui convenait pour le traiter ; les attitudes sont trop gigantesques, et les expressions des personnages tiennent plutôt du comique que du sérieux : aussi devons-nous croire que l'intention du peintre a été de produire sur la toile un poëme risible,fruit d'une imagination féconde et d'une gaieté de caractère qui ne le quittait pas, même au travail. Tout plaisant que ce sujet peut paraître aux amateurs, ils y retrouveront toutes les ressources précieuses du pinceau de cet homme habile, et la piquante originalité de ses compositions. e]] réalisée par J. Steen, vendue par [[[Paillet]]], achetée par Durand au prix de 227 fl. [127]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un parc décoré d'une belle fontaine ; trois personnages hommes et femmes et un cavalier s'y promènent. Dans le lointain quelques fabriques et montagnes sont éclairées par l'effet d'un soleil couchant. Le paysage est d'une touche ferme et piquante, et les figures de Lingelback bien arrêtées. (Moucheron)|Vue d'un parc décoré d'une belle fontaine ; trois personnages hommes et femmes et un cavalier s'y promènent. Dans le lointain quelques fabriques et montagnes sont éclairées par l'effet d'un soleil couchant. Le paysage est d'une touche ferme et piquante, et les figures de Lingelback bien arrêtées.]] réalisée par Moucheron, vendue par Ruelle, achetée par Td au prix de 70.[ou] 131 [?] fl. [128]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Beau paysage éclairé par un soleil couchant. Sur une éminence à droite, on aperçoit la tour d'un château ; presque tous les plans sont semés d'arbustes et contribuent par leur variété à rendre le site pittoresque ; sur le chemin qui coupe la composition, on aperçoit un cavalier et un chasseur suivi de ses chiens. (Moucheron)|Beau paysage éclairé par un soleil couchant. Sur une éminence à droite, on aperçoit la tour d'un château ; presque tous les plans sont semés d'arbustes et contribuent par leur variété à rendre le site pittoresque ; sur le chemin qui coupe la composition, on aperçoit un cavalier et un chasseur suivi de ses chiens.]] réalisée par Moucheron, vendue par Ruelle. [130]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de chambre basse, où se trouvent réunis trois hommes et une femme. L'un d'eux lit la gazette, et les autres l'écoutent attentivement ; deux autres paysans qu'on aperçoit dans le fond, se chauffent à la cheminée. On retrouve dans ce tableau l'esprit de touche, la bonne couleur et l'expression naturelle qu'on admire dans les productions de D. Teniers. (Brauwer)|Intérieur de chambre basse, où se trouvent réunis trois hommes et une femme. L'un d'eux lit la gazette, et les autres l'écoutent attentivement ; deux autres paysans qu'on aperçoit dans le fond, se chauffent à la cheminée. On retrouve dans ce tableau l'esprit de touche, la bonne couleur et l'expression naturelle qu'on admire dans les productions de D. Teniers.]] réalisée par Brauwer, vendue par Ruelle. [131]
  • 1818.05.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue extérieure d'un village hollandais. Le milieu est occupé par une charrette attelée d'un cheval et placée entre deux mâsures ; un homme et une femme montés sur cette voiture y rangent des légumes ; à la droite du tableau, on distingue une grande quantité de paysans, et plus loin une porte toute ouverte paraissant indiquer l'entrée du village. Quelques épisodes et de jolis détails ajoutent à l'intérêt de ce charmant tableau, digne de figurer auprès des productions d'Adrien Van Ostade. (Dussart (Corneille))|Vue extérieure d'un village hollandais. Le milieu est occupé par une charrette attelée d'un cheval et placée entre deux mâsures ; un homme et une femme montés sur cette voiture y rangent des légumes ; à la droite du tableau, on distingue une grande quantité de paysans, et plus loin une porte toute ouverte paraissant indiquer l'entrée du village. Quelques épisodes et de jolis détails ajoutent à l'intérêt de ce charmant tableau, digne de figurer auprès des productions d'Adrien Van Ostade.]] réalisée par Dussart (Corneille), vendue par Ruelle, achetée par Paillet au prix de 350 fl. [132]