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Dans les Ngrams les plus liés à [[Marcel Pilet-Golaz]], on trouve majoritairement des ngrams lié à ses différents postes comme "poste et chemin de fer", "le conseil fédérale", "des affaires étrangères". On retrouve aussi beaucoup "le général Guisan" avec qui il est mis en contraste en terme de réputation. | Dans les Ngrams les plus liés à [[Marcel Pilet-Golaz]], on trouve majoritairement des ngrams lié à ses différents postes comme "poste et chemin de fer", "le conseil fédérale", "des affaires étrangères". On retrouve aussi beaucoup "le général Guisan" avec qui il est mis en contraste en terme de réputation. | ||
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Biographie
- 1912.12.10 / Lausanne. Diplôme : Marcel Pilet-Golaz obtient son doctorat en droit de l'Université de Lausanne après avoir étudié à Leipzig et Paris, puis son brevet d'avocat. [2]
- 1915.05.10 / Lausanne. Marcel Pilet-Golaz s'installe en tant qu'avocat à Lausanne. [3]
- 1921.03.06 / Lausanne. Marcel Pilet-Golaz est élu député du grand conseil vaudois pour le parti radical démocratique. [4]
- 1924.06.24 / Promotion : Marcel Pilet-Golaz devient major et commande le bataillon d'infanterie 1. [5]
- 1925 / Promotion : Marcel Pilet-Golaz est élu au conseil national, et s'opposera au droit de grève des fonctionnaires en 1926. Il devient aussi professeur de droit usuel à l'école cantonal d'agriculture de Marcelin. [6]
- 1928.12.13 / Promotion : Marcel Pilet-Golaz est élu au Conseil fédéral. [7]
- [[1929] / Promotion : Marcel Pilet-Golaz dirige le département de l’intérieur, jusqu'en 1930. [8]
- 1930 / Promotion : Marcel Pilet-Golaz dirige le département des postes et des chemins de fers, jusqu'en 1940. Il y crée l'Office fédéral de l'économie électrique et, en 1935, celui des transports. [9] | [10]
- 1934 / Promotion : Marcel Pilet-Golaz est élu président de la confédération. [11]
- 1940 / Promotion : Marcel Pilet-Golaz devient directeur du département des affaires étrangères, jusqu’en 1944. [12]
- 1940 / Promotion : Marcel Pilet-Golaz est élu président de la confédération. [13]
- 1940.06.25 / Lors d'un discours approuvé par le Conseil fédéral et qui devait rassurer le pays, Marcel Pilet-Golaz suscite au contraire des doutes par sa rhétorique maladroite et ses affirmations ambiguës, en faveur d'une régénération autoritaire de la démocratie. Il ne fera rien pour dissiper le malentendu. [14]
- 1940.09 / Marcel Pilet-Golaz reçoit des représentants du Mouvement national suisse qui préconise l'alignement sur le Reich, il aggrave au contraire les doutes qui ne cesseront de peser désormais sur lui. [15]
- 1942 / Marcel Pilet-Golaz tient à nouveau des propos indiquant qu'il croit à la victoire de l'Allemagne et souhaite maintenir une 'neutralité absolue' de la Suisse tout en gardant de bon rapport avec l'Allemagne. [16] | [17]
- 1944.11.07 / Suite à un échec de rapprochement avec la Russie qui accuse la Suisse de politique pro-fasciste, et les accusation pesant sur lui, Marcel Pilet-Golaz décide de se quitter de la vie politique et de se retirer dans son domaine d'Essertines-sur-Rolle. Il était vice-président du Conseil fédéral pour l' année en cours et devait accéder à la présidence en 1945. [18] | [19] | [20]
- 1958.04.11 / Paris. Décès de Marcel Pilet-Golaz. [21]
- 1995 / Erwin Bucher publie une étude dans laquelle il tente de réhabiliter Marcel Pilet-Golaz qu'il dit avoir été victime de calomnie, ce dernier bien que ne cherchant pas à être populaire a toujours agit dans l'objectif de protéger son pays. Il accuse aussi Hans Hausamann d'avoir falsifié des preuves pour calomnier Marcel Pilet-Golaz et le faire passer pour un défaitiste, antidémocrate, germanophile. Marcel Pilet-Golaz n'ayant jamais souhaité publier ses mémoires ou expliquer sa politique, il est difficile de trancher.[22]
Histogramme
Analyse
- Les pics de 1928 et 1935 correspondent a l'élection de Marcel Pilet-Golaz au poste de conseiller fédéral et à la création de l'office des transports.
- Les pics de 1944 et 1958 correspondent à sa démission et sa mort. Son nom n'apparait presque plus dans la presse une fois qu'il s'est retiré de la vie politique.
- Le pic de 1973 correspond à une suite d'articles ayant étudié les effets de sa démission et le point de vue qu'en a eu le Royaume-uni.
- Les pics de 1977 et 1995-1997 correspondent chacun à une période ou quelques articles sont publiés et tentent de réhabiliter Marcel Pilet-Golaz, mettant en avant qu'il a été un bouc-émissaire qui s'est "sacrifié" pour sa patrie. (ex: [23] )
- En 1979 une émission retraçant la vie de Marcel Pilet-Golaz est diffusée, et plusieurs articles en parle les jours suivants. (ex: [24])
- En 1990 plusieurs articles citant son nom paraissent mais sans réels raisons, certains parlent de littérature (Marcel Pilet-Golaz a fait parti d'un club de littérature dans sa jeunesse), d'autres de Guisan et indirectement de lui et d'autres encore du Liechtenstein et de la politique qu'il a mis en place ce durant la guerre par rapport au Liechtenstein. Ce pic semble être un fruit du hasard.
Autres informations et conclusion
Dans les Ngrams les plus liés à Marcel Pilet-Golaz, on trouve majoritairement des ngrams lié à ses différents postes comme "poste et chemin de fer", "le conseil fédérale", "des affaires étrangères". On retrouve aussi beaucoup "le général Guisan" avec qui il est mis en contraste en terme de réputation.
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