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* [[1861]] / [[Caluire-et-Cuire]]. [[Cession]] de la résidence du [[Vernay (Bâtisse,Caluire-et-Cuire, 95 quai Clémenceau)| Vernay]] à la Ville de [[Lyon]] en échange de la [[construction]] d'un lycée à [[Saint-Rambert]]. Le [[Vernay (Bâtisse,Caluire-et-Cuire, 95 quai Clémenceau)| Vernay]] devient la résidence d'été des préfets-maires. [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57881689/f153.item.r=Vernay] | * [[1861]] / [[Caluire-et-Cuire]]. [[Cession]] de la résidence du [[Vernay (Bâtisse,Caluire-et-Cuire, 95 quai Clémenceau)| Vernay]] à la Ville de [[Lyon]] en échange de la [[construction]] d'un lycée à [[Saint-Rambert]]. Le [[Vernay (Bâtisse,Caluire-et-Cuire, 95 quai Clémenceau)| Vernay]] devient la résidence d'été des préfets-maires. [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57881689/f153.item.r=Vernay] |
Version du 29 mars 2021 à 19:29
- XVIIème siècle / Caluire-et-Cuire. Construction de la Maison Régny, qui s'est plus tard accaparé le nom du quartier du Vernay, probablement pour le compte d'un certain Balmont. [1]
- 1827 / Caluire-et-Cuire. Achat du domaine du Vernay par des investisseurs qui le divisent et vendent les granges qui en faisaient partie. [2]
- 1828 / Caluire-et-Cuire. Achat de la résidence du Vernay par le Collège Royal de Lyon auprès de Mme. de Maunicault par l'intermédiaire de M. l'Abbé Demeuré. [3][4]
- 1861 / Caluire-et-Cuire. Cession de la résidence du Vernay à la Ville de Lyon en échange de la construction d'un lycée à Saint-Rambert. Le Vernay devient la résidence d'été des préfets-maires. [5]
- 1907 / Caluire-et-Cuire. Ouverture de la première école en plein air de France au Vernay. Le Dr. Vigne] y travaille comme médecin, et 35 enfant y sont admis la première année, une centaine les années suivantes. [6][7][8]
- 1908 / Caluire-et-Cuire. Ouverture de la Pouponnière en plein air du Vernay à l'initiative du Dr. Péhu dans le but d'envoyer des nourrissons pendant l'été à la campagne. 21 enfants furent pris en charge. Cependant, la Pouponnière fut finalement déplacée à Saint-Rambert à cause de la surabondance de moustiques.[9][10]
- 1909 / Caluire-et-Cuire. Mission d'étude envoyée par la ville de Paris chargée d'étudier le fonctionnement de l'école en plein air du Vernay pour s'en inspirer. [11]
- 1919 / Caluire-et-Cuire. Reconversion du Vernay comme internat municipal pour jeunes filles. La Villa Ombrosa et le Vernay fusionneront pour devenir l'internat pour jeunes filles du Vernay-Ombrosa. [12][13]
- 1925 / Caluire-et-Cuire. Offre d'embauche de jardinier à l'internat pour jeunes filles du Vernay-Ombrosa dans le journal Lyon horticole. La demande est gérée par la directrice de l'établissement Mme. Josserand. [14]
- 1929.10 / Caluire-et-Cuire. Citation du pensionnat municipal de la ville de Lyon du Vernay-Ombrosa comme exemple en termes d'éducation sportive dans la revue L'éducation physique. [15] Mlle. Brunet enseigne alors la méthode Herbert aux enfants.[16]
- 1930.01.01 / Caluire-et-Cuire. Offre d'embauche de jardinier à l'internat pour jeunes filles du Vernay-Ombrosa dans le journal Lyon horticole. [17]
- 1944 / Caluire-et-Cuire. Dissimulation d'enfants juifs pendant l'Occupation à l'internat du Vernay-Ombrosa sous la direction d'Antoinette Richon. Parmi eux, Hélène Akierman (née Lewkovicz), alors âgée de 10 ans, a témoigné auprès du Musée de la Résistance et de la Déportation de Lyon en 2002, et a entamé des démarches pour qu'Antoinette Richon reçoive la médaille des Justes. [18]
- 1944 / Caluire-et-Cuire. Installation des Allemands à l'internat du Vernay-Ombrosa pendant l'été. Les enfants juifs qui y étaient cachés, dont Hélène Akierman sont envoyés se cacher par Antoinette Richon chez un médecin de Caluire-et-Cuire, puis dans un monastère. [19]